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mercredi 22 mai 2013

Test : la nouvelle manette et Kinect 2 de la Xbox One


Dans les locaux de Xbox à Redmond, 01net a pu mettre la main sur la manette de la Xbox One et voir à l’oeuvre le nouveau système Kinect. Tour d’horizon des améliorations et premières impressions.
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40 améliorations pour la manette

En main, la nouvelle manette Xbox est très proche de la précédente. Elle semble légèrement plus fine. Son design est plus sobre, moins arrondi aussi. Parmi les 40 améliorations promises par Microsoft, les deux sticks sont désormais plus sensibles. La croix directionnelle a aussi été repensée. Elle est bien plus agréable au toucher. Selon Microsoft, les sticks et la croix sont également plus précis. Mais nous n’avons pas pu tester cette affirmation.
Autre nouveauté: le dos de la manette est plat. Les piles sont en effet directement intégrées à l'intérieur, ce qui offre une surface bien plus grande pour pouvoir positionner ses doigts. Un confort évident une fois que l’on reprend en main l’ancienne manette.
La principale innovation se trouve dans les deux gâchettes, désormais équipées de vibration. Plusieurs démos techniques nous ont permis de voir cette nouveauté à l’épreuve. Par exemple, une voiture qui démarre puis accélère. Les vibrations dans les gâchettes offrent un ressenti bien plus grand et renforcent ainsi l’immersion. Les gâchettes peuvent vibrer indépendamment de la manette et indépendamment l’une de l’autre. En attendant son application dans les jeux, le système semble prometteur.
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Jusqu’à six personnes sur Kinect

Comme pressenti, Kinect fait partie intégrante de la Xbox One. La caméra, aux dimensions assez imposantes, est livrée avec la console. Elle semble avoir connu un grand bond en avant par rapport à la précédente version.
Kinect est ainsi capable de clairement distinguer les doigts du joueur. La retranscription des mouvements se montre très précise. Microsoft assure qu’elle est trois fois plus fidèle que sur le premier modèle. Le temps de latence a été réduit. Il était dans nos tests quasiment imperceptible.
Jusqu’à six personnes peuvent désormais être détectées en même temps, peu importe la luminosité de la pièce (cela fonctionne donc dans le noir). Grâce à la reconnaissance faciale, la console peut correctement identifier les joueurs. Elle sait également qui tient quelle manette, ce qui devrait permettre d’organiser correctement les écrans partagés au cours d’une partie à plusieurs.
La reconnaissance faciale permet également de savoir si le joueur sourit, s’il regarde l’écran ou s'il parle. Kinect peut par ailleurs représenter les forces qui traverse le corps. Par exemple, quand on donne un coup de poing, la caméra est capable de retranscrire sa puissance. Tout cela fonctionnait bien dans nos tests. Reste à voir les applications concrètes de ces nouveautés.
Kinect est également capable de détecter le rythme cardiaque en analysant le visage des joueurs. Nous n’avons cependant pas pu vérifier la véracité des informations apparaissant à l’écran.
Enfin, la reconnaissance vocale est annoncée plus puissante. Microsoft assure, bande son à l’appui, que son système permet notamment d’éliminer les bruits parasites pour ne capter que la voix de la personne qui parle. Cela doit notamment permettre de discuter sur Skype.


REF.:

mardi 21 mai 2013

Le nouveau jeu vidéo de combat «Splinter Cell Blacklist» sortira le 20 août 2013 ?

Splinter Cell: Blacklist - Jeux de tir: ils sont tous pareils, sauf…
Le nouveau jeu vidéo de combat «Splinter Cell Blacklist» sortira le 20 août 2013.  
Photo Ubisoft


TORONTO — Essayez de deviner de quel jeu vidéo je parle juste en lisant cette description: dans le mode multijoueur en ligne, des gars armés de fusils essayent d’en tuer d’autres avec des fusils similaires.

Aussi sur Canoe.ca:
«Splinter Cell Blacklist» marque les débuts d'Ubisoft Toronto«Tom Clancy's Splinter Cell» porté à l'écran

Si vous avez répondu «à peu près tous», vous avez entièrement raison. De Halo à Call of Duty en passant parBattlefield etUncharted, la plupart des jeux de tir sur le marché se ressemblent tous comme deux gouttes d'eau.
Certes, les environnements sont différents d'un jeu à l'autre, il est vrai aussi que certains canons tirent des boules de plasma au lieu des traditionnelles balles, et qu'il existe des titres où le but est de capturer des drapeaux plutôt que de simplement tuer ses ennemis, mais très peu de titres sentent le frais dans le domaine du «shoot-em-up» en ligne.
Tout ça va changer à partir du 20 août avec la sortie de Splinter Cell Blacklist des studios Ubisoft Toronto. En plus des intrigues du jeu, de la campagne géopolitique en solo, et de la série de missions coopératives, Blacklist marquera le retour d'unSplinter Cell plus originel avec le fameux: Espions contre mercenaires.
Les amateurs de longue date de Splinter Cell se souviennent du mode «espions contre mercenaires» et de ses différentes incarnations au fil du temps, mais il avait été évincé à partir du Splinter Cell: Conviction de 2010. Et les «fans» n'étaient pas contents.
Après Splinter Cell: Conviction, «espions contre mercenaires» était la caractéristique numéro 1 évoquée par les «fans», et par les journalistes qui faisaient la critique du jeu», explique Sébastien Ebacher, le producteur du mode de jeu.
Espions contre mercenaires fait s'affronter deux équipes de joueurs l'une contre l'autre - deux contre deux dans le format dit classique, quatre contre quatre dans la nouvelle variante de Blacklist - avec une évolution importante: les forces ennemies regardent, se déplacent, se battent, et contrôlent de manière très différente les unes des autres.
Les mercenaires sont lourdement armés, relativement lents et contrôlés via une vision en tunnel. Les espions sont agiles, mais faibles, ils se fondent aux ombres, grimpent sur les murs, posent des pièges et attaquent avec des armes (presque) non létales. Ils sont commandés par une vue à la troisième personne, un peu comme Sam Fisher dans la campagne solo de Blacklist, ce qui permet une plus grande conscience de la situation.
Les adversaires se relaient de chaque côté dans chaque partie, les espions ont pour objectif de pirater trois bornes disséminées à travers un niveau tentaculaire, tandis que les mercenaires essaient de les arrêter, s'ils parviennent à les trouver. Et Dieu que c'est drôle.
Cela fait des années que je n'ai pas joué à espions contre mercenaires, mais, au cours d'une récente visite au studio Ubisoft à Toronto, j'ai eu l'occasion de tester la variante du mode classique et celle deBlacklist. Ce fut stressant, terrifiant, et exaltant. C'est un jeu de cache-cache virtuel, avec des armes et des gadgets.
Le nouveau mode de Blacklist est particulièrement captivant, car il permet à chaque équipe de bricoler avec leur matériel et leurs armes. Peut-être voudrez-vous choisir un espion équipé d'un système de camouflage actif du genre Predator, avec une arbalète qui étourdit les ennemis avec une décharge électrique. Ou plutôt un mercenaire qui peut piloter un drone à travers le champ de bataille et le faire exploser à côté d'une cache d'espions disposée sur un perchoir hors de portée.
Sébastien Ebacher admet à contrecoeur avoir une préférence pour l'espion Intel Scout (qui peut marquer les ennemis afin que les alliés soient informés de leur présence) et le mercenaire Disruptor (qui peut brouiller les appareils électroniques de ses ennemis, les mines, et autres), mais explique que tous les gadgets et tactiques d'un ennemi peuvent être contrés.
«Les joueurs vont devoir apprendre à utiliser différents outils au bon moment, contre les bons ennemis», dit-il.
Plus de réflexion, moins d'agitation? Comptez sur moi. Août a intérêt à vite arriver.



REF.:

La nouvelle console Xbox One de Microsoft

Conférence - Microsoft annonce sa nouvelle console Xbox One
La nouvelle console Xbox One remplacera la Xbox 360.
Photo Microsoft

Conférence

Microsoft annonce sa nouvelle console Xbox One

REDMOND (États-Unis) - Le groupe informatique américain Microsoft a présenté mardi sa nouvelle console de salon baptisée Xbox One, sur laquelle il offre plus que des jeux vidéo avec l'espoir d'imposer l'appareil comme une plateforme incontournable de divertissement pour la maison.

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Que vaut la Xbox One?PS4 et manette DualShock 4: est-ce assez pour convaincre les joueurs?

Le nouvel appareil, appelé à succéder plus tard cette année à la Xbox 360 vendue à 77 millions d'exemplaires depuis fin 2005, a été présenté officiellement lors d'un événement organisé au siège du groupe à Redmond (ouest des États-Unis).
Il permet de zapper de manière instantanée entre un jeu vidéo, un programme de télévision ou de la navigation sur internet, et intègre aussi le système de communication par internet Skype pour permettre des appels vidéo.
La console viendra aussi avec des accessoires Kinect capables d'identifier les mouvements, mais aussi la voix, qui reconnaîtront les utilisateurs et pourront répondre à des commandes formulées dans un langage naturel.
«C'est le début d'une nouvelle génération de jeux et de divertissements, et une nouvelle génération de télévision intelligente», a commenté un responsable de la division de divertissement interactif de Microsoft présent à l'événement, Yusuf Mehdi.
Les trois grands fabricants de consoles vidéo sont actuellement en train de renouveler leur gamme, dont la dernière génération avait plus de six ans. Les deux rivaux japonais de Microsoft, Nintendo et Sony, ont respectivement sorti la Wii U fin 2012 et annoncé une PlayStation 4 pour les fêtes de fin d'année.
Ils sont toutefois confrontés à une nouvelle donne sur le marché. Les consoles traditionnelles doivent faire face à une nouvelle concurrence, celle des jeux bon marché voire gratuits sur téléphones et tablettes, qui séduisent beaucoup les joueurs occasionnels.

Écosystème

Signe de cette évolution, Nintendo, qui avait réussi à élargir le public des jeux vidéo en 2006 avec sa Wii et sa manette à reconnaissance de mouvements écoulée à 100 millions d'exemplaires, a enregistré des ventes décevantes pour sa Wii U.
C'est pour réagir à cette nouvelle donne que Microsoft a doté sa console de capacités élargies.
Même s'il n'a toujours pas dévoilé concrètement sa PlayStation 4, Sony semble avoir fait un choix similaire à croire les indications données lors de l'annonce de la sortie de l'appareil en février.
Mike Hickey, un analyste de National Alliance Securities spécialisé dans le marché des jeux vidéo, estime que le succès de la Xbox dépend effectivement de sa capacité à fournir une large gamme de divertissements numériques, et «des contenus au-delà des seuls jeux afin de créer de la valeur pour les joueurs comme pour les non-joueurs sur Xbox Live».
Ce service en ligne, qui revendique 46 millions de membres, permet d'accéder par l'intermédiaire de la Xbox à des jeux, mais aussi de la musique ou du contenu vidéo.
Il crée ainsi une espèce d'écosystème autour de la console de salon rappelant celui qu'Apple a su construire pour ses appareils mobiles avec ses boutiques iTunes et AppStore, ou celui de Google autour des produits utilisant son logiciel mobile Android.
«Pour Microsoft, la concurrence c'est Apple et Google» plus que Nintendo et Sony, conclut M. Hickey.


-Au-delà du jeu vidéo, la présentation de la Xbox One a été l'occasion de montrer l'aboutissement du rêve de Microsoft: placer un boitier réellement multimédia dans les salons. Il n'est donc pas étonnant que la compagnie ait particulièrement mis l'accent - durant une bonne partie de la conférence - sur ces possibilités.
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Microsoft annonce sa nouvelle console Xbox One

Par exemple, il sera possible de mettre un jeu en pause et de passer directement à un programme télé. Encore mieux, pendant un match de sport, tous les renseignements sur les équipes pourront être affichés à l'écran.
Bien sûr, en livrant le nouveau Kinect avec sa Xbox, Microsoft promet un contrôle simple et rapide par l'intermédiaire des gestes et de la parole. Il suffira de dire «montre-moi les spectacles d'aujourd'hui» pour que la console zappe automatiquement sur toutes les chaines qui proposent ce type d'émission.
Steven Spielberg a annoncé sa collaboration à la série télévisée Halo lors de la conférence de Microsoft. Son implication est une véritable reconnaissance pour le jeu vidéo. Il prouve enfin au grand public qu'il est capable de bâtir des univers profonds qui vont au-delà de ce médium.

Face à la PS4

La véritable concurrente de la Xbox sera la PS4 de Sony. Techniquement, les deux consoles sont quasi identiques: processeur 8 cœurs X86 (comme dans les PC) et 8 Go de mémoire.Seule la partie graphique, assurée dans les deux cas par AMD, va légèrement différer. Nous aurons donc deux consoles à l'architecture presque identique à un PC, ce qui va permettre de développer facilement des jeux, et surtout de les porter d'une plateforme à l'autre en un rien de temps. Il s'agit d'une très bonne nouvelle.
D'ailleurs, d'après un développeur que nous avons contacté, les deux consoles sont relativement faciles à programmer. La PS4 offre très vite un résultat proche de ce que veulent les développeurs, alors que la Xbox nécessite un peu plus de temps pour le résultat voulu, ce qui revient finalement au même.
Malheureusement, rien n'a été annoncé au sujet des développeurs indépendants. La Xbox n'est pas leur console de prédilection du fait des trop nombreuses difficultés qu'ils rencontrent. Microsoft n'a de ce côté rien fait pour les rassurer, contrairement à Sony.
Même si les quelques jeux dévoilés comme Forza Motorsport 5 ou Call of Duty Ghost ont impressionné, Microsoft n'a montré que des vidéos, et pas de jeux joués devant le public. Il faudra donc attendre l'E3 pour voir les exclusivités de Microsoft, mais également les jeux des compagnies tierces.

Repayer pour de l'occasion

Microsoft n'en a pas parlé pendant sa conférence, mais vient tout juste de le confirmer à CVG: les jeux seront liés à un compte, et il faudra payer un supplément pour jouer un jeu d'occasion ou prêté.
Si Microsoft maintient cette décision, c'est une belle manière de se saborder et d'assurer le succès de la PS4. Les jeux d'occasion étant dispendieux, surtout au Canada quand on compare avec la France par exemple, la différence avec un jeu neuf va être nulle s'il faut payer un 10$ supplémentaire.
Même chose pour le prêt de jeux interdit. Une bande d'amis aura plus intérêt à magasiner des PS4 pour s'échanger les jeux sans se ruiner, comme ça a été toujours le cas jusqu'à maintenant.

Encore des zones d'ombre

Microsoft a malheureusement laissé planer des zones d'ombre sur sa console. Depuis quelque temps, les rumeurs parlent d'une connexion permanente qui serait exigée pour jouer, ou de jeux qui ne seraient pas possibles de revendre en occasion.
En ne disant rien, contrairement à Sony qui a rassuré les joueurs sur l'absence de ces mesures, Microsoft entretient encore les craintes, malgré un courriel interne qui annonce exclure la connexion permanente.
Au final, Microsoft a dévoilé le design, peu de jeux, mais surtout le côté multimédia et ouvert vers les autres médiums. Microsoft semble surtout se tourner vers le grand public, même s'il a annoncé sans les nommer la sortie de 15 jeux exclusifs à la Xbox One lors de sa première année de commercialisation.
Le tarif n'a pas été donné également, mais les rumeurs parlent de deux versions, l'une subventionnée à condition d'adhérer deux ans au Xbox Live, et l'autre sans subvention. Il va falloir attendre l'E3 pour en savoir plus.
Par contre, avec les jeux d'occasion bloqués, cette décision va très mal passer auprès des joueurs qui n'en veulent pas en majorité. Elle pourrait même éclipser les autres annonces dans les prochains jours, et faire beaucoup de mal à la Xbox One et Microsoft.