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jeudi 17 mars 2016

Seagate : un SSD NVme à 10 Go/s le plus rapide actuellement




Seagate dit produire le SSD le plus rapide du moment, avec 

un débit annoncé de 10 Go/s. Un produit qui arrivera cet été, pour l'entreprise uniquement.


C'est par voie de communiqué de presse que le constructeur a donc annoncé la nouvelle. Seagate,
qui était ces derniers temps portés davantage sur les disques durs de très grandes capacités (voir notamment Disque dur à l'hélium : Seagate concurrence WD avec un 10 To) se rappelle donc au marché du SSD.

La stratégie ne change toutefois pas des précédentes annonces : le constructeur parle avant tout à l'entreprise, et c'est encore le cas avec ce SSD hors norme dont la firme n'évoque quasiment
aucune caractéristiques techniques.

Capacité, performances, composants... Tout cela est éludé au profit d'un très tape-à-l'œil chiffre
de 10 Go/s (en lecture, en écriture, les deux ?) et d'une information qui ne surprendra personne :
le SSD est doté d'une interface supportant le NVMe
(voir à ce sujet Samsung 950 Pro : le 1er SSD NVMe en M.2).

SSD NVMe Seagate
SSD NVMe Seagate

On apprend tout de même que Seagate travaille sur deux modèles différents, l'un profitant de 16 lignes PCI-E, l'autre de 8, ce dernier étant un peu moins performant (débit maximal de 6,7 Go/s).

Nous espérons toutefois en savoir plus rapidement, puisque le constructeur a prévu de dévoiler
son SSD lors de l'OCP Summit, qui se déroule à partir de ce soir à San Jose.

Modifié le 09/03/2016 à 20h14 

Un livre sur l'autisme sème la controverse



Paru l'automne dernier aux éditions Fides, le livre Être et ne plus être autiste refait surface dans l'actualité après le passage de son auteure à l'émission Salut bonjour ! la semaine dernière. Des parents d'enfants autistes s'indignent des propos de Nathalie Champoux, qui affirme avoir vaincu l'autisme de ses deux petits garçons « naturellement ».




Nathalie Champoux vient parler de son livre Être et ne plus être autiste, dans lequel elle raconte avoir renversé le diagnostic d'autisme de ses deux petits garçons en modifiant leur alimentation. En gros, elle a coupé les produits laitiers et le gluten. Résultat : quelques jours plus tard, elle observe déjà une différence dans le comportement de ses enfants, comportement qui s'améliore de jour en jour jusqu'à ce que des spécialistes constatent que le diagnostic du départ ne tient plus la route. Les deux enfants ne sont plus autistes.
La réaction d'autres parents d'enfants autistes à ces propos ne se fait pas attendre. L'émission matinale de TVA reçoit de nombreux messages et les parents s'expriment aussi dans les réseaux sociaux. Ils sont outrés par les affirmations de Mme Champoux. Jeudi dernier, la Fédération québécoise de l'autisme publie un communiqué. Intitulé « Guérir l'autisme », il rappelle que l'autisme n'est pas une maladie et donc qu'on ne peut pas en « guérir » (à noter que l'auteure ne dit pas « guérir », mais plutôt « vaincre » l'autisme).
Quelle est la responsabilité d'un éditeur lorsque des informations scientifiques ou médicales sont en jeu dans un livre ? Doit-il faire valider les informations contenues dans un ouvrage avant sa publication ? Peut-on affirmer que l'autisme est réversible ?
« L'autisme ne se guérit pas "naturellement" », affirme le Dr Jean-François Chicoine, qui voit des enfants autistes en consultation à l'hôpital Sainte-Justine et qui dit annuler très souvent des diagnostics.
« La responsabilité de l'éditeur dans ce cas-ci est éthique. C'est de l'immoralité douce », dit le Dr Chicoine.
« Nous avons fait le choix de publier ce livre parce que c'est un témoignage pertinent », soutient pour sa part Guylaine Girard, directrice éditoriale chez Fides, maison d'édition qui publie aussi les livres de Jacqueline Lagacé sur les régimes hypotoxiques pour vaincre les maladies inflammatoires.
« Madame Champoux n'est pas une spécialiste, poursuit Guylaine Girard. Elle a voulu partager ce qu'elle a vécu. C'est un témoignage. En Europe, on trouve de plus en plus d'études et d'écrits sur les liens entre l'intestin et la maladie mentale. La maison d'édition Thierry Souccar va d'ailleurs publier le livre en Europe. »
Selon Mme Girard, la réaction de certains parents s'explique du fait que nous serions moins avancés au Québec qu'en Europe sur certaines questions scientifiques. « Je peux comprendre que des gens soient heurtés, dit-elle, car ces propos vont à l'encontre de nos certitudes. Mais Mme Chapoux a vu trois ou quatre spécialistes qui étaient abasourdis par les résultats. Je crois que c'est un témoignage honnête, qui valait la peine d'être publié. »
« Je crois qu'il y a de l'éducation à faire et que certains lobbys, comme celui du blé et du lait, sont très forts », estime Guylaine Girard.
Au lendemain de l'entrevue de Mme Champoux, l'équipe de Salut bonjour ! a invité le Dr Laurent Mottron, psychiatre spécialiste de l'autisme, pour apporter un contrepoids aux propos de l'auteure. « On ne peut pas empêcher les gens de croire à ce qu'ils veulent croire, souligne l'expert joint au téléphone par La Presse quelques heures après sa participation à l'émission. La liberté de penser existe, et tout ce qu'on peut faire, c'est expliquer que ce n'est pas vrai. Peut-être que le diagnostic de ces enfants a été fait trop tôt, peut-être qu'ils avaient quelque chose d'autre(mal diagnostiqué/ avec la dyspraxie). Sans compter que les vrais autistes qui ne sont pas atteints d'une déficience intellectuelle se développent et évoluent spontanément. Bref, on ne peut pas émettre des propositions sur les autistes "en général", car tous les cas sont trop différents. »
À propos de la responsabilité de l'éditeur, le Dr Mottron est moins sévère. « Des bêtises, il s'en imprime beaucoup. On publie bien des témoignages de gens qui ont été kidnappés par les extraterrestres, alors... Ce qui me fâche le plus, c'est que l'organisme Autisme Montréal reprenne à son compte de tels propos. Voilà un organisme qui est financé en partie par l'argent public. Je trouve cela scandaleux qu'on fasse écho aux propos de ce livre. Cet organisme est censé aider les parents. »

Nota: La dyspraxie peut être mal diagnostiqué , et être confondu avec l'autisme.
 La dyspraxie ou le Trouble de l'Acquisition de la Coordination sont des diagnostics médicaux
 Ils signifient la présence chez l'enfant d'un trouble neurodéveloppemental qui affecte sa capacité à planifier, à organiser et à automatiser les gestes moteurs pour réaliser une action ou une activité.
On parle de dyspraxie motrice ou de dyspraxie développementale ou encore de Trouble de l'Acquisition de la Coordination (TAC),traduction du terme anglais Developemental Coordination Disorder (DCD).



Les troubles associés
L'enfant dyspraxique présente parfois d'autres troubles. Parmi les plus fréquents:
. le trouble déficitaire de l'attention (TDA/H)
. les troubles d'apprentissage, qui incluent les troubles spécifiques de l'apprentissage (dyscalculie, dyslexie, dysorthographie etc.)

Ou si la mère as consommé des boissons alcoolisées pendant la grossesse,même en faible quatité,,ce peut être la cause d'un trouble du spectre de l'alcoolisation foetale TSAF,dont des symptômes peuvent être a tort interprétés comme un autisme.

 Le diagnostic doit être supervisé par un médecin spécialiste(psychiatre,neuropédiatre)pour éliminer les pathologies qui peuvent se manifester d'une manière proche de celle d'un autisme.Et ça,c'est plus qu'un livre !


Source.:

Le monde du référencement: Les fondamentaux du SEO en 5 points










Source.:
Depuis maintenant deux ans, les modifications de l’algorithme de Google se sont accélérées. Le célèbre moteur de recherche qu’on ne présente plus se focalise sur l’expérience utilisateur. Ce qui signifie qu’il veut le bien de l’internaute et rien d’autre, c’est ainsi qu’il nous pousse à produire un marketing de qualité. C’est en quelque sorte une nouvelle façon de travailler, on ne doit pas penser Google mais internautes et améliorer la conversion de son site web…

Parmi ces algorithmes, il y en a un qui a fait du mal, c’est Colibri. Il a été créé par Google pour répondre au champ sémantique concernant la requête de l’internaute afin de mieux y répondre. Il n’a pas fait perdre des positions comme Panda, mais il a fait chuter le volume de trafic de certains sites, ce qui est beaucoup plus embêtant. Les positions sont un indicateur sur lequel se focalisent beaucoup de propriétaires de site web. Pourtant elles n’existent plus vraiment, pour cela il suffit d’aller jeter un petit coup d’œil dans Google Webmaster Tools et de s’apercevoir dans le rapport que Google nous parle de position moyenne.
En effet, tous les résultats sont dorénavant géolocalisés et ça le sera davantage avec l’arrivée de Google Pigeon. Rien ne sert de faire une fixation sur vos positions alors que c’est le taux de conversion qui est le plus important pour votre business.

Raisonnez internautes et non moteurs de recherche

Comme nous venons de le voir, il ne sert à rien de se focaliser sur vos positions, comme il ne sert à rien de se focaliser sur votre SEO. Vous devez penser internautes, le plus important est d’accompagner l’internaute jusqu’au produit qu’il recherche en utilisant le vocabulaire qu’il utilise. C’est lui votre client et en aucun cas Google ou les autres moteurs de recherche, si vous comprenez ça, vous améliorerez votre référencement naturellement.

Raisonnez expression clé longue traine et non mot clé

En moyenne la requête d’un internaute se compose de 4 mots, c’est ce qu’on appelle une expression clé ou longue traine.
Exemple tout simple :
  • Mot clé ou tête de traine : Pantalon bleu
  • Expression clé ou longue traine : Pantalon bleu taille 38
Il est donc plus facile de se positionner sur une expression dite de longue traine, car elle est moins concurrentielle. Bien entendu, elle apporte moins de trafic, mais elle se révèle plus efficace en termes de conversion, puisqu’elle correspond à une demande spécifique de l’internaute.
Un autre exemple, si on recherche Ralph lauren dans la barre de recherche, on obtient 79 200 000 résultats. Cela signifie que les internautes recherchent des informations sur le fondateur, sur la marque… Alors que si nous avons une requête comme « Chemise bleu homme Ralph Lauren taille M » le nombre descend à 22 000 résultats.
Il est donc plus facile de se positionner sur une longue traine que sur une courte traine qui ne vous ramènera pas de trafic qualifié.

Ne raisonnez pas en position, mais en moyenne

Comme nous venons de l’évoquer quelques lignes plus hautes, il ne sert à rien de se focaliser sur ses positions. Du fait des changements d’algorithmes quotidiens, il est de plus en plus difficile de se positionner sur le long terme. Ce qui rend les stratégies de référencement naturel plus compliquées. Les résultats de recherche dépendent maintenant de sa géolocalisation et des cookies présents sur votre ordinateur. Ce n’est que le début, car Google envisage dans un avenir proche de personnaliser les résultats de recherche, notamment grâce à son application Google Now. C’est en toute logique que dans Google Webmaster Tools, (outils pour webmaster) nous avons accès qu’aux positions moyennes.

Raisonnez conversion et pas en nombre de visites

À quoi sert d’avoir un grand nombre de visites si personne n’achète vos produits ? Le but d’un site web n’est pas d’avoir le plus grand nombre de visites, mais de convertir afin d’accroitre votre chiffre d’affaires, sauf si vous êtes un site d’informations. Avant de convertir, il faut attirer le client et ensuite le faire rester. Pour attirer l’internaute, il faut produire du contenu pertinent qui répond à ses attentes. Faites-le rester en lui racontant une histoire et en lui proposant les produits qu’il recherche. Donnez-lui le maximum d’assurance, l’internaute est peureux il est important de le chouchouter pour éviter de le perdre. Il n’y a rien de plus infidèle qu’un internaute et il sait que votre concurrent n’est qu’à un clic de sa souris.

Raisonnez sur le long terme

Une stratégie de référencement se travaille sur le long terme, il faut être patient. Travailler son positionnement dans la durée et chercher à progresser dans les résultats de recherche est l’enjeu d’une stratégie SEO. Cependant, ne perdez pas de vu que tous vos concurrents travaillent eux aussi leur référencement naturel de leur site web. Quand vous baissez dans les résultats de recherche ce n’est pas toujours de votre faute, c’est peut-être eux qui ont progressé et montés dans les serp et vice versa.
Le monde du référencement évolue très vite, au rythme infligé par les changements d’algorithme des moteurs de recherche. Dans un avenir proche, chaque internaute aura sa page de résultats personnalisés. Vous obtiendrez de moins en moins de positions précises, c’est pourquoi je vous recommande fortement d’opter et de développer une stratégie multicanal.
- See more at: http://www.webmarketing-com.com/2015/05/27/37874-fondamentaux-seo-5-points#sthash.IyMcpXJR.dpuf
Les fondamentaux du SEO en 5 points
Depuis maintenant deux ans, les modifications de l’algorithme de Google se sont accélérées. Le célèbre moteur de recherche qu’on ne présente plus se focalise sur l’expérience utilisateur. Ce qui signifie qu’il veut le bien de l’internaute et rien d’autre, c’est ainsi qu’il nous pousse à produire un marketing de qualité. C’est en quelque sorte une nouvelle façon de travailler, on ne doit pas penser Google mais internautes et améliorer la conversion de son site web…

Parmi ces algorithmes, il y en a un qui a fait du mal, c’est Colibri. Il a été créé par Google pour répondre au champ sémantique concernant la requête de l’internaute afin de mieux y répondre. Il n’a pas fait perdre des positions comme Panda, mais il a fait chuter le volume de trafic de certains sites, ce qui est beaucoup plus embêtant. Les positions sont un indicateur sur lequel se focalisent beaucoup de propriétaires de site web. Pourtant elles n’existent plus vraiment, pour cela il suffit d’aller jeter un petit coup d’œil dans Google Webmaster Tools et de s’apercevoir dans le rapport que Google nous parle de position moyenne.
En effet, tous les résultats sont dorénavant géolocalisés et ça le sera davantage avec l’arrivée de Google Pigeon. Rien ne sert de faire une fixation sur vos positions alors que c’est le taux de conversion qui est le plus important pour votre business.

Raisonnez internautes et non moteurs de recherche

Comme nous venons de le voir, il ne sert à rien de se focaliser sur vos positions, comme il ne sert à rien de se focaliser sur votre SEO. Vous devez penser internautes, le plus important est d’accompagner l’internaute jusqu’au produit qu’il recherche en utilisant le vocabulaire qu’il utilise. C’est lui votre client et en aucun cas Google ou les autres moteurs de recherche, si vous comprenez ça, vous améliorerez votre référencement naturellement.

Raisonnez expression clé longue traine et non mot clé

En moyenne la requête d’un internaute se compose de 4 mots, c’est ce qu’on appelle une expression clé ou longue traine.
Exemple tout simple :
  • Mot clé ou tête de traine : Pantalon bleu
  • Expression clé ou longue traine : Pantalon bleu taille 38
Il est donc plus facile de se positionner sur une expression dite de longue traine, car elle est moins concurrentielle. Bien entendu, elle apporte moins de trafic, mais elle se révèle plus efficace en termes de conversion, puisqu’elle correspond à une demande spécifique de l’internaute.
Un autre exemple, si on recherche Ralph lauren dans la barre de recherche, on obtient 79 200 000 résultats. Cela signifie que les internautes recherchent des informations sur le fondateur, sur la marque… Alors que si nous avons une requête comme « Chemise bleu homme Ralph Lauren taille M » le nombre descend à 22 000 résultats.
Il est donc plus facile de se positionner sur une longue traine que sur une courte traine qui ne vous ramènera pas de trafic qualifié.

Ne raisonnez pas en position, mais en moyenne

Comme nous venons de l’évoquer quelques lignes plus hautes, il ne sert à rien de se focaliser sur ses positions. Du fait des changements d’algorithmes quotidiens, il est de plus en plus difficile de se positionner sur le long terme. Ce qui rend les stratégies de référencement naturel plus compliquées. Les résultats de recherche dépendent maintenant de sa géolocalisation et des cookies présents sur votre ordinateur. Ce n’est que le début, car Google envisage dans un avenir proche de personnaliser les résultats de recherche, notamment grâce à son application Google Now. C’est en toute logique que dans Google Webmaster Tools, (outils pour webmaster) nous avons accès qu’aux positions moyennes.

Raisonnez conversion et pas en nombre de visites

À quoi sert d’avoir un grand nombre de visites si personne n’achète vos produits ? Le but d’un site web n’est pas d’avoir le plus grand nombre de visites, mais de convertir afin d’accroitre votre chiffre d’affaires, sauf si vous êtes un site d’informations. Avant de convertir, il faut attirer le client et ensuite le faire rester. Pour attirer l’internaute, il faut produire du contenu pertinent qui répond à ses attentes. Faites-le rester en lui racontant une histoire et en lui proposant les produits qu’il recherche. Donnez-lui le maximum d’assurance, l’internaute est peureux il est important de le chouchouter pour éviter de le perdre. Il n’y a rien de plus infidèle qu’un internaute et il sait que votre concurrent n’est qu’à un clic de sa souris.

Raisonnez sur le long terme

Une stratégie de référencement se travaille sur le long terme, il faut être patient. Travailler son positionnement dans la durée et chercher à progresser dans les résultats de recherche est l’enjeu d’une stratégie SEO. Cependant, ne perdez pas de vu que tous vos concurrents travaillent eux aussi leur référencement naturel de leur site web. Quand vous baissez dans les résultats de recherche ce n’est pas toujours de votre faute, c’est peut-être eux qui ont progressé et montés dans les serp et vice versa.
Le monde du référencement évolue très vite, au rythme infligé par les changements d’algorithme des moteurs de recherche. Dans un avenir proche, chaque internaute aura sa page de résultats personnalisés. Vous obtiendrez de moins en moins de positions précises, c’est pourquoi je vous recommande fortement d’opter et de développer une stratégie multicanal.
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Les fondamentaux du SEO en 5 points
Depuis maintenant deux ans, les modifications de l’algorithme de Google se sont accélérées. Le célèbre moteur de recherche qu’on ne présente plus se focalise sur l’expérience utilisateur. Ce qui signifie qu’il veut le bien de l’internaute et rien d’autre, c’est ainsi qu’il nous pousse à produire un marketing de qualité. C’est en quelque sorte une nouvelle façon de travailler, on ne doit pas penser Google mais internautes et améliorer la conversion de son site web…

Parmi ces algorithmes, il y en a un qui a fait du mal, c’est Colibri. Il a été créé par Google pour répondre au champ sémantique concernant la requête de l’internaute afin de mieux y répondre. Il n’a pas fait perdre des positions comme Panda, mais il a fait chuter le volume de trafic de certains sites, ce qui est beaucoup plus embêtant. Les positions sont un indicateur sur lequel se focalisent beaucoup de propriétaires de site web. Pourtant elles n’existent plus vraiment, pour cela il suffit d’aller jeter un petit coup d’œil dans Google Webmaster Tools et de s’apercevoir dans le rapport que Google nous parle de position moyenne.
En effet, tous les résultats sont dorénavant géolocalisés et ça le sera davantage avec l’arrivée de Google Pigeon. Rien ne sert de faire une fixation sur vos positions alors que c’est le taux de conversion qui est le plus important pour votre business.

Raisonnez internautes et non moteurs de recherche

Comme nous venons de le voir, il ne sert à rien de se focaliser sur vos positions, comme il ne sert à rien de se focaliser sur votre SEO. Vous devez penser internautes, le plus important est d’accompagner l’internaute jusqu’au produit qu’il recherche en utilisant le vocabulaire qu’il utilise. C’est lui votre client et en aucun cas Google ou les autres moteurs de recherche, si vous comprenez ça, vous améliorerez votre référencement naturellement.

Raisonnez expression clé longue traine et non mot clé

En moyenne la requête d’un internaute se compose de 4 mots, c’est ce qu’on appelle une expression clé ou longue traine.
Exemple tout simple :
  • Mot clé ou tête de traine : Pantalon bleu
  • Expression clé ou longue traine : Pantalon bleu taille 38
Il est donc plus facile de se positionner sur une expression dite de longue traine, car elle est moins concurrentielle. Bien entendu, elle apporte moins de trafic, mais elle se révèle plus efficace en termes de conversion, puisqu’elle correspond à une demande spécifique de l’internaute.
Un autre exemple, si on recherche Ralph lauren dans la barre de recherche, on obtient 79 200 000 résultats. Cela signifie que les internautes recherchent des informations sur le fondateur, sur la marque… Alors que si nous avons une requête comme « Chemise bleu homme Ralph Lauren taille M » le nombre descend à 22 000 résultats.
Il est donc plus facile de se positionner sur une longue traine que sur une courte traine qui ne vous ramènera pas de trafic qualifié.

Ne raisonnez pas en position, mais en moyenne

Comme nous venons de l’évoquer quelques lignes plus hautes, il ne sert à rien de se focaliser sur ses positions. Du fait des changements d’algorithmes quotidiens, il est de plus en plus difficile de se positionner sur le long terme. Ce qui rend les stratégies de référencement naturel plus compliquées. Les résultats de recherche dépendent maintenant de sa géolocalisation et des cookies présents sur votre ordinateur. Ce n’est que le début, car Google envisage dans un avenir proche de personnaliser les résultats de recherche, notamment grâce à son application Google Now. C’est en toute logique que dans Google Webmaster Tools, (outils pour webmaster) nous avons accès qu’aux positions moyennes.

Raisonnez conversion et pas en nombre de visites

À quoi sert d’avoir un grand nombre de visites si personne n’achète vos produits ? Le but d’un site web n’est pas d’avoir le plus grand nombre de visites, mais de convertir afin d’accroitre votre chiffre d’affaires, sauf si vous êtes un site d’informations. Avant de convertir, il faut attirer le client et ensuite le faire rester. Pour attirer l’internaute, il faut produire du contenu pertinent qui répond à ses attentes. Faites-le rester en lui racontant une histoire et en lui proposant les produits qu’il recherche. Donnez-lui le maximum d’assurance, l’internaute est peureux il est important de le chouchouter pour éviter de le perdre. Il n’y a rien de plus infidèle qu’un internaute et il sait que votre concurrent n’est qu’à un clic de sa souris.

Raisonnez sur le long terme

Une stratégie de référencement se travaille sur le long terme, il faut être patient. Travailler son positionnement dans la durée et chercher à progresser dans les résultats de recherche est l’enjeu d’une stratégie SEO. Cependant, ne perdez pas de vu que tous vos concurrents travaillent eux aussi leur référencement naturel de leur site web. Quand vous baissez dans les résultats de recherche ce n’est pas toujours de votre faute, c’est peut-être eux qui ont progressé et montés dans les serp et vice versa.
Le monde du référencement évolue très vite, au rythme infligé par les changements d’algorithme des moteurs de recherche. Dans un avenir proche, chaque internaute aura sa page de résultats personnalisés. Vous obtiendrez de moins en moins de positions précises, c’est pourquoi je vous recommande fortement d’opter et de développer une stratégie multicanal.
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Médias sociaux : quel est le meilleur type de contenu pour les médias sociaux ?

Edward Snowden: Le FBI avait déjà les moyens de pirater le iPhone,mais pas légalement !



Pirater un iPhone n’a jamais été aussi simple !


Alors que le bras de fer bat son plein entre Apple et le FBI - ce dernier souhaitant obliger la firme de Cupertino à lui laisser un accès à ses terminaux -, voici une preuve, en vidéo, démontrant à quel point il peut être simple de pirater un iPhone, et d'accéder aux données tant convoitées.
Si le FBI veut faire fléchir Apple, ce n’est pas pour permettre un accès qui n’existerait pas – il en existe forcément, Edward Snowden a d’ailleurs déclaré que l’agence avait déjà les moyens de le faire – mais pour avoir le droit de le faire, légalement parlant, s’entend.
Accéder à un iPhone n’a rien de très sorcier pour quiconque connaît les rouages de la machine. Adi Sharabani, PDG de Skycure, société spécialisée en sécurité des appareils mobiles, en a fait la démonstration sur le smartphone de Katie Roof, journaliste pour TechCrunch. C’est effrayant de simplicité !
Voici donc la vidéo en question : ICI 
Ici,le logiciel en question que vous downloader sera un programme de film gratuit, de la cie skycure.net  ,voici le lien (https://attack.skycure.net/)(Mais c'est un programme qui va hacker votre iPhone)
Skycure Assessment Tool” means
Skycure is engaged in development and provision of cybersecurity solutions for mobile devices and has proprietary rights in a certain software assessment tool (the “Assessment Tool“) that shows security gaps in mobile devices and demonstrates an unauthorized penetration to such devices using such security gaps (the “Purpose“). The Assessment Tool is accessible through a Skycure web-cloud offering, from which the aforesaid penetrations may be launched (the “Skycure Cloud“).
 Skycure révolutionne la façon dont les appareils mobiles sont protégés par l'introduction d'une solution qui répond menaces de sécurité mobiles émergents sans compromettre la vie privée, la convivialité ou la vie de la batterie. Skycure permet aux organisations d'embrasser le BYOD (apportez votre propre appareil) tendance, mais encore fournir une forte protection et de contrôle. 

Skycure a été fondée en 2012 par Adi Sharabani et Yair Amit, deux Unité 8200 anciens combattants (Agence de sécurité nationale des Etats-Unis équivalent), qui possèdent une expérience technologique et managériale vaste et éprouvée dans l'industrie de la sécurité. La société est financée par Pitango Venture Capital et Michael Weider, une figure connue dans le monde de la sécurité des applications, qui agit à titre de conseiller proactif au conseil d'administration de la société.

Évidemment il existe aussi sur le net des logiciels capable d'accéder a votre iPhone en outrepassant votre mot de passe !

Source.:

Office 365 infuse dans Office 2016

Technologie : Plus collaboratif, plus flexible, plus efficace, le nouvel Office 2016 offre une foule de nouveaux bénéfices aux entreprises. Les utilisateurs Office 365, eux, profitent d’ores et déjà de ces innovations.


Jusqu’à présent, Office 365 apparaissait à certains comme une extension SaaS (Software-as-a-Service) de la suite bureautique vedette de Microsoft. L’arrivée d’Office 2016 illustre pourtant le rôle majeur de la solution cloud dans l’évolution du produit.
Disponible sur tout terminal (PC et Mac, smartphones ou tablettes), Office 365 offre aux entreprises un monde ou l’utilisateur connecté travaille en ligne et poursuit son travail d’un terminal à l’autre sans rupture. En l’absence de connexion, les logiciels prennent la relève, car les documents sont enregistrés au fur et à mesure. Et tout se synchronise automatiquement dès reconnexion. Et grâce au modèle SaaS, Microsoft peut enrichir Office 365 en ajoutant de nouvelles fonctions qui apparaissent automatiquement, sans intervention de l’utilisateur. Pour les abonnés Office 365, les mises-à-jour se font naturellement, sans passer par les processus parfois complexes de migration. Les nouveautés aujourd’hui proposées avec Office 2016 sont donc déjà accessibles aux utilisateurs 365.

Une meilleure productivité qui vient du Web

Exemple avec Outlook 2016, qui reprend la technologie Clutter, un ensemble d’algorithmes capables d’apprendre les habitudes de l’utilisateur afin de déterminer les messages les plus susceptibles de l’intéresser et d’apporter une assistance au tri. Les messages régulièrement non lus provenant d’un même expéditeur seront ainsi déplacés dans le dossier Clutter.
Office 2016 s’enrichit également de Skype for Business et reprend le principe des groupes utilisateurs d’Office 365. Ces derniers sont partageables par toutes les applications afin de créer des équipes privées ou publiques pouvant partager des fichiers via le cloud, une boîte de réception, un calendrier, etc.
Le partage et le travail en équipe restant une préoccupation majeure dans les entreprises, Microsoft multiplie les possibilités de collaborer simplement. Déjà disponible sous Office 365, la coédition arrive sous Office 2016. Elle permet à un utilisateur de voir en temps réel les modifications apportées par un autre, avec lequel il partage le document. Et même d’interagir avec lui via Skype depuis le document. Une technologie permise grâce à OneDrive, l’espace de stockage d’Office 365.

Un temps d’avance avec Office 365

La génération 2016 offre donc aux entreprises une plateforme complète de productivité et de collaboration. Les utilisateurs Office 365 peuvent néanmoins profiter d’une expérience encore plus aboutie.
"En un seul clic, tout document Office 2016 peut être partagé en ligne avec un de ses contacts"
Avec l’application mobile Outlook Groups par exemple, il est possible de communiquer avec ses équipes lors de déplacements via un compte Office 365 : discussions, partage de photos ou de notes, collaboration sur des fichiers via OneNote, affichage et coédition de documents Word, Excel ou PowerPoint. En un seul clic, tout document Office 2016 peut être partagé en ligne avec un de ses contacts, ou envoyé par email avec possibilité de modification en mode partagé, via un enregistrement sur un espace OneDrive. Et ce sans obligation pour le destinataire de posséder Office 2016 !
Afin d’organiser professionnellement le travail en équipe, Office 365 intègre également son nouveau service de gestion de projet « Planner ». L’utilisateur peut planifier et suivre la réalisation de tâches réalisées par un groupe d’utilisateurs, partager des fichiers, discuter en temps réel ou différé, organiser des brainstormings interactifs, etc.
Enfin, Microsoft a fortement travaillé sur l’intégration de sa suite bureautique à Windows 10. L’authentification via Hello permet par exemple, via un simple regard, d’accéder aussi bien au PC qu’à Office 365.

Une vue sur le futur

Autre avantage pour les entreprises qui ont fait le choix de l’abonnement, l’éditeur tient à jour une roadmap complète et précise de toutes les mises-à-jours déployées, en cours de déploiement ou en cours de développement. Les administrateurs bénéficient ainsi d’une visibilité détaillée sur les nouvelles fonctionnalités dont pourront prochainement profiter les employés de la société, et dont certaines feront peut-être partie de la prochaine version d’Office.


Source.: