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samedi 18 juin 2011

Le syndrome du choc toxique,c'est 30% des femmes !


Le syndrome du choc toxique - Un mal sournois qui fauche encore des vies
Shanelle Maréchal 
© TVA Nouvelles

REPENTIGNY – Dans les prochains jours, Shanelle Maréchal devait participer à son bal de finissants pour marquer la fin de ses études secondaires. Mais l’adolescente n’y sera pas : il y a 10 mois, elle est morte foudroyée par le syndrome du choc toxique, dans un hôpital de Repentigny.
Difficile à déceler, ce syndrome fait encore des victimes. Dans ce cas-ci, la jeune fille a gardé un tampon hygiénique plus longtemps que la période maximale recommandée de six à huit heures.
EN VIDÉO:
Syndrome du choc toxique: le cas de Shanelle Maréchal

« Le pathologiste nous a confirmé que ça faisait moins de 48 heures que le tampon était là. Tous les symptômes s'apparentaient à une gastro. On n'a rien vu venir, ça a été fulgurant », s’est rappelée la mère de Shanelle, Nicole Beauvet.
Le microbiologiste Denis Phaneuf voit cinq à dix cas par année, dont quelques-uns sont liés à l’utilisation d’un tampon.
« Un tampon qui reste là longtemps change les propriétés d’une bactérie qui, elle, fabrique une toxine, a expliqué le Dr Phaneuf. Chacune des cellules du corps commence à éclater, l’une après l’autre. À ce moment, on a souvent un choc irréversible. »
Selon les statistiques, 30 % des femmes sont porteuses de cette bactérie, mais la plupart ne développeront pas la toxine.
Le syndrome du choc toxique, difficilement identifiable, se manifeste par des vomissements et de la fièvre.
Se souvenir
La famille de Shanelle et un de ses professeurs de français ont décidé de publier le roman fantastique que l’adolescente a écrit avant de mourir.
« Elle avait un vocabulaire extraordinaire pour son âge, parce qu’elle a quand même écrit ça entre 12 et 14 ans », a témoigné son enseignante, Julie Cadieux.
Son copain Charles Decoste atteste qu’elle serait heureuse de cette publication. «Quand on planifiait notre avenir, surtout, elle disait qu’elle aurait aimé avoir une carrière dans l’écriture », s’est-il souvenu.
Dans son manuscrit, Shanelle écrit : « Je me sens faiblir. La douleur brûle mes organes. Ton regard glacé me fixe. » Pour la famille, ces quelques lignes écrites avant la fin sont troublantes, vu la façon dont l’adolescente est partie.

Justice-santé mentale ?


Montréal - Justice et santé mentale : la survie d’un « tribunal » en jeu
Le docteur Michael Mansour, qui évalue l’état des personnes soumises à ce « tribunal », est convaincu qu’un grand nombre d’itinérants pourraient utiliser ce service. 
© Archives QMI

MONTRÉAL - Un « tribunal » méconnu du grand public lutte pour sa survie, pendant que des centaines de personnes souffrant de troubles mentaux ou d’une déficience intellectuelle pourraient être privées de beaucoup de compréhension et d’aide.
Méfaits dans la rue, menaces envers des citoyens, désordres publics ou cas de violence conjugale, sont souvent le lot de personnes atteintes de schizophrénie ou de bipolarité et qui se retrouvent derrière les barreaux dans l’attente d’un jugement, complètement dépourvues de toute aide spécialisée.
Toutefois depuis trois ans, et à titre expérimental, il existe pour ces personnes un tribunal qui agit en silence et qui leur évite très souvent des peines d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 18 mois, des peines qui ne changeraient absolument rien à leur comportement. Justice-santé mentale est une initiative de la Cour municipale de la Ville de Montréal qui veut aider ces malades et non les juger.
« On suggère à la Cour municipale de ne pas imposer une peine d’incarcération à ces personnes ou de retirer les accusations concernant des démêlés avec la justice, en raison de leur état », a expliqué Me Julie Provost, responsable d’appliquer ce programme en Cour municipale.
Chaque semaine, quelque 35 accusés acceptent sur une base volontaire de collaborer avec les spécialistes pour améliorer leur comportement et la qualité de vie des gens qui les entourent. Ceux qui refusent l’aide des intervenants sont abandonnés au processus judiciaire normal et doivent purger des peines d’emprisonnement.
Le docteur Michael Mansour, qui évalue l’état des personnes soumises à ce « tribunal », est convaincu qu’un grand nombre d’itinérants pourraient utiliser ce service, mais que ceux-ci vivent en marge du système et refusent l’aide des autorités.
Le programme a été lancé il y a trois ans et son financement (900 000 $) est assuré par l’Agence de santé et des services sociaux de Montréal.
Du côté de la Ville de Montréal, il est impossible de savoir, pour l’instant, si le programme se poursuivra ou non.

Web 2,0 ,Oui ou Non ? Seulement (52%) des utilisateurs de Facebook et le tiers (33%) de ceux de Twitter vont sur ces sites quotidiennement


Étude - Les utilisateurs de Facebook ont aussi une vraie vie
 
© Shutterstock/ Agence QMI

WASHINGTON - Contrairement à l'idée reçue, les utilisateurs de réseaux sociaux ne passent pas à côté de la vraie vie, selon une étude publiée jeudi aux États-Unis, révélant qu'ils ont en fait tendance à plus facilement se fier aux autres, avoir des amis proches et s'engager.

L'étude menée à l'automne par le centre de recherches indépendant Pew auprès de 2.255 adultes américains montre que les utilisateurs de Facebook ont plus de trois fois plus de chances que les autres internautes d'avoir le sentiment qu'on peut faire confiance à la plupart des gens.
Ceux qui se connectent plusieurs fois par jour à Facebook ont en moyenne 9% d'amis proches dans la vraie vie. Et ils ont 2,5 fois plus de chances de participer à des manifestations ou réunions politiques.
«On a beaucoup spéculé sur l'impact des réseaux sociaux sur la vie sociale des internautes», a relevé Keith Hampton, le principal auteur de cette étude du centre Pew. «L'essentiel du débat tourne sur le risque que ces sites nuisent aux relations des internautes et les éloignent de la participation au monde».
«Nous avons découvert que c'était exactement le contraire: que les gens qui utilisent des sites comme Facebook ont en fait plus de relations proches et ont plus de chances de s'impliquer dans des activités politiques et civiques», a ajouté M. Hampton, qui est professeur à l'Ecole de communication Annenberg à l'Université de Pennsylvanie.
Au total, les adultes américains fréquentant des réseaux sociaux sont plus nombreux et plus âgés qu'en 2008: ils représentent 42% des internautes contre 26% auparavant, et ont 38 ans, contre 33 ans.
Facebook, qui selon le cabinet ComsCore compte près de 700 millions d'utilisateurs dans le monde et près de 160 millions aux États-unis, est de loin le réseau le plus populaire parmi les personnes interrogées, et celui avec lequel ils se sentent le plus impliqués: 92% d'entre eux sont sur Facebook, 29% sur MySpace, qui de plus en plus est un site à thématique musicale, avec une moyenne d'âge plus jeune (32 ans), 18% sur le réseau pour professionnels LinkedIn, où la moyenne d'âge passe à 40 ans, et 13% utilisent le site de microblogs Twitter, dont les utilisateurs ont 33 ans en moyenne.
Plus de la moitié (52%) des utilisateurs de Facebook et le tiers (33%) de ceux de Twitter vont sur ces sites quotidiennement, ce qui n'est le cas que de 7% des utilisateurs de MySpace et de 6% de ceux de LinkedIn.
En moyenne, les utilisateurs de Facebook comptent 229 «amis» sur ce réseau, dont 22% d'amis de lycée, 12% de membres de la famille au sens large, 10% de collègues, 9% d'amis d'université, 8% de membres de la famille proche, 7% de contacts associatifs et 2% de voisins.
Toutefois, il reste 31% «d'amis» Facebook inclassables - mais seulement 3% de gens que les internautes n'ont jamais rencontré en personne.
Pour ce qui est de ce qu'ils font sur Facebook, en moyenne 15% des internautes actualisent leur propre «statut», 22% commentent le statut des autres, 20% commentent les photos des autres, 26% signalent qu'ils «aiment» le statut d'un autre, et 10% envoient des messages privés à leurs amis.
La plupart des gens actualisent leur statut moins d'une fois par semaine, et 16% ne l'ont même jamais fait.

REF.:

Piratage: Anonymous frappe contre la censure de films et de programmes télévisés des autorités malaisiennes



Malaisie - Des dizaines de sites officiels cibles de hackers
 
©Twitter.com

Un piratage informatique de grande ampleur a visé 91 sites internet en Malaisie, dont 51 sites officiels du gouvernement dans le courant de la nuit dernière mais aucune donnée personnelle ou financière n'a été subtilisée, a assuré jeudi le gouvernement.
L'accès à 76 des 91 sites cibles a été restauré depuis, a indiqué la Commission malaisienne des communications et du multimedia, sans préciser les noms des sites concernés.
«La plupart des sites liés au gouvernement sont (désormais) accessibles au public, soit qu'ils n'ont pas été affectés par les interruptions de service, soit que leur accès a été rétabli depuis les attaques», a précisé le régulateur dans un communiqué.
Ce piratage est survenu après un avertissement lancé par le groupe Anonymous, qui avait menacé de lancer une attaque contre le portail officiel du gouvernement.
Anonymous entendait ainsi protester contre la censure de films et de programmes télévisés par les autorités malaisiennes ainsi que le blocage de sites de partage de fichiers.
Ce groupe de cybermilitants s'était fait connaître en décembre dernier en attaquant les sites de Mastercard, Visa et PayPal, en représailles à leur suspension des transferts de fonds en faveur de WikiLeaks, site spécialisé dans la diffusion de documents confidentiels.
Cette attaque coordonnée est le dernier épisode en date d'une série de piratages d'entreprises et d'organisations dont les victimes vont de Citigroup et Sony au Fonds monétaire international ou à la CIA.
Le groupe de pirates informatiques Lulz Security a annoncé avoir piraté le site internet de l'agence centrale du renseignement américain dans la soirée de mercredi.

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vendredi 17 juin 2011

Industrie de la construction Une loi assez mordante contre la criminalité?


Industrie de la construction - Une loi assez mordante contre la criminalité?
Mme Thériault est catégorique : il faut plus de résultats. 
©Agence QMI/ 24H Montréal/ Archives/ Luc Cinq-Mars

MONTRÉAL - Si la nouvelle loi pour lutter contre la criminalité dans l'industrie de la construction ne donne pas les résultats escomptés, elle sera amendée, a confirmé mercredi la ministre du Travail, Lise Thériault.
Jusqu'à présent, les antécédents de 60 % des 43 000 entreprises en construction québécoises ont été vérifiés par la Sûreté du Québec, à la demande de la Régie du bâtiment.
En six mois, les régisseurs ont révoqué 18 permis d'entrepreneurs au Québec, suspendu 16 licences et émis des licences restreintes pour 52 autres. Quarante et un dossiers sont toujours sous enquête à la Régie du bâtiment du Québec.
Jusqu'à maintenant, les sanctions pour trafic de stupéfiants ont été plus nombreuses que celles pour fraude fiscale. «Plus la fraude est complexe, plus ça peut prendre de temps à amasser la preuve, à l'analyser et à procéder au dossier», a expliqué la ministre du Travail.
Mais Mme Thériault est catégorique : il faut plus de résultats. «On a tout intérêt à assainir les pratiques dans l'industrie de la construction et je n'hésiterai pas à faire des changements législatifs si nécessaire.»
Sanctions clémentes
En juillet 2010, Doncar Construction a été sanctionnée par la Régie à la suite d'une infraction fiscale. Doncar a reconnu avoir inscrit de fausses dépenses pour près d'un demi-million de dollars en 2002.
Ses avocats ont souligné devant la Régie qu'ils pensaient «que l'intention du gouvernement était d'exclure de l'industrie de la construction les entreprises reconnues coupables de travail au noir associé à l'évasion fiscale».
Pour fausse déclaration fiscale, le permis de l'entreprise a été suspendu du 20 septembre au 4 octobre 2010, un total de 15 jours.
«Vous comprendrez que les sanctions, ce sont les régisseurs qui les imposent après avoir eu connaissance de la preuve. Moi, je ne m'immisce pas dans les enquêtes. Je ne m'immisce pas non plus dans les sanctions», a expliqué la ministre.

Les États-Unis, pays préféré des cybercriminels


Rapport - Les États-Unis, pays préféré des cybercriminels
Les cybercriminels s'attaquent principalement aux États-Unis. 
© Luc Cinq-Mars


PARIS - Les États-Unis est le pays le plus «recherché» par les cybercriminels pour effectuer des attaques informatiques ou pour y faire transiter des flux financiers illicites, en raison de législations «permissives», selon un rapport présenté mercredi à Paris.
Intitulé Les Marchés noirs de la cybercriminalité, ce rapport de la société spécialisée en intelligence stratégique CEIS passe au crible les profils des cybercriminels, leurs tactiques et leurs outils, ainsi que les moyens de s'en protéger.
«Les opérations de blanchiment d’argent sont traditionnellement associées aux paradis fiscaux; cependant le pays le plus recherché par les cybercriminels n’apparaît sur aucune liste noire de l’OCDE», indique ce rapport.
«Sur les 50 États qui composent les États-Unis, une dizaine bénéficie de législations très permissives, les plus libéraux étant le Delaware, la Californie, la Floride et l’État de New York", souligne-t-il.
Selon ces législations sur la création de sociétés à «responsabilité limitée», «n’importe quelle personne résidant hors ou aux États-Unis peut créer sa propre société en 24h sur internet. Il suffit de remplir un formulaire. La création d’une société au Delaware coûte ainsi 129$», explique le CEIS.
Sociétés légales
Selon le rapport, «ces sociétés écrans sont légalement enregistrées par un agent sur place qui n’est astreint à aucune responsabilité, que ce soit en termes de surveillance d’éventuelles activités illicites ou de signalement aux autorités en cas de soupçons».
Quatorze États, du fait de leurs législations, permettent à ces sociétés fictives de garder secret le nom de leurs membres ou propriétaires, est-il précisé.
«Une fois la société enregistrée, l’agent ouvre un compte bancaire aux États-Unis pour son client» qui ne sert généralement que de relais. «Les virements effectués transitent vers des succursales de banques internationales à New York puis sont rapatriés vers l’étranger».
«Une fois arrivé à destination finale, l’argent est totalement blanchi : la société écran permet de faire passer ces numéraires pour des revenus issus d’une activité économique réelle et la succession de virements bancaires internationaux ne permet pas de remonter à la source», dénonce le rapport.

Nexus S 4G ?


Samsung - Le prochain Google Nexus à nos portes?
Le Google Nexus S de Samsung. 
©Google.com


Le prochain téléphone de Google serait à nos portes. Le successeur au Nexus One et au Nexus S aurait été testé par un blogueur habituellement très branché sur le sujet.
Le PDG de bgr.com, Jonathan Geller, a blogué mercredi matin les specs d’un téléphone qu’il nomme le Samsung Nexus S 4G.
Il serait équippé d’un processeur duo-core de 1.2GHz à 1.5GHz et d’un écran à résolution 720p d’une «grandeur monstre». De plus, les boutons physiques qui ornent les deux premiers Nexus disparaîtraient au profit de boutons digitaux. On peut également d’attendre, selon M. Geller, à voir deux caméras intégrées au téléhpone – une de face, une de dos.
Le Nexus S 4G serait le premier téléphone à utiliser la version 4 d’Android, nommée Ice Cream Sandwitch.
Rumeur? Absolument. Pourquoi devrait-on croire M. Geller? Si le passé est garant de l’avenir, c’est ce même Geller qui a passé la journée d’avant-hier à tweeter que Apple s’apprêtait à vendre des iPhone débloqués. Hier, Apple en faisait l’annonce.
Cliquez ici pour voir l’article original.

REF.:

iSteve: The Book of Jobs


SteveJobsencomic-book,c'estpourbientôt


image:http://assets.branchez-vous.net/images/techno/skitched-20110613-215313.jpg
Le patron d'Apple, Steve Jobs, va être le héros d'un comic-book intitulé "Steve Jobs: co-founder of Apple".

Le comic va revenir sur l'histoire de l'homme d'affaires et de son entreprise, un parcours jugé «épique», par le président de l'éditeur Bluewater Productions, Darren Davis. «Ses innovations font la Une, les spéculations sur sa santé font la Bourse (...). Pas mal pour quelqu'un qui a abandonné la fac», a-t-il fait valoir.
C'est Chris Schmidt, plus connu pour ses pin-ups que pour ses super-héros, qui s'est chargé du dessin, la couverture ayant été réalisée par Joe Philips de DC Comics. Ce comic de 32 pages sera disponible en août pour 3,99 $US et est d'ores et déjà disponible en précommande sur le site d'Amazon.com. Le prix est de 4,50$ sur Amazon.ca pour une disponibilité le 13 septembre.
En décembre dernier, Bluewater Productions avait publié une bande dessinée sur le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, qui est aujourd'hui épuisée. Une version plus développée, vendue 10,99 dollars, devrait sortir au mois de septembre. «Il y a certainement des ressemblances entre Zuckerberg et Jobs», a commenté C.W. Cooke, auteur du comic sur le patron d'Apple, avant d'ajouter: «L'idée, pour les deux livres, c'est de montrer l'homme derrière la personnalité, et qu'il n'est jamais tel qu'on l'attendait».
Rappelons que sa biographie autorisée "iSteve: the book of Jobs" paraîtra le 6 mars 2012.

Et si le iMorph d'Apple-Nokia existait ?

Nokia est unit par entente secrète avec Apple,il est en préparation d'une nouvelle technologie ?
Comme Apple fait renaître iWorks de Microsoft ,il fera des malheurs avec Nokia !


Clip du jour - Le graphène, matériau du futur
Concept Nokia Morph, en mode téléphone 
©Nokia

Le 14 juin, la marque Nokia a publié sur son blog un article consacré au graphène, un matériau appelé à jouer un rôle important dans l'avenir de l'électronique.Le graphène est un cristal de carbone en deux dimensions. De l'épaisseur d'un atome, c'est le matériau le plus fin qui soit.
Ultra-résistant, ultra-stable et ultra-conducteur, il viendra remplacer le silicone pour révolutionner l'électronique, selon Nokia. grâce à lui, la marque pourrait faire de son concept Morph -- jusqu'ici considéré comme tiré par les cheveux -- une réalité.
«Il ne s'agit pas uniquement de téléphonie: de nombreux domaines sont concernés. La mise au point d'une telle technologie permettrait à une télévision, par exemple, d'être simplement déroulée et collée sur le mur du salon, à la manière d'un rouleau de papier peint», ajoute Nokia.
Cela ouvrirait la porte à une infinité d'inventions. Pour faire avancer la recherche, Nokia s'est associé à quatre prix Nobel -- Dr. Andrea Gelm, Dr. Konstantin Novoselov, Dr. K. von Klitzing et Dr. A. Fert -- dans le cadre du programme Graphene Flagship.
Certaines universités américaines et instituts de recherches européens font également partie de ce programme, lancé le 4 mai à Budapest, dans le but de rendre possible la production de ce matériau miracle.
Le projet entre dans le cadre d'un ambitieux programme européen intitulé Future and Emerging Technology (FET) Flagships project.
Voir une vidéo du concept Morph de Nokia.



REF.:

Le plus puissant superordinateur du Québec dévoilé: 136,3 Teraflops


Montréal | CLUMEQ - Le plus puissant superordinateur du Québec dévoilé
Bryan L. Caron, Directeur des opérations commerciales du CLUMEQ 
©Cédric Lizotte/Agence QMI

Cliquez ici pour voir l'ordinateur en photos

MONTRÉAL - Le plus puissant superordinateur du Québec a été dévoilé mardi à L'École de technologie supérieure (ÉTS) de Montréal. D’une valeur de 8,3 millions $, l’ordinateur a une capacité de 2 millions de giga-octets, entre autres.
«Il s’agit plus ou moins de 2500 PC rattachés en grappe», a illustré Peter Grütter, professeur de physique à l’université McGill. Sa capacité totale avoisinerait les 136,3 Teraflops.
Cet ordinateur pourra aider les chercheurs des deux universités partenaires – l’ÉTS et McGill – à faire des calculs qui leur étaient sinon impossibles, du moins extrêmement fastidieux auparavant.
Par exemple, les chercheurs font des «atlas en trois dimensions du cerveau», ce qui «nécessite une quantité imposante de calculs», selon Alan Evans, un dirigeant de l’Institut neurologique de Montréal. Des cartes topographiques très détaillées de plusieurs cerveaux humains pourront donc être utilisées et stockées grâce à cet ordinateur.
Plusieurs autres domaines pourront profiter de ce superordinateur: la neuroscience, la génomique, la dynamique des fluides, la sécurité aérienne, la nanotechnologie, et même les prévisions météorologiques.
«Nous espérons faire partie du top 100 dans la liste publiée la semaine prochaine en Allemagne», a affirmé Elie Abdul-Massih, le dirigeant d’IBM Canada présent à la conférence. Il faisait référence à la liste des 500 superordinateurs les plus puissants, publiée chaque année lors de l’International Supercomputing Conference d’Hambourg.
« Cet ordinateur, c’est :
· 14 400 processeurs
· 1200 nœuds reliés par une seule console
· 2 PB d’espace disque (2 millions de GB)
· 46 TB de mémoire vive (46 000 GB) »
- Bryan L. Caron, Directeur des opérations commerciales du CLUMEQ


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Pourquoi les hackers sont en Espagne ? ....


Espagne - Anonymous attaque le site de la police
  
©Twitter.com
..c'est parce que tout les PC Windows sont crackés et non a jour,comme dans bien d'autres pays pauvres ;-)
Alors facile pour les pirates en herbe de faire du grabuge a la sauce DDOS ,par les nombeux PC zombies !



Le collectif international de cyberactivistesAnonymous a lancé dans la nuit de samedi à dimanche une attaque contre le site internet de la police espagnole en représailles à l'arrestation de trois pirates informatiques présumés.
«Dans la nuit de samedi à dimanche, à 2h00 du matin, le site web de la police a été victime d'une attaque et a été bloqué pendant quelques minutes», a indiqué lundi une source policière.
Anonymous a revendiqué cette attaque sur internet. Sur Twitter, le compte @Anon_Central a écrit: «objectif: www.policia.es, statut: en panne, pour avoir arrêté des protestataires pacifiques».
La police espagnole avait annoncé vendredi l'arrestation de trois pirates informatiques considérés comme les responsables pour l'Espagne d'Anonymous, accusés d'attaques contre des sites internet officiels.
Anonymous s'est aussitôt défendu, dans un communiqué diffusé sur internet, assurant ne pas compter de «leaders» dans ses rangs. «Nous n'avons pas de membres et nous ne sommes pas un groupe constitué, vous avez arrêté trois citoyens s'exprimant par eux-mêmes», selon le communiqué.
L'attaque de sites internet «est un signe de protestation pacifique, qui revient au même que faire un sit-in devant un magasin pour empêcher les gens d'entrer», a insisté Anonymous.
Cette «organisation de hackers structurée en cellules indépendantes» lance des attaques coordonnées contre des sites internet, notamment à travers une myriade d'ordinateurs infectés par des virus et contrôlés à distance, selon la police espagnole.
Cette organisation est considérée comme une «menace» par l'Otan pour les risques de piratage ou de blocage informatique qu'elle fait peser sur les systèmes de l'Alliance atlantique, a souligné la police.
Parfois qualifié de «Robin des bois» informatique,Anonymous s'était fait connaître par des attaques contre les sites de cartes de crédit américaines Visa et MasterCard, en réponse à leur décision de bloquer les versements au site de publication d'informations confidentielles WikiLeaks.
Cette organisation a déjà été visée par des opérations policières aux États-Unis et au Royaume-Uni.

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Turquie La police arrête 32 hackers soupçonnés


Turquie - La police arrête 32 hackers soupçonnés
Le premier ministre, Recep Tayyip Erdogan.
©REUTERS/Archives


32 présumés hackers ont été arrêtés dimanche en Turquie. Ils sont soupçonnés d’être membres deAnonymous, un groupe de hackers international.
Huit des 32 arrêtés ont moins de 18 ans.
Cette vague d’arrestations – qui s’est déroulée dans une douzaine de villes turques – vient après plusieurs attaques «par déni de service» lancées la semaine dernière contre les sites web du Parlement turc et du premier ministre.
Le groupe Anonymous utilise ces attaques pour protester contre la censure internet en Turquie, qui est de plus en plus abusive.
Le 15 mai dernier, des milliers de personnes dans plusieurs villes du pays se sont rassemblées pour protester contre les projets du gouvernement.
Un nouveau projet de réglementation du gouvernement avait mis les utilisateurs turcs en colère. Celui-ci prévoyait que chaque utilisateur d’internet en Turquie devrait s’identifier d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe et que son historique soit enregistré par le gouvernement.
Une autre mesure de l’instance de surveillance de l’internet bannit l’usage de 138 mots comme nom de domaine, des mots parfois anodins, comme «animal» ou «blonde» en Turc, ou même les termes anglais «hot» ou «free».
Depuis 2007, la pornographie est complètement bannie du net en Turquie. YouTube a aussi été banni pendant plus de deux ans.
La vague d’arrestations s’est déroulée le jour même où le premier ministre, Recep Tayyip Erdogan, a remporté haut la main les élections législatives.

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mercredi 15 juin 2011

Couches lavables Après les bébés, les aînés?


Santé | Couches lavables - Après les bébés, les aînés?
L’éducatrice Linda Comeau est une fervente adepte des couches lavables qui, affirme-t-elle, lui permettent de donner « un petit coup de pouce » à l’environnement. 
© Sarah-Maude Lefebvre/Agence QMI

Après avoir réussi à instaurer un système de couches lavables dans une dizaine de services de garde de Montréal, un organisme communautaire veut maintenant implanter le même procédé dans les CHSLD. Un projet controversé qui est loin de faire l’unanimité.
EN VIDÉO:
VOTRE OPINION :
En septembre prochain, douze centres de la petite enfance (CPE) et garderies auront un système permanent de couches lavables, gracieuseté de la SODER, l’éco-quartier de l’arrondissement Rosemont–La Petite-Patrie.
Sur papier, le projet fait rêver. Fini le temps où les parents devaient fournir à la garderie les couches-culottes de leur enfant. Maintenant, à un coût minime (1 $ par jour), le service de garde fournit la couche, qui est ensuite nettoyée et réutilisée.
Au CPE Coeurs de l’île, dans Rosemont, on ne tarit pas d’éloges à l’endroit de cette pratique.
« J’adore ça, confie l’éducatrice Linda Comeau. Ça ne change rien pour nous et on sauvegarde l’environnement. Maintenant, on va même plus loin en compostant les matières fécales recueillies dans les couches. Mais une chance qu’on a l’appui de la SODER. Sans eux, rien de cela ne serait arrivé. »
Des couches pour les aînés
Fort de son succès, la SODER veut maintenant implanter le même système dans les centres d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD). Un projet-pilote, de concert avec le CSSS Lucille-Teasdale, pourrait débuter dès cet automne.
« On vise une implantation dans plusieurs CHSLD d’ici le printemps 2012 », confie le directeur général de l’organisme, Frédéric Bourrely.
Ce dernier s’avoue toutefois inquiet de l’impact que pourraient avoir sur son projet les nombreuses restrictions budgétaires imposées aux CSSS.
« Il faut être prêt à investir une certaine somme au départ, car une couche lavable coûte environ 15 $ l’unité. Mais ça a une durée de vie de deux à trois ans », fait valoir M. Bourrely.
« Ce projet en vaut la peine, poursuit-il. Les couches occupent la troisième place des ordures dans les sites d’enfouissement, après le papier et le plastique. De plus, selon nos estimations, les aînés consomment davantage de couches que les bébés sur l’île de Montréal. »
Plus écolo ?
Malgré le fait que l’utilisation des couches lavables implique une certaine consommation d’énergie, notamment pour la manutention et le lavage, Frédéric Bourrely assure que cette option est plus « écolo » au bout du compte.
« Il n’y a rien de pire que le site d’enfouissement, point à la ligne. »
Quant à la propreté de ces couches réutilisables, ce dernier tient à se faire rassurant.
« Nous avons recours à un processus industriel sophistiqué qui comprend 16 étapes de lavage. Rassurez-vous. C’est propre, propre, propre. »
«Laissez-les plutôt aller à la toilette»
« Commençons donc par s’occuper correctement de nos aînés et les laisser aller à la toilette, avant de penser aux couches lavables », s’insurge Luc Vallerand, directeur de l’Association québécoise des retraités des secteurs publics et parapublics (AQRP).
Comme bien d’autres de ses collègues qui oeuvrent pour la défense des droits des aînés, ce dernier questionne la pertinence du projet de la SODER, alors que des « questions urgentes » ne sont toujours pas réglées dans les résidences pour personnes âgées.
« Il n’y a même pas assez de personnel dans les CHSLD pour changer les couches jetables des personnes âgées, plaide-t-il. On manque de ressources et les besoins essentiels des aînés ne sont pas comblés. »
« Disons que les préoccupations environnementales ne font pas partie de nos priorités », ironise-t-il.
Dignité
La question de la « dignité des aînés » pose également problème, fait aussi remarquer Danis Prud’homme, directeur général de la Fédération de l’âge d’or du Québec (FADOQ).
« On n’encourage pas le port de la couche, point. Il faudrait d’abord que l’on amène les gens à la toilette, plutôt que de passer par la solution facile de la couche, comme c’est le cas dans beaucoup d’endroits », affirme-t-il.
D’un côté comme de l’autre, les différentes associations de défense des aînés en appellent à la « prudence ».
« Avant de dire oui à tout cela, il faudrait d’abord effectuer une étude sérieuse pour savoir si ça vaut la peine au point de vue environnemental. Il faut aussi que les risques d’insalubrité soient pris en compte, avant de se lancer là-dedans tête première », soutient Paul Brunet, du Conseil pour la protection des malades.
Plus de 3,3 millions de Canadiens souffrent d’incontinence. 

Hymne au « Kébèk » de Raoul


Société Saint-Jean-Baptiste - Hymne au « Kébèk »
Le Québec a dorénavant son hymne.
© Sébastien St-Jean/24H Montréal/ AGENCE QMI


MONTRÉAL — Créer un hymne national québécois, c’est le mandat qu’avait confié la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJB ) à l’auteur et interprète Raôul Duguay, une œuvre qui a finalement été dévoilée lundi.
C’est en présence de M. Duguay et du compositeur Alain Sauvageau que la première écoute publique du « Ô Kébèk » a eu lieu. Deux versions ont été créées, soit la version longue et une écourtée à deux minutes, plus accessible.
« Quand le gouvernement fédéral nous a reconnus comme une nation, l’idée est venue d’avoir notre propre hymne », a expliqué Charles Campbell, militant de la SSJB et initiateur de la démarche.
Contacté par la SSJB, Raôul Duguay s’est immédiatement senti interpellé. Le chanteur de « La bitte à Tibi », devenue hymne régional avec les années, s’est alors associé au compositeur Alain Sauvageau pour mener à bien le projet.
Un texte inclusif
Selon l’auteur, il est question de ceux qui sont venus enrichir le Québec dans le texte qui compose l’hymne, ainsi que de cette volonté d’intégrer plus facilement les personnes immigrantes.
« Un hymne n’est pas une chanson, c’est beaucoup plus que ça. Celui-ci propose une philosophie collective, l’idée d’unicité dans la diversité », a dit M. Duguay, avant d’expliquer que « la première chose que doit conquérir un peuple, c’est sa langue. Et un hymne porte la langue d’un peuple ».
C’est d’ailleurs pourquoi M. Duguay a choisi d’écrire le mot « Québec » dans une orthographe qui date de notre passé historique, soit « Kébèk ».
Pour Gérald Larose, président du Conseil de la souveraineté du Québec, cette œuvre n’est pas la première proposition d’hymne québécois, « mais elle sort du lot ». « Maintenant, ce sera au peuple de se l’approprier », a-t-il dit.
La pièce est disponible gratuitement sur le site www.hymnenationalokebek.com.
À l’heure actuelle, aucune démarche n’est prévue pour faire officialiser le « Ô Kébèk » comme étant l’hymne national québécois.