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jeudi 12 septembre 2024

Droit d’auteur :  CE QUE DIT LA LOI SUR LE pillage d'articles

Droit d’auteur :  CE QUE DIT LA LOI SUR LE pillage d'articles

La Loi sur le droit d’auteur protège les contenus journalistiques. Elle prévoit une exception dans le cas « d’une utilisation équitable d’une œuvre ou de tout autre objet du droit d’auteur pour la communication des nouvelles ». La source originale doit être mentionnée. Le caractère équitable dépend de six critères établis par la Cour suprême du Canada : le but, la nature et l’ampleur de l’utilisation, l’existence de solutions de rechange, la nature de l’œuvre et l’effet de l’utilisation sur l’œuvre. La Presse a déjà entrepris des procédures judiciaires pour faire respecter ses droits.


-Voici un exemple , ci-dessus sur le sport et qui s'applique a n'importe quel secteur d'opinion: 


Le problême de fond ,.... c'est de faire la différence, pour un lecteur intelligent ,entre un agrégateur et un informateur géré par le monde politique et qui manipule autant le lecteur qu'un agrégateur antisocial. Mais dans l'équation de contenu, on a tous, oubliez les curateurs de contenus pour découvrir des articles plus pertinents !
La curation de contenus, Oui ça fait toute la différence entre partager des opinions et promotionnér une opinion ! La curation de contenus consiste à identifier des sources de contenus (sites, blogs, réseaux sociaux), à en trier(ce que l' I.A. fait très bien déja avec copilot ou Gimini) les sujets les plus pertinents, et à les présenter sous la forme d'une agrégation thématique sur un support web distinct des sources d'origine. Donc Meta ne vous dira pas qu'elle promotionne l'I.A. en bloquant les sites de nouvelles politisés, mais on le saient très bien maintenant !

Des sites d’agrégation comme Hockey30 et Habsolument Fan se sont jetés dessus comme des piranhas sur un morceau de chair fraîche. Ils ont remâché un peu le texte, gardé les citations, puis régurgité des articles pour leurs propres sites web. Leur effort d’édition était minimal. Pour son texte sur Pierre-Luc Dubois, David Garel (Hockey30) avait conservé non pas 1, non pas 2, mais 15 citations de l’entrevue originale. Même s’il donnait le crédit à Mathias, ça reste d’une paresse intellectuelle navrante. L’équivalent d’un étudiant fainéant qui ajoute son nom au stylo sur le travail de session d’un collègue travaillant.


Si seulement c’était une situation isolée ou sporadique. Mais non. Les sites piranhas pigent allègrement dans le buffet des contenus originaux produits par les médias traditionnels. Payent-ils pour cela ? Bien sûr que non. Autrement, l’industrie florissante du pillage d’articles s’effondrerait.


Où les piranhas trouvent-ils leur public ?


Sur Facebook, où plusieurs médias dont ils agrègent le contenu sont bloqués.


Depuis bientôt un an, les comptes principaux de La Presse, du Journal de Montréal, du Devoir, de la Gazette, des quotidiens régionaux, de nombreuses stations de radio, de télévision ainsi que de journaux étudiants sont inaccessibles sur le réseau social. Les liens vers les pages web de ces sites n’apparaissent tout simplement plus.


Malgré cette mesure, 38 % des francophones au pays continuent de s’informer sur Facebook, révèle une étude du Reuters Institute publiée l’été dernier. C’est énorme. Ces gens trouvent notamment leurs nouvelles sur les comptes des sites d’agrégation, qui ont grandement profité du blocage des autres médias.


Nombre d’abonnés sur Facebook de quelques sites d’agrégation


HabsetLNH : 192 000

Hockey30 : 139 000

Go Nordiques : 115 000

Fanadiens : 82 000

AllHabs : 55 000

Marqueur : 51 000

CHpourlavie : 22 000

Voilà pourquoi les piranhas sont hyperactifs sur Facebook. C’est aussi la raison pour laquelle vous y êtes bombardés d’articles aux titres tout aussi aguicheurs que dramatiques. Lu la semaine dernière : « Logan Mailloux quitte Montréal, et on sait pourquoi ». Le jeune défenseur était sur le point d’être échangé ? Pas du tout. Il a simplement pris l’avion pour participer à une séance photo du fabricant de cartes de hockey Upper Deck.


Cette compétition pour l’attention des lecteurs suscite évidemment des abus. Le 5 juillet dernier, David Garel (Hockey30) a rapporté une rumeur sur l’espoir Filip Mesar, du Canadien. « Filip Mesar va quitter Montréal », a-t-il écrit. « Il se retrouve aujourd’hui au centre de rumeurs de transaction impliquant les Jets de Winnipeg. Selon ce qui circule, Mesar aurait été proposé dans un échange visant à obtenir Rutger McGroarty. »

Dans les jours suivants, les sites d’agrégation Marqueur, Dose et HabsetLNH ont amplifié la rumeur. « Mesar et sa famille ont vraiment vécu des moments difficiles, alors que l’espoir slovaque s’est retrouvé au centre de rumeurs le liant aux Jets de Winnipeg », a ajouté Marc-André Dubois, toujours sur Hockey30, le 18 juillet.


Le problème ? Hockey30 avait inventé cette histoire de toutes pièces.


« On a parti une rumeur : pourquoi on ne l’enverrait pas à Winnipeg avec le choix des Panthers, juste pour spéculer », a expliqué David Garel à BPM Sports. « Le lendemain, c’était partout en Slovaquie. Tous les médias sportifs en parlaient. Ça s’est rendu ici. » Filip Mesar a même dû commenter la (fausse) rumeur.David Garel devait avoir une chronique récurrente à BPM Sports cet automne. La collaboration s’est arrêtée là. Dans une vidéo sur la rumeur de Filip Mesar diffusée avant ce passage à la radio, David Garel avait déclaré : « On va être là pour lancer des rumeurs. On va être là pour parler du côté dramatique du hockey, puis c’est juste pour le fun. »


Pas sûr que Mesar a trouvé son été « le fun ». Pas plus que les autres hockeyeurs et leurs proches qui sont les cibles des ragots réels ou fictifs colportés par des sites comme Hockey30.Et que penser du rôle de la société mère de Facebook, Meta, dans cet écosystème ?


En donnant de l’oxygène aux piranhas, Meta assure non seulement leur survie, mais aussi leur croissance. C’est d’une irresponsabilité sociale affligeante.Le pire, c’est que Meta dit bloquer tous les « médias d’information », qu’elle définit comme « les entreprises dont l’objectif principal est de produire un contenu d’actualité, sous quelque format que ce soit, qui rapporte, enquête ou explique des questions ou des évènements d’actualité présentant un intérêt pour le public ».


Permettez-moi de lui soumettre bien humblement le libellé suivant, trouvé sur le site de David Garel. « Hockey30 vous propose du contenu original et inédit. Minute par minute, 24 heures sur 24, Hockey30 est présent pour vous offrir une couverture quotidienne des Canadiens de Montréal et de la LNH. » Puis ceci : « Hockey30.com se spécialise dans la production et la diffusion de sites web d’actualité.Je souhaite vivement que Meta cesse son blocage, et que les médias qui investissent dans une information originale et de qualité retrouvent leur portée sur Facebook. Mais si Meta insiste tant à garder la ligne dure, au moins, qu’elle soit conséquente.


Qu’elle place les piranhas dans le même bassin que les médias traditionnels.


REF.: www.lapresse.ca/sports/chroniques/2024-09-11/pillage-d-articles-sportifs/le-buffet-des-piranhas.php

jeudi 21 décembre 2023

T30dulle et la curation de contenus , pour découvrir des articles plus pertinents !

 T30dulle et la curation de contenus , pour découvrir des articles plus pertinents !


- Curation de contenus : définition, présentation et outils

La curation de contenu (étymologiquement du latin curare : prendre soin et de l'anglais content curation ou data curation) est une pratique qui consiste à sélectionner, éditer et partager les contenus les plus pertinents du Web pour une requête ou un sujet donné. La curation est utilisée et revendiquée par des sites qui souhaitent offrir une plus grande visibilité et une meilleure lisibilité à des contenus (textes, documents, images, vidéos, sons…) qu'ils jugent utiles aux internautes et dont le partage peut les aider ou les intéresser.


La curation est également une manière rapide et peu coûteuse d'alimenter un site sans produire soi-même de contenu. Le contenu ainsi mis en avant permet non seulement d'alimenter le site — même si dans la plupart des cas le site renvoie sur la source originale — mais également d'obtenir un meilleur référencement du site de curation par les moteurs de recherche. Il devient ainsi "possible d’enrichir les documents numériques mis à la disposition du grand public", Wikipédia étant l'exemple par excellence de ce type d'approches


Publication: 18/06/2012 |  par Jean-Christophe Dichant

La curation de contenus consiste à identifier des sources de contenus (sites, blogs, réseaux sociaux), à en trier les sujets les plus pertinents, et à les présenter sous la forme d'une agrégation thématique sur un support web distinct des sources d'origine.


La curation de contenus permet ainsi au lecteur de ces médias “nettoyés” de découvrir facilement les articles les plus pertinents sur un sujet donné sans avoir à parcourir toutes les sources concernées. Ceci est réalisé par le curateur de contenus.

Comme les exemples suivantes:

https://docteo2.wordpress.com

https://lemondealenvers911911.wordpress.com

https://lefilmlamatrice.wordpress.com


Je m'intéresse à la curation de contenus depuis longtemps – Initialement, j'utilisais deux services distincts : Paper.li et Scoop.it. Désormais, j'utilise Inoreader pour tout faire. Inoreader est un lecteur de flux RSS, un service de curation de contenus et un service de lecture différée.


Curation de contenus : vous avez besoin de nouvelles pratiques de lecture. 

Curation de contenus  : 

La curation, similaire à la veille technologique, répond à la prolifération des publications sur le web, notamment face à l'émergence des plateformes d’agrégation de contenus. Ces plateformes se contentent souvent de reprendre les titres et les résumés d'articles de diverses thématiques, principalement dans le but d'attirer des visiteurs et d'augmenter les vues, sans pour autant offrir une véritable plus-value. Pour approfondir, je vous invite à consulter les articles sur les fermes de contenus  et les plateformes de fédération de contenus.


Il s'agit donc de parcourir le web sur une thématique donnée, d'identifier les articles les plus pertinents sur ce sujet, de les trier, les classer et de les présenter sous un format compact (liste, arbre) afin de proposer un accès rapide aux sources les plus intéressantes. Certains curateurs ajoutent des commentaires personnels sur les articles choisis, je ne le fais pas nécessairement de mon côté, c'est un manque qu'il me faut combler pour être vraiment complet.


Désormais je peux identifier très vite les articles et messages les plus intéressants, et je prends le temps de les parcourir dès que possible (j'utilise le service Inoreader pour cela). Je gagne du temps, je trouve des articles qui me sont utiles, je rediffuse ces résultats pour en faire profiter mon réseau. Et celui-ci me le rend bien qui me permet à son tour de découvrir d'autres sources. Le bénéfice est évident.


REF.:(référence)  lire l’article chez :https://www.jcdichant.com/curation-de-contenus-introduction-presentation-et-outils/

Merci à Jean-Christophe Dichant!


mardi 12 décembre 2023

Le T30 comme char d'assaut ?

Le T30 comme char d'assaut ? 

Le char lourd T30 était un projet de char américain de la Seconde Guerre mondiale développé pour contrer les nouveaux chars allemands, tels que le Tigre I, le Tigre II, et les chasseurs de chars, comme le Jagdtiger, ou les chars lourds soviétiques, tels que l'IS-1 ou l'IS-2. . Le T30 a été conçu en même temps que le char lourd T29.


Char lourd T30


Char lourd T30 dans la collection d'armures et de cavalerie de l'armée américaine 2022

Taper

Char lourd

Lieu d'origine

États-Unis

Historique des services

En service

Essais uniquement

Utilisé par

Armée des États-Unis

Historique de fabrication

Conçu

1945-1947

Fabricant

Entreprise de voitures en acier embouti

Arsenal de Détroit

Produit

1945-1947

N° construit

6

Variantes

T30E1

Caractéristiques

Masse

190 800 lb (86,5 t) chargé au combat [1]

Longueur

Canon de 43 pi 0 po (13,11 m) vers l'avant

Largeur

12 pi 5,6 po (3 800 m) au-dessus des pare-sable

Hauteur

10 pi 6 po (3,20 m) au-dessus de la coupole

Équipage

6 (commandant, tireur, chauffeur, opérateur radio, 2 x chargeur)[2]

Armure

avant de la coque 102 à 203 mm (4,0 à 8,0 pouces) maximum

bouclier du pistolet 279 mm (11,0 pouces) maximum

avant de la tourelle 303 mm (11,9 po) [2]

Principal

armement

Canon rayé T7 L/41 de 155 mm (34 coups) (T30)

Chargeur automatique de canon rayé T7E1 L/41 de 155 mm (34 cartouches) (T30E1)

Secondaire

armement

2 x 0,50 po (12,7 mm) M2HB AA (1 500 coups), coaxiaux et montés sur pivot

2 x 0,30 po (7,6 mm) Browning M1919A4, arc et coaxial (2 500 coups)

Moteur

1 791,7 pouces cubes (29,361 L) Continental AV1790-5A refroidi par air

908 ch (677 kW) nets à 2 400 tr/min

Puissance/poids

10,9 ch/t (8,1 kW/t)

Transmission

Crossdrive General Motors CD-850-1, trois vitesses (deux avant, une arrière)

Suspension

barre de torsion

Garde au sol

18,8 po (48 cm)

Capacité de carburant

350 gal US (290 gal imp; 1 300 L)

Opérationnel

gamme

260 km

Vitesse maximum

25 mph (40 km/h) (sur route)

Contenu

Premiers chars

Des plans pour quatre chars lourds pilotes furent proposés en 1944 ; deux T29 avec un canon de 105 mm et deux T30 avec un canon de 155 mm.


Les modèles pilotes T30 ont été lancés en avril 1945 et livrés en 1947.


Hormis les modifications pour s'adapter aux différents moteurs, le châssis était le même que celui du T29. Le canon de 155 mm (6,1 pouces) tirait des munitions à chargement séparé (obus et charge). Le chargeur était assisté par une pilonneuse à ressort. Le T30 était équipé de l'un des plus gros canons jamais utilisés sur un char américain. La tourelle haute et arrondie était nécessaire pour accueillir le chargeur debout et le grand support de canon. Même dans ce cas, le canon ne pouvait être chargé qu'à des altitudes limitées. Il pourrait transporter un assortiment mixte de 34 obus T35E1 HVAP (perforation de blindage à haute vitesse), M112B1 et T29E1 APCBC-HE (capuchon balistique perforant hautement explosif), M107 HE (explosif puissant) ou M110 WP (fumée).


Variantes


Un modèle pilote, désigné T30E1, était doté d'un système semi-automatique ajouté pour aider le chargeur à enfoncer les munitions dans la culasse. Cela a mis la culasse du pistolet en position, a enfoncé la cartouche du plateau de chargement dans la culasse, puis a ramené le pistolet à l'angle initial. Une trappe supplémentaire à l'arrière de la tourelle a été ajoutée pour l'éjection automatique des douilles vides.


Le poids de l'obus était de 43 kg (95 lb) et la charge de 18 kg (40 lb), soit un total de 61 kg (134 lb) pour l'ensemble de l'obus, ce qui le rendait difficile à manipuler et lui donnait une cadence de tir de seulement deux tours par minute lorsqu'il est chargé manuellement.


Deux des chars pilotes T30 ont ensuite été utilisés comme base pour le char lourd T34 équipé d'un canon de 120 mm.


Exemples survivants


 

Char lourd T30 à Fort Jackson, Caroline du Sud, États-Unis.

Il existe des exemples survivants à Fort Moore, en Géorgie. Un T30 survivant se trouve à l'Arsenal de Détroit à Warren, dans le Michigan. Un autre se trouve à Fort Jackson, en Caroline du Sud.


REF.: https://en.m.wikipedia.org

lundi 30 octobre 2023

Comment être plus visible $ sur le web:

 Comment être plus visible $ sur le web sans être vous-même :

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Comment avoir des backlinks ? (pire que ça tu vas en enfer , pire que ChatGPT et la IA )

Salut ! 🤗


On se retrouve encore une fois autour du sujet passionnant du SEO et plus précisément des backlinks. Comme tu le sais probablement déjà, un backlink est un lien d'un autre site web qui pointe vers ton site. C'est un vote de confiance qui dit aux moteurs de recherche "Hey, ce site a du bon contenu !" et qui aide donc ton site à grimper dans les résultats de recherche. 💪💻



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1️⃣ "Crée des infographies" 📊👀


Les infographies sont un excellent moyen d'obtenir des backlinks. Elles sont faciles à comprendre, attrayantes et partagées très facilement. Si tu as des informations intéressantes à partager, pourquoi ne pas les mettre sous forme d'infographie ? Ensuite, tu peux proposer à d'autres sites de la partager, en échange d'un backlink vers ton site.


2️⃣ "Organise un événement ou un webinaire" 🎤📹


Les événements et webinaires attirent l'attention et génèrent du buzz. En organisant un événement ou un webinaire, tu peux inviter d'autres sites à en parler et à créer un lien vers la page de l'événement sur ton site. De plus, les participants pourraient également partager le lien sur leurs propres sites ou blogs.


3️⃣ "Inscris-toi à ma newsletter pour des backlinks gratuits" 💌🔗


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mercredi 22 septembre 2021

Comment transmettre votre compte Google à votre mort ?

 

 

Comment transmettre votre compte Google à votre mort ?

Personne n’aime penser à sa propre mort. Pourtant, cela fait partie des choses qui doivent être anticipées, ne serait-ce que pour permettre à ceux qui restent de poursuivre leur vie. C’est dans cette optique que Google a mis en place une fonction permettant de planifier le devenir de nos comptes en cas de disparition.

Toutes les personnes qui ont été confrontées à la disparition d’un proche savent à quel point ce moment peut être difficile.


Au-delà de la peine ressentie face à cette cruelle absence avec laquelle nous devons apprendre à vivre, c’est aussi une partie de nous-mêmes que nous devons alors abandonner.

A lire aussi : Google Drive va enfin vous protéger des spammeurs

Google propose un outil pour préparer votre mort

Mais au-delà de la douleur provoquée par la disparition de l’être cher, il faut aussi compter avec ce qu’il n’est pas exagéré d’appeler le rouleau compresseur administratif. Un rouleau compresseur qui n’attendra pas votre deuil pour se manifester et que vous devrez affronter, vaille que vaille, même si vous en êtes encore à devoir étouffer les larmes que vous tentez mollement de refouler.

Google ne peut rien contre ça, tout comme Google ne peut rien non plus contre votre douleur. Ce que peut faire la firme, en revanche, c’est de s’assurer que votre compte Google tombe entre les bonnes mains lorsque vous passerez de vie à trépas.

Pour accéder à cette fonction, il suffit d’ouvrir n’importe quel service de Google, de cliquer sur votre avatar en haut à droite et d’aller chercher l’option “Gérer votre compte Google”.

A lire aussi : 10 personnes qui préféreraient ne pas apparaître dans Google Maps

Un outil très complet

Vous serez alors redirigé vers le tableau de bord regroupant toutes les fonctions propres à votre compte.

Il faudra alors suivre les étapes suivantes pour planifier le devenir de votre compte :

  1. Cliquez sur le menu “données et personnalisation” à gauche ;
  2. Descendez à l’encart “télécharger, supprimer ou planifier l’avenir de vos données” ;
  3. Cliquez sur le bouton “planifier le devenir de votre compte” ;

Google va alors lancer un assistant complet et que vous devrez suivre scrupuleusement.

Première étape, il faudra activer la gestion de votre plan en cliquant sur le bouton dédié. Lorsque ce sera fait, Google vous demandera de configurer plusieurs critères.

A lire aussi : Google célèbre les J.O. de Tokyo avec son jeu doodle le plus ambitieux à ce jour

Vous choisissez à partir de quand votre compte sera considéré comme inactif

Le premier est le plus important. Il consiste en effet à définir la période à partir de laquelle votre compte sera considéré comme inactif. Ici, vous aurez le choix entre quatre options : 3 mois, 6 mois, 12 mois ou 18 mois.

Si votre compte Google occupe une place importante dans votre vie numérique, ce qui est certainement le cas si vous utilisez Gmail, alors je vous recommande de configurer cette option sur trois mois. Si vous le faites, alors la procédure de transmission du compte s’enclenchera automatiquement à partir de ce délai.

Ce qui permettra du même coup à votre proche de confiance de gérer toutes les modalités administratives liées à votre disparition.

Attention cependant, car la transmission du compte ne sera pas immédiate. En réalité, avant de l’activer, Google tentera de vous joindre par les moyens que vous allez devoir indiquer lors de l’étape suivante de l’assistant.

Vous aurez alors la possibilité de saisir un numéro de téléphone ou une adresse mail de contact.

A lire aussi : Quand Google Earth permet à un couple de découvrir des fossiles rares

Jusqu’à 10 personnes de confiance

Ce n’est que si vous ne répondez pas aux tentatives de contact de Google que l’opération de transmission du compte sera activée. De votre côté, tout ce que vous aurez à faire, ce sera de saisir l’adresse mail de votre personne de confiance et, éventuellement, un message. Si vous ne donnez plus signe de vie à Google, alors cette personne aura accès à vos données.

Précision importante, Google vous laisse le choix des données à partager. Comme votre agenda, vos mails, vos contacts ou même vos actualités, les documents de votre Drive ou encore vos informations Google Pay.

L’outil est donc très complet et il ne vous limite d’ailleurs pas à un contact. Si vous le désirez, vous pourrez partager vos données avec un maximum de 10 personnes.

 

REF.:

vendredi 17 septembre 2021

Les 17 meilleurs outils Banque d’images

 

 

Les 17 meilleurs outils Banque d’images

Banque d’images

Retrouvez notre sélection des meilleures banques d’images pour télécharger des photos, des musiques et des vidéos libres de droits. Certains sites sont gratuits, d’autres exigent un abonnement ou un paiement en fonction du nombre d’images téléchargées.

 
 

Les 17 meilleurs outils Banque d’images

Choisir un outil Banque d’images

Une banque d’images est une base de données qui regroupe un ensemble de ressources dédiées à la création graphique : photos, vidéos, icônes, illustrations vectorielles, logos, mockups… Très prisées par les professionnels tels que les chargés de communication, les graphistes, les rédacteurs ou encore les développeurs, les banques d’images permettent de proposer des visuels de qualité et de rendre un contenu plus impactant. Ces visuels peuvent ainsi être utilisés sur des sites Internet, pour illustrer un texte, pour des flyers ou encore des packagings et des supports publicitaires. Parmi les thèmes les plus populaires, nous retrouvons : photos de paysages, fonds d’écran, architecture, affaires et travail, mode, santé, photographie de rue, technologie… Plus que de simples ressources à caractère illustratif, ces contenus visuels doivent transmettre un message, remplir un objectif précis et susciter des émotions.

Pour les professionnels de l’image ou les photographes, il est possible de vendre ses clichés et illustrations via les banques d’images. Le prix des ressources varie selon les licences (standards ou étendues) avec des critères tels que le format, le support de diffusion et la durée d’exploitation. Parmi les principaux acteurs, il existe Shutterstock, Getty Images, Adobe Stock ou encore iStock.

Les fonctionnalités principales des banques d’images destinées aux pros sont les suivantes :

  • Recherche par mot clé : en plus d’offrir des images de bonne qualité, les bibliothèques d’images se veulent simples d’utilisation puisque celles-ci fonctionnent comme des moteurs de recherche. Il existe, dans la plupart des cas, une barre de recherche située en page d’accueil qui permet à l’utilisateur de taper un ou plusieurs mots-clés en rapport avec le visuel recherché. Souvent, un tri par filtre est également possible pour affiner ses recherches.
  • Collection d’images : lorsque vous sélectionnez une image affichée dans les résultats de recherche, certaines banques d’images proposent des collections qui permettent d’accéder à des ressources qui sont similaires à celle choisie. Cette fonctionnalité permet d’accéder facilement à des nouvelles photos dans la même thématique.
  • Multiplicité des formats : les banques d’images proposent en général différents formats de ressources téléchargeables. Vous pouvez choisir votre résolution d’image (basse, moyenne ou haute résolution), le type de fichier (JPEG, PNG, SVG, PDF, AI, EPS, RAW…) et la taille de l’image en pixels. Pour les ressources vidéo, vous pouvez choisir la résolution (480p, 720p, 1080p, HD, 4K ou 8K) et le type de fichier (MP4, MOV, AVI…).
  • Recherche par image : certaines bibliothèques de photos proposent un moteur de recherche par image, qui permet de trouver une base d’images, de photos ou d’illustrations semblable à l’image renseignée.
  • Historique des téléchargements : certaines banques photos ou vidéos proposent un historique des téléchargements. Cette fonctionnalité permet de réutiliser des contenus achetés précédemment et facilite l’organisation de vos nombreuses ressources.

Les meilleures banques d’images gratuites

Pour trouver des visuels de qualité à moindre coût, il existe plusieurs banques d’images gratuites telles que Coverr, Unsplash, Pixabay ou encore Pexels. Certaines banques de ressources sont spécialisées, comme Nappy qui propose à titre gratuit des contenus favorisant la diversité.

Ces banques d’images permettent de télécharger gratuitement des ressources avec leur licence associée. Selon les types d’autorisation, vous pouvez copier, modifier, distribuer et utiliser les images, même à des fins commerciales. Dans certains cas, vous n’avez pas besoin d’ajouter d’attribution, même si citer l’auteur est vivement conseillé pour accorder de la visibilité au créateur derrière l’illustration. Il est toutefois nécessaire de respecter certaines règles si vous utilisez la photo à des fins commerciales, car le contenu représenté sur l’image ou la vidéo peut lui être soumis à une réglementation : apparition d’une marque ou d’un logo, personne ou groupe de personnes photographiées, monuments ou œuvres protégés…

Certaines banques d’images gratuites proposent également des API qui permettent aux professionnels de retrouver ces bases de données directement au sein d’autres outils tels que Canva, Trello, Dropbox, Figma ou encore Product Hunt et Zoom.

Les licences des banques d’images : libre de droits, droits gérés, Creative Commons…

Les banques d’images gratuites et payantes proposent des licences différentes en fonction des usages. Il existe deux types de licences : la licence libre de droits et la licence de droits gérés. Dans le cadre d’une licence libre de droits, vous devez payer le contenu une seule fois pour pouvoir l’utiliser comme bon vous semble. Quant à la licence de droits gérés, il est nécessaire de payer des droits à chaque usage. Il est possible de retrouver des contenus sous licence Creative Commons qui permettent de faciliter le partage des photos, vidéos et images selon différents degrés de restrictions.

Enfin, il est important d’effectuer une distinction entre l’usage commercial (contenu utilisé pour commercialiser, vendre, faire de la publicité…) et l’usage éditorial (contenu utilisé pour illustrer un article ou un propos).

Questions fréquentes sur les outils Banque d’images

Quelles sont les meilleures banques d'images gratuites ?

Parmi les meilleures banques d’images gratuites, on retrouve Unsplash, Pixabay, Pexels, Coverr ou encore Pixel Mob.

Une photo libre de droits est-elle une photo gratuite ?
Peut-on utiliser librement une photo trouvée sur Google Images ?
Quelles sont les règles à respecter quand on utilise des photos de banque d'images gratuites ?
 


lundi 21 décembre 2020

Est-il encore utile de posséder un site web en 2021 ?

 

 

Est-il encore utile de posséder un site web en 2021 ?

Il paraît que le site web est mort et aurait été remplacé par les médias sociaux, les plateformes 

de publication de contenus, les interfaces vocales ou encore les applications. Qu’en est-il 

vraiment ?

 Est-ce vraiment encore utile d’avoir un site web, à l’aube de 2021 ?

Introduction

Régulièrement, apparaissent sur la toile des articles proclamant la mort du site web.

Les principaux arguments avancés sont principalement les suivants :

  • Depuis le milieu des années 2000, les usages ont fortement évolué, avec l’avènement
  • des smartphones et des médias sociaux.
  • Il n’a jamais été aussi facile de publier du contenu grâce la multiplication des 
  • plateformes spécialisées.
  • Diverses plateformes de diffusion de contenu, chacune avec ses codes et contraintes
  •  techniques, existent. Il devient donc de plus en plus compliqué, en tant que créateur de 
  • contenu, de l’optimiser pour ces différentes plateformes.

Ces constats sont indiscutables. Après tout, si ma cible est sur les réseaux sociaux, pourquoi 

m’embêter avec un site web ? Déjà en 2016, la société MinuteBuzz faisait le pari de fermer son 

site web et de ne proposer ses contenus que sur les réseaux sociaux.

Si d’un côté, certains annoncent la mort du site web, d’autres défendent plus que jamais sa nécessité. 

Je me suis donc posé la question suivante : Que ce soit à titre personnel ou professionnel, est-il encore utile d’avoir son propre site web en 2021 ?

Spoiler pour les impatient·es : oui

Au travers de 5 raisons – très personnelles – je vais vous expliquer dans cet article/plaidoyer 

pourquoi je pense qu’on a plus que jamais besoin de son « chez-soi virtuel ».

Les intermédiaires, ça va et ça vient.

Cette formule n’est pas de moi, mais de Stéphane Deschamps qui, en 2018, se faisait déjà la 

remarque qu’« Avoir un site web, c’est (encore) bien ».

Selon les promoteurs de la mort des sites web, il existe un grand nombre de plateformes qui 

permettent la publication de contenu, la vente de produits et l’animation de communauté,

 rendant obsolète le recours au site web personnel.

Ainsi, plus besoin de dépenser de l’argent pour la création d’un site web, il suffit de se créer un

 compte sur Tumblr, Medium, LinkedIn, YouTube ou encore Soundcloud et d’y publier son 

contenu, qui sera alors visible en très peu de temps par des centaines, voire des milliers 

d’internautes. La promesse est belle et le raisonnement se tient.

Mais que se passera-t-il pour votre contenu, le jour où ces plateformes fermeront1 ?

L’histoire est truffée de services très populaires qui ont cessé leur activité du jour au lendemain,

 souvent pour des raisons économiques – généralement après un rachat par Yahoo ou AOL ,

 pour des raisons judiciaires ou tout simplement parce qu’un concurrent plus séduisant ou moins

 cher est apparu.

Sans aller jusqu’à la fermeture, il y aura forcément un moment où vos intérêts et ceux de ces

 services ne seront plus alignés. Il suffit de lire les témoignages de personnes qui ont quitté 

Medium pour revenir au blog. Celui de Signal v. Noise (en anglais) étant peut-être le plus emblématique.

Dans le meilleur des cas, vous aurez la possibilité de récupérer votre contenu dans un format exploitable et pourrez le transférer avec plus ou moins de facilité sur une autre plateforme. Mais,

le 

cas le plus probable est que le seul moyen pour vous de le récupérer est de vous y prendre

 suffisamment tôt pour faire des copier/coller…

Vous faites ce que vous voulez de votre contenu, quand vous

 le voulez

Avant de continuer, laissez-moi vous parler d’Andrés Iniesta.

Andrés est un père de famille madrilène, amateur de vélo et de nourriture. Comme des millions

 de personnes, il possède un compte Instagram sur lequel il publie des photos de son quotidien.

Un jour de juillet 2015, alors qu’il est en vacances, Andrés constate qu’il ne peut plus se connecter

 à son compte et que ce dernier a été fermé, pour infraction aux conditions d’utilisation de la plateforme.

Quelques jours plus tard, des amis lui signalent qu’ils voient apparaître dans leur flux d’actualité 

des photos d’Andrés Iniesta, la star du football espagnol, alors même qu’ils n’aiment pas le 

football.

Andrés commence alors à comprendre que son compte a en quelque sorte été « volé » par le

 sportif, avec l’accord d’Instagram qui a cru que c’était un imposteur.

Sa seule « erreur » : avoir le même nom qu’une célébrité.

Heureusement, l’histoire se termine bien pour lui et il a pu récupérer son compte. Ironie du sort,

 Andrés raconte sa mésaventure sur Medium (en anglais). Jusqu’à ce que son homonyme se mette

 à écrire sur cette même plateforme ?

S’il avait publié ses photos sur son site, celles-ci auraient peut-être eu moins de portée, mais il est

 fort probable que cette mésaventure ne lui soit jamais arrivée.

N’oubliez pas que quand vous utilisez ces plateformes vous n’en êtes pas propriétaire. Comme l’écrit

 le site Biteable à propos d’Instagram Checkout2 :

Vous ne posséderez pas votre plateforme e-commerce.

Vous participez à la version e-commerce d’Instagram et c’est Instagram qui est en charge de ce qui s’y passe.

Votre contenu est moins à la merci d’algorithmes qui changent arbitrairement

Un peu plus tôt, je vous parlais de MinuteBuzz qui avait fait le pari de tout miser sur les réseaux sociaux. Fin 2016, la société se fait également racheter par TF1 qui, en novembre 2019, décide d’évincer les deux fondateurs3.

La raison invoquée ? Une baisse des résultats, provoquée en grande partie par les modifications

 de l’algorithme de Facebook qui ont donné moins de visibilité aux contenus de MinuteBuzz.

Quand vous misez uniquement sur ce type de plateforme pour publier vos contenus, vous êtes à

 la merci de changements brutaux d’algorithmes qui peuvent radicalement nuire à votre 

visibilité.

Vous allez me dire qu’avec un site web, vous êtes à la merci des algorithmes des moteurs de 

recherches. Certes, mais – à mon sens – il est beaucoup plus facile de les dompter que ceux des 

médias sociaux, car ils sont mieux documentés et s’attaquent principalement aux contenus de 

 mauvaise qualité.

En outre, s’il est insensé de tout miser sur un service tiers pour publier ses contenus, il l’est tout 

autant de ne miser que sur les moteurs de recherche pour les promouvoir. De manière générale,

c’est rarement une bonne idée de mettre tous ses œufs dans le même panier.

Il n’y a pas tant de compétition que ça

D’après le site Internet live stats, sur les bientôt 2 milliards de noms de domaines recensés, seuls 

200 millions sont réellement actifs. Sur ces 200 millions, on compte une immense partie qui sont 

des petits sites amateurs, ou confidentiels.

Selon moi, l’argument de la trop forte concurrence – souvent avancé pour justifier l’abandon du

 site web personnel (dans le sens de qui nous appartient) – n’est pas justifié et doit être relativisé.

Globalement, il y a très peu de sites de qualité, a fortiori si vous êtes dans un marché de niche. Il

peut donc être assez facile de sortir du lot (à condition d’y mettre un minimum de moyens humains, techniques et financiers).

Même dans un domaine concurrentiel, il y a toujours moyen de tirer son épingle du jeu. Il suffit de 

voir le nombre d’agences ou de freelances qui vendent des prestations de création de sites web et 

qui ont un site tout droit sorti des années 90…

Selon moi, il est beaucoup plus facile d’être bien positionné dans les moteurs de recherche que

 sur LinkedIn ou Medium, pour ne citer qu’eux. Sur ces plateformes, pour être visible, il faut 

publier beaucoup de contenu, et surtout rentrer dans des cases pour faire plaisir à l’algorithme. Ce 

qui tend à uniformiser les publications.

Avec un site web, c’est moins vrai. Bien sûr, il y a des bonnes pratiques à respecter (coucou Opquast 

ou Dareboost), mais ce ne sont pas des obligations.

Parce que le web a besoin de diversité

Imaginez un monde où, pour consulter un contenu ou faire vos achats, votre choix se limiterait à 

quatre ou cinq services. Même si dans ce monde, ces services sont plus sociaux et respectueux de la 

vie privée (soyons utopistes !), ça serait triste, non ?

Lorsque Tim Berners-Lee a créé le Web, il a imaginé que chaque internaute qui le souhaite puisse 

avoir son petit espace personnel, qu’il soit public ou privé. Sa maison virtuelle en quelque sorte (d’

où l’invention du terme home page (en anglais)).

À mes yeux, le principal intérêt du web est sa diversité. C’est un espace de liberté et de créativité 

sans précédent, qui se matérialise par le site web.

Qu’il s’agisse d’une yourte, d’un pavillon dans un lotissement, d’une maison d’architecte, d’un appartement en colocation ou d’un bunker, peu importe. L’essentiel est que votre maison virtuelle 

soit

 à votre image et que vous vous y sentiez bien.

Et si vous avez envie de changer la peinture, de bouger les meubles, voire de casser quelques 

murs, personne ne peut vous en empêcher !

Quelle place pour le site web en 2021 ?

Vous l’aurez compris, je suis fortement attaché à la maîtrise, voire à la propriété, de ses outils de publication de contenu. Il s’agit toutefois d’un avis très personnel, que vous ne partagez peut-être

 pas.

Les services de publication de contenu sont bien sûr des outils formidables pour les auteurs et

 autrices débutantes. Tout comme Instagram Checkout peut être une alternative intéressante 

pour débuter dans le e-commerce. Il en faut pour tout le monde, et c’est une bonne chose que ces services existent. Toutefois ils ne sont généralement qu’une étape avant d’en revenir au bon vieux 

site web.

De ce fait, quelle place peut occuper le site en web en 2021 ? La réponse à cette question est très

 simple et très complexe : cela dépend de votre stratégie. Comme en 2020 en fait…

En revanche, quelle que soit votre stratégie, elle doit prendre en compte le fait que vos contenus

ne 

vont probablement pas être lus, regardés ou écoutés sur votre site web. Il faut donc qu’ils soient accessibles sur d’autres supports, même si à la base ils sont publiés sur votre site web.

C’est en cela que je trouve le principe POSSE (Publish (on your) Own Site, Syndicate Elsewhere) intéressant. Il consiste, comme son nom le laisse supposer, à publier un contenu d’abord sur son

 site web, puis de le syndiquer ailleurs.

Il vient en opposition au principe PESOS ( Publish Elsewhere, Syndicate (to your) Own Site) qui consiste en l’inverse : un contenu est d’abord publié sur un service tiers (Facebook, Twitter…) puis 

est syndiqué sur votre site – grâce à l’affichage d’un flux par exemple.

L’image suivante représente de manière visuelle ces deux principes :

Le principe POSSE a d’ailleurs fait l’objet d’une conférence à Paris Web en 2019, que je vous

 laisse découvrir pour en savoir plus.

Conclusion

N’en déplaise à ses détracteurs, le site web n’est pas mort, loin de là ! Au contraire, à mes yeux, 

son rôle est plus que jamais central pour qui recherche un minimum d’autonomie numérique.

Dans cet article, j’ai listé cinq avantages du site web sur d’autre supports de diffusion de contenu.

 Il en existe probablement des centaines d’autres.

Quelle est pour vous la principale raison d’avoir (ou de ne pas avoir) son propre site web ?

mercredi 15 avril 2020

Vieux problêmes toujours a la mode ,vol d'identité: Ça sent la marde !

Vieux problêmes toujours a la mode ,vol d'identité: Ça sent la marde !

-RSSing

-Yatedo,Yatedo est un moteur de recherche sémantique de personnes qui aide ses utilisateurs à retrouver et à contacter n’importe qui via le web1.

-ProfileEngine

-vol de donné sensible,sur tout ce qui est blog,réseau social,Facebook,Google,moteur de recherche ... depuis 2012 et plus !





vol d'identité, vol de donné, Google, facebook, rssing, RSS, Blogger, Blog, feedburner est mort, moteur de recherche,



La CNIL adresse un avertissement à Yatedo

Tu veux ma photo?  
La CNIL a annoncé hier avoir adressé un avertissement à Yatedo, une société française proposant un moteur de recherche agrégeant des données personnelles rendues publiques par les internautes sur des réseaux sociaux comme Viadeo ou LinkedIn. Pour l'autorité administrative, Yatedo manquait à certaines obligations imposées par la loi Informatique et Libertés de 1978, concernant notamment le droit d'opposition des utilisateurs.


Comme l’explique la CNIL, les sites Yatedo.com et Yatedo.fr diffusent « des fiches nominatives sous la forme de curriculum vitae, contenant notamment l’identité, les expériences professionnelles, la formation et la photographie » d’internautes ayant mis publiquement à disposition certaines informations sur d’autres sites Internet. Entre février 2011 et mars 2012, l’autorité administrative reçoit plus d’une trentaine de plaintes s’agissant de cette société. Certaines de ces requêtes lui ont même été transmises par ses homologues britanniques et néerlandaises.

En cause : l’attitude de Yatedo, qui ne répondait pas à leurs demandes de suppression de données. Dans certains cas, certains individus s’alarmaient même de voir des informations « périmées » toujours mises en avant sur le site Yatedo. La CNIL relate ainsi la situation d’un plaignant qui indiquait « que les informations de son profil LinkedIn étaient mises en ligne sur le site " yatedo " alors que son profil était supprimé depuis plus de deux ans ». L’autorité administrative relève par ailleurs que ce problème est d’autant plus gênant que les informations diffusées par Yatedo se trouvent par la suite référencées « par répercussion (...) par les moteurs de recherche tels que Bing, Google et Yahoo ! ».



Le 22 novembre 2011, la CNIL décide d’ouvrir une mission de vérification auprès de la société, après que la grande majorité de ses propres courriers soient eux aussi restés lettre morte. Convoqués par la Commission, les responsables de la société ne se rendent pas non plus à l’audition. Au total, l’autorité aura envoyé plus de trente lettres, dont une vingtaine en recommandé avec accusé de réception.

Des manquements à la loi de 78 et un défaut de coopération avec la CNIL

Dans une délibération (disponible en PDF) en date du 1er juin, la Commission a décidé d’adresser un avertissement à Yatedo, dans la mesure où la société a méconnu la loi de 1978 sur plusieurs aspects.

En effet, la CNIL considère dans un premier temps que Yatedo a manqué à son obligation de mise à jour des données : « [Yatedo] a permis la diffusion de données périmées, provoquant des préjudices d’image et de réputation aux personnes concernées, susceptible d’être autant plus grands que les informations et images figurant sur des réseaux sociaux ou des blogs, par nature, évoluent très rapidement ».

Deuxièmement, la CNIL estime que Yatedo n’a pas respecté « le droit d’opposition des personnes [pourtant] garanti par la loi » de 1978. « Il n’est pas acceptable que le développement d’une activité commerciale reposant exclusivement sur l’indexation des données à caractère personnel de personne sur les réseaux sociaux ne prenne pas en compte (...) des procédures permettant à ces personnes de faire respecter leurs droits de manière effective, rapide, et durable ».

La CNIL s’est enfin attaquée à l’attitude de la société, qui n’a répondu que dans de faibles proportions à ses demandes. Le message est relativement clair : « Une telle attitude, si elle ne relève pas de la mauvaise foi, s’apparente à tout le moins à une forme de négligence inacceptable ».

L’autorité administrative relève néanmoins que la société n’a jamais nié les faits qui lui sont reprochés, et a annoncé qu’elle allait faire des efforts pour résoudre certains problèmes. Un salarié dédié à la gestion et aux « traitement[s] des demandes d’exercice du droit d’opposition » des utilisateurs aurait ainsi dû prendre ses fonctions au 1er juin. La société s’est également engagée à « supprimer les profils de l’ensemble des personnes ayant porté plainte auprès de la CNIL », ainsi qu’à « simplifier sa procédure d’opposition et de réduire les délais de traitement des demandes de suppression ».

Yatedo écope finalement d’un simple avertissement, la plus petite sanction que peut prononcer la CNIL. Ce dernier a toutefois été rendu public, ce qui marque la détermination de l'autorité administrative face à l'entreprise. Si les manquements condamnés par la Commission perduraient, d’autres sanctions plus importantes pourraient alors être envisagées.

Précisions : la société mise en cause nous a apporté de précieux éléments de réponses après la délibération de la CNIL. Si elle n'a pas répondu aux demandes de celle-ci c'est tout simplement parce que la start up n'avait aucune structure sociale ni adresse fixe : les courriers étaient adressés à l'ex employeur d'un des cofondateurs, qui se gardaient de les transmettre à ce dernier. Une fois alertés, les cofondateurs se sont bien rendus dans les locaux de la CNIL pour 2 heures et demi d'audience afin de s'expliquer sur ce faux pas de jeunesse. La société poursuit aujourd'hui son ascension en ayant encadré sa politique de données personnelles, conformément aux voeux de la CNIL. (M.R.)

REF.: