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mardi 5 décembre 2017

Comment éviter la fermeture d'un compte Gmail , Youtube ?



Simplement en ayant un compte avec un compétiteur , comme Apple et d'avoir enregistré avec votre email Gmail.com un compte iTunes par exemple !
A cause d'entente commerciale évidente ,Google ne peut fermer votre compte Gmail !
Que ce soit un compte Youtube que vous ne respectez pas les copyrights,....vouis serez protéger et avec Apple c'est aussi la même chose, avec iMovie ,les publiocation musicale sont plus permissive,.... ou avec Néro, si vous avez acheté le logiciel NéroVision par exemple,publier un film que vous produisez est plus permissif pour les droits d'auteur,sans se faire bannir ou fermer un compte !!!

Car Google: Sur une chaîne YouTube avec 3 avertissements (quelle que soit le temps séparant leur réception) est suspendue.Si le détenteur des droits d'auteur, l'IFPI en l’occurrence ici, ne savait pas quelles seraient les répercussions de sa décision quant aux contenus qu'il souhaite protéger, ce n'est pas YouTube qui est responsable. Il est l'instigateur de la suspension de votre compte en ayant souhaité traiter vos vidéos de la sorte, il y en avait 3 concernées sur votre chaîne (peut-être plus même ? O_o), soit 3 avertissements, soit un quota de non-respect dépassé !

Vous aurez beau vous évertuer sur ce forum à clamer une injustice, il n'y en a pas. Quant aux autres vidéos d'utilisateur, pour celles qui présentent le concert en question, le fait qu'elles soient encore présentes regarde l'IFPI et pas vous. Et pour les autres vidéos d'utilisateur ayant repris vos contenus, je vous invite à les signaler dès que possible !

Morale: Google a de la misère a légiférer ses compte Youtube pour enfants et ados,concernant la porno et la pédophilie,..............alors  qu'il commence a peine a contrôler leur Youtube, en Youtube Kids et d'effacer plusieurs milliers de video jugé trop obscène,les droits d'auteurs n'est que la pointe de l'iceberg !


REF.: fafoinpointcome

dimanche 3 décembre 2017

La surveillance des publications de médias sociaux avec ses emplacements géographiques



Geofeedia est une plateforme d'intelligence de médias sociaux qui associe des publications de médias sociaux avec des emplacements géographiques. La société a levé 3,5 millions de dollars dans sa deuxième ronde de capital-risque en octobre 2014. À l'époque, les principaux clients comprenaient le département du shérif du comté de Los Angeles et Dell. Les clients pouvaient visualiser les publications dans une zone en temps réel et analyser le contenu. [1] Les services exploités par Geofeedia comprennent Instagram, Twitter, Periscope, Vine, YouTube et Sina Weibo. La société a levé 17 millions de dollars en financement de série B au début de 2016 auprès de Silversmith Capital Partners [2] et a annoncé une croissance de 250% de ses revenus en 2015 avec des clients tels que Mall of America et la NCAA. À ce moment, 60 personnes travaillaient pour l'entreprise. [3] En octobre 2016, l'American Civil Liberties Union a publié un rapport selon lequel les technologies de l'entreprise avaient été utilisées pour identifier et arrêter des manifestants lors d'événements tels que les manifestations de 2015 à Baltimore qui ont suivi la mort de Freddie Gray. Facebook, Instagram et Twitter, qui ont été nommés dans le rapport, ont restreint l'accès de Geofeedia aux données de l'utilisateur. [4] [5] Facebook avait utilisé le service lui-même pour détecter un intrus téléchargeant des photos prises à l'intérieur du bureau de son PDG, Mark Zuckerberg. 

REF.:

COINTELPRO c'était pour surveiller, infiltrer, discréditer et perturber les organisations politiques.



COINTELPRO (un acronyme pour COunter INTELligence PROgram) était une série de projets secrets, et parfois illégaux, [1] [2] menés par le FBI (Federal Bureau of Investigation) des États-Unis visant à surveiller, infiltrer, discréditer et perturber les organisations politiques. [3] [4] Les archives du FBI montrent que les ressources de COINTELPRO ciblaient des groupes et des individus que le FBI jugeait subversifs [5], y compris des organisateurs anti-Vietnam, des activistes du mouvement des droits civiques ou du mouvement Black Power (par exemple, Martin Luther King, Jr. Black Panther Party), les organisations féministes, les mouvements indépendantistes (comme les groupes indépendantistes portoricains comme les Young Lords) et diverses organisations qui faisaient partie de la Nouvelle Gauche.
Les opérations centralisées sous COINTELPRO ont officiellement commencé en août 1956 avec un programme conçu pour «augmenter le factionnalisme, causer des perturbations et gagner des défections» au sein du Parti communiste américain (CPUSA). Les tactiques incluaient des appels téléphoniques anonymes, des vérifications IRS et la création de documents qui diviseraient l'organisation communiste américaine en interne [18]. Un mémo d'Hoover en octobre 1956 a reclassé la surveillance continue du FBI sur les dirigeants noirs, y compris au sein de COINTELPRO, avec la justification que le mouvement était infiltré par les communistes. [19] En 1956, Hoover a envoyé une lettre ouverte dénonçant le Dr T.R.M. Howard, un leader des droits civiques, un chirurgien et un riche entrepreneur du Mississippi qui avait critiqué l'inaction du FBI dans la résolution des récents meurtres de George W. Lee, d'Emmett Till et d'autres Noirs du Sud [20]. Lorsque la Southern Christian Leadership Conference (SCLC), une organisation afro-américaine de défense des droits civiques, a été fondée en 1957, le FBI a commencé à surveiller et cibler le groupe presque immédiatement, en se concentrant particulièrement sur Bayard Rustin, Stanley Levison et finalement Rev. Martin Luther King, Jr. [21]
Le FBI a utilisé des opérations secrètes contre des groupes politiques nationaux depuis sa création; cependant, des opérations secrètes sous le label COINTELPRO officiel ont eu lieu entre 1956 et 1971. [6] Les tactiques de COINTELPRO sont encore utilisées à ce jour, et ont été supposées inclure des cibles de discrédit par la guerre psychologique; barbouiller les individus et les groupes en utilisant des documents falsifiés et en plantant de faux rapports dans les médias; harcèlement; emprisonnement injustifié; et la violence illégale, y compris l'assassinat. [7] [8] [9] [10] La motivation déclarée du FBI était "la protection de la sécurité nationale, la prévention de la violence et le maintien de l'ordre social et politique existant." [11]
Le directeur du FBI, J. Edgar Hoover, a publié des directives régissant le COINTELPRO, ordonnant aux agents du FBI d '«exposer, perturber, détourner, discréditer ou autrement neutraliser» les activités de ces mouvements et en particulier leurs dirigeants [12], [13]. Sous Hoover, l'agent en charge de COINTELPRO était William C. Sullivan. [14] Le procureur général Robert F. Kennedy a personnellement autorisé certains de ces programmes. [15] Bien que Kennedy n'ait donné son accord que pour une écoute limitée des téléphones de Martin Luther King "à titre d'essai, pendant environ un mois", [16] Hoover a prolongé l'autorisation pour que ses hommes soient "débloqués" la vie qu'ils ont jugé digne. [17]
Effets prévus
L'intention du COINTELPRO du FBI était «d'exposer, de perturber, de détourner ou de neutraliser d'une autre manière» des groupes que les responsables du FBI croyaient «subversifs» [43] en chargeant les agents de terrain du FBI: [44]

    
créer une image publique négative pour les groupes cibles (par exemple en surveillant les activistes et en divulguant des informations personnelles négatives au public)
    
décomposer l'organisation interne
    
créer des dissensions entre les groupes
    
restreindre l'accès aux ressources publiques
    
restreindre la capacité d'organiser des manifestations
    
restreindre la capacité des individus à participer à des activités de groupe

MéthodesSelon l'avocat Brian Glick dans son livre War at Home, le FBI a utilisé quatre méthodes principales pendant COINTELPRO:

    
Infiltration: Les agents et les informateurs n'ont pas simplement espionné les activistes politiques. Leur but principal était de discréditer et de perturber. Leur présence même a servi à saper la confiance et à effrayer les partisans potentiels. Le FBI et la police ont exploité cette peur pour dénigrer de véritables militants en tant qu'agents.
    
Guerre psychologique: Le FBI et la police ont utilisé une myriade de "sales stratagèmes" pour saper les mouvements progressistes. Ils ont planté des histoires de faux médias et publié des tracts falsifiés et d'autres publications au nom de groupes ciblés. Ils ont forgé de la correspondance, envoyé des lettres anonymes et passé des appels téléphoniques anonymes. Ils diffusent des informations erronées sur les réunions et les événements, créent des groupes de pseudo-mouvements dirigés par des agents du gouvernement et manipulent des parents armés, des employeurs, des propriétaires fonciers, des responsables scolaires et d'autres pour causer des problèmes aux activistes. Ils ont utilisé des blagues pour créer des soupçons sur des activistes ciblés, parfois avec des conséquences mortelles. [58]
    
Harcèlement via le système judiciaire: le FBI et la police ont abusé du système judiciaire pour harceler les dissidents . D'autres pensent que COINTELPRO continue et des actions similaires sont menées contre des groupes activistes. [90] [91] [92] Caroline Woidat dit que, en ce qui concerne les Amérindiens, COINTELPRO devrait être compris dans un contexte historique où «les Amérindiens ont été considérés et ont regardé le monde eux-mêmes à travers la théorie de la conspiration». [93] D'autres auteurs soutiennent que Les théories du complot liées à COINTELPRO ne sont pas fondées, la surveillance et la répression gouvernementales en cours sont réelles [94] [95]



REF.:

Comment désactiver la signature numérique des pilotes sur Windows 7, 8 ou 10



Windows embarque une vérification de signatures sur les pilotes qui peut chez certains constructeurs poser des problèmes d’installation de pilotes.
Durant l’installation, un message peut indiquer que Windows n’a pu vérifier la signature numérique du pilote (erreur 0xc0000428).
Le gestionnaire de périphériques peut, par exemple, afficher un code erreur 52 sur le périphérique en question.
Cet article vous explique Comment désactiver la signature numérique des pilotes sur Windows 7, Windows 8 ou Windows 10


Pourquoi la signature numériques sur les pilotes

La signature numérique permet de certifier que le pilote a bien été édité par le constructeur.
Durant la compilation, un certificat est utilisé afin de signer les fichiers et s’assurer que c’est bien le constructeur qui a créé ces fichiers.
Si ces fichiers sont modifiés, par exemple par des logiciels malveillants, la signature numérique est perdue.
Si la vérification de la signature des fichiers est activée, ce qui est le cas par défaut, lors d’une tentative pour installer un pilote non signé, vous pouvez rencontrez les erreurs suivantes :
  • Windows ne peut vérifier la signature du fichier pour ce fichier. (0xc0000428)
  • Windows requiert une signature digitale pour ce pilote ou un pilote signé numériquement est nécessaire.
  • Windows ne peut pas vérifier la signature numérique du pilote requis pour ce périphérique … (erreur 52)
Sachez qu’il est possible de démarrer Wndows dans un mode où la signature numérique sera désactivée.
Si vous installez un pilote non signé dans ce mode, cela devrait fonctionner mais au redémarrage, la vérification de la signature digitale va se réactiver.
A partir de là, votre pilote sera rejetée et le périphérique sera en erreur dans le gestionnaire de périphériques de Windows

Comment désactiver la signature numérique des pilotes

Voici comment désactiver la signature numérique des pilotes sur Windows.

Sur Windows 7

Ouvrez une invite de commandes en administrateur, pour cela :
  • Cliquez sur le Menu Démarrer > Tous les programmes >Accessoires
  • Sur « L’invite de commandes », faites un clique-droit et « Exécuter en tant qu’Administrateur« 
Dans la fenêtre de l’invite de commandes, collez les commandes suivantes :
bcdedit.exe -set loadoptions DDISABLE_INTEGRITY_CHECKS
bcdedit.exe -set TESTSIGNING ON

Redémarrez Windows, la vérification de la signature numérique de fichiers n’est alors plus active.

Sur Windows 8 ou Windows 10

Sur Windows 10, il faut aussi ouvrir une invite de commandes en administrateur.
bcdedit /set nointegritychecks OFF
bcdedit /set testsigning off

Redémarrez Windows, la vérification de la signature digitale de fichiers est alors désactivée.
Pour réactiver la vérification, passez la commandes suivantes :
bcdedit /set nointegritychecks ON
bcdedit /set testsigning on
 
REF.: 

Vision précise de l’évolution du marché de la vidéo à la demande par abonnement



SVOD : la France passe la seconde

Chiffres : Médiamétrie publie le très attendu Baromètre SVOD : Subscription Video on Demand (SVOD) 2017. Réalisé auprès de 4020 internautes âgés de 6 ans et plus, il offre une vision précise de l’évolution du marché de la vidéo à la demande par abonnement.

Le troisième Baromètre SVOD de Médiamétrie décrypte le marché SVOD français dans toutes ses composantes : usages, profil des utilisateurs, motivations, consommation, satisfaction. Ce baromètre est d’autant plus utile que peu de chiffres circulent sur le nouvel eldorado de l’audiovisuel.

Voici, en 8 points, plusieurs enseignements importants à tirer de ce Baromètre 2017 auquel les spécialistes de Médiamétrie apporteront leur éclairage.

1-Hausse de 40% du nombre d’utilisateurs de la SVOD
21% des internautes âgés de 6 ans et plus déclarent utiliser un service de SVOD en 2017 ; ils étaient 15% en 2016 et 12% en 2015. Une hausse constante qui accélère cette année pour progresser de 40% en 12 mois. Avec plus d’utilisateurs, le nombre d’intentionnistes baisse (3%) et celui des abandonnistes, ceux qui se désabonnent d’un service de SVOD, 
augmente (ils sont 12% en 2017).
La SVOD gagne aussi du terrain chez les enfants puisqu’elle affiche un gain de 1 point en 12 mois.
Même si Médiamétrie refuse de quantifier la taille du marché SVOD, tout simplement parce qu’un utilisateur n’est pas obligatoirement un abonné, on peut estimer que le marché SVOD concerne aujourd’hui entre 8 et 9 millions d’internautes (21% de 43 millions d’internautes actifs).
2- Netflix, leader absolu du marché
Sans surprise, quand on parle SVOD, on pense immédiatement à Netflix. L’américain a réussi à préempter en deux ans tout le territoire de la communication de la SVOD. Et quand on questionne les internautes, ça paye cash ! Avec 28% de notoriété spontanée, Netflix écrase ses concurrents tricolores, au premier rang desquels Canalplay et SFRPlay. Toutefois Médiamétrie note que pour plus d’un internaute sur 10, il existe une confusion entre le Replay, la VOD et la SVOD. Comme quoi, l’effort de communication et de pédagogie sur les atouts et les avantages de ces nouveaux services n’est jamais vain. Médiamétrie a aussi posé la question pour tester la notoriété assistée : un plus grand nombre de plateformes sont mentionnées, parmi lesquelles videofutur, Studio+ et l’INA.


3- Le fossé des générations
Les SVODistes assidus, c’est-à-dire les utilisateurs de SVOD les plus actifs, ont une particularité : ils sont jeunes ! Parmi les svodistes qui, à chaque session, passent plus de 2h sur leur plateforme, 36% sont des 15-24 ans (alors qu’ils ne représentent que 14% des internautes). 
Ce sont aussi ces jeunes qui sont les plus nombreux à faire de la SVOD : 55% des SVODistes ont moins de 35 ans, 17 % sont étudiants. En s’ancrant solidement dans les habitudes des jeunes, la SVOD redistribue logiquement les rapports de force entre la télévision linéaire et la vidéo délinéarisée. Et même si les écarts sont encore très importants en termes de durée d’écoute individuelle, la SVOD gagne très rapidement du terrain chez les plus jeunes. 

4- Qui sont les Netflixeurs ? 
53% des utilisateurs de Netflix sont âgés de 15 à 34 ans, l’usage de la plateforme est quotidien pour plus de la moitié d’entre eux. 92% regardent les séries et 41% des utilisateurs regardent Netflix sur leur ordinateur. Cette population est clairement passée à l’ère Post TV. Un phénomène qui touche les Etats-Unis depuis un bon moment et dans des proportions nettement plus importantes.

5- La SVOD s’impose grâce à la richesse de son offre
Les trois raisons principales de la satisfaction des utilisateurs de SVOD démontrent que les atouts de la SVOD la distinguent très fortement de l’offre TV : 
  • Disposer de beaucoup de contenus
  • Retrouver les contenus à tout moment
  • Sans publicité
La légalité de la plateforme et la qualité des vidéos complètent le classement et confirment le fait que plus l’offre légale est attractive, moins la tentation de pirater est grande.

6- Les séries, l’eldorado de la SVOD
Ce n’est pas une surprise, mais le Baromètre SVOD Médiamétrie fait bien de le confirmer : les séries sont le pilier du succès grandissant de la SVOD en France, et partout dans le monde d’ailleurs. Ce sont les trois premiers critères de satisfaction des SVODistes. Jadis mise en avant à toutes les sauces, la recommandation n’est plus un des critères de satisfaction d’utiliser une plateforme SVOD.


7- Trop c’est trop
Au-delà du prix qui reste le premier facteur de désabonnement, même à moins de 10 euros, c’est dire, l’usage insuffisant d’un service et la qualité des programmes proposés sont les autres raisons principales qui motivent le désabonnement. A croire que proposer trop de programmes régulièrement aux SVODistes irréguliers est un tort : trop c’est trop !

8- La SVOD s’ancre durablement dans le PAF
87% des internautes âgés de plus de 6 ans connaissent au moins une plateforme contre 83% en 2016. 87% envisagent également de poursuivre leur utilisation d’une plateforme contre 80% en 2016. La SVOD a réussi à se faire une place dans le paysage audiovisuel français et ce n’est pas la chronologie des médias très défavorable du cinéma à son égard qui va l’empêcher de poursuivre son chemin.


Baptiste Didier, directeur du pôle « Digital et Médias » de Médiamétrie et responsable du Baromètre SVOD a accepté de répondre à quelques questions sur l’édition 2017.

DHR : Quelles sont les principales différences entre l’étude 2017 et 2016 ?
B.D. : Le premier point à souligner est que la méthodologie de l’étude est exactement identique d’une année sur l’autre, ce qui renforce le poids des chiffres de l’étude. Nous constatons une accélération de la consommation de la SVOD en 2017 : les plateformes arrivent mieux à conserver leurs abonnés une fois les périodes promotionnelles dépassées.

DHR : Quelle est votre analyse de l’écart entre Netflix et ses concurrents ?
B.D : l’écart entre Netflix et ses poursuivants tient à plusieurs facteurs. Il y a d’abord l’effet catalogue, en particulier pour les séries ; ensuite, il y a l’effet prix combiné à une ergonomie très efficace : les utilisateurs sont contents de leur plateforme ; et puis il y a la communication et la notoriété : Netflix investit beaucoup en communication et bénéficie aussi d’une couverture média permanente. Dans le même temps, ses principaux concurrents sont vendus dans des offres bundle qui diminuent à la fois la visibilité et la notoriété.



DHR : en dehors des Séries, c’est quoi la SVOD ? 
B.D : Les séries sont le principal produit d’appel de la SVOD, mais elle ne se résume pas à cette seule catégorie de programmes. La jeunesse est très importante et les films ont aussi des taux de consommation importante. 

Apple ouvre une chaîne de tutos sur YouTube





Technologie : La marque à la pomme inaugure une chaîne YouTube qui propose une première série de tutoriels et modes d’emploi pour ses terminaux iOS.

Apple renforce sa présence sur les média sociaux avec une nouvelle chaîne YouTube dédiée à des tutoriels et autres FAQ. Pour le moment, elle se concentre sur les terminaux iOS avec des tutoriels pour l’iPhone et l’iPad. La première série comporte une quinzaine de clips vidéo d’une durée inférieure à deux minutes.
On y trouve pèle-mêle des mini guides pour réaliser une capture d’écran, mettre à jour son terminal iOS, ajouter une pièce jointe à un courriel, retoucher une photo sur iPad, comment gérer ses fichiers… Pour l'instant, la chaîne YouTube compte actuellement 20 000 abonnés.
Apple n’a pas communiqué officiellement à son sujet, c’est le site 9to5 Mac qui l’a repérée. Il faudra attendre pour voir à quelle fréquence cette chaîne sera alimentée et si d’autres familles de produits seront représentées. Pour le moment, l’ensemble des contenus proposés sont en anglais. (Eureka Presse)

Une bête faille de sécurité de MacOS ouvre l'accès admin à tous



La dernière version de macOS, High Sierra, offre un moyen simple et infaillible de prendre le contrôle de n'importe quel Mac. Apple vient de pousser un patch.

 Apple n'aura pas tardé à combler cette très embarrassante faille. Le géant vient en effet de pousser un correctif (Security Update 2017-001) qui ferme cette porte grande ouverte. Le correctif qui concerne les utilisateurs de macOS High Sierra 10.13.1 mais pas ceux de 10.12.6 est à installer de toute urgence...

Apple, Apple, Apple. Qu'allons-nous faire de vous ? Dans votre version la plus récente de High Sierra macOS, il s'avère que vous avez donné à un utilisateur local le moyen de prendre possession d'un Mac, et ce totalement.
Allez sur votre Mac sous High Sierra et essayez ceci : sur l’écran de connexion, cochez "Autre utilisateur" et saisissez root comme nom d'utilisateur et laissez le mot de passe vide. Cliquez plusieurs fois et vous pourriez alors découvrir que vous venez de vous connecter à votre système en tant qu'utilisateur root, c'est-à-dire en mode administrateur. Vous avez désormais tous les pouvoirs.
Cela signifie que si vous avez volé un Mac, ou si vous avez simplement accès physiquement à un Mac alors que le propriétaire est absent, vous avez accès à toutes les données qui s'y trouvent. Pensez-vous que ce soit problématique ? Oui, vous pouvez.
C'est un raté historique en matière de sécurité. Rien d’équivalent ne me vient à l’esprit. Tous les Mac exécutant une version à jour de MacOS sont exposés à ce type d’attaques. Cet exploit ne nécessite aucune des redoutables compétences qu’on pourrait prêter à un hacker fou de la NSA. Si vous pouvez utiliser un clavier, vous pouvez entrer.
Dans la version originale de ce trou de sécurité, tout ce que vous deviez faire était de vous rendre dans les Préférences Système, puis Utilisateurs et Groupes, et de cliquer sur le verrou pour apporter des modifications. Ensuite, entrez "root" comme nom d'utilisateur sans mot de passe. Sésame, ouvre toi ! Vous y êtes.
Comme sur tout système basé sur Unix/Linux, l'utilisateur root peut contrôler toutes les fonctions d'administration et peut lire et écrire sur n'importe quel système de fichiers, y compris ceux des autres utilisateurs. En théorie, la racine est désactivée sur les systèmes Apple sauf autorisation expresse. Faux !
Une fois connecté, vous pouvez modifier vos propres autorisations. Par exemple, vous voulez vous donner des privilèges d'administrateur ? Bien sûr ! Ou, vous pouvez configurer de nouveaux comptes de niveau administrateur. Une fois que vous avez fait cela, vous pouvez faire tout ce que vous désirez dans le système.
Le développeur turc Lemi Orhan Ergin a découvert cette variation de la faille et a annoncé l'erreur de sécurité remarquablement stupide d'Apple sur Twitter.
De nombreux autres et moi avons vérifié. Nous avons constaté que le trou est aussi béant qu’il le paraît. Le problème a été confirmé sur macOS High Sierra 10.13.0, 10.13.1 (la version actuelle de High Sierra) et macOS High Sierra 10.13.2 beta.
Il est d'abord apparu qu’il n’était pas possible d’exploiter cette astuce triviale à distance. Depuis lors, Will Dormann, un analyste en vulnérabilités du CERT/CC, a rapporté : « Si vous avez exposé le ‘partage d'écran’, vous pouvez autoriser les utilisateurs à accéder à votre machine avec un accès complet à l'interface graphique sans utiliser de mot de passe ». En outre, Dormann a découvert que "Apple 'Remote Management' est lui aussi exposé. Si 'Contrôle' est activé, cela ouvre un accès distant root complet à un système, sans mot de passe."
Apple a reconnu l’existence du problème. Dans une déclaration, Apple précise que l'ajout d'un mot de passe pour le root permettrait d’y remédier. « Nous travaillons sur une mise à jour logicielle pour résoudre ce problème. En attendant, la définition d'un mot de passe root empêche tout accès non autorisé à votre Mac. Pour activer l'utilisateur racine et définir un mot de passe, suivez les instructions ici. Si un utilisateur root est déjà activé, , veuillez suivre les instructions de la section Changer le mot de passe root pour vous assurer qu'un mot de passe vide n'est pas défini ».
Cela fait quatre problèmes de sécurité liés au mot de passe depuis la sortie de High Sierra en septembre.
Pour le moment, vous devez - impérativement - définir un mot de passe pour le compte root. Vous pouvez le faire avec la commande suivante depuis le terminal :
sudo passwd -u root
Une fois que vous avez défini un mot de passe pour root, l'astuce du mot de passe vide ne fonctionnera plus.

REF.:

La police identifie 32 «money mules» en Suisse





Les forces de l'ordre helvétiques ont récemment mis la main sur plusieurs personnes soupçonnées de blanchiment d'argent, dans le cadre d'une action internationale.

Une opération internationale contre des «mules à argent» a eu lieu du 20 au 24 novembre dans 26 pays européens. En Suisse, l'opération était coordonnée par le centre de compétence de cybercriminalité de la police zurichoise. Deux personnes ont été arrêtées et 32 «mules» identifiées, ont indiqué mardi dans un communiqué commun le Ministère public zurichois, la police cantonale zurichoise et la police municipale de Zurich.

Au niveau européen, 159 personnes ont été arrêtées et 766 «mules» ont été identifiées en Europe.

Recrutement sur internet

Les «mules» sont recrutées sur internet comme agents financiers par des organisations criminelles dans le but de transférer de l'argent sale sur des comptes afin de le blanchir. Cet argent provient notamment du trafic de drogues, du trafic d'êtres humains et d'escroqueries sur internet. Toute personne qui met son compte à disposition pour transférer de l'argent sale peut être accusée de complicité de blanchiment.

REF.:

vendredi 1 décembre 2017

Mais qu'est ce qui fait exploser le cours du Bitcoin ? Les produits dérivés

Le Bitcoin est né de la volonté de se prémunir des risques d'une centralisation bancaire excessive, et ce au cœur de la crise financière et la folie des produits dérivés. Voilà le Bitcoin en passe d'être à son tour soumis à la loi des produits dérivés ou subprime.

Technologie : Le ou les créateurs de la fameuse monnaie virtuelle voulaient tirer les leçons de la crise financière de 2008, provoquée par l'explosion des subprimes au nez et à la barbe des banques et de leurs clients. Et voici qu'ils reviennent par la porte du Bitcoin. Un signe de... crédibilité assure t-on.


Le cours du bitcoin s'est encore envolé la semaine dernière, dépassant les 7.300 dollars par bitcoin pour la première fois de son histoire. Le 30 octobre, son cours était de 6.300 dollars. Surtout, le cours du bitcoin a bondi de plus de 600% face au dollar depuis le début de l'année. La valeur du Bitcoin a explosé dernièrement, et mardi 28 Novembre, elle a franchi la barre des 10.000 $ l’unité pour la première fois, seulement deux jours après avoir passé les 9.000 dollars. La crypto-monnaie se négociait à 10.034 $ mardi 28, soit une augmentation de plus de 900% depuis le début de l'année.

 Les spéculateurs spécialisés dans le Bitcoin estiment néanmoins que la croissance n’est pas terminée. Le gérant de hedge funds, Mike Novogratz, a prédit plus tôt la semaine dernière que la cryptomonnaie atteindrait 10.000 dollars cette année. Quant à Thomas Lee de Fundstrat, il a doublé son objectif de prix à 11.500 $ d'ici mi-2018.La capitalisation boursière du Bitcoin, c’est-à-dire la valeur de l’ensemble des bitcoins générés dans le monde, s'élève désormais à près de 153 milliards de dollars. Une hausse considérable par rapport à 2016.

Evolution du cours du Bitcoin en fin de semaine dernière.
Une nouvelle performance portée par l'annonce de l'imminente mise sur le marché de contrats de futures sur la monnaie virtuelle par CME Group, le plus important marché à terme du monde. "Compte tenu de l'intérêt croissant des clients pour les marchés de crypto-monnaie (...), nous avons décidé d'introduire un contrat à terme sur le Bitcoin" a déclaré Terry Duffy, du Groupe CME.
"La mise en place du marché des Futures correspond à un réflexe très financiers. Jouer sur la différence entre le marché de stock et le marché à terme a toujours existé" explique à ZDNet.fr Pierre Paperon, cofondateur de Solid, société de conseil en technologies Blockchain. "Et le Bitcoin s'y prête très bien. Les marchés à terme adorent quand il y a de grosses volatilités" dit-il.

Les leçons de la crise de 2008 ?

Surtout, "avec les Futures, au lieu de se payer en Bitcoin, on ne prend pas le risque du change et on se paye en euros ou en dollars" analyse t-il avant de prévenir : "Le développement des produits dérivés signifie aussi qu'il y a désormais des visions très différentes sur l'évolution du cours du Bitcoin".
Reste que cette annonce est perçue comme un signe de légitimité donné par le monde de la finance traditionnelle aux monnaies virtuelles. Et propose un bien curieux flashback : au cœur de la crise financière de 2008 provoquée par des produits dérivés totalement irrationnels, un dénommé Satoshi Nakamoto, pseudonyme d'une ou plusieurs personnes, avait voulu réagir au danger d'une centralisation bancaire excessive en inventant une nouvelle monnaie, le Bitcoin. Un Bitcoin désormais lui aussi soumis à la loi des produits dérivés (dits aussi subprime).
De quoi lui donner donc un nouveau coup de fouet. Surtout que l'annonce d'un fork possible ce mois-ci joue en faveur de la spéculation. Mais ceci n'explique pas tout. "Il y a une attirance assez générale désormais pour le blockchain, sans compter l'engouement médiatique, et le phénomènes des ICO sur le Bitcoin et l'Ethereum" dit Pierre Paperon. Il juge que "plusieurs phénomène s’entrechoquent pour comprendre le cours du Bitcoin".

Le Bitcoin, un étalon or

"Le bitcoin est utilisé comme monnaie refuge et les monnaies virtuelles ont désormais une valeur crédible. Du fait de sa convertibilité en USD, le Bitcoin joue le rôle d'étalon or" dit-il. Surtout en Chine, où 70% du minage de Bitcoin est effectué.
La capitalisation boursière des cryptomonnaies atteint 172 milliards de dollars, le bitcoin représentant plus de 54% de ce total, soit 94 milliards de dollars. Chaque jour, la valeur en dollar des échanges de Bitcoin atteint environ 1,5 milliard de dollars.
Dès lors, qui pourrait modérer l'appréciation du Bitcoin ? "Pour moi il n'y a pas de plafond. Quand on regarde les sous-jacent, si on perçoit la technologie de blockchain comme une fintech, on s'aperçoit que l'on en est à 1% de développement de la technologie, et qu'il reste un potentiel de 99%" s'enthousiasme Pierre Paperon. Surtout que vient se greffer sur le marché du Bitcoin le système des ICO, qui stimule d'autant plus la valeur de la monnaie.
Une ICO (Initial Coin Offering) est une méthode de levée de fonds particulière. Elle fonctionne grâce à une émission d’actifs numériques (des tokens, ou jetons) qui peuvent être échangés contre des cryptomonnaies pendant la phase de démarrage d’un projet. La rareté des tokens est une condition déterminante du succès de l'opération : c'est cela qui détermine le fait que les premiers servis feront une bonne affaire.

L'ICO, plus rentable que le crowdfunding

A la différence des actions classiques, les tokens ne représentent pas des parts de l’entreprise. A l'image du modèle de crowdfunding, leur acquisition dans le cadre d'une ICO permet de pré-payer un produit ou un service qui sera développé ou commercialisé par l'organisation qui les émet. C'est aussi pour cette raison que les ICO sont aussi appelées crowdsales. Pour les startup, ce système de crowdsales permet de contourner le système classique de venture capital (capital-risque). Elles acceptent alors de lever des fonds en cryptomonnaies (Bitcoin ou Ether par exemple).
"Les ICO, c'est 200 millions d'euros (ndlr. en équivalent de monnaie virtuelle) levés l'an passé et 6 milliards d'ici à la fin de l'année. On aura rattrapé avec ce montant en une année ce qu'a fait le crowdfunding en 10 ans" dit Pierre Paperon. "Il y a un champs d'application vertigineux. Les plate-formes de monnaies virtuelles sont de plus en plus utilisées pour financer des projets de film, de bien être animal, ou encore des maisons médicalisées".

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Amazon annonce un nouveau Cloud pour héberger des données gouvernementales "secrètes"



«Alors que Google et d'autres entreprises technologiques collaborent avec l'Etat américain pour censurer l'Internet et que les pays du monde entier préparent leurs propres plans de censure sur Internet - tout cela pour combattre l'épouvantail des« fausses nouvelles »- le Pentagone s'est secrètement engagé en surveillance de masse de l'activité en ligne de la population mondiale, en étroite consultation avec #Amazon. »

 Amazon annonce un nouveau nuage pour héberger des données gouvernementales "secrètes"Amazon Web Services (AWS), la société de cloud computing détenue par Amazon, a annoncé lundi qu'elle lance un nouveau cloud "AWS Secret Region" conçu pour héberger des données gouvernementales classées "Secret". La région secrète AWS est le produit le plus récent de L'accord de 600 millions de dollars de l'entreprise a été conclu en 2013 avec la Central Intelligence Agency (CIA) et l'appareil de renseignement militaire, et signale l'intégration complète d'Amazon au gouvernement et aux agences d'espionnage. 
Bien qu'aucun détail n'ait émergé sur le coût, l'architecture de sécurité ou la conception du nuage de la région secrète, les dirigeants de l'entreprise et de l'État l'ont salué comme le point culminant du partenariat approfondi d'Amazon avec les agences d'espionnage américaines.Dans un message sur le "AWS Government, Education, & Nonprofits Blog", la société proclame fièrement: "Avec le lancement de cette nouvelle région secrète, AWS devient le premier et unique fournisseur de cloud commercial à offrir aux régions des charges de travail gouvernementales complètes. gamme de classifications de données, y compris Non classifié, Sensible, Secret et Top Secret.
 En utilisant le cloud, le gouvernement américain est mieux à même de fournir les informations et les données nécessaires aux parties prenantes de la mission. "Résumant l'importance du nouveau nuage de stockage, Teresa Carlson, vice-présidente d'AWS Worldwide Public Sector, a déclaré dans un communiqué: "La US Intelligence Community peut désormais exécuter ses missions avec un ensemble d'outils commun, un flux constant de la flexibilité d'évoluer rapidement avec la mission. La région AWS Top Secret a été lancée il y a trois ans alors que le premier nuage commercial aérien et les clients de la communauté des services secrets américains en ont fait un succès retentissant. En fin de compte, cette capacité permet une plus grande collaboration entre les agences, aide à fournir des informations critiques aux décideurs plus rapidement et permet une augmentation de la sécurité de notre nation. "John Edwards, directeur de l'information de la CIA, a déclaré: «La région secrète AWS est un élément clé de la stratégie cloud multi-fabric de la communauté Intel. Il aura le même impact matériel sur le CI au niveau Secret que C2S a eu à Top Secret. "La «région AWS Top Secret» à laquelle Carlson et Edwards se réfèrent est un nuage de calcul privé, hors réseau, utilisé uniquement par les 17 agences qui composent l'appareil d'état militaire de renseignement.

 Le cloud, connu sous le nom de Commercial Cloud Service (C2S), stocke une grande partie des données Internet et de télécommunications collectées par les agences IC. Il s'agit d'une composante du programme d'Intelligence Information Technology Enterprise (IC ITE) lancé en 2011 en réponse aux violations de données effectuées par Chelsea Manning, qui ont exposé les crimes de guerre perpétrés par l'impérialisme américain en Afghanistan et en Irak.
 Dans un discours prononcé devant le Sommet du secteur public AWS 2017 à Washington DC en juin dernier, Edwards a félicité Amazon pour les avantages que le nuage de C2S a apporté à la CIA et à d'autres agences d'espionnage.
 Il a déclaré: "C'est la meilleure décision que nous ayons prise. C'est la chose la plus innovante que nous ayons jamais faite. Cela fait une différence matérielle et a un impact matériel à la fois sur la CIA et IC [communauté du renseignement]. "Edwards a noté que le cloud a permis de réaliser d'importantes économies, tout en offrant au CI la possibilité de «dimensionner de vastes infrastructures en quelques secondes». 
Il a révélé que «l'adoption du cloud à travers le CI augmente de 208% en glissement annuel. "Edwards a continué à caractériser le nuage C2S comme l'équivalent d'un super-héros, possédant les superpuissances de vitesse, puissance, scalabilité, force, durabilité et vérité, avec chaque attribut comme une rubrique distincte sur ses diapositives PowerPoint.En ce qui concerne la "Force" du cloud C2S, il a déclaré: "Je ne dirai jamais que tout ce que vous faites dans le cyber-monde est totalement invincible, mais c'est très proche. ... Je dirais que c'est probablement la chose la plus sûre qui existe. "Les affirmations d'Edwards selon lesquelles le C2S est presque impénétrable sont démenties par les révélations faites la semaine dernière qu'une base de données massive créée par le Département de la Défense (DoD) et hébergée sur un serveur AWS a été publiquement exposée. La base de données contenait plus de 1,8 milliard de messages Internet provenant de milliers de personnes à travers le monde qui avaient été compilées par le Pentagone au cours des huit dernières années, apparemment dans le cadre d'une vaste opération de collecte de renseignements. Selon toute vraisemblance, cette base de données a été classée comme très secrète et aurait donc pu être hébergée sur le nuage C2S supposé impénétrable. 

UpGuard a écrit: «Le directeur de la recherche sur les risques cybernétiques de UpGuard, Chris Vickery, a découvert trois compartiments de stockage en nuage Amazon Web Services S3 configurés pour permettre à tout utilisateur authentifié AWS de parcourir et de télécharger le contenu; Les comptes AWS de ce type peuvent être acquis avec une inscription gratuite. "Décrivant le caractère des documents publiés, UpGuard a noté: «Les dépôts semblent contenir des milliards de les publications publiques sur Internet et les commentaires sur les nouvelles ont été rédigés à partir des écrits de nombreuses personnes d'un large éventail de pays, y compris les États-Unis, par  CENTCOM et PACOM, deux commandements unifiés du Pentagone chargés des opérations militaires américaines à travers le Moyen-Orient, l'Asie et le Pacifique Sud.
 "Le caractère et l'ampleur de cette opération de collecte de données donnent un aperçu des activités d'espionnage profondément antidémocratiques que le Pentagone et le Les publications Internet compilées par le Pentagone comprenaient du contenu capturé à partir de sites de nouvelles, de sections de commentaires, de forums Web et de sites de médias sociaux comme Facebook, présentant plusieurs langues.  
D'après UpGuard. Google et d'autres entreprises technologiques travaillent avec l'Etat américain pour censurer l'Internet et les pays du monde entier préparent leurs propres plans de censure sur Internet, le tout au nom de la lutte contre l'épouvantail. de "fausses nouvelles" -le Pentagone a secrètement été engagé dans la surveillance de masse de la population mondiale sur La création du nouveau nuage de la région secrète, parallèlement à la tendance plus générale à la censure et à la surveillance d'Internet, souligne l'intégration croissante de toutes les grandes entreprises technologiques avec l'État en préparation à une vaste expansion de la guerre à l'étranger. Jeudi dernier, le Sénat a voté pour approuver la loi sur l'autorisation de défense nationale de 700 milliards de dollars par un vote de voix, après avoir rapidement passé à la Chambre des représentants par un vote bipartisan de 356 à 70. Tout en augmentant de manière significative Le budget prévoit également la création de «portails de commerce électronique», ce qui mènera éventuellement à l'acheminement de milliards de dollars directement à Amazon.

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USA : la neutralité du Net condamnée ?



Le régulateur américain des télécoms veut supprimer toutes les règles garantissant à n'importe quel contenu sur internet un accès égal au réseau. La mesure est ardemment soutenue par les grands fournisseurs d'accès, qui rêvent depuis longtemps de commercialiser des accès prioritaires au réseau.

La suppression de la neutralité du Net mobilise les géants du secteur, mais provoque peu de remous dans la société civile.


Un Net à deux vitesses ?


Pour les géants du Net, c'est la mère de toutes les batailles. Ajit Pai, le président républicain de la puissante Federal Communications Commission (FCC), le régulateur des télécoms et des médias aux Etats-Unis, avance à grands pas dans son projet visant à dynamiter le pilier central de la gouvernance d'internet : la neutralité du Net.

Mal connue du grand public, cette règle, longtemps restée non-écrite, a été codifiée par l'Administration Obama. En substance, elle impose aux FAI de transporter sans discrimination l'ensemble des contenus du web. L'internaute a le droit d'accéder de la même manière à un modeste blog comme aux produits des stars du Net. Le projet défendu par Ajit Pai consiste précisément à permettre aux opérateurs de moduler la bande passante en fonction de ce que les fournisseurs de contenus sont prêts à payer.

Arcep neutralité


La Silicon Valley vent debout


Ajit Pai va soumettre son projet au vote de la FCC le 14 décembre prochain. D'ici là, la bataille va faire rage. Choisi par Trump, l'homme est profondément convaincu que les monopoles n'existent plus et qu'au final, le consommateur sera gagnant, puisque la dérégulation incitera les FAI à augmenter leurs investissements dans les réseaux. Mais quid de l'offre et des tarifs ? Un net qui ne serait plus neutre signifierait que certains usagers pourront accéder prioritairement au réseau, quitte à payer plus cher. Idem pour les services gros consommateurs de bande passante, type Netflix, radicalement opposé à toute dérégulation du Net.

Le spectre d'un internet à vitesse variable mobilise dans un front commun les grands acteurs de la Tech ainsi que les défenseurs des droits des consommateurs, inquiets pour la facture de l'internaute américain. Mais la bataille est mal engagée : les Républicains sont majoritaires à la FCC. Verdict le 14 décembre.

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Beyerdynamic et Nura proposent des casques qui établissent un profil audio de l’auditeur



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mercredi 22 novembre 2017

T411 entre les mains de Cloudflare ? Pour lutter contre le spam, les spammers et des bots ou de la fraude en ligne.


T411 fermé,la neutralisation survient au moment où le site comptait fêter ses 13 ans d’existence!

La présidente du CNC Centre national du cinéma,est à la première à se féliciter de l’opération lancée par la Police Française et Suédoise. D’autres organismes officielles devraient inévitablement lui emboîter le pas! La SACEM (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique), dépositaire la plainte visant T411 en 2015, parle d’un préjudice d’un milliards d’euros pour les ayant droits.
En réalité, la disparition de T411 profite déjà à d’autres sites pirates que nous nous abstiendrons de nommer dans cet article. Le téléchargement illégal c’est un peu comme une hydre, vous voyez l’idée ? Déjà à l’époque de la fermeture de The Pirate Bay, nous posions le même constat.
Bilan de l’opération ?
 Les deux administrateurs présumés du site, un couple d’Ukrainiens, ont été appréhendés lors d’une perquisition, menée avec des agents de police français, dans le sud de la capitale Suédoise.Les deux personnes ukrainiennes devraient être inculpées pour infraction au droit d’auteur et blanchiment d’argent(ndlr: on parle du Bitcoin probablement ici). En parallèle, les autorités s’emparaient des serveurs qui hébergeaient jusqu’à il y a peu l’un des derniers sites de torrents francophones.
La police ne s’est pas bornée à arrêter les deux individus à la tête de T411…Selon le parquet de Rennes, point de départ de l’enquête judiciaire, 4 autres personnes auraient été interpellées dans l’hexagone. Il s’agirait de quelques modérateurs qui officiaient sur le site. Leur rôle se bornait à contrôler la qualité du contenu proposé par les internautes.
Les forces de l’ordre suédoises ont aussi confirmé la saisie de différents types de matériels informatiques dont des serveurs. Une information corroborée par le parquet de Rennes dans un communiqué :
" Dans le cadre de cette opération judiciaire, de nombreux matériels informatiques devaient être saisis pour exploitation, ainsi que des biens mobiliers et immobiliers produits des infractions commises " .
 Les gros noms sont: T411, Zone-Téléchargement… après la fermeture de deux des plus grands sites de téléchargement illégal francophones, d’autres ont très vite pris la suite. De quoi se demander l’efficacité de ces fermetures sur le piratage de contenus protégés par le droit d’auteur. Hadopi défend pourtant son bilan dans une étude.
Il y a bientôt un an, Zone Téléchargement était définitivement fermé par la gendarmerie,avec seulement 14 uploaders pour 90% du sites. Au terme d’une longue enquête de 2 ans, les autorités sont en effet parvenues à arrêter les administrateurs de la plateforme. Bien vite, des clones du site ont été mis en ligne. Ces nouvelles versions visaient toutes à prendre la suite de Zone Téléchargement.
Quelques mois plus tard, c’était au tour de T411 de subir le même sort. Mais très vite d’autres sites ont émergé dans leur sillage. T411 est devenu T411.si et YggTorrent, tandis que Zone-Telechargement est devenu Zone-Telechargement.ws. Et les trois sites cumulent aujourd’hui un trafic impressionnant.

Les nuisances et préjudices a fréquenter ces sites sont:

Du côté des nuisances, on retrouve un affichage de faux messages alarmants pour vous inciter à acheter ou à installer un logiciel, par exemple un outil d’amélioration de performances ou un antivirus inutiles ou à des prix démesurés ou encore une hausse notable de courriers indésirables (spams) reçus dans la boîte mail après avoir laissé l’adresse sur un site.
Sont aussi mentionnés le ralentissement soudain du PC lié à l’infection présumée par un virus ou un logiciel malveillant, l’apparition de publicités destinées à des publics adultes (contenus pornographiques, sites de jeux) lors de la navigation, l’apparition importante et soudaine de nombreuses publicités pendant le surf et la modification des réglages par défaut de votre navigateur contre la volonté de l’internaute.
Pour les préjudices, la Hadopi cite la perte d’argent après un vol de coordonnées bancaires ou d’une usurpation des moyens de paiement, l’usurpation de l’identité sur un site ou service nécessitant un compte utilisateur (réseau social, site de jeux…) ou l’arnaque consistant à souscrire un abonnement non désiré après avoir répondu à un formulaire prétexte.
Figurent aussi l’achat indésirable de produits ou prestations avec les identifiants de votre compte sur un site marchand, l’utilisation à l’insu de l’internaute de sa boîte mail qui se met à envoyer des mails non sollicités (spams) aux contacts et sans votre consentement ainsi que l’impossibilité d’accéder à vos fichiers personnels (ils ne s’ouvrent plus ou sont illisibles) et devoir payer pour les récupérer — les fameux ransomwares.



T411(Torrent 411) un Honeypot ?
Cloudflare est une entreprise américaine qui propose un réseau de distribution de contenu, des services de sécurité Internet et des services distribués de serveur de noms de domaine, entre le visiteur et le fournisseur de services d’hébergement de l’utilisateur de Cloudflare ; le système fonctionne comme un serveur proxy inversé pour les sites Web. Le siège social de Cloudflare se trouve à San Francisco (Californie), avec des implantations à Londres, Singapour, Champaign, Austin, Boston et Washington1,2.


Mais pourquoi tant de surveillance pour du P2P ?


Cloudflare a été créée en 2009 par Matthew Prince, Lee Holloway et Michelle Zatlyn, qui travaillaient précédemment sur Project Honey Pot. La solution Cloudflare a été lancée à l’occasion de la conférence TechCrunch Disrupt de septembre 2010. Elle a attiré l’attention des médias en juin 2011, après avoir fourni des services de sécurité au site Web LulzSec. En juin 2012, Cloudflare s’est associée à plusieurs hébergeurs Web, tels que HostPapa, pour mettre en œuvre sa technologie Railgun. En février 2014, Cloudflare a freiné l’attaque DDoS la plus importante jamais enregistrée, qui a atteint les 400 Gbits/s, contre un client dont l’identité est restée confidentielle. En novembre 2014, Cloudflare a signalé une autre attaque DDos massive à 500 Gbits/s, dont les cibles étaient des sites de médias indépendants3.
En 2004, Matthew Prince et Lee Holloway créent « Project Honey Pot », une organisation à but non lucratif qui cherche à lutter contre le spam avec un système distribué de détection des spammers et des bots. Cette dernière connaît un grand succès, et intéresse notamment en 2007 le département de la Sécurité intérieure qui y voit l'opportunité d'exploiter des données sur la fraude en ligne.
Par la suite Prince et Holloway font équipe avec Michelle Zatlyn. Le projet d'entreprise de Cloudflare remporte en avril 2009 la compétition Harvard Business School Business Plan4. En novembre, l'entreprise clôt un tour de table « série A (en) » de 2 millions de dollars auprès de Venrock et Pelion Venture Partners, complété en juillet 2012 par une levée de 20 millions auprès des mêmes partenaires, ainsi que New Enterprise Associate.
En 2010, Cloudflare lance une version bêta fermée aux membres de la communauté du projet Honey Pot. Le lancement au grand public se fait le 27 septembre 2010 au cours de la conférence TechCrunch Disrupt.
En juin 2011, le service fait parler de lui en protégeant le site du groupe Lulzsec5, qui a recours à ses services pour se protéger d'attaques DDOS.
En 2012, il est estimé que plus de 200 millions d'utilisateurs visitent des sites qui sont protégés par Cloudflare. L'entreprise acquiert au même moment environ 1 000 clients par jour5.
En juin 2012, le groupe de hacker UGNazi attaque Cloudflare via des failles dans le système d'authentification de Google, pour obtenir des accès d'administrateurs au service et défigurer 4chan6.
En mars 2013, Spamhaus, entreprise de lutte contre le spam basée à Genève et cliente de Cloudflare, annonce avoir subi une attaque DDOS de très grande ampleur après avoir placé sur sa liste noire le site internet néerlandais Cyberbunker7. Après les événements, Matthew Prince estime sur le blog de l'entreprise que l'attaque DDOS compterait parmi les plus grosses jamais lancées, avec des pics à 300 Gbit/s sur certaines cibles, avec pour conséquences possibles un ralentissement de la vitesse des accès à Internet en Europe8.
 En juin 2014, Cloudflare a fait l’acquisition de CryptoSeal, fondé par Ryan Lackey, une opération visant à accroître les services de sécurité proposés à l’internaute. En février 2014, Cloudflare a acquis StopTheHacker, qui propose une détection et une suppression automatique des programmes malveillants, ainsi qu’un contrôle des réputations et des listes noires. En décembre 2016, Cloudflare a racheté Eager, dans le but de mettre à niveau sa propre plateforme d’applications, afin de permettre une installation de type « glisser-déplacer » d’applications tierces sur des sites où Cloudflare est actif 10.
Cloudflare propose un service gratuit de base, et des options payantes (protection DDOS avancée par exemple)11. Parmi ses clients, on peut citer le gouvernement turc, Stratfor, Laughing Squid ou Metallica12.
L'infrastructure du service s'appuie sur une version modifiée de Nginx, et intègre la technologie SPDY développée par Google13. En mars 2013, il compte vingt-trois centres de données14.Cloudflare propose à tous ses clients le paramètre « I'm Under Attack Mode ». Selon Cloudflare, cela peut empêcher les attaques visant la couche 7 en présentant un défi de calcul JavaScript, qui doit être resolu avant qu’un utilisateur puisse accéder à un site Web. Cloudflare a protégé SpamHaus d’une attaque DDoS qui a dépassé 300 Gbits/s. L’architecte principal d’Akamai a indiqué qu’il s’agissait de « l’attaque DDoS publiquement annoncée la plus importante de l’histoire d’Internet ». Cloudflare a également indiqué avoir absorbé des attaques qui ont atteint les 400 Gbits/s pour une attaque par réflexion utilisant le service NTP15. Pare-feu pour les applications Web Cloudflare permet aux clients ayant souscrit une formule payante d’utiliser par défaut un service de pare-feu pour les applications Web ; le pare-feu possède l’OWASP ModSecurity Core Rule Set en plus de l’ensemble de règles propre à Cloudflare et des ensembles de règles pour les applications Web populaires16.

Ce qu'on a dit:

 T411 et XXXXXXX   fusionnent pour devenir n° 1 ?
C'est évident que le Staff de XXXXXXX, est derrière depuis le début (bien sur ! on va s'échanger des login de domaine et autres infos sensibles entre sites de piratage ;))) )
Ils ont profité de la mort de l'original pour squatter le domaine, se sont fait promouvoir par la pseudo presse spécialisée qui voulaient surfer sur le buzz provoqué par la fermeture , on mit des magnets sans login pour attirer + de gibier (si ça c'est pas la preuve ultime que c'est pas les originaux...) et maintenant hop ! Faut se logger et ils récupèrent tout le traffic !
Très bon coup de poker en tout cas ! En générale c'est plutôt les pages Facebook de "buzz" qui font ça

 "T411 serait-il de retour ? Une nouvelle copie du site vient en effet d’ouvrir ses portes et il semblerait qu’il ne s’agisse pas d’un simple clone cette fois."
Quel est l'intérêt de s'inscrire si les torrent ne fonctionnent qu'avec des trackers public...
[–]rinsaOurs 34 points  
Aucun, c'est un honeypot.
[–]FrenchDude647Réunion 5 points  
Question sincere, c'est quoi le pb des trackers publiques ? Je me suis jamais vraiment pris la tete et je chopais tout sur piratebay depuis des annees, y'a un risque de se faire choper ?
[–]rinsaOurs 18 points  
Tracker public : aucun flicage sur le ratio, donc aucun intérêt à rester en seed. Du coup c'est cool pour le contenu récent, mais les torrents dépassent généralement pas le mois d'espérance de vie.
Selon l'entrevue de t411 a Nextwarez.com:
Nous avions précédemment vu qu’XXXXXXXX, avait réussi à prendre sa place dans le classement des sites warez les plus visités en août; mais le nouveau T411 avec l’extension en .si l’a rejoint un mois après, en septembre. Nous avons donc rencontré le staff du nouveau site, afin d’en savoir un peu plus sur eux …Le site T411 a fermé le 26 juin 2017 et nous avons mis en ligne la relève le 17 juillet ,mais tiendra-t'il encore le coup ?




Aujourd'hui t411.si ,est down et celui qui le remplace et qu'ont ne peut mentionner (P2P)est encore associer avec cloudfflare et Amazon.com(qui a des serveurs clouds ,test actuellement la technologie Blockchain et pour un peu de rentabilité évidemment,Amazon travail avec le gouvernement américain)  ! Oui encore cloudflare, car a la réanimation de t411.si  pour un bref moment, son compétiteur actuel P2P Francophone(qu'on ne nommera pas) avait probablement accès aux serveurs de l'ex-t411,par Cloudflare !!!


Voici les 2 serveurs non fonctionnels de t411:
FQDN:

t411.si
Host Name
Domain Namet411.si
Registrysi
TLDsi
DNS

  • ivan.ns.cloudflare.com
  • vida.ns.cloudflare.com 









Depuis quelques jours(270318), les pirates qui visitent le tracker YggTorrent sont accueillis par un message de l’administration sur la page d’accueil du site : le 31 mars 2018, 3 nouveaux administrateurs prendront la place des gérants actuels.

Un des admins aurait de graves problèmes de santé

Depuis quelque temps, nous n’entendions plus parler du tracker YggTorrent, qui avait d’ailleurs fusionné avec son concurrent T411.si l’année dernière. Aujourd’hui, un message annonçant un changement d’administration est affiché en page d’accueil du site, mais les raisons ne sont pas précisées. Quoi qu’il en soit, ce changement d’équipe ne prendra effet que le 31 mars 2018, avec pour conséquence un changement de nom de domaine

Chez NextWarez, nous avons directement pensé à un rachat, comme cela a sûrement été fait avec Zone-Téléchargement il y a quelques mois. L’équipe rédactionnelle du site Numerama a pu prendre contact avec les administrateurs actuels, et a réussi à glaner quelques informations. La décision du changement de staff aurait été prise suite à un diagnostic médical défavorable délivré à l’un des admins, ce qui a remis en cause l’importance d’YggTorrent pour toute l’équipe. D’autres raisons ont poussés les gérants à prendre cette décision, comme des désaccords internes, ou même des attaques ciblées.

Le site aurait été vendu à 3 administrateurs étrangers

Toujours d’après les informations de Numerama, l’un des administrateurs actuel a annoncé que le site n’avait pas été cédé, mais bien vendu contre une certaine somme d’argent (dont le montant n’a pas été précisé). Et avant cela, Ygg aurait reçu pas moins de 4 demandes de rachat durant les mois précédents. Aucune autre information n’a été divulguée, mais sur certains forums spécialisés dans le warez, cette « passation de pouvoir » serait fausse et montée de toute pièce, afin que les attaques et les critiques sur certains membres de l’administration cessent. Toutefois, ces rumeurs sont à prendre avec des pincettes, il est très probable qu’YggTorrent ait été vendu, surtout quand on sait que ce tracker est dans la ligne de mire des ayants droit...






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