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lundi 22 avril 2019

Fonte des glaces en Antarctique: «Des régions entières vont être submergées dans le monde»



Fonte des glaces en Antarctique: «Des régions entières vont être submergées dans le monde», alerte le glaciologue Jean Jouzel

 
Libellés

environnement

Une nouvelle étude alerte sur une montée du niveau des océans à cause de la fonte des glaces. A terme, ce phénomène menace l’humanité, selon le glaciologue Jean Jouzel…

 

Nouveau coup de chaud à prévoir pour la planète. Cette fois, c’est l’Antarctique, le territoire le plus froid du monde, qui est menacé. La fonte annuelle des glaces s’accélère à une vitesse alarmante, ce qui entraîne une hausse de plus en plus importante du niveau des océans, ont alerté lundi des scientifiques.
Faut-il s’en inquiéter ? On a posé la question à Jean Jouzel, climatologue et glaciologue français reconnu mondialement pour ses analyses de la glace de l’Antarctique et du Groenland.

La fonte des glaces n’est pas vraiment une nouveauté. Qu’est ce que ce rapport nous apprend de nouveau ?

Beaucoup de données montrent en effet que la contribution de l’Antarctique dans la montée du niveau des mers est en constante augmentation. Mais cette étude montre que des régions de l’Est de l’Antarctique, que l’on croyait relativement épargnées par le réchauffement climatique en raison de leur localisation, perdent désormais beaucoup de glace. Le climat de l’Antarctique est le plus froid connu sur Terre. Or, même cette zone, autrefois épargnée, est désormais touchée.

Comment expliquer ce phénomène ?

Ce n’est pas tant parce qu’il fait plus chaud comme au pôle Nord, mais parce que le réchauffement climatique apporte des vents chauds qui font fondre des plateformes de glace qui jouent un rôle vital en protégeant les glaces continentales profondes. Globalement, l’accélération de ces glaciers vers l’océan est liée à ces arrivées d’eau chaude. C’est ce mécanisme évoqué à juste titre par les auteurs de cette nouvelle étude qui est inquiétant.

Comment enrayer ou éviter ce processus ?

La seule façon de l’éviter, c’est de limiter le réchauffement climatique. Si le niveau des mers monte de seulement un mètre comme le prévoient certaines projections, des régions entières vont être submergées dans le monde. Les villes côtières seront peut-être les premières touchées : New-York, Shangai… Mais aussi les régions en bord de mer en Thaïlande, au Vietnam, en Amérique du Sud… L’Europe ne sera pas épargnée. Les Pays-Bas seraient en première ligne à cause de leur localisation sur les eaux. Mais les régions françaises comme la Bretagne ou le façade méditerranéenne seraient également en danger. Si rien n’est fait pour limiter le réchauffement climatique, la fonte de l’Antarctique pourrait faire monter de plusieurs mètres le niveau des océans dans les prochains siècles avec des conséquences dramatiques pour des centaines de millions de personnes qui vivent sur les côtes.

 

 

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mercredi 8 août 2018

Hugelkultur : découvrez cette épatante butte de culture autofertile.

Des troncs, des branches, des feuilles mortes, des déchets de cuisine… Des matières organiques empilées et recouvertes de terre pour former une butte de culture parfaitement adaptée au climat sec.

© www.bibliotecapleyades.net
En ce joli printemps tirant vers l'été, Écohabitation a décidé de republier à la Une ce court article ayant obtenu beaucoup de succès en mai 2015.
La Hugelkultur, ou culture agricole biologique autofertile en butte, est beaucoup plus simple qu'elle n'en a l'air. Basée sur la décomposition des matières à très long terme, cette technique de jardinage permet de faire pousser les herbes, les plantes, les légumes, les fruits, les fleurs... Sans jamais devoir arroser! Le secret? La décomposition lente des matières qui libérera de l’engrais naturel sur plusieurs années (10 à 20 ans). En parallèle, la butte agira comme une éponge et conservera l’humidité absorbée des pluies et du sol. Aucun engrais nécessaire et suite à la mise en place initiale, plus aucun travail à effectuer - outre la cueillette et la dégustation!
Votre terrain est sec, escarpé, pauvre, mal drainé, ou difficile à travailler? Cette technique pourrait vous permettre de cultiver aisément tout ce que vous voulez… À condition que vous ayez accès à des troncs et branchages morts en grande quantité.

PLANTER À LA MODE DE LA HUGELKULTUR

  1. Creuser un trou d’un mètre de profondeur, de la longueur et largeur désirées.
  2. Pour assurer un bon drainage, poser de la grosse roche et des cailloux au fond du trou.
  3. Sur les roches, entasser des grosses bûches récupérées d’un arbre déjà décédé.
  4. Recouvrir le tout de branchage.
  5. Déposer plusieurs couches arables (paillis, litière à poules, foin, etc.) bien humides et de différentes tailles, en alternant avec d’épaisses couches de fumier. Monter la bute à une hauteur d’environ 1 m.
  6. Arroser généreusement entre chaque couche.
  7. Recouvrir le tout de terre, de paille, de branches.
  8. Planter.
  9. Attendre deux à trois ans pour que la butte atteigne son plein potentiel.
Il est aussi possible de créer une Hugelkultur en bac. Cliquez ici pour voir comment procéder.
Le cèdre, le noyer et les conifères sont contre-indiqués.

Voir également la technique du Bois Raméal Fragmenté, originaire du Canada. Tout comme la Hugelkultur, cette forme de culture originaire du Canada s’inscrit dans la pensée philosophique de la permaculture.


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vendredi 2 février 2018

St-Isidore,Mercier eau potentiellement pollué ?

Le pollueur disparaît, le contribuable paie la note

Un dépotoir abandonné de la Rive-Sud coûtera des millions de dollars à Ottawa

 

Ottawa devra dépenser plus de 25 millions $ de fonds publics pour nettoyer un ancien dépotoir de la Rive-Sud de Montréal qui menace de contaminer l’eau potable près de Mercier, car le pollueur a abandonné le site.
Le terrain connu sous le nom de dépotoir Sambault est situé en pleine zone agricole dans la municipalité de Saint-Isidore, près de Mercier.
De fortes doses de contaminants, pour la plupart cancérigènes, s’y étendent sur pas moins de 15 hectares, d’après les analyses du gouvernement.
Les agents fédéraux l’ont classé en priorité d’intervention élevée « en raison du potentiel de la contamination de l’eau souterraine », indique la porte-parole de Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC), Sonia Tengelsen.
Après avoir dépensé 2,7 M$ pour étudier l’étendue des dégâts, Ottawa vient d’accorder un contrat de 15,8 M$ à l’entreprise Golder pour qu’elle empêche la pollution d’affecter la nappe phréatique. Ottawa compte ensuite investir un autre 10 M$.
Pendant des décennies, ce dépotoir a accueilli des déchets de toutes sortes.
« C’était une “dompe” qui recevait tout sans aucun contrôle, souvent clandestinement, y compris des déchets dangereux apportés par camions depuis les États-Unis », relate l’écotoxicologue Daniel Green de la Société pour vaincre la pollution.
Le propriétaire plie bagage
En 1995, l’entreprise a été dissoute. La société ayant été enregistrée au fédéral, quand le propriétaire a mis la clef sous la porte, c’est SPAC qui a hérité de la patate chaude.
« Les propriétaires ont abandonné le terrain, relate le maire de Saint-Isidore, Sylvain Payant. Quand bien même on les poursuivrait, il n’y avait aucune solvabilité de ces gens-là, il n’y avait rien à faire avec eux autres. »
Ottawa devra donc puiser dans les poches des contribuables pour réhabiliter l’endroit.
Piéger l’eau contaminée
Pour ce faire, Golder va recouvrir le site d’un dôme pour empêcher que l’eau de pluie y tombe et s’y contamine, et construira une usine qui pompera et purifiera l’eau souterraine déjà contaminée.
Ottawa prévoit ensuite dépenser 500 000 $ par an pendant un minimum de 20 ans pour l’opération de l’usine.
La méthode, appelée piège hydraulique, est similaire à celle qui est en place sur le site des lagunes de Mercier, où le ministère de l’Environnement du Québec opère une usine de pompage et de traitement de l’eau contaminée depuis 1984.
Le Journal a toutefois révélé le mois dernier que l’usine d’Environnement Québec rejette de l’eau fortement contaminée dans la nature, et non pas de l’eau propre.

Territoire sacrifié à tout jamais

Ottawa prévient d’ores et déjà que le terrain de l’ancien dépotoir Sambault, à Saint-Isidore, ne sera jamais propre, car l’opération de nettoyage est jugée trop coûteuse.
« Les coûts du retrait des sols contaminés étaient évalués à plusieurs centaines de millions de dollars », précise la porte-parole de Services publics et Approvisionnement Canada, Sonia Tengelsen.
Pour le maire de Saint-Isidore, Sylvain Payant, il s’agit d’un territoire « sacrifié à jamais ».
« Il n’y a aucune possibilité de développement pour la municipalité dans cette zone », dit-il.
Sylvain Payant, <i>maire de St-Isidore</i>
Photo courtoisie
Sylvain Payant, maire de St-Isidore
Toutefois, l’intervention d’Ottawa le sécurise, car elle permettra de protéger la ressource en eau.
Pas comme Mercier
L’écotoxicologue Daniel Green, président de la Société pour vaincre la pollution et chef adjoint du Parti Vert du Canada, salue l’interventionnisme du gouvernement fédéral.
Les travaux entrepris devraient selon lui permettre d’éviter à Saint-Isidore le cauchemar des lagunes de Mercier, situées non loin de là.
Daniel Green, <i>écotoxicologue</i>
Photo Agence QMI, Frédéric T. Muckle
Daniel Green, écotoxicologue
Ce terrain est le pire site contaminé du Québec. Il a reçu des tonnes de déchets toxiques pendant des décennies.
Les polluants ont progressivement atteint la nappe phréatique et condamnent désormais l’eau potable de trois municipalités.
Au cœur d’une saga judiciaire depuis les années 1990, le site n’a jamais été décontaminé malgré les recommandations du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement.
« C’est sûr que les lagunes de Mercier, que tout le monde connaît dans la région, c’est un exemple qu’il ne faut pas répéter », souffle le maire Payant.

► Ottawa a pris la responsabilité de l’ancien dépotoir Sambault en 2010. En 2012, il y a attribué un contrat de caractérisation environnementale à la firme TechnoRem. Puis, en octobre 2017, la compagnie Golder y a remporté le contrat de réhabilitation. Le gros des travaux débutera l’été prochain.
 
 
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mardi 9 janvier 2018

Inondation planétaire, ou et quand ?





D’après l’ONU, 250 millions d’humains vont être concernés par la montée des eaux dans les prochaines années soit en 2050 environ !

Ce sont les Naufragés de l’île Jean-Charles en Louisiane en premier !

Une île de Louisiane, l’Île de Jean Charles, est en train de disparaître. La cause, ou plutôt les causes, la montée des eaux mais aussi l’érosion provoquée par l’exploitation pétrolière. Comme l’Île de Jean Charles, la Louisiane est en train de couler. L’équivalent de la surface d’un terrain de foot disparaît toutes les heures dans la mer…
Les habitants de l’île de Jean Charles sont des indiens. Depuis que le gouvernement leur a alloué 48 millions de dollars pour s’installer ailleurs, ils sont devenus les premiers réfugiés climatiques américains. Le gouvernement reconnaît enfin être victime du réchauffement climatique. Un événement aux États Unis. Mais tout ne se déroule pas comme prévu, l’argent tarde à venir. Trouver un nouveau territoire pour toute la tribu n’est pas si simple.Dans ce secteur le Port fourchon situer a Galliano possède des digues pour protéger son terminal pétrolier ou transite 90% du pétrole off shore et 20% du pétrole et du gaz consommé par les USA.

 « Cette montée des océans inondera les côtes du monde entier et affectera environ 70 % de la population mondiale » dit H. Richard Lane (Directeur de programme à la division Géologie de la National Science Foundation, qui finance cette recherche). Shanghai, Le Caire, Londres ou La Nouvelle-Orléans seraient alors totalement englouties sous les eaux, et une partie de la Floride, le Bangladesh, le Cambodge ou les Pays-Bas, une grande partie de la Belgique et du nord de la France effacée des cartes. La réalisation de ce scénario (qui, avec + 2 °C n'est pas le plus alarmant) obligerait l’humanité à densifier ses populations sur des territoires toujours plus petits.


  • Pour l'instant l'arctique fond plus vite que l'antarctique. Les glaciers continentaux pourraient apporter assez d'eau pour faire monter les mers d'environ 40 cm. La fonte du Groenland apporterait assez d'eau pour élever la mer de 6 à 8 mètres (tout en privant les terres d'eau douce). L'Antarctique-Ouest (qui s'érode aussi37) contient assez d'eau pour une élévation de 5-6 m, alors que l'Antarctique-Est s'il fondait élèverait la mer de 70 mètres supplémentaire. Les modèles ne permettent pas encore de prédire à quelles vitesse et dans quelle proportion ces fontes se feront. Les courbes ont été relativement linéaires au XXe siècle, mais des effets d'albédo et de libération massives de méthane pourraient accélérer le réchauffement, et donc la montée des mers38.
  • Enfin, les prédictions régionales sont rendues difficiles par le caractère non uniforme de l'élévation marine39 (détails ci-dessous). Certaines régions subissent une élévation plus importante que la moyenne (souvent, plus que deux fois la moyenne), et d'autres une chute40. Les modèles divergent encore quant aux probabilités de changement du niveau marin41.


Les mégapoles côtières sont de plus en plus exposées aux inondations. 
 Comment faire face ? 
De New York à Bangkok en passant par Tokyo, une ambitieuse enquête.
29 octobre 2012 : la moitié de New York, envahie par les eaux, est plongée dans le noir à la suite du passage de l’ouragan Sandy. Après Katrina et ses 1 800 morts, ce nouveau cataclysme alerte sur la vulnérabilité des mégapoles côtières face aux ondes de tempête (raz-de-marée) et aux inondations. Dans le monde, quelque 136 villes portuaires, riches ou pauvres, sont menacées, en particulier celles situées sur des deltas. À l’origine de ce phénomène : le réchauffement climatique et la montée des eaux bien sûr, mais aussi l’affaissement des sols (la subsidence) et leur liquéfaction, liés à l’urbanisation chaotique et au pompage excessif des nappes phréatiques, ainsi que la multiplication des barrages (45 000 à la surface du globe). Shanghai, Bangkok, Tokyo, Dacca ou Djakarta... : les cités asiatiques, à la croissance foudroyante, sont les plus exposées.
"Résilience urbaine"
Comment prévenir ces catastrophes, aux conséquences humaines et économiques désastreuses ? Faudra-t-il un jour abandonner ces grandes métropoles qui sombrent inexorablement ? Aujourd’hui, les habitants du littoral fuient ou s’adaptent, en surélevant leurs maisons, tandis que des digues édifiées dans l’urgence tendent à protéger les quartiers des nantis, au détriment des plus démunis. À Tokyo, le pompage des eaux souterraines est interdit et des zones rurales tampons ont été aménagées. Shanghai, dont les gratte-ciel ne cessent de s’élever toujours plus haut, met en œuvre un ambitieux programme de surveillance de la subsidence. Mais la prise en compte du phénomène relève en réalité du choix de société. Repenser l’urbanisme et vivre avec l’eau plutôt que la combattre : le modèle séculaire des Pays-Bas inspire désormais d’autres démarches de "résilience urbaine". Ainsi, à Hambourg, l'audacieuse "HafenCity" revisite le concept de pilotis, tandis qu'à New York un programme collaboratif, "Rebuild by design", reconstruit dans le respect de la nature. À travers témoignages sur le terrain et avis d’experts, cette passionnante enquête fait le point sur les inondations et les solutions qui s’ébauchent pour y répondre.

 Le phénomène des migrations climatiques est susceptible de causer des conflits dans les régions déjà sensibles de la planète. Ainsi, au Bangladesh, des conflits externes ont explosé à cause de la migration élevée vers l'Inde qui aggrave la concurrence pour l’accaparement de ressources déjà rares. Cette concurrence entraine le déclenchement de tensions ethniques à la frontière et a l’intérieur des terres118.


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dimanche 1 mai 2016

«Dirty dozen 2016» : les 12 aliments contenant le plus de pesticides



Un fermier tient des tomates dans ses mains.
Avez-vous déjà entendu parler du «dirty dozen»? Il s’agit de la liste des 12 fruits et légumes les plus contaminés par des pesticides. Elle est publiée chaque année par l'Environmental Working Group (EWG), un organisme américain dédié à protéger l’environnement et la santé des gens.

Méthodologie derrière le «dirty dozen»

L’EWG a analysé cette année 48 produits locaux, ainsi que des bleuets et des pois mange-tout sucrés importés. Bien que cette analyse soit faite chez nos voisins du Sud, cela nous donne une bonne idée de la situation au Canada.
Les fruits et légumes sont testés de la façon dont ils sont généralement mangés (par exemple, les bananes sont épluchées et les raisins rincés). C’est donc dire que malgré un bon lavage, les traces de pesticides demeurent bien présentes dans nos aliments. L’organisme rappelle malgré tout que cela aide à réduire notre exposition aux produits potentiellement toxiques et recommande d’acheter la version bio de ces aliments.
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Cette année, le «dirty dozen» est composé de trois légumes et neuf fruits :
  1. Fraises
  2. Pommes
  3. Nectarines
  4. Pêches
  5. Céleris
  6. Raisins
  7. Cerises
  8. Épinards
  9. Tomates
  10. Poivrons
  11. Tomates cerises
  12. Concombres 
Les pommes ont été en tête du palmarès au cours des cinq dernières années.

La liste des «clean fifteen»

L’EWG publie également une liste des «clean fifteen», soit la liste des 15 fruits et légumes contenants le moins de pesticides. La majorités de ces aliments sont ceux qui présentent une pelure épaisse, que l’on retire systématiquement pour la consommation.
  1. Avocats
  2. Maïs sucré
  3. Ananas
  4. Choux
  5. Pois mange-tout sucrés congelés
  6. Oignons
  7. Asperges
  8. Mangues
  9. Papayes
  10. Kiwis
  11. Aubergines
  12. Melons au miel
  13. Pamplemousses
  14. Cantaloups
  15. Choux-fleurs
La liste complète des 48 fruits et légumes contaminés se trouve sur le site du EWG.
via GIPHY
Si les pesticides vous inquiètent, sachez que les paniers de fruits et légumes, souvent biologiques et locaux, sont de plus en plus populaires au Québec et qu’ils sont une alternative à considérer.
Découvrez ici quatre formules intéressantes.
 
 

lundi 6 octobre 2014

L'or Bleu déja a l'Horizon $

De nombreuses régions du monde souffrent d'aridité et de sécheresse. Pour tenter d'atténuer ce problème, un ingénieur français, Georges Mougin, a imaginé de faire remorquer un iceberg de Terre-Neuve jusqu'aux îles Canaries(un iceberg peut approvisionner 70,000 habitants pendant un an) , au large de l'Afrique, pour fournir à leurs habitants de grandes quantités d'eau potable.
Georges Mougin a lancé son projet il y a 40 ans, suscitant dès le début un vif intérêt. Mais les difficultés techniques ont empêché sa réalisation... jusqu'à maintenant. Des progrès en océanographie, en informatique et en réalité virtuelle pourraient enfin lui permettre de réaliser son rêve.



Le système de propulsion dénommé SkySails consiste en une gigantesque voile cerf-volant, d'un bras qui la contrôle, avec l'aide de l'électronique et permet de la déployer et de la rétracter automatiquement. Le système présente des similarités avec le kitesurfing. Après une série de test menée en mer Baltique, la première installation sur un navire de commerce, le Beluga SkySails, a vu le jour en décembre 2007. La voile avec une surface de 320 m2 peut flotter à une altitude de 100 à 300 mètres, hauteur choisie car les vents y sont plus puissants qu'à la hauteur d'un mat classique. Il est prévu qu'un navire équipé d'un cerf-volant Skysails consomme de 10 à 35 % de moins de carburant. Selon ses concepteurs, le système SkySail est facilement implantable sur de grands navires.
Selon la société, l'angle de gite occasionné par le cerf-volant est négligeable et ne met pas en cause la sécurité du navire.
Si l'essai sur le Beluga Sail est concluant, l'armateur allemand Beluga prévoit d'en équiper deux autres navires dès 2009.

 
 

Mais d'autres cie ont prévu un système  encore plus audatieux:
Après l'or noir, l'or bleu se dessine, avec L' Opération récolte d'Iceberg de l'Atlantique Nord.
 
Le bateau Goliath récolte de la glace,soit 76.000 mètres cubes de glace fondante par jour ou 18 millions de gallons par jour. Un seul iceberg de 30 millions de tonnes pourrait fournir a un demi-milliard de personnes de l' eau potable pendant un an. Et cependant 2 milliards de personnes n'ont jamais accès à l'eau potable dans le monde et que 70% de l'eau potable est confinée au pôle nord.

 Video.




 



Le skysail !

dimanche 8 juin 2014

Pourquoi les baleines s'échouent-elles sur les côtes ?


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  • Chaque année, des dizaines de cétacés s'échouent sur les rivages. Toujours spectaculaires, ces phénomènes, dont on trouve des traces dans des récits datant de l'Antiquité, restent pourtant encore empreints de mystère pour les scientifiques.
  • Les raisons et hypothèses avancées diffèrent selon les mammifères, les côtes, et surtout, le type d'échouage, qu'il s'agisse de quelques individus isolés ou de groupes entiers. 
  • Malnutrition ou maladies
La semaine dernière, des scientifiques réunis lors d'une conférence à Perth ont avancé la raison de la malnutrition pour expliquer la forte augmentation des échouages individuels de baleines à bosse sur les côtes occidentales de l'Australie. Alors que deux à trois de ces mammifères s'échouaient chaque année entre 1989 et 2007, leur nombre a grimpé à 13 en 2008, puis à 46 en 2009.
« Des examens post-mortem et l'analyse de la quantité de graisse dans des échantillons de chair ont montré que la plupart des jeunes étaient dans un état de grave malnutrition, explique Carly Holyoake, de l'université Murdoch. La plupart avaient un niveau très faible de graisse, indispensable pour l'énergie, la régulation thermique et la capacité à flotter. » Les raisons de ces carences pourraient être l'intensification de la pêche commerciale au krill, élément-clé du régime alimentaire des baleines, et l'influence, encore mal connue, du réchauffement climatique sur les quantités de ces petites crevettes dans les eaux.
 Les échouages individuels peuvent aussi survenir lorsque les dauphins, baleines, marsouins ou phoques sont égarés, désorientés, malades ou victimes d'une infection. Pendant l'été 2013, des centaines de dauphins ont par exemple été infectés par des morbillivirus, des virus très contagieux qui provoquent des lésions de l'appareil respiratoire et du système nerveux. Affaiblis et désorientés, les mammifères sont alors venus mourir sur la plage.
  • Problèmes d'orientation
D'autres mécanismes sont à l'œuvre dans le cas des échouages massifs, qui voient plusieurs individus en bonne santé, essentiellement les baleines-pilotes (aussi appelées globicéphales, qui sont en réalité une espèce de dauphins), les cachalots ou les baleines à bec, s'échouer dans un même secteur géographique et lors du même cycle de marée.
Les problèmes d'orientation sont évoqués en premier lieu. En cause : des défaillances du système d'écholocation des mammifères qui, sur le principe du sonar, consiste à émettre des ondes acoustiques renvoyées lorsqu'elles heurtent un obstacle, leur permettant de se déplacer, communiquer ou repérer des proies.
Le système d'écholocation des dauphins.Le système d'écholocation des dauphins. | DR
« Nous ne savons pas encore expliquer ces défaillances, prévient Willy Dabin, biologiste au Centre de recherches sur les mammifères marins de La Rochelle. Il pourrait s'agir d'une 'zone morte acoutisque', où les ondes envoyées ne reviennent pas, ou bien d'anomalies dans les champs géomagnétiques auxquels les animaux pourraient être sensibles. »
  • Topographie complexe
Les cétacés s'approchent des côtes à différents moments de l'année, notamment pour chasser. S'ils pénètrent dans des passages complexes ou des baies en forme de crochet, comme celle de Cape Cod, sur la côte est des Etats-Unis, ils peuvent être désorientés et se retrouver emprisonnés par les changements de marées.
Les scientifiques ont aussi observé des similitudes entre les fonds marins des endroits du monde qui enregistrent le plus d'échouages collectifs, à savoir certaines plages de Nouvelle-Zélande, d'Australie, des Malouines et de Cape Cod : il s'agit souvent de fonds plats, sablonneux ou boueux, en pente douce, qui pourraient nuire à la capacité d'orientation des animaux.
  • Perturbations acoustiques
Les sonars, notamment basses fréquences, utilisés par les navires militaires sont également pointés. Selon une étude réalisée sur des baleines bleues, publiée dans la revue scientifique Proceedings of the Royal Society en juillet 2013, ces ondes sonores pourraient dérégler l'oreille interne des cétacés et leur capacité à évaluer la profondeur de l'eau. Paniquées, les baleines remonteraient trop vite à la surface, ce qui provoquerait des accidents de décompression et des embolies gazeuses, comme pour les plongeurs qui ne respectent pas les paliers lors des remontées.
L'échouage d'une centaine de dauphins d'Electre près de Madagascar, en 2008, a ainsi été attribué par un panel d'experts à l'utilisation d'un sonar de cartographie à haute fréquence par la compagnie pétrolière ExxonMobil – qui a rejeté ces conclusions.
  • Interactions sociales
« Tous ces facteurs peuvent expliquer que certaines baleines s'échouent, mais ce qui pousse un groupe entier à les suivre, ce sont les interactions sociales qui les unissent », explique Marc Oremus, biologiste à l'ONG de Nouvelle-Calédonie Opération cétacés, et l'un des principaux auteurs d'une étude sur les échouages massifs publiée dans la revue Journal of Heredity en mars 2013.
Le scientifique, qui était alors chercheur à l'université d'Auckland en Nouvelle-Zélande, a recensé l'ADN de 490 baleines-pilotes lors de douze épisodes d'échouage en Australie et en Nouvelle-Zélande. Résultat : les dauphins échoués ensemble n'ont pas tous des liens de parenté, les petits pouvant se trouver très loin de leur mère. Mais tous appartiennent au même groupe.
« Les baleines-pilotes sont des animaux grégaires, qui vivent toute leur existence dans les mêmes groupes de quinze à vingt individus, articulés autour d'un axe matriarcal, poursuit Marc Oremus. Cet instinct social les pousse à suivre les autres individus jusqu'à l'échouage. Si on les remet à l'eau, ils reviendront s'échouer tant que leurs congénères seront sur la plage. » Le sauvetage des baleines échouées doit donc débuter par la remise à l'eau des meneurs.

vendredi 4 avril 2014

Sentinel-1A, un satellite pour monitorer et surveiller l'Europe et la planète ,aussi





L’Agence spatiale européenne lancera ce soir le premier satellite du programme Copernicus. Il transmettra 24/24 des images d’observation radar de la Terre pour améliorer la gestion de l’environnement et surveiller les frontières.

Le  soir du 3 Avril,à 23h02, le satellite Sentinel-1A sera lancé à bord de la fusée Soyouz, au départ de Kourou, en Guyane. Une fois en orbite, il va devoir transmettre près de 8000 Go de données d’imagerie par jour pendant les sept années qui vont suivre. C'est la première pierre du programme Copernicus de la Commission Européenne.

POUR:  Protéger l’environnement mais pas seulement(la sécurité aussi de l'Europe)

L’objectif de Copernicus ? Concevoir un accès global aux données d’observation de la Terre par satellite. Jusqu’en 2020, quatre autres satellites Sentinel devraient suivre. Chacun sera équipé d’instruments spécifiques avec des fonctions propres.
La mise en œuvre de ce programme est gérée par l’Agence spatiale européenne. Mais c’estAirbus Defence & Space (ancien EADS) qui fournit les services satellitaires. Le groupe sera, en outre, l’un des principaux centres de traitement, d’archives et de diffusions des données récoltées.


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jeudi 27 mars 2014

L'encre de vos cartouches

Ça contient,beaucoup d'eau ? 60 a 70 %,(C'est un peu plus que ça pour les 3 couleurs,Cyan,Jaune,Magenta)pour seulement 1 a 10% de noir de carbone ,pour l'encre noir.
Pour ce qui est du noir de carbone(ci-dessous) et des autres couleurs,la teinture jaune et le Cyan Dye ,ils ne sont pas classées pour le (67/548) et le (Reg. 1272/2008),ont ne saura jamais ,car le Canada permet la fabrication sur place de ces ingrédients,par sa norme Canadienne,le WHMIS.Aller savoir ;-(





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dimanche 29 décembre 2013

Poison dans la nourriture : le caramel E951,l' Aspartame, E621 Glutamate Monosodique, colorants, gélatine ,nous tue tranquillement

Le livre EAT, Chroniques d’un fauve dans la jungle alimentaire

Tiré de : http://www.vegactu.com/actualite/sortie-du-livre-eat-chroniques-dun-fauve-dans-la-jungle-alimentaire-11020/


A voir la couverture du livre, on s’attendrait presque à un film ! Mais non, il s’agit de l’ouvrage littéraire de Gilles Lartigot, qui s’est intéressé à la nourriture industrielle, à la pollution, au stress. Gilles a accepté de répondre à nos questions. Mais voici tout d’abord une introduction au livre : « Nous vivons dans une société toxique pour notre santé. La nourriture industrielle nous rend malade. La pollution, le stress et les produits chimiques font partie de notre quotidien. Ce sont des faits… Mais il est encore temps d’en réchapper. » Écrit au Québec, cet ouvrage original dans la forme comme dans le fond délivre un constat brut des dangers de notre alimentation moderne et de l’impact sur le développement des cancers, des AVC et des maladies chroniques, fléaux de notre société. Nos choix alimentaires définissent notre santé et conditionnent l’avenir de nos enfants. Deux années d’investigations en France et au Québec, des chroniques sans langue de bois, ponctuées par des entrevues avec des personnes conscientisées et complétées de recettes originales qui cassent les préjugés, Gilles LARTIGOT s’impose comme un auteur original à la carrure imposante. Un livre fort. Un livre qui dérange. Un livre qui côtoie ombres et lumière dans la jungle alimentaire. L’interveiw de Gilles Lartigot Couverture du livre EAT Pour ceux qui ne te connaissent pas, peux-tu te présenter ? Et notamment, quel est ton régime alimentaire et pourquoi l’as-tu choisi ? Je suis un simple citoyen français. Je vis actuellement à Montréal au Canada. J’ai effectué des recherches ( en France et au Québec) ces deux dernières années sur la problématique de notre alimentation moderne et des liens directs sur le développement des cancers et des maladies chroniques. Je n’ai pas de mot qui définisse mon mode alimentaire car je suis contre le fait de classer les personnes selon leur choix alimentaire. Ces classifications attisent les incompréhensions et sont sujets de discordes. Avant j’étais un gros mangeur de viande et de volaille, que je ne consomme plus aujourd’hui. J’ai découvert les bénéfices d’une alimentation portée principalement sur des aliments naturels, sans produits chimiques, sans aliments transformés par l’industrie. J’ai banni les fast-food et les produits raffinés. Ce qui ne m’empêche pas de faire quelquefois des écarts par gourmandise, mais jamais pour la viande et les fast-food. Ça, je ne peux plus. C’est immoral. Mais comme je l’explique dans mon livre, c’est mon choix et celui de ma compagne, je n’impose aucun mode alimentaire, encore moins un régime ! Je donne des informations fiables et justes pour que chacun puisse choisir la voie qu’il veut suivre. Qu’est-ce qui t’a poussé à écrire ce livre ? L’urgence de faire passer des messages. Contribuer, même modestement, à une prise de conscience. Il se trouve aussi que j’ai un profond amour pour le livre, de part le métier de mon père, qui était imprimeur typographe, mais aussi parce que c’est un support physique, réel, et que la lecture permet de nous concentrer plus facilement sur un sujet. J’essaye de faire passer des émotions et les nombreuses photos de Valérie Baccon y contribuent, elles donnent vie au livre. Peux-tu expliquer tes méthodes d’investigations ? J’ai mené mes recherches en France, au Québec et aux USA. J’ai été guidé dans mes recherches par le professeur émérite français Pierre-Marie MARTIN, chercheur, biologiste, oncologue spécialiste des cancers hormono-dépendants et des perturbateurs endocriniens. Il y a quatre autres personnes dans le livre. Anicet DESROCHER, un apiculteur biologique au Québec, éleveur de reines pour palier à la disparition des abeilles sur le territoire nord-américain ; une herboriste d’un village en Mauricie Michelle BEAUREGARD ; un musicien canadien Devin TOWNSEND qui nous fait part de ses réflexions quand à son végétarisme  et Jean-Luc DAUB, un français qui a enquêté durant 15 ans dans les abattoirs français pour vérifier l’application de la réglementation en matière d’abattage de nos animaux. Toutes ces personnes sont indépendantes et elles ont des choses à dire. À quels problèmes t’es-tu trouvé confronté pendant tes investigations ? Aucun problème car d’une part j’ai mené ces enquêtes en toute discrétion et d’autre part j’ai eu accès à des personnes peu connues du grand public qui m’ont donné beaucoup de matière de réflexion et des informations capitales comme celles du professeur Pierre-Marie Martin au sujet des liens entre le développement des maladies et notre alimentation moderne, des dangers des perturbateurs endocriniens que l’on trouve dans les phytosanitaires, les plastiques et les médicaments, le pouvoir de l’alimentation naturelle. Le témoignage de Jean-Luc Daub au cœur des abattoirs est également précieux car il est unique en son genre. Les divers lobbies alimentaires et grands groupes industriels ont-ils essayé de te gêner, de te freiner dans ta démarche ? Aucunement. Je pense qu’ils n’ont pas à trop s’inquiéter. Il ne passe pas un jour sans qu’une information ne vienne conforter la gravité de la situation en matière d’alimentation. Pourtant rien ne bouge, ou si peu. Il y a également tellement de désinformations promues par les lobbies, les médias et les politiques. Il faut faire le tri dans tout ça. Pour défendre mon point de vue, qui est un constat mais aussi une réflexion sociétale, je mets en avant mon indépendance. Je n’ai aucun conflit d’intérêt, je ne suis inscrit dans aucun parti politique, je ne suis pas membre d’un syndicat, je ne vends pas ma propre marque de produit, je n’ai pas reçu de subvention de l’état, je ne suis pas sponsorisé. J’ai financé ce livre avec mes propres économies et c’est ma seule source de revenu. L’indépendance est très importante en matière d’informations, ce n’est pas à un média comme le votre que je vais l’apprendre J. Es-tu optimiste quant à l’éducation alimentaire des citoyens, penses-tu que les mentalités évoluent dans le bon sens ? Je suis très pessimiste quant à la situation car elle empire tous les ans depuis plus de 50 ans. Ce n’est pas prêt de s’arrêter. L’industrie et les groupes de pression sont bien trop importants dans les processus de décision politique. Seul compte le profit maximum. Les industriels ne sont pas responsables de notre santé. Par contre je suis très optimiste car des solutions existent, elles se mettent en place localement avec de plus en plus de gens conscientisés comme le mouvement Colibris de Pierre Rabhi, les AMAP, des économistes comme Étienne Chouard qui nous informe sur notre système soi-disant démocratique, et tous les anonymes qui actent leurs convictions. Le choix de notre mode alimentaire est une forme de résilience, c’est une vraie révolte que l’on peut mener au quotidien. Pour plus d’informations ou pour acheter ce livre, rendez-vous sur le site de l’éditeur Winterfields

REF.: Merci a 

Gilles LARTIGOT

 Tiré de : http://www.vegactu.com/actualite/sortie-du-livre-eat-chroniques-dun-fauve-dans-la-jungle-alimentaire-11020/

jeudi 19 juillet 2012

Les eaux de l'Atlantique responsables de la fonte du glacier seraient de plus en plus chaudes

Changements climatiques - Un iceberg géant se détache d'un glacier du Groenland
 
Photo: Reuters

Changements climatiques

Un iceberg géant se détache d'un glacier du Groenland

WASHINGTON - Un immense bloc de glace de deux fois la superficie de Paris ou Manhattan s'est détaché d'un glacier du Groenland, selon des images satellite de la Nasa révélant le dernier signe du réchauffement climatique. Les images dévoilées mercredi montrent l'énorme morceau de glace se détachant du glacier de Petermann situé sur la côte nord-ouest du Groenland. Une île de glace deux fois plus grande en 2010 s'était détaché de ce glacier, selon le processus de désagrégation des glaciers et de création des icebergs appelé «vêlage».
Selon la Nasa, la fissure était visible depuis 2011 et le satellite Aqua mis sur orbite polaire a détecté une fracture entre le 16 et le 17 juillet.
L'océanographe Andreas Muenchow, de l'université du Delaware, précise que si les icebergs vêlés semblent immenses, l'essentiel de la fonte des glaces se passe à 600 mètres sous le niveau de la mer, là où le glacier est en contact avec le substrat rocheux et où l'eau de mer est beaucoup plus chaude qu'à la surface.
«La plus grande partie de la fonte est causée par l'océan, dans les eaux. Ce phénomène majeur n'est pas visible, il n'est pas possible de le détecter à l'oeil nu» écrit-il sur son blog icyseas.org.
«Par contre, contrairement à ce que l'on pourrait penser, le détachement de ces morceaux de glace n'aura que peu d'effet direct sur le niveau de l'océan, la plaque de glace de 100 à 150 mètres d'épaisseur étant déjà plongée dans des eaux océaniques proche du point de congélation», ajoute-t-il.
Selon Andreas Muenchow, les eaux de l'Atlantique responsables de la fonte du glacier seraient de plus en plus chaudes, selon des chiffres datant de 2003.


REF.:

samedi 21 avril 2012

COLLECTE GRATUITE d'équipements électriques, électroniques et informatiques désuets

La Collecte verte, c’est quoi?

La Collecte verte est une initiative écologique de 1-800-GOT-JUNK? Québec, spécialiste de la collecte de rebus et d’objets divers, dans le cadre du Jour de la Terre. L'activité vise à amasser l’équipement électrique, électronique et informatique désuet. Grâce à cette initiative, ce sont plus de 126 tonnes à travers le Québec qui ont évité les centres d'enfouissement et qui ont pu être recyclées.
Le dimanche 22 avril prochain, de 10 h à 16 h, nous collecterons GRATUITEMENT les objets dont vous rêvez de vous débarrasser depuis longtemps! Nous en disposerons pour vous, de façon écologique! La collecte est réservée uniquement aux citoyens.




Jour de la Terre: 22 avril - Trois alternatives pour recycler gratuitement vos appareils électroniques
 
© Shutterstock
Jour de la Terre: 22 avril

Trois alternatives pour recycler gratuitement vos appareils électroniques

MONTRÉAL – D'après Environnement Canada, le pays connaît depuis 10 ans une augmentation de 30% dans le volume de déchets électroniques générés par ses habitants. Voici trois moyens de contrer cette tendance en vous débarrassant de vos appareils électroniques tout en respectant l'environnement.
Un nouveau défi s'est ajouté à la gestion des déchets en raison de l'informatisation de notre société. Dans le monde, «les recherches indiquent que c'est entre de 20 à 50 millions de tonnes de déchets électroniques qui sont produits chaque année.»
Le Québec fait piètre figure en matière de récupération de ce type de déchets. La belle province n'en recyclerait qu'entre 6 à 8%, ce qui met l'environnement et la santé des Québécois en danger. En effet, les appareils électroniques comportent de nombreux composants toxiques susceptibles d'être libérés dans la nature s'ils ne sont pas traités convenablement.
Afin de faciliter la tâche aux Québécois, Recyc-Ordi offre des cueillettes gratuites, du 22 au 28 avril. Elles s'adressent aux particuliers et aux entreprises exprimant leur désir, par courriel (info@recycordi.com), de se débarrasser d'au moins une dizaine d'appareils. Autrement, les Québécois peuvent déposer leurs déchets informatiques et électroniques dans les «Bacs de récupération Recyc-Ordi» prévus à cet effet, chez l'un des partenaires participants répertoriés à cette adresse.
Par ailleurs, sachez que Réno-Dépôt a établi un partenariat avec le service 1-800-GOT-JUNK?, afin d'organiser la cinquième Collecte verte des appareils électroniques le dimanche 22 avril, de 10h à 16h. Sept succursales du Québec participent à ce projet: celles de Brossard, St-Hubert, Anjou, Marché Central, Pointe-Claire, Laval et Rosemère, ainsi que le magasin Ameublements Tanguay de la Ville de Québec.
D'après leur communiqué, leur initiative a permis «d'éviter l'enfouissement et de recycler près de 115 tonnes de matériel électronique et électrique pouvant potentiellement contaminer les sols par leur composition chimique.»
Finalement, les Montréalais peuvent aller déposer leurs appareils électroniques chez Insertech Angus, une entreprise d'insertion à but non lucratif, spécialisée en récupération et la revitalisation du matériel électronique et informatique. Jusqu'à présent, plus de 900 jeunes adultes en difficulté ont profité de son programme d'insertion en emploi, qui est accrédité par Emploi-Québec.




Génial afficher, à propos!
De toute façon, vous vous demandez peut- être pourquoi, je vous écris à propos au sujet de le site au-dessus. Il se trouve que je travaille en partenariat avec “1-800-GOT-JUNK?” Nous apprécions vraiment le mention de la marque et tout de le travail difficile que l'écrivain mis dans le développement de le afficher.
J'espère s'agit d'une proposition raisonnable, mais être-vous soyez ouvert au comprend d’un lien vers la site Web de 1-800-GOT-JUNK? comme ressources supplémentaires pour vos lecteurs.
Vous pouvez le trouver ici:
http://www.1800gotjunk.com/ca_fr/emplacements/collecte-dechets-montreal
 Respectueusement,
Aimee Darnell

lundi 16 janvier 2012

Loi anti-minoune : Pour le "PIEVA",va t'on avoir la parité avec les gros Camions pollueurs ?

 


Ça nuirait a l'économie,tout comme dans le Plan Nord,les grosses Cie pollueurs on des permis ou crédit GES(basé sur la Bourse du Carbonne) pour polluer légalement.La justice et légalité connaît pas !
Les automobilistes auront a avaler ce bonbon empoisonné,au nom de l'économie baser sur l'environnement.C'est la transition entre l'économie du pétrole et celle de l'électrique; qui produit aussi des GES !Un cargo marin ou porte-conteneurs pollue plus que 50 millions d'automobiles par année !
Il est ou Estrie de problême ?

Le PIEVA (programme d'inspection et d'entretien des véhicules automobiles),sera lancer avant la fin 2013.Avant de vendre votre minoune de 8 ans vous devrez faire inspecter votre automobile et présenter votre certificat de vérification mécanique (CVM)a la SAAQ.Le coût sera d'environ 100$,si 600,000 minounes se vendent par année ,ce sera des profits de $ 60 Millions/an que l'état va encaisser par l'entremise des garages accédité SAAQ/CVM . L'effet dissuasif des achats de vieux char ira vers la vente des voitures hybrides ou électriques, que les Banques vous financeront maintenant sur 8 ans ,car les prêts auto sont déja rendu a plus que 5 ans,maintenant.Toutes les cours a scrap sont déja sous la loupe de revenu Québec qui se promet de chercher ces fraudeurs potentiels,car ça prend des factures pour payer sa TPS,TVQ....

De plus la SAAQ entent implanter son certificat CVM ,en trois phases:
l'inspection environnemental(ça devrait-être insp. véhicule,car l'environnement c'est pas un catalyseur en métal)de la minoune lors d'un changement de propriétaire(au frais du vendeur).cette vérification est visuelle et aussi contrôle des émissions du véhicule,par un mandataire(garage) de la SAAQ.Cette première inspection sera pour le droit de circuler ; au "nom de l'environnement" que vous polluez ;-)



Deuxième phase:
les minounes seront inspecter a tous les 2 ans !



Troisième phase:
les minounes auront a subir une inspection mécanique ,en plus de l'inspection Enviro-Mentale !


REF.:google est to nami,