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jeudi 18 avril 2013

Snapchat: 3 Vs Instagram : 0

Phénomène - Snapchat génère trois fois plus d'images qu'Instagram
L'application Snapchat permet de profiter de clichés pendant un laps de temps limité. 
Photo stormy / Fotolia


Le PDG de Snapchat, Evan Spiegel, annonce que plus de 150 millions d'images sont envoyées chaque jours depuis son application de prise de vues autodestructrices, rapporte le site Venture Beat.

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Snapchat, une application permettant le partage de sextosInstagram atteint les 100 millions d'utilisateurs

Ce score est à comparer à celui d'Instagram, référence en matière de partage de photos via un terminal mobile et qui revendique de son côté quelque quarante millions de photos échangées.
L'originalité de Snapchat est de pouvoir prendre des photos puis de les partager avec ses amis, mais aussi de pouvoir déterminer pendant combien de temps l'image pourra être vue. De cette manière, il devient amusant de s'échanger, sans risque, des photos tantôt rigolotes, honteuses, voire même coquines.
L'application Snapchat est à télécharger sur l'App Store (iOS) et Google Play (Android).


Libon, les appels et les textos sont gratuits Vs Skype payant

Concurrent de Skype - Avec Libon, les appels et les textos sont gratuits
 
Photo Andres Rodriguez / Fotolia


Après avoir fait son apparition sous iOS en novembre 2012, l'application de communication gratuite Libon arrive sous Android.
Lancée par Orange, elle permet de passer gratuitement des appels voix en haute définition et d'envoyer des messages instantanés en illimité aux autres utilisateurs, ce qui la place en concurrente directe de Skype.
Les appels voix en haute qualité sont gratuits et illimités entre utilisateurs Libon, où qu'ils se trouvent, dans le même pays ou à l'autre bout du monde.
La messagerie vocale de Libon offre quant à elle des fonctionnalités avancées, telles que la personnalisation du message d'accueil pour certains contacts, ou encore la transcription écrite des messages laissés sur le répondeur.
Des données partagées dans le cloud
Libon rassemble toutes les conversations récentes par contact, qu'il s'agisse d'appels, de messages vocaux ou de texte. Tout est conservé dans le nuage de l'application, les données peuvent donc être récupérées lorsque l'utilisateur change de terminal. Tous ces contacts peuvent ensuite être classés dans des groupes (famille, amis, collègues, etc.).
Une version Premium permet d'appeler 1h vers plus de trente destinations des contacts qui ne disposent pas de l'application et de personnaliser son répondeur pour un nombre illimité de contacts. Elle offre aussi la transcription intégrale de tous les messages vocaux, limitée à quinze secondes dans la version gratuite.
Libon fonctionne aussi bien en 3G qu'en Wi-Fi, sur les réseaux de l'ensemble des opérateurs.
Découvrir Libon: libon.com
L'application Libon est à télécharger sur l'App Store(iOS4.3) et Google Play (Android).


REF.:

Bitcoin: une monnaie privée , une menace pour les gouvernements ?

Surévaluation - La mystérieuse monnaie Bitcoin: excitation précipitée?

Photo Piotr Pawinski / Fotolia


WASHINGTON - Le bitcoin, la mystérieuse monnaie des férus d'internet présentée comme un moyen «cool» de s'affranchir des banques centrales, a subi la semaine dernière son premier véritable «krach», sous la pression de spéculateurs inconnus, suscitant des doutes sur son avenir.

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Bitcoin, la monnaie virtuelle qui bousculera le dollar

Le prix de cette monnaie virtuelle prisée par les «geeks» a connu une surprenante ascension ces dernières semaines, avant d'être divisé par cinq en trois jours.
Inventé en 2009 après la crise financière mondiale par un mystérieux informaticien caché sous le pseudonyme de Satoshi Nakamoto, le bitcoin a subi jeudi «un effondrement majeur», a admis vendredi dans un courriel à l'AFP Gavin Andresen, responsable scientifique de la Fondation Bitcoin.
«Il y a eu beaucoup de spéculation de court terme», explique-t-il, «avec des gens qui voient que le prix monte et veulent se lancer, faire de l'argent, et ensuite s'en aller avant que (le prix) s'effondre».
Le bitcoin, dont le prix a grimpé jusqu'à 266$ mercredi, ne valait plus que 54$ vendredi, selon la plateforme Mt. Gox, qui gère 80% des échanges de bitcoins, et a dû fermer ses portes momentanément jeudi.

Son effondrement brutal survient en février 2014[2], et serait dû à un piratage informatique. Les pirates auraient en effet réussi à détourner 744 408 bitcoins correspondant à des transactions refusées à tort, sans que la manœuvre informatique soit détectée par une réconciliation quotidienne des opérations par Mt. Gox[3],[4].
 La volatilité du prix «n'est pas bonne pour le bitcoin», reconnaît M. Andersen. Mais «à fur et à mesure que le bitcoin prend de la valeur, et que les infrastructures qui l'entourent atteignent une certaine maturité, son prix par rapport aux autres devises deviendra plus stable», promet-il. Cela pourrait prendre «quelques années» et passer par des moments «chaotiques», admet-il cependant.
Selon certains analystes, la hausse vertigineuse du bitcoin aurait été provoquée par des investisseurs russes et chypriotes qui cherchaient à mettre leurs euros à l'abri au moment de la crise financière de Chypre.
Mais pour le professeur d'économie Steve Hanke, de l'université John Hopkins à Baltimore (Maryland, est des Etats-Unis), la bulle des bitcoins a «éclaté» sous la pression d'investisseurs «majoritairement américains».
Le bitcoin reste «une aventure spéculative, très incertaine», car «c'est une monnaie qui n'est pas soutenue par un bien» réel mais utilisée comme un investissement, explique-t-il.

Haut degré d'anonymat

James Surowiecki avait pointé ce risque du doigt, dans la revue du Massachusetts Institute of Technology en août 2011. «Avec des devises ordinaires, il y a une limite à la spirale (de la baisse des prix) car les gens ont besoin de manger, de payer leurs factures" alors qu'avec le bitcoin "on peut très bien se porter sans jamais les dépenser».
Les frères Winklevoss, qui accusent le fondateur de Facebook Mark Zuckerberg de leur avoir volé l'idée du réseau social, ont indiqué jeudi au New York Times avoir acheté pour 11 millions de dollars de bitcoins, saluant un système affranchi «de la politique et de l'erreur humaine».
Mais le sytème est complexe.
Le bitcoin est «créé» («mined») par la résolution de programmes mathématiques complexes générés par ordinateur. Le logiciel de ces programmes pose une difficulté exponentielle à la «frappe» de nouveaux bitcoins, dont le nombre est limité à 21 millions.

 Tout tourne autour de l'argent.L'argent numérique : des recoins d'un marché noir sur le web, à des travailleurs en Chine qui creusent une nouvelle forme d'argent,car installer des serveurs de blockchain coûtent très peu cher dans ce pays, comparé aux USA.Comme la HaoBTC qui est en chine,c'est un  Chinese web wallet.(selon Z-télé a l'émission Dark Net).
 Ceci comporte des enjeux élevés .Il y a plusieurs règles inviolables enchassées dans son code l'une d'entre-elles étant qu'il n'y aura jamais plus de 21 millions de bitcoins, et aussi que la quantité de bitcoins qui peuvent être minés a la fois sera réduite de moitié environ tous les 4 ans. Ce qui pourrait vraiment nuire aux activités commerçiales,parce que les clients reçoivent 25 bitcoins par bloc,mais a ce moment-la ,ils n'en recevront plus que 12 et demi.Si le prix du bitcoin n'augmente pas,ils gagneront la moitié de ce qu'ils gagnaient avant . Il y aura 3 scénarios possibles après la réduction de moitié: le premier et le meilleur,c'est que la spéculation va faire grimper les prix.Le 2ième,c'est qu'il ne se passera rien Et voici le 3ième scénario: qui fait peur,une tonne de machines seront plus rentables,les gens vont se débrancher,et il y aura une liquidation massive.Ça pourrait faire chuter le prix ,très très bas.Je compare ça au bogue de l'an 2000 . On réfléchit beaucoup a ce qu'on pourrait faire pour s'y préparer,mais en fait,il n'y a rien a faire. On ne peut qu'attendre que ça se produise!
 
Cette complexité favorise le risque, a estimé la Banque centrale européenne, dans un rapport publié en octobre.
Les échanges sont en outre totalement anonymes. Et ce «haut degré d'anonymat» peut conduire le bitcoin à devenir une «alternative monétaire au trafic de drogue ou au blanchiment d'argent», selon la BCE.
La BCE met aussi en garde contre un fonctionnement à la «Ponzi», système qui consiste à rémunérer les premiers investisseurs par les dépôts d'investisseurs ultérieurs, utilisé par l'escroc Bernard Madoff. Les utilisateurs de bitcoins ne peuvent en effet retirer leur argent que si d'autres personnes veulent leur acheter des bitcoins.
Enfin, le système sur internet n'a pas échappé aux attaques informatiques, comme ces "«valises» virtuelles de bitcoins hackées en 2011.
M. Hanke modère toutefois les critiques de la BCE. «Si une monnaie privée devient une menace pour les gouvernements, ces derniers trouveront plein de raisons pour dire qu'il s'agit d'une mauvaise idée».




Streaming: Visiter Napster.fm

Lecteur de musique - Napster.fm: nouveau service de streaming sur la toile?
 
Photo Foxy A / Fotolia

Napster.fm: nouveau service de streaming sur la toile?

Ces derniers jours, un nouveau site de streaming musical a vu le jour sur internet, Napster.fm. Créé par un étudiant, il s'inspire beaucoup du site éponyme de partage de musique, mais n'y est pas du tout affilié.

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Napster, qui a vu le jour en 1999, proposait d'abord du partage gratuit de fichiers de poste-à-poste («peer-to-peer»), avec une forte prédominance pour les fichiers audios, mais s'est rapidement fait rattraper par la loi. Le service a dû mettre la clé sous la porte en 2001, suite à quoi la marque et le logo Napster ont été acquis par Roxio pour le lancement d'une version payante du site appelée Napster 2.0, avant que Rhapsody ne le rachète.
Mais comme l'explique TechCrunch dans un article, ce nouveau service de streaming de musique appelé Napster.fm qui vient de voir le jour sur la toile ne serait pas du tout affilié à Napster.
Napster.fm a été conçu par un étudiant de Carnegie Mellon (Pittsburgh) dénommé Ryan Lester et n'est autre qu'un lecteur de musique sur internet qui incorpore les fonctionnalités des réseaux sociaux, comme la possibilité de créer des listes de lecture et de les partager avec ses amis. Pour ceux qui cherchent à connaître de nouveaux artistes, Napster.fm propose aussi le «service de découvertes» qui permet de visualiser les morceaux que les autres ont écoutés.
Ce site permet aussi de créer des groupes d'amis et de désigner un «DJ» parmi ses membres qui choisira le prochain morceau à écouter. Le service partage certaines similitudes avec le Napster d'origine comme la fonction de clavardage et la possibilité de transférer des chansons entre amis.
Contrairement à d'autres services de streaming en ligne comme Spotify, pas besoin de télécharger de logiciel pour accéder à Napster.fm et les utilisateurs peuvent aussi synchroniser le service sur tous leurs navigateurs.
Par ailleurs, Ryan Lester a un bon sens de l'humour et n'hésite pas à lancer dans l'onglet des questions les plus fréquentes: «Serai-je poursuivi en justice en utilisant ce service?», et de répondre: «Absolument», question suivante : «Oh putain c'est vrai?» à laquelle il répond un laconique: «Non».
La nature de source libre de Napster.fm fait que le service pourrait perdurer même s'il devait fermer.
Visiter Napster.fm sur: http://napster.fm 



REF.:

Windows « Blue » : plus qu’un simple Windows 9



Technologie : D’après des informations de ZDNet, Blue désigne une mise à jour majeure. Mise à jour qui ne concernera pas seulement Windows, mais aussi Windows Phone, Windows Server et les services en ligne. Objectif pour l’éditeur : une évolution Blue à un rythme annuel.Présentée initialement comme la prochaine mise à jour majeure de Windows, un Windows 9, Windows Blue devrait être bien plus que cela. Dès novembre dernier, The Verge avançait l’hypothèse selon laquelle « Blue » introduirait une approche commune pour Windows et Windows Phone.
Mais d’après des informations recueillies par ZDNet, Blue est même un peu plus que cela encore. D’après une source, qui souhaite rester anonyme, le nom de code « Blue » ferait référence à la prochaine évolution majeure de Windows Phone, les services Windows (SkyDrive, Hotmail…) et Windows Server.
En clair, Blue est une vague de mises à jour logicielles. Des mises à jour qui par ailleurs ne devraient pas s’effectuer toutes à une date identique. En plus de ces évolutions Blue, Microsoft continuera naturellement de procéder à des changements mineurs, dont l’ajout de fonctionnalités pour Windows 8, Windows RT, Windows Services, et Windows Phone.
Pour Windows Phone, cette prochaine mise à jour a ainsi pour nom de code Portico. Avec Blue, une étape de mise à jour majeure, Microsoft ambitionne ainsi de changer le cycle d’évolution de ses produits, jusqu’à présent de deux à trois. Avec Blue, la mise à jour de la plate-forme (Server, Windows, etc) devient annuelle.


La plateforme Films/DVD UltraViolet s'étend de plus en plus en Europe


En effet, le directeur général du DECE (Digital Entertainment Content Ecosystem), l’organisation qui supporte le projet UltraViolet, Mark Teitell, a annoncé officiellement que la France et l’Allemagne seraient les prochains pays à accueillir UltraViolet. Viendront ensuite la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas.
Mark Teitell en a profité pour réaffirmer sa volonté de passer à la vitesse supérieure au Royaume-Uni où l’on compte 500.000 comptes ouverts, tandis qu’il y en a plus de 11 millions aux Etats-Unis. Il vise le million de comptes pour la fin de l’année chez nos voisins anglais. Désormais, les géants de la distribution comme Tesco (au Royaume-Uni) et Wal-Mart (aux Etats-Unis) ont rejoint le projet.
Dans une interview à Homemedia Magazine, Mark Teitell revient également sur le fait que les plus grandes plateformes de l’internet ne sont pas (encore) dans le projet UltraViolet. En effet, iTunes, Amazon, Google Play et Xbox Video Store ne sont pas compatibles avec UltraViolet . Néanmoins il déclare : « la porte reste ouverte pour chacune de ces sociétés. Concernant Apple, le point essentiel pour les consommateurs est que UltraViolet fonctionne avec iPad et iPhone à travers des applications tierces ». Nous n’avons pas pu vérifier ce dernier point, mais il est vrai qu’une interopérabilité qui ne prend pas en compte ces acteurs et les programmes de Disney n’est pas une véritable interopérabilité pour le consommateur final.
Pour ce qui est du marché français, très peu d’informations sont disponibles concernant le lancement d’UltraViolet. A date, aucune grande enseigne de la grande distribution n’a confirmé sa participation au projet, mais surtout aucun éditeur vidéo n’a fait d’annonce en ce sens. On peut légitimement penser que l’annonce faite au PEVE va déclencher la mise en œuvre opérationnelle et que tous les aspects relatifs au coût de la plateforme, aux relations entre les acteurs du projet et que les questions concernant la propriété des données ont été résolues. Point positif, le coût d'accès à la plateforme aurait été nettement revu à la baisse : 50.000 euros au lieu de plusieurs centaines de milliers d'euros dans sa version initiale de 2012, selon les informations obtenues au Royaume-Uni. Mais cela suffira-t-il a attirer les petits éditeurs français, ceux là même qui sont les ambassadeurs de l'exception culturelle ? Nous en saurons plus lors de la venue à Paris des représentants du DECE fin juin.
Reste à savoir si cette forme d’interopérabilité rencontrera le succès auprès d’un public certes multiéquipé, mais pas forcément bien informé des procédures d’enregistrement de tous ses terminaux. Car au final, ce que n’a pas dit le Directeur de DECE, c’est le niveau d’usage des programmes labellisés UltraViolet.
Alors, UltraViolet, rempart efficace contre le piratage, booster des ventes de DVD et de Blu-Ray et solution de partage universelle, cela reste à démontrer.


Les caméras de surveillance sont des passoires



Alors qu’elles sont censées nous protéger, les caméras de surveillance sur IP ont en fait un très faible niveau de sécurité informatique et peuvent facilement être hackées.

C’est un peu l’histoire de l’arroseur arrosé. Très à la mode dans nos sociétés hypersécuritaires, les caméras de surveillance sur IP sont censées nous apporter un meilleur niveau de protection des biens et des personnes. Or, en vérité, un grand nombre de ces caméras sont des passoires informatiques. Résultat : des cybercriminels peuvent, sans grande difficulté, y accéder, visionner les flux vidéos, espionner des réseaux locaux, voire les transformer en botnet. C’est un comble.
En effet, deux chercheurs en sécurité de la société Qualys – Sergey Shekyan et Artem Haruthunya – se sont récemment penchés sur le problème. Ils ont présenté leurs conclusions lors de la conférence Hack in the Box, qui s’est déroulée à Amsterdam les 10 et 11 avril derniers. Grâce à Shodan, un service qui référence tout un tas d’appareils connectés sur internet, ils ont identifié plus de 100 000 caméras dans le monde. En dépit d’un grand nombre de modèles et de marques différentes, la plupart d’entre elles s’appuient sur des bases matérielles et logicielles similaires, et de surcroît faiblement sécurisées.  

Un toolkit pour hacker les caméras

Souriez, vous êtes filmés.
agrandir la photo
Ainsi, environ 20 % des caméras identifiées sont totalement ouvertes, et accessibles sans mot de passe par l’identifiant « admin ». Et dans 99 % des cas, le système d’exploitation des caméras identifiées (firmware) est suffisamment vulnérable pour court-circuiter la procédure d’authentification, grâce à une faille critique découverte en mars 2013. Une fois pénétré dans le Saint des Saints, presque tout est possible. A titre d’exemple, les chercheurs ont fait une démonstration avec des caméras de la marque Foscam, qui est particulièrement présente dans le marché des caméras de surveillance low-cost. Les chercheurs ont développé un toolkit qui permet de créer une porte dérobée et de modifier le firmware pour y insérer, par exemple, un service proxy.
Ce n’est pas la première fois que les caméras IP sont pointées du doigt. En janvier dernier, les webcams de la marque TrendNet ont été épinglées, car elles sont très facilement accessibles. Des hackers avaient même créé une carte Google mondiale des webcams ouvertes à tous, histoire d’attirer l’attention sur cette faille de sécurité béante. Le problème, c’est que ces appareils sont rarement mis à jour par leurs propriétaires. Donc même quand une faille est découverte et documentée, les vulnérabilités subsistent longtemps...  
Lire aussi :
Google désactive la carte mondiale des webcams privées ouvertes à tous        
REF.: 
Sources :
La faille critique de mars 2013
La présentation de Sergey Shekyan et Artem Haruthunya
Le service Shodan, également appelé le « Google des hackers »



mardi 16 avril 2013

Médicaments pour réussir ?


PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, PIERRE-PAUL POULIN
François (nom fictif), étudiant en génie à l’École de technologie supérieure, a admis avoir consommé du Ritalin pendant ses examens lors d’une fin de session entière.

Médicaments pour réussir

Des étudiants achètent des cachets sous le manteau pour améliorer leur performance.

lundi 15 avril 2013

4G en France: 30% d"efficacité ,on passe de 100 a 30 Mbps en pratique


4G décevante : un débit moyen de 30 Mbit/s



Les premiers utilisateurs 4G (LTE) annoncent un débit moyen de 30 Mbit/s, un résultat décevant pour les 100 Mbit/s théorique annoncés par les opérateurs.
La 2G a eu une petite époque, réservé aux avant-gardistes et professionnels elle était tout de même plus répandu que la 1G que très peu de personnes ont connues. La 3G a été plus efficace, permettant bien plus de tâches nécessitant internet sur les téléphones mobiles, elle a été le déclic pour l’utilisateur « lambda » qui a pu avoir accès en dehors de chez lui à internet. La 3G+, gardant le nom de sa petite sœur bien connue, reprenait quasiment la technologie (évolution logicielle) en augmentant le débit alloué aux utilisateurs, un format plus « professionnel ». Un vrai réseau 3G est présent sur la France.
Malheureusement la 4G, même si elle se base sur la 3.9G, est encore loin d’être accessible partout en France. Actuellement, seules quelques grandes villes de France disposent d’un réseau 4G(LTE) mais pas forcément ouvert au public, parfois seulement les professionnels y ont accès. Cette pré-phase d’accès à la 4G est l’occasion pour les opérateurs de faire des tests de grande envergure, tester la réalité par rapport aux études théoriques. C’est durant cette phase que le réseau, même si elle est bien plus puissante que la 3G (ou la 3G+) à révéler un débit pour la 4G assez décevant de 30 Mbit/s au lieu des 100 Mbit/s (voir 150 Mbit/s) estimés.
debit 4G 4G décevante : un débit moyen de 30 Mbit/s
Débit 4G en France

Un débit 4G de 30 Mbit/s d’après DegroupTest

DegroupTest, un service qui permet de mesure le débit lors d’une connexion à mesurer un débit de 30 Mbit/s en moyenne sur le descendant (du net vers votre smartphone) et de 6 à 8 Mbit/s sur l’ascendant (de votre smartphone vers le net). Ces résultats sont sortis d’une étude de 137 000 tests réalisés dans les zones disposant du 4G (LTE). Le débit 4G est donc bien en dessous du théorique sans être alarmant d’une part parce que le réseau des différents opérateurs n’a pas été totalement déployé (le test a été réalisé sur le 4ème trimestre 2012), des ajustements sur le réseau peuvent aussi être intervenu perturbant légèrement les tests. A voir donc sur des études à plus long terme.
Nous avons tester quelques applications de test de débit 4G peut convaincante