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jeudi 3 septembre 2009

Chirurgie sans Bistouri en 5 Minutes (Le CyberKnife)


Le Centre hospitalier de l'Université de Montréal vient de se doté d'un
CyberKnife, un système robotisé
permettant de traiter les tumeurs sans chirurgie. En plus d'être indolore cette Technique permet de retirer des tumeurs normalement inopérables ou difficiles d'accès. Le service de radio-oncologique du CHUM est le premier endroit au Canada à offrir cette technologie.

BRAVO !!!








REF.: Journal de Mtl.

Que veulent les Québécois? Un État omni-présent qui souffre de boulimie fiscale?

La vrai question !

Il y a eu la commission d’enquête sur le viaduc de la Concorde, la Commission de consultation sur les pratiques d’accommodements raisonnables, la Commission sur l’avenir de l’agriculture et de l’agroalimentaire, et celle sur les conditions de vie des aînés. À ces commissions s’ajoutent les groupes de travail qui ont produit les rapports Castonguay, Montmarquette et Gagné.

Maintenant, Jean Charest nous annonce son intention de tenir une «vaste consultation» sur les mesures à adopter pour revenir à l’équilibre budgétaire. Il ne nous a pas consultés lorsqu’un de ses FIER (Fonds d’intervention économique régional) a versé une généreuse subvention pour la construction d’un hôtel de luxe pour chiens. Il n’a pas cherché notre approbation avant d’accorder à Alcoa des tarifs d’électricité ridiculement bas, ni avant d’engager plus de 50 millions $ dans l’édification d’un nouveau Colisée à Québec. Quand il s’agit de dépenser notre argent, Québec s’estime capable de décider.

Mais maintenant que les finances publiques se détériorent dangereusement, notre Premier ministre cherche conseil auprès de la population. En apparence, il veut que l’on fasse le travail qui incombe au ministère des Finances et qu’on lui souffle ce qu’un gouvernement responsable devrait faire. Mais en vérité, il espère par-dessus tout pouvoir éviter l’odieux des mesures impopulaires qu’il concocte en les attribuant aux travaux de la prochaine commission.

Entre autres mesures, il a déjà annoncé que des hausses de tarifs sont à prévoir. En soi, l’idée est défendable, car le principe de l’utilisateur-payeur permet de freiner la surconsommation et de réduire le gaspillage. Mais pour qu’une nouvelle tarification soit justifiable et équitable, elle doit s’accompagner d’une réduction équivalente des impôts. Après tout, l’État s’approprie chaque année une partie du fruit de notre travail pour financer divers programmes dont il s’enorgueillit. Une hausse de tarif sans allégement fiscal reviendrait à nous faire payer deux fois pour le même service. Certes, ce serait une bénédiction pour les finances publiques, mais pour les Québécois, ce serait tout simplement du vol manifeste!

Il a également affirmé souhaiter un retour à l’équilibre budgétaire. Quelle arrogance que de parler d’un «retour» à l’équilibre, alors que le déficit zéro n’a jamais existé, si ce n’est grâce à de douteuses contorsions comptables! Jean Charest ignore-t-il que nous ne sommes pas dupes, et que nous savons pertinemment que seule l’existence d’un déficit budgétaire récurrent permet d’expliquer l’augmentation constante de la dette du Québec?

Ne sait-il pas que nous sommes également conscients qu’un État interventionniste qui taxe et subventionne est condamné à enregistrer des déficits? C’est une conséquence normale, car plus on taxe un comportement, plus les gens tentent de l’éviter, ce qui réduit l’assiette fiscale.

Parallèlement, plus on subventionne un comportement, plus les gens sont nombreux à l’adopter, ce qui accroît les dépenses. Un déficit n’est donc que la manifestation visible de l’intervention de l’État dans une société.

Dans un tel contexte, une réflexion sur les finances publiques est inutile, car s’attaquer au symptôme ne règle rien.

Il faut remonter à la source du problème et amorcer un débat sérieux sur le rôle de l’État dans la société québécoise.

Que veulent les Québécois? Un État omni-présent qui souffre de boulimie fiscale? Ou un État moins interventionniste qui fait la promotion de la responsabilité individuelle et qui encourage le travail et l’entrepreneurship? Seules ces questions méritent une «vaste consultation». Mais Québec ne s’aventurera jamais sur ce terrain. On ne pose pas les questions pour lesquelles on ne veut pas entendre la réponse!

REF.:

La PS3 «Slim» est en magasin a $299,comme la Xbox360 élite

On attendait ça depuis longtemps: Sony a enfin décidé de réduire le prix de sa console PlayStation 3 d’un autre 100$ – pour un total de 299$.
Mais ils n’ont pas seulement baissé le prix de notre énorme grille-pain préféré; ils ont également dévoilé un nouveau modèle beaucoup plus mince.
La nouvelle PS3, en vente depuis cette semaine, est environ 30% plus mince et plus légère que l’ancienne. Malgré son apparence plutôt exotique, rien n’a changé à l’intérieur: des graphiques en haute définition, un disque dur de 120 GB, un système Wi-Fi intégré et le jeu gratuit en ligne. Avec la sortie imminente et hautement anticipée des suites telles que Modern Warfare 2 et Uncharted 2: Among Thieves, le moment n’aurait pas pu être mieux choisi.
On n’a jamais eu à se plaindre de la PS3 comme tel – après tout, il s’agit d’une excellente console de jeux vidéo avec en prime un lecteur Blu-ray pour les propriétaires d’appareils HDTV – mais le prix était tout simplement trop élevé.
Prix: 299$ dans la plupart des commerces d’appareils électroniques et de jeux vidéo.
Verdict: Une console de jeux vidéo munie d’un lecteur Blu-ray, ou un lecteur Blu-ray compatible avec des jeux vidéo? D’une manière ou d’une autre, la nouvelle PS3 amincie est désormais offerte à un prix nettement plus appétissant.



La cote du grand TÉO: un 11,5/10 :O)

REF.:


***Enfin, le mardi Sony a dévoilé au large de la tant rumeur PS3 Slim et lui a donné les 299 $ de plus abordables aux consommateurs étiquette de prix ont été réclament.
Sony Computer Entertainment PDG Kaz Hirai a dévoilé la plaque à une conférence de presse tenue à Cologne, en Allemagne, précédant l'ouverture de l'Expo Gamescom. Il a pris la scène et a annoncé la PS3 était «d'obtenir un nouveau modèle" et que, en effet, il a été appelé le Slim PS3.
PlayStation 3 Slim - photos
Le Slim frappe magasins Septembre 1 en Amérique du Nord et en Europe et coûtera 299 $ (ou pour ceux qui vivent dans les régions, 299 euros ou ¥ 29,980). Hirai dit l'appareil possède les mêmes caractéristiques et fonctions que le "vieux" PS3, mais est de 33 pour cent plus petit, 36 pour cent plus léger, et est livré avec un disque dur de 120Go. (Voir la comparaison de photos ici).
Sony affirme que pour atteindre le nouveau facteur de forme, la conception de l'architecture interne du système PS3 a été complètement redessinée - "de la semi-conducteurs principaux et bloc d'alimentation au mécanisme de refroidissement."
Le Slim PS3 est alimenté par une nouvelle version 45 nm du processeur Cell, qui tourne à la même vitesse que le processeur 60 nm dans les "anciens" PS3, mais est plus petit et plus éconergétiques. Selon les représentants des compagnies, la consommation d'énergie pour le Slim a également été réduit à deux tiers, pour "contribuer à réduire le bruit du ventilateur», ce qui est important.


Sur le plan esthétique, ce modèle dispose d'une surface texturée qui donne un coup d'oeil de la PS3, frais occasionnels que les espoirs entreprise, il sera plus attrayant pour un public plus large (lire: les joueurs occasionnels). Comme il a déjà des rumeurs, le logo PS3 a subi une refonte et Sony en train de changer le nom de marque PS3 de "PLAYSTATION 3" à "PlayStation 3" (nous avons été réellement l'appeler la PlayStation 3 pour un moment).
Comme les modèles 80 Go et 160 Go, le 120 Go PS3 Slim a built-in Wi-Fi et deux ports USB (désolé, Sony n'a pas ajouté IR ou la rétrocompatibilité pour les jeux PS2). Vous pouvez également mettre à niveau ou de remplacement du disque dur sans annuler la garantie, bien que Sony a déplacé le disque dur du côté de l'appareil vers l'avant pour "faciliter l'accès." (Pour retirer le disque dur, il vous suffit de dévisser les deux vis). La caractéristique qui manque dans le Slim est la possibilité d'installer un autre système d'exploitation (par exemple Linux) - Sony est la suppression de cette fonctionnalité.

Kaz Hirai dévoile la PS3 Slim à Cologne, en Allemagne.(Credit: Gamespot)
PS3 avec plus tôt, vous pourriez prop votre unité verticalement ou le poser horizontalement. Hors de la boîte, le Slim est uniquement conçu pour être utilisé en position horizontale, mais Sony va vendre un stand 24 $ qui vous permet de le tenir verticalement.
En rendant le déménagement vers le Slim PS3, Sony va être mise à niveau du firmware à 3.00 et l'élimination progressive de son héritage de 80 Go et 160 Go de modèles, de les vendre pour 299 $ et 399 $ respectivement.
John Koller, directeur du marketing hardware pour Sony Computer Entertainment America, déclare qu'ils ont été capables de s'écouler le long inventaire des modèles plus anciens, mais il n'avait pas la meilleure réponse pour expliquer pourquoi quelqu'un achèterait un modèle de 80 Go vieux sur le nouveau 120GB mince. «Certaines personnes veulent une unité tout de suite et ils mai aimez le look de l'ancienne unité, dit-il. «Les gens ont leurs raisons de vouloir une."



REF.: Mise à jour à 7:15 am PDT avec la vidéo Rechercher Brian Tong's First.

Xbox 360 Elite, qui se vend maintenant à 299$.

Microsoft réduira de 25% à 29 800 yen (355$CAN ou 322$US) le prix du modèle haut de gamme de sa console Xbox 360 au Japon.
Le géant américain du logiciel a indiqué mercredi que le nouveau prix japonais de la Xbox 360 Elite entrera en vigueur le 10 septembre.
Cette initiative s’aligne en gros sur la réduction nord-américaine de 100$ appliquée depuis la semaine dernière à la Xbox 360 Elite, qui se vend maintenant à 299$.
Le rival Sony avait parti le bal récemment en réduisant le prix de sa PlayStation 3 à 299$.



La Cote du Grand-frère a TÉO : Un 8,5/10 , et oui +)

REF.: Traduction canoe.ca

La version PC d'un lecteur de cartes de crédit


C'est anti-Keylogger !

Un gadget qui facilite mes dépenses en ligne… Exactement ce dont j’avais besoin. Le SmartSwipe (89,99$) est la version maison de ces lecteurs de cartes de crédit qu’on trouve dans tous les magasins.


Au lieu d’avoir à écrire le numéro de votre carte et la date d’expiration quand vous achetez en ligne, vous n’avez qu’à la glisser dans ce lecteur et le tour est joué. C’est sans compter la sécurité accrue lors de vos transactions en ligne – idéal pour les paresseux accros du magasinage.
Mis au point par l’entreprise NetSecure Technologies en Saskatchewan, le lecteur SmartSwipe ressemble à une boule de Silly Putty avec une cavité profonde au centre et illuminé par deux rangées de diodes électroluminescentes (LED) bleues. Suffit d’installer le logiciel inclus et de brancher le SmartSwipe dans votre ordinateur Windows.
Voici comment ça fonctionne: une fois que vous avez choisi vos livres sur Amazon.ca ou votre nouvelle caméra numérique sur BestBuy.ca, une petite fenêtre («don't type, swipe!») se superpose à l’écran de paiement du site Web en question. Vous n’avez qu’à glisser votre carte de crédit dans le lecteur, à confirmer qu’il s’agit de la bonne carte et à soumettre le tout.
J’ai testé le SmartSwipe sur une douzaine de sites – FutureShop.ca, un commerce local de pièces automobiles, un petit théâtre communautaire et même… euh, des sites de divertissement pour adultes. (Pour votre information, je n’ai pas cliqué sur le bouton pour procéder au paiement… promis!)
La base de données du SmartSwipe contient littéralement des milliers de sites Web. En dépit de tous mes efforts, je n’ai pas réussi à en trouver un seul qui n’était pas compatible avec ce gadget. En glissant la carte, l’information est codée et insérée dans les espaces appropriés à l’écran de façon à ce que vous ne puissiez plus modifier (ou même voir) les chiffres.
Est-ce vraiment nécessaire? La vérité, c’est que le magasinage en ligne est sécuritaire, tant et aussi longtemps que vous vous en tenez aux sites bien connus qui offrent des modes de paiement sécurisés.
Plus spécifiquement, le SmartSwipe vous protège contre les enregistreurs de frappe (les fameux «keyloggers»), des programmes qui s’installent sur votre ordinateur à votre insu et qui enregistrent votre numéro de carte de crédit pendant que vous le dactylographiez. Avez ce lecteur, il n’y a aucun chiffre à taper donc rien à enregistrer.
N’empêche qu’à 90$, c’est un investissement plutôt dispendieux pour une protection additionnelle dont les internautes avisés n’auront même pas besoin. Si vous trouvez que c’est une corvée d’inscrire votre numéro de carte de crédit manuellement, c’est parce que vous dépensez trop en ligne.
Le SmartSwipe est un petit gadget utile et bien conçu, mais je me demande combien de fois je l’utiliserais avant de le reléguer au fond du tiroir.



Prix: 89,99$ chez Future Shop; pour plus d’information, consultez le site http://www.smartswipe.ca/.
Verdict: Un bidule intéressant qui facilite et qui sécurise vos achats en ligne. Cela dit, à moins d’être un accro du magasinage sur Internet ou d’ignorer comment faire pour se protéger, ça risque d’être une dépense difficile à justifier.