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mardi 23 avril 2024

Comment notre cerveau compense les distractions numériques

 

Comment notre cerveau compense les distractions numériques

Par: Sibylle Turo, Anne-Sophie Cases - 18 avril 2024 à 11h38


Téléphone, mails, notifications... Opposé à toutes les sollicitations auxquelles nous sommes confrontés, le cerveau tente tant bien que mal de rester concentré. Voici comment.


Aujourd'hui, les écrans et les notifications dominent notre quotidien. Nous sommes tous familiers de ces distractions numériques qui nous tirent hors de nos pensées ou de notre activité. Entre le mail important d'un supérieur et l'appel de l'école qui oblige à partir du travail, remettant à plus tard la tâche en cours, les interruptions font partie intégrante de nos vies –et semblent destinées à s'imposer encore davantage avec la multiplication des objets connectés dans les futures «maisons intelligentes».


Cependant, elles ne sont pas sans conséquences sur notre capacité à mener à bien des tâches, sur notre confiance en nous ou sur notre santé. Par exemple, les interruptions engendreraient une augmentation de 3% à 27% du temps d'exécution de l'activité en cours.

En tant que chercheuse en psychologie cognitive, j'étudie les coûts cognitifs de ces interruptions numériques: augmentation du niveau de stress, augmentation du sentiment d'épuisement moral et physique, niveau de fatigue, pouvant contribuer à l'émergence de risques psychosociaux voire du burn-out.


Dans mes travaux, je me suis appuyée sur des théories sur le fonctionnement du système cognitif humain qui permettent de mieux comprendre ces coûts cognitifs et leurs répercussions sur notre comportement. Ce type d'études souligne qu'il devient crucial de trouver un équilibre entre nos usages des technologies et notre capacité à nous concentrer, pour notre propre bien.


Pourquoi s'inquiéter des interruptions numériques?

L'intégration d'objets connectés dans nos vies peut offrir un contrôle accru sur divers aspects de notre environnement, pour gérer nos emplois du temps, se rappeler les anniversaires ou gérer notre chauffage à distance, par exemple. En 2021, les taux de pénétration des maisons connectées (c'est-à-dire, le nombre de foyers équipés d'au moins un dispositif domestique connecté, englobant également ceux qui possèdent uniquement une prise ou une ampoule connectée) étaient d'environ 13% dans l'Union européenne et de 17% en France (contre 10,7% en 2018).

Si la facilité d'utilisation et l'utilité perçue des objets connectés ont un impact sur l'acceptabilité de ces objets pour une grande partie de la population, les interruptions numériques qui y sont souvent attachées entravent notre cognition, c'est-à-dire l'ensemble des processus liés à la perception, l'attention, la mémoire, la compréhension, etc.

L'impact des interruptions numériques peut s'observer aussi bien dans la sphère privée que dans la sphère professionnelle. En effet, une personne met en moyenne plus d'une minute pour reprendre son travail après avoir consulté sa boîte mail. Les études mettent ainsi en évidence que les employés passent régulièrement plus de 1h30 par jour à récupérer des interruptions liées aux courriels. Cela entraîne une augmentation de la charge de travail perçue et du niveau de stress, ainsi qu'un sentiment de frustration, voire d'épuisement, associé à une sensation de perte de contrôle sur les événements.


On retrouve également des effets dans la sphère éducative. Ainsi, dans une étude de 2015 portant sur 349 étudiants, 60% déclaraient que les sons émis par les téléphones portables (clics, bips, sons des boutons, etc.) les distrayaient. Ainsi, les interruptions numériques ont des conséquences bien plus profondes que ce que l'on pourrait penser.

Mieux comprendre d'où vient le coût cognitif des interruptions numériques

Pour comprendre pourquoi les interruptions numériques perturbent tant le flux de nos pensées, il faut jeter un coup d'œil à la façon dont notre cerveau fonctionne. Lorsque nous réalisons une tâche, le cerveau réalise en permanence des prédictions sur ce qui va se produire. Cela permet d'adapter notre comportement et de réaliser l'action appropriée: le cerveau met en place des boucles prédictives et d'anticipation.


Ainsi, notre cerveau fonctionne comme une machine à prédire. Dans cette théorie, un concept très important pour comprendre les processus d'attention et de concentration émerge: celui de la fluence de traitement. Il s'agit de la facilité ou la difficulté avec laquelle nous traitons une information. Cette évaluation se fait inconsciemment et résulte en une expérience subjective et non consciente du déroulement du traitement de l'information.

Le concept de fluence formalise quelque chose que l'on comprend bien intuitivement: notre système cognitif fait tout pour que nos activités se déroulent au mieux, de la manière la plus fluide (fluent, en anglais) possible. Il est important de noter que notre cognition est «motivée» par une croyance qu'il formule a priori sur la facilité ou la difficulté d'une tâche et en la possibilité de réaliser de bonnes prédictions. Cela va lui permettre de s'adapter au mieux à son environnement et au bon déroulement de la tâche en cours.

Notre attention est attirée par les informations simples et attendues

Plus l'information semble facile à traiter, ou plus elle est évaluée comme telle par notre cerveau, plus elle attire notre attention. Par exemple, un mot facile à lire attire davantage notre regard qu'un mot difficile. Cette réaction est automatique, presque instinctive. Dans une expérience, des chercheurs ont mis en évidence que l'attention des individus pouvait être capturée involontairement par la présence de vrais mots par opposition à des pseudo-mots, des mots inventés par les scientifiques tels que «HENSION», notamment lorsqu'on leur demandait de ne pas lire les mots présentés à l'écran.


Ainsi, une de nos études a montré que la fluence –la facilité perçue d'une tâche– guide l'attention des participants vers ce que leur cerveau prédit. L'étude consistait à comprendre comment la prévisibilité des mots allait influencer l'attention des participants. Les participants devaient lire des phrases incomplètes, puis identifier un mot cible entre un mot cohérent et un mot incohérent avec la phrase. Les résultats ont mis en évidence que les mots cohérents, prédictibles, attiraient plus l'attention des participants que les mots incohérents.


Il semblerait qu'un événement cohérent avec la situation en cours attire plus l'attention et, potentiellement, favorise la concentration. Notre étude est, à notre connaissance, l'une des premières à montrer que la fluence de traitement a un effet sur l'attention. D'autres études sont nécessaires pour confirmer nos conclusions. Ce travail a été lancé, mais n'a pas pu aboutir dans le contexte de la pandémie de Covid-19.

Les événements imprévus provoquent une «rupture de fluence»

Comme nous l'avons vu, notre système cognitif réalise en permanence des prédictions sur les événements à venir. Si l'environnement n'est pas conforme à ce que notre cerveau avait prévu, nous devons d'une part adapter nos actions (souvent alors qu'on avait déjà tout mis en place pour agir conformément à notre prédiction), puis essayer de comprendre l'événement imprévu afin d'adapter notre modèle prédictif pour la prochaine fois.


Par exemple, imaginez que vous attrapiez votre tasse pour boire votre café. En la saisissant, vous vous attendez a priori à ce qu'elle soit rigide et peut-être un peu chaude. Votre cerveau fait donc une prédiction et ajuste vos actions en fonction (ouverture de la main, attraper la tasse plutôt vers le haut).


Imaginez maintenant que lorsque vous la saisissiez, ce ne soit pas une tasse rigide, mais un gobelet en plastique plus fragile. Vous allez être surpris et tenter d'adapter vos mouvements pour ne pas que votre café vous glisse entre les mains. Le fait que le gobelet plie entre vos doigts a créé un écart entre ce que votre système cognitif avait prédit et votre expérience réelle: on dit qu'il y a une rupture de fluence.

Les interruptions numériques perturbent notre système prédictif

Les interruptions, qu'elles soient numériques ou non, ne sont pas prévues par nature. Ainsi, un appel téléphonique impromptu provoque une rupture de fluence, c'est-à-dire qu'elle contredit ce que le cerveau avait envisagé et préparé.


L'interruption a des conséquences au niveau comportemental et cognitif: arrêt de l'activité principale, augmentation du niveau de stress, temps pour reprendre la tâche en cours, démobilisation de la concentration, etc.

La rupture de fluence déclenche automatiquement la mise en place de stratégies d'adaptation. Nous déployons notre attention et, en fonction de la situation rencontrée, modifions notre action, mettons à jour nos connaissances, révisons nos croyances et ajustons notre prédiction.


La rupture de fluence remobilise l'attention et déclenche un processus de recherche de la cause de la rupture. Lors d'une interruption numérique, le caractère imprévisible de cette alerte ne permet pas au cerveau d'anticiper ni de minimiser le sentiment de surprise consécutif à la rupture de fluence: la (re)mobilisation attentionnelle est alors perturbée. On ne sait en effet pas d'où va provenir l'interruption (le téléphone dans sa poche ou la boîte mail sur l'ordinateur) ni ce que sera le contenu de l'information (l'école des enfants, un démarchage téléphonique, etc.).

Des stratégies vers une vie numérique plus saine

Trouver un équilibre entre les avantages de la technologie et notre capacité à maintenir notre concentration devient crucial. Il est possible de développer des stratégies afin de minimiser les interruptions numériques, d'utiliser les technologies de façon consciente et de préserver notre capacité à rester engagés dans nos tâches.


Cela pourrait impliquer la création de zones de travail sans interruption (par exemple, la réintroduction du bureau conventionnel individuel), la désactivation temporaire des notifications pendant une période de concentration intense (par exemple, le mode silencieux du téléphone ou le mode «focus» de logiciels de traitement de texte), ou même l'adoption de technologies intelligentes qui favorisent activement la concentration en minimisant les distractions dans l'environnement.

En fin de compte, l'évolution vers un environnement de plus en plus intelligent, ou du moins connecté, nécessite une réflexion approfondie sur la manière dont nous interagissons avec la technologie et comment celle-ci affecte nos processus cognitifs et nos comportements. Le passage de la maison traditionnelle à la maison connectée relève des problématiques du projet «Habitat urbain en transition» (HUT) pour lequel j'ai travaillé dans le cadre de mon postdoctorat.

De nombreux chercheurs (sciences de gestion, droit, architecture, sciences du mouvement, etc.) ont travaillé autour des questions de l'hyperconnexion des habitations, des usages et du bien-être, au sein d'un appartement-observatoire hyperconnecté. Cela nous a permis de déterminer ensemble les conditions idéales du logement du futur, mais aussi de déceler l'impact des technologies au sein d'un habitat connecté afin d'en prévenir les dérives.


REF.: https://www.slate.fr/story/266541/telephone-mail-notifications-cerveau-distractions-interruptions-numeriques-cognition-attention-concentration-comportement-sciences?fbclid=IwZXh0bgNhZW0BMQABHUI3heHjiK4TD-1f6JFlBpNzDhGlzQvMeO2CcHH2Q-MP8XeVlKAEvfA6PA_aem_AfHgToqUL5_5PRuTY4YXmPQ3PQo1Bfk5vc74b3YmnLaba_xJN-NpK5hoc4KGTt1sb3U#lv5wenoi8mue6qm7fex

The Conversation

Sibylle Turo est docteure en psychologie cognitive et postdoctorante sur le projet «Habitat urbain en transition» (HUT) à l'université de Montpellier. Anne-Sophie Cases est professeure des universités, laboratoire MRM de l'université de Montpellier.


mardi 20 février 2024

Il faut toujours être vrai dans la vie: Vrai ou Faux ?

Il faut toujours être vrai dans la vie: Vrai ou Faux ?


On dit qu'il faut toujours être vrai dans la vie. Mais si en faisant cela ça me blesse moi ainsi que mon ami, pourquoi je me sens mal après ? 


Pourquoi j'ai toujours l'impression d'être là méchante a chaque fois ?


10 févr.

Bonjour en français il y a une expression : "tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler". Cela signifie qu'il est sage de réfléchir attentivement avant de dire quelque chose, de prendre le temps de choisir ses mots avec précaution pour éviter de dire quelque chose de regrettable ou de mal interprété.


… Il faut reconnaître que des fois nous sommes plus tournés vers nos propres réactions et notre petite propos que vers l'écoute. Notre réponse fut-elle vraie et juste pour nous, elle laisse peu de place à l'autre.


Je retrouve les mots de Nisargadatta Maharaj qui m'accompagnent souvent lors de mon accompagnement thérapeutique :


"que savez-vous de moi alors que notre discussion ne se déroule que dans votre monde ?"


La vraie curiosité pour l'autre et son monde, sa vérité à lui, est peut-être la clé d'une communication saine.


23 déc.

Coucou ;)


Je me permets d'essayer de répondre à ta question.


Par "vrai" j'entends "authenticité", et c'est une très belle qualité… L'honnêteté qui va souvent de pair est formidable. Ce sont deux traits de personnalité à conserver coûte que coûte ^-^


Faut il toujours être "vrai" dans la vie ? Peut être pas dans les situations où, justement, cela peut se révéler blessant pour les autres. Certaines remarques peu importantes peuvent être gardées pour soi. C'est faire preuve d'empathie et de clémence, de bienveillance.


Si c'est important, alors oui il est utile de dire les choses, et il est généralement souhaitable d'arriver à communiquer avec du recul et/ou un peu d' humour ;) Cela t'évitera peut être ce sentiment de passer pour la "méchante" parce que tu dis les choses trop abruptement sans doute ;)


J'espère avoir pu t'aiguiller, bon courage à toi ✨


29 déc.

L'on vous a menti. La vérité n'est pas toujours bonne à dire. Et tout le monde n'est pas prêt à l'entendre.


REF.: https://psychopathologiedelavraievie.quora.com

mardi 18 mai 2021

17 signes indiquant que vous êtes la personne toxique dans votre couple

 

 

17 signes indiquant que vous êtes la personne toxique dans votre couple

Parfois, dans le couple, le problème n’est pas toujours l’autre… et si la personne toxique, c’était vous?

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ISTOCK/ALEXANDRA IAKOVLEVA

Vous faites un méga complexe de supériorité

Les gens méprisants détruisent leur relation simplement à force de voir leur partenaire comme leur étant inférieur. Roulement d’yeux, moue de dégoût, sarcasmes ne sont que quelques-uns des témoignages de mépris dont vous gratifiez votre partenaire. «Le mépris est dégradant, observe Stan Tatkin, un psychologue ayant mis au point une approche psychologique de la thérapie de couple. Ça dit : tu es idiot.» L’université du Michigan a étudié 373 couples nouvellement mariés et découvert que les couples qui s’engueulaient, manifestaient du mépris pour l’un pour l’autre ou s’esquivaient en cas de conflit dès la première année de leur mariage étaient les plus susceptibles de divorcer.

Sachez reconnaître ces 8 signes indiquant que votre mariage va tout droit vers un divorce.

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Shutterstock

Vous êtes maître dans l’art de la manipulation

Nous savons tous que le mensonge est préjudiciable à toute relation, mais mener l’autre en bateau est carrément destructeur. Cette stratégie (aussi connue sous le nom de «gaslighting»), est une forme d’abus mental consistant à accuser votre partenaire d’avoir perdu la tête ou de devenir paranoïaque afin de détourner son attention de vos mensonges flagrants. «C’est une triple menace: vous ne divulguez pas de l’information, vous mentez à ce sujet et vous manipulez ensuite l’autre pour l’amener à croire qu’il ou elle est à l’origine du problème, dit le Dr Tatkin. Cela porte à la relation un tort irréparable.»

Voici les 10 pires mensonges que les hommes disent aux femmes.

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UNIKYLUCKK/Shutterstock

Vous êtes rabat-joie

Les gens qui manquent de confiance en eux ont tendance à saboter une relation parfaitement saine en analysant à l’excès le moindre baiser, le moindre mot, ou en nourrissant une peur maladive d’être abandonné par l’autre. Des études laissent penser que les personnes ayant une mauvaise estime de soi sont plus susceptibles que les autres de craindre le rejet et d’éviter tout comportement qui pourrait le provoquer – comme parler à son partenaire de ce que l’on ressent vraiment. À moins que votre partenaire vous propose de vous aider à travailler sur votre manque de confiance, peut-être vaudrait-il mieux prendre un peu de recul par rapport à votre relation pour travailler sur vous-même. «Ce qui importe vraiment ici, c’est d’être entouré de gens positifs qui vous aiment et vous valorisent, dit Sadie Leder-Elder, qui enseigne la psychologie à l’université High Point de Caroline du Nord. Passez du temps avec des amis et des membres de votre famille plutôt qu’avec de nouvelles relations.» Faites des choses qui vous font vous sentir bien en vous inscrivant par exemple à un nouveau cours de conditionnement physique ou en faisant du bénévolat dans un refuge pour animaux.

Essayez ces 20 gestes pour renforcer la confiance en soi.

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Shutterstock

Vous menacez constamment de rompre

Personne n’aime perdre son temps et son énergie à se disputer, mais vous ne pouvez pas sortir la carte de la rupture chaque fois que les choses se corsent. Menacer de prendre une pause ou de rompre ne va rien arranger. «On utilise en général ces menaces pour faire rentrer l’autre dans le rang, note le Dr Tatkin. Mais on ne devrait jamais menacer de mettre fin à une relation à moins d’avoir réellement l’intention de le faire.» Au lieu d’essayer de vous en tirer par la menace, prenez un peu de recul le temps de vous calmer et ainsi éviter de vous laisser déborder par des pensées et des paroles que vous pourriez regretter ensuite.

Attention: ces 25 comportements sont des causes de rupture, selon les femmes.

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Multi-Share/Shutterstock

Vous avez trop de tempérament

Il ne vous en faut pas beaucoup pour vous faire exploser. Au moindre truc de travers, vous passez en mode attaque et aux remarques désobligeantes – que vous ne pensez pas vraiment. «Vous vivez ces cycles de colère, de remords et de honte sans vraiment comprendre, dit Sari Cooper, travailleuse sociale à New York. Vous devez vous regarder et vous demander: “Qu’est-ce qui ne va pas avec moi ?”» La Dre Cooper suggère de noter dans un journal chaque fois que vous sentez la colère monter afin d’en établir la cause ou de «prendre la température» en évaluant votre énervement de 1 à 10. Si vous savez que vous perdez les pédales à 9, essayez d’imaginer comment vous vous sentez à 2, puis identifiez ce qui a provoqué cette escalade pour vous amener à retrouver votre calme. Quand vous atteignez 6 ou 7, prenez une pause, le temps de retrouver vos esprits. Si vous ne le faites pas, vous risquez de vous retrouver à ce niveau 9 que vous redoutez.

Essayez dès maintenant ces 6 trucs pour calmer sa colère.

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ISTOCK/MIKKELWILLIAM

Vous ne réglez jamais aucun de vos problèmes

Si vous négligez de tuer les problèmes dans l’œuf, ils ne vont faire qu’empirer et finir par vous exploser au visage, ce qui pourrait amener votre partenaire à vous en vouloir. Il existe en effet dans notre cerveau une chose appelée «biais de négativité» qui serait responsable de ce ressentiment. Pourquoi? Parce que notre cerveau est plus susceptible de se souvenir des aspects négatifs des choses, explique le Dr Tatkin. Des études ont même démontré que, lorsqu’ils veulent apprendre, se forger une première opinion de quelqu’un ou donner un sens à leurs expériences, les humains ont davantage tendance à utiliser les stimuli négatifs que les informations positives. Cela s’explique peut-être par le fait que l’amygdale, la zone de notre cerveau qui gère les émotions, serait légèrement plus réceptive aux émotions négatives, celles-ci étant généralement un peu plus intenses que celles qui sont positives. «Si vous ne vous excusez jamais ou n’admettez jamais que vous avez tort afin de rétablir les choses, votre partenaire va accumuler les souvenirs négatifs liés aux comportements d’inégalité et d’injustice, poursuit le Dr Tatkin. Cela peut briser votre couple.»

Transformez vos pensées négatives en pensées positives avec la florithérapie!

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Vous êtes accro aux médias sociaux

Nous sommes constamment sur Facebook et Instagram à tirer des égoportraits et à publier des commentaires sans jamais penser aux conséquences. Pourtant, des études ont établi qu’être très porté sur les médias sociaux peut créer certaines ambiguïtés dans une relation, et même causer de la jalousie. Cela peut être parce que vous affichez des selfies osés, parce que vous négligez d’envoyer des nouvelles de votre relation ou parce que vous flirtez avec des ex ou avec des étrangers sur internet. «Vous laisser envahir par ces technologies peut vous transformer bien involontairement en personne toxique dans votre couple, constate la Dre Leder-Elder. Votre désir de reconnaissance des autres peut susciter une jalousie dont n’a sûrement pas besoin votre couple.» Pourquoi ne pas plutôt vous asseoir et voir avec votre partenaire comment vous pourriez faire des médias sociaux un atout dans le succès de votre couple?

Découvrez comment la technologie peut nuire à vos relations et à votre santé.

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Antonio Guillem/Shutterstock

Vous vous brouillez rapidement avec vos amis et vos relations

Prenez un peu de recul et regardez qui vous entoure. Y voyez-vous des amis, des membres de votre famille, ou au contraire réalisez-vous que vous avez brûlé les ponts avec beaucoup de gens autour de vous ? Si tel est le cas, le temps est venu de regarder les choses en face et de vous demander si le problème, ce ne serait pas vous.

«Beaucoup de gens qui agissent mal le font sans en être conscients, note Rachel Sussman, travailleuse sociale clinique spécialisée en thérapie conjugale et familiale à New York. Vous ne pouvez pas établir une stratégie pour changer les choses si vous ne comprenez pas ce qui va mal.» Essayez d’appeler un ou une ex ou un ami pour comprendre pourquoi ça s’est mal passé et voir les erreurs que vous avez commises.

Renseignez-vous sur les façons de mettre fin à une amitié toxique.

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Vous ne pensez qu’à vous

Les gens narcissiques sont extrêmement égocentriques et n’éprouvent aucun remords pour le mal qu’ils font aux autres, ce qui les rend difficiles à vivre. «Ils n’ont conscience que de ce que leur partenaire leur fait, mais pas du tout de ce qu’ils ou elles lui font», explique le Dr Tatkin. Le narcissisme est un comportement difficile à vaincre, mais vous pouvez y parvenir en reconnaissant avoir traité les autres injustement et être égocentrique dans votre relation. La première étape lorsqu’on veut changer un comportement, c’est de reconnaître que vous avez un problème et de trouver des moyens d’y remédier.

Apprenez à reconnaitre une personne narcissique.

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Vous manquez de détermination

Rien n’est plus irritant qu’une personne souffrant d’indécision chronique. Tout ce que votre relation a de gratifiant s’envole dès le moment que vous faites preuve d’indécision face à l’être aimé. «Les gens détestent les ruptures, dit la Dre Leder-Elder. Ils n’aiment pas être seuls. Ils veulent vivre en relation avec quelqu’un.»

Cette manière de penser devient problématique lorsque vous donnez à l’autre de faux espoirs alors qu’en réalité vous n’êtes pas prêt à vous investir dans une relation, mais que vous ne voulez simplement pas rester seul ou seule. Vous devez être honnête avec votre partenaire dès le départ concernant vos doutes quant à cette relation et à ce que vous en espérez. De cette manière, l’autre saura dans quoi il s’engage.

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Vos amis et votre famille posent problème

Croyez-le ou non, mais votre réseau rapproché peut fiche en l’air votre relation. «Si vous êtes entouré de gens qui vous soufflent à l’oreille que cette personne n’est pas celle qu’il vous faut, que vous méritez mieux, cela pourrait finir par affecter votre relation, puisque vous êtes en lutte constante avec les êtres qui vous sont chers», dit la Dre Leder-Elder. Pour réduire ces tensions, organisez un événement au cours duquel l’homme ou la femme que vous aimez fera plus ample connaissance avec vos proches.

Si ça ne marche pas, vous risquez de vous retrouver devant cet ultimatum: choisir entre votre famille et votre partenaire. Mais la Dre dit que ça peut être une décision très difficile qui ne vaut la peine d’être envisagée que si vous êtes dans une relation à long terme et dont vous êtes absolument sûr, auquel cas vous pouvez effectivement choisir l’amour plutôt que les liens de sang.

Découvrez ces 7 règles pour faire durer votre relation amoureuse.

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Vous évitez les conflits comme la peste

La vie est pleine de hauts et de bas, tout comme les relations, aussi vous faut-il accepter que tout n’est pas que roses et miel ! «Les gens pensent bien faire en esquivant le conflit, mais c’est en réalité une attitude qui peut se révéler très dangereuse, dit le Dr Tatkin. Cela peut rendre dingue votre partenaire parce qu’il ou elle ne peut parler de rien qui ne soit pas positif.»

La solution, c’est de réussir à surmonter votre malaise face au conflit fin que vous et votre partenaire puissiez aborder le problème tout en montrant que vous êtes là pour apporter votre soutien et pour écouter.

Si vous avez peur de ne pas savoir vous y prendre, suivez ces 14 étapes pour résoudre un conflit relationnel.

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Vous n’assumez jamais vos actes

Si vous blâmez toujours les autres pour vos erreurs, vous conforterez peut-être votre ego… mais nuirez à coup sûr à votre relation. «Nous nous protégeons tous contre la souffrance, dit le Dr Tatkin. Si votre partenaire se plaint de vous, vous risquez de vous sentir mal et de penser qu’il s’en prend à vous pour des motifs inavoués.» Vous vous servez sans doute du reproche comme d’une béquille pour détourner votre souffrance, mais personne ne va vous accompagner très longtemps dans cette voie. Reconnaître ses erreurs est un moyen parmi tant d’autres de faire durer votre relation.

Découvrez 11 règles qu’il est possible de briser dans un couple.

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ISTOCK/DIGITALSKILLET

Vous ne montrez pas vos émotions

Même si vous ne le faites pas intentionnellement, afficher un visage de marbre ou manquer de sensibilité envers l’être aimé peut l’amener à douter de vos véritables sentiments. «Les gens qui ne réagissent pas ou très peu sont toxiques pour leur partenaire, soutient le Dr Tatkin. Cela le plonge dans une profonde insécurité parce qu’il ou elle va interpréter ça comme une menace, même si ce n’en est pas une.» Offrez une écoute active en produisant des sons et des expressions faciales quand votre partenaire vous parle afin de lui faire savoir ce que vous en pensez.

Les relations toxiques concernent également le travail. Détectez ces 5 types de collègues toxiques et sachez comment réagir.

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Vous humiliez votre partenaire

Certaines personnes n’ont pas conscience des effets de leurs critiques blessantes. Elles peuvent sans sourciller humilier quelqu’un à cause de son apparence, de ses désirs sexuels ou de sa carrière. Si on vous a déjà souvent qualifié de petite brute, vous devriez peut-être régler ce problème avant de vous retrouver seul. «Vous devez vous mettre à la place de l’autre et comprendre ce que vous ressentiriez si on vous ridiculisait de cette façon, note Rachel Sussman. Établissez une liste de tactiques pour vous permettre de formuler votre problème envers l’être aimé, mais en y mettant de l’amour.»

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wavebreakmedia/Shutterstock

Vous ne soutenez pas votre partenaire

Dans un couple, il est important que chacun protège l’autre. Mais chaque fois que vous permettez à un membre de la famille ou à des amis de dire du mal de votre partenaire, vous violez cette règle. Personne ne va sortir avec vous s’il doute de votre solidarité. «Toute relation repose fondamentalement sur un désir de sécurité, pas sur l’amour, l’attirance ou la romance, dit le Dr Tatkin. Si vous ne comblez pas ce besoin afin que l’autre éprouve ce sentiment de sécurité, vous ébranlez les fondements mêmes de ce désir de partager la vie d’une autre personne.»

Inspirez-vous de ces 11 raisons d’avoir une confiance absolue en votre partenaire.

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Sjale/Shutterstock

Votre partenaire est toujours le dernier à savoir ce qui se passe

Toute relation se situe dans une hiérarchie, et l’être que vous aimez devrait se situer au sommet de cette pyramide, ce qui veut dire qu’il ou elle est la première personne à qui vous vous confiez. Tout manquement à cette règle pourrait être interprété comme une trahison. «Vous ne devriez pas avoir à vous demander ce que vous pouvez dire ou pas à votre partenaire, explique le Dr Tatkin. Vous devez vous assumer et parler en toute liberté.»

Découvrez les témoignages de femmes qui vivent une infidélité.

 

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jeudi 12 juillet 2018

Est-ce “Justice” que d’ajouter de la peine à la peine ?





Quelles sont les solutions apportées par le système décadent actuel à la peine infligée à un être par un autre ?
Réponse : la justice des hommes
Et quelle est cette justice des hommes ?
Apporter plus de peine à la peine déjà existante. Punir l'agresseur, le tueur, le violeur, le voleur, et l'emprisonner dans des conditions parfois inhumaines... ajouter de la peine dans le monde.
Cette solution radicale (mécanique mentale) est tellement ancrée dans la programmation mentale de l'humanité depuis des millénaires qu'elle nous semble tout à fait normale. Mais l'est elle pour autant ? N'y a t il pas d'autres solutions ?
Cet article m'est venu suite au visionnage de cette vidéo :
Dans cette vidéo, on voit que des jeunes ont brulé une bibliothèque en réponse à leur peine d'avoir perdu un de leur camarades tué lors d'un contrôle de police.
Leur réponse à été d'ajouter de la peine à la peine. Ce qu'on appelle communément "Vengeance".
Sur quel modèle de pensées ces jeunes ont créé cette réaction qui n'apporte au monde que plus de souffrance ?
Si on regarde du coté de la soit distante "Justice" humaine officielle, c'est exactement ce que font les juges, ils ajoutent de la peine à la peine. La justice humaine ressemble comme deux gouttes d'eau à de la Vengeance en bande organisée.
Untel a commit tel acte, on l'envoi en prison créant encore plus de peine dans le monde non seulement pour celui qui a commit la faute, mais aussi pour tous ses proches qui l'aiment.
Mais alors comment faire ?
On ne peut pas laisser des gens dangereux pour autrui en liberté. Là dessus ont est d'accord. Mais quelles sont les autres solutions ?
D’où vient le mal qui a fait de ces gens des dangers pour autrui ?
Quel est le bug dans notre système qui a créé ces maladies mentales et comment y remédier ?
Pourquoi rajouter du vinaigre sur la blessure ? Est pour régler le problème ou pour éviter de regarder la racine du mal ?
Le monde est il plus sur depuis que la Justice Vengeance en bande organisée est ?
A en croire ce qu'on voit cette Justice des hommes n'arrange rien, il y a toujours plus de crimes dans les rues car le système fabrique lui même ses propres dérèglements mentaux.
Peut être serait il intéressant de s'attaquer a la racine du mal plutôt qu'a ses conséquences ?
I AM – Quel est la cause des causes du problème avec notre monde ?
Dans certains villages en Afrique, chaque naissance donnent lieu à une chanson, un air de musique, chanté par la mère et l'ensemble du village au nouveau né. Chaque enfant reçoit sa propre chanson, sa propre musique.
Quand un crime est commit par un des membres de la Tribu, le coupable est mit au centre d'un cercle formé par tous les membres de la Tribu et la chanson donnée à sa naissance lui est chanté par tous les villageois, jusqu’à ce que le coupable s’effondre sous le poids de l'Amour et reprenne sa raison. Il est soigné et aimé, et non pas puni.
Cela est possible dans les villages traditionnels car le lien de vie en communauté les unis tous. Ce sont ces liens qui nous ont été coupés et qui provoques de telles dérives mentales.
La Justice humaine ne prend pas en compte le lien invisible qui nous unis tous, que nous nous connaissions ou pas. La justice humaine traite des individus séparés et non pas le corps de l'humanité toute entière.
Quand un doigt de cette humanité est malade, il est coupé au lieu d’être soigné. C'est notre propre humanité à chaque fois qui est amputée.
C'est l'illusion de la séparation qui conduit a de telles délire égo-maniaques de "œil pour œil, dent pour dent"...
“On ne peut pas résoudre un problème avec le même niveau de pensée que celle qui l'a créé.” Albert Einstein.
Le problème est créé par le mental, il doit être résolu par le cœur.
La Justice humaine ne comprend pas notre inter-dépendance et les liens énergétiques qui eux ne connaissent pas les murs des prisons et se propagent telle une peste énergétique au reste du corps de l'humanité. Sans parler des conséquences mentales désastreuses pour ceux qui sortent de prison encore plus violents que lorsqu'ils y sont entré.
La Justice Divine existe déjà, cela s'appelle le Karma, et c'est pas la peine d'en rajouter.
Jeshua disait à ceux qui voulaient lapider la femme adultère : "Que celui qui n'a jamais péché lui jette la première pierre".
Lequel d'entre nous pourrait jeter cette première pierre ?
Quelle est la limite de votre perception de la réalité ?
Si vous pensez "je n'ai jamais commit tel ou tel acte dans ma vie" de quelle vie parlez vous ?
Vous rappelez vous vos autres vies ?
Qu'en savez vous si vous n'avez pas commit un tel acte ?
Jusqu’où pouvez vous vous voir ? Qui êtes vous ?
Quand un être a atteint l'illumination, le Samadhi, il sait qu'il est le Tout. Donc impossible de punir un autre reflet du Soi car il n'y a rien d'autre a punir que soi-meme.
D’où les mots : "Ce que tu fais aux autres tu te le fais a toi même".
Ou bien encore : "Celui qui vit par l'épée périra par l'épée".
Celui qui porte l'épée peut se targuer d’être un Juge, un justicier, un protecteur ou peut importe... le bon punisseur n'existe pas, c'est juste une idée dans le mental malade de certains humains qui se prennent pour ce qu'ils ne sont pas.
Alors quelles sont les solutions ?
En Amont :
Étaler la vérité (ce qui est en train de se faire) concernant l'inter-connexion de toutes choses (merci aux physiciens quantiques pour cela).
Arrêter les disparités causées par le Capitalisme.
Ré-inverser (remettre a l'endroit) les valeurs... la compétition est une maladie mentale, la collaboration est ce qui est naturel, organique, voulu par Dieu.
Arrêter la programmation mentale de la violence dans les films et les jeux.
Redonner l'autonomie et retisser les liens. Le retour des Tribus.
Rétablir la connexion a Dieu dans le cœur des gens.
En Aval :
Quand un crime est commit, celui qui a commit la faute doit être isolé pour être traité comme le serait tout malade. Ceci peut se faire dans la nature, sur une ile ou dans un endroit délimité par des murs mais pas dans des cellules de 4m2, dehors en pleine nature. Les "prisonniers" pourraient y apprendre le jardinage et l'autonomie, tout le nécessaire pour qu'une fois soignés ils puissent vivre une belle vie en harmonie avec les autres et leur environnement.
Avec amour, patience, tolérance et bienveillance, on pourrait sortir du positif pour tout le monde au lieu simplement de punir celui qui souffre déjà.
C'est sur que vu d'ici, en 2018, on a du mal à voir cela car on est tous tellement programmés à la violence et la vengeance et la facilité...
C'est sur aussi qu'il y aura des ratés... mais n'y en a t il pas déjà beaucoup ?
Une roue qui tourne dans le mauvais sens depuis de millénaires mettra du temps a s'inverser au niveau collectif. Mais il faut bien commencer non ?
C'est a nous de trouver les solutions, mais ce qui est certain c'est que le système actuel mène droit dans le mur. Il faut tout changer.
Terre 2.0 arrive a grands pas. Et cela commence par un changement intérieur. En chacun de nous. Et c'est pas la peine de regarder ailleurs qu'en vous pour voir les progrès des autres, occupez vous de vous, ça se propagera naturellement.
Patience et courage <3 p="">
Namaste

REF.:

Terre 2.0 arrive a grands pas

Est-ce “Justice” que d’ajouter de la peine à la peine ?


Quelles sont les solutions apportées par le système décadent actuel à la peine infligée à un être par un autre ?
Réponse : la justice des hommes
Et quelle est cette justice des hommes ?
Apporter plus de peine à la peine déjà existante. Punir l'agresseur, le tueur, le violeur, le voleur, et l'emprisonner dans des conditions parfois inhumaines... ajouter de la peine dans le monde.
Cette solution radicale (mécanique mentale) est tellement ancrée dans la programmation mentale de l'humanité depuis des millénaires qu'elle nous semble tout à fait normale. Mais l'est elle pour autant ? N'y a t il pas d'autres solutions ?
Cet article m'est venu suite au visionnage de cette vidéo :
Dans cette vidéo, on voit que des jeunes ont brulé une bibliothèque en réponse à leur peine d'avoir perdu un de leur camarades tué lors d'un contrôle de police.
Leur réponse à été d'ajouter de la peine à la peine. Ce qu'on appelle communément "Vengeance".
Sur quel modèle de pensées ces jeunes ont créé cette réaction qui n'apporte au monde que plus de souffrance ?
Si on regarde du coté de la soit distante "Justice" humaine officielle, c'est exactement ce que font les juges, ils ajoutent de la peine à la peine. La justice humaine ressemble comme deux gouttes d'eau à de la Vengeance en bande organisée.
Untel a commit tel acte, on l'envoi en prison créant encore plus de peine dans le monde non seulement pour celui qui a commit la faute, mais aussi pour tous ses proches qui l'aiment.
Mais alors comment faire ?
On ne peut pas laisser des gens dangereux pour autrui en liberté. Là dessus ont est d'accord. Mais quelles sont les autres solutions ?
D’où vient le mal qui a fait de ces gens des dangers pour autrui ?
Quel est le bug dans notre système qui a créé ces maladies mentales et comment y remédier ?
Pourquoi rajouter du vinaigre sur la blessure ? Est pour régler le problème ou pour éviter de regarder la racine du mal ?
Le monde est il plus sur depuis que la Justice Vengeance en bande organisée est ?
A en croire ce qu'on voit cette Justice des hommes n'arrange rien, il y a toujours plus de crimes dans les rues car le système fabrique lui même ses propres dérèglements mentaux.
Peut être serait il intéressant de s'attaquer a la racine du mal plutôt qu'a ses conséquences ?
I AM – Quel est la cause des causes du problème avec notre monde ?
Dans certains villages en Afrique, chaque naissance donnent lieu à une chanson, un air de musique, chanté par la mère et l'ensemble du village au nouveau né. Chaque enfant reçoit sa propre chanson, sa propre musique.
Quand un crime est commit par un des membres de la Tribu, le coupable est mit au centre d'un cercle formé par tous les membres de la Tribu et la chanson donnée à sa naissance lui est chanté par tous les villageois, jusqu’à ce que le coupable s’effondre sous le poids de l'Amour et reprenne sa raison. Il est soigné et aimé, et non pas puni.
Cela est possible dans les villages traditionnels car le lien de vie en communauté les unis tous. Ce sont ces liens qui nous ont été coupés et qui provoques de telles dérives mentales.
La Justice humaine ne prend pas en compte le lien invisible qui nous unis tous, que nous nous connaissions ou pas. La justice humaine traite des individus séparés et non pas le corps de l'humanité toute entière.
Quand un doigt de cette humanité est malade, il est coupé au lieu d’être soigné. C'est notre propre humanité à chaque fois qui est amputée.
C'est l'illusion de la séparation qui conduit a de telles délire égo-maniaques de "œil pour œil, dent pour dent"...
“On ne peut pas résoudre un problème avec le même niveau de pensée que celle qui l'a créé.” Albert Einstein.
Le problème est créé par le mental, il doit être résolu par le cœur.
La Justice humaine ne comprend pas notre inter-dépendance et les liens énergétiques qui eux ne connaissent pas les murs des prisons et se propagent telle une peste énergétique au reste du corps de l'humanité. Sans parler des conséquences mentales désastreuses pour ceux qui sortent de prison encore plus violents que lorsqu'ils y sont entré.
La Justice Divine existe déjà, cela s'appelle le Karma, et c'est pas la peine d'en rajouter.
Jeshua disait à ceux qui voulaient lapider la femme adultère : "Que celui qui n'a jamais péché lui jette la première pierre".
Lequel d'entre nous pourrait jeter cette première pierre ?
Quelle est la limite de votre perception de la réalité ?
Si vous pensez "je n'ai jamais commit tel ou tel acte dans ma vie" de quelle vie parlez vous ?
Vous rappelez vous vos autres vies ?
Qu'en savez vous si vous n'avez pas commit un tel acte ?
Jusqu’où pouvez vous vous voir ? Qui êtes vous ?
Quand un être a atteint l'illumination, le Samadhi, il sait qu'il est le Tout. Donc impossible de punir un autre reflet du Soi car il n'y a rien d'autre a punir que soi-meme.
D’où les mots : "Ce que tu fais aux autres tu te le fais a toi même".
Ou bien encore : "Celui qui vit par l'épée périra par l'épée".
Celui qui porte l'épée peut se targuer d’être un Juge, un justicier, un protecteur ou peut importe... le bon punisseur n'existe pas, c'est juste une idée dans le mental malade de certains humains qui se prennent pour ce qu'ils ne sont pas.
Alors quelles sont les solutions ?
En Amont :
Étaler la vérité (ce qui est en train de se faire) concernant l'inter-connexion de toutes choses (merci aux physiciens quantiques pour cela).
Arrêter les disparités causées par le Capitalisme.
Ré-inverser (remettre a l'endroit) les valeurs... la compétition est une maladie mentale, la collaboration est ce qui est naturel, organique, voulu par Dieu.
Arrêter la programmation mentale de la violence dans les films et les jeux.
Redonner l'autonomie et retisser les liens. Le retour des Tribus.
Rétablir la connexion a Dieu dans le cœur des gens.
En Aval :
Quand un crime est commit, celui qui a commit la faute doit être isolé pour être traité comme le serait tout malade. Ceci peut se faire dans la nature, sur une ile ou dans un endroit délimité par des murs mais pas dans des cellules de 4m2, dehors en pleine nature. Les "prisonniers" pourraient y apprendre le jardinage et l'autonomie, tout le nécessaire pour qu'une fois soignés ils puissent vivre une belle vie en harmonie avec les autres et leur environnement.
Avec amour, patience, tolérance et bienveillance, on pourrait sortir du positif pour tout le monde au lieu simplement de punir celui qui souffre déjà.
C'est sur que vu d'ici, en 2018, on a du mal à voir cela car on est tous tellement programmés à la violence et la vengeance et la facilité...
C'est sur aussi qu'il y aura des ratés... mais n'y en a t il pas déjà beaucoup ?
Une roue qui tourne dans le mauvais sens depuis de millénaires mettra du temps a s'inverser au niveau collectif. Mais il faut bien commencer non ?
C'est a nous de trouver les solutions, mais ce qui est certain c'est que le système actuel mène droit dans le mur. Il faut tout changer.
Terre 2.0 arrive a grands pas. Et cela commence par un changement intérieur. En chacun de nous. Et c'est pas la peine de regarder ailleurs qu'en vous pour voir les progrès des autres, occupez vous de vous, ça se propagera naturellement.
Patience et courage <3 p="">
Namaste

dimanche 8 juillet 2018

Psychopathe a temps partiel ?

Explorons les racines de la cruauté humaine !
Le test exécuté est un IRM ,qui démontre en montrant aux sujets ,des images très perturbantes,des scènes de violence.On a voulu voir la différence lorsqu'il s'agissait d'images neutres.On s'est concentré sur les variations du flux sanguin dans différentes parties de votre cerveau.On voit des colorations rouge ,indiquant une activité accrue,le bleu une activité inférieure a la normale.

Quand on observe la région du cerveau en rapport avec l'empathie,cette zone juste ici,on voit qu,elle est active lorsque vous observez les images neutres(qui défile lors du test a l'IRM).
Tout ça est positif.
On a expliqué a un sujet ,son résultat ci-dessous:

Vous faites preuve d'empathie.Il répond:"Je suis quelqu'un de gentil ?"
-Pas si vite !
-Lorsqu'il s'agit d'images horribles,le processus empathique cesse.Lorsque vous êtes dans cet état,votre cerveau ne fonctionne plus comme celui d'une personne normale,mais un peu comme celui d'un psychopathe temporaire,si on peut dire.
-"Je suis psychotique ?"
-J'ai des tendances psychotiques ?
Le bleu ici de notre test,indique les zones du cerveau qui sont inactives(zones d'empathie=frontales et a la base du cerveau pour le jugement) chez les psychopathes.




Mais chez-eux,ces zones sont inactives la quasi-totalité du temps.Chez vous,c'est uniquement lorsqu'on vous a montré ces images terribles.Vous faîtes parti des 1/6 des gens ayant ce problême,c'est encore plus faible que durant le temps du nazisme qui concernait 1/3 du monde qui avait ce problême !

Une personne normale ne réagit pas comme ça,elle aurait plus d'empathie.

Temporairement,lorsque vous regardez ces images vous fonctionnez comme un psychopathe.
-"La neuroscience vient donc m'apprendre que j'étais un psychopathe a temps partiel."
-Mais ce n'est pas tout !
-"Et mon ADN alors ? "
-Nous avons analysé votre sang et observé certains de vos gènes,ceux en relation avec l'empathie,les relations aux autres,mais aussi ceux liés a d'éventuelles tendances agressives ou violentes. Vous avez de très bons gènes en matière de liens affectifs.
Le genre de gènes qu'on aimerait retrouver chez un mari,une épouse,ou un père. Vos gènes vous prédisposent a savoir céer des liens forts au sein d'un groupe,mais aussi a vous montrer hostile a tout membre extérieure au groupe .

 Un autre test est de donner des électrochocs a quelqu'un qui donne la mauvaise réponse a un questionnaire ,les responsables vous disent que vous devez continuer les tests malgré votre désaccord,...a la fin on vous explique que c'était un test pour voir votre empathie face a celui qui faisait semblant d'être électrocuté !

  On peut se demander si c'est bien ou pas.(zéro empathie ou un grain de bon sens et de jugement ?)

En analysant vos résultats,je me suis dit: Il est comme Don Corleone(le parrain de la mafia),un Docteur Turcotte,etc...Donald Trump ? qui a zéro empathie: celui qui a interdie aux mexicains de venir migrer aux USA et empêchants les enfants de voir leurs mères !
Sinon,trop d'empathie ça serait : La dame qui a laissée passer les canards sur l'autoroute 30,provoquant un accident mortel ,..Emma Czornobaj, cette femme qui avait provoqué un accident mortel en juin 2010 en arrêtant sa voiture pour sauver des canards, a d'écoper d'une peine de 90 jours de prison, à purger les fins de semaine, et d'une interdiction de conduire pour 10 ans.!

Le Parrain c'est quelqu'un pour qui la famille compte plus que tout ,mais qu'on n'aimerait pas compter parmi ses ennemis.Vous avez tout d'un dictateur a l'ancienne comme Alexandre le Grand,prêt a tout pour protéger les siens et se débarrasser des envahisseurs.

-"Même si je suis un psychopathe,je suis un bon psychopathe"(Comme on dit je peut petter ma coche !!!)
-Oui,un tyran ultra efficace.
-"Cette information est un peu perturbante et inquiétante,mais je dois m'accepter tel que je suis biologiquement.Je me considère différent,donc,en un sens,ces résultats sont une sorte de soulagement.Ils viennent prouver scientifiquement que je ne me fais pas d'idées, et que mon cerveau et mon imagination fonctionnent bien différent de la plupart des gens.
Merci beaucoup.Je suis content ! "

Conclusion:

Il suffit qu'une personne se dresse contre l'autorité pour que les choses changent.Nous vivons dans une société moralement fragile.Les décisions de chacun ont des conséquences sur les autres et le monde entier .
C'est ce qui fait de nous des êtres aussi fascinants,qu'on soit a la place de celui qui torture ou de celui qui est torturé,on ne sait jamais !
 La proportion de gens qui on se diagnostique est d'environ 77% !!!

Le réalisateur Éli Roth,du film d'horreur Hostel,mena cette série d'expériences en compagnie d'experts en psychiatrie afin d'explorer les racines de la cruauté humaine.

REF.:

mardi 22 mai 2018

Pour allez au-delà de vos limites en entrainant votre esprit ,avec Marisa Peer



La collaboration la plus importante que vous obtiendrez jamais ,c'est la collaboration entre vous et votre esprit.Quand vous pouvez collaborer avec votre esprit et vous dire ce que vous voulez, vous obtiendrez ce que vous voulez maintenant.
Je suis très chanceux!
J'ai été nommés la meilleur thérapeute de Grande-Bretagne plusieurs fois, je suis au robinet un guide pour le meilleur des meilleurs et les gens disent de moi mais vous connaissez le cerveau qui est vraiment complexe et compliqué et prend des années pour comprendre réellement.
Ce n'est pas vrai ,ce que je crois est que vous devez savoir quatre des choses sur votre esprit et si vous mettez ces quatre choses en pratique, vous aurez du succès à tous les niveaux niveau .

Alors laissez-moi vous dire ce que ces quatres choses sont à propos de votre esprit:
Votre esprit fait exactement ce qu'il pense.Vous voulez qu'il  fasse toujours ce qu'il pense, c'est dans votre meilleur intérêt si vous n'avez pas ce que vous voulez, mais vous avez des comportements que vous ne voulez pas ,vous ne collaborer pas correctement avec votre esprit . Je vais changer ça pour vous.D'autre part, votre esprit est câblé pour vous déplacer vers le plaisir et loin de la douleur et c'est pourquoi les dentistes sont des tribus, les gens qui survive à la planète en évitant la douleur, en troisième lieu : de la façon dont vous vous sentez  à propos de tout ce que tout le temps est seulement jusqu'à deux choses les images que vous faites dans ta tête et les mots que tu dis à vous-même et quatrièmement : votre esprit aime ce qui est familier, il est programmé pour continuer encore et encore pour ce qui est familier(la routine du confort)
Si vous voulez réussir à tout niveau ce que vous avez à faire ce qui est familier, peu familier et ce qui est familier très familier . Alors commençons avec votre esprit fait ce qu'il pense vraiment, vous voulez le faire, ça agit toujours dans vos propres intérêts et votre esprit écoute tout le temps votre parole, cela fonctionne sur ce que vous faites et se sentir par les mots que vous utilisez, donc si vous dites que les examens me tuent je suis en train de mourir sous cette paperasserie mon patron est un cauchemar, je suis submergé, je et fait face à un stress quand vous dites que je vais mourir sous la pression de cette charge de travail me tue, ce que vous dites à votre esprit que vous ne voulez pas le faire et si vous pouviez . Je pense que vous ne voulez pas le faire,.............. deviner quoi ça t'encouragera à tergiverser un repos au lit et de ne pas vous appliquez.Votre l'esprit est très très spécifique aux mots que vous utilisez que si vous dites que j'aimerais une semaine de repos au lit, je suis submergé par ce stress et que je souhaite juste que si je pourrais avoir une semaine de repos à la maison ,alors votre l'esprit va là ou vous allez, je vous ai donné  la grippe , vous n'avez pas demandé que vous avez dit que vous vouliez une semaine de repos au lit et j'ai eu la grippe, il y a votre semaine de congé ,si vous dites que je redoute d'avoir à donner cette présentation la prochaine façon de dire que je ferais quelque chose pour en sortir votre esprit dira ok pourquoi je ne vous réveille pas avec une migraine ou un estomac bouleversé, il va vous sortir du comportement de présentation et cela semble un peu idiot mais c'est comme ça que fonctionne votre esprit, il fait ce qu'il pense que vous voulez si vous n'avez pas ce que vous voulez c'est parce que vous utilisez ce travail est trop dur, c'est trop difficile ça prend tout mon temps.Quand j'ai écris mon premier livre, j'avais a peine 20 ans et quand j'ai eu un approbation pour mon livre, je savais ce que ça impliquait, m'isoler et écrire et je ne voulais pas le faire et j'ai passé  longtemps passé à progresser et à manger jusqu'à ce que je réalise que je devais dire que je veux écrire.J'ai choisi d'écrire ce que j'ai choisi de ressentir de super à ce sujet et ces mots que j'ai choisi de le faire et choisi de me sentir plus grand à ce sujet . cela va changer votre vie ,c'est beaucoup plus qu'une pensée positive, il collabore avec votre esprit, afin qu'il regarde ton comportement, si vous n'avez pas ce que vous voulez, vous ne communiquez pas correctement avec votre esprit et j'ai appris quand je travaillais avec le premier ministre ,les footballeurs et les Marines lorsque je faisais une émission de télévision avec des sous-marins et moi qui les regardait courir dans le noir  avec de petites lumières de mineurs sur ma tête il pleuvait sur le côté, il était boueux et ils chantaient et bien sûr quand vous chantez vos esprits sont comme d'accord, il pleut et avec de la pluie il fait sombre, il fait froid ,vous courez une colline avec un gros paquet sur votre dos et vous chantez oh je reçois, tu mens cela imaginez si vous deviez exécuter un marathon, vous avez commencé en allant bien vingt-deux miles à parcourir, je déteste ça, oh c'est tellement ennuyeux, oh c'est si dur, oh c'est si difficile que tu ne vas pas le finir vous devez y aller, je l'aime, je l'aime ,........... aime quand même.


REF.:

samedi 24 février 2018

L'immortalité physique du corps et le Divin


Être éternel implique la fin de la vie inéluctablement:

Selon le neuropsychiatre,Boris Cyrulnik;L'homme augmenté est révolutionnaire,mais pas éternel.
Si notre génome devenait immortel,ou bien on serait une espèce vieille,parce qu'on serait complètement usé.
Ou alors,si on arrivait a contrôler l'extrémité des télomères des chromosomes ou si on arrivait a contrôler l'apopthose(mort cellulaire).On serait toujours jeune et immortel.
Ce qui ne nous empêcherait pas de mourir.Parce que si génotypement ,on était immortel,le hasard n'existerait plus.Et inévitablement un jour ou l'autre,on rencontrerait l'incendie,le tremblement de terre,etc qui nous tuerait.
c.a.d. que si on arrivait a contrôler les causes internes de la mort,le hasard n'existerait plus ,un jour ou l'autre on mourrait de cause externe.

Perdre un être cher:
Chez l'homme de Néandertal ,il avait 30 phonèmes l'incitant a la parole,il était canibale ,car il mangait le cerveau de ses proches lorsqu'ils mourraient ,et ça avait une fonction sacrée,qui le reliait a un esprit Divin.
Parce que manger quelqu'un qu'on aime c'était pour eux, le faire vivre en soi.
Alors que nous,on le garde dans notre mémoire.Pour eux,ce serait plus morale d'incorporer le corps que de le jetter.

Les croyances:
Il y aurait 500 millions d'athés sur la terre ,contre 7 milliards qui pense a Dieu ,ou le ressente.
L'Homme a inventé Dieu,et non Dieu qui a inventé l'Homme.
Il y a deux manières de rencontrer Dieu :
En partagent une représentation avec les gens qu'on aime.c.a.d. que l'enfant apprend a aimer le Dieu qu'aime
ses parents.On ne peut apprendre a aimer Dieu que lorsqu'on s'attache.

Ou bien : De passer de l'angoisse a l'extase.
C'est un élantion,c'est s'élancer en avant avec l' énergie.
Dans notre cerveau,on peut ressentir un sentiment que l'on appel Dieu(comme l'homme néandertal)qu'on a apprit pour partager le même monde que les gens qu'on aime(l'attachement).Donc,dans notre cerveau ,il y a une bandelette inférieure ,qui stimulée ,ça déclanche des sensations d'euphorie,sans objet.On a aucune raison d'être euphorique ,et quand on stimule trop ,il y a un faisceau latérale(dans notre cerveau) qui nous équilibre en déclanchant une angoisse.
Et l'inverse ,quand on stimule trop le faisceau latérale ,les gens on des angoisses terrifiantes,des tortures physiques.
Et tout d'un coup,................ils passent en extase ,c'est parce que le bonheur et le malheur, ne sont pas opposés, ils sont accouplés.

La religion en société:
On n'a pas forcément besoin de religion ,quand on se trouve dans une société qui est dépourvue de stress,qui est dépourvue de tout problême économique . Le Danemark,serait un modèle,ou l'on voit la christianisation et la religisiosité descendre .L'athéisme monté,,le bien-être croître . L'impact culturel participe beaucoup a la manière de croire en Dieu.Sinon,l'autre manière serait l'organisation sociale et culturel.Pour la radicalisation de la religion ,c'est que les croyants modifient leur système lymbique des émotions.
Ils n'y a pas d'ondes cérébrales de Dieu !Une expérience a été faites ou on a demander a des non croyants de se mettre en prière. Leurs système lymbique s,en fout éperduement ,aucune réaction.

Et les croyants, de se mettre en prière , le système lymbique consomme de l'énergie et au bout il y a les amygdales en amandes , qui est le socle neurologique des émotions intenses ,des colères,des angoisses intenses.Dès que le croyant se met en prière ,l'amande rhinencéphalique (de l'amygdale)s'éteint .
c.a.d. c'est une représentation ,qui modifie la manière dont notre cerveau ,dans notre corps change.
C'est pas le cerveau qui produit dieu,c'est la croyance en Dieu qui modifie le fonctionnement cérébrale.

Développement des neurones du cerveau:
Le cerveau dépend de la structure du milieux dans lequel on vit,elle est d'abbord affective,verbale et culrurel.
C'est tout ce que l'on a besoin pour le développement des neurones du cerveau.
      
REF.: Boris Cyrulnik

La soufrance et le gène de la vulnérabilité


Sommes-nous égaux devant le bonheur ?
 Le célèbre neuropsychiatre Boris Cyrulnik estime que la souffrance est un passage obligé pour atteindre le bonheur

Certaines personnes semblent y accéder plus facilement que d’autres, même quand le malheur s’abat sur elles. Existerait-il des gènes qui prédestinent au bonheur ? En s’appuyant sur les plus récentes découvertes en neurologie et en psychologie, le célèbre neuropsychiatre Boris Cyrulnik démontre dans son dernier livre, De chair et d’âme, qu’en matière de bonheur, la génétique oriente en effet nos choix de vie. Mais elle ne nous voue pas nécessairement à une vie heureuse ou à la dépression.

De même, les terribles épreuves subies par certains enfants ne les condamnent pas irrémédiablement à une vie ratée et malheureuse. 
Le milieu sensoriel, affectif, social et culturel dans lequel nous baignons refaçonne constamment notre cerveau, berceau des émotions. L’humain peut ainsi rebondir du malheur au bonheur. Ces deux antagonistes sont d’ailleurs inextricablement liés, souligne le théoricien de la résilience, Boris Cyrulnik. La souffrance serait même un passage obligé pour atteindre le bonheur. Sans elle, la vie n’aurait aucun intérêt.

Le gène de la vulnérabilité


À la fin des années 90, des chercheurs ont découvert que chez les singes et les êtres humains, certains individus ont des gènes qui synthétisent de longues protéines capables de véhiculer beaucoup de sérotonine, alors que d’autres individus sont de petits transporteurs de sérotonine. Neuromédiateur sécrété dans l’espace situé entre deux neurones, la sérotonine joue un rôle fondamental dans l’humeur. Elle stimule les désirs, améliore les fonctions cognitives, et un grand nombre de médicaments antidépresseurs accroissent sa présence dans le cerveau. 
« Or on constate que les petits transporteurs de sérotonine sont hypersensibles. Ils réagissent avec beaucoup plus d’émotivité aux épreuves que les gros transporteurs, beaucoup moins sensibles aux événements de la vie », confirme Boris Cyrulnik au bout du fil depuis Paris.

« Toutefois, cette tendance naturelle ne prédit absolument pas les dépressions à venir. » 
Prenant conscience très jeunes, pendant l’enfance, qu’ils sont vulnérables aux difficultés, les petits transporteurs de sérotonine s’organisent une vie stable et paisible, entourés de l’affection de maman et papa. Ils s’intègrent bien à l’école, laquelle encourage la routine. Par contre, ils supportent mal les déménagements. Lorsqu’ils se marient, ils font des maris fidèles et de gentils parents. 
En revanche, les gros sécréteurs de sérotonine ont besoin de fortes stimulations pour avoir l’impression d’exister. Enfants, ils sont des transgresseurs, et quand ils arrivent à l’adolescence, ils prennent des risques. Les filles font de l’auto-stop en minijupe et en débardeur. Les garçons font des excès de vitesse ou se lancent dans des bagarres inutiles, note Boris Cyrulnik.

Adultes, ils multiplient les aventures extraconjugales, et quand on les abandonne, ils ne souffrent pas longtemps avant de tourner la page. Toutefois, arrivés à un certain âge, ils n’ont rien construit et un nombre non négligeable d’entre eux sombrent dans la dépression. 
Alors que, chez les animaux, le fait d’être un gros transporteur de sérotonine est garant d’un rang élevé dans l’échelle sociale, chez les humains, les petits transporteurs, à force de bons résultats scolaires - très valorisés dans notre culture - et de travail routinier, accéderont souvent à des postes supérieurs. 
Mais les enfants sages et sans problèmes ne sont pas pour autant assurés de connaître le bonheur éternel, nous apprend Boris Cyrulnik dans De chair et d’âme, qui paraît aux Éditions Odile Jacob et qui arrivera dans nos librairies à la mi-novembre.

L’auteur cite les résultats d’une étude longitudinale menée par des chercheurs portugais sur une cohorte d’enfants modèles. Comme on s’y attendait, ces enfants irréprochables étaient devenus des adultes bien socialisés et sans troubles graves de la personnalité. Par contre, ils (davantage les filles que les garçons) étaient devenus anxieux et plus souvent déprimés que les enfants « normalement difficiles », c’est-à-dire plus sujets à provoquer de petits conflits sans grande conséquence. Rien n’est simple...


Période sensible

Ce déterminant biologique lié au transport de la sérotonine « n’empêche toutefois pas le milieu de marquer son empreinte dans le cerveau et d’orienter l’acquisition d’un style affectif - d’une manière d’aimer - particulier », rappelle Boris Cyrulnik. Le scientifique explique que les informations sensorielles qui enveloppent le jeune enfant induisent la création d’une myriade de nouveaux circuits dans le cerveau.

Les neurones établissent 200 000 contacts par heure au cours des quatre premières années de la vie, précise-t-il. 
Un enfant négligé, maltraité ou qui vit auprès d’une mère dépressive et malheureuse à ce moment critique du développement cérébral apprendra à son cerveau à canaliser (à « circuiter ») les informations vers les zones cérébrales qui déclenchent plutôt la tristesse, explique-t-il. Par contre, si l’enfant est rassuré et entouré d’une mère gaie, son cerveau sera formaté différemment et les stimulations de son milieu seront projetées de préférence vers la région cérébrale qui induit des sensations de bonheur et d’euphorie. « C’est la banalité du quotidien qui façonne le cerveau, souligne Boris Cyrulnik.

Les interactions quotidiennes établissent des circuits, des voies préférentielles, ce qui confirme l’intuition de Freud. » 
L’isolement sensoriel dans lequel se retrouve un enfant qui perd sa mère et ne trouve aucun substitut dans sa famille ou sa culture ralentit la création de nouveaux circuits cérébraux. Cette carence peut même mener à l’atrophie de la région fronto-limbique du cerveau. L’observation au scanner des cerveaux de jeunes orphelins abandonnés et privés de toute affection a en effet montré que cette zone cérébrale, responsable des émotions et de la mémoire, avait littéralement fondu. 
Lorsque ces enfants ont été confiés à des familles d’accueil généreuses, leur cerveau a retrouvé sa taille normale un an plus tard. Les gamins avaient également récupéré un niveau intellectuel normal et s’intégraient bien socialement. En s’appuyant sur ces exemples, Boris Cyrulnik affirme que tout n’est pas perdu pour un enfant abandonné, maltraité par la vie.

Grâce au phénomène de la résilience - que le neuropsychiatre a grandement vulgarisé -, « l’enfant pourra reprendre un autre type de développement si la famille et la culture disposent autour de lui de nouveaux tuteurs ». 
Boris Cyrulnik en sait quelque chose, lui qui est devenu orphelin à l’âge de cinq ans un jour de 1942, lors duquel sa mère polonaise est arrêtée et déportée.

Enrôlé dans la Légion étrangère, son père, Juif d’Ukraine, disparaît aussi. Le jeune Boris échoue alors à l’Assistance publique (l’orphelinat), où une institutrice, qui le croit en danger, le garde chez elle jusqu’à ce que des voisins les dénoncent. Le gamin est alors embarqué et enfermé dans une synagogue de Bordeaux. Il échappe de justesse à la déportation en s’éclipsant dans les toilettes au moment d’une rafle. Il a 11 ans lorsqu’il retrouve à Paris une tante qui l’inscrit à l’école. Il se passionne alors pour la natation, la nature et l’éthologie, c’est-à-dire le comportement animal mais aussi celui de l’homme, qu’il étudiera par le truchement de la psychologie, de la neurologie et de la psychanalyse.

 Influences déterminantes


Dans son livre, le neuropsychiatre explique que d’autres membres de la famille de l’enfant, des amis et même la culture peuvent en effet avoir une influence déterminante sur le développement de l’attachement en favorisant une évolution résiliente. Des enfants maltraités par un parent ne deviendront pas nécessairement maltraitants à l’âge adulte s’ils bénéficient du soutien d’une autre personne aimante de leur entourage et si leur communauté propose d’autres lieux éducatifs.

Le vulgarisateur de la résilience donne en exemple Bill Clinton qui, en dépit de la violence du second mari de sa mère, a réussi à développer une sociabilité tout à fait normale grâce à l’affection de sa mère et de ses grands-parents ainsi qu’aux nombreuses associations de sport, de musique et d’activités culturelles présentes dans son patelin. Si le petit Bill avait vécu dans un milieu fermé et isolé, son cheminement aurait été nettement plus difficile, prévient Boris Cyrulnik. 


La culture n’agit pas toujours favorablement, fait-il par ailleurs remarquer. Longtemps, les Européens et les Québécois ont cru qu’il valait mieux laisser pleurer les bébés et éviter de les prendre dans ses bras de peur qu’ils ne deviennent capricieux, rappelle-t-il. « Effectivement, un bébé dont on ne s’occupe pas arrêtera de pleurer au bout de trois heures, dit-il. Cela ne donne pas raison à cette théorie pour autant mais confirme en fait qu’un bébé non bercé apprend le désespoir.

Tout se passe comme s’il se disait : “Pas la peine de pleurer, personne ne viendra m’aider. Je suis seul au monde et je dois devenir indifférent pour ne pas trop souffrir.” » C’est un comportement courant dans les grands orphelinats. 
« À l’inverse, si, au moindre pleur, on se précipite sur lui pour le cajoler, on compromet aussi son développement, car le bébé apprend que son désir est roi : ta mère est à ta disposition, et si elle n’accourt pas tout de suite, c’est qu’elle est une mauvaise éducatrice », poursuit-il. En bref, le parent doit être ni trop distant ni trop protecteur afin que son enfant apprenne à surmonter les épreuves. Alors, il pourra développer un attachement solide et sans inquiétude (« sécure ») qui lui permettra de s’épanouir.
 
Sans souffrance, point de bonheur

Pour que se tisse un lien d’attachement, l’enfant doit vivre quelques frayeurs (une voiture qui klaxonne, un chien qui jappe, un inconnu qui entre dans la maison), que sa mère ou son père sauront apaiser. Privé de ces petites frayeurs, l’enfant n’a pas de raison de s’attacher, affirme Boris Cyrulnik. « Une alerte pacifiée, un chagrin consolé donnent à une figure d’attachement un pouvoir tranquillisant et permettent à l’enfant de reprendre confiance en soi et d’éprouver le plaisir de partir à la découverte de l’inconnu », précise-t-il dans son livre.

« Quand les parents, au contraire, entourent le petit au point de l’enfermer dans une prison affective, toute séparation est alors vécue comme une menace de perte. » 
L’enfant rassuré éprouve un intense bonheur quand il retrouve la personne à laquelle il est attaché et dont il a été temporairement privé de la présence. Par contre, l’enfant assiégé par le dévouement amoureux de sa mère peut ressentir du déplaisir au moment des retrouvailles, comme la nourriture finit par provoquer le dégoût lorsqu’on a mangé à satiété. « C’est donc le rythme, la pulsation et l’alternance qui provoquent la sensation de joie ou de bonheur extrêmes », souligne-t-il.


« On peut donc dire que les séparations entre la mère et son enfant sont nécessaires au cours de l’éducation. Si ces séparations sont durables au point de devenir des abandons et des isolements sensoriels, l’alerte biologique jamais calmée finit toutefois par faire éclater les cellules, expliquant ainsi l’atrophie cérébrale observée chez les enfants abandonnés dans des orphelinats et leur instabilité émotionnelle », écrit M. Cyrulnik. 
On peut dire aussi que lorsqu’il n’y a jamais de séparation, la routine qui enveloppe l’enfant supprime toute sensation d’événement. Or un cerveau qui n’est pas stimulé rend l’enfant passif, incapable de décider. « Seul le couplage “tristesse de la séparation” et “bonheur des retrouvailles” apprend à l’enfant à surmonter ses petits chagrins et lui permet d’acquérir un sentiment de confiance. Pour accroître l’attachement d’un petit enfant, il ne suffit pas de satisfaire ses besoins, insiste Boris Cyrulnik.

Au contraire, c’est l’apaisement d’une souffrance qui l’augmente et non la satisfaction d’un plaisir. » 
L’empathie, cette faculté de ressentir ce que pensent et ressentent les autres, prépare à la parole et à la socialisation, poursuit-il. Or le développement de cette faculté est compromis autant chez les enfants privés d’une base de sécurité en raison d’un abandon que chez les bambins sous l’emprise d’un amour parental trop bienveillant qui les isole du monde extérieur. Une fois à l’adolescence, l’individu qui a été « trop entouré ne saura pas harmoniser ses désirs à ceux du partenaire espéré car il n’aura pas appris à se décentrer de lui-même ».
 
 Une seconde chance à l’adolescence

Au cours des premières années, l’attachement est particulièrement malléable, souligne le chercheur. Chaque rencontre a un pouvoir façonnant alors que les neurones envoient des prolongements synaptiques dans tous les sens. Puis, le cerveau s’apaise et l’enfant établit ses relations en employant le style affectif qu’il a inconsciemment acquis. 
Dans toutes les cultures, un enfant sur trois n’a pas acquis l’attachement « sécure », soit parce qu’il est tombé gravement malade, soit parce que sa mère est dépressive, soit parce que son père est disparu, indique Boris Cyrulnik.

Pour ces mal partis de la vie, l’adolescence représente une deuxième chance. Sous l’effet du déversement hormonal, le cerveau retrouve une certaine plasticité qui permet aux intenses émotions provoquées par les premières amours d’induire un remaniement du mode d’attachement. Dans le cadre des recherches qu’il effectue à l’Université de Toulon, Boris Cyrulnik a ainsi vu des délinquants apprendre à mieux se faire aimer. Un tel phénomène est plus courant chez les garçons qui connaissent un bouleversement hormonal plus intense que les filles, dont les sécrétions hormonales sont plus douces et plus graduelles, précise le chercheur. 
Plus tard dans la vie, à l’âge de la retraite, l’attachement subit généralement quelques transformations additionnelles.

À cette étape de la vie où les proches parents et les amis disparaissent peu à peu, l’environnement affectif s’appauvrit. Par contre, notre monde intime, constitué par le récit de soi qui est bien gravé dans la mémoire, prend le relais. « Les anciennes figures d’attachement s’internalisent. Une photo, une lettre ou un petit objet suffit pour les évoquer et provoquer un apaisement », indique Boris Cyrulnik. 
À cet âge, l’identité de la personne est plus forte que jamais. Elle nous permet de savoir ce qu’on veut, ce qu’on aime, là où on est fort et là où on échoue. Nos choix sont donc mieux adaptés alors que lorsqu’on est jeune, on fait parfois des choix malheureux parce qu’on se connaît mal. « Les jeunes ont une identité encore incertaine, ce qui fait qu’ils peuvent bien rêver de devenir chanteur alors qu’ils n’ont aucune aptitude », précise le chercheur. 
Quand on devient âgé, on peut aussi se rapprocher de Dieu. « Le psychisme a horreur du vide, affirme Boris Cyrulnik.

Alors, quand une personne âgée cherche à se représenter l’après-mort, elle éprouve une sorte de vertige au bord du gouffre et se sent apaisée dès qu’elle y place Dieu. » 
La plupart du temps, la personne âgée qui a vécu dans une famille croyante redécouvre Dieu et s’attache à lui. Les « sécures » « le remercient du miracle de vivre ». Plus vulnérables et plus rigides, les « insécures » entretiennent avec Dieu un hyperattachement anxieux qui les rend agressifs quand on tente de les faire douter de leur planche de salut. « Globalement, les croyants se sentent mieux que les athées parce qu’ils maintiennent au fond d’eux-mêmes une base de sécurité. Le fait de rencontrer régulièrement des gens qui partagent la même croyance structure leur enveloppe affective », explique le neuropsychiatre avant d’ajouter que la simple évocation de Dieu diminue les marqueurs biologiques du stress. 
Tout au long de son livre, Boris Cyrulnik nous montre que « la vie est une conquête perpétuelle, jamais fixée d’avance. Ni nos gènes ni notre milieu d’origine ne nous interdisent d’évoluer. Tout reste possible».


REF.:  
 Source : Le Devoir, 3 novembre 2006