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Imaginez que vous êtes peinard à une terrasse en plein centre-ville
et que vous êtes en train de bosser tranquillement sur votre laptop
tournant sous Linux.
Je sais qu’on est en février, qu’il fait froid et que je parle de
Linux, mais faites marcher votre imagination, apprenez à rêver un peu 😉
Et là paf catastrophe ! Un gars arrache votre portable et se barre en
courant avec … et comme vous ne faites jamais de sport vous n’essayez
même pas de le rattraper. D’autant plus que vous savez que le voleur ne
pourra pas exploiter vos informations. Pourquoi ? Parce que vous aviez connecté un câble Buskill à ce dernier pardi !
Ce câble USB s’attache d’un côté au port USB de la machine et de
l’autre à vous-mêmes (votre ceinture, votre sac ou une partie de votre
corps si vous aimez vivre dangereusement). Il permet d’amorcer une procédure automatique dès qu’il est déconnecté de l’ordinateur.
Cette procédure peut aussi bien être la destruction de certains
fichiers ou dossiers sensibles ou simplement l’extinction du système (si
vous avez un mot de passe puissant, le voleur devra alors le trouver
pour accéder à votre contenu).
Bon vous allez me dire « oui, mais ça ne change pas grand-chose ou final, mon ordi est quand même volé ». C’est vrai.
Sauf que dans certains cas précis cela pourrait être pire qu’un
simple vol de matériel. Comme mentionné plus haut si vous avez du
contenu confidentiel/pro que vous n’aimeriez pas voir fuiter sur la
toile, et que vous avez un backup quelque part, les faire disparaitre
automatiquement ne va pas vous causer trop d’ennuis. Il suffira de
récupérer le backup sur votre nouvelle machine. Ou encore si au moment
du vol vous étiez connecté à votre compte bancaire, à un exchange crypto, votre compte Insta ou ce genre de services ultra important … vous déconnecter et éteindre la machine vous évitera bien des déboires.
L’idée nous vient d’un administrateur système Linux, Michael Altfield,
qui a mis les mains dans le cambouis pour développer un script udev qui
répondrait à ses besoins. Pour ceux qui ne le savent pas udev est le
sous-système Linux qui détecte notamment les périphériques connectés à
l’ordinateur, dans le cas présent le câble USB. Dès que le signal ne
répond plus, la procédure est lancée, simple.
Après il y a une mauvaise et une bonne nouvelle. La mauvaise c’est
que ce câble n’est pas en vente. La bonne c’est que tout le monde peut
s’en fabriquer un pour à peine 20 à 40€. Le créateur expose toute la
manip à suivre sur son site.
Si vous voulez tenter le travail, il vous faudra uniquement une
petite clé USB, un cordon, un adaptateur magnétique et un mousqueton (ça
renforce le côté McGyver). Plus un éventuel adapteur USB-A ou USB-C si
votre laptop ne dispose pas d’USB classique.
L’adaptateur magnétique sert à déconnecter facilement le câble de
l’ordi et éviter que vous ne soyez trainé au sol pendant plusieurs
mètres 😉
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L'année dernière a été la plus importante en matière de violation de données, avec 2,6 milliards d'enregistrements compromis1. Les entreprises ont besoin de dispositifs sécurisés qui protègent les données sensibles et se protègent des menaces en ligne et basées sur l'identité. Lenovo ouvre la voie en matière de sécurité informatique - avec des résultats impressionnants. Selon CVEDetails.com, Lenovo présentait au premier semestre 2018 moins de vulnérabilités et de risques que les principaux concurrents.2 Les consommateurs comme les entreprises peuvent bénéficier de ThinkShield de Lenovo, une approche révolutionnaire pour sécuriser les périphériques tout au long de leur cycle de vie.
ThinkShield de Lenovo sécurise les périphériques tout au long du cycle de vie - Du développement de BIOS et de microprogrammes sécurisés aux fonctionnalités telles que les écrans de sécurité ThinkPad Privacy Guard et les premiers obturateurs de caméras pour ordinateurs portables du secteur, Lenovo intègre une protection à ses produits. - La sécurité ne s’arrête pas à la conception: Lenovo dispose d’un contrôle unique sur sa chaîne logistique mondiale, qui définit des normes et des règles de sécurité strictes pour ses installations de fabrication. - Le partenariat stratégique de Lenovo avec Intel® leur a permis de s’aligner sur la chaîne logistique transparente d’Intel, qui permet aux clients de localiser la source de chaque composant de leur nouveau système. - Lenovo supervise la sécurité des fournisseurs qui construisent des composants intelligents, en veillant à ce qu'ils se conforment aux rigoureuses directives et aux meilleures pratiques du programme Trusted Supplier. Pour plus de transparence, Lenovo Quality Engineers peut auditer les fournisseurs à tout moment.
ThinkShield de Lenovo protège l’identité et les informations d’identité des utilisateurs - Membre fondateur de FIDO®, Lenovo propose les premiers et les seuls authentifiants certifiés FIDO®, ainsi que la technologie des empreintes digitales Match-on-Chip, pour offrir aux entreprises un moyen plus sûr et plus sûr de protéger l’identité de leurs employés. - Un niveau d'intégration sans précédent avec Intel Authenticate (jusqu'à 7 facteurs d'authentification) offre davantage de sécurité et de flexibilité que les fournisseurs proposant moins de méthodes d'authentification. - La protection Smart USB basée sur le BIOS permet aux professionnels de l’informatique de configurer les ports USB de manière à répondre aux claviers et aux périphériques de pointage, tout en garantissant la sécurité des PC des employés.
ThinkShield de Lenovo protège les utilisateurs en ligne - Lenovo WiFi Security, en partenariat avec Coronet, détecte les menaces et avertit les utilisateurs dès qu'ils sont sur le point de se connecter à des réseaux sans fil non sécurisés. - La technologie BUFFERZONE® 3 isole les menaces en ligne avant qu'elles n'infectent l'ensemble de l'entreprise. - Lenovo Endpoint Management, optimisé par MobileIron®, offre un moyen simple et sécurisé d’unifier la sécurité du cloud et des points de terminaison sur plusieurs périphériques.
ThinkShield de Lenovo protège les données des utilisateurs - La technologie de persistance Absolute® fournit aux administrateurs informatiques une connexion bidirectionnelle fiable à tous leurs périphériques afin qu'ils puissent sécuriser les points finaux, évaluer les risques, appliquer à distance les mesures de sécurité aux périphériques des employés et réagir aux incidents de sécurité. - Une fois que les périphériques ont atteint la fin de leur cycle de vie, Lenovo sécurise les données potentiellement sensibles en effaçant les disques et en recyclant les pièces en toute sécurité. - Lenovo propose un service payant Keep Your Drive qui garantit que les informations sensibles ne quittent jamais les mains des clients.
Technologie : Cette
plateforme devrait arriver sur le marché en 2019. Elle pourrait équiper
les smartphones mais aussi des PC ultraportables tournant sous Windows.
Et encore les appareils de domotique et les voitures connectées.
Le spécialiste des processeurs ARM annonce sa prochaine plate-forme.
Son nom : Cortex-A76. Cette plateforme devrait arriver sur le marché en
2019. Elle pourrait équiper les smartphones mais aussi des PC
ultraportables tournant sous Windows. De quoi proposer toutes les
fonctionnalités de Windows 10 ? Rien n'est moins sûr pour l'heure !
Ce
SoC repose sur l’Armv8-A (Harvard), et la puce propose un cœur 64 bits.
Il se complète par un GPU Mali-G76 et un VPU Mali-V76. Économies
d’énergie (gain de 40 % par rapport à la génération précédente) et
amélioration des performances (35 %) sont au programme, même si cela peu
sembler paradoxal. Cette plate-forme est basée sur la technologie
DynamIQ. Dans le détail, chaque A76 propose 128 Ko de cache L1 et 256 ou 512 Ko de cache N2. Et 1280 entrées et partage jusqu’à 4 Mo de L3.
Par ailleurs, ARM présente sa puce graphique Mali-G76. Une puce
qui propose deux fois plus de voies d’exécution que la puce précédente,
la G72. Le VPU Mali-V76 décode lui la vidéo 8K à 60 images par seconde.
Smartphone, domotique, voiture connectée
Côté usages, ARM assure que pour les smartphones l'intégration de ce
SoC devrait apporter plus de performance et un meilleur rendement. Mais
ARM pense que cet équipement pourrait être également intégré aux
appareils de domotique, avec de nouveaux niveaux de performances pour
ces appareils dont l'objectif est de connecté la maison et de la rendre
"plus intelligente".
Côté ordinateurs portables, ARM assure que
cette nouvelle technologie doit permettre d'alimenter "ordinateurs
portables et Chromebooks". Enfin, les voitures connectées devraient
bénéficier également du produit.
Ultra
compacts, les nouveaux SSD M.2 bénéficient de l’interface NVMe pour
passer la barrière des 600 Mo/s. Nous avons testé pour vous cinq modèles
populaires.
Les SSD 2,5 pouces sont presque morts ! Place aux modèles M.2
et plus particulièrement à ceux dotés d’une interface NVMe
(Non-Volatile Memory Express). Cette dernière permet de s’affranchir de
la limite des 600 Mo/s de l’interface SATA (Serial ATA) utilisée
actuellement pour les disques durs intégrés aux ordinateurs grand
public. Ainsi, les SSD M.2 NVMe sont capables d’offrir des débits
supérieurs à 3000 Mo/s !
Des SSD prêts à l'emploi
Leur installation est très simple, car ils se présentent sous la
forme d’une petite carte (22 x 80 mm en général) à insérer dans un
connecteur spécifique de la carte mère. Une vis assure en général la
fixation du SSD et il faut juste veiller à ce que le Bios de la carte
mère soit compatible, ce qui est en général le cas sur les machines
récentes telles que les ordinateurs portables ou les mini PC. En outre,
Windows 10 est doté des pilotes nécessaires pour assurer le
fonctionnement des SSD M.2 NVMe, même s’ils ne sont pas forcément
optimisés.
Des écarts importants dans les débits
Nous avons testé cinq modèles M.2 NVMe et constaté de nombreux écarts
de performances. Ces différences apparaissent tout d’abord dans les
débits et dépendent de la capacité (plus elle est grande, plus le SSD
est rapide), du type de mémoire flash (la mémoire TLC est moins chère à
produire et moins véloce que la mémoire MLC), mais aussi de la taille
des fichiers. Ainsi, les meilleurs débits sont obtenus (voir ci-dessous)
avec les tests de lecture et d’écriture séquentielles, ce qui
correspond au transfert de fichiers de grande taille, par exemple
de vidéos. Dans ce domaine, le Black NVMe SSD de WD fait des étincelles,
suivi par le 960 Pro de Samsung.
Débit en Mo/s de chaque SSD testé, en fonction du type d'utilisation
A l’inverse, les SSD montrent leurs
faiblesses avec des petits fichiers de 4 Ko, sauf s’ils reçoivent de
nombreuses demandes de la part des applications. Ils stockent alors ces
demandes dans une file d’attente pour les organiser de façon optimale.
Ainsi, le test 4K Q32 du programme CrystalDiskMark met en œuvre une file
d’attente de 32 demandes (Queue en anglais). Les SSD NVMe sont
également très bien conçus pour un environnement multitâche comme le
montre le test 4K multithread (Q8T8) avec une file d’attente de 8
demandes et 8 tâches exécutées en parallèle.
Nous avons également utilisé le test AS SSD pour mettre en avant la
capacité des SSD à gérer un grand nombre d’opérations d’entrées/sorties,
un critère important pour une utilisation dans un environnement
multitâche (voir tableau ci-dessous). Les mesures en lecture avec une
seule tâche, puis avec 64 tâches (64 Thrd) mettent en avant la
technologie Optane que Intel utilise dans son 800P. On note également le
bon score du 960 Pro de Samsung dans cette épreuve.
Ci-dessus, nombre d’opérations d’entrées/sorties par seconde pour chaque SSD
Il faut télécharger les logiciels
Les constructeurs ne livrent en général aucun logiciel avec leurs SSD
mais une recherche sur leurs sites Web révèle qu’ils proposent en
téléchargement un programme de maintenance, parfois appelé boîte à
outils. Très pratique, ce programme permet de connaître l’état du SSD,
d’effectuer un effacement sécurisé et surtout de mettre à jour son
firmware (microcode). Cette mise à jour est importante car elle corrige
des bugs du SSD et peut parfois améliorer ses performances.
Certains constructeurs proposent également des
logiciels de migration de données (clonage) pour transférer facilement
l’intégralité du disque dur (OS, applications, données) sur le SSD.
Voici les cinq SSD M.2 NVMe que nous avons testés.
Samsung 960 Pro : notre coup de coeur
Sur le papier, le 960 Pro est le SSD le plus puissant
de la sélection grâce à l’utilisation de mémoire flash MLC (Multi Level
Cell) qui stocke deux bits de données par cellule. Ainsi, ce modèle
monte à 3446 Mo/s en lecture et 2124 Mo/s en écriture pour le test
séquentiel de CrystalDiskMark. Il se révèle également véloce pour le
transfert de fichiers de 4 Ko. L’utilisation de mémoire MLC permet
d’offrir une endurance élevée (800 To écrits au minimum pendant la vie
du SSD). Samsung soigne l’offre logicielle en proposant de télécharger
un programme de gestion du SSD, des pilotes optimisés et même un outil
de clonage très facile d’emploi pour transférer Windows 10, les applis
et les données. Capacité testée : 1 To Autres capacités disponibles : 512 Go, 2 To Type de mémoire flash : V-NAND MLC Mémoire cache : 1 Go DDR3 Vitesse annoncée : jusqu’à 3500 Mo/s en lecture et 2100 Mo/s en écriture Endurance annoncée : 800 TBW (To écrits) Garantie : 5 ans Logiciels à télécharger : Samsung Magician, pilotes NVMe Samsung, Data Migration Tool Prix :environ 550 euros
Samsung 960 EVO : le meilleur rapport qualité-prix
Le 960 EVO est une bonne affaire car il offre des
débits élevés pour les fichiers de grande taille (3422 Mo/s en lecture
et 1751 Mo/s en écriture sous CrystalDiskMark), pour un prix très
raisonnable (190 euros pour 500 Go). Pour arriver à ces résultats,
Samsung met en œuvre un système de cache très performant. En revanche,
l’utilisation de mémoire TLC (Triple Level Cell), qui stocke trois bits
de données par cellule, engendre une endurance réduite (seulement 200 To
écrits pour la version 500 Go). Comme le 960 Pro, le 960 EVO bénéficie
d’une offre logicielle complète à télécharger sur le site de Samsung,
avec le programme de gestion Samsung Magician, des pilotes NVMe
optimisés, et un outil de clonage des données. Capacité testée : 500 Go Autres capacités disponibles : 250 Go, 1 To Type de mémoire flash : V-NAND TLC Mémoire cache : 512 Mo DDR3 Vitesse annoncée : jusqu’à 3200 Mo/s en lecture et 1800 Mo/s en écriture Endurance annoncée : 200 TBW (To écrits) pour 500 Go et 400 TBW pour 1 To Garantie : 3 ans Logiciels à télécharger : Samsung Magician, pilotes NVMe Samsung, Data Migration Tool Prix :environ 190 euros
Intel Optane SSD 800P
Le SSD 800P est un modèle à part car il utilise la technologie Optane d’Intel, ainsi que la mémoire flash 3D XPoint
développée avec Micron. Hélas cette technologie se révèle coûteuse et
Intel ne propose que deux capacités pour son SSD M.2, 58 Go et 118 Go,
vendues au prix fort. C’est dommage car le 800P offre de bonnes
performances si on le compare à des SSD de capacité équivalente. Il se
révèle en particulier très à l’aise avec les petits fichiers de 4 Ko.
Capacité testée : 118 Go Autre capacité disponibles : 58 Go Type de mémoire flash : 3D XPoint Mémoire cache : nc Vitesse annoncée : jusqu’à 1450 Mo/s en lecture et 640 Mo/s en écriture Endurance annoncée : 365 TBW (To écrits) Garantie : 5 ans Logiciels à télécharger : Boîte à outils Intel SSD Prix :environ 250 euros
Kingston A1000
Un SSD M.2 NVMe d’entrée de gamme ? C’est ce que
propose Kingston avec son A1000 dont le tarif est très attractif. Ainsi,
le modèle 480 Go ne coûte que 160 euros, ce qui est plutôt une bonne
affaire. Certes, les performances ne sont pas exceptionnelles pour du
NVMe (1608 Mo/s en lecture et 1037 Mo/s en écriture mesurés avec
CrystalDiskMark), mais elles sont tout de même nettement supérieures à
celles d’un SSD SATA. Le SSD A1000 est livré sans logiciel, mais
Kingston propose un coupon d’activation et un lien de téléchargement
pour utiliser le logiciel de clonage Acronis True Image HD. Capacité testée : 480 Go Autres capacités disponibles : 240 Go, 960 Go Type de mémoire flash : 3D TLC Mémoire cache : nc Vitesse annoncée : jusqu’à 1500 Mo/s en lecture et 900 Mo/s en écriture Endurance annoncée : 300 TBW (To écrits) pour 480 Go et 600 TBW pour 960 Go Garantie : 5 ans Logiciels à télécharger : Kingston SSD Manager, Acronis True Image HD Prix :environ 160 euros (300 euros pour 960 Go)
WD Black NVMe SSD
Avec l’achat de SanDisk, Western Digital dispose
désormais d’une expertise dans les systèmes de stockage à base de
mémoire flash. Il propose sous sa marque WD un SSD très puissant,
capable de rivaliser avec les modèles de Samsung. Doté de mémoire flash
TLC, le Black NVMe SSD fait des étincelles dans sa version 1 To et
atteint des débits de 3442 Mo/s en lecture séquentielle et surtout 2855
Mo/s en écriture séquentielle sous CrystalDiskMark. Il obtient également
de bons résultats pour les petits fichiers. Vous pouvez télécharger sur
le site du constructeur le programme de gestion SSD Dashboard, ainsi
que le célèbre True Image d’Acronis pour transférer le contenu de votre
ancien disque dur. Capacité testée : 1 To Autres capacités disponibles : 250 Go, 500 Go Type de mémoire flash : 3D TLC Mémoire cache : 1 Go DDR3 Vitesse annoncée : jusqu’à 3400 Mo/s en lecture et 2800 Mo/s en écriture Endurance annoncée : 600 TBW (To écrits) Garantie : 5 ans Logiciels à télécharger : Western Digital SSD Dashboard, Acronis True Image WD Edition Prix :environ 459 euros
Le nouveau Chromebook est disponible pour le moment aux États-Unis et au Royaume-Uni.
Photo AFP / Google
Samsung et Google présentent leur dernier Chromebook,
un netbook de 11,6 pouces reposant sur le système d'exploitation Chrome
et les applications de Google, proposé à moins de 250 $.
Ce
nouveau Chromebook possède un écran de 11,6 pouces (1366 x 768 pixels)
et est équipé d'une puce ARM double-coeur de nouvelle génération, de 2
Go de mémoire vive et de 16 Go de stockage flash, le tout sous un design
plus léché, inspiré par la vague des ultrabooks.
Pesant 1,1 kg,
ce nouveau Chromebook se lance en moins de 10 secondes et dispose d'une
autonomie moyenne de 6h30. De plus, chaque acheteur disposera pendant
deux ans de 100 Go, mis à sa disposition gratuitement sur Google Drive.
La vraie surprise provient de son prix, puisque ce Chromebook est proposé à seulement 249$.
Il n'est disponible pour le moment qu'aux États-Unis et au Royaume-Uni.
Découvrez le nouveau Chromebook:
Réactions des internautes
Esthétiquement parlant, les internautes trouvent qu'il rappelle fortement le MacBook Air d'Apple.
Alors
que les utilisateurs de Google+ ont tendance habituellement à soutenir
les produits de la firme de Mountain View, aujourd'hui ils n'hésitent
pas à critiquer le Chromebook.
L'utilisateur Daniel Young, écrit,
par exemple: «mais c'est le Macbook Air, conçu par Samsung», pendant
que Jose Melo poste un lien vers un acticle intitulé «Le nouveau
ChromeBook de Google ressemble au MacBook Air».
Google figure
aussi parmi les tendances fortes du jour sur son réseau social depuis la
mise à jour du service de cartographie Google Maps.
Cette
nouvelle version a ajouté 25 millions d'«empreintes» de bâtiments dans
des villes américaines comme Houston, Los Angeles, Chicago, Miami et San
Francisco.
Ainsi, on peut visualiser les contours des bâtiments vus de haut, ce qui permet de se situer avec précision dans les rues.
Deux nouveaux ordinateurs «légers» configurés pour Chrome
SAN FRANCISCO - Le géant coréen de l'électronique Samsung a lancé mardi
deux nouveaux ordinateurs personnels «légers» fonctionnant avec le
système d'exploitation Chrome de Google, qui utilise le nuage ou
l'informatique externalisée plutôt que le disque dur de l'appareil.
Dernier d'une série d'ordinateurs portables fonctionnant sous Chrome et
lancés l'an dernier par Google, l'ordinateur de bureau est baptisé
Chromebox Series 3, et l'épaisseur de son unité centrale ne dépasse pas
3,3 cm.
Une version portable, le Chromebook Series 5, dispose d'un écran de 31 cm, pèse 1,48 kg et mesure moins de 2,5 cm d'épaisseur.
«C'est la prochaine étape de notre voyage vers une expérience
informatique toujours nouvelle centrée sur la vitesse, la simplicité et
la sécurité», a commenté le directeur des produits de Google, Caesar
Sengupta, cité dans le communiqué.
Les deux ordinateurs sont équipés de processeurs Intel, d'un disque dur de 16 Go et d'une connexion internet sans fil intégrée.
Le Chromebox sera vendu 330 $ et disponible par internet aux États-Unis
et au Royaume-Uni y compris sur Amazon.com, NewEgg.com et BestBuy.com.
Il devrait être lancé dans d'autres pays dans les semaines à venir.
Le Chromebook Series 5 Wi-Fi sera vendu à 450 $ et une version 3G sera disponible à 550 $.
Google a construit son système d'exploitation Chrome pour concurrencer
le logiciel d'exploitation Windows, au coeur de l'empire des logiciels
Microsoft.
La société AU Optronics a mis au point un ordinateur portable de 14 pouces à rechargement solaire. Son partenaire dans ce projet n'est autre que SunPower, le plus grand fabricant de cellules photovoltaiques aux Etats-Unis. L'ordinateur sera présenté mi-novembre au Japon. Sa particularité : il est équipé d'un capteur solaire. Celui-ci occupe tout l’espace réservé au clavier. Pour la saisie, AU Optronics a opté pour un clavier et un pavé tactile sensitifs. Transparents, ils laissent passer la luminosité qui peut ainsi atteindre le capteur solaire.
Cette technologie ne prend pas en charge toute l’énergie de l’ordinateur, "mais dans le futur, l'efficacité de la charge augmentera avec la qualité des cellules solaire", explique Katie Chen, représentante taïwanaise d'AUO . Le prototype actuel permet de réduire de 23 % la consommation de l’ordinateur sur batterie. Précisons qu’une telle installation ne défigure pas la machine. Chaque plaque ne mesure que 2,1 millimètres d’épaisseur.
TAIPEI - Google a annoncé mardi que son système d'exploitation Chrome OS serait exclusivement réservé aux ordinateurs portables et qu'il ne prévoyait pas dans l'immédiat de l'adapter pour les téléphones mobiles et les tablettes ou de le fusionner à Android, qui équipe les téléphones intelligents.
Le moteur de recherche sur internet tente une incursion dans le segment des PC dominé par Microsoft avec son système d'exploitation Windows qui équipe près de 90% des ordinateurs vendus dans le monde.
Sundar Pichai, vice-président de Google responsable de Chrome, a déclaré en conférence de presse au salon informatique Computex à Taipei que le nombre d'utilisateurs du navigateur internet du groupe avait doublé au cours de l'année dernière pour atteindre 160 millions.
«Chrome OS a été conçu pour des ordinateurs de différentes formes, mais nous sommes pour l'instant entièrement concentrés sur les portables. Nous n'avons pas d'autres projets en ce moment», a déclaré Sundar Pichai, en réponse à une question sur la disponibilité de Chrome OS pour les tablettes.
Les PC portables fonctionnant sous Chrome OS et fabriqués par Samsung Electronics et Acer seront mis en vente à partir de juin. Ils viendront alors concurrencer les ordinateurs conçus par Apple et ceux équipés du système Windows de Microsoft.
À la différence des systèmes d'exploitation traditionnels, Chrome OS est un système essentiellement conçu autour du navigateur du même nom et ne nécessite pas l'installation classique des applications pour accéder par exemple à un traitement de texte ou une feuille de calcul.
Certains analystes estiment qu'il faudra du temps à Google pour bousculer les systèmes d'exploitation pour PC en place, en raison des énormes investissements à prévoir dans le développement logiciel et le marketing, soulignant notamment le risque pour Chrome OS de se retrouver pris en tenailles entre les téléphones intelligents et les ordinateurs.
La croissance rapide d'Android, le système d'exploitation pour mobile de Google, avait amené certains observateurs à imaginer que le géant de l'internet pourrait fusionner ses deux systèmes d'exploitation.
À quoi ressemblera l’ordinateur du futur? Même si on parle beaucoup des ordinateurs tablettes avec lancement du iPad 2, Motorola affirme qu’il pourrait ressembler au téléphone Atrix.
Ce téléphone intelligent Android doté du processeur le plus puissant a ce jour, avec un Go de mémoire vive, pour permettre à plusieurs applications de fonctionner rondement en même temps. Mais malgré toute cette puissance,pitonner sérieusement avec un clavier virtuel n'est pas agréable. TRANSFORMATION
Mais il suffit de poser le Atrix dans une base Lapdock pour le transformer en un ordinateur portable complet. Le Atrix sert de disque dur, de processeur et de mémoire vive : le Lapdock n’est qu’un écran et un clavier. NAVIGUER EN PLEIN ÉCRAN
En quelques secondes, une interface adaptée appelée Webtop apparaît dans l'écran de 11,6 pouces du Lapdock, pas l’écran du téléphone agrandi. Il est alors agréable de naviguer dans internet avec Firefox, avec la connexion de son téléphone cellulaire ou une connexion WiFi.
On peut aussi visionner des vidéos, même Tou.tv. Et grâce au clavier, il est possible de composer des courriels, des messages Facebook et des textes plus longs. L'utilisation normale du téléphone n'est pas affectée; on peut recevoir et faire des appels mains libres. RECHARGE ET USB
Mais le plus gros avantage, c'est qu'il n'est pas nécessaire d'attendre que ses données soient transférées pour les consulter, puisque tout reste dans son téléphone.
La base a aussi deux ports USB pour ajouter simplement des fichiers dans son téléphone, sans le relier à un ordinateur. Une base multimédia est aussi offerte, qui permet de transformer son téléphone en centre de divertissement numérique, pour voir des vidéos, des photos et des vidéos dans son téléviseur. EMPREINTE DIGITAL Une fonction amusante du Atrix : son bouton de démarrage est aussi un lecteur d'empreinte digitale, qu'on peut utiliser pour le déverrouiller, simplement en y passant le doigt. Mais ce n'est pas 100% précis, il faut souvent passer le doigt plus d’une fois.
Est-ce que dans le futur, notre téléphone sera notre seul ordinateur ? Dur à dire. Mais en ce moment, il faut acheter le Lapdock (329,95$), qui est aussi cher qu'un netbook complet, avec le Atrix, qui est offert à partir de 169,95$ avec entente de trois ans chez Bell. Si le Lapdock était offert avec le téléphone, ce serait beaucoup plus alléchant... Note: au moment d'écrire ces lignes, on ne pouvait pas taper d'accents français avec le Lapdock. Motorola devrait apporter un correctif sous peu.
Le site web d'Apple vient de dévoiler les nouveaux modèles complétant sa nouvelle gamme de MacBook Pro. Au menu de cette gamme d'ordinateurs haut de gamme: des processeurs quadricoeurs, l'architecture Sandy Bridge d'Intel et la technologie Light Peak.
Apple a présenté trois versions de MacBook Pro: de 13 pouces, de 15 pouces et de 17 pouces. Ils embarquent des processeurs Intel Core i5 et i7 en version double coeur et, pour la toute première fois, aussi en version quadricoeur.
13poucesdès1249$
Deux modèles de MacBook Pro de 13 pouces existent.(1,249$) Ils sont dotés de processeurs, à architecture Sandy Bridge, Intel double cœur i5 cadencé à 2,3 GHz ou de l'Intel double coeur i7 (2,7 GHz). Apple indique sur son site web que ces modèles sont jusqu'à deux fois plus rapides que la génération précédente. Alors que la mémoire vive est de 4 Go (1333 MHz), le disque dur peut avoir une capacité de 320 Go ou de 500 Go. Sa résolution est toujours de 1280 x 800 p et l'ordinateur intègre la solution graphique Intel HD 3000.
LesMacBookPro15poucessevendront1849$
Ce modèle 15 pouces a 1849$ se décline aussi en deux versions, se distinguant au niveau de la capacité du disque dur: l'un de 500 Go et l'autre de 750 Go. Les deux sont dotés d'une mémoire vive de 4 Go (1333 MHz) et fonctionnent grâce à un processeur Intel quadricoeur i7 à 2,3 GHz. La carte graphique est une AMD 6750 et le lecteur de cartes mémoire SDXC équipe ces deux modèles.
Les17poucessevendrontàpartirde2499$
Comme dans le cas des modèles de 15 pouces, le 17 pouces(2499$) est équipé d'un processeur Intel i7 quadricoeur, mais celui-ci est cadencé à 2,2 GHz. Doté de 4 Go de mémoire vive (1333 MHz) et de 6 Go en cache, il peut se fier à un disque dur de 750 Go. Ces modèles embarquent aussi une carte graphique ATI Radeon HD 6750M de 1 Go.
Finalement, Apple a doté ses MacBook Pro de la technologie Light Peak, qui change de nom pour l'occasion en devenant Thunderbolt. Ce dernier pourrait atteindre des vitesses de transfert de l'ordre de 10 Gb/s.
De plus, ces nouveaux ordinateurs haut de gamme intègrent une webcam HD, compatible avec la vidéoconférence FaceTime HD d'Apple, qui présente une résolution qui serait jusqu'à trois fois plus importante que celle de la génération précédente.
L'ensemble des modèles de MacBook Pro est certifié Energy Star 5.0 et EPEAT Gold et présentent une autonomie, en mode Wi-Fi activé, de 7 heures. Les MacBook Pro sont munis de Mac OS X Snow Leopard et de la suite iLife d'Apple.
Mise à jour: Intel a confirmé que sa technologie Thunderbolt sera exclusive à Apple jusqu'en 2012.
Intel vient enfin de lancer la première déclinaison commerciale du concept Light Peak : la technologie Thunderbolt !
Intel avait dévoilé sa technologie Light Peak dans le cadre de l'IDF 2009. Cette technologie semblait prometteuse, mais sa mise en place nous paraissait alors problématique, pas tant pour des raisons techniques que pour des raisons commerciales. Le géant de Santa Clara nous a convié hier à une conférence de presse au cœur de San Francisco. Il y a présenté la première déclinaison commerciale de Light Peak, connue sous le nom de Thunderbolt. Cette interface du futur est disponible dès aujourd'hui dans la nouvelle génération de MacBookPro, lancée en parallèle par Apple. Ces ordinateurs portables inédits débarquent alors que la firme de Cupertino s'apprête à dévoiler son iPad 2, également à San Francisco.
Revenons à nos moutons. Light Peak est une technologie qui a été développée pour répondre à plusieurs problèmes, ou tout du moins, des paradoxes. Les utilisateurs consomment toujours plus de contenus, et ils veulent accéder à ces médias via des appareils toujours plus compacts. Dans le même temps, l'industrie est toujours incapable de limiter le nombre de câbles qui fédère la vie numérique en 2011. Light Peak devait donc être une interface optique ultra-rapide, supportant de multiples protocoles. Une façon simpliste de définir cette technologie aurait été de la considérer comme le câble ultime des stations d'accueil.
Pour une multitude de raisons (la principale étant le coût), l'option optique n'a pas été choisie pour cette première déclinaison commerciale qui se contente donc d'une paire de cuivres. Le nombre de protocoles a également été réduit à deux : PCI Express et DisplayPort. Thunderbolt adopte d'ailleurs le connecteur DP. Pour profiter de cette nouvelle interface, il faudra cependant disposer d'une chaine entièrement compatible (ordinateur, câbles et périphériques). Intel propose donc un contrôleur qui vient se positionner derrière le chipset et le processeur, auquel il se connecte à la fois via un lien PCIe x4 et par un lien DisplayPort (ce dernier peut également provenir d'une carte graphique).
Au final, Thunderbolt va donc « sortir » de l'ordinateur l'interface PCI Express. Un périphérique compatible avec cette technologie nécessite donc simplement un contrôleur adapté (SATA vers PCIe par exemple). Aucun stack/pilote n'est nécessaire. Les latences sont réduites au strict minimum, de même que la consommation CPU. Le contrôleur Thunderbolt se chargera également de séparer les liens DisplayPort et PCI Express. Cette puce offre canaux bi-directionnel de 10 Gb/s (contre 5 Gb/s pour le SuperSpeed USB 3.0). Il est possible de chaîner plusieurs périphériques les uns à la suite des autres, en sachant que la longueur maximale d'un câble Thunderbolt sera d'environ 3 mètres.
En matière de performances, Intel nous a fait une petite démonstration avec l'un des nouveaux MacBook Pro d'Apple et un NAS qui sera commercialisé par Promise. La copie d'un fichier de 4,5 Go ne prenait que quelques secondes. Mieux encore, quatre flux Full HD 1080p étaient lus depuis le NAS, et renvoyés vers un Apple LED Cinema Display. Débit nécessaire pour cette opération : entre 600 et 700 Mo/s ! Techniquement parlant, Thunderbolt semble parfait. Là où le bât blesse, c'est comme nous l'avions craint au niveau commercial.
Intel propose sa technologie sous la forme d'une sorte de SDK à ses partenaires. Aucune licence à proprement parlé n'est prévue à l'heure actuelle, il faudra donc faire avec le contrôleur du géant de Santa Clara. Ce dernier est resté très discret sur les coûts de Thunderbolt. Tout juste sait-on que les câbles seront au niveau des solutions équivalentes en terme de positionnement (comprendre FireWire).
En matière d'adoption, Intel travaille avec plusieurs grandes marques, malgré le fait que pour l'instant seul Apple ait franchi le pas. On nous a cependant promis une évolution rapide de la situation. Notons également que si rien n'empêche l'installation du contrôleur sur une carte fille, cela n'est pas prévu à l'heure actuelle. L'intégration de Thunderbolt directement dans les futurs chipsets Intel est également marquée d'un point d'interrogation. En matière de périphériques, plusieurs marques ont déjà apporté leur soutien à Intel : Promise, LaCie, Western Digital, Seagate, etc.
Concluons avec une fenêtre sur le futur. Le développement de Light Peak continue, et Intel devrait proposer des câbles optiques assez rapidement pour certaines utilisations particulières (longues distances). Notons également que si la version cuivre de Thunderbolt est capable d'alimenter un périphérique (10 watts maximum), cela ne sera pas le cas en optique. À terme, une évolution de Thunderbolt 100% optique devrait voir le jour, mais sous un autre nom. Ses usages pratiques possibles devraient, d'ici là, avoir été multipliés.
Intel a confirmé que sa technologie Thunderbolt sera exclusive à Apple jusqu'en 2012.
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