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mercredi 1 août 2018

Pédophilie: Les média sont corrompus par de la pub ?


Les journaliste ,mais surtout les médias nous incite a rester dans le mensonge,a cause que l'état du mensonge manipulatoire (Deep State)peuvent enlever toute leur publicité a la télévision,ce qui entretient un climat du mensonge et de la nouvelle qui est contrôlée par l'État !

L'histoire du Deep State et de Qanon nous en dit long a ce sujet,en ce qui concerne la pédophile a Hollywood et dans la Maison Blanche(L'État Profond) aux USA .

Plusieurs pédophiles d'hollywood et leurs dénonciateurs:

Brad Pitt dénonca comme plusieurs vedettes(Elijah Wood/frodon du film Le seigneur des anneaux) la pédophilie d'Hollywood !

 Gary Glitter,Don Vito,Woody Allen,Pee-wee Herman(Paul Reubens),Jared Fogle,James Franco du film Il était une fois James Dean ,Ian Watkins(qui abusa du bébé de sa blonde),Roman Polanski,.....on  a la même chose a la Maison Blanche ,la ou le Deep State perdure avec la pédophilie.
                                (Merci a StuDI0 pour les photos)

L'acteur hollywoodien Isaac Kappy a été enregistré sur Periscope accusant Steven Spielberg et Tom Hanks de crimes sexuels contre des enfants.Isaac Kappy, qui a joué dans les films à succès Terminator Salvation et Thor, a diffusé la confession vidéo en direct sur Periscope (la version Twitter de Facebook Live) dans laquelle il a nommé et humilié plusieurs stars et acteurs de l'industrie cinématographique.

Comment Harvey Weinstein, accusé par une cinquantaine de femmes de harcèlement ou agressions sexuelles, a-t-il pu perpétuer si longtemps ces actes présumés ? En forçant juridiquement les victimes au silence, comme l'ont également fait la vedette de Fox News Bill O'Reilly et Bill Cosby, entre autres.
Tout le monde savait et personne n’a rien dit. Une cinquième actrice, la Britannique Lysette Anthony, a accusé le producteur américain déchu Harvey Weinstein de l’avoir violée, des faits qui remonteraient aux années 1980, selon le Sunday Times. Avant elle, quatre femmes, parmi lesquelles les actrices Asia Argento, Lucie Evans et Rose McGowan, l’ont également accusé de viol.
Les témoignages de victimes de harcèlement et d’agressions sexuelles s’accumulent depuis les révélations du New York Times. Alors que tout Hollywood semblait au courant, on se demande pourquoi il a fallu tout ce temps pour révéler ce secret de polichinelle et faire tomber Harvey Weinstein ? Par le Me Too Mouvement.


Le scandale IceCreamGate(voyez la video),PizzaGate ou ElsaGate, essaient de sexualisé les enfants ,par des pub suggestives a double sens,et les medias sont prête a tout pour rester dans le mensonge a cause de la mafia d'Hollywood qui bloque l'information au publique en plus que les médias pour ne pas perdre leurs parts de publicité qui provient en majeure parti de l'état (60% a 70% au Canada) reste dans le mensonge pour protéger une industrie lucrative.

Pour les politiciens :
On harnaque un politicien en l' emmenant dans un party(le honeypot) avec des belles filles sexy et après la mafia d'Hollywood met du GHB(drogue du viol) dans son verre et ensuite se souvenant de rien la mafia fait du chantage en lui montrant des photos compromettantes prisent avec des enfants nues a ses coté.
C'est sûre que le politicien va coopérer avec la mafia d'Hollywood et participer au mensonge des viol et pédophilie du milieu du film d'Hollywood !

L' informateur de Muller(ancien directeur de la CIA) était un pédophile notoire ;-)



Un courriel entre Hillary et Huma Abedin(aide de camp d' Hillary Clinton),qui est la femme d'Anthony Weiner,du "comet pizza"(le restaurant ou se passait des orgies sexuelles au sous-sol), c'est de la pédophile. Parce que les mots codés : pizza,(ici dans le courriel)pizza,hotdog,....sont des termes de pédophile ! (NDLR. Ou bien Hillary Clinton est tomber dans un honeypot par le Deep State ?)
 Même chose en Angleterre ,avec Jimmy Savile(pédo et nécrophile),le westminster pedophile ring ou il y avaient des gens du MI5,MI6,le Prince Andrew,le vol du Lolita express(sex plane) avec 26 fois a son bord Bill Clinton(orgie dans l'avion)qui atterrissait a Pédo island,.....


*Message: d'Huma(la femme de weiner) a Hillary=ça rapport au Pizza Comet concernant la pédophilie.


Pour le site youtube "Info War"(dont plusieurs qualifie de conspirationniste et de Fake News),qui est sur le point d'être banni a vie de son abonnement a youtube,il a eut 2 avertissements,il lui en manque une pour être bannie.On a déja vu youtube bannir un compte youtube parce que la personne a eut une plainte d'un pays autre que le Canada concernant du contenu Canadien que la personne avait acheté sur dvd film concernant une video documentaire de Nixon et le watergate,c'est sûre que c'est la censure et la CIA qui filtre le contenu politique par son logiciel d'écoute PRISM , et fait son rapport a Google !!!

Les alternatives a Youtube (qui sont plus libre de vos expressions):

https://diretube.com/play/
https://steemit.com/
https://vk.com/ , pour votre cell .
Reddit
4Chan
8Chan

REF.:

vendredi 4 novembre 2016

La SIQ, « c'est une gang de pas bons » - Monique Jérôme-Forget





EXCLUSIF - En toute franchise, Monique Jérôme-Forget a admis en entrevue que la Société immobilière du Québec dont elle avait la responsabilité n'était pas sa priorité au gouvernement. Elle se fiait au pdg et aux membres du conseil d'administration pour lesquels elle n'avait toutefois pas une grande estime.
Un texte de Marie-Maude DenisTwitterCourriel et Gaétan PouliotTwitterCourriel d'Enquête « Sincèrement, ça ne m'intéressait pas. Peut-être que ça aurait dû m'intéresser. Moi, Monique Jérôme Forget, la SIQ ne m'intéressait pas », nous a avoué l'ex-ministre libérale rencontrée dans sa demeure de Montréal cet été.
Bien qu'au moment de l'entrevue elle n'ait pas été au courant des détails de l'enquête de l'Unité permanente anticorruption (UPAC) sur de graves allégations de fraude, elle nous a dit avoir collaboré avec les policiers pour les aider dans leurs recherches sur la Société immobilière.
Cette société d'État était sous sa responsabilité. Mme Jérôme-Forget a été présidente du Conseil du trésor de 2003 à 2008 et ministre des Finances de 2007 à 2009 dans le gouvernement de Jean Charest.
C'est durant cette période que des collecteurs de fonds du Parti libéral du Québec (PLQ) et l'ex-pdg de la SIQ se seraient partagé d'importantes sommes d'argent en marge de transactions immobilières effectuées par le gouvernement.
Allégations de fraude impliquant des collecteurs de fonds du PLQ Pour assurer la bonne gouvernance de l'institution, Monique Jérôme-Forget se fiait aux gestionnaires et au conseil d'administration.
Pense-t-elle que des organisateurs politiques libéraux auraient pu contribuer à la nomination des membres du C. A. et peut-être même du pdg de la SIQ lorsqu'elle en était responsable?
« Sincèrement, je ne pourrais pas vous dire », dit-elle, ajoutant que personne de compétent ne souhaitait être administrateur de la SIQ, un poste bénévole.
« Peut-être que je ne devrais pas dire ça, mais aller [au] conseil d'administration de la SIQ, ce n'est pas le plus prestigieux », explique-t-elle.
Elle-même ne voudrait jamais occuper cette fonction.
C'est pas assez prestigieux. Ça n'a pas d'envergure. Aller m'intéresser aux édifices du gouvernement. Voyons. Zéro intérêt.
Monique Jérôme-Forget
Fait troublant, tous les membres du conseil d'administration de la SIQ nommés avec l'arrivée du pdg Marc-André Fortier, en 2003, avaient un lien avec le PLQ (bénévoles, donateurs) ou avec les collecteurs de fonds Charles Rondeau ou Franco Fava.
« Quelqu'un qui connaît la construction, qui connaît la location, etc. Les gens qui sont bons ne voudront pas aller à Québec à la SIQ », ajoute M. Jérôme-Forget.
Résultat, les membres du C. A. de la SIQ étaient des incompétents, à son avis.
C'est une gang de pas bons là-dedans! C'est pas prestigieux.
Monique Jérôme-Forget
Des propos que rejette du revers de la main Claire Boulanger, qui était membre du conseil d'administration à l'époque.
« Nous avons eu le plaisir de la rencontrer peut-être trois minutes à son bureau. Elle n'avait vraiment aucune affinité pour la Société immobilière. Elle ne nous connaissait pas du tout. [...] Alors, je ne sais pas où elle prend ses propos que "c'est une gang de pas bons" », dit Mme Boulanger, ajoutant avoir siégé avec des gens de bonne foi, qui travaillaient fort et prenaient au sérieux leur mandat à la SIQ.
Selon Mme Boulanger, le conseil d'administration a été induit en erreur par Marc-André Fortier lorsqu'il était pdg.
Mise à pied de Marc-André Fortier
Si Monique Jérôme-Forget a embauché le pdg Marc-André Fortier en 2003, c'est aussi elle qui l'a renvoyé.
Marc-André Fortier
Photo : Radio-Canada/Jasmin Simard
En 2008, le vérificateur général informe Mme Jérôme-Forget d'irrégularités dans les comptes de dépenses du pdg de la SIQ. On y retrouve des invitations à des parties de golf et des « dépenses absolument incroyables », se rappelle Mme Jérôme-Forget. Elle le met à pied sur-le-champ.
M. Fortier sera d'ailleurs poursuivi par son ancien employeur pour des dépenses injustifiées. Le tribunal l'a condamné à rembourser 75 000 $.
Lors de son procès, il a déclaré qu'il avait été nommé à la tête de la SIQ après avoir exercé des pressions sur des personnes « pesantes » au PLQ.
« On m'a demandé de le rencontrer. Je n'ai pas été éblouie par M. Fortier, je dois vous avouer candidement », dit Monique Jérôme-Forget, se rappelant sa rencontre avec l'homme après la prise du pouvoir des libéraux en 2003.
Malgré tout, elle confirmera sa nomination qui lui est recommandée par le Secrétariat aux emplois supérieurs, qui relevait du premier ministre de l'époque, Jean Charest.


Radio-Canada a appris que Marc-André Fortier, pdg de la SIQ de 2003 à 2008, et les collecteurs de fonds libéraux William Bartlett, Franco Fava et Charles Rondeau se seraient partagé près de 2 millions de dollars dans le cadre de prolongation de baux.
Plusieurs documents obtenus lors de notre enquête démontrent que la SIQ opte la plupart du temps pour des baux de 10 ans et moins.
Pourtant, en 2004, la société d’État a signé un bail de 17 ans pour la location de presque tous les étages du plus important édifice de la place D’Youville, à Québec. 


Deux mois plus tard, le gestionnaire de l’immeuble aurait donné l’ordre de virer 1,25 million de dollars d’une banque du Liechtenstein à un compte en Suisse.
La majorité de cette somme aurait ensuite pris le chemin de quatre comptes aux Bahamas.
Le manège se serait répété en 2006 lorsque la SIQ a signé des baux de 20 et 25 ans pour deux autres immeubles à Québec.
Cette fois, le gestionnaire aurait versé 2,1 millions de dollars à un consultant en immobilier. L'argent aurait ensuite transité de Montréal vers une banque en Belgique et dans plusieurs autres comptes en Suisse.
Au bout de la chaîne, 902 000 $ auraient été déposés dans un compte de William Bartlett, qui en plus d’être un collecteur de fonds du PLQ est un ancien vice-président de la SIQ.
Il aurait transféré la moitié de cette somme dans une banque des Bahamas. De là, trois traites bancaires auraient été émises aux noms de Marc-André Fortier (170 000 $), de Charles Rondeau (100 000 $) et de Franco Fava (100 000 $).
Les gestionnaires d’immeubles nous ont dit ne pas savoir qui a bénéficié ultimement des sommes d’argent. 





Maxim Martin de la radio Énergie a dit de lui: Que le nouveau Parrain du Québec était Jean Charest ;-)


Source.:

samedi 23 mars 2013

Ottawa s'attaque à l'évasion fiscale





Budget fédéral - Ottawa s'attaque à l'évasion fiscale
Stephen Harper et Jim Flaherty  
Photo Andre Forget / Agence QMI


OTTAWA - Le gouvernement Harper va accroître ses efforts pour lutter contre les échappatoires fiscales, l'évasion fiscale et l'iniquité du régime fiscal canadien, qui lui font perdre des centaines de millions de dollars chaque année.
Ottawa va instaurer plus d'une vingtaine de mesures afin de récupérer près de 450 millions $, au cours de son exercice 2013-2014. C'est ce qu'a annoncé le ministre des Finances, Jim Flaherty, lors de la présentation de son huitième budget, jeudi dans la capitale fédérale.
Aussi sur Canoe.ca:
Flaherty fait pleuvoir les milliardsMoins cher pour habiller bébé
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Les conservateurs veulent s'assurer que l'ensemble des contribuables et des entreprises du pays paient leur juste part d'impôt. D'ici cinq ans, soit au cours de l'exercice 2017-2018, le trésor public devrait avoir haussé ses revenus d'environ 6,6 milliards $.
Pour y parvenir, le gouvernement va notamment éliminer des échappatoires fiscales, contrer la planification fiscale agressive, clarifier les règles fiscales agressives en plus de réduire le nombre de cas d'évasion fiscale internationale et d'évitement fiscal agressif.
Par exemple, les règles contre les échanges de pertes entre les entreprises vont être améliorées. On veut déjouer les stratagèmes utilisés par les entreprises pour s'y soustraire. Les pertes accumulées dans des fiducies ne pourront par ailleurs faire l'objet de transferts inappropriés entre personnes qui n'ont pas de liens de dépendance.
Au chapitre de l'évasion fiscale internationale, le gouvernement va mettre en place un programme pour récompenser les informateurs qui lui transmettront des renseignements sur des dossiers d'ampleur. Ces délateurs pourront toucher une part de l'impôt recouvré. De plus, Ottawa va demander aux banques et aux autres intermédiaires financiers de déclarer les transferts internationaux de 10 000 $ ou plus, réalisés par voie électronique.
Ottawa cible aussi les particuliers qui ne paient pas d'impôts sur le gain en capital lorsqu'ils disposent d'un bien. Certains concluent des opérations de disposition factice, c'est-à-dire qu'il dispose de leur bien tout en demeurant propriétaire de l'actif.
Par souci d'équité entre les contribuables, le gouvernement va modifier le taux d'imposition des propriétaires d'entreprises qui se paient en partie en dividende, en plus de se verser un salaire. Des professionnels, comme des médecins et des avocats, utilisent parfois ce type de stratégie.
Le budget 2013-2014 modifie le taux d'imposition des dividendes pour que le total des impôts payés sur le salaire du particulier et sur le dividende d'entreprise soit équivalent au montant acquitté par le contribuable qui touche un revenu comparable, uniquement en salaire.
De plus, Ottawa croit que l'Agence du revenu du Canada pourra empocher des recettes supplémentaires en renforçant ses programmes d'observation auprès des grandes entreprises, des PME et des contributeurs de TPS. L'objectif est encore une fois de mettre la main sur des revenus qui échappent au trésor public.
En incluant les mesures de l'actuel budget, les conservateurs ont instauré 75 mesures pour améliorer le régime fiscal depuis 2006.


REF.:

jeudi 9 juin 2011

La solution a l'endettement du Canada: La commission nationale des valeurs mobilières


Ottawa - Le crime organisé profite des multiples commissions des valeurs mobilières
 
© Shutterstock


OTTAWA – Les nombreuses commissions des valeurs mobilières au pays offrent plusieurs possibilités pour le crime organisé de s’infiltrer sur les marchés financiers, selon un nouveau rapport.
Le projet de rapport gouvernemental sur l’influence du crime organisé dans le secteur financier canadien, indique que les commissions mobilières provinciales font en sorte qu’il est difficile de cerner l’ampleur de la criminalité financière dans l’ensemble du pays.
« Celui qui veut comprendre la portée et la gravité des infractions en valeurs mobilières au Canada semble se heurter aux bases de données des commissions et des organismes d'autoréglementation qui se chevauchent », selon l’un des trois rapports commandés par Sécurité publique Canada, destinées à faire la lumière sur la façon dont le crime organisé opère au Canada.
Le rapport final, qui devrait être déposé vers la fin de l'automne, mettra l'accent sur la Bourse de Toronto et sur le marché des produits dérivés de Montréal.
Cela ne constitue pas une surprise pour J. Richard Finlay, qui dirige le Centre for Corporate and Public Governance aux États-Unis.
Il avertit qu'en raison de notre « faible système balkanisé de réglementation des valeurs mobilières et de l'absence de tout intérêt du fédéral sur la question, le Canada devient une cible de choix pour les joueurs mal intentionnés. »
M. Finlay recommande que le Canada se dote d’une commission nationale des valeurs mobilières; une idée que le gouvernement conservateur tente en vain de faire accepter par toutes les provinces.
La Cour suprême du Canada doit se prononcer au cours des prochains mois sur la constitutionnalité d’une commission nationale des valeurs mobilières. L’Alberta, le Manitoba et le Québec s'opposent à ce projet.