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lundi 13 janvier 2020

OS : Android : Facebook va créer son système d’exploitation pour se passer de Google


Android : Facebook va créer son système d’exploitation pour se passer de Google





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Facebook travaille au développement d’un système d’exploitation qui lui permettrait de se passer d’Android pour ses différents appareils. Pour cela, la firme a embauché Mark Lucovsky, coauteur de Windows NT.
Si Facebook a commencé comme un réseau social, l’entreprise est devenue un empire qui fait son chemin dans de nombreux domaines. L’un d’entre eux concerne le matériel avec sa gamme d’écrans connectés Portal et la réalité virtuelle avec les casques Oculus.

Facebook ne veut plus dépendre de Google et Android

Facebook se considère comme trop dépendant des systèmes d’exploitation disponibles, particulièrement quand ils sont issus d’entreprises concurrentes. « Nous voulons vraiment être sûrs que la prochaine génération a de la place pour nous » explique ainsi Andrew Bosworth, le vice-président de la branche matériel de Facebook. Il ajoute « Nous ne pensons pas que nous puissions croire le marché ou nos concurrents pour nous en assurer. Alors nous devons le faire nous-même ».
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Cette petite phrase est clairement orientée contre Google, dont les mises à jour d’Android pourraient mettre à mal l’écosystème du matériel Facebook, particulièrement les écrans connectés Portal. En ce moment, le réseau social étudie différentes options pour son prochain grand projet, la réalité augmentée, y compris la création d’un système d’exploitation dédié. Cela permettrait à Facebook d’avoir le contrôle complet de l’environnement et même de le diffuser au sein de ses autres entreprises comme Instagram.

Facebook croit fort en l’AR et la VR

Par le passé, Facebook a été très critiqué, particulièrement par Tim Cook, le PDG d’Apple, pour son manque de respect pour la vie privée de ses utilisateurs et la trop grande collecte de données, comme celles concernant leur vie sexuelle. Là encore, Facebook aurait un intérêt à avoir son propre OS. Cela lui permettrait d’orienter, on l’espère, vers une protection plus importante des données personnelles, comme l’a annoncé Mark Zuckerberg avec son « futur privé ».
Facebook croit que son avenir est dans la réalité virtuelle et la réalité augmentée, on l’a encore vu récemment avec son projet de lunettes connectées. L’entreprise va d’ailleurs ouvrir un centre dédié à Burlingame, près de San Francisco. 4000 employés viendront s’y installer dès le second semestre 2020. Il permettra aux employés d’avoir accès à des laboratoires de développement et de test, et au public de découvrir les produits de la marque, comme le casque Oculus Quest dont le suivi de la main vient d’arriver.
Source. : Techcrunch

dimanche 27 mai 2018

Elementary OS : remplacer Windows et MacOS



Depuis quelques mois déjà, je rêve d’acheter un Mac. Ne me demandez pas ce qui m’attire, je ne saurai vous le dire. Peut-être le système d’exploitation MacOS ? Ou les logiciels qui ne sont disponible sur cette plateforme comme Final Cut Pro ou encore Logic Pro X ? Quoi qu’il en soit mon PC portable HP est passé par la case refonte. Et j’ai fait le choix d’installer Elementary OS, une distribution Linux dont l’objectif est la simplicité.

Elementary OS, une distribution Linux simpliste

Par le passé j’ai pu expérimenter plusieurs distributions Linux comme Ubuntu, Debian, Fedora ou encore Gentoo – cette dernière étant vraiment élitiste. Alors que mon petit PC n’est pas du tout taillé pour le Gaming, le montage vidéo ou encore les retouches photos, il me suffit amplement pour la rédaction d’articles. J’ai donc fait le choix d’installer Elementary OS sur mon PC portable afin de continuer à rédiger pleinement sur mon PC bien trop vétuste pour quoi que se soit d’autre. Pour le coup, heureusement que mon Shadow est là pour que je puisse effectuer toutes ces tâches.

Se lancer avec Elementary OS

Il est toujours difficile de passer le pas et de se lancer sur un système alternatif à Windows. La première fois est toujours un peu difficile, car on pense qu’il faut pour cela se mettre à apprendre à programmer, etc. Or selon les distributions, on peut très bien se débrouiller sans même à avoir ouvrir le terminal une fois dans sa vie. La preuve avec Elementary OS, qui offre selon moi une transition simple à MacOS et à Windows.

Installation d’Elementary OS

Tout d’abord il faut récupérer une image ISO du système d’exploitation, pour cela je me rend sur le site officiel. Au bout de quelques minutes je me retrouve avec une image écrite sur l’une de mes clés USB et prête à être installée.
On boot sur la clé et une fois démarré, on a le choix d’essayer le système ou de l’installer directement. J’ai fait le choix de l’installer et d’essayer après. Au bout d’une trentaine de minutes, j’avais à ma disposition un PC GNU/Linux complet et prêt à fonctionner. Passons donc à la découverte de ce nouveau système d’exploitation.

Découverte d’Elementary OS


Au premier lancement, on se retrouve sur sa session (selon qu’on ait configuré l’ouverture automatique ou non) et on peut directement commencer à travailler. Pas de logiciel en particulier à désinstaller, rien à modifier.

On retrouve en bas le dock contenant les applications qu’il nous faut et rien de plus. Un navigateur, une messagerie, de quoi prendre des notes et « Files« , l’équivalent du Finder de MacOS ou de l’Explorer de Windows.

Les applis par défaut

De base différentes applications sont installées pour, de base être productif. On retrouve un navigateur nommé Epiphany, qui est un navigateur développé par les créateurs de GNOME. À coté il y a un client mail, que j’ai préféré remplacer par le célèbre Thunderbird.
Sur Linux pas besoin d’aller chercher sur internet pour se procurer des applications. Un petit tour dans le Centre d’Applications d’Elementary OS suffit. Globalement toutes les applications du système y sont présentes, mais il arrive quelques fois (comme pour Discord) de devoir se rendre sur le site de l’éditeur. Petit plus de la distribution, celle-ci installe automatiquement les mises à jour hardware comme les pilotes NVIDIA ou Intel dans mon cas. Bonne nouvelle, pour moi le support du multi-écran est natif. J’ai simplement à brancher mon câble HDMI pour que le bureau s’étende donc.

Conclusion

Ma transition vers Linux s’est passée sans peine pour moi. Malgré un dépaysement certains, je n’ai rien à redire de ce système d’exploitation. Si vous aussi, vous possedez un PC que vous n’utilisez plus parcequ’il est trop lent, je vous invite à essayer Elementary OS. J’estime qu’il est parfait pour débuter, d’autant plus qu’il est basé sur Debian.

REF.:

dimanche 8 mars 2015

5 distributions Linux pour vous protéger de tous les dangers


Si Edward Snowden vous a convaincu qu’il fallait lutter pour notre cyberespace de vie privée, vous pouvez participer à votre manière, en reprenant le contrôle de votre système. Adoptez un Linux ou un BSD, en alerte maximale.



Tails, le navigateur anonyme

Tails est un système d’exploitation basé sur Debian, et pas n'importe lequel s'il vous plait : il a notamment été utilisé par Edward Snowden pour échapper à la surveillance de la NSA. C'est une distribution live, ce qui veut dire que Tails n’est pas installé sur l’ordinateur, mais démarré depuis un DVD ou une clé USB. Avantage : on ne laisse aucune trace de son utilisation, y compris en RAM. Tails inclut une série d’outils d'anonymisation et de chiffrement. La connexion internet passe par les réseaux anonymes Tor ou I2P. Le navigateur web est Tor Browser, une version modifiée de Firefox. Le chiffrement du disque dur s’appuie du LUKS et les communications peuvent être sécurisées par les standards OpenPGP et OTR. La distribution est en cours de développement, les techniques employées devraient se retrouver dans d'autres systèmes Linux.
Tails, ici déguisé en Windows, inclut des outils pour chiffrer les courriers et nettoyer les métadonnées.
Tails, ici déguisé en Windows, inclut des outils pour chiffrer les courriers et nettoyer les métadonnées.
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Télécharger Tails Linux
 

PFSense, l'écran total

Si vous n'avez plus confiance dans votre opérateur ni dans la box qu'il fournit, vous devriez vous intéresser à PFSense. Le modem-routeur des opérateurs voit en effet passer l'intégralité de votre trafic domestique, outre celui à destination d'internet. PFSense s'installe en général sur une machine dédiée et relié au modem ASDL/câble configuré en pont (bridge). C'est un routeur pare-feu très évolué, avec une interface web plutôt réussie. Des notions de réseau TCP/IP sont utiles pour personnaliser la configuration. On peut étendre les fonctions avec des modules : Anti-virus en ligne, contrôle parental, etc.
Après l\'installation sur un PC avec deux cartes réseau, PFSense est directement utilisable.
Après l'installation sur un PC avec deux cartes réseau, PFSense est directement utilisable.
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Site: pfsense.org
 

PC-BSD : la sécurité par la rareté

Les pirates préfèrent s'attaquer aux systèmes les plus répandus, c'est simplement plus rentable ! PC-BSD est assez éloigné du mainstream, ce qui devrait lui éviter les menaces courantes. Il n'est même pas basé sur Linux mais sur FreeBSD, un système qui a fait ses preuves sur les serveurs depuis plus de vingt ans. La sécurité est dans la culture maison. Les mises à jour critiques sont livrées dans un court délai. Le pare-feu est actif par défaut. L'installation et la prise en main sont aisées. Les bureaux et de nombreuses applications sont communs avec Linux.
PC-BSD inclut c-shell et non bash. Ça lui a évité la vulnérabilité à Shellshock.
PC-BSD inclut c-shell et non bash. Ça lui a évité la vulnérabilité à Shellshock.
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Site: pcbsd.org
 

Qubes : le Linux compartimenté

Dans les systèmes actuels, qui sont à la fois complexes et low-cost, les failles dormantes sont légion. Les criminels l'ont bien compris et recherchent ces zero-day comme des pépites. Les concepteurs de Qubes parient que leur système sera tôt ou tard hacké. Alors, ils ont divisé le système en compartiments virtuels étanches : un pour chaque contexte d'utilisation - travail, surf, etc. – et l'espace de stockage correspondant. Le réseau est également isolé dans sa bulle. Un pirate qui prendrait le contrôle d'une partie de Qubes y resterait confiné.
La machine virtuelle du navigateur, dans la fenêtre colorée en rouge, est jetable -  remise à zéro à chacun de ses démarrages.
La machine virtuelle du navigateur, dans la fenêtre colorée en rouge, est jetable - remise à zéro à chacun de ses démarrages.
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Site: Sourceforge
 

Et pourquoi pas un OS sur mesure ?

Réaliser son propre système sécurisé, à partir d'une distribution que l'on aime, est un défi intéressant. Nous sommes partis d’Elementary OS, qui bénéficie des logiciels d’Ubuntu. Pour réduire encore la surface d'attaque de ce système minimal, on a enlevé les programmes inutilisés, aidé en cela par Deborphan. Exit le partage de fichiers avec Windows ! Deux réglages s'imposent : l'installation automatique des patches de sécurité et le pare-feu, avec Firestarter. On ajoute aussi Privoxy, pour filtrer le trafic web. Le résultat est un Linux raisonnablement sûr et toujours agréable à utiliser.
Il faut toujours régler le gestionnaire de mises à jour pour installer les patches de sécurité.
Il faut toujours régler le gestionnaire de mises à jour pour installer les patches de sécurité.
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Site: Elementary.io
 
 
Source.:

jeudi 12 avril 2012

Le 8 avril 2014, Windows XP sera officiellement obsolète.

Compte à rebours - Microsoft prépare la fin de Windows XP
Le 8 avril 2014, Windows XP sera officiellement obsolète. 
© Courtoisie
Compte à rebours

Microsoft prépare la fin de Windows XP

SAN FRANCISCO - Le groupe informatique Microsoft a lancé le compte à rebours de l'extinction de son système d'exploitation Windows XP, encourageant ses utilisateurs à migrer vers des systèmes plus récents.
«Nous voulons annoncer que nous lançons un compte à rebours de deux ans avant la fin de nos services liés à Windows XP et Office 2003», a indiqué une directrice marketing de Microsoft, Stella Chernyak, sur le blogue du groupe.
Le 8 avril 2014, Windows XP sera officiellement obsolète.
Windows XP était sorti en 2001. Il n'était plus commercialisé depuis l'été 2008.
Deux autres systèmes sont sortis depuis lors, Vista fin 2006, qui avait été très critiqué, puis Windows 7 en 2009, énorme succès commercial.
Microsoft travaille actuellement à Windows 8, adapté à la fois aux appareils portables et aux ordinateurs de bureau, qui a déjà été présenté en version expérimentale et dont la sortie commerciale est attendue dans les mois qui viennent.
«Windows XP et Office 2003 étaient de formidables logiciels pour leur époque, mais le climat de la technologie a évolué», a souligné Mme Chernyak.


REF.:

mardi 20 septembre 2011

L'Espagne ouvre une procédure de sanction contre Microsoft


Concurrence - L'Espagne ouvre une procédure de sanction contre Microsoft
 
microsoft.com/es

L'autorité espagnole de la concurrence (CNC) a annoncé mardi avoir ouvert une «procédure de sanction» contre le géant américain de l'informatique Microsoft, pour de «possibles pratiques restreignant la concurrence» dans la vente de ses logiciels.
La procédure vise à la fois Microsoft Ibérica, la filiale espagnole du groupe, mais aussi son siège européen, en Irlande, selon un communiqué de la CNC.
La firme américaine est accusée d'«empêcher ou limiter de manière injustifiée la revente (par d'autres entreprises, ndlr) de logiciels de cette marque, surtout dans le domaine des systèmes d'exploitation pour ordinateurs personnels, dans lesquels elle aurait une position dominante», indique la CNC.
L'autorité a agi après le dépôt d'une plainte par une entreprise locale, Elegant Business, sur une «possible infraction aux normes de la concurrence», et après la découverte par la CNC de premiers «indices rationnels» allant dans ce sens. Elle a désormais 18 mois maximum pour mener son instruction.
Microsoft a souvent été l'objet de plaintes pour soupçon d'abus de position dominante: il avait ainsi été sanctionné à partir de 2002 aux États-Unis, à l'issue d'un vaste procès, étant obligé par exemple de fournir à des tiers certaines informations sur l'interopérabilité de ses systèmes.
En mai, le ministère américain de la Justice a mis fin à ces sanctions, neuf ans après leur mise en oeuvre, estimant qu'elles s'étaient révélées efficaces.
Bruxelles a quant à elle imposé un dispositif à Microsoft pour assurer une visibilité à ses concurrents face à son navigateur vedette, Internet Explorer.


REF.:

vendredi 26 novembre 2010

Si Chrome OS sort,fini les gros systèmes d'exploitation Lourd et LENT !

Le système d'exploitation pour ordinateurs tant attendu de Google, Chrome OS, pourrait être dévoilé d'ici la fin de l'année, rapporte le site Engadget. Et si les développeurs pourraient bientôt avoir un aperçu du système d'exploitation de Google, les consommateurs devront attendre 2011.

La semaine dernière, le PDG de Google, Eric Schmidt, a affirmé en entrevue que Chrome OS serait disponible en 2011 et non pas d'ici la fin de l'année, comme c'était initialement prévu.

Selon le blogue américain, les grands manufacturiers que sont Acer et HP ne sortiront pas d'ordinateur portable équipé de Chrome OS avant l'an prochain.

Google aurait toutefois l'intention de dévoiler d'ici la fin de l'année un ordinateur portable frappé de son logo, comme il l'a fait dans le domaine de la téléphonie cellulaire avec son Nexus One.

Selon Engadget, cet ordinateur serait au départ destiné à la communauté des adopteurs précoces et des développeurs, puisque Chrome OS y serait encore en version bêta.

Un article publié aujourd'hui dans le New York Times vient confirmer cette version en affirmant que Google dévoilera d'ici la fin de l'année un ordinateur ultra portable qui fonctionnera avec Chrome. «Bien que Google ait refusé de donner des détails sur l'appareil, on s'attend à ce qu'il soit fabriqué par une autre compagnie et identifié au nom de Google, comme Google l'a fait avec son téléphone Nexus, qui fonctionne avec Android», lit-on dans le quotidien américain.

Avec Chrome OS, Google promet un système d'exploitation que l'on pourra charger en quelques secondes et qui permettra aux utilisateurs de stocker toutes leurs données dans le «nuage».


REF.:

vendredi 9 avril 2010

Le future OS 4,0 du iPhone



iPhone OS 4.0 :

On peut dire que l'ajout le plus intéressant de l'iPhone OS 4.0 est le support pour le multitâche. Il vient dans une variété de saveurs - via notifications push, musique de fond, VoIP, et plus encore.

Avec iPhone OS 4.0, vous aurez enfin la possibilité de jouer la musique en continu des services de radio sur Internet comme Pandora alors que vous êtes dans d'autres domaines du téléphone. Auparavant, la seule application qui a été autorisé à jouer de la musique pendant que vous étiez en commutation entre les applications propres au lecteur du iPhone.

En outre, vous serez en mesure de contrôler votre musique Pandora partir de l'écran de verrouillage, que vous ne pouviez pas faire auparavant.

Avec iPhone OS 4, vous pouvez désormais recevoir des appels sur Skype dans d'autres régions téléphonique. Nous ne savons pas encore, toutefois, si vous êtes en mesure de le faire via le Wi-Fi seul ou avec 3G ainsi.

De même, vous pouvez maintenant démarrer l'application TomTom GPS en arrière-plan pendant que vous prenez un appel téléphonique.

iPhone OS 4.0 vous permet de choisir l'emplacement des applications que vous souhaitez exécuter en arrière-plan. Donc vous n'avez pas à les faire fonctionner en arrière-plan si vous ne voulez pas.

Un autre ajout bienvenu à l'iPhone OS 4 sont les améliorations à l'application Mail. Vous allez maintenant avoir un unifié dans la boîte, plusieurs comptes Exchange, le changement rapide dans la boîte, les discussions, et la capacité d'ouvrir les pièces jointes avec les applications.

Vous pouvez organiser votre e-mail par thread(discussion) avec l'iPhone OS 4.0 .

Apple reconnaît clairement la popularité du jeu chez les utilisateurs de l'iPhone, et mis en place une plate-forme de jeu social. Il y aura un classement de jeu avec des réalisations, de jumelage, et plus encore.

Enfin, Apple iPhone OS 4.0 sera en place d'une infrastructure de dossier ainsi vous pouvez facilement organiser vos applications et documents.

Un exemple de la façon dont les dossiers fonctionneront. Vous pouvez ajouter des applications par glisser-déposer.

Sans surprise, Apple iPhone OS 4.0 suit l'IPAD pour l'intégration des iBooks. Vous allez maintenant être en mesure d'acheter et de télécharger des ebooks de la banque d'iBook et les lire sur l'iPhone. Vous pouvez synchroniser des pages et des signets, aussi.

Apple va également ajouter Cisco et Juniper services VPN à l'iPhone OS 4.0, et aussi le support pour Exchange 2010 .

Apple iPhone OS 4.0 sera également plus facile pour les développeurs d'applications d'intégrer des annonces dans leurs applications.

Il y aura beaucoup plus de mises à jour iPhone OS 4.0 dans les travaux, selon Steve Jobs. L'un d'eux est la capacité d'utiliser des claviers Bluetooth.


REF.: Merci a, James Martin ,CNET

mardi 19 janvier 2010

Chrome OS, un système d'exploitation pour ordinateurs en 2010.

Grosse nouvelle: Google a annoncé officiellement qu'elle lancera Chrome OS, un système d'exploitation pour ordinateurs en 2010.

Ça ne fera pas un pli à ceux qui ne savent pas ce qu'est un système d'exploitation (ceux qui allument leur ordinateur et qui cliquent où on leur a appris à cliquer). Mais pour les autres... Ça veut dire une option de plus pour son système. Windows, OS X et la saveur de Linux à la mode (Ubuntu!)... Et Chrome OS.

Mais Chrome OS, (Chrome comme leur navigateur Internet Chrome, gratuit et très performant) est aussi basé sur Linux. Mais il sera orienté d'abord vers les netbooks, ces petites machines belles-bonnes-pas chères mais pas performantes qui pourraient bénéficier grandement d'un système d'opération plus léger. Mais si le système fonctionne bien sur une machine poids plume... Imaginez comment il pourraitperformer dans une machine costaude! Chrome OS misera sur la sécurité (pas besoin d'antivirus, comme dans OS X et Linux), un démarrage rapide pour accéder quasi-instantanément à ses courriels, et les applications Web (qu'on pourra aussi utiliser sur n'importe quel autre ordinateur).

J'arrête, j'ai un peu de salive sur le bord de la bouche. OS X Snow Leopard, Windows 7, Ubuntu 9.10... Et quelque part en 2010, Chrome OS. Je me prépare mentalement à partitionner mon disque dur quelques fois...


mercredi 23 septembre 2009

Mac OS 10,6 de Apple(Snow Leopard)

Mac OS X v10.6, souvent appelé par son nom de code Snow Leopard (once), est le système d'exploitation actuel destiné aux ordinateurs Macintosh d'Apple. Il a succédé le 28 août[1] 2009 à Mac OS X v10.5 « Leopard ». Il a été présenté en avant-première lors de la Worldwide Developers Conference en juin 2008.Contrairement aux précédentes versions de Mac OS X, celle-ci ne se focalise pas sur l'ajout de nouvelles fonctionnalités perceptibles par l’utilisateur final, mais sur l'optimisation des performances du système en général. Sa commercialisation a commencé le 28 août 2009.
Une version de développement a été distribuée aux développeurs participant à la WWDC 2008 et ne fonctionne que sur processeurs Intel ; Apple a confirmé l'abandon des processeurs à architecture PowerPC, près de 4 ans après la transition d'Apple vers l'architecture x86. Cela expliquerait l'amélioration des performances, car les applications actuelles, en Universal binaries, contiennent du code prévu pour être lancé sur les deux architectures à la fois et qui pénalisent donc le poids du fichier (qui contient en pratique deux fois plus de code) et sa vitesse d'exécution car il est très difficile d'optimiser un programme lorsque le code doit pouvoir s'exécuter sur plusieurs architectures, complètement différentes de surcroît.


C’est le NDP Group qui, au Etats-Unis, a tenu à rappeler que MAC OS X 10.6 se vend plutôt bien sur les terres de l’oncle Sam, qui en l’espace de 2 semaines a su faire mieux que ses prédécesseurs. Ce n’est pas véritablement une surprise, avec un prix d’appel à 29 $(35$ Can) la licence pour un utilisateur, la mise à jour Mac OS X Leopard se vend très bien aux USA.Par contre ,faut avoir la version 10.4 (Mac-Intel)pour en profiter.
Les ventes de Snow Leopard ont en effet été deux fois plus importantes que celles de Leopard, et quatre fois plus que celles de Tiger.

» Avec un prix réduit de plus de 100 $ tant pour la licence mono-utilisateur que cinq utilisateurs par rapport au prix de Leopard, Apple a clairement démontré qu’une politique de prix agressive en cette période génère une réponse exceptionnelle des consommateurs «


Maintenant, c’est à Microsoft d’essayer d’atteindre ses objectifs pour la vente de Windows 7 qui doit débuter le 22 Octobre. La campagne de pub elle est de plus en plus présente, pour l’instant sur le net, et très prochainement sur nos écrans. Microsoft a déjà usé de quelques offres promotionnelles cet été, et vient d’annoncer une sérieuse ristourne à destination des étudiants en mettant la mise à niveau Windows 7 à 29,99 $ (mise à niveau), dans le cadre d’une offre qui doit prochainement débarquer en France. Sans cette ristourne, c’est 100 $ de plus pour l’édition Home Premium (mise à niveau).
Tandis qu’Apple se contente de fournir des mises à jour de son système, en étoffant son architecture et en l’agrémentant de nouveaux logiciels et de nouvelles fonctions, Microsoft préfère partir sur de nouvelles bases. En introduisant Seven, le rideau est replacé sur Vista, histoire de faire oublier les critiques, les mauvaises remarques et les centaines de posts sur les forums d’entraide, vous l’aurez compris les utilisateurs n’ont pas voulu de cet OS à leurs yeux trop peu optimisé.

REF.: logiciel.net

mercredi 8 octobre 2008

Cloud computing : Microsoft prépare un "Windows Cloud"

Une nouvelle plate-forme permettant de créer et mettre en ligne clés en main des applications web, est en préparation. Portant le nom provisoire de Windows Cloud, il sera présenté d'ici un mois, a annoncé Steve Ballmer à Londres.
Après sa venue à Paris pour annoncer la création de pôles de recherche européens, Steve Ballmer s'est rendu à Londres pour évoquer un gros chantier en cours, autour du Cloud computing : rien moins qu'un système d'exploitation. Avec l'idée de permettre aux développeurs d'« écrire une application et de la mettre en ligne simplement sur le cloud »...« Chaque fois qu'une grande tendance, une grande opportunité émerge, nous créons un nouveau système d'exploitation », a déclaré le patron de Microsoft lors d'une conférence. « C'est ce que nous sommes en train de faire. N'ayant pas encore trouvé de meilleur nom, et avant de faire une annonce à son sujet dans quatre semaines, je vais pour l'instant l'appeler "Windows Cloud". » Des descriptions qui font écho au projet Midori, déjà cité par ZDNet.fr au début août.Le concept de Cloud computing, très en vogue, fait référence à des applications sur serveurs web, auxquelles on accède via des connexions internet, au lieu d'être installées sur des postes clients. Un nouveau type d'offres est né, assorties d'un nouveau modèle économique, avec des abonnements. Le libellé plus générique est « Software as a service » (SaaS), mais chez Microsoft, on parle de « software plus services ».
Seules des compétences de développement requises« Cela reste difficile d'écrire des applications pour le Cloud », poursuit Steve Ballmer. « Il faut louer un [service d'hébergement ou] disposer de ses propres serveurs ; il faut un peu savoir comment on veut bâtir son application et gérer ses serveurs. Même si une tierce partie gère physiquement les serveurs, c'est un processus très lourd. Alors qu'en fait, seules des compétences de développeur devraient être requises. » Une fois l'application finalisée, elle serait mise sur le Cloud et, c'est le service qui gérerait tout, poursuit-il.
Les développeurs, suggère ainsi Steve Ballmer, auront besoin du seul Framework .NET pour créer des applications, le serveur, le navigateur et le client. Microsoft veut que Windows Cloud permette de proposer des logiciels sur le mode « Cliquez et exécutez » plus efficacement que ce qui était possible avec « la plupart des logiciels d'autrefois ».
« Nous ne voulons pas que tout soit réduit au plus petit dénominateur commun qu'est le navigateur, mais l'idée est qu'il n'y ait rien d'autre à faire que de cliquer pour lancer une application », explique le dirigeant. « Alors il nous faut faire évoluer Windows vers le modèle .NET. Vous gardez tous les avantages des OS pour PC. Avec des interfaces riches et l'interaction avec l'utilisateur (...). »
Des offres pour le grand public assez rapidement« Les OS actuels pour PC permettent de mélanger et gérer vos propres applications. Cela doit rester possible, même si l'application est accessible depuis le Cloud. Il va se passer beaucoup de choses au niveau de la plate-forme sous-jacente - dans la façon d'écrire et de gérer des applications - au fur et à mesure que le monde passe aux logiciels couplés aux services. »Des nouveautés qui n'arriveront pas seules, puisqu'elles seront accompagnées de « nouveaux modèles économiques », annonce déjà Steve Ballmer. « Une partie des offres reposera sur la vente, d'autres sur des abonnements, tandis que certaines seront financées par la publicité. »
Quand ces offres verront-elles le jour ? « Sur le marché grand public, une partie d'entre elles va arriver rapidement. Pour les entreprises, cela mettra peut-être trois, quatre, sept ans ou plus pour vraiment transpirer.

Nota:
Symantec, spécialiste des logiciels antivirus, adopte le principe du Cloud computing pour la plupart de ses logiciels de sécurité, sauvegarde et archivage. A partir de mars 2009, il les proposera progressivement sous la forme de « Software-as-a-Service » (SaaS) accessibles via le web, en étant hébergés sur ses serveurs.
Symantec succombe ainsi à la tendance du Cloud computing, après IBM, Google et Amazon notamment, et bientôt Microsoft. Un engouement décrié dernièrement par deux leaders charismatiques du monde IT : Larry Ellison d'Oracle et Richard Stallman, le créateur de la licence GPL.



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