Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

Aucun message portant le libellé location. Afficher tous les messages
Aucun message portant le libellé location. Afficher tous les messages

lundi 1 juillet 2013

Une page Facebook contre la hausse des loyers

«J'te cède mon bail» - Une page Facebook contre la hausse des loyers
 
Photo AFP

MONTRÉAL - Deux Montréalais ont trouvé une solution pour aider leurs concitoyens à combattre les hausses abusives des loyers. Les fondateurs de la page Facebook «J'te cède mon bail» proposent en effet de partager des offres de cession de bail sur le réseau social.
«Cette formule est avantageuse puisqu'en reprenant le bail du précédent locataire, on évite du subir une augmentation non justifiée. On reprend le contrat dans les mêmes conditions, a expliqué Joachim Luppens, cofondateur de la page Facebook. C'est aussi très difficile pour un propriétaire de refuser ce processus, car il doit alors prouver que le nouveau locataire n'est pas convenable pour l'appartement, ce que la plupart des propriétaires n'ont pas envie d'entreprendre.»
C'est avec sa comparse, Lili Émond, que M. Luppens a décidé d'informer les résidents de la région de Montréal de l'existence de cette pratique, tout à fait légale et utile pour les locataires qui ne veulent pas faire exploser leur budget.
«Nous n'affichons pas d'offres qui dépassent le marché sur la page. On évite des logements dans les quartiers luxueux, parce que ce n'est pas ce que les gens cherchent au départ », souligne M. Luppens.
Celui-ci, qui ne travaille pas dans le domaine immobilier, a voulu rendre service aux personnes qui, chaque année, pendant la période de déménagement, sont aux prises avec des propriétaires parfois sans scrupule. «Depuis le début des années 2000, les loyers n'ont cessé d'augmenter. Plusieurs d'entre eux suivent les règles établies par la Régie du logement et respectent les hausses maximales, mais pas toujours. Il y a aussi un manque d'information sur le processus de cession de bail, les gens ne sont pas au courant», a souligné M. Luppens.
Ce stratagème de défense contre les loyers inabordables gagne en popularité. La page créée en 2008 rejoint aujourd'hui plus de 3700 abonnés. «Il y a eu une explosion des demandes de souscription cette année, presque 2000 nouveaux membres se sont joints à nous», a indiqué M. Luppens.

Mise en garde

La création de la page Facebook ne fait cependant pas que des heureux. La Corporation des propriétaires immobiliers du Québec (CORPIQ) a des réserves face au processus de cession de bail. «Il y a des locataires qui s'en servent pour faire du profit sur le dos du propriétaire», a prévenu Hans Brouillette, directeur des communications pour la CORPIQ.

Celui-ci a reproché à certaines personnes peu scrupuleuses de profiter de loyers fixés à un taux inférieur à l'inflation, donc en dessous de la valeur du marché, pendant plusieurs années, pour ensuite vendre leur bail alléchant pour une somme rondelette. «Nous ne sommes pas contre la cession du bail lorsqu'elle aide des locataires qui doivent déménager, ou qui ne peuvent plus payer leur loyer, mais trop souvent ça avantage les profiteurs», a-t-il dit.


REF.:

vendredi 29 avril 2011

VOD: Films à la demande sur YouTube

Location en ligne - Films à la demande sur YouTube
Les films seront disponible en streaming sur YouTube dès leur sortie en DVD. 
© Courtoisie

YouTube, qui cherche à rivaliser avec la boutique iTunes d'Apple, se prépare à lancer un service de vidéo à la demande («Video on demand» VOD) diffusant des films en flux continu (streaming) qui peuvent être loués par les utilisateurs, d'après le blog cinéma TheWrap.
Avec ses 130 millions d'utilisateurs mensuels, YouTube, le plus gros site de partage de vidéo sur internet (et une propriété de Google) doit annoncer le démarrage d'un nouveau service de VOD qui pourrait être lancé au cours des deux prochaines semaines.
Les grands studios de cinéma, parmi lesquels Sony Pictures, Warner Bros. et Universal, ont vendu des licences de films à YouTube, ainsi que certains studios indépendants comme Lionsgate.
Paramount, Fox et Disney n'ont encore rien signé.
Hollywood se tourne vers les service de diffusion de films en streaming pour compenser la perte de vitesse des ventes de vidéos pour le divertissement à domicile.
«Nous pensons que cela va démarrer avec la VOD, avant de s'étendre à des services de vente de films sur internet, avec le temps», dit un producteur.
YouTube proposera le service de films en streaming le plus complet depuis le lancement de location de films via la boutique iTunes d'Apple (qui propose des films à partir de $2,99) lancé en 2008. La tarification de la location de films sur YouTube n'est pas encore connue.
Les films seront disponible en streaming sur YouTube dès leur sortie en DVD.
Les studios Warner Bros. ont récemment lancé un service de diffusion de films avec Facebook, qui propose des blockbusters comme Inception et Harry Potter sur le site de réseaux sociaux en échange de crédits Facebook.

REF.:

mardi 19 avril 2011

Canada Netflix: les câblos se tournent vers le CRTC

Canada - Netflix: les câblos se tournent vers le CRTC
Netflix a débarqué en septembre sur le marché canadien de la location vidéo et du câble, créant une certaine panique dans ces industries. 
© Courtoisie


L’arrivée sur le marché canadien de diffuseurs étrangers comme Netflix inquiète les câblodistributeurs canadiens qui demandent au Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) de se pencher sur la question.
Un groupe représentant les principales compagnies de câblodistribution du pays a en effet envoyé une lettre à Konrad Von Finckenstein, le patron du CRTC, l’enjoignant de lancer une consultation publique, a-t-on appris jeudi, afin de «déterminer si ces entreprises étrangères devaient soutenir la programmation culturelle canadienne, et comment».
Dans un message envoyé depuis son compte Twitter, le ministre de l’Industrie Tony Clement a indiqué que réglementer les activités de Netflix serait contradictoire avec la volonté du gouvernement d’encourager plus de choix et plus de concurrence.
C’est en septembre que Netflix a débarqué sur le marché canadien de la location vidéo et du câble, créant une certaine panique dans ces industries. La firme américaine propose des milliers de films et d’émissions de télévision diffusés en flux continu pour un abonnement mensuel de 7,99 $.
Netflix n’est pas tenue par le CRTC, comme c’est le cas pour les câblodistributeurs canadiens, de participer au financement de la programmation canadienne.
La lettre envoyée à M. von Finckenstein est signée par Alain Gourd qui se trouve à la tête d’un groupe de travail réunissant environ 35 cadres, dont certains proviennent d’Astral Media et de Rogers Communications.

REF.: