Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

Aucun message portant le libellé RFID. Afficher tous les messages
Aucun message portant le libellé RFID. Afficher tous les messages

jeudi 2 mai 2024

Caisses libre-service: est-ce déjà la fin?

 

Caisses libre-service: est-ce déjà la fin?

Par: Agence QMI| Publié le 24 avril 2024 à 18 h 48


Qu’on les aime ou non, les caisses libre-service ont envahi les magasins et les épiceries du Québec. Souvent aux prises avec des problèmes, des pannes ou simplement des articles qui ne sont pas reconnus adéquatement, on ne peut pas dire que la technologie est «parfaite» pour le consommateur. Eh bien selon un expert, la fin serait pour bientôt. 


Dans le balado de Mario Dumont, à QUB, le professeur émérite au HEC Jacques Nantel a expliqué que l’industrie du commerce au détail a déjà trouvé une solution bien plus efficace: la puce RFID. Et attention, ça risque de révolutionner notre façon de faire nos emplettes.




«La puce est grosse comme une tête d’épingle», a-t-il décrit.


Le professeur émérite Jacques Nantel explique à Mario Dumont pourquoi, bientôt, il n’aura plus besoin de faire la file au magasin pour payer à la caisse, à QUB:



Grâce à elle, fini les caisses. Pas seulement les caisses libre-service. Toutes les caisses. En fait, dès que vous passerez la porte de l’établissement avec l’article que vous souhaitez acheter, il vous sera automatiquement facturé sur votre compte ou sur votre carte de crédit, grâce à la géolocalisation.


Selon le professeur Nantel, l’industrie du commerce au détail n’a pas le choix de s’adapter en raison de la croissance constante du marché sur Internet. Il estime que, pour l’instant, la puce RFID est la technologie qui a le plus de chances de rendre l’expérience client la plus «virtuelle» possible.


REF.: https://www.tvanouvelles.ca/2024/04/24/caisses-libre-service-est-ce-deja-la-fin

mercredi 18 avril 2018

IBM dévoile le plus petit ordinateur du monde, pas plus gros qu’un grain de sel !




La marque IBM réussit l’impossible : développer l’ordinateur le plus petit de la planète. De la taille d’un grain de sel !
IBM dévoile le plus petit ordinateur du monde, pas plus gros qu'un grain de sel !
La taille de cet ordinateur d’IBM est exceptionnelle
Lors de la conférence Think 2018 à Las Vegas, l’entreprise américaine IBM a présenté un appareil tout à fait étonnant. La marque, qui a révolutionné l’univers informatique, frappe fort une nouvelle fois en dévoilant l’ordinateur le plus petit du monde. De la taille d’un grain de sel ! L’unité en question ne mesure que 1mm par 1mm. Elle intègre le processeur x86, utilisé par les premiers ordinateurs de bureau IBM dans les années 90.

IBM crée une unité complète minuscule pour limiter le vol et les contrefaçons

Ce « crypto-anchor » microscopique (ou ancre cryptographique) est un système complet avec processeur, mémoire, module de stockage et de communication. En fait, il s’avère être un dispositif anti-fraude. En effet, IBM souhaite proposer une nouvelle solution de lutte contre la fraude dans le monde du transport et de la logistique. Ainsi, ces mini-ordinateurs permettraient de vérifier l’authenticité d’un produit.
En prime, il est peu cher puisque sa production coûterait moins de 10 cents. Cet ordinateur pourrait donc être intégré dans n’importe quel objet, comme les étiquettes de prix ou l’emballage des produits. Avec ce petit grain de selIBM améliorerait ainsi la sécurité de la chaîne d’approvisionnement. « Il pourra surveiller, analyser, communiquer et même agir sur les données. « Il peut aider à vérifier qu’un produit a été manipulé correctement tout au long de son long voyage.« , a déclaré la société.
Encore au stade de prototypes, les unités serviront également à authentifier les produits achetés en ligne comme les aliments, les produits pharmaceutiques et les produits de luxe pour s’assurer qu’ils n’ont pas été altérés.  Utilisés en association avec une blockchain, ces petits ordinateurs assureront l’authenticité d’un objet depuis son point d’origine jusqu’à son arrivée entre les mains d’un client. En somme, IBM espère faire de son minuscule ordinateur le digne remplaçant des puces RFID.


REF.:

vendredi 7 octobre 2011

Le téléphone portable en guise de clé de voiture


Toulouse | France - Le téléphone portable en guise de clé de voiture
 
©Google.com

Un téléphone portable servant de clé de voiture et capable de vous guider jusqu'au véhicule dans un parking, technologie développée en première mondiale par l'équipementier allemand Continental, est expérimenté par la communauté urbaine de Toulouse.
«Vous téléchargez l'application sur votre mobile, vous réservez la voiture avec le téléphone intelligent ou votre ordinateur, vous présentez le téléphone devant le capteur situé sur la vitre, la porte se déverrouille et le logiciel vous permet de démarrer», a expliqué mercredi Luc Jansseume, responsable de l'innovation chez Continental Automotive France.
Les employés du Grand Toulouse expérimentent le système depuis mercredi sur une dizaine de voitures de la collectivité avec pour but de mieux utiliser la flotte.
Continental cible aussi les flottes des grandes entreprises, des grands loueurs de voiture et des entreprises qui mettent des voitures en libre-service comme Autolib' à Paris, la version automobile du Velib'.
Si l'automobiliste a du mal à retrouver son véhicule garé dans un parking ou dans une ville qu'il connaît mal, le système le guidera et lui fournira un descriptif de la voiture et sa plaque d'immatriculation, souligne M. Jansseume, qui a coordonné un consortium regroupant des PME, Bouygues et Renault.
Dans une application commerciale, le paiement peut se faire également à l'aide du téléphone intelligent.
Les entreprises ont investi 12 millions d'euros (17 millions $) dans l'élaboration de cette initiative baptisée Autopartage@Toulouse et ont reçu une aide de 4,5 millions de la part de l'État, qui avait lancé un appel à projet en 2010.
La technologie allie deux procédés: Radio Frequency IDentification (RFID, radio-identification) et Near Field Communication (NFC, communication en champ proche).
Le président de Continental Automotive France, Antoine Jouin, souligne que ce nouvel outil permettra à un loueur de voiture de disséminer sa flotte dans une ville, ou pour à une grande entreprise d'optimiser l'usage de ses véhicules et de réduire sa flotte.
Selon Continental, la nouvelle «technologie sans contact» pourrait se retrouver sur le marché en 2012/1013 et apparaître également sur les véhicules particuliers.


REF.:

samedi 16 juillet 2011

RFID: Les nouveaux passeports biométriques seront plus sécuritaires

Passeport à puce - Les nouveaux passeports biométriques seront plus sécuritaires
 
©Shutterstock/Agence QMI

Passeport Canada ne fournira pas d’étui de protection pour ses nouveaux passeports biométriques parce que la technologie canadienne est plus sécuritaire que celle des États-Unis.
La compagnie Canadian Bank Note Company (CBN), basée à Ottawa, a annoncé mercredi une entente avec Passeport Canada pour la fabrication des passeports électroniques qui seront délivrés aux Canadiens en 2012.
Une puce RFID (Radio Frequency Identification) va stocker plusieurs informations comme le nom, le sexe, la date de naissance, le numéro de passeport, la photo numérique du voyageur ainsi qu’une signature propre au pays qui prouve que le passeport a été délivré par le gouvernement du Canada.
Mark Houlton, le vice-président du développement commercial de CBN en Amérique du Nord, a déclaré que la communauté internationale s’est tournée vers les passeports électroniques, à cause de la facilité avec laquelle ils peuvent être authentifiés.
Les États-Unis délivrent des passeports similaires depuis 2006, mais les experts ont démontré que les puces pouvaient être piratées. En effet, les criminels peuvent utiliser certains lecteurs disponibles sur internet, afin de voler des données personnelles contenues dans la puce.
Cette révélation a forcé le gouvernement américain à émettre des étuis de protection pour les détenteurs de passeport.
En revanche, la technologie canadienne serait encore plus sécuritaire, selon M. Houblon.
«Il y a toute une gamme de sécurité conçue pour la puce dont je ne suis pas en mesure de vous parler, a-t-il indiqué. Mais il y a une technologie complexe qui permet de protéger le document de l’écrémage (copie non autorisée de données électroniques)».
Mark Houblon a par ailleurs ajouté que son entreprise fournirait des pochettes de protection pour passeport biométrique si Ottawa faisait la demande.
CBN fournit des étuis de protection plastifiés pour passeports à des pays comme la Nouvelle-Zélande, l'Islande et le Togo. Elle a aussi été choisie pour la fabrication des passeports électroniques des diplomates canadiens dans le cadre d'un projet pilote.
Béatrice Fénelon, la porte-parole de Passeport Canada, a expliqué que les lecteurs illégaux doivent se trouver à 10 cm et moins du passeport électronique ouvert à la page 2 pour pouvoir pirater la puce.
«Personne ne peut lire vos informations si votre passeport est dans votre poche ou votre valise», a-t-elle dit. Pour cette raison, Ottawa de prévoit pas fournir d’étuis de protection.
«L'ajout de cette puce pour le passeport canadien permettra d'accroître la sécurité, d’assurer une meilleure protection contre la falsification et de réduire le risque de fraude», a-t-elle dit.

REF.: RFID,