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mercredi 2 août 2023

PC Manager – outil de Microsoft pour optimiser son ordinateur

 


PC Manager – outil de Microsoft pour optimiser son ordinateur

25 juillet 2023

Par: pascal forget


PC Manager

,

Windows

Avec PC Manager, Microsoft propose un outil simple et gratuit pour faire le ménage de son ordinateur Windows. Plus besoin d’installer des programmes d’optimisation douteux…


PC manager Microsoft

À l’époque ou l’espace disque était précieux et ou la mémoire vive se comptait en Mo, il y avait beaucoup de programmes pour « optimiser » son ordinateur. Les beaux-frères « qui s’y connaissent en informatique » étaient toujours bons pour nous en proposer ! Des applications miracles qui promettaient de réparer les centaines de problèmes (parfois réels, parfois imaginaires) détectés sur son ordinateur. Après avoir fait toutes sortes d’opérations – nettoyer les fichiers cache, réparer les registres, défragmenter et réorganiser les fichiers sur le disque, en plus de procédures mystérieuses… Notre appareil allait fonctionner comme un neuf !


Plusieurs de ces logiciels étaient aussi efficaces qu’un placebo. Certaines étaient carrément frauduleuses. Il est trop facile de profiter de quelqu’un qui cherche à régler un problème avec son ordinateur, en expliquant qu’il faut absolument la version payante de l’application pour régler des problèmes graves…


Pourquoi installer PC Manager

Microsoft propose enfin une application pour faciliter l’entretien de son ordinateur, PC Manager. L’application est simple. Elle permet entre autres de :


« Booster » son système en optimisant l’utilisation de la mémoire et en faisant le ménage des fichiers temporaires (des fichiers qui ne sont pas dangereux, mais qui peuvent s’accumuler avec le temps)

Faire un diagnostic général de l’état de sa machine

Gérer le stockage – détecter rapidement les gros documents et les fichiers d’installation de logiciel qui ne sont plus nécessaires

Désactiver les applications qui ralentissent le démarrage de son ordinateur

Vérifier l’état de la sécurité de son ordinateur (vérifier que son antivirus et son système est à jour !)

On peut aussi utiliser PC Manager pour changer son navigateur web par défaut (en cas de changement suite à l’installation d’une application)

L’application est gratuite et en version bêta publique, et elle n’est disponible qu’en anglais pour l’instant. Les opérations proposées sont sécuritaires, même si on recommande toujours de faire une sauvegarde de ses fichiers avant de l’utiliser. (C’est spécialement important avant de jeter des fichiers qui prennent de la place, ce sont peut-être des souvenirs précieux !) N’oubliez pas que simplement éviter l’installation de logiciels piratés, faire les mises à jour de son ordinateur et le redémarrer de temps en temps est souvent tout l’entretien dont on a besoin !


On peut télécharger PC Manager sur le site de Microsoft.


REF.: https://www.pascalforget.com/pc-manager/

mardi 16 mai 2023

Wintoys : un outil complet pour réparer et optimiser Windows

 

Wintoys : un outil complet pour réparer et optimiser Windows

 

 Par: 

Pour garder votre PC en pleine forme, utilisez Wintoys. Complet et simple d'emploi, cet utilitaire gratuit dispose d'une vaste panoplie de fonctions pour effectuer facilement les opérations de nettoyage, d'optimisation et de réparation de Windows.

Les utilitaires d'optimisation et de nettoyage de Windows sont pléthore depuis de nombreuses années. Signe que malgré tous les efforts de Microsoft, le système ne convient pas à tous les PC tel qu'il est livré. Wintoys, développé par Bogdan Pătrăucean s'inscrit dans cette catégorie déjà bien fournie. Pourtant, ce programme tire son épingle du jeu. Il propose d'abord une interface graphique qui colle à l'esthétique actuelle de Windows en adoptant, si vous le souhaitez, un thème sombre mais surtout un fonctionnement basé sur des onglets et des tuiles très lisibles. Ensuite, il intègre l'essentiel des fonctions pour donner un petit coup de boost à un PC devenu un peu lent en supprimant par exemple des applis inutiles, en optimisant les disques, etc. Il permet enfin de modifier quelques parties de l'interface de Windows pour qu'elle colle mieux à vos besoins. Totalement gratuit, Wintoys fonctionne aussi bien sur Windows 10 que Windows 11. Son interface est en anglais mais très facilement compréhensible.

Comment optimiser Windows avec Wintoys ?

Wintoys répartit ses fonctions au sein de six onglets, chacun regroupant les options à activer ou non pour vous concocter un Windows aux petits oignons.

► Après avoir installé et lancé Wintoys, l'interface du logiciel s'ouvre sur l'onglet Home. Se dresse ici le portrait-robot de votre PC avec la référence du modèle, le processeur, la carte graphique, la quantité de mémoire vive (Ram), son score de performances, mais aussi le nombre de logiciels installés, le nombre de processus et de services en cours ou encore les taux d'occupation du CPU, du GPU et de la mémoire. Bref, un tableau de bord complet qui évite d'utiliser plusieurs utilitaires !


► Cliquez sur l'onglet Apps dans la colonne de gauche. Après quelques seconds s'affiche la liste complètes des applis installées sur le PC. Vous pouvez les classer par type (Win32 ou Store) ou encore par ordre alphabétique. Si l'une d'entre elles vous paraît inutile, cliquez sur les trois points de suspension au bout de la ligne correspondant à son nom. Dans le menu qui se déploie, choisissez Uninstall. Notez que vous pouvez aussi effectuez une recherche sur Google pour vérifier de quoi il s'agit en choisissant Search. L'option Browse vous mènera au dossier où figure l'appli.


► Un clic sur l'onglet Services permet d'afficher tous les services actifs. Comme pour les applications, vous pouvez les désactiver ou les relancer s'ils fonctionnent mal. Le pictogramme i permet d'obtenir plus de détails (partiellement traduits en français) sur la fonction du service.


► L'onglet Boost réunit plusieurs options à activer ou désactiver selon vos besoins. Vous pouvez par exemple définir le mode de performances du PC, retirer des applications au démarrage, désactiver les applications Windows qui tournent en tâche de fond, ajuster les réglages pour le gaming, etc.


► Cliquez sur Health (santé en français) pour accéder aux fonctions de réparation et de maintenance de Windows. Il vous est alors possible d'activer le démarrage rapide, le mode Hibernation de générer un rapport sur l'état de santé de la batterie du PC s'il s'agit d'un portable, etc. Il est même possible d'accéder aux fonctions DISM, SFC et CHKDSK sans en passer par les traditionnelles lignes de commandes. Pratique. À travers l'option Declutter, Wintoys permet aussi de vider la mémoire cache, les fichiers temporaires ou le cache du Windows Store.


► Enfin, l'onglet Tweaks donne accès à plusieurs outils pour modifier certains paramètres comme l'affichage d'icônes sur le Bureau, le comportement du menu Démarrer, les réglages de confidentialité, etc. Vous pouvez même ici activer le God Mode pour modifier encore plus de paramètres. Mais restez prudent et suivez les conseils de notre fiche pratique pour ne pas commettre d'impair.

 

REF.:  https://www.commentcamarche.net/telecharger/utilitaires/28219-wintoys/

jeudi 3 juin 2021

RainbowCrack – Un outil de crackage de hachage ultime RainbowCrack

 

 RainbowCrack – Un outil de crackage de hachage ultime RainbowCrack

 RainbowCrack est l'un des outils de craquage de mots de passe et de hachage très populaires et élégants qui fonctionne sur les tables Rainbow pour déterminer la véritable correspondance du mot de passe. Rainbowcrack n'est pas comme la simple force brute alors qu'il fonctionne sur une série de tables pré-informatiques connues sous le nom de tables Rainbow pour obtenir une correspondance exacte. L'un des meilleurs avantages de cet outil est qu'il réduit considérablement le temps de processus de craquage par rapport à la force brute. Dans la force brute, le hachage produit toute la combinaison sous forme de texte brut, puis la compare au hachage du mot de passe pour trouver la correspondance. S'il trouve une correspondance, vous obtenez le mot de passe craqué, sinon tous les hachages craqués sont jetés comme un gaspillage. 

 Connexes : Modules PDF du cours CEH v11

 RainbowCrack a été conçu et développé par le développeur Zhu Shuanglei et est livré avec un compromis de mémoire de temps mis en œuvre pour les attaques d'analyse cryptographique qui sont à l'origine d'Ophcrack de PHilippe Oechslin. Rainbow Crack utilise l'un des meilleurs algorithme de hachage appelé compromis temps-mémoire. Caractéristiques Les tables Rainbow prennent en charge tous les types d'algorithmes de hachage Les tables arc-en-ciel prennent en charge tous les types de jeu de caractères Prend en charge le format de fichier brut .rtc et le format de fichier compact .rt Calcul multi-processeur pris en charge Accélération de l'unité de traitement graphique avec n'importe quel GPU puissant comme les cartes GPU NVIDIA, AMD, etc. 

 Compatible avec les systèmes d'exploitation Windows et Linux Prend en charge les formats de fichiers de table arc-en-ciel sur tous les systèmes d'exploitation compatibles Interface CMD et GUI. 

 Télécharger RainbowCrack 

 Cliquez ici pour télécharger.

REF.:

lundi 1 février 2021

Microsoft a-t-il utilisé UNIX pour faire Windows ?

 Microsoft a-t-il utilisé UNIX pour faire Windows ?

 

·

Non.

Dans les années 70–80, Microsoft était un gros vendeur de solution UNIX et en parallèle développait les ventes de MS-DOS (après 1981).

La première version de Windows était une simple surcouche graphique sur MS-DOS.

En 1990, Bill Gates voulait avoir son propre OS digne de rivaliser avec les plus grands, alors qu'il travaillait en collaboration avec IBM sur OS/2.

Il a donc créé une équipe chargée de développer un nouvel OS, tout neuf, from scratch, baptisé Windows New Technology (Windows NT).

A ce moment là, Microsoft était encore une petite startup, mais disposait d'une belle action en bourse et de revenus suffisants pour que Bill Gates puisse embaucher les meilleurs développeurs dans le monde des systèmes d'exploitation., en leur donnant de généreux packages de stocks options.

Il a beaucoup débauché chez Digital Equipment (DEC), une référence dans le domaine des mainframes.

Après 1992 et la réussite spectaculaire de Windows 3.1, Microsoft a même débauché chez IBM et on entendait parler de fuite des cerveaux, tous les meilleurs attirés par la perspective de travailler sur ce nouvel OS.

Le même phénomène s'est produit au début des années 2000 avec Google, puis un peu plus tard avec Facebook.

La startup du moment fait chauffer les esprits.

Il faut dire que ce genre d'opportunité ne se présente qu'une fois dans une vie, quand cela arrive (pouvoir participer à la conception même de l'OS).

La première version de Windows NT est sortie en 1993 sous le nom de Windows NT 3.1, sous une forme encore expérimentale.

Cette première mouture suivait une conception "idéale" en couches virtualisées, mais pour les PC de 1993, l'abstraction était trop coûteuse et l'OS a été critiqué, pour des problèmes de performance.

En 1995, Microsoft a sorti Windows NT 3.5, dont le modèle des drivers avait été refait pour permettre un accès direct (non virtualisé) au matériel, notamment pour la carte graphique.

Les performances étaient au rendez-vous et l'OS, encore tout jeune commençait à faire parler de lui.

Pendant ce temps là, MS continuait à faire vivre la branche Windows 3.1, avec la sortie de Windows 95 en version 16/32 bits.

En 1996, Windows NT 4 avait incorporé beaucoup de fonctions nécessaires à une utilisation en entreprise et son noyau virtualisé a permis à MS de sortir une version supportant les processeurs alpha, des processeurs Risc en 64 bits.

Cela fut une avancée majeure marquant le début de la montée en charge de Windows NT.

MS avait alors pour objectif de fusionner les branches Windows 16/DOS avec le nouveau NT 32/64.

Cela s'est fait de façon progressive, notamment en apportant le bureau de Windows 16 à Windows NT, puis en amenant les applications Windows 16 à fonctionner sous Windows NT, grâce à l'ajout d'un sous-système virtualisant l'exécution du code 16 bits.

Ce processus a convergé en 2001 avec la sortie de Windows XP, l'OS qui a eu tellement de succès qu'il est resté très fortement utilisé pendant une quinzaine d'années, presqu'une éternité.

Mais, non, pas d'UNIX dans Windows.

D'ailleurs, Windows Is Not Dos and Linux Is Not Unix …

 

REF.: Quora.com

mercredi 25 mars 2020

Microsoft : Bill Gates quitte le conseil d’administration du géant de l’informatique qu’il a cofondé en 1975

Microsoft : Bill Gates quitte le conseil d’administration du géant de l’informatique qu’il a cofondé en 1975

Business : Le milliardaire coupe les liens opérationnels avec Microsoft afin de pouvoir consacrer davantage de temps à ses activités philanthropiques.

Une nouvelle page de la longue histoire de Microsoft vient de se tourner avec la décision de Bill Gates de quitter le conseil d’administration. Il y siégeait depuis 2014 après avoir déjà abandonné la gestion quotidienne il y a une dizaine d’années. C'est lui qui co-fonda Microsoft en 1975 aux côtés de Paul Allen. Pour Bill Gates, cette prise de distance doit lui permettre de consacrer plus de temps à sa fondation philanthropique Bill and Melinda Gates. 
"Ce fut un honneur et un privilège de travailler avec Bill et d'apprendre de lui au fil des ans”, a déclaré Satya Nadella, le PDG de l’entreprise. “Bill a fondé notre entreprise avec la conviction de la puissance démocratique du logiciel et une passion pour résoudre les difficultés les plus urgentes de notre société. Microsoft et le monde sont meilleurs grâce à lui.” Avec le départ de Bill Gates, le conseil d'administration de Microsoft compte désormais 12 membres : John Thompson, Reid Hoffman, Hugh Johnston, Teri List-Stoll, Satya Nadella, Sandra Peterson, Penny Pritzker, Charles Scharf, Arne Sorenson, John Stanton, Emma Walmsley, et Padmasree Warrior.

REF.:   (Eureka Presse)

samedi 14 mars 2020

Les easter eggs et astuces cachées de Windows 10





Les easter eggs et astuces cachées de Windows 10

Microsoft Windows fait partie de ces logiciels qui trainent derrière eux une longue liste d’astuces et autres easter eggs (fonctionnalités cachées) plus ou moins marrantes et utiles. J’ai toujours été fan de ces petites pépites cachées, ces petits secrets, alors je me suis amusé à faire cette vidéo pour vous montrer toutes celles que vous pouvez retrouver dans Windows 10.
Il y a bien sûr le Mode God dont voici le code au passage :
GodMode.{ED7BA470-8E54-465E-825C-99712043E01C}
Mais aussi des astuces avec Cortana, la calculatrice, l’explorateur Windows, les émojis, la visionneuse 3D, des clins d’oeil à StarWars, au Seigneur des Anneaux, au jeu Doom sans oublier quelques astuces pour ajouter de la transparence à l’invite de commande MS DOS ou encore activer le mode sombre ou y voir plus clair lorsque votre bureau est surchargé en fenêtres.

J’étais parti avec comme idée de vous montrer uniquement des easter eggs, mais de fil en aiguille, je suis aussi tombé sur quelques astuces pratiques donc je vous ai tout mis. J’espère que cela vous apprendra quelques trucs.
Amusez-vous bien !


REF.:

lundi 27 janvier 2020

Un outil pour bloquer les mises à jour de Windows





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Un outil pour bloquer les mises à jour de Windows

Alors, attention !
Gros disclaimer : Je ne suis pas fan du fait de désactiver les mises à jour de Windows. Je ne vous recommande pas de faire ça et si je parle de cet utilitaire aujourd’hui c’est parce que ça peut servir dans certains cas. En tout cas, si vous bloquez les mises à jour sur votre OS, vérifiez bien que cela reste temporaire et pensez bien à les réactiver ensuite.
Windows Update Blocker est donc un utilitaire pour Windows qui permet de désactiver et réactiver les mises à jour de Windows, ce qui dans certains cas est bien pratique.
En effet, Windows 10 ne permet pas cela nativement, ce qui est quand même dommage quand on veut maitriser totalement sa machine, choisir le moment où on veut mettre à jour et ne pas se retrouver avec un patch qui viendrait mettre en l’air une config un peu particulière.
Évidemment, on peut le faire manuellement en désactivant le service associé, mais c’est plus sympa en 1 clic avec Windows Update Blocker.
Mieux Windows Update Blocker permet aussi de rajouter dans une liste n’importe quel autre service Windows que vous aimeriez bloquer.
À télécharger ici.

REF.:

mardi 29 octobre 2019

Windows 10: Microsoft dévoile « Secured core » pour bloquer les attaques sur le firmware


Windows 10: Microsoft dévoile « Secured core » pour bloquer les attaques sur le firmware

Sécurité : Cette nouvelle couche de sécurité concerne les PC haut de gamme. Le premier PC Windows 10 à bénéficier de "Secured core" est la Surface Pro X.

Apple a toujours eu le contrôle complet du matériel et de son système d’exploitation, mais la philosophie de Microsoft n’a jamais été du même ordre.
Mais récemment, Microsoft vise à prendre le contrôle sur le matériel au même niveau qu’Apple grâce à des partenariats avec des fabricants de PC sous Windows. L'objectif est de protéger les appareils contre les attaques qui exploitent le fait que le firmware dispose de privilèges plus élevés que le noyau Windows.
De nos jours, Microsoft est également une entreprise de matériel informatique. La société a tiré les leçons de la Xbox en matière de piratage DRM et les a appliquées à l'écosystème matériel Windows dans le cadre de la nouvelle initiative «Secured core».
Les consommateurs ne verront aucune marque «Secured core» sur leurs PC et la technologie n'existera que sur les derniers appareils Windows 10 équipés de jeux de puces Intel, Qualcomm et AMD.
Toutefois, sur ces nouvelles machines haut de gamme, comme les ordinateurs portables Surface Pro X et Dragonfly, les consommateurs bénéficieront d’une couche de sécurité supplémentaire qui isolera les clés de chiffrement et les éléments d’identité de Windows 10. Ces éléments pouvaient être compromis par des attaques visant les firmwares spécifiques à un appareil.

Nouvelles attaques et nouvelles protections

À la base, la nouvelle protection du firmware provient d’une fonctionnalité de Windows Defender appelée System Guard. Cette fonctionnalité est destinée à protéger les PC Windows 10 des nouvelles attaques utilisées par les groupes de piratage de haut niveau tels que APT28 ou Fancy Bear. Ces groupes ont utilisé à la fin de l’année dernière un nouveau rootkit UEFI (Unified Extensible Firmware Interface) pour cibler les ordinateurs Windows.
"Si vous êtes visés par un malware au niveau du noyau sur votre système d'exploitation standard, l'attaquant ne pourra pas accéder aux fonctionnalités critiques", a déclaré à ZDNet Dave Weston, directeur associé de la sécurité Windows chez Microsoft.
La conception de Secured Core découle de l’expérience de Microsoft en matière de prévention du piratage sur ses consoles de jeu Xbox.
"La Xbox a un modèle de menace très avancé, car nous ne faisons pas confiance à l'utilisateur, même s'il possède physiquement l’appareil. Nous ne voulons pas que l'utilisateur puisse pirater la console pour exécuter ses propres jeux", a déclaré Weston.
"En outre, lorsqu’on sort du domaine de jeu et que l’on se place dans le monde réel, vous voulez avoir la même garantie qu'un attaquant ne peut pas accéder à votre code et à vos données. Nous avons tiré nos propres leçons et travaillé avec des fournisseurs de composant afin de développer une stratégie pour faire face aux menaces avancées ".
Microsoft avait déjà Secure Boot. Cependant, cette fonctionnalité suppose que le firmware est approuvé pour vérifier les chargeurs d'amorçage, ce qui signifie que les attaquants peuvent exploiter le micrologiciel approuvé. Le rootkit d’APT28 n’était pas correctement signé, ce qui signifie que les PC Windows sur lesquels Windows Secure Boot est activé ne sont pas vulnérables, car le système autorise uniquement le chargement du firmware signé.
Cependant, une fois infectés, les logiciels malveillants d’APT28 pouvaient survivre à une réinstallation du système d’exploitation ou au remplacement d’un lecteur matériel.
La nouvelle initiative de Microsoft en matière de sécurité intervient alors que les attaquants et les chercheurs en sécurité s'intéressent de plus en plus aux firmwares. Les vulnérabilités de affectant ces composants divulguées en 2016 étaient inférieures à 50, mais sont passées à 400 en 2017 et à un peu moins de 500 en 2018.

REF.:

mardi 25 juin 2019

Faites vite cette mise à jour de Windows : c’est la NSA qui vous le demande !

Faites vite cette mise à jour de Windows : c’est la NSA qui vous le demande !

 



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Découverte récemment, la vulnérabilité BlueKeep est particulièrement dangereuse. Elle offre de nombreuses opportunités aux pirates et facilite la propagation des exploits sur le web.  Face à cette menace, Microsoff a conçu un patch de sécurité pour les anciennes versions de son système d’exploitation. De son côté, la NSA est sortie de sa réserve habituelle. Elle recommande aux utilisateurs de mettre à jour leur machine.

BlueKeep menace plusieurs millions d’ordinateurs

La vulnérabilité ne touche pas Windows 8, 8.1 et 10. En revanche, plusieurs millions de personnes utilisent encore une ancienne version du système d’exploitation. Selon Netmarketshare, Windows 7 serait installé sur 38,52% des ordinateurs à travers le monde. Quant à Windows XP, il compte encore 3,35% d’utilisateurs. Officiellement, Microsoft ne supporte plus cet OS. Néanmoins, l’entreprise de Redmond a fait une entorse à ses principes en mettant en ligne un patch de sécurité spécifique pour ces moutures :
D’après la NSA, BlueKeep favorise « l’utilisation de code logiciel ». Les pirates peuvent réaliser une attaque par déni de services distribués (DDoS). En plus de la mise en jour, l’agence recommande quelques mesures : bloquer le port TCP 3389, lancer le Network Level Authentication et désactiver le contrôle à distance, sauf s’il est indispensable.



jeudi 11 avril 2019

Image Health : utilitaire de maintenance et réparation pour Windows 8.1 et 10



Image Health : utilitaire de maintenance et réparation pour Windows 8.1 et 10


Image Health, windows,

Image Health est un utilitaire de maintenance et réparation pour Windows 8.1 et 10.
A partir de ce dernier, vous pouvez lancer plus facilement des utilitaires systèmes comme SFC ou DISM.
D’autres fonctions de nettoyage sont aussi disponibles.
Il s’agit donc d’un utilitaire très pratique pour nettoyer ou réparer Windows puisqu’il regroupe les fonctions les plus utiles.
Voici une présentation et tutoriel d’Image Heatlh.
 Image Health : utilitaire de maintenance et réparation pour Windows 8.1 et 10

Image Health : utilitaire de maintenance et réparation pour Windows

L’utilitaire peut-être téléchargé depuis le lien suivant : Télécharger Image Heatlh
Ce dernier se présente sous la forme d’un fichier 7z.
Vous pouvez utiliser 7-zip pour décompresser l’archive.
 Image Health : utilitaire de maintenance et réparation pour Windows 8.1 et 10
On obtient alors un dossier Image-Health et vous pouvez exécuter ce dernier en double-cliquant sur ImageHealth.
Le contrôle des comptes (UAC) se déclenche et il faut accepter les modifications.

 Image Health : utilitaire de maintenance et réparation pour Windows 8.1 et 10
ImageHealth s’ouvre alors un menu sur un fond bleu.
 Image Health : utilitaire de maintenance et réparation pour Windows 8.1 et 10Voici le contenu et les possibilités qu’offre cet utilitaire de réparation de Windows :
Les premières options sont plutôt à destination de la réparation de Windows.
Les différentes commandes de DISM sont décrites dans notre article dédié à ce dernier : DISM : réparation de fichiers systèmes
En général, on lance l’option 1 puis la 2 pour finir sur une vérification SFC.
Grâce à Image Health, il est très simple d’enchaîner des vérifications et réparations DISM, SFC puis checkdisk.

Autres utilitaires de réparation

Rappellons que Microsoft a un utilitaire assez identique avec des options supplémentaires mais aussi en moins.
Il s’agit de Reset Windows Update Agent
Reset Windows Update Agent : réparer Windows Update

Si vous cherchez d’autres utilitaires de réparation de Windows, rendez-vous sur notre article : Les outils de réparation de Windows
Enfin le tutoriel suivant regroupe toutes les procédures pour réparer Windows : Comment réparer Windows 7, Windows 8.1 ou Windows 10


REF.:

lundi 8 octobre 2018

Écran noir durant l’utilisation de Windows


Écran noir durant l’utilisation de Windows



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Les écrans noirs sont des problèmes récurrents sur Windows, que ce soit Windows 7 et Windows 10.
La souris reste visible à l’écran et le fond de l’écran devient noir avec le bureau, ni la barre des tâches de Windows qui disparaissent.
En général, ces derniers se produisent durant le surf ou durant des sessions de jeux.
Vous trouverez des explications ainsi que des procédures pour tenter d’identifier et résoudre ces problèmes d’écran noir sur Windows.
Attention, si vous rencontrez un écran noir au démarrage de Windows, il faut plutôt se rendre sur cet article : Résoudre les écrans noirs au démarrage de Windows 10
Ici on parle bien d’écrans noirs par intermittences qui peuvent arriver durant l’utilisation du PC.
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Écran noir durant l'utilisation de Windows

Écran noir durant l’utilisation de Windows

Enquêter sur la source

Pour trouver la source du problème, il faut mener une petite enquête.
Notamment fouiller dans l’observateur d’évènements de Windows et bien regarder l’horodatage.
Vérifiez à l’heure où les écrans noirs se sont produits, quels évènements Windows a enregistré dans le journal.
Le but est vraiment d’obtenir des informations sur les potentielles sources de ces écrans noirs, généralement il peut s’agir :
  • d’un problème autour des pilotes de la carte graphique
  • un logiciel ou pilote qui provoque des instabilités comme un antivirus
  • des problèmes de température de l’ordinateur ou surchauffe
  • des corruptions de fichiers systèmes sur Windows
Par exemple, ci-dessous, un évènement Le pilote d’affichage ne réponde plus qui peut provoquer des blocages de l’affichage et un écran noir temporaire.
Écran noir durant l'utilisation de Windows : Le pilote d’affichage ne réponde plus
ou encore cet autre exemple avec erreur Dwminit : Le processus Gestionnaire de fenêtrage a été quitté. (Code de sortie du processus : 0xe0464645) qui peut aussi provoquer des écrans noirs par intermittences.
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Écran noir durant l'utilisation de Windows : Dwminit : Le processus Gestionnaire de fenêtrage a été quitté

Problème de pilotes de la carte graphique

Les pilotes de la carte graphique, après une mise à jour peuvent causer parfois des problèmes.
Pour s’assurer qu’ils ne sont pas la source de ces écrans noirs, vous pouvez réinstaller complètement ces derniers.
Pour se faire, suivez notre article qui explique comment supprimer ceux installés et ne garder aucun trace qui peuvent causer des conflits.
L’article pour remettre à zéro les pilotes de la carte graphique : Réinstaller proprement les pilotes de la carte graphique
Écran noir durant l'utilisation de Windows : réinstaller les pilotes de la carte graphique

Vérifiez les températures

Vérifiez et surveillez la température de votre PC et notamment celles de la carte graphique.
Lorsque vous utilisez votre ordinateur, les températures ne doivent pas dépasser 60 degrés.
Vous pouvez aussi lancer une vidéo Youtube ou un film pour vérifier à combien montent les températures.
Écran noir durant l'utilisation de Windows : surveiller les températures et surchauffes du PC
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Pour débloquer la publicité, suive ce lien : Comment désactiver les bloqueurs de publicité
Cette vidéo assez généraliste aborde l’utilisation CPU, GPU, mémoire et disque ainsi que les températures de l’ordinateur.

Réparer Windows

Afin de s’assurer que Windows n’est pas corrompu et tenter une réparation vous pouvez utiliser les utilitaires SFC et DISM.
Les deux utilitaires sont présentés sur les pages suivantes :
L’article suivant récapitule aussi tous ces vérifications de Windows : Réparer Windows 7, 10 depuis l’invite de commandes
Écran noir durant l'utilisation de Windows : Vérification et réparation systèmes de Windows
La page suivante donne d’autres procédures pour réparer Windows et notamment la possibilité de réparer Windows sans perte de données.
Il est aussi possible de réinitialiser Windows.
Pour obtenir toutes les aides, suivre notre page : Comment réparer Windows

Autres liens

Quelques autres liens autour des écrans noirs sur Windows.
REF.:

dimanche 2 septembre 2018

slmgr : commande pour activer, supprimer ou visualiser les licences de Windows

slmgr : commande pour activer, supprimer ou visualiser les licences de Windows



 

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slmgr est une commande qui s’utilise donc depuis l’invite de commandes pour gérer vos licences Windows ainsi que votre clé produit.
Avec et utilitaire slmgr, vous pouvez visualiser et obtenir des informations sur votre licence Windows mais aussi supprimer celle-ci.
Enfin slmgr permet d’activer Windows en ligne ou hors ligne.
Cet article vous explique comment utiliser slmgr.
slmgr : commande pour activer, supprimer ou visualiser les licences de Windows

slmgr : commande pour activer, supprimer ou visualiser les licences de Windows

L’activation de Windows peut-être effectuée depuis les paramètres de Windows 10 > Mise à jour et sécurité > activation à gauche.
Malheureusement, parfois des erreurs peuvent s’afficher ou certaines options comme la date d’expiration de la licence ne sont pas indiquée.
La commande slmgr est très utile car elle permet d’obtenir toutes sortes d’informations mais aussi gérer les clé produits et licences de Windows.
Pour pouvoir utiliser slmgr, vous devez ouvrir l’invite de commandes en administrateur en effectuant un clic droit sur l’icône puis exécuter en tant qu’administrateur.
Plus d’informations sur les articles suivants : L’invite de commandes de Windows et comment ouvrir l’invite de commandes sur Windows 10.
La commande slmgr fonctionne avec des paramètres qui permet d’effectuer ces opérations.

Obtenir des informations sur la licence et la date d’expiration

Pour obtenir des informations sur votre licence comme le type (Retail, OEM, KMS, etc), le nombre de réinitialisation restant ou encore la date d’expiration s’il y en a une, vous pouvez utiliser la commande suivante :
slmgr /dli
Il est aussi possible d’obtenir encore plus d’informations en utilisant la commande suivante :
slmgr /dlv
slmgr : commande pour activer, supprimer ou visualiser les licences de Windows
Vous pouvez aussi vérifier le mode dans lequel votre Windows est :
  • notification : Windows doit être activé
  • activé : l’activation de Windows a été réalisée.
La commande suivante de slmgr permet d’obtenir ces informations sur l’état d’activation de Windows.
slmgr : commande pour activer, supprimer ou visualiser les licences de Windows

Supprimer une clé produit

Il est aussi possible de supprimer une clé produit afin de retirer l’activation de Windows.
Cela est notamment utile dans le cas d’une licence Retail pour la déplacer d’un ordinateur à l’autre, pour plus d’informations : Comment transférer une licence Windows d’un PC à un autre
Voici comment utiliser slmgr pour supprimer une clé produit :
slmgr /upk
slmgr : commande pour activer, supprimer ou visualiser les licences de Windows
Il faut savoir que Windows stocke aussi la clé dans le registre Windows, des applications légitimes ou logiciels malveillantes peuvent récupérer la clé produit à cet endroit.
L’utilitaire de résolution des problèmes de Windows 10 peut aussi restaurer une clé produit depuis cet emplacement.
Il est alors possible de supprimer la clé produit du registre de Windows surtout si vous devez vendre l’ordinateur par la suite.
slmgr /cpky
slmgr : commande pour activer, supprimer ou visualiser les licences de Windows
Insérer ou changer la clé produit
Bien entendu, slmgr donne la possibilité de saisir ou changer la clé produit de Windows.
Il suffit pour cela de saisir la commande avec l’option ipk comme indiqué ci-dessous où ## est la clé produit.
slmgr /ipk #####-#####-#####-#####-#####
Si tout se passe bien, cela doit vous retourner que la clé produit a été installée avec succès.
slmgr : commande pour activer, supprimer ou visualiser les licences de Windows
Sinon vous pouvez rencontrer des messages d’erreur, par exemple, ci-dessous on saisit n’importe quoi comme clé produit ce qui nous donne l’erreur :
Erreur : 0xC004F050 le service de gestion de licences a signalé que la clé de produit n’est pas valide.
slmgr : commande pour activer, supprimer ou visualiser les licences de Windows

Activer la licence

Enfin, il est tout à fait possible d’activer votre copie de Windows avec l’utilitaire slmgr.
L’activation peut se faire en ligne, c’est à dire par internet en contactant les serveurs de licence Microsoft ou hors ligne par téléphone.

Activation en ligne

Pour une activation en ligne, la commande à saisir est :
slmgr.vbs /ato
Si l’opération réussi un message doit vous indiquer que la clé produit a été activée sinon vous pouvez rencontrer un message d’erreur.
Par exemple, ci-dessous la clé produit est bloquée et on obtient le message :
Activation de Windows(R), Core Edition {XXXXX} ….
Erreur : 0xC004C003 Le serveur d’activation a déterminée que la clé de produit spécifiée est bloquée.
slmgr : commande pour activer, supprimer ou visualiser les licences de Windows

Activation hors ligne

Slmgr permet aussi une activation hors ligne. Vous devez récupérer l’identifiant d’installation à partir de la commande suivante :
slmgr.vbs /dti
Puis vous devez récupérer l’identifiant de confirmation en appelant le service d’activation des produits de Microsoft par téléphone.
En indiquant par téléphone votre identifiant d’installation, ce dernier vous retourne l’identifiant de confirmation qui vous permet ensuite d’activer Windows sans connexion internet.
Pour récupérer le numéro de téléphone, rendez-vous dans l’activation graphique durant le processus choisissez autre méthode d’activation que par internet.
Le numéro de téléphone vous sera alors communiqué, pour plus d’informations suivre ce lien : comment activer Windows.
Une fois l’identifiant de confirmation récupéré par téléphone, vous devez saisir la commande suivante :
slmgr.vbs /atp ACTIVATIONID
Enfin pour vous assurer que l’opération a bien fonctionné, vous pouvez utiliser la commande slmgr.vbs /dlv

Étendre la période d’essai de Windows

Lorsque vous n’avez pas activé Windows, vous avez une période d’essai de ce dernier avant que certains fonctions ne soient désactivées.
Généralement, la période d’essai est de 30 jours.
slmgr permet d’étendre cette période d’essai ou de la réinitialiser mais cette opération ne peut être effectuée qu’un certains nombre de fois.
Pour étendre la période d’essai de Windows, utilisez le paramètre suivant de slmgr :
slmgr.vbs /rearm

Liens autour des clés produits de Windows

Quelques articles du site autour des licences, clé produit et activation de Windows.
et pour les problèmes de licences ou d’activation :
REF.:

vendredi 31 août 2018

Réparer Windows 7, 10 depuis l’invite de commandes

Réparer Windows 7, 10 depuis l’invite de commandes



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Il se peut que Windows 7 ou 10 bug, plante et affiche des messages d’erreur lors du lancement d’une application ou de mises à jour de Windows Update.
Pire encore, Windows peut planter durant le démarrage et passer en réparation automatique en boucle.
Dans ces deux cas l’invite de commandes de Windows est disponible pour tenter de réparer ce dernier.
Cet article récapitule toutes les commandes utiles afin de pouvoir réparer Windows 10.
Réparer Windows 7, 10 depuis l'invite de commandes

Réparer Windows 7, 10 depuis l’invite de commandes

Dans cet article, deux cas seront distincts :
  • Premier cas, Windows démarre entièrement et vous avez la main sur le bureau de Windows et donc vous pouvez facilement ouvrir l’invite de commandes pour effectuer des vérifications et réparation.
  • Le second cas où Windows plante durant le chargement.
    • Windows 10 doit vous donner assez facilement assez aux options de récupération où depuis ces dernières l’invite de commandes est disponible. La syntaxe des commandes à utiliser peut alors être différente.
    • Sur Windows 7, il faut tapoter sur F8 avant le chargement de Windows afin d’ouvrir les options pour réparer son ordinateur où s’y l’invite de commandes. Plus d’informations : Les options de récupération de Windows 7.
Les outils qui sont proposés d’utiliser dans cet article pour vérifier et réparer Windows 7, 10 :
  • chkdsk ou checkdisk qui permet de réparer le système de fichiers de Windows. Pour plus d’informations sur cet utilitaire, lire l’article : A quoi sert chkdsk sur Windows 7, 8.1, 10
  • SFC : vérifie les fichiers systèmes et tente de les corriger si ces derniers sont corrompus.
  • DISM : vérifie l’image des packages de Windows pour détecter des anomalies pour les corriger.

Cas 1 : Windows démarre

Vous avez donc assez au bureau, c’est déjà cela.
Pour tenter de réparer Windows 10 depuis l’invite de commandes, dans un premier temps, ouvrez celle-ci en administrateur.
La page suivante donne toutes les méthodes : 5 méthodes pour ouvrir l’invite de commandes sur Windows 10
Le plus simple est de faire une recherche Cortana puis un clic droit exécuter en tant qu’administrateur l’invite de commandes.
Réparer Windows 7, 10 depuis l'invite de commandes

chkdsk

Dans un premier temps, lancer un checkdisk de votre disque C avec la commande suivante :
chkdsk c: /R /F
Cela doit vous indiquer qu’il faut effectuer une vérification au redémarrage de Windows.
Il faut alors accepter en appuyant sur la touche o puis entrée.
Redémarrez l’ordinateur et laissez le scan se faire, il peut très facilement durer plusieurs heures.
Réparer Windows 7, 10 depuis l'invite de commandes
En cas de plantages réguliers de Windows, il est fortement recommandé de vérifier la santé de son disque dur avec un utilitaire du type CrystalDiskInfo, plus d’infos : Vérifier la santé de son disque dur.

SFC et DISM

Une fois le checkdisk terminé, enchaîne avec la commande SFC toujours depuis l’invite de commandes en administrateur.
Le but est de vérifier que les fichiers systèmes de Windows sont sains et non corrompus.
SFC /scannow
Réparer Windows 7, 10 depuis l'invite de commandes
Si des fichiers sont corrompus, sfc tente de les réparer, s’il n’y parvient pas les choses se corsent.
Demandez alors de l’aide sur le forum en décrivant tous les problèmes rencontrés.
Réparer Windows 7, 10 depuis l'invite de commandes
Sinon enchaînez avec la commande DISM en utilisant la syntaxe suivante et en laissant l’analyse se faire à chaque fois.
La commande DISM est réservée à Windows 10, cela ne fonctionnera pas sur Windows 7.
Pour effectuer une vérification DISM sur Windows 7, suivre ce lien : DISM : réparation de fichiers systèmes Windows
DISM /Online /Cleanup-image /Scanhealth
DISM /Online /Cleanup-image /Restorehealth
Là aussi, si aucune anomalie n’est détectée, cela est bon signe. Par contre, si DISM s’interrompt durant l’analyse avec des codes erreurs 0x, cela n’est pas bon signe sur l’état du système.
Vous pouvez là aussi demander de l’aide gratuitement sur le forum.
Réparer Windows 7, 10 depuis l'invite de commandes

Cas 2 : Windows plante durant le démarrage

L’invite de commandes est accessible depuis les options de récupération de Windows comme mentionné dans l’introduction.
Il est aussi possible d’utiliser ces dernières depuis le Live CD Malekal.
Dans ce scénario, nous partons du principe que le volume où Windows est installé depuis les options de récupération porte la lettre C.
Si ce n’est pas le cas, il faudra modifier la lettre dans chaque commune.
La commande checkdisk reste inchangé, la seule différence est qu’il n’est pas nécessaire de faire redémarrer l’ordinateur puisque vous n’avez pas démarré l’ordinateur depuis la partition de Windows.
chkdsk c: /R /F
Réparer Windows 7, 10 depuis l'invite de commandes
Du côté de SFC et DISM, les syntaxtes commandes diffèrent comme vous ne démarrez pas depuis Windows mais le principe de l’analyse reste la même.
Ainsi la commande SFC devient la suivante :
sfc /scannow /offbootdir=C:\ /offwindir=C:\windows
et enfin pour Windows 10 et seulement, et du côté de DISM, il faudra utiliser la syntaxe suivante :
Dism /Image:C:\ /Cleanup-Image /RestoreHealth
Réparer Windows 7, 10 depuis l'invite de commandes
Redémarrez l’ordinateur et vérifiez si Windows démarre et que vos problèmes et dysfonctionnement sont résolus.

Autres liens pour réparer Windows

Sur la page suivante, vous trouverez toutes les explications pour réparer Windows : Comment réparer Windows
D’autres outils sur Windows existent pour diagnostiquer les problèmes et surveiller le système, plus d’informations : Tous les outils pour vérifier et réparer Windows 10, 7

REF.: