Marre de l'espionnage de Windows 10 ? Passez sur Linux !
Avis d'expert : Si malgré la
possibilité de bloquer la collecte de données personnelles, vous jugez
Windows 10 toujours trop indiscret(c'est devenu un OS Hybride orienté bureau/cloud), alors il est temps d'envisager une
alternative : le bureau Linux, et notamment Linux Mint 17.2 avec
l'interface Cinnamon.
Vous pouvez essayer de désactiver la collecte et le partage de données dans Windows 10, mais, mauvaise nouvelle, l'OS continuera de partager malgré tout certaines de vos données. Il reste néanmoins une solution : migrer sur Linux.
Linux
Mint offre une interface comparable à celle de Windows, mais sans
présenter les mêmes inconvénients en termes de collecte de données
personnelles. La distribution peut par conséquent constituer une
alternative sérieuse.
Pas de fuites de données persos sur Linux
Car
avec Windows 10, si vous pouvez en grande partie stopper le partage de
données, le paramétrage ne peut pas toujours être complet. Cortana,
l'assistant personnel de Windows 10, par exemple, partagera toujours des
données avec Microsoft, même lorsqu'il est désactivé.
Si vous utilisez Cortana, vous partagerez ainsi vos frappes clavier et commandes vocales
avec Microsoft. Cela doit permettre à Cortana et à d'autres
applications Microsoft de fonctionner de façon optimale. Mais si votre
première préoccupation est la confidentialité, tirez un trait sur
Cortana.
Il y a un autre problème. Voyez-vous, Windows 10 ne
fonctionne pas comme un OS poste de travail Windows classique. Windows
10 est un OS hybride bureau/cloud. Et pour délivrer toutes ses
fonctionnalités, Windows 10 doit exploiter différentes données, et pas
seulement celles collectées par Cortana. Edge et Bing aussi exploitent
des données.
Que pouvez-vous faire alors ? Android, Chrome OS,
iOS et Macs OS X, à des degrés divers, partagent des données avec
l'éditeur de la plateforme, en raison notamment de liens avec des
services Cloud, embarqués dans l'OS.
Alors si cette situation
s'apparente pour vous à une atteinte intolérable à votre
confidentialité, le mieux est de conserver votre ancien système
exploitation, comme Windows 7, ou alors de passer sur Linux. Mais
Windows 7 ne bénéficiera pas éternellement d'un support - le support
étendu est prolongé jusqu'en 2020 néanmoins.
Pour les utilisateurs Windows, je pense que Linux Mint 17.2 avec l'interface Cinnamon représente le meilleur choix.
Mint
ressemble et fonctionne déjà à la manière d'un Windows XP/7, donc rien à
craindre. Le bureau Linux ne requiert pas de maîtriser la ligne de
commande, tout comme il est possible d'utiliser Windows sans être un
expert de PowerShell.
Comment faire pour les applis Windows ?
Pas de doute, d'autres préoccupations peuvent se poser concernant le passage à Linux. Passons-les en revue.
D'abord,
l'installation de Mint. Elle s'effectue simplement. Téléchargez la
dernière version de l'OS. Ensuite, copiez l'image ISO sur une clé USB
comprenant Pendrive Linux Universal USB Installer. Vous pouvez aussi essayer Mint via une clé USB sans avoir à l'installer, simplement en démarrant depuis le support USB.
Si
cette découverte de l'OS vous satisfait, double-cliquez sur l'icône
Mint d'installation et passez à l'étape suivante. Rien ne vous oblige à
écraser Windows et vous pouvez ainsi opter pour un dual boot. Votre
seule décision consistera à déterminer l'espace disque à allouer à Mint.
8 Go seront amplement suffisants.
Il est également possible d'acheter un ordinateur avec Mint préinstallé. Des vendeurs comme FitPC et ZaReason commercialisent des PC sous Mint.
La
question de l'OS réglée, reste la partie applicative. De nombreuses
applications Windows courantes ne fonctionnent pas sur Linux, par
exemple Outlook, Quicken, Office, Internet Explorer… Heureusement, il
existe de multiples bonnes alternatives à ces logiciels comme Evolution,
GnuCash, LibreOffice, Chrome et Firefox.
Mint, comme la
plupart des distributions Linux, est livré avec nombre de ces
applications préinstallées. Si vous souhaitez installer d'autres
programmes, rien de plus simple grâce au Software Manager de Mint.
Si
vous avez impérativement besoin d'un logiciel Windows, le Cloud peut
être une solution, avec Office 365 en remplacement d'Office, par
exemple. Se posera toutefois alors de nouveau la question de la
confidentialité des données. Autre solution : installer des outils
Windows sur Linux grâce à Crossover de CodeWeavers ou exécuter une instance Windows via une machine virtuelle VirtualBox.
S'il
y a un logiciel que vous n'aurez pas à installer sur Mint, c'est un
antivirus. Si la sécurité n'est pas infaillible sur Linux, comme sur
aucun OS d'ailleurs, les virus sur le bureau Linux ne constituent
cependant pas un problème.
Besoin de support sur Linux ? Des
entreprises comme Pantek fournissent du support aux entreprises. Les
particuliers peuvent eux se tourner vers les forums Mint ou des sites
d'aide plus généraux, dont LinuxQuestions.
Voilà à peu près
tout ce qu'il y a à faire pour passer sous Linux et Mint. Vous
découvrirez que Mint et ses applications ressemblent et fonctionnent
plutôt comme un Windows XP/7. Avec un bureau Linux conventionnel,
contrairement à la plupart des OS "modernes" comme Windows 10, vous ne
partagerez pas vos secrets avec leurs éditeurs.
Ce
n’est pas parce qu’un site est banni par la justice que celui-ci
devient réellement inaccessible. Il existe des moyens techniques simples
pour contourner ce blocage.
Le 4 décembre dernier, le TGI de Paris a ordonné aux
opérateurs Orange, Bouygues, Free et SFR d’empêcher leurs internautes
d’accéder au site thepiratebay.se ainsi qu’à certains de ses sites
miroirs. Cette décision faisait suite à une plainte de la Société civile
des producteurs photographiques (SCPP), qui voit d’un mauvais œil le
partage de contenu musical protégé par le droit d’auteur. Mais comment
ce blocage sera-t-il mis en œuvre concrètement ? Et peut-on le
contourner ? En un mot : oui, et c'est d'ailleurs tellement simple que
ce genre de censure n'a que très peu d'intérêt. Voici quelques éléments
pour y voir plus clair.
Comment les FAI bloquent-ils les sites jugés illégaux ?
Lorsqu’une
décision de justice ordonne le blocage d’un site, le choix technique
est généralement laissé aux FAI. D’après l’Association de fournisseurs
d’accès (AFA), c’est exclusivement le blocage DNS qui est utilisé, pour
des raisons pratiques et de coûts. Le DNS, c’est l’annuaire du web. Ce
système permet de transposer une URL (www.01net.com par exemple) en adresse IP (173.31.6.199 par exemple), utilisable par les routeurs pour acheminer les données du Net.
Lorsqu’un internaute veut accéder à un site web, son navigateur va
généralement récupérer la bonne adresse IP au travers du résolveur DNS
de son FAI. Un résolveur DNS est un logiciel qui se charge de répondre à
une requête DNS, soit directement (parce qu’il connait déjà l’URL),
soit indirectement (en interrogeant le registre concerné, tel que .COM,
.FR ou .SE). C’est au niveau de ce résolveur que le FAI va mettre en
œuvre le blocage ordonné par la justice. Lorsque son client voudra
accéder à un site bloqué, ce logiciel ne lui fournira pas l’adresse IP
recherchée, mais l’aiguillera sur un message de type « Attention, ce
site a été bloqué ou n’existe pas ».
Une fois mis en œuvre, un blocage DNS est-il effectif partout ?
Non.
Tout d’abord, un blocage de site ordonné par la justice française n’est
valable qu’en France. A l’étranger, le site visé pourra donc être
accessible. Par ailleurs, tous les FAI français ne sont pas forcément
concernés par une décision de blocage. Dans le cas de The Pirate Bay,
seuls quatre opérateurs ont été sommés de mettre en œuvre le blocage :
Orange, Bouygues, Free, et SFR. Si vous êtes client de Numéricable ou
d’un FAI associatif, vous n’êtes pas concerné.
Enfin, le blocage n’est effectif que sur les sites qui sont nommés
par la décision de justice. Pour contourner cette mesure, il suffit donc
que quelqu’un crée un site miroir. C’est d’ailleurs ce que vient de
faire le Parti Pirate français pour The Pirate Bay. Pour bloquer ce nouveau site, il faudra lancer une nouvelle procédure judiciaire.
Les internautes peuvent-ils contourner un blocage DNS ?
Oui,
et il existe même plusieurs façons de le faire. La première est
simple, mais pas forcément pratique: changer de FAI. Pour continuer à
télécharger leurs torrents favoris, les fans de The Pirate Bay
pourraient ainsi s’abonner à Numéricable ou à French Data Network, qui
ne sont pas concernés par la décision de justice.
Une autre solution un peu plus compliquée consiste à changer de
résolveur DNS. Cela peut se faire soit au niveau du routeur d’accès,
soit au niveau du terminal. Tous les routeurs d’accès ne permettent pas
de configurer un serveur DNS. Il faut se reporter à la notice. Sur un
terminal, cela dépend du système d’exploitation. Pour Windows 7, par
exemple, il faut aller dans « Panneau de configuration -> Réseau
et Internet -> Connexion au réseau local -> Propriétés ->
Protocole Internet version 4 -> Propriétés ». Puis il faut cocher la case « Utiliser l’adresse de serveur DNS suivante : » et insérer les adresses IP qui vont bien.
Sur Mac OS X, il faut aller dans « Préférences système -> Réseau -> Avancé -> DNS ». On peut alors renseigner les adresses IP du nouveau résolveur.
Sur iOS ou Android, on ne peut pas changer de DNS pour une
connexion cellulaire : c’est l’opérateur mobile qui décide, un point
c’est tout. En mode Wifi, en revanche, c’est possible. Il faut aller
dans les menus de paramètres. Pour avoir plus d’informations, voici une
note de blog intéressante de Stéphane Bortzmeyer.
D’accord, mais quel résolveur DNS choisir ?
Il existe plusieurs résolveurs DNS qui sont libres d’accès, par exemple Google Public DNS
(8.8.8.8 / 8.8.4.4), OpenDNS (208.67.222.222 / 208.67.220.220) ou celui
de French Data Network (80.67.169.12). Mais choisir un nouveau DNS est
aussi une question de confiance. Que fera Google des données de
connexion qu’il recevra ? Pourront-elles être siphonnées par les
autorités américaines, par le biais du Patriot Act ? Mon nouveau DNS
n’est-il pas soumis à son tour à une procédure de filtrage ou de
blocage ? Ce sont là de vraies questions.
C’est pourquoi certains paranoïaques, qui ne font confiance à
personne, optent pour une autre solution : créer son propre résolveur
DNS. Dans ce cas, on est dépendant de personne. Mais cette solution est
assez technique et dépasse le cadre de cet article. Les plus téméraires
pourront commencer par cette autre note de blog de Stéphane Bortzmeyer. source.:
***************************
ou bien:
Comme je me refuse catégoriquement à conseiller à qui que ce soit
d’utiliser les DNS de Google, sachant ce que cette société fait des
informations qu’elle recueille sur vous et comment elle piétine
allègrement votre vie privée, comme par ailleurs OpenDNS n’est plus
indépendant, je vous propose d’utiliser les services d’OpenNIC, qui ne
garde aucune trace de votre surf, et est totalement libre de toute
influence (pour ne pas dire plus) de quelque gouvernement que ce soit.
La seule différence que j’ai pu observer par rapport à l’ICANN, c’est que ces DNS ne résolvent pas les adresses ayant .tk
pour extension. Dans la mesure où la quasi totalité des sites qui
utilisent cette extension sont peu recommandables, cela ne me semble pas
être un point bloquant. Si vous avez cependant besoin de vous rendre
sur un site ayant une telle extension, il vous faudra passer par son
adresse IP.
Il va sans dire que si vous préférez utiliser d’autres services
que ceux d’OpenNIC (ceux de la FDN, par exemple, que je n’ai pas osé
vous recommander de peur qu’ils ne tiennent pas l’afflux de charge),
c’est à votre convenance. Il vous suffit de remplacer les adresses IP
par celles qui auront votre préférence.
Commencez par vous rendre sur cette page : https://www.opennicproject.org/nearest-servers/,
et copiez deux des quatre adresses IP qui vous sont proposées (une
adresse IP est une série de quatre nombres compris entre 0 et 255).
Si rien ne s’affiche, c’est vraisemblablement un de vos modules complémentaires
qui bloque l’exécution des javascripts, il vous faut le désactiver temporairement.
Si malgré cela, vous n’obtenez toujours aucune adresse IP,
choisissez-en deux parmi les quatre ci-dessous, vous ne perdrez au pire
que quelques millisecondes, et ce seulement à votre première visite sur
un site.
Si vous utilisez Windows :
1) Si vous êtes sous Windows XP, cliquez sur le Menu
Démarrer, puis sur le panneau de configuration. Choisissez « Connexions
réseau et internet », puis « Connexions réseau ».
2) Si vous êtes sous Windows Vista, cliquez sur le Menu
Démarrer, puis sur le panneau de configuration. Choisissez « Réseau et
internet », puis « Centre Réseau et partage », puis « Gérer les
connexions réseau ».
3) Si vous êtes sous Windows 7, cliquez sur le Menu
Démarrer, puis sur le panneau de configuration. Choisissez « Réseau et
internet », puis « Centre Réseau et partage », puis « Modifier les
paramètres de la carte ».
4) Si vous êtes sous Windows 8, cliquez sur le Bureau.
Cliquez avec le bouton droit de votre souris sur l’icône du réseau de la
barre des tâches (en bas à droite), puis « Modifier les paramètres de
la carte » une fois que le Centre réseau et partage s’est ouvert.
Vous devez avoir en principe au moins deux connexions différentes
(une filaire sans doute nommée Ethernet ou Lan, et une WiFi). Choisissez
l’une des deux, cliquez dessus avec le bouton droit de votre souris, et
sélectionnez « Propriétés » (il me semble que sous Windows 8, il faut
cliquer avec le bouton gauche, et choisir le bouton « Propriétés » dans
la fenêtre qui s’ouvre).
Une fenêtre s’ouvre. Dans le cadre central, cliquez (simple clic)
sur « Protocole internet version 4 (TCP/IPv4) », puis cliquez sur
« Propriétés ».
Dans la nouvelle fenêtre qui s’ouvre (onglet « Général »), changez
l’option « Obtenir les adresses des serveurs DNS automatiquement » pour
sélectionner à la place « Utiliser l’adresse de serveur DNS suivante ».
À l’emplacement « Serveur DNS préféré », saisissez :
178.32.122.65
À l’emplacement « Serveur DNS auxiliaire », saisissez :
37.187.0.40
Validez en cliquant sur « OK ».
Faites exactement la même chose pour votre(vos) autre(s) connexion(s).
Votre navigateur ayant en mémoire toutes les correspondances
URL/adresse IP des sites que vous avez visités, et celles-ci ayant été
établies par le DNS de votre FAI, il vous faut maintenant les effacer.
Fermez-le, puis ouvrez une invite de commande (cmd.exe), et tapez :
ipconfig /flushdns
Pensez aussi à redémarrer aussi votre client BitTorrent
C’est tout, vous utilisez maintenant OpenNIC.
Si les changements n’ont pas été pris en compte, un redémarrage de Windows résoudra le problème.
Si vous utilisez Mac :
Ouvrez le Menu Pomme et cliquez sur « Préférences système ». Dans la fenêtre qui s’ouvre, choisissez « Réseau ».
Choisissez la première connexion de la liste à gauche, et cliquez sur le bouton « Avancé ».
Cliquez sur l’onglet « DNS », et ajoutez en tête de la liste des
serveurs DNS ceux d’OpenNIC (vous pouvez même supprimer les autres si
vous ne pensez plus les utiliser) :
178.32.122.65
37.187.0.40
Validez en cliquant sur « OK ».
Votre navigateur ayant en mémoire toutes les correspondances
URL/adresse IP des sites que vous avez visités, et celles-ci ayant été
établies par le DNS de votre FAI, il vous faut maintenant les effacer.
Ouvrez un terminal (vous le trouverez dans applications / utilitaires)
Si vous utilisez OS X Yosemite 10.10.4, tapez :
sudo killall -HUP mDNSResponder
Si vous utilisez OS X Yosemite 10.10 à 10.10.3, tapez :
sudo discoveryutil mdnsflushcache
Si vous utilisez OS X Mavericks, Mountain Lion, ou Lion, tapez :
sudo killall -HUP mDNSResponder
Si vous utilisez Mac OS X 10.6, tapez :
sudo dscacheutil -flushcache
Pensez aussi à redémarrer aussi votre client BitTorrent
C’est tout, vous utilisez maintenant OpenNIC.
Si les changements n’ont pas été pris en compte, un redémarrage du système résoudra le problème.
Si vous utilisez Linux :
1) Si vous utilisez un gestionnaire de bureau, vous devez avoir
une icône du réseau dans votre barre des tâches (si vous n’en avez pas
et ne désirez pas la mettre, ou si vous n’avez pas installé de barre des
tâches, vous pouvez toujours vous rendre dans les paramètres du système
— choisissez Netwok Manager — ou passer aux étapes 2 ou 3 ci-dessous).
Cliquez dessus (bouton gauche ou droit selon votre environnement) et
choisissez l’option « Propriétés » (qui peut être « Modifier », sous
Xfce notamment).
Choisissez votre première connexion et cliquez sur « Modifier » ou « Options » (cela dépend de votre distribution).
Rendez-vous dans les paramètres IPv4.
Si la « Méthode » est « Automatique (DHCP) », changez-la pour
« Adresses automatiques uniquement (DHCP) ». Sinon, n’y touchez pas.
178.32.122.65, 37.187.0.40
Validez, et faites la même chose pour vos autres connexions.
Videz maintenant votre cache DNS.
Ouvrez un terminal, et tapez :
sudo /etc/init.d/dns-clean force-reload
Pensez aussi à redémarrer aussi votre client BitTorrent
C’est tout, vous utilisez maintenant OpenNIC. Si les changements
n’ont pas été pris en compte, un redémarrage résoudra le problème
(redémarrer les connexions réseau devrait suffire).
2) Si vous utilisez une distribution Debian ou dérivée de Debian
(comme Ubuntu), le changement via le network manager peut n’être pas
suffisant. Dans ce cas, il vous faut éditer vos fichiers de
configuration.
et allez à la ligne.
Enregistrez les modifications et fermez le fichier.
S’il est écrit dans le fichier (ce sera le cas sur les variantes d’Ubuntu) :
« # DO NOT EDIT THIS FILE BY HAND -- YOUR CHANGES WILL BE OVERWRITTEN »
il faut alors écrire les lignes en question dans « /etc/resolvconf/resolv.conf.d/base » :
Il y a le même message dans ce dernier fichier que dans
resolv.conf, mais il ne faut pas en tenir compte, ce que vous écrivez ne
sera pas écrasé (ce texte est simplement lu pour être recopié dans
resolv.conf à chaque réécriture de ce dernier).
Ensuite, il faut faire une mise à jour de resolvconf :
sudo resolvconf -u
Et votre fichier /etc/resolv.conf contient bien les lignes : nameserver 178.32.122.65
nameserver 37.187.0.40
Videz maintenant votre cache DNS.
Ouvrez un terminal, et tapez :
sudo /etc/init.d/dns-clean force-reload
Pensez aussi à redémarrer aussi votre client BitTorrent
C’est tout, vous utilisez maintenant OpenNIC. Si les changements
n’ont pas été pris en compte, un redémarrage résoudra le problème
(redémarrer les connexions réseau devrait suffire).
3) Si vous utilisez une distribution ayant un dossier
« /etc/sysconfig » (en général celles utilisant des paquets rpm), et que
vous préférez éditer vos fichiers de configuration, vous êtes concerné
par ce point 3. Attention, je n’ai pas pu tester cette
procédure. Elle fonctionnait autrefois sous OpenSuse, mais je ne
garantis pas que les emplacements et les noms n’aient pas changé.
Enregistrez les changements, et, toujours dans le terminal, tapez :
sudo /sbin/rcnetwork restart-all-dhcp-clients
pour redémarrer les connexions réseau.
Videz maintenant votre cache DNS.
Ouvrez un terminal, et tapez :
sudo /etc/init.d/dns-clean force-reload
Pensez aussi à redémarrer aussi votre client BitTorrent
C’est tout, vous utilisez maintenant OpenNIC. Si les changements
n’ont pas été pris en compte, un redémarrage résoudra le problème
(redémarrer les connexions réseau devrait suffire).
Un
passage des conditions d’utilisation des services Microsoft semble
indiquer que la firme peut s’octroyer le droit de bloquer les jeux
piratés sur les machines de ses utilisateurs. Une polémique qui
intervient alors que des questions se posent quant aux données
personnelles que Windows 10 transmet à Redmond.
C’est une toute petite phrase cachée au cœur du « contrat de
services Microsoft » et elle commence à faire débat sur le web, après
avoir été pointée du doigt par le site Alphr. On vous la livre en VF :
«
Nous pouvons vérifier automatiquement la version du logiciel que vous
utilisez afin de pouvoir continuer de vous fournir les Services, et
pouvons télécharger des mises à jour logicielles ou modifications de
configuration sans vous les facturer afin de mettre à jour, d’améliorer
et d’étoffer les Services, y compris celles susceptibles de bloquer
votre accès aux Services ou d’empêcher votre utilisation de jeux
contrefaits ou de terminaux non autorisés. »
Il
n’en fallait pas plus pour que le Web s’emballe : Microsoft
s’octroierait donc le droit d’examiner votre machine pour vérifier si
vous avez piraté des jeux ! En fait, c’est un peu plus compliqué que ça…
Et pas forcément aussi grave que ça en a l’air. Car le contrat pointé du doigt
ne concerne justement que les services Microsoft, pas Windows 10
lui-même. Il couvre notamment Xbox Live, Skype ou Ondredive. Mais ne
permet pas pour autant à Microsoft d’aller fouiller le disque dur de
votre machine à la recherche de jeux « crackés ».
C’est, comme
le note Tom Warren de The Verge, une simple transposition de ce que fait
déjà Redmond sur sa console Xbox depuis longtemps, autrement dit un
moyen d’interdire l’accès à ses services par le biais d’une mise à jour
aux petits malins qui seraient parvenus à faire tourner des copies
pirates de jeux sur leur machine.
Windows 10 est-il trop bavard ?
Cette
affaire connaît un écho certain car Windows 10 est en ce moment au cœur
d’une polémique quant au respect des données personnelles de ses
utilisateurs. Le site Ars Technica a récemment analysé en profondeur
les paquets de données échangés entre une machine sous Windows 10 et
les serveurs de Microsoft. Et il s’avère que l’OS continue d’envoyer des
données à son éditeur même lorsqu’il ne devrait pas le faire (Cortana,
Onedrive et recherche depuis le menu Démarrer coupés, par exemple).
L’immense majorité du trafic analysé par le site ne contenait aucune
donnée personnelle, mais dans certains cas, un numéro d’identification
de la machine est tout de même envoyé à des fins mystérieuses.
Si cela vous ennuie, vous pouvez toujours télécharger DisableWinTracking, un petit logiciel disponible sur Github conçu pour couper complètement le cordon avec Microsoft.
Google : la nouvelle version d'Android s'appelle "Marshmallow"
Et
voilà, Android M a désormais un nom : C'est Marshmallow ! La statue
vient d'être déposée sur la fameuse pelouse du QG de Mountain View
Fin du suspense ! Il y a quelques minutes, une nouvelle statue
vient d'être inaugurée au Googleplex de Mountain View. Elle présente un
Android tenant un Marshmallow... C'est donc le nom de la nouvelle
version de l'OS mobile de Google, qui va succèder à Lollipop.
Cette nouvelle version avait été dévoilée fin mai lors de la
conférence Google I/O. Elle inaugure notamment un nouveau système de
paiement, Android Pay, et offre un module d'authentification par
empreinte digitale. Elle promet aussi de doper l'autonomie des appareils
mobiles et de mieux défendre votre vie privée en revoyant le système de
permissions des applications téléchargées sur le Store.
Les
premiers mobiles sous Android M sont attendus sous peu. LG et Huawei
devraient commercialiser une nouvelle gamme de terminaux Nexus qui en
profiteront d'emblée. Une photo du nouveau Nexus 5 a d'ailleurs fuité il y a quelques heures sur la Toile.
Google a par ailleurs profité de l'annonce de Marshmallow pour présenter le SDK officiel d'Android 6.0 et une preview finale pour les développeurs. On peut télécharger tout cela à cette adresse.
*Fichier son: AC3 , A52 ancien ACC: difficile a lire,sauf si tu met vlc ,en mode piste audio ou piste video en mode Fr ,comme les sous titres que tu peu télécharger dans son module VUE et clique pour Downloader et installer pour ensuite choisir le sous titre dans piste de sous titre de vlc !
Car un son faible ou de fond sans voix (si ton système audio utilisé est stéréo)indiquera que le son est pas en mp3 mais en ac3 qui provient d'un BR et que ton PC devra être configuré en audio 5,1 AC3 et que tu écoutera sur un système 5,1 audio branché a ton PC ou une platine dvd qui lit les divX ou mp4.
*Vos copies dvd BD en 3D (en fichier mkv)peuvent se lire ,même si l'image est double,par cette méthode: ici!
Allez dans listes d effets filtre, dans effet video, et rognage pour régler le chiffre 550px a la ligne inscrtite "haut"(rognage du haut quoi,surtout si vous avez 2 images horizontales empilées)Sinon si c'est 2 images verticale vous devrez choisir 550 px en haut et 960px a gauche Ensuite allez a video,puis proportion, et choisissez 1:1 . Voila !Si ça bug vous revenez toute suite a l'ajustement rognage et rajuster le px encore(en gardant toujours votre nombre 550px et/ou 960px) et revenez a proportion 1:1 Voila !
avec un Mac OS-X : les Ac3 ici ! Faîtes attention a votre version et la compatibilité des fichiers audio AC3 ! Ça prend les versions récentes de OS-X 10,4 et de Quicktime 7,0,1 !
Sécurité du Projet Tor, le service le plus populaire pour naviguer sur le Web de façon anonyme, est soupçonné. Projet Tor a souffert de quelques revers de sécurité dans les temps récents. Ceux-ci inclus les attaques sur Tor et la confirmation de la possibilité de les brèches de sécurité. Retour en 2014, les organismes judiciaires et les organismes chargés de l'application de la loi partout dans le monde contre les services de réseau Tor.
Il ya des possibilités de Tor est compromis par la NSA qui a appelé "le roi de la latence élevée anonymat sécurisé et faible." Le département américain de la défense, qui comprend NSA, finance le projet Tor et dans le passé, il a essayé de compromis son intégrité. La NSA a tenté de briser le cryptage du navigateur Tor et a réussi dans une faible mesure. Vous devez avoir lu notre article dédié sur la façon dont la véritable identité des utilisateurs de Tor peut être piraté.
Dans le passé, le réseau Tor a annoncé que certaines sources inconnus ont réussi à obtenir des informations sur les personnes qui utilisent ces services cachés.
Ici, nous présentons une liste des top 5 meilleures alternatives de Tor que vous pouvez utiliser:
Tor variante n ° 1: I2P
best-tor-navigateur-alternatives-i2p
I2P est une couche anonyme peer-to-peer distribue communication qui est construit en utilisant les outils open source. Il est une alternative complète Tor. Tout comme tout autre logiciel de P2P, le logiciel implémentant cette couche de réseau informatique est appelé couche I2P et d'autres ordinateurs exécutant I2P est appelé nœud I2P.
Il est conçu et optimisé pour les services cachés, plus rapide que Tor avec entièrement distribuée et de la capacité d'auto-organisation. Contrairement à Tor, les pairs sont choisis en fonction du classement continue et le profilage. Il ya des tunnels unidirectionnels lieu si les circuits bidirectionnels, rendant ainsi le nombre de nœuds doubler laquelle un nœud doit faire des compromis pour obtenir la même information.
Tor variante n ° 2: Tails
Tails est l'une des meilleures alternatives de Tor disponibles là-bas. Il est un système d'exploitation en temps réel qui pourrait être lancé à partir d'un ordinateur utilisant une clé USB, un DVD ou une carte SD. Il a construit dans-applications pré-configuré qui vous donnent les services d'un navigateur web, client de messagerie instantanée, suite bureautique, des éditeurs pour l'image et son, etc. Il utilise les services de Tor pour assurer l'anonymat, mais ajoute des couches de sécurité supplémentaires. Cela pourrait être utilisé partout sans laisser aucune trace.
Tor alternatif # 3: sous-graphe OS
best-tor-navigateur-alternatives-Subgraph OS
Il utilise le réseau Tor comme Tails mais il met l'accent sur la facilité d'utilisation. Cette firme de sécurité canadienne appelle un système d'exploitation «résistant adversaire» qui est conçu pour réduire les attaques sur les utilisateurs. Il se vante d'avoir intégré cryptée client de messagerie, intégré dans le chiffrement de disque et de pare-feu. Ajouté à ceux-ci, sous-graphe OS vous offre les avantages de limiter la capacité des fichiers malveillants et les formats de données. Contrairement Tails, sous-graphe OS pourrait être exécuté comme un OS permanente plutôt que d'un OS bootable à partir d'une clé USB ou BVD.
Tor alternatif # 4: Freenet
Freenet est un peer-to-peer pour résister à la censure similaire à I2P. Il utilise la même technologie P2P de distribution de stockage de données à fournir et de garder l'information, mais sépare le protocole d'interaction de l'utilisateur et la structure du réseau. Cela rend plus facile d'accéder au réseau Freenet en utilisant une variété de façons, comme FProxy.
Depuis sa version 0.7, Freenet est livré avec la sécurité à deux niveaux: Darknet et Opennet. Avec l'aide de Opennet, les utilisateurs se connectent à arbitrairement avec d'autres utilisateurs. Utilisation Darknet, les utilisateurs se connectent aux seuls utilisateurs avec lesquels ils échangent des clés publiques dans le passé. Ces deux modes pourraient être utilisées ensemble. Il est livré avec une suite logicielle libre pour améliorer la libre communication de la censure sur le web.
Tor alternatif # 5: Freepto
best-tor-navigateur-alternatives-freepto
Freepto est un autre OS basé sur Linux qui pourrait être lancé à l'aide d'un disque USB sur un ordinateur. Les données que vous économiserez sur le disque USB seront automatiquement chiffrés. Il fournit les hacktivistes un moyen facile de communiquer facilement tout comme Tor. Freepto est une startup collective de promouvoir le partage de connaissances. Cet OS est livré avec un navigateur Web, éditeur d'image, client de messagerie et il est facile à installer. Vous pouvez également créer une version personnalisée de Freepto. Vous êtes libre d'ajouter de nouveaux logiciels et apporter des modifications. Il est basé sur Debian Live Créer qui est un ensemble d'outils qui vous aide à faire de nouveaux et basés sur Debian distributions Linux.
Avez-vous trouvé ces alternatives de Tor utiles? Utilisez-les et dites-nous le dans les commentaires!
Recommandé: Comment voir si votre mail est traqué.