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samedi 5 avril 2014

Physique quantique pour les nuls..



Tout est dans l'observateur : l'observateur en dedans de l'expérience,influence le résultat !
Quand tu regarde pas ,il y a des ondes de possibilité et quand tu regarde , il y a des particules d'expérience !

REF.:

vendredi 4 avril 2014

USB : Connecteur USB Type C Superspeed USB 3.1,avec un débit de 10 Gbit/s.

D’ici à fin 2014,............ une nouvelle prise USB devrait apparaître dans nos appareils. Elle sera compacte et réversible, et permettra un débit de 10 Gbit/s. Voici les premières images.Le prochain connecteur USB sera réversible


Ceux d’entre vous qui utilisent les récents terminaux mobiles d’Apple ont certainement l’un des aspects pratiques du connecteur propriétaire Lightning : sa réversibilité. Il n’y a ni de haut, ni de bas, ce qui facilite sa connexion avec le terminal. Cet avantage se retrouvera bientôt dans le monde plus standard de l’USB.
A l’occasion de la conférence Intel Developer Forum 2014 à Shenzhen (Chine), des responsables du consortium USB ont présenté le futur connecteur USB Type C qui, contrairement aux connecteurs de type A ou B, sera réversible. Il sera également plus compact. Une prise femelle USB Type C ne nécessitera qu’une ouverture de 8,3 x 2,5 mm. C’est beaucoup moins que l’USB Type A (celui qu’on trouve sur les PC), qui se branche dans une ouverture de 12,5 x 5,12 mm. C’est un peu plus que l’USB Micro-B (souvent utilisé pour les smartphones et communément appelé "microUSB") qui nécessite une cavité de 6,9 x 1,85 mm. Les spécifications de ce nouveau standard, déjà annoncées en décembre dernier, devraient être finalisées d’ici à juillet 2014. Les premières prises USB Type C devraient, du coup, apparaître dans les produits informatiques d’ici à la fin l’année.
Les responsables du consortium USB ont profité de la conférence Intel pour montrer une première représentation graphique du nouveau connecteur, tel qu’il devrait être :
agrandir la photo
Outre la réversibilité, l’USB Type C présente également d’autres avantages. Il supportera le débit du standard Superspeed USB 3.1, soit 10 Gbit/s. C’est deux fois plus que l’USB 3.0 et vingt fois plus rapide que l'USB 2.0, que l’on trouvent actuellement dans le commerce. Le nouveau connecteur permettra également de fournir une alimentation électrique de 3 ou 5 Ampères pour les appareils portables. Enfin, il fera « clic » quand il sera enfoncé, et il est suffisamment solide pour pouvoir le faire 10.000 fois de suite sans faiblir.
Connecteurs USB
Connecteurs USB
De gauche à droite : micro B mâle, UC-E6 propriétaire (pas USB), mini B mâle 5 pin, A femelle, A mâle et B mâle.
agrandir la photo
L’objectif de l’USB Type C est de s’accommoder mieux aux nouveaux designs matériels et d’améliorer l’usage de l’USB. Les ingénieurs du consortium USB espèrent qu’il permettra, avec son côté universel, de  rationaliser la gamme de connecteurs, ce qui serait assez souhaitable. Toutefois, il est peu probable que ce nouveau câble USB remplacera subitement ses ancêtres. Les consommateurs vont donc devoir jongler, au moins pendant un certain temps, avec un connecteur supplémentaire dans leur boîte à câbles.
En tout cas, cela va dans le sens du Parlement Européen qui veut imposer un chargeur (donc un connecteur) universel.
Lire aussi:
Le nouveau connecteur USB s’inspire du Lightning d’Apple, le 04/12/2013


REF.:

On n'arrêtera pas la multiplication des blogs

Jean-Pierre Elkabbach s'inquiète de l'avenir du métier de journaliste à l'ère du Web participatif (Le Monde du 4 janvier). Il a raison. Mais la solution ne saurait setrouver dans une appellation journalistique contrôlée (par qui ?). Le Web 2.0 n'est pas une déontologie, c'est un outil qui a déjà tout changé. Qu'on le veuille ou non, le temps où une petite élite journalistique décidait de ce qui se dit et ne se dit pas et de qui a le droit de le dire est déjà révolu.
Sur le Net, rien n'est jamais définitif. Tout est soumis à la critique en temps réel. Les citoyens ne veulent plus, par exemple, qu'on leur dise qui a ou non les qualités requises pour être candidat aux élections. L'une des raisons pour lesquelles laFrance compte un tel nombre de blogs - et probablement davantage qu'aux Etats-Unis si on le rapporte au nombre d'habitants - s'explique par la déception des citoyens vis-à-vis des médias "dominants".
Davantage que d'une "évolution" du journalisme, il s'agit plutôt d'un retour aux sources, avec des moyens artisanaux. Les blogs permettent, pour un coût quasi nul, de s'adresser à un large public devant lequel notre responsabilité personnelle est engagée. Sur Internet, comme chacun le sait, le "pire" côtoie le meilleur. Mais, après tout, ce n'est pas le privilège des blogs ! A terme, les réputations, bonnes ou mauvaises, redistribueront les cartes aussi sur Internet.
APPRENDRE À FAIRE LE TRI
En principe, nous autres journalistes ne publions rien qui n'ait été préalablement vérifié et recoupé. Mais il faut parfois aller chercher dans des journaux étrangers des informations sur notre propre vie politique ! C'est ce que le public reproche aux journalistes français en se tournant vers Internet, où il a l'impression qu'en tout cas, même s'il peut être abusé, on ne lui cache rien. A lui d'apprendre à faire le tri ou à qui s'adresser pour l'aider à le faire.
Prenons deux exemples "limites" du défi qui est lancé aux journalistes : les internautes sont particulièrement friands des théories conspirationnistes sur les événements du 11 septembre 2001. Ces thèses sont particulièrement perverses et difficiles à contester. Aucun journaliste sérieux ne peut les cautionner. Maisexciper de sa qualité et de sa déontologie journalistique ne suffit pas. A terme, il faut parier sur l'intelligence et ne pas donner l'impression de vouloir cacherquelque chose.
Deuxième exemple : les images de la pendaison de Saddam Hussein tournées sur un téléphone portable et diffusées sur Internet. L'accession du grand public aux nouvelles technologies a rendu caduc le débat déontologique sur les images que l'on peut montrer ou pas. Mieux : ces images, en montrant cette exécution sous son véritable jour, ont dit la vérité et découragé toute tentative d'écrire une version officielle. Mais ces images ne rendent pas superflue une enquêtejournalistique sur les circonstances de la pendaison, chose qui n'est pas à la portée de n'importe quel blogueur propriétaire d'un téléphone mobile.
Prenons, enfin, l'argument de la gratuité. Il a déjà été utilisé contre la presse gratuite. Elle était censée constituer une concurrence déloyale aux "vrais" journalistes. Or il est prouvé qu'elle a attiré un nouveau lectorat. Certes, tout ce qui est de bonne qualité a un coût. Mais c'est aux diffuseurs de rendre solvable la demande d'information. Après tout, il n'est pas nécessaire de payer avant depouvoir écouter la radio !
La publicité est un moyen détourné de faire payer l'élaboration de l'information par le consommateur. Comme les radios "libres" dans les années 1980, le Web 2.0 est en train d'obliger les journalistes à se remettre en question. Et tant mieux. Il est illusoire de prétendre arrêter ce mouvement, comme il est vain de vouloir stopper la mondialisation économique. Est-ce qu'on arrête le courant avec ses mains ? Il vaut mieux apprendre à nager !

REF.:  Sylvain Attal est journaliste à France 24 et blogueur.

Sentinel-1A, un satellite pour monitorer et surveiller l'Europe et la planète ,aussi





L’Agence spatiale européenne lancera ce soir le premier satellite du programme Copernicus. Il transmettra 24/24 des images d’observation radar de la Terre pour améliorer la gestion de l’environnement et surveiller les frontières.

Le  soir du 3 Avril,à 23h02, le satellite Sentinel-1A sera lancé à bord de la fusée Soyouz, au départ de Kourou, en Guyane. Une fois en orbite, il va devoir transmettre près de 8000 Go de données d’imagerie par jour pendant les sept années qui vont suivre. C'est la première pierre du programme Copernicus de la Commission Européenne.

POUR:  Protéger l’environnement mais pas seulement(la sécurité aussi de l'Europe)

L’objectif de Copernicus ? Concevoir un accès global aux données d’observation de la Terre par satellite. Jusqu’en 2020, quatre autres satellites Sentinel devraient suivre. Chacun sera équipé d’instruments spécifiques avec des fonctions propres.
La mise en œuvre de ce programme est gérée par l’Agence spatiale européenne. Mais c’estAirbus Defence & Space (ancien EADS) qui fournit les services satellitaires. Le groupe sera, en outre, l’un des principaux centres de traitement, d’archives et de diffusions des données récoltées.


REF.:

Cinq choses que vous ne saviez pas sur les ampoules LED




Les ampoules DEL sont et conçu pour durer de nombreuses années économes en énergie, mais voici quelques caractéristiques moins connues à considérer lors du saut au ampoules LED.
Si vous avez entendu parler des ampoules LED d'habitation , vous savez probablement que ils sont économes en énergie , durent longtemps et sont plus coûteux que les autres technologies de l' ampoule .

Je me sers de lumières LED dans ma maison depuis plusieurs mois maintenant , et dans l'ensemble de la transition a été bonne . Comme vous considérez vos options d'éclairage , ici un certain nombre de choses que vous pourriez ne pas connaître LED .

LED sont plus fraîches .
Lorsque vous avez des ventilateurs ou un climatiseur fonctionnant cet été , ayant ampoules à incandescence combustion chaud rend juste plus difficile à gérer la chaleur . LED courir beaucoup plus frais que les ampoules incandescentes et nettement plus frais que les CFL.


EnergyCircle détaillant en ligne réellement mesurées la différence et ont constaté qu'une ampoule halogène , un type d'ampoule à incandescence , a monté à 327 degrés ! Un Spot LED Cree a été mesurée à 107 degrés et un Philips Par38 CFL a monté à 167 degrés .

-Cela ne veut pas dire que la chaleur n'est pas du tout un problème. Les ampoules LED ne faire chaud mais la chaleur est dissipée par les puits de chaleur en métal qui évacuent la chaleur de la source de lumière elle-même. Les garder au frais avec dissipateurs de chaleur ou même un refroidissement liquide , comme commutateur d'éclairage est en train de faire , est important de veiller à ce qu'ils durent aussi longtemps que la publicité .

Vous obtenez une luminosité instantané .
Vous obtenez la pleine luminosité d'une ampoule LED lorsque vous l'allumez , ce qui est un avantage sur les LFC dans un couple des manières . Pour commencer, vous n'avez pas besoin d'attendre que toute la lumière si vous utilisez dans et hors d'une pièce. Mais le cyclisme fréquente dégrade également la durée de vie des lampes fluorescentes compactes , l'une des raisons que les LFC dans certains cas, ne durent pas aussi longtemps que prévu .

Je suis devenu plus conscient de cela et mets LED dans des endroits où les lumières sont allumés et éteints rapidement. LFC , quant à lui , sont dans des luminaires et des lampes lumineuses qui restent généralement sur ​​des périodes prolongées. Consumer Reports trouvés tournant LFC sur et en dehors en moins de 15 minutes dégradées leur vie .

LED n'attirent pas les insectes .
Pixi éclairage , ce qui rend LED , présente " pas de bugs ! " ( c'est-à-dire, insectes ) que l'une des raisons d'utiliser des LEDs . Mais si vous regardez les discussions en ligne , ce n'est pas si claire .

La raison invoquée que les bugs ne volent pas vers LED est parce insectes sont attirés par la lumière ultraviolette et au moins quelques LED ne dégagent pas de ce type de lumière . Mais ce n'est pas universellement vrai pour tous les types de LED , selon les personnes qui ont commenté en ligne . Lors d'une discussion , un employé de EnergyCircle dit que la plupart des ampoules LED d'habitation dégagent presque pas de lumière UV .

Dans un essai non scientifique dernière nuit chez moi , j'ai vu les mites et les moustiques voler juste devant mon ampoule LED extérieur ; ils ne sont pas attirés par la lumière . Consommateurs ampoule LED fabricant Pharox annonce ses ampoules comme n'ayant UV , donc c'est quelque chose vaut le détour quand vous magasinez .

LED viennent en formes amusantes .
Fabricants d'éclairage ont essayé de faire des ampoules LED comme aspect familier que possible , surtout en ayant un vis - à connecteur . Mais il ya des limites à imiter l'ampoule Edison style .

LED " cône de neige" , où la moitié supérieure est une forme d'ampoule, mieux ressembler à des ampoules à incandescence , mais la lumière est émise dans une seule direction . Ainsi, vous aurez plus de lumière du haut d'une lampe de bureau , par exemple , que le fond . LFC ou ampoules incandescentes émettent de la lumière dans toutes les directions .

Les ampoules les plus récentes à venir à l'adresse de marché ce problème de dispersion très bien la lumière . J'ai testé un groupe de sciences éclairage de 60 watts équivalent pour la dernière semaine ou deux et il ne donne en effet beaucoup plus large même lumière que les ampoules propres de type cône de neige de l'entreprise .


Le prix pour la dispersion plus même la lumière est ampoules bizarres . L'ampoule LSG a un disque squat pour une source de lumière et le reste de l'ampoule est un dissipateur de chaleur constitué d'ailettes métalliques qui constituent la majeure partie de l' ampoule.

Les ampoules LED de Philips ont une source de lumière couronne comme un semblable et dissipateur de chaleur en aluminium . Mais leur 75 watts ampoule équivalente a récemment publié un dissipateur de chaleur nettement plus que les 60 watts équivalent Philips LED , qui est quelque chose à considérer . Quand je l'ai essayé à la maison , l'équivalent de 75 watts , appelé le 17 - watt LED A21 , était trop long pour tenir dans un petit appareil de tête .

Vous aurez besoin d'apprendre un certain jargon d'éclairage .
Nous parlons encore de 60 watts et 75 watts ampoules équivalentes parce que c'est ce que nous sommes habitués à . Mais certains fabricants utilisent de nouvelles étiquettes qui donnent aux gens beaucoup plus d'informations que la luminosité , qui vaut la compréhension que l'éclairage devient plus diversifiée .


Lumens , bien sûr , de mesurer la quantité de lumière , avec un 60 watts équivalent dégageant au moins 800 lumens . Mais les voyants sont également vendus par la température de couleur , soit de la lumière jaune chaud ou lumière blanche froide. Et puis il ya la couleur indice de rendu , le plus élevé étant le meilleur pour la qualité de la lumière .

Chaudes lumières de couleur seront plus familiers , car ils sont plus près de la lueur jaune d'une LFC ou à incandescence . Mais j'ai trouvé que j'aime la lumière blanc plus froid des ampoules Groupe Sciences éclairage , évalué à un refroidisseur de 3000 Kelvin , ce que je trouve un peu plus propre . Quant à la qualité de la couleur, je ne peux pas mettre mon doigt sur ​​le pourquoi , mais j'ai été très heureux avec la lumière d'une ampoule Pixi qui a un indice de rendu des couleurs 96 - plus que les autres que j'ai.

Bonus : 40 watts équivalents ampoules sont sous-estimés .
Certaines des premières ampoules LED à usage général que j'ai testés ont été classés avec le rendement lumineux de 40 watts équivalent . J'ai trouvé que ce n'était pas assez pour éclairer une pièce entière , mais ils font l'affaire dans plus d'endroits que je pensais . Par exemple , j'ai une petite LED pour une lumière extérieure et un dans le sous-sol . Ce ne sont pas des endroits où je vais passer du temps en lisant un livre de sorte que ces énergies - sippers vont bien s'insérer .


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jeudi 3 avril 2014

Voir les cybermenaces mondiales cartographiées en temps réel


D'où vient votre pays rang quand il s'agit de taux d'infection malware ? Une carte cool prospectifs mais effrayant et interactive de Kaspersky Lab qui a des réponses pour nous.
IT fournisseur de sécurité Kasperksy Lab a publié une carte interactive en temps réel des menaces des logiciels malveillants en ligne , et ce n'est pas joli ( bien l'image numérique brillamment colorée est de style" Jeux de guerre "  , mais l'ampleur du problème n'est pas ) .

Vous tournez le globe en 3D à l'aide d'une souris et d'un zoom avant ou arrière avec une molette de défilement . Cliquez sur un pays , et vous verrez le nombre et le type de menaces il détectés depuis 00 heures GMT et la position que nation détient sur ​​" les plus infectés " la liste du monde. ( Les États-Unis ont montré jusqu'à au n ° 3 au moment d'écrire ces lignes , avec la Russie et l'Inde la tenue des premières et secondes fentes , respectivement ; . Les classements changent selon le moment de la journée , cependant )

Différents types de menaces suivis par le logiciel de l'appareil tournage Kaspersky Antivirus et Internet Security multi autour de la carte comme les lasers de couleur. Virus trouvés dans l'email apparaissent comme orange, par exemple, et le jaune représente les fichiers exécutables malveillants .



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Attention, les journalistes: Les pirates sont après vous


Les experts de Google de la sécurité, disent que plusieurs des plus grandes entreprises de presse du monde sont ciblés par les pirates qui sont parrainées probablement par l'état .
Les Organisations de la presse et les journalistes de presse sont l'objet d'attaques , selon deux chercheurs de Google.
S'exprimant vendredi lors de la conférence de hackers Black Hat à Singapour , Google ingénieurs de sécurité Shane Huntley et Morgan Marquis- Boire indiqué que 21 des 25 principaux organismes de presse dans le monde ont été ciblés par les pirates . Ces pirates , les chercheurs ont dit à Reuters , sont susceptibles parrainés par des gouvernements étrangers en quête d'informations .

Piratage parrainé par l'État a pris une vie propre au cours des dernières années . Plusieurs pays à travers le monde, y compris aux États-Unis , la Chine et la Russie , sont censés se livrer à de piratage pour obtenir des informations . Il n'est pas surprenant que certains hackers parrainés par l'État ont élargi leur champ d'application à des journalistes , en particulier compte tenu des informations de nombreux grands journalistes ont sur ​​les entreprises et les responsables gouvernementaux . Huntley et Marquis- Boire averti que , tandis que le secteur de la technologie vient à bout des exigences de sécurité en ligne , de nombreux journalistes et organes de presse sont juste en train de devenir conscients des menaces .




Selon les chercheurs de Google, plusieurs organisations de presse ont été piratés avec succès l'année dernière. Huntley détaillé un cas à Reuters où les pirates chinois ont eu accès à une prise de nouvelles par l'envoi d'un questionnaire faux par e-mail aux journalistes.

Le principal objectif des hacks sur les organisations de presse a jusqu'ici venir par courriel, Marquis-Boire a déclaré à Reuters, mais il croit que c'est juste "la pointe de l'iceberg», comme les pirates financés par l'État à trouver d'autres moyens de cibler les journalistes.

Pour sa part, Huntley et Marquis-Boire dit Google surveille les attaques commanditées par l'Etat et met en garde ceux qui pourraient avoir été victime d'une tentative de piratage immédiatement. Il n'est pas clair comment les autres services de messagerie de surveiller les attaques et de gérer les réponses.




Les actions de Google sont en hausse de 1,6 pour cent en début de séance vendredi à 1,131.57 $.



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Les 12 plus grandes débâcles de produits de Google de tous les temps

Google Answers
Google Answers était le marché de Google pour savoir. Les utilisateurs ont affiché une question et le montant qu'ils sont prêts à payer pour une réponse , puis les chercheurs devraient répondre à la question . La communauté était trop petite et le service pourrait jamais rivaliser avec le service des réponses de Yahoo.

Google Buzz
Google Buzz était une plate-forme sociale pour le partage de contenu qui a été incorporé dans Gmail . Buzz a rencontré de vives critiques et a soulevé de nombreuses questions de vie privée chez les utilisateurs . Il a été arrêté en Décembre 2011 .

Google Latitude
Google Latitude était une application de géolocalisation qui permet aux utilisateurs de trouver certains de leurs contacts Gmail par proximité . Il n'a surtout parce que c'était effrayant.

Nexus Q
Le Nexus Q était lecteur multimédia le défi de Google à l'Apple TV . Le problème est que le produit était de 300 $ et il n'a pas vraiment beaucoup . Au moins, il avait l'air cool.


Google Wave
Google Wave était un cas classique de " plus de promesse , de livrer sous . " Google l'a cité en termes élogieux au lancement, mais il n'a jamais vraiment vécu jusqu'à l'exagération . Le produit est source de confusion et il n'a pas vraiment une proposition de valeur claire .


Google TV
Google TV était une plate-forme de télévision intelligente lancée en 2010 . La mise en œuvre a été maladroit et les produits n'ont pas été bien reçue. Il paraît que Google TV pourrait être rebaptisé TV Android .


iGoogle
iGoogle permet aux utilisateurs de créer une page d'accueil personnalisable avec des widgets comme la météo et les flux de contenu. L' entreprise a d'abord annoncé qu'ils migrer les caractéristiques sociales en 2012 .«Avec notre nouveau l'accent sur Google+ , nous allons supprimer des fonctionnalités sociales de iGoogle , le 15 Janvier 2012. Elle-même iGoogle , et les applications de iGoogle non - sociaux , allons rester comme ils sont ", a déclaré Bradley Horowitz , alors vice-président du produit.
Comme il s'avère , les autres caractéristiques ne sont pas d'une grande utilité si Google conserve iGoogle en Novembre 2013 .


knol
Knol était le défi de Google Wikipedia . Le site a été en proie à de plagiat et les pauvres approvisionnement , qui a finalement mené à sa disparition . En outre, le concept de la monétisation de la connaissance était trop étrange .


Web Accelerator
Web Accelerator était un serveur proxy qui a accéléré les temps de navigation web en mettant en cache certains types de d'informations . Il y avait des problèmes de confidentialité et le produit a été buggy. Il a même gardé les utilisateurs de regarder des vidéos YouTube .


Lively
Lively, était en ligne univers 3D de Google , similaire à Second Life . Animé était trop complexe et n'a pas offert suffisamment de personnalisation pour les utilisateurs . Il était à peine âgé de six mois lorsque Google a tué.


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Une nouvelle approche de recrutement 2.0 : Humanob

Application mobile: Humanob, une nouvelle approche de recrutement 2.0

Application mobile - Humanob, une nouvelle approche de recrutement 2.0
L’application permet à ses membres de rechercher, découvrir et vivre tous les emplois du monde grâce à des vidéos.  
© APP Store

MacQuébec - Une nouvelle application gratuite pour iPhone, iPod touch et iPad vient tout juste de faire son apparition sur l’App Store. Il s’agit d'Humanob.
Humanob est une communauté web dédiée à l’emploi. L’application permet à ses membres de rechercher, découvrir et vivre tous les emplois du monde grâce à des vidéos.
Il s’agit d’une nouvelle approche de recrutement 2.0. En effet, Humanob réinvente les processus de recrutement et de présélection en mettant en relation trois joueurs clés (organisations, institutions et chercheurs d’emplois actifs et passifs).
En cliquant sur Emplois, par exemple, vous retrouverez les emplois disponibles. En sélectionnant un poste, vous pouvez voir une vidéo d’ambiance qui explique en quoi ça consiste.
Dans l’onglet Trouver, il est possible sur une carte de voir les emplois disponibles près de chez nous. Bref, Humanob, une application à découvrir et à télécharger.

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(Le SEO) ou L'Optimisation du référencement


SEO est l'acronyme de "Search Engine Optimizer" ou "Search Engine Optimization" (référenceur ou optimisation pour les moteurs de recherche). Faire appel à un SEO est une décision importante qui vous permettrait d'améliorer votre site et de gagner du temps, mais cela risquerait également de nuire à votre site ou votre réputation. Assurez-vous d'étudier les avantages que vous pouvez en retirer mais également les dégâts que pourrait provoquer un SEO irresponsable sur votre site. De nombreux SEO, agences et autres consultants proposent des services utiles aux propriétaires de sites Web, dont :
  • la vérification du contenu ou de la structure de votre site ;
  • des conseils techniques sur le développement de sites Web, concernant par exemple l'hébergement, la redirection, les pages d'erreur ou l'utilisation de JavaScript ;
  • le développement du contenu ;
  • la gestion des campagnes de développement commercial en ligne ;
  • la recherche de mots clés ;
  • la formation à l'optimisation pour les moteurs de recherche ;
  • une expertise sur des zones géographiques ou marchés précis.
Gardez à l'esprit que la page des résultats de recherche Google contient des résultats de recherche naturels gratuits ainsi que des publicités payantes (indiquées par l'intitulé "Liens commerciaux"). La diffusion d'annonces payantes via Google n'affecte pas le classement de votre site dans nos résultats de recherche. Google n'accepte aucune rémunération dans le but d'inclure ou d'améliorer le classement de sites dans les résultats de recherche. L'inclusion de sites dans nos résultats de recherche naturels est entièrement gratuite. Grâce à des ressources gratuites comme les Outils Google pour les webmasters, le blog du Centre Google pour les webmasters (blog officiel) et notre groupe de discussion, vous bénéficiez d'un grand nombre d'informations sur l'optimisation de votre site pour les recherches naturelles. Pour consulter la plupart de ces ressources gratuites, ainsi que des informations sur la publicité payante dans les moteurs de recherche, accédez au Centre Google pour les webmasters.
Avant de commencer à rechercher un SEO, nous vous recommandons de commencer par devenir un internaute avisé et de vous familiariser avec le fonctionnement des moteurs de recherche. Pour débuter, nous vous conseillons de consulter les pages suivantes :
Si vous envisagez de faire appel à un SEO, le plus tôt sera le mieux. Le remaniement de votre site ou le lancement d'un nouveau site constitue généralement le moment idéal pour recruter un SEO. Ainsi, vous et votre SEO pouvez garantir la conception d'un site adapté aux moteurs de recherche dès le début. Toutefois, un SEO efficace permet également d'améliorer un site existant.
Voici quelques questions utiles à poser à un SEO :
  • Pouvez-vous me montrer des exemples de vos réalisations précédentes et me décrire vos plus grandes réussites ?
  • Suivez-vous les conseils aux webmasters donnés par Google ?
  • Proposez-vous des services de marketing en ligne ou des conseils pour compléter votre activité de référencement naturel dans les moteurs de recherche ?
  • Quel type de résultats espérez-vous obtenir et sous quel délai ? Comment mesurez-vous la réussite d'un projet ?
  • Quelle est votre expérience dans mon secteur d'activité ?
  • Quelle est votre expérience dans mon pays/ma ville ?
  • Quelle est votre expérience en matière de développement de sites internationaux ?
  • Quelles sont vos principales techniques de SEO ?
  • Depuis combien de temps exercez-vous votre activité ?
  • Comment se déroulera la communication entre nous ? Me ferez-vous part de toutes les modifications que vous apporterez à mon site et me fournirez-vous des informations détaillées concernant vos recommandations et leur justification ?
Même si certains SEO peuvent offrir des services utiles à leurs clients, un certain nombre de SEO peu scrupuleux ont donné mauvaise réputation à cette spécialité en se livrant à des actions marketing agressives et en tentant de manipuler les résultats des moteurs de recherche de façon abusive. Les pratiques non conformes à notre règlement peuvent nous amener à déclasser votre site des pages de résultats, voire à supprimer votre site de l'index Google. Voici quelques éléments à prendre en compte :
  • Méfiez-vous des SEO et des consultants Web ou des agences qui vous contactent par e-mail sans que vous ne les ayez sollicités.Aussi incroyable que cela puisse paraître, Google reçoit régulièrement ce type d'e-mail :
    "Bonjour google.fr,
    Nous avons visité votre site Web et avons constaté que vous n'apparaissiez pas dans les principaux moteurs de recherche et annuaires..."
    Nous vous conseillons d'accorder aussi peu de crédit à ce type d'e-mail non sollicité provenant des moteurs de recherche qu'aux messages vous promettant de "perdre 20 kg en deux semaines" ou vous invitant à faciliter le transfert de fonds de quelque dictateur déchu.
  • Personne ne peut garantir la première position dans les résultats de recherche Google.Méfiez-vous des SEO qui garantissent un bon classement de votre site, qui annoncent "une relation privilégiée" avec Google ou qui prétendent disposer d'un système de demande d'indexation prioritaire auprès de Google. Google n'indexe aucun site en priorité. Pour proposer un site directement à Google, la seule solution consiste à remplir le formulaire Ajouter une URL ou à nous envoyer un sitemap. Vous pouvez effectuer ces opérations vous-même et elles sont entièrement gratuites.
  • Soyez prudent si l'un de ces SEO se retranche derrière des questions de confidentialité ou ne semble pas disposé à présenter clairement ses intentions.Si un point n'est pas clair, n'hésitez pas à demander des explications. Si un SEO crée un contenu trompeur ou ambigu en votre nom (page satellite ou domaine "temporaire", par exemple), votre site risque d'être retiré définitivement de l'index Google. Sachez enfin que vous êtes responsable des actions des sociétés auxquelles vous faites appel. Par conséquent, nous vous conseillons de vous assurer du type "d'aide" que celles-ci envisagent de vous proposer. Un SEO disposant d'un accès FTP à votre serveur doit être disposé à expliquer chacune des modifications qu'il apporte à votre site.
  • Nous vous conseillons de ne pas inclure de lien vers un SEO sur votre site.Évitez les SEO qui essaient de démontrer l'efficacité de leurs "liens gratuits", qui vous proposent des "systèmes d'échanges de liens utilisés par tout le monde" ou qui vous promettent de communiquer votre site à "plusieurs milliers de moteurs de recherche". Ce genre de proposition n'a généralement pas le moindre effet sur le classement de votre site dans les résultats de recherche des principaux moteurs de recherche, du moins aucun effet positif.
  • Faites preuve de bon sens et de discernement.Avant de décider de faire appel à un SEO, renseignez-vous sur cette activité et l'optimisation pour les moteurs de recherche en général. Google peut bien entendu vous aider dans vos recherches. Épluchez la presse. Vous pourrez par exemple trouver cet article citant un référenceur particulièrement entreprenant :http://seattletimes.nwsource.com/html/businesstechnology/2002002970_nwbizbriefs12.html. Google s'interdit tout commentaire sur des sociétés en particulier, mais nous connaissons des prestataires qui se prétendent SEO et qui se livrent à des pratiques inadmissibles. Soyez très prudent.
  • Demandez à être informé de l'utilisation exacte du budget demandé.Google ne vend pas les premières positions dans ses résultats de recherche, mais certains moteurs de recherche mélangent des résultats de recherche "au coût par clic" ou les inclusions payantes aux résultats de recherche standard. Certains SEO vous garantiront un classement plus favorable dans les moteurs de recherche, sans préciser qu'ils parlaient en fait de la section publicitaire du moteur de recherche et non des résultats de recherche. Un petit nombre d'entre eux vont jusqu'à modifier en temps réel le prix de leur offre pour vous faire croire qu'ils contrôlent les autres moteurs de recherche et qu'ils peuvent insérer votre site à la position de leur choix. Ce type d'escroquerie est impossible avec Google, car nos résultats publicitaires (payants) sont clairement identifiés et séparés des résultats de recherche (gratuits). Avant de confier le moindre budget à un référenceur, demandez-lui d'en définir la ventilation entre les "inclusions permanentes" et les "publicités temporaires".
  • À quels dangers s'exposent les propriétaires de sites Web intéressés par les services d'un SEO ?
  • L'une des escroqueries fréquemment employées consiste à créer des domaines parallèles ("shadow"), qui canalisent les utilisateurs vers un site à l'aide de redirections maquillées. Ces domaines parallèles appartiennent souvent au SEO, qui prétend travailler au nom d'un client. Toutefois, si les relations se dégradent entre le client et le SEO, ce dernier peut très bien faire pointer un domaine vers un site différent, voire vers le domaine d'un concurrent. Dans ce cas, le client aura payé pour le développement d'un site concurrent qui appartient intégralement au SEO.
    Une autre pratique illicite consiste à inclure des pages satellite ("doorway") remplies de mots clés sur le site du client. Le SEO prétend que cette pratique rendra la page plus pertinente et correspondra à un plus grand nombre de requêtes des internautes. Ce principe est faux, car une page donnée est rarement pertinente pour un grand nombre de mots clés. Mais ces pratiques peuvent même aller plus loin : très souvent, ces pages satellite contiennent des liens secrets qui pointent vers les sites d'autres clients du SEO. Elles détournent ainsi la popularité du site d'origine vers le SEO et ses autres clients, y compris parfois des sites au contenu douteux ou illégal.
  • Quels sont les autres points à surveiller ?
  • D'autres signes avant-coureurs permettent de détecter les SEO peu recommandables. La liste ci-dessous n'étant pas exhaustive, nous vous conseillons une fois encore de vous fier à votre instinct. Dans tous les cas, ne traitez pas avec les SEO qui :
    • utilisent des domaines parallèles ;
    • placent des liens vers leurs autres clients sur des pages satellite ;
    • proposent de vous vendre des mots clés à saisir dans la barre d'adresse ;
    • ne font pas la distinction entre les résultats de recherche réels et les annonces associées à ces résultats ;
    • garantissent le classement de votre site, mais uniquement à partir d'expressions clés très longues et très génériques, qui seraient de toute façon associées à votre site ;
    • utilisent plusieurs alias ou des informations WHOIS falsifiées ;
    • génèrent du trafic à l'aide de faux moteurs de recherche ou de logiciels espions ou de publicité intrusive (spyware ou scumware) ;
    • ne figurent pas eux-mêmes dans l'index Google ou dont les domaines ont été supprimés de l'index Google ;
    Si vous pensez avoir été trompé par un SEO, vous pouvez le signaler.
    Aux États-Unis, les réclamations concernant les pratiques commerciales mensongères peuvent être déposées auprès de la Federal Trade Commission (FTC). Pour déposer une réclamation, accédez au sitehttp://www.ftc.gov/ (en anglais) et cliquez sur "File a Complaint", appelez le 1-877-FTC-HELP, ou écrivez à l'adresse suivante :
    Federal Trade Commission
    CRC-240
    Washington, D.C. 20580, États-Unis
    Si votre réclamation concerne une société qui n'est pas établie aux États-Unis, enregistrez-la sur le sitehttp://www.econsumer.gov/.
Google a développé une nouvelle extension pour son navigateur internet Chrome, qui permet aux utilisateurs de bloquer les «fermes de contenus» et les sites qui proposent du contenu de mauvaise qualité.
L'utilisateur n'a qu'à indiquer l'adresse du site qu'il souhaite bloquer pour que Google prenne sa demande en compte, et exclue le site de ses résultats. Les utilisateurs s'en servent déjà pour exclure de leurs résultats de recherche des sites comme Yahoo! Answers, eHOW et Answers.com.
Ces sites, souvent qualifiés de «fermes de contenu» ("content farms"), utilisent l'optimisation pour les moteurs de recherche (SEO) pour que leurs pages apparaissent en tête des résultats de recherche d'un moteur comme Google. Leur contenu est souvent de faible qualité, puisque la quantité et la rapidité de production priment sur l'information.
Google avait déjà essayé de combattre ce «spam des résultats de recherche» en utilisant des algorithmes complexes, mais les «fermes de contenus» sont récemment parvenues à contourner ces mesures, ce qui a poussé la société à trouver de nouveaux moyens pour les combattre.
«Si vous installez l'extension, celle-ci envoie des infos sur le site bloqué à Google. Nous étudierons toutes ces données, en espérant qu'elles nous permettront de mieux classer nos résultats de recherche pour éviter le spam», a écrit l'ingénieur Matt Cutts sur le blog de Google le 14 février.
L'extension Google's Personal Blocklist peut être téléchargée ici.