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samedi 2 septembre 2023

Comment apparaître hors ligne pendant que vous naviguez sur Instagram

 

Comment apparaître hors ligne pendant que vous naviguez sur Instagram


Bien enfoui dans les paramètres d’Instagram se trouve une fonction qui nous permet d’apparaître hors ligne même si l’on est en réalité bien actif.

Depuis quelques années déjà, Instagram nous indique lesquels de nos contacts sont en ligne à l’aide d’un petit point vert à côté de leur nom dans notre boîte de messages privés.


Cette fonction rappelle beaucoup Messenger, ce qui n’est pas étonnant parce que les deux applications sont possédées par Meta (Facebook).


C’est possible de passer inaperçu si l’on préfère ne pas se faire déranger par nos amis en désactivant l’option, simplement en allant fouiller un peu dans nos paramètres.


4 étapes faciles pour passer en mode hors ligne

Sur son profil, cliquer sur les trois lignes horizontales en haut à droite et se rendre dans les paramètres.

Sélectionner l’option Paramètres.

Cliquer sur Confidentialité, puis sur Statut en ligne.

Décocher le paramètre appelé Montrez votre statut d’activité.

En plus de cacher notre statut en ligne ou hors ligne du moment, personne ne pourra voir combien de temps s'est écoulé depuis notre dernière connexion.


Si on veut seulement être en mode hors ligne pendant une courte période, on peut toujours revenir en arrière en effectuant la même marche à suivre pour réactiver l’option.


Comme sur Facebook et Messenger, le fait de cacher son statut masque également celui des autres, donc faire ce choix équivaut par la même occasion à faire une croix sur cette information concernant nos amis.


REF.: https://francoischarron.com/sur-le-web/trucs-conseils/comment-apparaitre-hors-ligne-pendant-que-vous-naviguez-sur-instagram/bEgHc63oUM/

lundi 17 juillet 2023

Les 5 paramètres à vérifier absolument sur Threads

 

Les 5 paramètres à vérifier absolument sur Threads

Publié le juillet 17, 2023 par T30 le Blogger

Les 5 paramètres à vérifier absolument sur Threads


Par: Julien Lausson


Threads est sorti. Si vous avez ouvert un compte sur le réseau social, voilà des réglages qu’il faut passer en revue.

Threads fait officiellement ses débuts, depuis le 6 juillet 2023. Le concurrent de Twitter à la sauce Meta (la maison mère de Facebook et Instagram) est lancé, avec l’ambition assumée de prendre le pouvoir dans le secteur du micro-blogging. Il y a une fenêtre inespérée pour y arriver : Elon Musk fait n’importe quoi avec Twitter. Pour Threads, l’occasion est parfaite.


Threads n’est pas encore disponible en France, en raison de règles plus strictes de protection des données personnelles. Mais cela ne signifie pas qu’il est impossible d’installer l’application et de s’y inscrire. Pour celles et ceux qui le souhaitent, il y a une méthode pour créer un compte sur Threads, que ce soit sous iOS ou Android.


Si vous avez sauté le pas, vous avez peut-être commencé à écrire vos premiers messages sur Threads. Mais avant d’aller beaucoup plus loin, il est judicieux de faire un tour dans les paramètres de l’application. Il peut y avoir des réglages que vous auriez envie d’activer ou, au contraire, de couper. En voici cinq qui, selon nous, devraient avoir toute votre attention.

Choisissez entre profil public et profil privé

Par défaut, le profil sur Threads est public. Vous pouvez toutefois le basculer en privé si vous voulez augmenter votre niveau de confidentialité vis-à-vis du reste du web. Pour cela, la meilleure option consiste à cliquer sur « Modifier profil » sur l’accueil de votre compte. Vous avez un raccourci permettant de cacher votre page aux personnes qui ne vous suivent pas déjà


Contrôlez les mentions

Vous pouvez déterminer qui peut vous interpeller directement sur Threads. Trois options existent : autoriser les mentions pour tout le monde, pour les personnes que vous suivez et pour personne. Rendez-vous dans les paramètres, en haut à droite de l’application, puis suivez le chemin « Confidentialité » et « Mentions ». De là, prenez le paramètre qui a votre préférence.


Coupez les notifications

Avec les débuts de Threads, vous aurez envie d’accumuler des abonnements et de participer au réseau social. Figurez-vous que les autres aussi. Là encore, vous avez tout intérêt à vérifier les notifications qui viennent à vous. Dans la rubrique correspondante, vous avez un raccourci général pour tout mettre en pause. Sinon, vous avez les options à choisir au cas par cas.


Masquez ou gardez les « J’aime »

Vous avez l’angoisse de ne pas avoir assez d’activité autour de vos publications ? Vous craignez que le manque de likes traduise un désintérêt pour ce que vous faites ? En cliquant sur les points de suspension à côté de chaque thread, vous avez une petite option permettant de couper le nombre de « J’aime ». Attention, c’est au cas par cas. Vous pouvez aussi les réafficher.


Déterminez qui peut répondre

Dernier réglage à contrôler : choisissez qui peut vous réagir à vos messages. Par défaut, l’application autorise tout le monde à répondre en commentaire. Mais vous pouvez choisir deux autres paramètres : les personnes que vous suivez ou bien juste celles que vous mentionnez. Notez qu’en limitant les réponses, le thread ne sera pas partagé avec vos abonnés de votre fédiverse.


RÉF.: https://www.numerama.com/tech/1439514-les-5-parametres-a-verifier-absolument-sur-threads.html

lundi 12 juin 2023

Threads : le clone de Twitter à la sauce Instagram de Meta

 

 

Threads : le clone de Twitter à la sauce Instagram de Meta

 

On a enfin un nom ! Le nouveau réseau social de Meta en réponse à Twitter s'appellerait Threads. Reprenant les codes d'Instagram, il appliquerait les mêmes recettes à succès que l'oiseau bleu. Mais qu'apporte-t-il de nouveau ?

On en sait un peu plus sur le nouveau réseau social de Meta, la maison-mère de Facebook, Instagram et autre WhatsApp ! Celui que l'on connaissait jusqu'ici sous le nom de Projet 92 ou Barcelone s’appellerait finalement Threads ("fils" en français), d'après des documents consultés par The Verge. Le journal a pu assister à une conférence tenue par l'entreprise afin d'en savoir un peu plus. "Des créateurs et des personnalités publiques nous ont fait part de leur souhait de disposer d'une plateforme gérée de manière rationnelle, à laquelle ils peuvent faire confiance et sur laquelle ils peuvent compter pour la distribution", a déclaré Chris Cox, chef de produit chez Meta, faisant directement allusion à la gestion de Twitter par Elon Musk. Selon lui, l'objectif de la firme de Mark Zunkenberg pour la nouvelle application est "la sécurité, la facilité d'utilisation, la fiabilité" et de s'assurer que les créateurs disposent d'un "endroit stable pour construire et développer leur audience". Meta le dit d'ailleurs sans détour : Threads sera leur réponse à Twiter.

 

Threads : des fonctions très classiques

Mais alors, à quoi pourrait ressembler cette nouvelle application ? Il se pourrait bien que les utilisateurs d'Instagram et de Twitter ne soient pas dépaysés. En effet, pour que les futurs abonnés de ce nouveau réseau s'adaptent au plus vite, l'application devrait être calquée sur des modèles existants, comme l'expliquait l'experte en "marketing digital" Lia Haberman : "Meta aime échantillonner et recréer des fonctionnalités d'autres applications et d'outils tiers en fonction de ce qu'ils prévoient d'être populaires auprès de leurs utilisateurs". De cette manière, les célèbres stories qui fonctionnaient sur Instagram ont été intégrées à Facebook par la suite !

Lia Haberman avait également révélé que la version en cours de test proposerait les mêmes options que Twitter, telles que l'écriture de textes, de 500 signes maximum, l'intégration de photos, de liens et de vidéos de 5 minutes maximum, avec, bien entendu la possibilité de réagir aux messages grâce aux commentaires et aux reposts. Du classique, donc, qui permettrait de retrouver des réflexes et les fonctions tant appréciées du réseau à l'oiseau bleu., mais avec des passerelles simplifiées vers les autres applications du groupe. En effet, d'après The Verge, Threads s'intégrera à ActivityPub, le protocole décentralisé des médias sociaux. Cela devrait permettre aux utilisateurs d'emmener leurs comptes et leurs followers/amis avec eux dans d'autres applications qui prennent le protocole, dont Mastodon.

Threads : un clone de Twitter par Meta

Lia Haberman avait également fait savoir fin mai sur son compte Twitter que le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, avait d'ores et déjà entrepris de contacter des créateurs de contenus afin de lancer son réseau au plus vite en attirant un certain nombre d'entre eux sur cette nouvelle plateforme. Le site Bloomberg indiquait par ailleurs que des influenceurs testaient une version bêta du réseau. Chris Cox a quant à lui confirmé à The Verge que certaines célébrités comme DJ Slime s'étaient déjà engagées à utiliser l'application, et que l'entreprise est actuellement en négociation avec Oprah et le Daïla Lama.

 

Reste que les circonstances sont favorables à Meta pour lancer une nouvelle plateforme "textuelle". Depuis l'arrivée d'Elon Musk à la tête de Twitter, le réseau social fait régulièrement la Une des médias. Mais pas pour les bonnes raisons. Le milliardaire fantasque a mis le réseau social sens dessus dessous, en licenciant la plupart des employés de l'entreprise, en changeant les règles et les fonctions, et en inondant la plateforme de messages provocateurs. Au point que beaucoup d'utilisateurs déçus cherchent à abandonner le réseau au profit d'un concurrent solide. Si Mastodon a semblé un temps pouvoir le devenir, le succès escompté n'a pas été au rendez-vous et la place reste libre. Une occasion rêvée pour Meta pour se lancer dans l'aventure !

 

REF.:  https://www.commentcamarche.net/applis-sites/reseaux-sociaux/28321-threads-le-clone-de-twitter-a-la-sauce-instagram-de-meta/

mercredi 29 décembre 2021

Instagram vous invite à créer un Finsta, un faux compte qui vous montre tel que vous êtes

 

 

Instagram vous invite à créer un Finsta, un faux compte qui vous montre tel que vous êtes

Ces dernières années, Instagram est devenu plus qu’un simple réseau social pour communiquer avec ses amis. Les utilisateurs les plus créatifs utilisent notamment la plateforme pour montrer leur talent de photographe. Mais beaucoup en font simplement fait la vitrine de leur vie, dans une version très idéalisée. Paysages paradisiaques, food porn, vêtements à la mode, les clichés qui défilent sur nos feeds Instagram débordent de glam et vendent un quotidien qui fait rêver.


Mais ces comptes sont souvent bien loin de montrer la réalité. Alors Meta (Facebook), a une suggestion pour vous : créer un autre compte, plus privé, réservé à vos proches. Ces comptes secondaires, appelés dans le jargon Facebook « Finsta », ne datent pas d’aujourd’hui. Cette tendance existe depuis environ 2013 et a notamment rencontré un certain succès auprès des ados. L’idée étant d’utiliser ce compte pour publier sans réfléchir, sans utiliser filtre ou retouche, et bien sûr de limiter son audience. De nombreux ados ont donc ce compte secret dont ils interdisent l’accès à leurs parents. Cet aspect a notamment été montré du doigt lors d’une récente commission du Sénat aux États-Unis. Certains voient en effet cette fonctionnalité comme un moyen idéal pour les mineurs d’échapper au contrôle parental.

Certaines célébrités, telles que la chanteuse Adèle, ont également confié avoir un Finsta. Une rumeur affirme que même la Reine d’Angleterre Elizabeth II aurait elle aussi un compte Instagram secondaire plus privé.

Finsta : une fonctionnalité qui fait déjà débat

Jusqu’à maintenant, cette option de Finsta s’était donc faite plutôt discrète dans l’application. Mais Meta semble avoir décidé de la mettre désormais plus en avant. Les utilisateurs ayant un seul compte Insagram se voient maintenant proposer l’option d’« essayer un nouveau compte ». L’application explique ensuite que ce compte secondaire leur permettra de rester en contact avec « un plus petit groupe d’amis ». La suggestion fait donc référence au fameux Finsta.

Il y a quelques mois, des études internes à Facebook avaient révélé que l’application serait nocive pour le bien-être des adolescents. En réponse, le réseau social aurait commencé à travailler sur une fonctionnalité de « pause » destinée aux ados. Mais cette pause s’applique-t-elle au compte officiel seulement ou également à leur Finsta ? Cette suggestion nouvellement intégrée à l’application risque de semer encore plus le trouble sur les vraies intentions du réseau social.

Source : Screenrant

mercredi 22 septembre 2021

Instagram augmente la durée maximale des Reels à 60 secondes

 

 

Instagram augmente la durée maximale des Reels à 60 secondes

Par: Arthur Aballéa / Publié le 28 juillet 2021 à 11h22

Après l’augmentation de la durée maximale des vidéos TikTok à 3 minutes, Instagram propose désormais de poster des Reels allant jusqu’à 1 minute.

Vous pouvez désormais filmer et importer des vidéos de plus de 30 secondes sur Reels.

Après avoir augmenté une première fois la durée des Reels en septembre dernier (passant de 15 à 30 secondes), Instagram a annoncé hier, via un meme posté sur Twitter, que la durée maximale des Reels est désormais de 60 secondes pour tous les utilisateurs.

TikTok, YouTube Shorts et Snapchat Spotlight en ligne de mire

Toutes les plateformes concurrentes à Instagram et ses Reels permettent déjà à leurs utilisateurs de poster des vidéos allant jusqu’à 60 secondes (voire même 3 minutes pour TikTok). Instagram suit donc la tendance et s’aligne sur les standards du marché pour continuer d’attirer de nouveaux créateurs.

Cette mise à jour devrait permettre aux utilisateurs de Reels présents sur TikTok, YouTube Shorts et Snapchat Spotlight de pouvoir réuploader leurs vidéos comprises entre 30 et 60 secondes. En effet, en publiant leur contenu sur plusieurs plateformes, les créateurs augmentent leur visibilité, et peuvent développer une audience plus large. À noter que l’algorithme d’Instagram ne met pas en avant les vidéos qui contiennent un filigrane TikTok.

Comment créer des Reels de 60 secondes ?

Pour accéder à cette nouvelle fonctionnalité, effectuez les étapes suivantes :

  • rendez vous dans l’espace de création Instagram,
  • sélectionnez Reels,
  • affichez le menu déroulant situé à gauche de l’écran,
  • appuyez sur Durée, puis sélectionnez 60.

Vous pouvez également importer des vidéos d’une minute maximum directement depuis votre pellicule, en cliquant en bas à gauche de l’écran dans l’espace de création Reels. Le déploiement est progressif, et tous les utilisateurs devraient bientôt avoir accès à cette fonctionnalité.

 

REF.:

lundi 26 octobre 2020

Facebook lance Reels, le TikTok d’Instagram

 

 

 

Facebook lance Reels, le TikTok d’Instagram

Facebook vient de lancer officiellement sa nouvelle fonctionnalité pour remplacer TikTok qui est sur le point de se faire bannir et ainsi mettre fin à sa domination sur le marché des vidéos courtes. Elle s’appelle Reels et elle est disponible sur Instagram.


Après plusieurs mois de tests et d’ajustements dans plusieurs pays du monde, Reels est enfin prête à être déployée sur Instagram. C’est la nouvelle fonctionnalité développée par Facebook dans le but de concurrencer TikTok qui occupe toujours la première place du podium mondial des vidéos courtes musicales. Facebook y travaillait bien entendu avant l’annonce du bannissement du réseau social chinois. Alors que Reels devait être au départ une alternative à TikTok, elle va finalement peut-être devenir sa remplaçante.

Reels est fin prêt pour remplacer TikTok et tenter de devenir le numéro 1 des vidéos courtes aux États-Unis

La plateforme chinoise n’a plus qu’une quarantaine de jours pour signer un contrat avec Microsoft et ainsi éviter de se faire bannir aux États-Unis. Nous n’avons pas encore eu de nouvelles de leur négociation, mais Microsoft est bien déterminé à racheter TikTok. D’ailleurs, Facebook n’en est pas à son coup d’essai en ce qui concerne les vidéos courtes dont les internautes raffolent. Fin 2018, il avait lancé pendant un court moment l’application Lasso qui fut un échec complet. Même YouTube est en train d’essayer un format de vidéos de 15 secondes.

D’après Instagram, « Reels vous permet de créer des vidéos amusantes à partager avec vos amis ou avec n’importe quelle personne sur Instagram. Vous pouvez enregistrer et modifier des vidéos multi-clips de 15 secondes avec du son, des effets, et en utilisant de nouveaux outils de création. Vous pouvez partager des reels avec vos abonnés sur le fil, et si vous possédez un compte public, les diffuser plus largement auprès de toute la communauté Instagram grâce à un nouvel espace dans Explorer. Les reels dans Explorer permettent à chacun de se transformer en créateur sur Instagram et de toucher de nouvelles audiences dans le monde entier. ». Reels reprend donc les mêmes que fonctionnalités que TikTok.

Il y a de fortes chances que Reels devienne très rapidement populaire, notamment aux États-Unis. En effet, le territoire américain comprend plus de 100 millions d’utilisateurs TikTok qui vont devoir se rabattre sur une plateforme similaire en cas de bannissement du réseau chinois. La popularité et la réputation d’Instagram vont aussi probablement contribuer en grande partie au succès prochain de Reels.

Source : phoneArena

mardi 4 février 2020

Le site d'Instagram a laissé fuiter des données pendant des mois


Le site d'Instagram a laissé fuiter des données pendant des mois

Sécurité : Le site Internet d'Instagram n'était pas étanche. En raison d'une faille, la filiale de Facebook a exposé des numéros de téléphone et des adresses mail pendant des mois, rapporte un chercheur.




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Selon un chercheur, le site Web d'Instagram a divulgué les coordonnées d'utilisateurs, y compris leurs numéros de téléphone et leurs adresses électroniques, pendant une période d'au moins quatre mois.
Le code source de certains profils d'utilisateurs d'Instagram embarquait les coordonnées du titulaire du compte à chaque chargement dans un navigateur Web, explique David Stier, data scientist et consultant. C'est ce professionnel qui en a informé Instagram peu après avoir découvert le problème.
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Données personnelles visibles dans le code source

Les données de contact n'étaient pas affichées sur le profil du titulaire du compte dans la version desktop du site Web d'Instagram - même si elles étaient utilisées par l'application du site de partage de photos pour la communication.
Les raisons pouvant expliquer comment ces données personnelles ont ainsi été divulguées dans le code source des pages ne sont pas précisées. Cette erreur semble concerner des milliers de comptes, appartenant à des particuliers - dont des mineurs - ainsi qu'à des entreprises et des marques, note Stier.
La divulgation de ces données au travers du code source pourrait permettre à des pirates d'exfiltrer les données du site Web d'Instagram et ainsi d'établir un annuaire téléphonique virtuel comprenant les coordonnées de milliers d'utilisateurs d'Instagram.
Un tel annuaire pourrait bien d'ailleurs avoir été constitué. Lundi, un rapport révélait qu'une société de marketing en Inde avait obtenu les coordonnées de millions de comptes Instagram et les avait stockées dans une base de données non sécurisée.

Fuite depuis au moins octobre 2018

Les moyens employés pour créer cette base de données restent à définir. Un tel fichier constitue quoi qu'il en soit une violation des conditions d'utilisation de l'entreprise, filiale de Facebook, lui aussi concerné par des fuites de données.
Mercredi, Instagram a fait savoir qu'elle enquêtait sur le rapport de Stier. Le service Web a refusé de faire d'autres commentaires. Instagram avait précédemment déclaré enquêter sur la base de données gérée par la société de marketing indienne Chtrbox.
Dans une déclaration, Chtrbox réplique que l'information contenue dans sa base de données n'était pas privée et que celle-ci n'a pas été acquise par des moyens contraires à l'éthique.
Sur la base de l'examen de versions archivées des profils Instagram, Stier signale avoir trouvé des preuves que les numéros de téléphone et les courriels figuraient dans le code source depuis au moins octobre 2018. Il a signalé le problème à Instagram en février. Le bug était corrigé en mars.
 
 

A lire aussi :

Instagram : les données d’influenceurs, marques et célébrités fuitent sur la Toile

lundi 13 janvier 2020

Facebook annonce le démantèlement de deux opérations de désinformation

Facebook annonce le démantèlement de deux opérations de désinformation

Le géant d’internet a retiré plus de 600 comptes sur Facebook et Instagram.





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Facebook a indiqué vendredi avoir mis fin à deux opérations séparées de manipulation de l’opinion, dont un réseau piloté au Vietnam et aux États-Unis qui ciblait les Américains avec des messages en faveur de Donald Trump.
Le géant d’internet a retiré plus de 600 comptes sur Facebook et Instagram.
Ces pages, groupes et profils partageaient principalement des contenus du groupe de médias Epoch Times (lié au mouvement spirituel Falun Gong, interdit en Chine) et de BL, un média américain favorable au président américain.
Les personnes impliquées dans cette campagne «avaient largement recours à des faux profils - dont beaucoup avaient été automatiquement bloqués par nos systèmes - pour gérer leurs pages et groupes, poster de façon automatisée à très haute fréquence et rediriger des utilisateurs vers d’autres sites», a détaillé Nathaniel Gleicher, responsable de la cybersécurité chez Facebook.
La plateforme s’est aussi aperçue que certains profils affichaient des photos générées par des technologies d’intelligence artificielle, pour se faire passer pour des Américains. 
Ils partageaient des textes, des images et des montages sur des sujets de politique américaine, de la procédure de destitution engagée contre Donald Trump aux élections, en passant par la religion, le commerce et les valeurs familiales.
L’autre opération démantelée par Facebook était menée depuis la Géorgie et ciblait des habitants de ce pays du Caucase, secoué ces dernières semaines par une profonde crise politique.
En octobre, le réseau social avait annoncé avoir bloqué quatre opérations de manipulation de l’opinion, menées par des groupes qui se faisaient passer pour des utilisateurs et étaient soutenus par l’Iran et la Russie, ainsi qu’une opération de désinformation menée à partir de la Russie dans plusieurs pays d’Afrique.
À l’approche de l’élection présidentielle de 2020 aux États-Unis, Facebook multiplie les efforts pour lutter contre les tentatives de manipulation sur ses différentes plateformes.
Le groupe californien avait été fortement critiqué pour ne pas avoir bloqué des campagnes de désinformation majeures lors de scrutins en 2016, dont l’élection présidentielle américaine.


REF.:

samedi 31 août 2019

Instagram : comment savoir qui vous bloque ?

Instagram : comment savoir qui vous bloque ?

Vous ne parvenez plus à suivre certains de vos comptes Instagram préférés ? Et si vous étiez bloqué(e) ?
C’est bizarre : sur Instagram depuis quelques temps,vous n’avez plus de nouvelles de DarkAngel64. C’est à se demander s’il ne vous aurait pas bloqué ! Oui mais comment savoir qui refuse que vous accédiez à ses contenus sur Instagram ? La méthode est on ne peut plus simple.
Ouvrez l’application Instagram et cherchez le nom de votre contact dans le moteur de recherche. Même si le profil de cette personne est réglé sur privé, il apparaîtra toujours dans le moteur de recherche. Toutefois, si son profil ne ressort pas, le blocage peut en être la cause.
Pour le savoir, rendez-vous sur la page d’une de vos connaissances communes. Si possible, choisissez le profil d’une personne que vous connaissez bien tous les deux. Regardez les publications de votre ami commun puis essayez de trouver un like ou un commentaire de la personne que vous suspectez de vous avoir bloqué. Une fois trouvée, cliquez sur son nom. Si le profil ne s’affiche pas alors que les informations telles que le nombre de posts apparaissent en haut de la page, c’est que vous avez été bloqué. Désolé !
Il existe une autre méthode si vous connaissez le pseudo exact de votre ami. Vous pouvez également passer par un moteur de recherche et taper : « Instagram » + le pseudo de votre ami, son nom apparaîtra peut-être dans la liste des résultats. Cliquez sur le lien et effectuez la même vérification que dans le paragraphe ci-dessus.
>> Forum : comment sublimer ses photos pour les publier sur Instagram ? Les conseils de la communauté.

jeudi 23 mai 2019

Instagram : les données personnelles de 49 millions d’influenceurs ont fuité sur internet

Instagram : les données personnelles de 49 millions d’influenceurs ont fuité sur internet

Les informations personnelles de millions de célébrités et d’influenceurs se sont retrouvées sur une base de données en libre accès sur le web.

Selon des révélations de TechCrunch, un expert en sécurité a découvert sur internet une base de données contenant les données personnelles de plus de 49 millions d’influenceurs et célébrités. Ces informations étaient hébergées par les services web d’Amazon et étaient accessibles sans aucun système de sécurité ni mot de passe. Parmi ces informations, on pouvait trouver des photos de profil, des biographies, le nombre d’abonnés, des données de localisation, mais aussi des adresses e-mail et numéros de téléphone.
L’expert en cybersécurité a alerté Tech Crunch qui a découvert que la base de données avait été mise en ligne par Chtrbox, une société basée en Inde qui se spécialise dans le marketing sur les réseaux sociaux. La base de données incluait également des informations concernant le niveau d’influence de chaque utilisateur Instagram ainsi que le montant d’argent que chacun pourrait recevoir en échange de la publication de contenus sponsorisés. Problème, les influenceurs contactés par TechCrunch ont déclaré n’avoir jamais travaillé avec la société Chtrbox.
La base de données a depuis été retirée. Facebook enquête sur l’affaire et a déclaré : « Nous examinons le problème pour comprendre si les données décrites – incluant les adresses email et numéros de téléphone – viennent d’Instagram ou d’autres sources ». La firme Chtrbox de son côté n’a pas pour l’instant répondu à aucune question des médias.

REF.:

vendredi 25 novembre 2016

Voici les nouveaux réseaux sociaux,Finis Facebook et Instagram !



Aujourd’hui, des «social networks» d’un nouveau genre apparaissent. Moins voyeurs que Facebook, moins narcissiques qu’Instagram, ces «vrais» réseaux sociaux favorisent les rencontres dans la vraie vie. Connexion.
A l’ère du «digital first», un voyage organisé ne consiste plus seulement en une formule all inclusive, dont la souscription donne droit à un bracelet en plastique coloré à garder impérativement sur soi pour profiter de l’open bar. En plus des mojitos touillés au rhum bon marché, certains tour-opérateurs, comme Photo Trek Tour, Tricia & Co ou Island Photography aux Etats-Unis, proposent désormais les services d’un vrai photographe. Histoire de ponctuer ses vacances d’images bien exposées et savamment retouchées, à poster sur son compte Instagram ou son profil Facebook sitôt une connexion wi-fi captée.
Car voilà à quoi se résument les social networks en 2015. Une galerie d’images égocentriques où le «fish gape» succède à la «duck face», assortie d’une myriade de like, au choix: admiratifs, complaisants ou envieux. Depuis que Mark Zuckerberg a voulu cataloguer en ligne les physiques de sa promotion de Harvard 2004, Facebook n’a pas changé d’un clic. Une décennie plus tard, on y trouve moins de personnes véritablement connectées que de curieux mal dissimulés, moins de liens d’amitiés authentiques que de «friends» qui n’ont aucun lien entre eux. Aujourd’hui, des sites doublés d’applications prennent le contre-pied de ces réseaux «egotripiques» et nous proposent des alternatives vraiment solidaires, vraiment utilitaires… En somme, vraiment sociales.
Au bonheur des «peupladiens»
Lancé il y a quelques semaines dans les plus grandes villes françaises (Paris, Lyon, Marseille ou encore Grenoble), Peuplade affirme sa différence dans un slogan emblématique: ce «réseau social de quartier» entend connecter les habitants d’une zone géographique restreinte pour qu’ils se rendent service, s’échangent des adresses ou organisent des apéros entre «peupladiens.» Condition sine qua non pour devenir membre? Renseigner son adresse postale, car Peuplade donne dans l’hyperproximité.
Lire aussi: Chômeur à 50 ans? Comptez sur vos amis plutôt que sur LinkedIn
L’interface du site invite le nouvel utilisateur à dresser le portrait de ses savoir-faire et de ses pratiques de vie de quartier, puis à télécharger une photo lui permettant d’être reconnu par les autres membres. On peut ensuite visualiser, grâce à un système de géolocalisation, les adhérents les plus proches, et se greffer à un jeu de piste à Montmartre, à une visite du château de Fontainebleau, ou troquer des services. C’est ce qu’explique Emma, à Lyon: «Dès que j’ai besoin de faire garder mon chat ou que j’ai une question sur sa santé, je poste un message sur le mur d’entraide de ma peuplade. J’ai toujours plein de monde qui m’aide à trouver une solution.»
Voilà une connexion qui dissimule un véritable échange humain, et offre la possibilité d’une rencontre en chair et en os. Les personnes âgées, en particulier, se servent de ces réseaux comme d’un moteur de convivialité: alors ce soir, c’est bowling ou ciné-club? Même enjeu avec l’application Soomville: ce service de petites annonces 3.0 met en relation des «soomers» (des utilisateurs à la recherche d’une compétence) et des «soomers talentueux», qui vont pourvoir valoriser économiquement une possession, de la perceuse au robot ménager, ou une aptitude, du dog-sitting aux cours de math. Une manière élégante de parler d’offre et de demande sur des plateformes où tout est bienveillant. La preuve outre-Atlantique, avec le site américain Nextdoor, qui rassemble plus de 78 000 utilisateurs: l’expression d’opinions politiques y est interdite, pour ne froisser personne et éviter la prolifération de messages partisans.
Il faut une masse critique nécessaire pour que l’offre et la demande s’équilibrent. Peut-être ne sommes-nous pas assez nombreux en Suisse romande pour que ces réseaux soient vivants
Mauvaise connexion suisse
En Suisse, ce genre d’initiatives n’est pas encore à portée de souris. Des sites comme Ricardo ou Anibis ne s’inscrivent ni dans une logique de proximité, ni dans une philosophie de l’économie du partage. Pourtant, selon une étude menée par le cabinet d’audit et de conseil Deloitte au printemps dernier, dans les douze prochains mois, 55% des consommateurs suisses loueront une propriété, des biens ou des services via une plateforme de «sharing economy.» C’est en faisant ce constat que Giuseppe Urro a décidé de créer Freesbee.ch, un site Swiss made dédié au partage entre particuliers, en ligne depuis le mois d’octobre. On peut y échanger de l’aide, du matériel, des savoir-faire. «Pendant longtemps, la réussite individuelle a été indissociable de l’instinct de possession, explique l’entrepreneur. Aujourd’hui, on privilégie plutôt les rencontres et la mutualisation.» Néanmoins, ces projets sont encore rares sur notre territoire.
«La faute n’incombe pas à un décalage spatio-temporel, explique Olivier Glassey, sociologue spécialisé dans les nouveaux médias à l’Université de Lausanne. Il y a quelques années, quand Tinder est apparu, la Suisse a montré qu’elle n’avait pas de retard à déplorer côté réseaux.» En revanche, on peut avancer que nous pêchons par le chiffre. Ces applications se développent systématiquement dans des métropoles: «Il faut une masse critique nécessaire pour que l’offre et la demande s’équilibrent. Peut-être ne sommes-nous pas assez nombreux en Suisse, en particulier en Suisse romande, pour que ces réseaux soient vivants», analyse l’universitaire. Sans compter que la conjoncture économique plutôt favorable du pays a fait de l’Helvète un propriétaire acharné (sauf lorsqu’il s’agit d’immobilier), sans pour autant favoriser l’avènement d’une société de troc et d’entraide.
«En revanche, on a déjà tendance à utiliser Facebook comme un réseau de proximité», remarque Olivier Glassey. L’étude des relations interpersonnelles des utilisateurs, des tags aux conversations instantanées, démontre qu’ils n’interagissent qu’avec une dizaine ou une quinzaine de personnes très proches: avouons-le, le mari de la copine de la meilleure amie, vous ne lui avez jamais parlé. Et pourtant, il fait partie des plusieurs centaines de relations que compte votre profil.
Réseaux asociaux
Et si le terme de réseau social tel qu’on l’emploie depuis une décennie était une imposture? Pour l’enseignant-chercheur, c’est la sociabilité de chacun qui est mise à mal par Facebook: «Le propre de la sociabilité d’une personne est d’habiter différents rôles, explique Olivier Glassey. Je suis à la fois prof, père et copain. Un réseau généraliste comme Facebook ne peut pas restituer ces différents aspects de ma vie sociale.» Sur le réseau star, qui se situe aujourd’hui à mi-chemin entre l’espace de promotion de soi et l’organe de presse, la civilité est régulièrement bafouée et la solidarité peu concernée. En dehors d’épisodes viraux consistant à manifester son indignation au moyen de pancartes improvisées, son soutien par le partage d’un avis de recherche, les gestes de fraternité y sont extrêmement comptés.
C’est cette dérive que veulent corriger des réseaux comme Freesbee, Peuplade ou Stootie. Tous veulent reconstruire le lien social banalisé par les usines à friends. A force de vouloir connecter le plus d’internautes possible, Facebook, qui rassemblait en juillet dernier presque 1,5 milliard d’utilisateurs, attaque le ciment communautaire. La preuve en image avec le travail d’Eric Pickersgill. En effaçant de ses clichés smartphones et autres tablettes, ce photographe américain montre combien ces réseaux nous déconnectent les uns des autres, et nous poussent au «phubbing», néologisme créé en mai 2012 par une agence australienne pour désigner les personnes qui consultent leurs téléphones plutôt que de communiquer entre elles.
Sur les «vrais» social networks, chaque clic est une relation concrète potentielle. «Le principal se passe en dehors du réseau», confirme Olivier Glassey. Bienvenue dans la réalité.


Une cachette à bonheur

Des adolescents britanniques ont développé une application pour stocker les souvenirs heureux que l’on souhaite garder pour soi. Avec les réseaux sociaux, les jeunes n’ont pas toujours le rapport compulsif et impudique que l’on imagine. Les travaux de la chercheuse américaine Danah Boyd avaient déjà montré par exemple qu’ils contrôlaient, bien plus que les adultes, leur image publique sur Internet. Or une nouvelle application sort, dont la fonction montre combien les réseaux sont le lieu d’une pression à laquelle les jeunes cherchent toujours plus à échapper.
Mieux que le vin ou le chocolat
Memory Star a été développée en Grande-Bretagne par et pour des adolescents, dans le cadre d’un concours destiné aux jeunes de 14 à 16 ans. Il s’agit d’une sorte de boîte à trésors virtuelle où chacun pourra stocker les souvenirs qui lui procurent du plaisir, compliments reçus ou images de moments de bonheur, mais qu’il ne souhaite partager avec personne. Une cachette numérique où trouver du réconfort dans les moments de blues.
«Il y a sur les réseaux sociaux une telle pression pour toujours présenter une image heureuse de soi, quelque chose de très compétitif», explique Zuzia O’Donoghue, l’une des cinq lycéens du Sussex à avoir développé l’application. «Qui récoltera le plus de «like»? Qui a la vie la plus désirable? On affiche en permanence une sorte de personnage parfait, avec lequel, parfois, on se sent en porte-à-faux. Memory Star permet de relire ou revoir des choses qui nous ont fait plaisir, sans se soucier du regard des autres. C’est une collection de souvenirs pour se faire plaisir et que l’on garde pour soi.»
Une thérapie d’autant plus recommandable que le recours à un stock de souvenirs heureux s’est révélé, dans diverses études, aussi efficace pour le moral, et bien meilleur pour la santé, qu’un verre de vin ou une branche de chocolat. Pour l’heure, l’application n’est disponible que sur le territoire britannique. Et bien qu’elle vise les jeunes en priorité, sa simplicité et sa fonction, très dans l’air du temps, pourraient la rendre populaire auprès de clients de tout âge.


Selon  Richard Allan Bartle, il y a 4 sortes d'utilisateurs pour les réseau sociaux:


Types d’utilisateurs 2.0

Pour Bartle, il existerait quatre types intrinsèques de base; ACHIEVER, SOCIALISER, PHILANTHROPIST et FREE SPIRIT(Trolls). Chacun serait motivé par une valeur dominante : les relations, l'autonomie, les accomplissements et le sentiment d'être utile. Il existe deux autres types, dont les motivations sont un peu moins tranchées : les DISRUPTORS et les PLAYERS.En bref

  • Les SOCIALISERS sont motivés par les relations. Ils veulent interagir avec les autres et créer des liens sociaux.
  • Les FREE SPIRITS sont motivés par l'autonomie. Ils veulent créer et explorer.
  • Les ACHIEVERS sont motivés par leur recherche d'accomplissement. Ils cherchent à apprendre de nouvelles choses et à s’améliorer. Ils veulent des défis à surmonter.
  • Les PHILANTHROPISTS sont motivés par l'impression d'être utiles. Leur besoin est existentiel. Ils forment un groupe altruiste, qui souhaite donner et enrichir la vie des autres.
  • Les PLAYERS sont motivés par les microrécompenses. Ils feront ce qui est nécessaire pour obtenir une rétribution de la part d’un système. Ils sont là pour eux-mêmes.
  • Les DISRUPTORS sont motivés par le changement. Ils veulent généralement perturber votre système, ce pour forcer des changements qui peuvent être positifs ou négatifs.
Les PLAYERS sont heureux de participer à votre jeu, du moins tant que des points et des récompenses sont offerts. Au contraire, les DISRUPTORS ne veulent rien en savoir. Quant aux autres, ils ont besoin d’un peu plus que cela pour les garder intéressés.
Les types d’utilisateurs plus en détail:

Les SOCIALISERS (comme dans mon modèle original) sont ceux qui souhaitent interagir. Ils aiment être en relation avec les autres. Ils sont intéressés par les parties du système qui les aide à le faire : c'est leur source de motivation intrinsèque. Ils sont ceux qui vont évangéliser vos réseaux sociaux. 

Les FREE SPIRITS cherchent à agir librement. Ils ont deux sous-types, les CREATORS et les EXPLORERS. Les EXPLORERS ne veulent pas se voir limités dans la manière dont ils effectueront leur périple. Ils sont aussi ceux qui trouveront le plus de brèches dans un système. Les CREATORS désirent fabriquer de nouvelles choses. Ils auront les avatars les plus élaborés. Ce sont ceux qui produiront le plus de contenu. Ils recherchent l’expression de soi et l’autonomie.

Les ACHIEVERS veulent être les meilleurs, ou à tout le moins accomplir des choses. Ils sont prêts à s’investir dans un système. Ils font cela pour eux-mêmes et ne se soucient pas nécessairement d’aller ensuite s’en vanter. Ils compétitionneront avec les autres, mais de façon à devenir meilleurs qu’eux. Le système fournit la plateforme, les autres «joueurs» ne sont que des obstacles à surmonter et à maîtriser. Ils peuvent aussi être motivés par le statut en tant que représentation de leurs accomplissements personnels. Ils ont besoin d’un système qui les enrichira et leur permettra la maîtrise.

Les PHILANTHROPISTS veulent sentir qu’ils font partie de quelque chose de plus grand qu'eux. Ils veulent donner aux autres et n’attendent rien en retour. Ce sont ceux qui répondront aux innombrables questions sur les forums, simplement parce qu’ils ont envie d’aider. Ils veulent un système qui leur permettra d’enrichir les autres et leur donnera le sentiment que tout cela a une signification. 

Les DISRUPTORS veulent changer les choses autour d’eux, perturber le système ou les utilisateurs. Ils viennent en deux sous-groupes : les IMPROVERS et les DESTROYERS. Leurs motivations peuvent être variées. Parfois, c’est en raison du sens que prennent les choses. Ils pensent que perturber le système a une plus grande signification, que ce soit afin d’instruire les créateurs à propos de faiblesses ou pour prouver que le système est mauvais. Ce pourrait aussi être lié à l’autonomie. Chez les types intrinsèques, l’autonomie est vécue comme une motivation positive, source d’exploration et de créativité.  Cependant, ce peut tout aussi bien être pour se libérer du confinement imposé par le système : comment pouvez-vous avoir une véritable autonomie quand des règles que vous n’aimez pas sont en place? Ils peuvent éprouver un sentiment d'accomplissement lorsqu’ils apprennent comment perturber le système et de par le statut que ces actions leur procurent.

Les PLAYERS sont ceux qui aiment obtenir du succès au sein de votre système. Ils espèrent voir leur nom bien situé au classement. Ils aiment le contexte compétitif. Ils sont susceptibles de mettre à profit des failles pour obtenir un avantage. Ils sont en fait un groupe de types d’utilisateurs en eux-mêmes, comme on peut le voir ci-dessous. Ils sont là pour prendre part au jeu et les récompenses extrinsèques les rendent heureux.Approfondissement du type d’utilisateur PLAYER en 4 sous-groupes 

  • SELF SEEKERS : Cherchent à obtenir des microrécompenses pour des actions que poseraient naturellement un PHILANTHROPIST (par exemple, répondre aux questions des autres simplement pour obtenir des points.  
  • CONSUMERS : Cherchent à obtenir des microrécompenses pour des actions similaires à celles des ACHIEVERS (par exemple, quand ils accordent leur loyauté, par la compétition, etc.).
  • NETWORKERS : Cherchent à établir des liens avec les autres de manière à améliorer leur profil ainsi qu’en raison des récompenses que cela pourrait apporter.
  • EXPLOITERS : Cherchent à obtenir des microrécompenses par leur utilisation du système par tous les moyens imaginable (par exemple, en créant des choses, en en trouvant, en «aimant» des pages Facebook pour recevoir des prix, en trouvant des failles qui les aideront à gagner).

Comme vous pouvez le constater, il peut très bien y avoir certains chevauchements des motivations à l’intérieur même du type d’utilisateurs PLAYER. Les CONSUMERS et les EXPLOITERS peuvent partager de nombreuses caractéristiques. La différence, c’est que les EXPLOITERS tenteront de déterminer les limites du système et la manière dont cela peut leur profiter, les amenant souvent jusqu’à faire partie du type DISRUPTOR. De leur côté, les CONSUMERS veulent simplement obtenir des récompenses au moins d'effort possible. Comme c'est leur seule motivation, ils compétitionneront avec les autres seulement si nécessaire.

Interactions possibles

Au sein de votre système, ces différents types d’utilisateurs ont le potentiel de s'influencer.

Par exemple, les PHILANTHROPISTS sont la figure parentale. Ils sont ceux susceptibles de vouloir aider tous ceux qu’ils peuvent, sans tenir compte des motivations des autres. Les EXPLOITERS, au contraire, utiliseront autant qu’ils le peuvent chaque personne et chaque chose afin d’obtenir des gains du système.

Les SOCIALISERS et les NETWORKERS souhaiteront interagir avec les gens. Ils ne chercheront pas à obtenir quoi que ce soit d'eux. Dans le cas d’un NETWORKER, sa récompense vient du fait d’être connecté; là où la récompense du SOCIALISER est de vous connaître et d’interagir avec vous.

Les SELF SEEKERS n’ont pas vraiment d’intérêt envers les autres personnes au sein du système, celles-ci ne sont qu’un moyen pour atteindre une fin (cette fin étant les belles choses qui brillent). De la même manière, les ACHIEVERS ne sont pas là pour les gens. Ils le sont pour leur enrichissement personnel. La grande différence ici, c’est que le SELF SEEKER est celui qui voudra amasser médailles et trophées dans un système pour montrer son expertise aux autres.

Les FREE SPIRITS et les CONSUMERS sont ceux qui ont le moins d’impact sur les autres utilisateurs. Leurs intérêts sont personnels. Ils utilisent le système pour obtenir ce qu’ils veulent. Les autres utilisateurs ne représentent pas d’intérêt à leurs yeux.



 *Comment créer un système équilibré pour tous les types d’utilisateurs?

La réponse est : au prix d’énormes difficultés, et cela dépend des buts de votre système. Cependant, si vous revenez au moment où nous avions seulement cinq types d’utilisateurs, PLAYERS, PHILANTHROPISTS, SOCIALISERS, ACHIEVERS et FREE SPIRITS, les choses deviennent un peu plus claires.

Vous devriez chercher à créer un système qui suscite l’intérêt des quatre types d’utilisateurs et qui mise sur les quatre motivations de base. Rendez votre ludification sociale, donnez-lui un sens et laissez aux élèves une certaine liberté. Puis, intégrez un système de microrécompenses (points, médailles, etc.) réfléchi.

Vous voudrez avoir le plus grand nombre possible d'élèves qui agiront en fonction d'une motivation intrinsèque. Ce sont eux qui reviendront souvent et continueront à produire du contenu ou à remplir le rôle qui leur est destiné.

Anticiper les pièges

Autant les PHILANTHROPISTS que les ACHIEVERS peuvent contribuer au jeu. Les premiers veulent aider tout le monde. Ils aiment répondre aux questions et guider les joueurs. Les ACHIEVERS peuvent aussi le souhaiter. Ils souhaitent être les meilleurs – à maîtriser les choses. Ils souhaiteront donner la meilleure réponse à une question, pas tant pour aider autrui que pour savoir qu’ils sont les meilleurs. Cependant, comme leur objectif est leur enrichissement personnel, il se peut qu'ils redonnent peu à un système visant l’apprentissage – ce qui est pourtant ce que vous souhaitez!

De même, les FREE SPIRITS tendent à redonner très peu aux autres si la seule chose que le système leur permet de faire est d’explorer. S’ils sont présents en trop grand nombre, l’aspect social de votre ludification risque de mal fonctionner. Donnez aux FREE SPIRTIS la chance d’être créatifs si vous souhaitez que les autres retirent quelque chose d’eux.

Au contraire, les SOCIALISERS sont d'excellents évangélisateurs. Ils attireront plus de gens. Cependant, ils n’ajoutent pas autant de contenu que peuvent le faire d’autres types d’utilisateurs. La présence de trop d’entre eux vous laissera devant un simple réseau social.

La présence de DISRUPTORS est inévitable. Assurez-vous d’avoir des règles solides et que vous serez capables de les faire respecter. Gardez aussi à l’esprit que les DISRUPTORS peuvent être des agents d’amélioration comme de destruction.

Si le système est inondé de PLAYERS, vous courez le risque de voir surgir quantité de contenu sans intérêt, ceux-ci votant et participant simplement pour l’obtention de récompenses. L'ensemble du contenu s'en trouve alors dévalué. Garder les PLAYERS contrôlés peut s'avérer coûteux. Tâchez plutôt de créer un système qui les transformera en utilisateurs aux motivations intrinsèques!

 Conclusion:

Bref, l’avenir des univers virtuels est dans les réseaux sociaux… et inversement ! Ne pensez-vous pas que MySpace ou Facebook sont des prétendants bien plus sérieux au titre de la future plateforme sociale de référence que Second Life ou There ?
Quand on y réfléchit bien, que manque-t-il à SL ? Une petite centaine de millions d’utilisateurs ! Que manque-t-il à Facebook ? un simple module 3D gréffé à la Facebook Platform.




Source.: Par Rinny Gremaud

jeudi 18 avril 2013

Snapchat: 3 Vs Instagram : 0

Phénomène - Snapchat génère trois fois plus d'images qu'Instagram
L'application Snapchat permet de profiter de clichés pendant un laps de temps limité. 
Photo stormy / Fotolia


Le PDG de Snapchat, Evan Spiegel, annonce que plus de 150 millions d'images sont envoyées chaque jours depuis son application de prise de vues autodestructrices, rapporte le site Venture Beat.

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Snapchat, une application permettant le partage de sextosInstagram atteint les 100 millions d'utilisateurs

Ce score est à comparer à celui d'Instagram, référence en matière de partage de photos via un terminal mobile et qui revendique de son côté quelque quarante millions de photos échangées.
L'originalité de Snapchat est de pouvoir prendre des photos puis de les partager avec ses amis, mais aussi de pouvoir déterminer pendant combien de temps l'image pourra être vue. De cette manière, il devient amusant de s'échanger, sans risque, des photos tantôt rigolotes, honteuses, voire même coquines.
L'application Snapchat est à télécharger sur l'App Store (iOS) et Google Play (Android).