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lundi 12 juin 2023

URL : principe, astuces, tout savoir sur les adresses Web

 

 

URL : principe, astuces, tout savoir sur les adresses Web

Une URL, c'est tout simplement l'adresse d'un site, d'une page ou d'un contenu sur le Web. Mais cette chaîne de caractères n'est pas construite au hasard : elle obéit à des règles strictes. Voici ce qu'il faut savoir pour décrypter et utiliser des URL.

Sans le savoir, vous utilisez des URL à chaque fois que vous naviguez sur Internet ou que vous téléchargez un fichier. Une URL, c'est tout simplement l'adresse d'une page Web. Ou, plus exactement, l'adresse d'une "ressource" disponible via Internet (contenu, service en ligne, etc.). En clair, c'est ce qui permet de trouver quelque chose sur le réseau planétaire. Pour être conforme et utilisable, une URL doit obéir à des règles précises. Elle est notamment composée d'une chaîne de caractères et de symboles agencés d'une certaine façon, pour indiquer un "chemin" dans une arborescence. Par exemple, https://www.commentcamarche.net est l'URL de Comment Ça Marche. Plus précisément, de la page d'accueil de CCM. Et https://www.commentcamarche.net/informatique/, l'URL de notre section Informatique.

Toutes les pages que vous affichez dans votre navigateur Web ont ainsi une URL unique, définie par le créateur ou les gestionnaire du site. Mais il existe aussi des URL pour les profils de réseaux sociaux, pour les vidéo des plateformes de streaming, etc. Dans la vie courante, on parle également d'adresse Web ou d'adresse Internet, mais aussi souvent de lien ou lien hypertexte. En revanche, il est incorrect de parler "d'adresse URL".

En pratique, l'URL d'une page Web s'affiche en clair, dans le champ d'adresse située en haut de la fenêtre du navigateur, sous forme complète ou tronquée, quand on consulte ladite page. Mais on trouve aussi des URL "cachées", sous forme de liens, notamment dans des textes, des boutons ou des images.  

Et quand une URL comporte une erreur – parce qu'il en manque une partie, parce qu'elle utilise des caractères non autorisés, ou parce que la ressource correspondante est indisponible, par exemple –, un message d'erreur s'affiche dans le navigateur pour indiquer qu'il y a un problème (voir notre fiche pratique pour connaître les erreurs les plus fréquentes).   

Que signifie le sigle URL ? De quoi est composée une URL ? Comment décrypter une URL ? Y a-t-il dans ces adresses des caractères interdits ? Des astuces à connaître pour se faciliter la vie ? Par exemple pour mémoriser des URL afin de les retrouver facilement ? Ou pour partager une URL avec des amis ? La diffuser par e-mail, sur les réseaux sociaux, dans un document Word ou un PDF ? Et peut-on la raccourcir encore plus pour éviter les fautes de frappe ? Cette fiche pratique répond à toutes ces questions.

C'est quoi une URL ?

URL est l'acronyme de l'anglais Uniform Resource Locator, que l'on traduit en français par localisateur universel de ressource. À l'instar d'une adresse postale, une URL correspond à l'emplacement d'une "ressource" (page Web, fichier, contenu, service en ligne…) sur Internet. Voilà pourquoi on parle souvent d'adresse Web ou d'adresse Internet. Et comme une adresse postale normalisée, une URL doit respecter une structure très stricte pour que votre application – le plus souvent un navigateur Web – puisse vous conduire à la ressource du Web associée.

Ainsi, une URL est composée de caractères "imprimables", qui combinent des lettres, des chiffres et des symboles (comme le . le / ou le ?). Mais cette chaîne de caractères n'est pas formée au hasard : elle obéit à des règles bien précises. Voici la structure générique d'une URL :

Protocole https:// ou http:// par exemple
Utilisateur et mot de passe (facultatif) user:password@
Nom de domaine du serveur www.nomdusiteweb.com
Port (facultatif si 80) :80
Chemin et nom de la ressource /chemin/exemple.php
  • Protocole : il s'agit le plus souvent du protocole pour l'affichage de pages Web https:// (Hypertext Transfer Protocol, le s signifiant que la communication est sécurisée entre votre navigateur et le site Web) ou http:// (communication non sécurisée, ce qui devient très rare). On trouve aussi :
    - le protocole ftp: (File Transfert Protocol) pour le transfert de fichiers sur un site FTP,
    - le protocole mailto: pour envoyer un mail à l'adresse qui suit ; par exemple mailto:JeanDupond@entreprise.fr (quand vous cliquez sur ce lien, votre logiciel de messagerie s'ouvre et inscrit l'adresse mail de Jean Dupond dans le champ Adresser à),
    - le protocole news: pour l'URL d'un forum de discussion de Usenet,
    - le protocole file:/// pour un fichier stocké sur votre ordinateur. Par exemple si vous glissez le fichier toto.pdf dans votre navigateur Internet, la barre d'adresse indiquera quelque chose comme file:///C:/Users/Moi/Desktop/ toto.pdf
    - le protocole gopher: concurrent du World Wide Web et qui n'est plus pratiqué que par des passionnés.
  • Utilisateur:mot de passe@ : JeanDupond:Sesame@ Le signe @ termine les données d'identification. Ce type d'identification n'est plus que rarement utilisé, le mot de passe étant transmis dans l'URL. Les sites Internet préfèrent vous demander votre identifiant dans une page Web dédiée.
  • Nom de domaine : par exemple www.commentcamarche.net
    Le nom de domaine se décompose en :
    - un sous-domaine : très souvent www, mais ce préfixe n'a rien d'obligatoire. Le sous-domaine peut tout aussi bien être mail.nomdusite.fr ou docs.nomdusite.fr ou tout autre préfixe choisi par le site Web.
    - un nom de domaine de deuxième niveau : commentcamarche dans l'exemple ci-dessus.
    - un nom de domaine de premier niveau : par exemple .com ou .fr ou .net
    À la place du nom de domaine, on peut parfois indiquer une adresse IP.
  • Port : le numéro de port est facultatif s'il s'agit de numéros standards tels que 80 pour le protocole http, 21 pour le protocole FTP, etc.
  • Chemin complet et nom de la ressource : par exemple /chemin1/chemin2/exemple.php
    Le nom de la page Web est optionnel, ici exemple.php
  • D'autres informations optionnelles peuvent figurer dans l'URL, par exemple le caractère ? suivi de données complémentaires comme dans q=requete ou # suivi d'un signet placé sur la page, pour accéder directement à une section précise dans la page.

Par ailleurs, si une URL est fondamentalement une chaîne de caractères correspondant à une adresse, elle peut être simple, comme du texte standard, ou cliquable, sous forme de lien hypertexte. 

Il s'agit de la même suite de caractères, mais lorsque cet élément est cliquable (hypertexte), généralement indiqué par un soulignement, cliquer dessus ouvre directement la page Web dans votre navigateur (Chrome, Safari, Firefox, Edge, Opera…) ou dans une autre application. Et c'est évidemment plus sympa ! En fournissant à vos correspondants une URL sous forme de lien cliquable, vous leur éviterez d'avoir à retaper l'URL, avec les risques de fautes que cela comporte, ou même d'avoir à copier-coller l'URL dans la barre d'adresse de leur navigateur.

Comment écrire une URL dans la barre d'adresse d'un navigateur ?

Voici quelques astuces à connaître quand vous tapez une URL dans la barre d'adresse de votre navigateur Internet pour Windows ou macOS, qu'il s'agisse de Chrome, Safari, Edge, Firefox, Opera ou autre.

  • Vous pouvez écrire le nom de domaine en majuscules ou en minuscules. Par exemple CommentCaMarche.NeT vous conduira à notre page d'accueil aussi bien que commentcamarche.net. En revanche, juste après le .com ou .fr ou .net (etc.) et le signe /, dans le reste de l'URL, respectez les majuscules et minuscules car certains sites font la distinction.
  • À l'oral et même souvent à l'écrit, on omet généralement le protocole https:// ainsi que les trois lettres w et le point www. quand on indique une URL à quelqu'un. Dans la barre d'adresse du navigateur, vous pouvez d'ailleurs directement taper l'URL sans mentionner : https://www. car les navigateurs testeront l'existence d'une page Web avec ce préfixe.
  • Certains sites Web choisissent de ne pas inclure dans leur URL le préfixe www. qui, rappelons-le, n'a rien d'obligatoire. Si on vous indique une URL du type https://nomdedomaine.fr, n'ajoutez pas www. devant car dans certains cas, la page Web ne sera pas trouvée.
  • Quand vous tapez l'URL de la page d'accueil d'un site Web, si elle se termine par .com, vous n'avez pas besoin de taper ce suffixe. Tapez par exemple fnac dans la barre d'adresse et pressez Ctrl+Entrée, le navigateur rajoute .com à la fin et ouvre directement le site Web fnac.com.
  • Vous n'avez pas besoin non plus de taper le signe / qui termine parfois une URL, comme dans https://www.commentcamarche.net/ qui peut être tapé commentcamarche.net
  • Certains caractères sont interdits dans les URL. Notamment les espaces, les voyelles accentuées et différents signes de ponctuation. Ces caractères doivent être remplacés par un code, mais en tant qu'utilisateur, vous n'avez pas à vous en préoccuper. Pour info, voici une liste des principaux caractères nécessitant un codage particulier :

Caractère

Codage URL

Tabulation

%09

Espace

%20

!

%21

"

%22

#

%23

%

%25

&

%26

(

%28

)

%29

*

%2A

+

%2B

,

%2C

.

%2E

/

%2F

:

%3A

;

%3B

%3C

=

%3D

%3E

?

%3F

@

%40

[

%5B

 

%5C

]

%5D

^

%5E

'

%60

{

%7B

|

%7C

}

%7D

~

%7E

  • Dans leur barre d'adresse, les navigateurs Web font ressortir le nom de domaine (en noir, en gras, en blanc…) par rapport au reste de l'URL (en gris, en caractères maigres, etc.). Ci-dessous, Chrome affiche le nom de domaine bnpparis en blanc pour le faire ressortir. Sur des sites sensibles comme celui de votre banque, cela vous permet de vérifier d'un coup d'œil que vous n'avez pas atterri sur un site frauduleux. Le petit cadenas dessiné juste à gauche de l'URL vous indique, tout comme la mention https, que la connexion à ce site est sécurisée.

  • Votre navigateur interprète parfois les URL avant de les afficher dans sa barre d'adresse. Ci-dessous, dans Chrome, on consulte la définition du mot éléphant sur le site larousse.fr. L'URL de la page semble être :
    https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/éléphant/28378

  • Mais, nous l'avons dit, les lettres accentuées sont interdites. Les voyelles accentuées é du mot éléphant sont remplacées par le code %c3%a9. Si vous copiez cette adresse puis que vous la collez dans le Bloc-notes de Windows, par exemple, vous constaterez que la véritable URL est :
    https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/%c3%a9l%c3%a9phant/28378

Comment ajouter l'URL d'un site ou d'une page Web à ses favoris ?

Quel que soit votre navigateur pour Windows ou macOS (Chrome, Edge, Firefox, Safari…), il existe une fonction pour ajouter rapidement l'URL d'une page Web à la liste de vos pages favorites.

  • Une fois la page Web affichée dans votre navigateur pour Windows, cliquez sur l'étoile (navigateurs Chrome, Edge, Firefox,) ou sur le cœur (navigateur Opera) à droite de la barre d'adresse. Vous pouvez aussi presser la combinaison de touches Ctrl+D. Si le navigateur affiche un mini menu, choisissez Ajouter aux favoris ou Ajouter un signet ou Ajouter un marque-page ou une option équivalente.

  • Le navigateur vous présente une fenêtre pour éventuellement indiquer un libellé plus concis et choisir l'endroit où mémoriser cette page Web (ou retirer de vos favoris une page Web déjà ajoutée). Si vous ajoutez la page à votre Barre des favoris, qui s'affiche généralement sous la barre d'adresse, vous avez intérêt à inscrire un nom très court pour pouvoir afficher beaucoup de favoris dans la barre.

  • Si vous avez choisi d'ajouter la page à la Barre de favoris, elle vient s'y intégrer. Un clic du bouton droit de la souris sur un favori permet de le supprimer.

  • Sur Mac, dans Safari, cliquez sur l'icône Partager puis sur Ajouter un signet...

  • ... pour mémoriser cette page Web dans vos favoris.

Comment récupérer l'URL d'une page Web dans un navigateur ?

Voici la méthode générique pour récupérer l'URL d'une page Web, pour l'indiquer par exemple dans un e-mail, dans un texte à imprimer ou à convertir en PDF, etc. Nous allons voir aussi comment récupérer l'URL d'un fichier à télécharger sur une page Web, par exemple un PDF ou une même une image, plutôt que l'URL de la page Web entière. Si votre objectif est de diffuser l'URL de la page sur un réseau social comme Facebook, vérifiez si la page propose des boutons de partage sur les principaux réseaux sociaux, ce sera encore plus rapide (voir les méthodes suivantes).

  • Dans votre navigateur Internet pour Mac ou PC (Chrome, Edge, Firefox, Safari, Opera…), affichez la page Web à diffuser à vos correspondants.
  • Dans la barre d'adresse du navigateur, sélectionnez toute l'URL de la page. Le plus souvent, il suffit de cliquer une fois sur l'URL pour la sélectionner en entier. Sinon, le clic du bouton droit vous donnera accès à une option de menu Tout sélectionner.
  • Une fois l'URL complète sélectionnée, avec le bouton droit de la souris, cliquez sur cette sélection et choisissez Copier dans le menu pour mémoriser l'URL dans le presse-papiers de Windows ou de macOS.

  • Si vous ne souhaitez pas envoyer un lien vers la page Web entière, mais juste un lien pour télécharger un fichier présent sur la page, par exemple un fichier PDF, cliquez avec le bouton droit de la souris sur ce lien et choisissez Copier le lien ou Copier l'adresse du lien (selon votre navigateur).

  • S'agissant d'une photo ou d'une image, on aura plutôt tendance à Enregistrer l'image sur le disque dur ou éventuellement à la Copier dans le presse-papiers. Mais il est en tout cas possible, via un clic dessus avec le bouton droit de la souris, de Copier le lien de l'image, donc son URL. Notez que certains sites désactivent le clic du bouton droit sur une image pour empêcher qu'on les télécharge.

  • Retournez dans la fenêtre où vous rédigez votre mail ou une publication quelconque, cliquez à l'endroit où doit figurer l'URL et collez (Ctrl+V sur PC, Cmd+V sur Mac) pour insérer un lien vers la page Web ou vers le fichier à télécharger ou consulter.
  • À savoir : dans la barre d'adresse, certains navigateurs Web – dont Google Chrome – n'affichent que la partie qu'ils jugent "utile" de l'URL. Par exemple oui.sncf au lieu de https://www.oui.sncf/

  • Quel que soit votre navigateur, si vous copiez une URL dans sa barre d'adresse, c'est cependant bien l'adresse complète qui sera copiée, ici https://www.oui.sncf/ même s'il n'en montre qu'une partie. Dans Chrome, une option vous permet aussi de Toujours afficher les URL en entier, si vous le souhaitez.

Comment partager l'URL d'une vidéo YouTube ?

Vous aimeriez partager avec vos amis une vidéo sympa que vous appréciez sur YouTube ? Sur Mac et PC, vous pouvez, bien sûr, diffuser par mail l'adresse URL de la page Web, comme vu plus haut. Mais avec certains sites comme YouTube, il y a mieux et plus simple pour partager rapidement une page Web sur les réseaux sociaux ou par e-mail. Sur YouTube, si vous le souhaitez, vous préciserez que la lecture de la vidéo doit démarrer à un passage précis, par exemple à 3 min 05 s.

  • Dans votre navigateur Internet (Chrome, Safari, etc.), sous la vidéo, cliquez sur Partager.

  • Pour que les personnes qui cliqueront sur votre lien voient la vidéo démarrer à un moment précis plutôt qu'au tout début, cochez la case Démarrer à et indiquez l'instant précis, par exemple 3:05 pour 3 min 05 s (mm:ss).
    Un moyen simple pour vous caler au bon endroit ? Avant de cliquer sur Partager, lancez la lecture de la vidéo, interrompez-la au moment qui vous intéresse puis cliquez sur Partager, YouTube vous proposera de Démarrer à la position actuelle. Sur notre illustration, notez que dans l'URL à partager, YouTube convertit le temps indiqué (3:05) en un temps en secondes sous la forme ?t=185

  • Sélectionnez ensuite un réseau social dans la liste (au besoin, faites-la défiler via le bouton rond >) ou cliquez sur le lien Copier pour mémoriser l'URL dans le presse-papiers de votre ordinateur.
  • Si vous avez copié l'URL, vous pouvez maintenant la coller dans n'importe quel mail, document, publication, etc.

Comment partager une URL sur les réseaux sociaux ?

Facebook, Twitter, LinkedIn, Instagram ou autres… les sites Internet et les applications de tous les réseaux sociaux vous permettent de partager l'URL d'une page Web dans un message que vous postez. Il suffit de copier-coller l'URL de la page Web comme expliqué plus haut. Il existe une méthode encore plus rapide : la plupart des sites Web que vous consultez comportent des boutons pour partager une page Web sur les principaux réseaux sociaux, au minimum Facebook et Twitter.

  • Si la page Web affichée dans votre navigateur Internet comporte des icônes Facebook, Twitter, Pinterest, etc., cliquez sur l'un de ces boutons pour partager l'information avec les abonnés à votre compte.

  • Si vous n'êtes pas déjà connecté à votre compte de réseau social dans le navigateur, une fenêtre vous invite à préciser votre identifiant.

  • Ajoutez ensuite un texte ou modifiez celui proposé, précisez les options de publication propres à ce réseau social et publiez l'info, par exemple d'un clic sur le bouton Tweeter pour une diffusion sur Twitter.

Comment écrire une URL dans un texte Word ?

Si vous utilisez Word pour créer des documents que vous convertissez ensuite en PDF (onglet Fichier > Exporter ou Fichier > Enregistrer sous) avec des URL cliquables, profitez des options de liens hypertextes prévues par le traitement de texte de Microsoft.

  • Quand vous tapez une URL commençant par www. dans un document, Word comprend qu'il s'agit d'une adresse…

  • … et sitôt pressée la touche Espace, il transforme l'URL en lien hypertexte, donc en information cliquable.

  • Idem si vous copiez-collez un lien dans la barre d'adresse de votre navigateur pour le coller dans un document Word : le lien devient cliquable sitôt pressée la touche Espace (ou Entrée ou Tab…).

  • Si vous voulez tester le lien, pressez la touche Ctrl et cliquez sur le lien. La page Web devrait s'ouvrir dans votre navigateur Internet. Si l'URL est erronée ou si le site Web rencontre des difficultés, Word risque se bloquer une minute, le temps de recevoir un message d'erreur de l'Internet.
  • Cliquez sur un lien avec le bouton droit de la souris pour accéder à ses options. Vous pouvez par exemple Supprimer le lien hypertexte, sans pour autant effacer le texte associé visible dans le document Word. Ou Copier le lien hypertexte pour le coller ailleurs dans le document Word, ou dans une autre application. Si vous choisissez Modifier le lien hypertexte

  • … une boîte de dialogue vous permet de modifier le Texte à afficher et/ou l'Adresse URL associée à ce texte.

  • Pour créer un lien hypertexte, vous pouvez aussi sélectionner un ou plusieurs mots du document Word et cliquer dessus avec le bouton droit de la souris, choix Lien > Insérer un lien. Comme dans la boîte de dialogue Modifier un lien ci-dessus, vous pourrez inscrire ou copier/coller l'URL d'une page Web dans le champ Adresse.

  • Autre méthode : si vous avez copié une URL dans le presse-papiers de Windows ou de macOS (ici nous y avons copié l'URL de la page d'accueil du site Comment ça marche), dans Word, vous pouvez aussi sélectionner une partie quelconque de votre texte, puis cliquer dessus avec le bouton droit de la souris pour afficher le menu contextuel, puis cliquer sur le signe > à droite de l'item Lien, et enfin sur l'URL située dans le presse-papiers, sous Éléments récents.

  • Le texte sélectionné se transformera en un lien hypertexte qui renverra vers l'URL qui était dans le presse-papiers.

Comment raccourcir une URL ?

Vous avez trouvé une bonne affaire sur le Web ou un article à lire absolument ? Si l'adresse de la page Web que vous voulez partager ou publier est longue, pas très "gracieuse" et peu compréhensible, utilisez un service en ligne gratuit pour la raccourcir. Cela n'a évidemment aucune incidence pour le site dont vous raccourcissez l'une des URL ! Mais raccourcir une adresse Web vous permettra de la partager plus élégamment dans un message, sur les réseaux sociaux, sur un blog ou dans un forum, ou même dans un courrier imprimé rédigé dans votre traitement de texte.

Pour fournir à un site spécialisé une longue URL et en obtenir la version raccourcie, il n'est généralement même pas nécessaire de vous créer un compte sur le site. Mais si vous vous inscrivez gratuitement, vous saurez en prime combien de personnes ont cliqué sur le lien que vous avez envoyé. D'autres options vous sont proposées dans des formules payantes.

  • Reportez-vous à notre fiche pratique pour raccourcir une URL.
  • Le plus populaire des sites pour raccourcir une URL est Bitly, mais une recherche sur le Web vous en proposera des dizaines, dont le précurseur TinyURL, toujours actif.

À qui appartient une URL ou un nom de domaine ?

Vous souhaitez savoir à qui appartient un site Web ? Indiquez l'URL de sa page d'accueil sur un service spécialisé qu'on appelle de manière générique un whois ("Who is?" en anglais, c'est-à-dire "Qui est-ce ?"). Le service gratuit vous renverra les informations publiques qui ont été fournies au bureau d'enregistrement (souvent l'hébergeur du site) chargé de réserver ce nom de domaine auprès des instances de gestion mondiale de l'Internet : nom de la personne ou de l'entreprise qui a enregistré le site Web, son adresse postale, son e-mail, son numéro de téléphone, etc.

Ces informations, extraites de la base de données mondiale des noms de domaine et des titulaires, ne sont pas toujours très complètes – en France, les mentions obligatoires ne sont pas très contraignantes pour les sites non professionnels  – ou pas très fiables, s'il s'agit d'un site frauduleux... Si vous souhaitez créer votre propre site Web, ces services whois vous permettent également de savoir si un nom est déjà réservé et avec quelles alternatives. Et bien sûr à quel prix : à partir de quelques euros pour la première année.

  • Dans votre navigateur Internet, rendez-vous par exemple sur le site whois.com.
  • Tapez l'URL dans le champ situé en haut à droite de la page, où est suggéré Enter Domain or IP. Par exemple commentcamarche.net. Pressez le bouton WHOIS.

  • Le service vous renvoie les informations conservées pour ce site (pour ce nom de domaine) dans la base de données mondiales.

  • Si la curiosité vous poussera parfois à vérifier les informations fournies par le créateur d'un site Web, sauf cas très particulier, il n'est en revanche pas recommandé d'utiliser ces infos whois pour le contacter. Un grand site marchand, par exemple, indiquera ici les coordonnées de son service informatique qui gère la partie technique du site, lequel n'assure donc pas le SAV ! Pour contacter le service client, reportez-vous au besoin aux mentions légales du site au bas de sa page d'accueil. Ces mentions sont obligatoires sur un site Internet professionnel, a fortiori s'il exerce une activité commerciale.
  • L'Afnic, Association française pour le nommage Internet en coopération, a pour mission de gérer les domaines Internet nationaux de premier niveau de la France (.fr), La Réunion (.re), Mayotte (.yt), Wallis-et-Futuna (.wf), des Terres australes et antarctiques françaises (.tf), de Saint-Pierre-et-Miquelon (.pm) et des sites officiels dépendants du gouvernement français.

  • Pour trouver d'autres services whois, tapez whois dans votre moteur de recherche habituel. En voici quelques-uns : nom-domaine.fr, Infomaniak, OVH

REF.:  https://www.commentcamarche.net/informatique/technologies/1849-qu-est-ce-qu-une-url/#a-qui-appartient-une-url-ou-un-nom-de-domaine

vendredi 19 mai 2023

Activons HTTPS (SSL/TLS) pour les sites Web, gratuitement

 Activons HTTPS (SSL/TLS) pour les sites Web, gratuitement

Let’s Encrypt est une autorité de certification (AC ou CA pour Certificate Authority en anglais) gratuite, automatisée et ouverte, exploitée pour le bénéfice du public. C’est un service fourni par Internet Security Research Group (ISRG).

Nous donnons aux gens les certificats numériques dont ils ont besoin pour activer HTTPS (SSL/TLS) pour les sites Web, gratuitement, de la manière la plus intuitive possible. Nous faisons cela parce que nous voulons créer un Web plus sûr et respectueux de la vie privée.

Pour en savoir plus sur notre dernière année en revue, téléchargez notre rapport annuel.

Les principes clés de Let’s Encrypt sont les suivants :

  • Gratuit: Toute personne possédant un nom de domaine peut utiliser Let’s Encrypt pour obtenir un certificat reconnu, à coût nul.
  • Automatique: Un logiciel fonctionnant sur un serveur web peut interagir avec Let’s Encrypt pour obtenir sans peine un certificat, le configurer en toute sécurité pour son utilisation et s’occuper automatiquement de son renouvellement.
  • Securisé: Let’s Encrypt servira de plate-forme pour faire progresser les meilleures pratiques de la sécurité TLS, tant du côté de l’autorité de certification que pour aider les responsables de site Web à sécuriser correctement leurs serveurs.
  • Transparent: Tous les certificats délivrés ou révoqués seront enregistrés publiquement et disponibles pour inspection par quiconque.
  • Ouvert: Le protocole de délivrance et de renouvellement automatique est publié comme une norme ouverte que d’autres pourront adopter.
  • Coopératif: Tout comme les protocoles Internet sous-jacents eux-mêmes, Let’s Encrypt est un effort conjoint au profit de la communauté, qui échappe au contrôle d’une seule organisation.

Nous avons une page avec des informations plus détaillées sur comment fonctionne l’AC Let’s Encrypt.

Soutenez un Web plus sûr et plus respectueux de la vie privée.

 

REF.:  https://letsencrypt.org/fr/

vendredi 17 septembre 2021

Les 17 meilleurs outils Banque d’images

 

 

Les 17 meilleurs outils Banque d’images

Banque d’images

Retrouvez notre sélection des meilleures banques d’images pour télécharger des photos, des musiques et des vidéos libres de droits. Certains sites sont gratuits, d’autres exigent un abonnement ou un paiement en fonction du nombre d’images téléchargées.

 
 

Les 17 meilleurs outils Banque d’images

Choisir un outil Banque d’images

Une banque d’images est une base de données qui regroupe un ensemble de ressources dédiées à la création graphique : photos, vidéos, icônes, illustrations vectorielles, logos, mockups… Très prisées par les professionnels tels que les chargés de communication, les graphistes, les rédacteurs ou encore les développeurs, les banques d’images permettent de proposer des visuels de qualité et de rendre un contenu plus impactant. Ces visuels peuvent ainsi être utilisés sur des sites Internet, pour illustrer un texte, pour des flyers ou encore des packagings et des supports publicitaires. Parmi les thèmes les plus populaires, nous retrouvons : photos de paysages, fonds d’écran, architecture, affaires et travail, mode, santé, photographie de rue, technologie… Plus que de simples ressources à caractère illustratif, ces contenus visuels doivent transmettre un message, remplir un objectif précis et susciter des émotions.

Pour les professionnels de l’image ou les photographes, il est possible de vendre ses clichés et illustrations via les banques d’images. Le prix des ressources varie selon les licences (standards ou étendues) avec des critères tels que le format, le support de diffusion et la durée d’exploitation. Parmi les principaux acteurs, il existe Shutterstock, Getty Images, Adobe Stock ou encore iStock.

Les fonctionnalités principales des banques d’images destinées aux pros sont les suivantes :

  • Recherche par mot clé : en plus d’offrir des images de bonne qualité, les bibliothèques d’images se veulent simples d’utilisation puisque celles-ci fonctionnent comme des moteurs de recherche. Il existe, dans la plupart des cas, une barre de recherche située en page d’accueil qui permet à l’utilisateur de taper un ou plusieurs mots-clés en rapport avec le visuel recherché. Souvent, un tri par filtre est également possible pour affiner ses recherches.
  • Collection d’images : lorsque vous sélectionnez une image affichée dans les résultats de recherche, certaines banques d’images proposent des collections qui permettent d’accéder à des ressources qui sont similaires à celle choisie. Cette fonctionnalité permet d’accéder facilement à des nouvelles photos dans la même thématique.
  • Multiplicité des formats : les banques d’images proposent en général différents formats de ressources téléchargeables. Vous pouvez choisir votre résolution d’image (basse, moyenne ou haute résolution), le type de fichier (JPEG, PNG, SVG, PDF, AI, EPS, RAW…) et la taille de l’image en pixels. Pour les ressources vidéo, vous pouvez choisir la résolution (480p, 720p, 1080p, HD, 4K ou 8K) et le type de fichier (MP4, MOV, AVI…).
  • Recherche par image : certaines bibliothèques de photos proposent un moteur de recherche par image, qui permet de trouver une base d’images, de photos ou d’illustrations semblable à l’image renseignée.
  • Historique des téléchargements : certaines banques photos ou vidéos proposent un historique des téléchargements. Cette fonctionnalité permet de réutiliser des contenus achetés précédemment et facilite l’organisation de vos nombreuses ressources.

Les meilleures banques d’images gratuites

Pour trouver des visuels de qualité à moindre coût, il existe plusieurs banques d’images gratuites telles que Coverr, Unsplash, Pixabay ou encore Pexels. Certaines banques de ressources sont spécialisées, comme Nappy qui propose à titre gratuit des contenus favorisant la diversité.

Ces banques d’images permettent de télécharger gratuitement des ressources avec leur licence associée. Selon les types d’autorisation, vous pouvez copier, modifier, distribuer et utiliser les images, même à des fins commerciales. Dans certains cas, vous n’avez pas besoin d’ajouter d’attribution, même si citer l’auteur est vivement conseillé pour accorder de la visibilité au créateur derrière l’illustration. Il est toutefois nécessaire de respecter certaines règles si vous utilisez la photo à des fins commerciales, car le contenu représenté sur l’image ou la vidéo peut lui être soumis à une réglementation : apparition d’une marque ou d’un logo, personne ou groupe de personnes photographiées, monuments ou œuvres protégés…

Certaines banques d’images gratuites proposent également des API qui permettent aux professionnels de retrouver ces bases de données directement au sein d’autres outils tels que Canva, Trello, Dropbox, Figma ou encore Product Hunt et Zoom.

Les licences des banques d’images : libre de droits, droits gérés, Creative Commons…

Les banques d’images gratuites et payantes proposent des licences différentes en fonction des usages. Il existe deux types de licences : la licence libre de droits et la licence de droits gérés. Dans le cadre d’une licence libre de droits, vous devez payer le contenu une seule fois pour pouvoir l’utiliser comme bon vous semble. Quant à la licence de droits gérés, il est nécessaire de payer des droits à chaque usage. Il est possible de retrouver des contenus sous licence Creative Commons qui permettent de faciliter le partage des photos, vidéos et images selon différents degrés de restrictions.

Enfin, il est important d’effectuer une distinction entre l’usage commercial (contenu utilisé pour commercialiser, vendre, faire de la publicité…) et l’usage éditorial (contenu utilisé pour illustrer un article ou un propos).

Questions fréquentes sur les outils Banque d’images

Quelles sont les meilleures banques d'images gratuites ?

Parmi les meilleures banques d’images gratuites, on retrouve Unsplash, Pixabay, Pexels, Coverr ou encore Pixel Mob.

Une photo libre de droits est-elle une photo gratuite ?
Peut-on utiliser librement une photo trouvée sur Google Images ?
Quelles sont les règles à respecter quand on utilise des photos de banque d'images gratuites ?
 


lundi 21 décembre 2020

Est-il encore utile de posséder un site web en 2021 ?

 

 

Est-il encore utile de posséder un site web en 2021 ?

Il paraît que le site web est mort et aurait été remplacé par les médias sociaux, les plateformes 

de publication de contenus, les interfaces vocales ou encore les applications. Qu’en est-il 

vraiment ?

 Est-ce vraiment encore utile d’avoir un site web, à l’aube de 2021 ?

Introduction

Régulièrement, apparaissent sur la toile des articles proclamant la mort du site web.

Les principaux arguments avancés sont principalement les suivants :

  • Depuis le milieu des années 2000, les usages ont fortement évolué, avec l’avènement
  • des smartphones et des médias sociaux.
  • Il n’a jamais été aussi facile de publier du contenu grâce la multiplication des 
  • plateformes spécialisées.
  • Diverses plateformes de diffusion de contenu, chacune avec ses codes et contraintes
  •  techniques, existent. Il devient donc de plus en plus compliqué, en tant que créateur de 
  • contenu, de l’optimiser pour ces différentes plateformes.

Ces constats sont indiscutables. Après tout, si ma cible est sur les réseaux sociaux, pourquoi 

m’embêter avec un site web ? Déjà en 2016, la société MinuteBuzz faisait le pari de fermer son 

site web et de ne proposer ses contenus que sur les réseaux sociaux.

Si d’un côté, certains annoncent la mort du site web, d’autres défendent plus que jamais sa nécessité. 

Je me suis donc posé la question suivante : Que ce soit à titre personnel ou professionnel, est-il encore utile d’avoir son propre site web en 2021 ?

Spoiler pour les impatient·es : oui

Au travers de 5 raisons – très personnelles – je vais vous expliquer dans cet article/plaidoyer 

pourquoi je pense qu’on a plus que jamais besoin de son « chez-soi virtuel ».

Les intermédiaires, ça va et ça vient.

Cette formule n’est pas de moi, mais de Stéphane Deschamps qui, en 2018, se faisait déjà la 

remarque qu’« Avoir un site web, c’est (encore) bien ».

Selon les promoteurs de la mort des sites web, il existe un grand nombre de plateformes qui 

permettent la publication de contenu, la vente de produits et l’animation de communauté,

 rendant obsolète le recours au site web personnel.

Ainsi, plus besoin de dépenser de l’argent pour la création d’un site web, il suffit de se créer un

 compte sur Tumblr, Medium, LinkedIn, YouTube ou encore Soundcloud et d’y publier son 

contenu, qui sera alors visible en très peu de temps par des centaines, voire des milliers 

d’internautes. La promesse est belle et le raisonnement se tient.

Mais que se passera-t-il pour votre contenu, le jour où ces plateformes fermeront1 ?

L’histoire est truffée de services très populaires qui ont cessé leur activité du jour au lendemain,

 souvent pour des raisons économiques – généralement après un rachat par Yahoo ou AOL ,

 pour des raisons judiciaires ou tout simplement parce qu’un concurrent plus séduisant ou moins

 cher est apparu.

Sans aller jusqu’à la fermeture, il y aura forcément un moment où vos intérêts et ceux de ces

 services ne seront plus alignés. Il suffit de lire les témoignages de personnes qui ont quitté 

Medium pour revenir au blog. Celui de Signal v. Noise (en anglais) étant peut-être le plus emblématique.

Dans le meilleur des cas, vous aurez la possibilité de récupérer votre contenu dans un format exploitable et pourrez le transférer avec plus ou moins de facilité sur une autre plateforme. Mais,

le 

cas le plus probable est que le seul moyen pour vous de le récupérer est de vous y prendre

 suffisamment tôt pour faire des copier/coller…

Vous faites ce que vous voulez de votre contenu, quand vous

 le voulez

Avant de continuer, laissez-moi vous parler d’Andrés Iniesta.

Andrés est un père de famille madrilène, amateur de vélo et de nourriture. Comme des millions

 de personnes, il possède un compte Instagram sur lequel il publie des photos de son quotidien.

Un jour de juillet 2015, alors qu’il est en vacances, Andrés constate qu’il ne peut plus se connecter

 à son compte et que ce dernier a été fermé, pour infraction aux conditions d’utilisation de la plateforme.

Quelques jours plus tard, des amis lui signalent qu’ils voient apparaître dans leur flux d’actualité 

des photos d’Andrés Iniesta, la star du football espagnol, alors même qu’ils n’aiment pas le 

football.

Andrés commence alors à comprendre que son compte a en quelque sorte été « volé » par le

 sportif, avec l’accord d’Instagram qui a cru que c’était un imposteur.

Sa seule « erreur » : avoir le même nom qu’une célébrité.

Heureusement, l’histoire se termine bien pour lui et il a pu récupérer son compte. Ironie du sort,

 Andrés raconte sa mésaventure sur Medium (en anglais). Jusqu’à ce que son homonyme se mette

 à écrire sur cette même plateforme ?

S’il avait publié ses photos sur son site, celles-ci auraient peut-être eu moins de portée, mais il est

 fort probable que cette mésaventure ne lui soit jamais arrivée.

N’oubliez pas que quand vous utilisez ces plateformes vous n’en êtes pas propriétaire. Comme l’écrit

 le site Biteable à propos d’Instagram Checkout2 :

Vous ne posséderez pas votre plateforme e-commerce.

Vous participez à la version e-commerce d’Instagram et c’est Instagram qui est en charge de ce qui s’y passe.

Votre contenu est moins à la merci d’algorithmes qui changent arbitrairement

Un peu plus tôt, je vous parlais de MinuteBuzz qui avait fait le pari de tout miser sur les réseaux sociaux. Fin 2016, la société se fait également racheter par TF1 qui, en novembre 2019, décide d’évincer les deux fondateurs3.

La raison invoquée ? Une baisse des résultats, provoquée en grande partie par les modifications

 de l’algorithme de Facebook qui ont donné moins de visibilité aux contenus de MinuteBuzz.

Quand vous misez uniquement sur ce type de plateforme pour publier vos contenus, vous êtes à

 la merci de changements brutaux d’algorithmes qui peuvent radicalement nuire à votre 

visibilité.

Vous allez me dire qu’avec un site web, vous êtes à la merci des algorithmes des moteurs de 

recherches. Certes, mais – à mon sens – il est beaucoup plus facile de les dompter que ceux des 

médias sociaux, car ils sont mieux documentés et s’attaquent principalement aux contenus de 

 mauvaise qualité.

En outre, s’il est insensé de tout miser sur un service tiers pour publier ses contenus, il l’est tout 

autant de ne miser que sur les moteurs de recherche pour les promouvoir. De manière générale,

c’est rarement une bonne idée de mettre tous ses œufs dans le même panier.

Il n’y a pas tant de compétition que ça

D’après le site Internet live stats, sur les bientôt 2 milliards de noms de domaines recensés, seuls 

200 millions sont réellement actifs. Sur ces 200 millions, on compte une immense partie qui sont 

des petits sites amateurs, ou confidentiels.

Selon moi, l’argument de la trop forte concurrence – souvent avancé pour justifier l’abandon du

 site web personnel (dans le sens de qui nous appartient) – n’est pas justifié et doit être relativisé.

Globalement, il y a très peu de sites de qualité, a fortiori si vous êtes dans un marché de niche. Il

peut donc être assez facile de sortir du lot (à condition d’y mettre un minimum de moyens humains, techniques et financiers).

Même dans un domaine concurrentiel, il y a toujours moyen de tirer son épingle du jeu. Il suffit de 

voir le nombre d’agences ou de freelances qui vendent des prestations de création de sites web et 

qui ont un site tout droit sorti des années 90…

Selon moi, il est beaucoup plus facile d’être bien positionné dans les moteurs de recherche que

 sur LinkedIn ou Medium, pour ne citer qu’eux. Sur ces plateformes, pour être visible, il faut 

publier beaucoup de contenu, et surtout rentrer dans des cases pour faire plaisir à l’algorithme. Ce 

qui tend à uniformiser les publications.

Avec un site web, c’est moins vrai. Bien sûr, il y a des bonnes pratiques à respecter (coucou Opquast 

ou Dareboost), mais ce ne sont pas des obligations.

Parce que le web a besoin de diversité

Imaginez un monde où, pour consulter un contenu ou faire vos achats, votre choix se limiterait à 

quatre ou cinq services. Même si dans ce monde, ces services sont plus sociaux et respectueux de la 

vie privée (soyons utopistes !), ça serait triste, non ?

Lorsque Tim Berners-Lee a créé le Web, il a imaginé que chaque internaute qui le souhaite puisse 

avoir son petit espace personnel, qu’il soit public ou privé. Sa maison virtuelle en quelque sorte (d’

où l’invention du terme home page (en anglais)).

À mes yeux, le principal intérêt du web est sa diversité. C’est un espace de liberté et de créativité 

sans précédent, qui se matérialise par le site web.

Qu’il s’agisse d’une yourte, d’un pavillon dans un lotissement, d’une maison d’architecte, d’un appartement en colocation ou d’un bunker, peu importe. L’essentiel est que votre maison virtuelle 

soit

 à votre image et que vous vous y sentiez bien.

Et si vous avez envie de changer la peinture, de bouger les meubles, voire de casser quelques 

murs, personne ne peut vous en empêcher !

Quelle place pour le site web en 2021 ?

Vous l’aurez compris, je suis fortement attaché à la maîtrise, voire à la propriété, de ses outils de publication de contenu. Il s’agit toutefois d’un avis très personnel, que vous ne partagez peut-être

 pas.

Les services de publication de contenu sont bien sûr des outils formidables pour les auteurs et

 autrices débutantes. Tout comme Instagram Checkout peut être une alternative intéressante 

pour débuter dans le e-commerce. Il en faut pour tout le monde, et c’est une bonne chose que ces services existent. Toutefois ils ne sont généralement qu’une étape avant d’en revenir au bon vieux 

site web.

De ce fait, quelle place peut occuper le site en web en 2021 ? La réponse à cette question est très

 simple et très complexe : cela dépend de votre stratégie. Comme en 2020 en fait…

En revanche, quelle que soit votre stratégie, elle doit prendre en compte le fait que vos contenus

ne 

vont probablement pas être lus, regardés ou écoutés sur votre site web. Il faut donc qu’ils soient accessibles sur d’autres supports, même si à la base ils sont publiés sur votre site web.

C’est en cela que je trouve le principe POSSE (Publish (on your) Own Site, Syndicate Elsewhere) intéressant. Il consiste, comme son nom le laisse supposer, à publier un contenu d’abord sur son

 site web, puis de le syndiquer ailleurs.

Il vient en opposition au principe PESOS ( Publish Elsewhere, Syndicate (to your) Own Site) qui consiste en l’inverse : un contenu est d’abord publié sur un service tiers (Facebook, Twitter…) puis 

est syndiqué sur votre site – grâce à l’affichage d’un flux par exemple.

L’image suivante représente de manière visuelle ces deux principes :

Le principe POSSE a d’ailleurs fait l’objet d’une conférence à Paris Web en 2019, que je vous

 laisse découvrir pour en savoir plus.

Conclusion

N’en déplaise à ses détracteurs, le site web n’est pas mort, loin de là ! Au contraire, à mes yeux, 

son rôle est plus que jamais central pour qui recherche un minimum d’autonomie numérique.

Dans cet article, j’ai listé cinq avantages du site web sur d’autre supports de diffusion de contenu.

 Il en existe probablement des centaines d’autres.

Quelle est pour vous la principale raison d’avoir (ou de ne pas avoir) son propre site web ?

lundi 26 octobre 2020

Vous devrez transformez vos sites classiques(Google site) actifs avant septembre 2021 :

 Vous devrez transformez vos sites classiques(Google site) actifs avant septembre 2021 :

 La création de Google Sites ne sera disponible que dans la nouvelle expérience. Transformez vos sites classiques actifs avant septembre 2021.



En 2016, nous avons lancé une version mise à jour de Google Sites (appelée dans cet e-mail "nouveaux sites") conçue pour vous aider à créer des sites Web sans expérience de programmation, à optimiser sur mobile et ordinateur de bureau et à co-construire avec une collaboration en temps réel. En 2017, nous avons annoncé que nous remplaçions l'ancienne expérience Google Sites, appelée "Sites classiques" par notre nouveau produit Google Sites. Depuis cette annonce, nous avons investi dans la nouvelle expérience Sites en créant les fonctionnalités les plus demandées.

Nous avons identifié que vous possédiez un ou plusieurs sites classiques actifs. Vous devez prendre des mesures avant septembre 2021 pour éviter les perturbations.

De plus, à partir du 1er novembre 2020, la création de sites ne sera plus disponible dans les sites classiques. Les sites Web nouvellement générés ne seront disponibles que dans la nouvelle expérience.
Qu'est-ce que je dois faire?

Commencez votre migration dès aujourd'hui. Si vous souhaitez que votre site reste disponible pour les internautes, vous devez le convertir et le publier vers la nouvelle interface avant septembre 2021.

Si vous ne prenez aucune mesure, à partir du 1er septembre 2021, vos sites actifs seront automatiquement:
Téléchargé en tant qu'archive et enregistré sur votre Google Drive.
Remplacé par un brouillon dans la nouvelle interface Sites pour que vous puissiez le réviser et le publier.

Nous avons créé un nouveau gestionnaire de sites classique pour vous aider à faire la transition de vos sites Web à l'aide des options ci-dessous:

icône de sites Convertissez votre (vos) site (s) vers la nouvelle expérience si vous souhaitez que votre site reste disponible pour les visiteurs.
icône de téléchargement Téléchargez votre (vos) site (s) si vous souhaitez stocker une version archivée de votre site Web.
icône de la corbeille Supprimez les sites dont vous n'avez plus besoin.

En savoir plus sur la gestion de votre transition.
En savoir plus sur les nouveaux sites Google

Nous avons écouté vos commentaires et vos principales demandes sont désormais incluses dans la nouvelle interface Google Sites.

Les mises en page de section et les modèles prédéfinis vous permettent de créer des sites Web avec moins de clics et moins de connaissances en matière de création de site.
L'historique des versions vous permet de voir votre historique des modifications, de rétablir et de restaurer les versions précédentes et de consulter l'historique des personnes qui ont effectué des modifications.
Les nouveaux types de vignettes vous permettent d'être plus expressif avec le contenu du site Web, y compris une table des matières, des carrousels d'images, du texte pliable, etc.
Les URL personnalisées et la publication auprès d'un public vous permettent de partager le contenu de votre site Web.

Découvrez les nouveautés de Google Sites.

Pour obtenir des ressources supplémentaires sur ce que vous devez savoir et comment gérer votre transition, consultez le centre d'aide de Google Sites.

Merci d'avoir choisi Google Sites.

REF.: —L'équipe G Suite

© 2020 Google LLC 1600 Amphitheatre Parkway, Mountain View, CA 94043

Vous avez reçu cette notification par e-mail obligatoire pour vous informer des informations importantes relatives à votre compte Google.

 

dimanche 15 septembre 2019

Comment savoir si un site est fiable ?

  • Comment savoir si un site est fiable ?



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ScamDoc.com est un site qui permet d'évaluer la confiance d'une "identité numérique" (adresse mail ou site internet).
Il répond ainsi à plusieurs questions que les internautes se posent couramment sur internet :
  • Comment savoir si un site est fiable ?
  • Comment détecter une adresse mail frauduleuse ?
  • Plus généralement, quelle confiance accorder à un site ou à un correspondant sur internet ?
Dans quels cas utiliser ce site ?
L'utilisation de ScamDoc est gratuite et illimitée. A ce titre, ce site peut être utilisé dès qu'un doute est rencontré sur un site vers lequel un achat est envisagé ou lors d'un échange avec un interlocuteur inconnu.
Comment fonctionne-t-il ?
ScamDoc utilise un service nommé ScamPredictor. Il s'agit d'un algorithme développé par la société HERETIC SAS (éditrice de la plateforme Signal-Arnaques.com) qui s'appuie sur des techniques d'intelligence artificielle de classification. Il suffit de taper une donnée de type URL ou mail pour obtenir un rapport détaillé accompagné d'un indice de confiance.

REF.:

lundi 20 août 2018

Comprendre l’erreur 403 lors de l’accès à un site web

Comprendre l’erreur 403 lors de l’accès à un site web

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Lorsque vous tentez d’accéder à un site internet (Google, Orange, etc) ou autres, le site ne se charge pas et une erreur 403 « access forbidden » apparaît.
La page n’est donc pas disponible et vous ne pouvez pas consulter le site souhaité.
Cet article vous explique ce qu’est l’erreur 403 et comment réagir dans le cas où celle-ci s’affiche.

Comprendre l’erreur 403 forbidden lors de l’accès à un site

L’erreur 403 est une erreur HTTP produite par le serveur WEB sur lequel vous vous connectez.
Cette erreur est une interdiction de consulter une ressources du site WEB.
Dans le cas d’une tentative de consultation d’une page internet du site, vous aurez alors cette erreur 403.
Le message peut-être personnalisé par l’administrateur du site ou différents selon le logiciel du serveur WEB (apache, nginx, etc)
Vous pouvez donc obtenir un des messages suivants :
  • 403 Forbidden
  • HTTP 403
  • Forbidden
  • HTTP Error 403 – Forbidden
  • HTTP Error 403.14 – Forbidden
  • Error 403
  • Forbidden: You don’t have permission to access [directory] on this server
  • Error 403 – Forbidden
Ci-dessous l’erreur 403 sur le site malekal.com avec un message personnalisé :
Comprendre l'erreur 403 forbidden lors de l'accès à un site web
Comme l’erreur est retournée par le serveur WEB, il n’y a que l’administrateur du site qui peut débloquer son accès.
Parfois ces restrictions sont mises en place par des protections et donc il peut s’agit d’une faux positif qui vous bloque l’accès au site et retourne une erreur 403.
La pire situation étant que votre adresse IP ait été blacklisté (liste noire) par le serveur WEB.
Voici quelques solutions pour tenter de contourner cette erreur 403.

Comment contourner l’erreur 403

Vérifier l’URL
Dans un premier temps, vérifiez bien l’adresse du site que vous visitez.
Tenter d’accès à la page d’accueil.
Par exemple, si vous tentez d’accéder à http://www.supersite.com/bllbla/ici/lala tentez de revenir à la page d’accueil en http://www.supersite.com
L’URL du site se termine toujours par le TLD soit donc .com, .net, .fr
Comprendre l'erreur 403 forbidden lors de l'accès à un site web

Désactiver votre antivirus ou protections

Votre antivirus peut blacklister le site et considérer ce dernier comme malveillant, l’accès peut alors être bloqué avec une erreur 403.
Ce n’est pas le site WEB qui renvoie l’erreur mais votre antivirus qui s’intercale entre votre navigateur internet et le serveur WEB.
Si vous êtes certains que le site est sans danger, tentez de désactiver votre antivirus afin de s’assurer qu’il n’ait pas la source des erreurs 403.

Vider le cache internet

Tentez alors de vider le cache internet de votre navigateur internet.
Parfois cela peut interférer avec la consultation du site et aboutir à l’erreur 403.
Pour se faire, appuyez sur la touche CTRL+Maj+Suppr afin d’ouvrir la boîte de dialogue qui permet de vider les caches du navigateur internet.
Dans la liste, videz le cache internet.
Comprendre l'erreur 403 forbidden lors de l'accès à un site web

Tester avec une autre adresse IP

Si vous avez accès à un VPN ou un proxy, tester avec.
Si le site peut-être consulté alors il est fort probable que votre adresse IP ait été blacklisté par le serveur WEB.
A l’inverse, si vous utilisez déjà un VPN, tentez de vous y connecter sans ce dernier.
Dans ce cas, la seule solution est de contacter l’administrateur du site afin de faire retirer votre adresse IP de la liste noire.

Contacter l’administrateur du site

Enfin, si cela ne fonctionne toujours pas et que l’erreur 403 persiste, contactez l’administrateur du site internet.
En général, un bouton contacter est présent en bas ou dans les menus du site.
Indiquez l’heure des tentatives d’accès au site afin que l’administrateur puisse investiguer.
Pensez que l’administrateur n’est pas forcément français.

Liens autour des problèmes de connexion

Quelques autres liens autour des problèmes de connexion à un site internet.
REF.:

mardi 14 août 2018

Web2Web: Sites Web sans serveur optimisés par Torrents et Bitcoin ?


Web2Web: Sites Web sans serveur optimisés par Torrents et Bitcoin

   REF.: 
Par Ernesto

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Faire fonctionner un site Web entièrement fonctionnel dans un navigateur classique sans impliquer de serveurs centraux semble compliqué, mais avec Web2Web ce n’est pas le cas. Le projet, optimisé par WebTorrent et Bitcoin, permet à quiconque de créer des sites Web modifiables, aussi résistants que possible.
serveurs-nonPasque la plupart des gens associent encore des torrents à des clients de bureau, l'équivalent WebTorrent basé sur navigateur gagne rapidement en popularité.
En termes simples, WebTorrent est un client torrent pour le Web. Au lieu d'utiliser des applications autonomes, il permet aux utilisateurs de partager des fichiers directement depuis leur navigateur sans avoir à configurer ou installer quoi que ce soit.
Cela permet aux utilisateurs de diffuser des vidéos directement à partir de navigateurs classiques tels que Chrome et Firefox, comme ils le feraient sur YouTube.
La technologie, créée par Feross Aboukhadijeh, diplômé de l’Université de Stanford, a déjà suscité l’intérêt de Netflix et a donné lieu à diverses implémentations innovantes.
Plus récemment, le développeur tchèque Michal Spicka a créé le projet Web2Web, qui permet aux utilisateurs de partager des sites Web entiers en utilisant la technologie WebTorrent. Cela rend ces sites pratiquement impossibles à supprimer.
Michal dit à TorrentFreak qu'il est fasciné par la technologie moderne et qu'il souhaitait développer une plate-forme résiliente, sans serveur et anonyme permettant aux utilisateurs de partager quelque chose en ligne.
"Dans le passé, nous avons vu de puissants groupes d’intérêts fermer des sites Web légitimes. Je me demandais si je pouvais trouver quelque chose qui ne puisse pas être supprimé facilement et qui protège également l'identité de l'opérateur du site », explique Michal.
Pour la plupart des sites Web, les serveurs et les noms de domaine sont les aspects les plus vulnérables. Les deux peuvent être facilement saisis et sont loin d'être anonymes. Avec Web2Web, cependant, les gens peuvent exécuter un site Web sans aucune de ces situations.
"Pour exécuter un site Web Web2Web, ni le serveur ni le domaine ne sont requis. Tout ce dont vous avez besoin est une page de démarrage qui charge votre site Web à partir du réseau torrent et l'affiche dans le navigateur », nous dit Michal.
Bien qu'il existe des alternatives similaires, telles que Zeronet, la beauté de Web2Web réside dans le fait qu'il fonctionne dans tout navigateur moderne. Cela signifie qu'il n'est pas nécessaire d'installer un logiciel séparé.
La page de démarrage qui sert à tout le contenu est un fichier HTML simple qui peut être mis en miroir n'importe où en ligne ou téléchargé sur un ordinateur local. Avec l'aide de Bitcoin, l'opérateur peut mettre à jour le fichier, après quoi les utilisateurs verront la nouvelle version.
"Si l’opérateur du site veut publier un nouveau contenu sur son site Web précédemment créé, il crée d’abord un torrent du nouveau contenu, puis insère le torrent infohash dans une transaction bitcoin envoyée depuis son adresse bitcoin", explique Michal.
"Le site Web surveille constamment cette adresse pour rechercher de nouvelles transactions, extrait l'infohash, télécharge le nouveau contenu à partir de l'essaim de torrent et se met à jour en conséquence", ajoute-t-il.
Pour Michal, le projet est essentiellement une expérience intéressante. L'objectif principal était de montrer qu'il était possible de créer des sites Web fonctionnels sans serveur central, en utilisant WebTorrent et Bitcoin.
Il n'a pas de vision claire sur la façon dont les gens vont l'utiliser, mais il insiste sur le fait qu'il ne favorise pas ou n'encourage pas les utilisations illégales.
"Je suis fermement contre de l'utiliser pour quelque chose d'illégal. Par contre, je ne peux pas empêcher les gens de le faire. Le moment viendra où ce projet sera malmené et ce sera seulement à ce moment-là que nous verrons si cela résiste vraiment », note-t-il.
En attendant, cette démo parfaitement légale donne aux gens et aux idées de ce qui est possible. Plus d'informations sur la création de pages distribuées sont disponibles ici.


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