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samedi 1 août 2015

Tout ce que vous ne savez pas sur le vagin

Tout ce que vous ne savez pas sur le vagin




Les femmes ont une chance incroyable: un sexe avec deux fois plus de terminaisons nerveuses que le vôtre. Peut-être que cela explique pourquoi dans des événements célébrant l'onanisme et les œuvres de charité, les femmes se font remarquer par leur capacité à jouir davantage que les mecs (en 2009, Deanna Webb a joué suffisamment avec son clito dans un tournoi danois de masturbation pour avoir 226 orgasmes alors que son rival masculin a joui 69 fois). Si vous saviez déjà à quel point les femmes peuvent souvent crier «Oh my god!» vous ignorez peut-être d'autres faits hyper importants concernant le sexe dont la forme intérieure est parfois comparée à une chaussette.

1. Les vagins et les requins ont un élément commun

Les vagins n'ont pas dents, contrairement à ce que des légendes urbaines, ou le film Teeth, dans lequel une jeune fille prude se rend compte que son vagin a une dentition effrayante, peuvent laisser croire. Toutefois, le foie du requin produit la même substance qu'un vagin: le squalène, un lubrifiant naturel. Le squalène du requin se retrouve parfois dans les produits de beauté, ce qui n'est pas le cas pour celui issu du vagin.

2. Le vagin s'auto-nettoie

Pas besoin de m'injecter du savon pour me nettoyer de l'intérieur. Grâce à des sécrétions naturelles, le vagin se nettoie sans l'aide de produits chimiques. Si un vagin a une odeur étrange, ce n'est pas la faute d'une mauvaise higyène, mais plutôt parce qu'un débalancement hormonal ou une infection transmise sexuellement seraient en cause.

3. Le vagin est un repère de bonnes bactéries

Certaines bactéries vaginales sont aussi contenues dans les yogourts. Il n'est malheureusement pas recommandé de concocter un yogourt fait maison à l'aide de décharges vaginales, comme l'a testé Cecelia Westbrook, une étudiante en médecine, parce que d'autres bactéries moins intéressantes se retrouvent également dans le vagin, comme la bactérie E. Coli.

4. Disney a produit le premier film à faire entendre le terme «vagin»

C'était en 1946, dans un documentaire de dix minutes intitulé The Story of Menstruation.

5. Le sang menstruel sauve des vies

Des personnes souffrant de problèmes cardiaques pourraient être aidés par les cellules régénératives du sang menstruel. Une étude est présentement menée par Medistem Inc. sur la possibilité d'extraire les cellules souches présentes dans le sang célébré chaque mois par les femmes et leur petite culotte, pour vérifier s'il est possible ensuite de les transformer en cellules réparatrices pour le coeur.

6. Un trou noir?

Même si j'ai déjà eu la frousse de perdre tampon et carotte dans mon vagin, il est pourtant impossible d'y faire disparaitre quoi que ce soit, le col de l'utérus étant de taille trop réduite.

7. Trop de sexe n'égale pas un vagin ample

Je me suis toujours trouvée très chanceuse d'avoir un sexe très serré, croyant que j'étais un miracle de la nature, puisqu'il a été visité plus de mille fois sans effet sur mon vagin parfait. J'étais dans l'erreur: je ne suis pas un miracle de la nature. Baiser plus d'une fois par année n'est simplement pas risqué pour l'élasticité du sexe féminin. Seulement la vieillesse et parfois une grossesse peut provoquer un certain relâchement.

8. Une patate enfoncée dans le vagin n'est pas un bon moyen de contraception

Une Colombienne souffrant de douleurs abdominales a découvert avec horreur qu'une pomme de terre avait commencé à germer en elle, lorsque des médecins l'ont retirée de son sexe. La jeune femme avait écouté les conseils de sa mère et s'était rentré une patate dans le vagin afin d'être protégée contre toute grossesse non désirée.

Source.:

mardi 24 février 2015

La différence entre les amateurs de poitrine et de postérieur

La différence entre les amateurs de poitrine et de postérieur


Les hommes ont généralement une préférence pour le derrière ou la poitrine d’une femme et celle-ci en dirait long sur leur personnalité. 
Le blogue Gene Expression, spécialisé en génétique, s’est attardé à la signification des préférences physiques des hommes, en s’appuyant sur le livre Correlates of Heterosexual Somatic Preference, publié en 1968.
Les résultats, partagés sur le site de divertissement Elite Daily ce week-end, sont plus pertinents que jamais 47 ans plus tard!
1. Les hommes qui aiment les femmes rondes ont soif d’accomplissements. Ceux qui préfèrent les silhouettes de taille normale ont tendance à être désorganisés. Une attirance pour les femmes menues est associée à la persévérance au travail.
2. Les hommes qui aiment les poitrines généreuses ont tendance à fréquenter plusieurs femmes et à avoir des intérêts typiquement masculins. La préférence serait intimement liée au besoin d’exhibitionnisme. Ces hommes sont indépendants, moins persévérants au travail et souvent dépendants au tabac.
3. Les hommes qui ont un faible pour les petites poitrines sont généreux et affectueux dans leurs relations interpersonnelles. Ils manquent toutefois de motivation et sont indéterminés quant à leur plan de carrière.
4. Les hommes qui ont un penchant pour les gros derrières ont généralement besoin d’ordre dans leur vie (propreté et organisation). Ils ont le sens des affaires et leurs pensées sont peu complexes. Côté vie privée, ils ont tendance à être plus dépendants et à culpabiliser facilement.
5. À l’opposé, les hommes qui aiment les petits postérieurs sont compétitifs au travail et ne veulent pas être au centre de l’attention. Ils sont souvent moins éduqués et ne sont pas des adeptes de magazines sportifs.
Les grosses poitrines ont toujours été à l’honneur dans le magazine Playboy et demeurent la recherche de prédilection sur les sites pour adultes.
Les temps ont pourtant changé au cours de la dernière décennie, car le postérieur rebondi fait maintenant tourner les têtes.
Le New York Times a récemment annonçé que le derrière sera bientôt la zone érogène de choix en Amérique, devant les seins, les abdominaux et les jambes.
Aucune étude récente n’a été menée à ce sujet.


Source.:

vendredi 22 février 2013

Revenu Canada et le sexe ,ça va ensemble Mr. Harper ?

Informations confidentielles - Près de 1000 cas d'inconduite à l'Agence du revenu
 
Photo Agence QMI / Archives

Informations confidentielles

Près de 1000 cas d'inconduite à l'Agence du revenu

OTTAWA - Bon an mal an, des dizaines d'employés de l'Agence du revenu du Canada se font taper sur les doigts parce qu'ils naviguent sur des sites de contenu explicite pour adultes, consultent sans autorisation le dossier d'impôt de collègues de travail ou de membres de leur famille ou transmettent des informations confidentielles.



C'est ce que révèlent des documents d'accès à l'information obtenus par TVA Nouvelles.
Sur une période de cinq ans, à compter de 2006-2007, il y a eu 927 cas d'inconduite dans les bureaux de l'Agence du revenu du Canada (anciennement Revenu) d'un bout à l'autre du pays, soit près de 200 cas par année. La plus grande partie des incidents touche la mauvaise utilisation des installations de Revenu Canada ou l'accès sans permission à des informations confidentielles des contribuables.

L'exercice budgétaire 2006-2007 a été particulièrement pénible. Sur 250 cas, il y a eu 136 incidents où des fonctionnaires ont utilisé les bureaux de Revenu Canada à d'autres fins qu'à des fins professionnelles. Il y a eu 34 cas où des employés ont épié les dossiers d'impôt de contribuables.

De plus, on a mis la main sur deux personnes qui trafiquaient de la drogue. D'autres avaient omis de déclarer des sources de revenu, étaient ivres au travail ou sollicitaient des clients pour aider leur propre compagnie. Dans son ordinateur, une personne avait 1645 images de personnes légèrement vêtues, 42 images de personnes nues et avait navigué plus de deux heures sur des sites érotiques ou de contenu pour adultes. Cinq personnes étaient congédiées et 113 écopaient de suspensions.

Les exemples de cas d'inconduite se répètent pour les années 2007- 2008 à 2010-2011, mais on dénote une baisse pour ce qui est des fonctionnaires qui ont navigué sans permission dans le dossier des contribuables. Il y en avait huit en 2010-2011.

Les Ontariens en cause

Chaque année, c'est dans les bureaux ontariens de l'Agence du revenu du Canada (excluant le siège social à Ottawa) où l'on dénombre le plus grand nombre de transgressions au code de déontologie et de conduite de l'Agence. Le Québec n'est pas un très fautif.

Des incidents semblables ont été portés à l'attention de la Commissaire à la protection de la vie privée du Canada, Jennifer Stoddart qui mène actuellement une enquête. Elle a souligné dans son rapport annuel qu'il y avait un «risque potentiel» que de telles violations à la vie privée puissent toucher «des milliers de Canadiens».

À l'Agence du revenu, on a souligné qu'on prenait «très au sérieux la protection du régime fiscal canadien» et que toute plainte fondée était sanctionnée.

«Les incidents qui concernent un seul employé ou un petit groupe d'employés ne mettent aucunement en cause l'honnêteté et le professionnalisme des milliers d'employés» de l'Agence qui travaillent de façon exemplaire chaque jour, a déclaré dans un courriel le conseiller principal pour les relations avec les médias, Philippe Brideau.


REF.:



vendredi 16 avril 2010

Sexualité 101: par les temps crus et mensongés que l'on traverse

Le Centre des sciences de Montréal présente depuis le 15 avril Sexe: l'expo qui dit tout!, une création originale et unique sur la sexualité.

L'exposition permet aux visiteurs d'explorer les sujets les plus importants et les plus délicats qui entourent la sexualité en répondant sans détour à une centaine de questions des adolescents.

Le Centre des sciences de Montréal présente depuis le 15 avril Sexe: l'expo qui dit tout!, une création originale et unique sur la sexualité.

L'exposition permet aux visiteurs d'explorer les sujets les plus importants et les plus délicats qui entourent la sexualité en répondant sans détour à une centaine de questions des adolescents.

Sexe: l'expo qui dit tout! amène d'abord le visiteur à l'origine humaine et le plonge au coeur des phénomènes de la fécondation et de la petite enfance.

La période de la puberté et des changements physiques et hormonaux qui s'opèrent chez tous les être humains sont présentés de façon audacieuse tout en soulignant les aspects scientifiques incontournables qui permettent de comprendre ces phénomènes. Les mécanismes de l'excitation et de la réponse sexuelle, de la contraception et des infections transmises sexuellement (ITS) sont aussi abordés.

Enfin, l'expo traite des aspects sociaux de la sexualité, notamment le phénomène de l'influence des autres ou sur les autres chez les jeunes en particulier, ainsi que l'espace occupé par les médias et internet.

La création a été conçue en collaboration avec des jeunes, des parents, des professionnels de l'enseignement, des médecins, des sexologues et des spécialistes de la santé.

L'exposition exploite la vidéo, la photographie de sujets réels, les plateformes électroniques interactives, des mannequins ainsi que des conseils d'experts audio disposés tout au long du parcours.

La création a été conçue en collaboration avec des jeunes, des parents, des professionnels de l'enseignement, des médecins, des sexologues et des spécialistes de la santé.

L'exposition exploite la vidéo, la photographie de sujets réels, les plateformes électroniques interactives, des mannequins ainsi que des conseils d'experts audio disposés tout au long du parcours.

Pour accompagner les visiteurs avant et après leur visite de l'exposition, une section spéciale du site web du Centre des sciences de Montréal est dédiée à Sexe: l'expo qui dit tout!. Elle inclut du matériel de soutien pédagogique pour les professeurs et les parents, de même que des ressources pour les jeunes vers des organismes reconnus et spécialisés en matière de sexualité.



Video
REF.:

jeudi 4 septembre 2008

Vive la Masturb.................;o)

La masturbation, des bienfaits pour la santé !
1. La masturbation améliore les performances masculinesUn homme qui se masturbe régulièrement contrôle mieux, non seulement ses érections, mais aussi son éjaculation. Pourquoi ? Parce que lorsqu’il s’adonne à ce plaisir solitaire, il apprend à mieux connaître son corps, ses réactions, il découvre comment contrôler son souffle, faire durer le plaisir ou se retenir... En bref, il maîtrise mieux les mécanisme de son excitation ! Voilà pourquoi la masturbation améliore les performances sexuelles masculine en général, mais peut être aussi un excellent exercice pour les hommes qui éjaculent de manière précoce, ou a contrario pour ceux qui ont des difficultés à éjaculer, ou qui éprouvent des troubles érectiles...



2. La masturbation prévient le cancer de la prostateSelon des chercheurs australiens, plus les hommes éjaculent entre 20 et 50 ans, et moins ils risquent de développer un cancer de la prostate… Leur explication ? La masturbation limiterait l’accumulation de liquide séminal dans les canaux prostatiques et préviendrait ainsi le risque de cancer (les composants du sperme pouvant être cancérigènes). Par ailleurs, l’éjaculation induirait une maturation plus complète des cellules prostatiques, les rendant ainsi moins sensibles au risque de tumeur... (et parce que les cellules sexuelles masculines sont les seules a croître ,quand l'homme est rendu plus vieux et donc plus exposer a des risques de mutations génétiques ).



3. La masturbation diminue le stressParce qu’elle est source de plaisir, la masturbation apaise les états de nervosité chez l’homme, comme chez la femme ! Lors de l’orgasme, le cerveau libère des "endomorphines"... Ces hormones, aussi appelées "hormones du plaisir", entraînent un relâchement physique et musculaire. Résultat : on est totalement zen ! Selon une étude menée par la psychologue Carol Rinkleib Ellison, 39 % des Américaines se masturbent pour se détendre...




4. La masturbation augmente le plaisir à deux"Caresser son sexe permet de mieux connaître sa configuration, mais aussi l’éroticité de ses points et les gestes qui peuvent les stimuler au mieux ", explique le Dr Gérard Leleu, médecin sexologue, dans son ouvrage " Le traité des orgasmes ". En clair, cette pratique permet de mieux connaître son corps, mais aussi celui de son ou sa partenaire, donc d’atteindre des plaisirs plus intenses. "Se donner du plaisir, c’est affirmer son autonomie érotique, ce qui est bénéfique à l’harmonie du couple", ajoute le spécialiste. Les hommes et les femmes qui pratiquent la masturbation, seuls ou à deux, éveillent en permanence leur sexualité et favorisent son épanouissement.



5. La masturbation favorise l’orgasme vaginal"94 % des femmes qui ne se masturbent pas, n’ont pas d’orgasmes vaginaux" d’après les différentes études des sexologues américains Masters et Johnson.C’est que la masturbation clitoridienne augmente la sensibilité au plaisir. "Une femme qui sait déclencher son orgasme a plus de chance de le faire éclater avec son partenaire", explique le Dr Gérard Leleu, médecin sexologue, dans son ouvrage "Le traité des orgasmes".
(s'cuse moué ......faut que j'y aille !!!)


6. La masturbation améliore le sommeil"Grâce au plaisir qu’elle génère, la masturbation est un excellent somnifère", explique le Dr Gérard Leleu, sexologue, dans "Le traité des orgasmes". Pourquoi ? Un, parce qu’elle entraîne la libération par le cerveau de neurohormones, en particulier des endomorphines, qui sont reconnues pour favoriser l’endormissement. Deux, parce qu’elle détend, et que le cerveau a besoin de cette période pour se préparer au sommeil. Selon une étude menée par la psychologue Carol Rinkleib Ellison, 32 % des 2600 Américaines qu’elle a interrogées se masturbent pour faciliter le sommeil. (Haaaaaaaaaaa,j'file fatiqué a souaire ;o))


7. La masturbation soulage la douleurTout comme l’acte sexuel, la masturbation est reconnue pour lutter efficacement contre la douleur. "Des expériences menées en laboratoire montrent que des douleurs infligées sont moins bien perçues pendant que la femme se donne du plaisir", précise le Dr Gérard Leleu dans "Le traité des orgasmes". A quoi doit-on cet effet ? Une fois encore, aux endorphines ! Ces hormones, en plus d’avoir des vertus antistress, sont reconnues pour être antidouleur.




8. Sources- Enquête mondiale "Sexual Wellbeing Global Survey In the bedroom", Durex, 25 septembre 2007- La revanche du clitoris, Dr Damien Mascret et Maia Mazaurette, Editions La Musardine, 2008- Le traité des orgasmes, Dr Gérard Leleu, Editions Leduc.s, 2007- Sexual factors and prostate cancer, Pr Graham Giles, BJU International, 2003- Women’s Sexualities, Carol Rinkleib Ellison, New Harbinger Publications, 2000- Human Sexual Response, Masters.W et Johnson.v, 1966