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mercredi 1 décembre 2021

Alphabet (Google) jubile avec un trimestre vraiment record ; mais comment, pourquoi ?

 

 

Alphabet (Google) jubile avec un trimestre vraiment record ; mais comment, pourquoi ?

27 octobre 2021 à 13h33

 

La maison mère de Google, Alphabet, a dévoilé mardi soir un bilan trimestriel aux données clinquantes. Sur un an, les bénéfices de l'entreprise ont fait un bond de 68,4 %.

Accrochez-vous bien, car les superlatifs vont être de la partie pour décrire les résultats financiers du troisième trimestre d'Alphabet. Le géant américain a délivré des chiffres tout bonnement impressionnants. Au troisième trimestre, le chiffre d'affaires du groupe a dépassé les 65,1 milliards de dollars. En un an, les revenus d'Alphabet ont ainsi augmenté de 41 %. Voyons comment l'entreprise peut encore générer autant d'argent.

Alphabet et Google ont triplé leurs bénéfices depuis le début de la pandémie

Avant d'entrer dans le vif du sujet, permettez-nous de vous offrir gracieusement quelques données issues du bilan financier d'Alphabet. Il faut d'abord avoir conscience qu'Alphabet est au sommet de son art. Le mastodonte a en effet, sur les trois derniers mois, réalisé son meilleur trimestre en 14 ans, à tout point de vue. Car, outre le chiffre d'affaires, Alphabet a généré des bénéfices monstres. De 11,2 milliards de dollars au troisième trimestre 2020, ces derniers ont atteint 18,9 milliards de dollars au troisième semestre 2021, soit une croissance sympathique de 68,4 % des revenus nets.

Pour avoir conscience de l'accélération de la croissance des revenus du groupe Alphabet et de sa filiale Google, nous avons fait un petit saut dans le temps, en revenant un peu en arrière. Avant la pandémie, les bénéfices trimestriels de l'entreprise plafonnaient autour de 6,8 à 7 milliards de dollars, notamment aux premier et deuxième trimestres 2020. Depuis, ils n'ont fait que croître : 11,2 milliards de dollars au troisième trimestre 2020 ; 15,2 milliards au quatrième ; 17,9 milliards au premier trimestre 2021 ; 18,5 milliards au deuxième ; puis 18,9 milliards au troisième, donc. Cela signifie qu'en un peu plus d'un an et demi, Google et Alphabet ont triplé leurs bénéfices.

Voilà déjà une première explication : la pandémie. En livrant les résultats trimestriels du groupe, Sundar Pichai, l'homme à sa tête, assimile les résultats aux investissements consentis ces cinq dernières par l'entreprise, ce qui tend à minimiser un peu l'influence de la crise sanitaire sur les revenus. Mais, en indiquant que « la transformation numérique et le passage au travail hybride se poursuivent », le patron admet un changement d'époque.

La publicité, cette poule aux œufs d'or

Sur les 65,1 milliards de dollars de chiffre d'affaires d'Alphabet en 2021, 53,1 milliards (soit près de 82 %) sont à attribuer aux revenus publicitaires du seul Google. Il y a un an, la publicité n'avait rapporté « que » 37,1 milliards de dollars à l'entreprise. Il paraît évident que le contexte de crise et la « numérisation » croissante des services, entreprises et organisations du monde entier ont contribué à gonfler les revenus publicitaires du groupe.

La publicité sur la plateforme de contenus YouTube a aussi, et sans surprise, bondi sur les trois derniers mois. Elle a permis à Alphabet de gagner 7,2 milliards de dollars, contre 5 milliards au troisième trimestre 2020. Sur un an, la croissance est de 44 %.

On peut aussi relever la progression très importante de Google Cloud, troisième entreprise mondiale du secteur du cloud computing derrière Amazon Web Services et Microsoft Azure. Les revenus de Google Cloud ont atteint 4,99 milliards de dollars au troisième trimestre, contre 3,4 milliards de dollars il y a un an, avec une hausse de 45 % sur la période. Le Cloud made in Google suit donc la croissance globale du reste des activités de la firme de Mountain View.

Google promet de maintenir les investissements et salue les résultats des financements récents qui ont abouti à une poussée de la recherche en intelligence artificielle, dont l'une des conséquences matérielles est la sortie du Pixel 6 et sa toute première puce conçue en interne.

 

REF.:   https://www.clubic.com/pro/entreprises/google/actualite-390129-alphabet-google-jubile-avec-un-trimestre-vraiment-record-mais-comment-pourquoi.html?_ope=eyJndWlkIjoiNzM2OGQyYTA1M2UxYjUzYTEzZDE0MDAzYWQ0Yzg1YWMifQ%3D%3D

lundi 25 octobre 2021

Facebook devrait changer de nom très bientôt

 

 

Facebook devrait changer de nom très bientôt

Pour coller aux ambitions de métaverse de Mark Zuckerberg, le groupe Facebook (et pas le réseau social) devrait changer de nom dès la semaine prochaine.


Publié le

Par

Manon Carpentier


Facebook, c’est le réseau social qu’on connaît bien depuis 2004. Mais aujourd’hui, c’est également Instagram, Messenger, WhatsApp ou encore Oculus. Désormais, Facebook est un énorme groupe tech. On est donc bien loin du réseau social d’il y a une quinzaine d’années. Il serait donc temps de marquer ce changement.

En début de semaine, Facebook annonçait vouloir recruter 10,000 personnes dans les cinq années à venir pour préparer son métaverse, un univers fictif accessible en réalité virtuelle. Facebook essaie donc doucement, mais sûrement de se détacher de son image de réseau social. Et cela passe par un nouveau nom.

Un nouveau nom pour un nouveau positionnement

Ainsi, Mark Zuckerberg aimerait pousser les utilisateurs à voir l’entité “Facebook” d’un autre œil. L’entreprise basée à Menlo Park veut viser bien plus large que le marché des réseaux sociaux Dans cette optique, le directeur de Facebook a envie de frapper un grand coup en changeant le nom de son entreprise.

Cela permettrait de séparer le réseau social de l’entreprise mère et de préparer le terrain pour le métaverse. Mais pas seulement. Ce nouveau nom pourrait également permettre à Facebook de se détacher plus facilement des différentes accusations qu’il subit depuis la rentrée, dont celles de la lanceuse d’alerte Frances Haugen.

Effectivement, en quelques semaines, cette ancienne employée de Facebook a mis à mal l’entreprise américaine en révélant ses pires côtés : modération à deux vitesses, toxicité d’Instagram pour les adolescentes, désinformation poussée sur Facebook… Entre ces attaques et des pannes énormes subies il y a quelques semaines par le réseau social, l’image de la société en a pris un coup.

Ainsi, un nouveau nom pourrait signifier, pour Facebook, un nouveau positionnement, loin de ces dénonciations troublantes. Si rien n’a été confirmé à ce stade, ce changement de nom pourrait être annoncé officiellement dès la semaine prochaine. Il semblerait, en effet, que Mark Zuckerberg profite de l’annuelle conférence du groupe, qui aura lieu le 28 octobre 2021, pour en parler.

Comme le souligne le média The Verge, Facebook ne serait pas la première entreprise tech à changer de nom en cours de route. Par exemple, Snapchat s’est renommé Snap Inc. en 2016… Il n’y a plus qu’à attendre de voir si Facebook changera bel et bien de nom dans les jours à venir. Et si c’est le cas, nous sommes curieux de le découvrir.


Manon Carpentier

samedi 25 août 2018

Galileo : la constellation de satellites bientôt complète

Galileo : la constellation de satellites bientôt complète

Technologie : Ariane doit mettre sur orbite ce mercredi quatre nouveaux satellites permettant à Galileo, le GPS européen, d'être quasiment opérationnel à 100%.




Galileo, GPS, apple, Google, Alphabet

Après plus de 17 ans, le grand projet Galileo est en passe de devenir une réalité. Ce mercredi, une fusée Ariane 5 doit mettre sur orbite les quatre nouveaux satellites (soit 26/30) positionnés à 23 000 kilomètres d'altitude permettant à Galileo, le GPS européen, d'être quasiment pleinement opérationnel à 100%. Rappelons que le service a été ouvert il y a un an et demi, le lancement des derniers satellite doit permettre d'améliorer encore la précision du système.

Le tir de mercredi "marquera la fin d'un cycle démarré en 2011", déclare à l'AFP Stéphane Israël, président d'Arianespace, société de services de lancement. A cette date, "nous aurons lancé les 26 premiers satellites avec une régularité de métronome". Il restera encore 4 satellites à déployer jusqu'en 2021 mais les 6 derniers ont vocation à remplacer la première génération de satellites.
"Galileo est en train de devenir un grand succès car sa précision est bien supérieure" à celle du GPS (américain) et il offre en plus la datation du signal, souligne Jean-Yves Le Gall, président de l'agence spatiale française CNES
Le patron du CNES note une "accélération formidable du nombre d'utilisateurs" de Galileo dans le monde depuis le lancement des premiers services. Galileo est désormais accessible sur les derniers modèles de smartphones, notamment ceux d'Apple et de Samsung.
En février, le nombre d'utilisateurs était estimé à près de 100 millions. En juin, Jean-Yves Le Gall évoquait "200 millions d'utilisateurs" et il "pense" qu'on est désormais proche "des 300 millions".
L'horizon s'éclaircit donc pour le GPS européen qui a connu de nombreuses difficultés depuis ses débuts en 1999 avec l'objectif de mise en service en 2008....
En fait, aucune entreprise privée ne voulait financer le projet à 100% et il a fallu attendre 2007 pour que le plan de financement industriel soit enfin bouclé. Lassée d’attendre le bon vouloir des industriels impliqués, l’Union européenne s’engage à financer sur fonds publics l’infrastructure. Les Vingt-Sept de l'époque décident donc que l’argent public financerait l’infrastructure satellitaire pour un coût de 3,4 milliards d’euros, soit 2,4 milliards supplémentaires par rapport au milliard d’euros déjà injecté, sur un coût total, exploitation comprise, de 10 milliards d’euros.
En 2007, un seul satellite a été lancé et l'année d'ouverture du service est repoussée à 2012. En 2014, les satellites Doresa et Milena ne rejoignent pas l’orbite prévue. La consternation est telle qu'une commission d’enquête est ouverte en collaboration avec la commission européenne et l’agence spatiale Européenne (ESA). Fin 2014, seuls 4 satellites sont concrètement en orbite. A cette date, 4 milliards d'euros ont déjà été dépensés.
En 2015, les choses s'accélèrent enfin. Soyouz met sur orbite, avec cette succès cette fois, deux nouveaux satellites de la constellation, portant donc le total à 6.
Le programme atteint alors son rythme de croisière avec la mise en orbite de deux satellites tous les trois mois. "Nous avons démontré aujourd'hui encore que l'Europe dispose d'un savoir-faire et d'une technologie de pointe et d'une vision et d'une détermination à accomplir de grandes choses", commente alors la commissaire européenne au Marché intérieur et à l'Industrie, Elzbieta Bienkowska. "Détermination" est bien le mot qui caractérise le mieux les acteurs de ce projet...
Fin 2016,  il est enfin possible d'utiliser les données européennes même si le dispositif est encore incomplet. En 2017, un ultime incident fait craindre le pire : on apprenait en effet que plusieurs horloges atomiques de certains satellites du projet étaient « en panne ».
Le système de navigation ne serait cependant directement touché par ces défaillances car les ingénieurs avaient prévu un système de redondance au cas où la situation se présenterait. Chaque satellite est ainsi doté de quatre horloges. L'ESA indiquait que la situation est sous-contrôle même si était est encore incapable d'expliquer les causes de cette épidémie.
Tous les satellites dont les horloges sont touchées par cette épidémie, sont fonctionnels, avait ainsi assuré l'agence.
Aujourd'hui, Galileo est plus stratégique que jamais à l'heure ou la géolocalisation s'infiltre dans de nombreux domaines, transformation numérique oblige. « Quelque 10 % du PIB européen dépendent aujourd’hui des systèmes de positionnement par satellites, et d’ici à 2030, ce pourcentage pourrait grimper à environ 30 % », justifie le Cnes, l’agence spatiale française.


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jeudi 12 juillet 2018

Alphabet (Google) : les projets Loon et Wing deviennent des filiales indépendantes


Business : Le projet Loon concerne des ballons stratosphériques servant de relais diffuseurs pour l’Internet haut débit. Le projet Wing porte sur des drones de livraison.

X, la division de recherche et développement d’Alphabet (maison-mère de Google), vient d’annoncer que deux de ses projets phares allaient devenir des sociétés indépendantes. Il s’agit des projets Loon (rendu public en 2013) et Wing (2014). Loon est le système de diffusion d’Internet haut débit par un réseau de ballons stratosphériques pour desservir des zones mal ou non desservies. Le Kenya a récemment adopté cette solution pour faire de l’Internet rural. Wing est un programme de drones de livraison.
Les deux filiales vont conserver leur nom et poursuivre leur développement sur la même lancée. Wing sera dirigée par James Ryan Burgess tandis que Loon sera pilotée par Alastair Westgarth. Il n’est pour le moment pas fait mention de développement commercial concret pour ces deux projets.
En tout, la division X a déjà donné naissance à six filiales dont Waymo (voitures autonomes), Verily (sciences de la vie), Dandelion (géothermie) et Chronicle (cybersécurité). Alphabet possède désormais 15 filiales. (Eureka Presse)
 
 

Alphabet ferme Loon, son projet de ballons fournissant un accès à Internet

Alphabet met fin à son projet Loon, son projet de ballons fournissant un accès à Internet. Loon était un projet prometteur promettant une alternative aux antennes relais pour les zones reculées et difficiles d’accès, mais celui-ci ne serait finalement pas commercialement viable.

Alphabet, la société mère de Google, a lancé Loon en juin 2013, et Loon est devenue une entreprise indépendante au sein d’Alphabet en 2018. Le service Internet avait été lancé au Kenya en juillet dernier. Celui-ci était composé d’une flotte d’environ 35 ballons qui couvraient une zone d’environ 50 000 kilomètres carrés.


En 2017, Alphabet avait reçu l’autorisation de la Commission fédérale des communications américaine pour envoyer ses ballons Loon au-dessus de Porto Rico. Les ballons avaient permis aux habitants d’accéder à Internet après l’ouragan Maria.

Alphabet met fin à Loon, car son projet n’est pas viable

Loon devrait mettre fin à son service au Kenya, et les employés transférés vers d’autres entreprises d’Alphabet telles que Google. Selon le PDG de Loon, les ballons à hélium pouvaient rester des centaines de jours dans le ciel. De plus, les équipements de communication étaient capables d’assurer une couverture cellulaire sur une zone 200 fois plus grande que celle d’une antenne relais classique.

Cependant, un opérateur aurait dû acheter plusieurs ballons, chacun d’eux coûtant des dizaines de milliers de dollars, alors que ceux-ci n’ont qu’une durée de vie d’environ cinq mois. L’investissement était alors beaucoup trop élevé, et son intérêt remit en question par des projets comme Starlink.

L’intérêt croissant de SpaceX pour fournir un accès à Internet depuis l’espace a peut-être influencé la décision d’Alphabet d’abandonner Loon. En effet, Starlink est déjà disponible en bêta à 99 dollars par mois aux États-Unis. Le projet est ambitieux, puisque SpaceX compte envoyer environ 12 000 satellites dans l’espace, à un rythme de 120 par mois. L’entreprise américaine souhaite fournir une connexion de 100 Mbps à tous les utilisateurs.

Loon n’aura pas été un projet inutile, puisque selon Google, une partie de la technologie développée par Loon est déjà utilisée dans le projet Taara. Celui-ci vise à apporter une connexion Internet rapide et abordable à l’Afrique subsaharienne. Les ballons Loon avaient aussi pu être déployés au Peru après un tremblement de Terre de magnitude 8,0. Il avait coupé du monde certaines zones rurales.

Source : medium

 
REF.:

vendredi 1 juin 2018

P2P : BitTorrent Inc. a changé son nom pour Rainberry,..........le même mystère qu'Alphabet pour google ?



BitTorrent est sans aucun doute l'une des marques technologiques les plus reconnaissables du siècle. Il est donc surprenant que BitTorrent Inc. ait changé son nom pour Rainberry. Selon la compagnie, c'est strictement une «décision d'entreprise», mais une motivation plus détaillée fait défaut.
Fondé par l'inventeur BitTorrent Bram Cohen, BitTorrent Inc. est surtout connu pour son client torrent uTorrent, dont il a fait des millions au fil des ans.
Contrairement à la plupart des startups de partage de fichiers, la société a été bien financée dès le départ. La société de capital-risque Accel a été l'un des premiers investisseurs, dans un fonds qui comprenait également Facebook et Dropbox.
Cependant, au cours de la dernière décennie, BitTorrent Inc. ne s'est pas transformée en une entreprise de plusieurs milliards de dollars. La société a essayé divers nouveaux produits, services et modèles d'affaires, mais aucun n'a surpassé le succès qu'elle avait eu avec uTorrent.
Ces dernières années, les choses ont empiré. La société a été presque détruite en raison de pratiques de gestion douteuses, selon Cohen. Cependant, il semble que les eaux se soient calmées maintenant sous une nouvelle direction.
Au lieu de réinventer la roue, l'entreprise a promis de recentrer ses efforts sur ce qui a fait ses preuves, uTorrent. Une nouvelle version basée sur un navigateur du client populaire a été publiée récemment, et cela semble être l'un des principaux axes à l'avenir.
Il y a quelque chose de nouveau - BitTorrent Inc. a un nouveau nom. Bien qu'elle n'ait été publiée nulle part, la société anciennement connue sous le nom de BitTorrent Inc. est maintenant Rainberry Inc.
"Rainberry Inc est le nom officiel de la société; il a été changé vers le début de l'année 2017 », explique Jordy Berson, Chief Product Officer de Rainberry, à TorrentFreak. Il souligne que c'est une décision purement corporative et qu'aucune des marques de produits existantes ne changera.
"La meilleure façon d'y penser est que ce n'est pas sans rappeler la façon dont Alphabet Inc est le nom officiel de l'entreprise que la plupart des gens connaissent comme Google", ajoute Berson.
Il n'est pas rare que les entreprises changent de nom, mais le motif de leur motivation reste un mystère. Il doit y avoir une bonne raison pour laquelle Rainberry est préféré à BitTorrent, d'autant plus que cette dernière est une marque connue par des millions de personnes.
Alors que BitTorrent Rainberry Inc. ne doit pas une explication complète au public, il est remarquable que le changement de nom ait été tenu secret.
Rainberry n'a pas de site Web d'entreprise et n'est pas mentionné sur les sites Web officiels de BitTorrent.com ou d'uTorrent.com, par exemple. De plus, tous les employés de Rainberry lisent toujours BitTorrent Inc. comme leur employeur alors que Rainberry ne semble même pas exister sur Linkedin.
Le nom de Rainberry est assez unique aussi. Une recherche rapide sur Google n'apporte que quelques mentions. Cela inclut une offre d'emploi pour "Rainberry Inc f / k / a BitTorrent Inc" mais aussi une entreprise nommée "Rainberry Acquisition" qui a été formée il y a deux mois, coïncidant aussi à San Francisco ...


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