Pas facile de trouver comment supprimer son compte sur Facebook
! Dans les options, le service propose bien une fonction pour
désactiver le compte. Mais pour supprimer le compte, le supprimer
vraiment et définitivement, on fait comment ? Voici la réponse, et des explications utiles.
Important
Sur la page des paramètres du compte, on trouve dans l'onglet Sécurité, en bas, une option Désactiver votre compte. Attention : c'est une fonction temporaire.
Comme l'explique Facebook dans l'aide, votre profil devient
inaccessible, mais les données sont conservées par le service. En outre,
lorsque votre compte est désactivé, vos amis peuvent toujours vous
envoyer des invitations ou vous marquer sur des photos.
1 Pour supprimer définitivement votre compte (après avoir au
préalable, par sécurité, supprimé vos informations personnelles, vos
messages, vos photos, etc.), il faut accéder à une page spéciale à
partir de l'aide. Le problème, c'est que la référence à cette page n'est
pas facile à trouver. Voici le bon lien (mis à jour):
2
Une fois que vous avez cliqué sur le lien, le système peut vous demander
de vous identifier. Selon les cas, tapez votre identifiant et votre mot
de passe, ou votre adresse email, et cliquez sur le bouton Envoyer. La page Supprimer mon compte s'affiche alors. Cliquez sur le bouton Supprimer mon compte.
3
Une fenêtre s'affiche. Confirmez l'opération du suppression en
remplissant le formulaire avec les informations demandées (mot de passe
et mots du contrôle de sécurité, le cas échéant), puis cliquez sur OK.
4
Un message de confirmation s'affiche ensuite, vous informant que votre
compte sera effacé définitivement d'ici 14 jours. Cliquez sur OK.
5
Il ne vous reste plus qu'à attendre : ne vous reconnectez pas
à votre compte Facebook avant l'expiration de ce délai. Si vous vous
reconnectez, Facebook vous proposera d'annuler la suppression en cours
(ce que vous pouvez bien sûr refuser).
Si vous cliquez alors sur le bouton Annuler la suppression, deux choix sont ensuite possibles : Réactiver le compte, qui correspond à un retour à la normale, ou Garder le compte désactivé, qui correspond à l'état intermédiaire de désactivation expliqué au début de cet article.
Si vous ne pensez pas réutiliser
Facebook, vous pouvez demander que votre compte soit définitivement
supprimé. Rappelez-vous que vous ne pourrez ni réactiver votre compte ni
récupérer tout contenu ajouté. Au préalable, il est possible que vous
souhaitiez télécharger une copie de vos informations
de Facebook. Puis, si vous souhaitez que votre compte soit supprimé de
façon définitive sans option de récupération, connectez-vous à votre
compte etfaites-le-nous savoir.
Si
vous supprimez votre compte, personne ne pourra le voir sur Facebook.
Jusqu’à 90 jours peuvent être nécessaires pour supprimer tout ce que
vous avez publié, comme vos photos, statuts ou autres données stockées
dans les systèmes de sauvegarde. Ces informations ne sont pas
disponibles sur Facebook pendant que nous les supprimons.
Certaines
de vos activités sur Facebook ne sont pas stockées dans votre compte.
Par exemple, un ami(e) conservera toujours vos messages même après la
suppression de votre compte. Ces informations persistent même après la
suppression de votre compte.
Vous l'ignoriez probablement : il
y a des dizaines de messages qui vous ont été envoyés sur Facebook,
mais que vous n'avez jamais lus.
Le réseau social contient un « dossier caché » de messages envoyés
par des non-amis et classés comme des pourriels, qu'on peut facilement
retrouver en allant dans les réglages de l'application Messenger.
Nous avons ainsi retrouvé 21 messages inédits - dont quelques insultes -
avec cette méthode décrite en détail par le site spécialisé Tech Insider (en anglais).
Cliquez sur
l'onglet «Messages», à gauche de votre page Facebook. «Autre» va apparaître en
dessous. Cliquez dessus et vous exhumerez des mois de messages que vous avez
probablement loupés. (La blogueuse Erika Napoletano a posté un merveilleux
article agrémenté de copies d'écran pour vous guider à
travers ce processus).
De plus en plus de sites diffusent du contenu vidéo en streaming,
c'est-à-dire en diffusion à la demande. Ainsi, il est nécessaire d'être
connecté pour pouvoir en lire le contenu, voire de se connecter à
partir de la page diffusant le contenu multimédia. Pour cette raison, de
nombreux utilisateurs cherchent à télécharger les vidéos en local, afin
de pouvoir les lire à tout moment, même sans connexion à Internet.
Il existe différents formats de streaming. Les plus courants sont les suivants :
Video Flash (.flv)
RealVideo (extension .rm ou .ram)
Windows Media (extension .asx ou .wmv)
Voici différents moyens de récupérer une vidéo en streaming :
Logiciels/Plugins automatiques
Avec Real Player
Real Player
est un logiciel gratuit qui permet d'enregistrer des vidéo en
streaming, pour cela il vous suffit de télécharger Real Player 11, puis
au passage de votre souris sur la vidéo que vous souhaitez enregistrer,
une barre vous proposant de téléchargez la vidéo apparaît. Cliquez
dessus et la vidéo sera enregistrée au format FLV.
Free Download Manager
Free Download Manager
est un logiciel gratuit de téléchargement, qui permet aussi bien de
télécharger des fichiers classiques que des vidéos au format flv
provenant de sites comme Youtube ou Google Video. Une fois la vidéo
téléchargée, il suffit de la convertir (à droite du logiciel Free
Download Manager) dans le format désiré. Les formats de fichiers
supportés sont les suivants :
Pour récupérer une vidéo dans une page, il suffit de suivre les étapes suivantes :
Copier l'URL de la page contenant la vidéo.
Cliquer sur l'onglet téléchargement.
Télécharger un nouveau fichier.
Cliquer sur OK !
Plugins:
Extensions du navigateurLe
Chrome Web Store où vous obtenez ces extensions de navigateur est
contrôlé par Google, naturellement, puisque Google rend le navigateur
Chrome. Même
une extension ostensiblement à cette fin-la évidemment nommée Video Downloader professionnels États-droite à l'avant dans sa description,
"Le téléchargement de vidéos YouTube sur le disque dur est verrouillé en
raison des restrictions de la boutique Chrome." Google n'a pas l'habitude de laisser une vis de division sur les autres. Le téléchargement d'une vidéo de protocole RTMP (vidéos protégées) ou le streaming vidéo est également pas possible. (Video Downloader ultime, cependant, est un logiciel du même
développeur que les téléchargements de YouTube, Facebook, Vimeo, etc.)Comment télécharger les vidéos YouTube, Video Downloader Pro, ChromeIl en va de même avec d'autres extensions comme vGet. Mais vous pouvez les utiliser sur d'autres sites avec vidéo, bien sûr. Tout simplement pas YouTube.Vous voulez obtenir autour d'elle? Vous avez besoin d'une extension qui ne provient pas du magasin de Web Google. Download YouTube Chrome dit qu'il va faire le travail, et précise
comment faire l'installation sans l'aide les utilisateurs de Chrome
obtiennent généralement de Google Web Store même.D'autres extensions de navigateur qui peut faire le travail, si vous ne les obtenez pas de Google:FastestTubeGratuit; Opera, Safari, Chrome, Firefox, Internet Explorer, les navigateurs à base de chromeCet outil de downloader est sur toutes les plates-formes, et a même un installateur pour Chrome qui saute le Web Store Google. Il
met un "télécharger cette vidéo" droit de menu sur une page YouTube
vous chargez, avec toutes les options de format sur l'écran.
pour Firefox
Unplug
L'extension Unplug permet de capturer simplement une vidéo en streaming au format flv sur la plupart des sites de video en streaming.
Installer l'extension
Se rendre sur l'URL de la vidéo à capturer
Cliquer sur l'icône d'Unplug, qui se situe par défaut à droite de la barre de recherche
Une fenêtre s'ouvre alors, indiquant plusieurs liens :
en-dessous de l'un des liens est inscrite la mention "Possible Location
of Embedded Media"
Cliquer sur le bouton "Save" pour télécharger la vidéo.
Pour mobile:
Avec Android, il est possible d'installer des applications sans passer par Google. WonTubeFree YouTubeDownloaderpour Android Ou
Nota: Sur
la plate-forme iOS, on pourrait penser, il n'y aurait pas une telle
restriction, puisque Apple et Google ne sont pas exactement le meilleur
des copains. Mais
sur les quelques applications que j'ai essayé l'année dernière dans la
première édition de cette histoire non seulement ne pourrait pas
télécharger à partir de YouTube, ils ne sont même plus disponible; il est probable avec iOS 9 qu'ils ne fonctionneraient de toute façon.
Video Download Helper
Il existe une autre extension pour Firefox, Video Download Helper,
qui complète Fast Video Download, c'est-à-dire que certaines vidéos qui
ne peuvent pas être téléchargées via Fast Video Download pourront être
téléchargées via Download Helper.
Le principe de fonctionnement est identique.
GreaseMonkey et All In One Video Script
L'extension GreaseMonkey permet de manipuler le contenu de la page web en cours. En complément de cette extension, le script All In One Video Script permet de détecter un contenu vidéo dans la page pour en récupérer l'adresse.
Autres extensions
Voici une liste d'extensions qui permettent (à priori) de récupérer
(parfois entre autres) des vidéos en streaming, mais qui n'ont pas été
testées pour cette astuce :
YouTubeGet est un outil (payant) vous permettant de récupérer des vidéos sur Youtube très facilement. Pour cela il vous suffit de coller le lien de la vidéo que vous vouliez enregistrer et cliquer sur "Download". YouTubeGet permet également de convertir des vidéos de formats FLV en bien d'autres formats comme MP4, AVI...
Manuellement
Récupérer la vidéo en cache
Il est également possible d'aller chercher directement la vidéo dans le
cache du navigateur, quand on peut la trouver facilement.
Vous pouvez vous aider de la taille du fichier pour déterminer s'il
s'agit de la vidéo que vous cherchez : une vidéo au format Flash fait au
moins un Mo, souvent plus de 10 Mo.
Sous GNU/Linux
La vidéo peut se trouver dans le dossier /tmp ou bien dans ~/.mozilla/profiles/votreprofil/Cache,
avec un nom bizarre commençant par "Flash", par exemple "FlashBZ6ds9".
Aidez vous du poids et du propriétaire d'un fichier pour déterminer s'il
s'agit ou pas de la vidéo que vous cherchez.
Télécharger la vidéo en trouvant son adresse
Il est également possible d'identifier l'URL de la vidéo encapsulée dans
la page WEB, puis de la télécharger avec n'importe quel gestionnaire de
téléchargement.
Pour la trouver, il existe différentes techniques :
Provoquer un message d'erreur en coupant la connexion
Afficher le code source de la page
Provoquer un message d'erreur
Avec le lecteur RealMedia player, il suffit de déconnecter la connexion à
Internet pour provoquer l'affichage d'un message d'erreur donnant
l'adresse du flux en cours de lecture.
Afficher le code source de la page
Sur la plupart des navigateurs, il est possible d'afficher le code
source de la page HTML. Il faut alors rechercher les mots-clés rtsp://,
caractérisant le début d'une URL d'une vidéo utilisant le protocole
RTSP.
A défaut, il est également possible de rechercher les extensions courantes, à savoir ".rm", ".ra", ".ram", ".asx", ".wmv".
Lire la vidéo
Selon le site sur lequel vous avez récupéré la vidéo, il se peut que
vous ayez un fichier de format assez exotique : *.flv, *.avi, *.mov...
(beaucoup sont connus, mais on ne sait jamais).
Pour ouvrir vos vidéos sans le moindre souci, vous pouvez utiliser l'excellent VLC.
* TubeMaster ++,comme (Freemake,ancien add-on Firefox,désélectionner les adwares d'installation)
est une véritable station de recherche, de téléchargement et de
conversion de fichiers vidéo et audio publiés sur le web. Seul regret,
bien qu'agreable esthétiquement parlant, l'interface reste légèrement
déroutante pour ce qui est de l'ergonomie. À découvrir sans plus
attendre !
Télécharger une
vidéo sur un site communautaire tel que Youtube est à la portée de tous.
Dans ce domaine, les gratuitiels se bousculent rivalisant de
fonctionnalités afin de satisfaire un public toujours plus exigeant. On y
retrouve les excellents Free FLV Converter, Video DownloadHelper, et UnPlug et TubeMaster plus.
En avance sur son temps, ce dernier fut l'une des premières solutions
tout-en-un permettant simultanément la recherche, le téléchargement et
la conversion d'une vidéo. Aujourd'hui, revue et corrigée par GgSofts, cette perle renait de ses cendres sous le nom de TubeMaster ++. Qu'apporte ce logiciel par rapport à son prédécesseur ? Clubic vous invite à le découvrir !
Via une interface remodelée, TubeMaster ++ propose diverses
fonctionnalités plus poussées. Il se décompose désormais en trois
onglets complémentaires ayant chacun un objectif précis. Commençons par Recherche Vidéos.
Il vous permettra de rechercher les vidéos publiées sur plus de 90
plateformes communautaires, de partage et d'actualité. On retrouve dans
cette liste des références telles que : Megavideo, Myspace, Youtube,
Dailymotion, AOL Music, Hulu, CBS, FOX, MSN Vidéo, NBA, MSNBC, IFILM, Vimeo, Metacafe,
France24, BBC, CTV, Forbes, Le Monde, MovieLink et Reuters. Il
affichera les résultats de recherche en mentionnant, le nom, la durée,
la catégorie ainsi que la chaine concernée. Avant de passer à l'étape de
téléchargement, vous pourrez cliquer sur le bouton Lancer la Vidéo pour la prévisualiser à partir de votre navigateur par défaut.
L'onglet Capture Multimédia recèle bien plus de fonctionnalités que son nom laisse deviner. Les options correspondants aux boutons Capture, Sauver Sélection et Convertir Sélection
sont activées par défaut. Elles vous permettront de capturer, de
télécharger et de convertir n'importe quelle vidéo affichée dans un
navigateur internet. Après avoir configuré le dossier de destination, il
vous faudra choisir un des nombreux formats de conversion vidéo ou
d'extraction audio : avi, divx, mp4, mp3, Raw
DV, DVD, VCD, 3GP, 3g2, Mov. En plus de supporter une myriade
d'appareils multimédia, plusieurs qualités et résolutions seront
disponibles : BlackBerry, Creative Zen, iPod, LG Chocolate, XBOX 360, Zune, Neuros OSD, Palm, PS3, PSP, RB Toshiba, RB iRiver, RB cowon et RB Sandisk. Une fois récupérée, le fichier pourra être directement lue à l'aide du bouton Jouer.
Le dernier onglet Recherche MP3, vous permettra de rechercher
tous les fichiers MP3 hébergés sur les sites web. Comme pour les vidéos,
vous pourrez lire le fichier avant de le télécharger. Cerise sur le
gâteau, une traduction française fait aussi partie du menu. Rendez-vous
du côté des options pour l'activer.
* sinon,mettre le lien url sur ce site web pour le downloader: http://keepvid.com/ ou * ClipConverter.cc ClipConverter.cc fait l'habituel: il prend une URL et vous permet de télécharger la vidéo, il a accueilli dans de multiples formats, vidéo et audio. Changer l'heure de début et de fin de la vidéo si vous le souhaitez. YouTube, Vimeo, et d'autres sont pris en charge
Ou * ConvertToAudio.com Simple est ce que vous avez besoin,etConvertToAudio.comest que.Branchez l'URL, choisissez unformat deconversion(audio ou vidéo, bien queMP3estla valeur par défaut),même réglerla commande de volume,puis cliquez surConvert It! Vous devrez attendre un certain tempspour la conversion. Le site ne peut pasles faire tout cela étouffait dur à essayer detournerla remorqueTERMINUSdans, eh bien, quoi que ce soit. Ils offrent un bookmarkletà mettre dansla barre d'outils,cliquez dessuschaque fois que vous êtes sur un site devidéo pour commencerune conversion.
* Any Video Recorder:
Any Video Recorder est un outil gratuit conçu pour enregistrer des
vidéos en streaming protégées, des émissions TV, des films en ligne ou
des vidéos sur demande y compris Netflix, Hulu,iTunes, Metacafe, NetFlix,Hollywood Video, Vimeo, Dailymotion, IMDB, VideoETA, Redbox, BlockBuster et autre sans perte de la qualité.
En outre, Any Video Recorder permet de supprimer la protection DRM
et de sauvegarder des vidéos M4V ou des DVDs dans le format MP4
compatible avec Apple, Android et autre. Il est un remplaçant parfait de
convertisseur vidéo MP4. C'est un logiciel 100% gratuit. Vous profitez du support et des mises à
jour sans frais. Pas d'applications tierces, pas de spyware ni virus.
* Ou bien: Si vous cherchez à capturer des vidéos sans vous ruiner, de nombreux
programmes vous proposent également cette fonctionnalité de
téléchargement et de conversion dans un autre format vidéo ou pour
récupérer simplement l'audio.
Qui est compatible avec les systèmes Windows, Mac OS et même Linux : All Video Downloader
de l'éditeur Kastorsoft. Il faudra toutefois se méfier, comme avec la
plupart des logiciels gratuits, de la mise en place de logiciels de
publicité (adware) lors du processus d'installation. Ici nous cochons
"Installation personnalisée" pour décocher l'option "Search protect"
puis à l'étape suivante de "SpeedUpMyPC"
* ClipGrab est un téléchargeur gratuit et convertisseur pour YouTube, Vimeo, Metacafe, Dailymotion et de nombreux autres sites de vidéo en ligne. Il convertit les vidéos téléchargées en MPEG4, MP3 ou d'autres formats en une seule étape facile.
Encoder vos vidéos en HEVC (H.265) et x265 : Le format vidéo révolutionnaire !
Bonjour pour tout les menbres, ces pour votre plaisir que nous cherchons toujours des nouveautés dans ENCODER. nous proposons un nouveau ENCODER X265 . la question qui se pose ces comment voir les films et les serie a travers X265 ? - il faut instaler CODEC k-lite codec pack MEGA Version 11.4.0 or La nouvelle version du lecteur vidéo VLC et KMP PLAYER - es-ce possible de voir dans tout les televisions? Malheureusement ce n'es pas possible, mais seulement sur la television 4K es-ce qu'il ya une autre methode pour voir sur d'autre TV? oui ces possible, mais seulement il faut relier la television avec le Pc, car ces un probleme pour reconnaitre la format ENCODER La nouvelle version du lecteur vidéo VLC + KMP PLAYER reconnaître x265 Un exemple du premier épisode de la série ((Gotham))
H.265, ou "MPEG-4HEVC" (High Efficiency Video Coding), est une norme de codage vidéo ISO/IEC23008-2 et ITU-T H.265, publiée le 13 avril 2013. Elle est développée conjointement par les groupes Video Coding Experts Group (VCEG) et Moving Picture Experts Group et doit succéder au H.264 (ISO/IEC 14496-10 et ITU-T H.264). Ses applications concernent aussi bien la compression des vidéos en très haute définition
(2K, 4K, 8K...) que la diminution du débit de transmission sur les
réseaux pour les vidéos en définition standard avec des applications
pour la vidéo sur mobile et pour l'extension de l'éligibilité aux
services audiovisuels (TV, VoD...) des abonnés aux réseaux fixes
(ADSL...).
HEVC a pour but d'améliorer significativement le codage/compression
par rapport à son prédécesseur AVC. En effet, l'objectif est de réduire
le débit nécessaire de moitié, à qualité équivalente. Ces progrès
nécessitent l'utilisation d'algorithmes plus complexes, bien que le bond en complexité ait été limité tout au long de la normalisation.
La norme HEVC sera utilisée pour la prochaine génération de système
de compression. Bien que le mode principal de codage vidéo soit le mode
progressif, le mode vidéo entrelacé pourra également être utilisé. Le
HEVC supporte toutes les définitions usuelles. Il prévoit également le
support de cadences d'images plus élevées, pouvant atteindre 100, 120 ou
150 images par seconde.
La norme est approuvée et finalisée (FDIS, Final Draft International
Standard) en janvier 2013, sous le nom H.265/HEVC (ISO/IEC 23008-2)8 par l'Union internationale des télécommunications
(ITU). Selon le communiqué de presse, le standard ITU-T H.265 / ISO/IEC
23008-2 HEVC offrira une solution flexible, fiable et robuste. Il est
ainsi désigné comme le standard de la prochaine décennie à la fois pour
l’accès aux contenus vidéo HD et pour l’ultra haute définition. Le communiqué ITU précise que les sociétés ATEME, Broadcom, Cyberlink, Ericsson, Fraunhofer HHI, Mitsubishi et NHK ont déjà présenté des implémentations de HEVC.
La Caisse détient des milliards dans les paradis fiscaux
La Caisse de dépôt et placement du Québec est l’un des
plus grands «utilisateurs» des paradis fiscaux: elle détient plus de
sept milliards de dollars de placements dans des sociétés et des fonds
d’investissement enregistrés dans plusieurs d’entre eux.
Une rapide analyse du rapport annuel 2015 m’a permis de déceler au
moins une trentaine de placements de la Caisse dans les paradis
fiscaux. Et sachez que la Caisse «affectionne» plus particulièrement les
sociétés et fonds d’investissement enregistrés dans les îles Caïmans... Alors quand j’entends notre ministre des Finances décrier les paradis fiscaux, est-ce de l’hypocrisie ou de la naïveté?
Dans la foulée des Panama Papers sur les paradis fiscaux, le
ministre Carlos Leitão disait cette semaine souhaiter que Revenu Québec
et l’Agence du revenu du Canada «conjuguent leurs efforts» afin de
lutter contre l’évasion fiscale et l’évitement fiscal. Mais on fait quoi avec la Caisse et les autres grands gestionnaires canadiens de régimes de pension publics? À qui la faute
Les gouvernements de par le monde se plaignent de perdre des
milliers de milliards de dollars en revenus d’impôt esquivés avec les
paradis fiscaux. Québec et Ottawa en font évidemment partie.
Je les prierais de vérifier les agissements financiers de leurs propres institutions gouvernementales.
Si les paradis fiscaux sont si actifs dans le monde du placement,
c’est notamment en raison des caisses de retraite publiques qui
utilisent des fonds d’investissement et des sociétés financières
enregistrés dans des paradis fiscaux pour faire «fructifier» leur
capital. Sortons l'argent
J’ai une recommandation à faire aux élus politiques. L’une des
plus efficaces solutions pour mener la guerre aux paradis fiscaux serait
la suivante: que les gouvernements du G20 ordonnent demain matin à
toutes leurs caisses de retraite publiques de sortir l’argent qu’elles
ont investi dans les paradis fiscaux.
J’invite la Caisse de dépôt et placement du Québec à donner
l’exemple, au moins au Canada, ce qui forcerait peut-être le
gouvernement Trudeau à demander aux autres grands gestionnaires
canadiens de portefeuille de caisses de retraite de boycotter eux aussi
les paradis fiscaux.
C’est un vœu pieux, je le sais.
Pour justifier ses placements dans les paradis fiscaux, la
direction de la Caisse affirme que tous les Québécois en bénéficient
puisque cela lui permet d’éviter de payer des impôts sur les revenus de
placement encaissés à l’extérieur du Canada et des États-Unis. Beau raisonnement corporatif!
Un
projet de loi entend multiplier les possibilités de surveillance des
agents du renseignement français. Tour des outils à disposition des
services secrets dans le monde.
Les
services de renseignement français vont bientôt voir leurs possibilités
d'espionnage multipliées, avec le projet de loi concocté par le
gouvernement. L'occasion de faire le point sur l'éventail des outils à
disposition des services secrets à travers le monde.
# Ecouter les téléphones
Il s'agit de la pratique la plus évidente : l'écoute des conversations. En France, n'importe quel particulier peut être mis sur écoute
dans le cadre d'une affaire portant "sur la sécurité nationale, la
prévention du terrorisme, de la criminalité et de la délinquance
organisée".
Cette capacité s'est généralisée (pour atteindre un
budget de 43 millions d'euros en 2013) et va parfois très loin. L'agence
de renseignement américaine NSA s'est dotée d'une gigantesque capacité
d'interception, avec son programme Mystic. En 2011, celui-ci aurait même servi à enregistrer 100% des appels passés dans un pays.
Pour simplifier les interceptions, la NSA a également des millions de données, notamment de Français, en se branchant directement sur le câble sous-marins
ou les infrastructures internet par lesquels transitent 99% des
télécommunications. L'agence était ainsi capable de récupérer en moyenne
chaque jour 3 millions de données concernant des Français
(conversations téléphoniques, SMS, historiques de connexions internet,
e-mails échangés...).
# Ecouter Skype, Whatsapp et BBM
Les
autorités françaises peuvent mettre en place des écoutes, sur simple
décision administrative. Mais cette capacité d'écouter aux portes
devrait s'étendre. Le projet de loi souhaite étendre les interceptions
également aux SMS et aux e-mails. De plus, un discret amendement au projet de loi Macron
va permettre d'étendre les écoutes aux services internet. A terme, les
services pourront écouter/lire les conversations sur Skype, Hangout de
Google, Whatsapp, WeChat, Line, Facebook Messenger, Viber, BBM, etc.
Microsoft
aime à rappeler que, sur son service Skype, deux clefs de chiffrement
aléatoires et inconnues de l'entreprise sont créées à chaque
conversation, rendant techniquement impossible de brancher des écoutes.
Seulement, l'argumentaire a été mis à mal à la suite d'une polémique en 2012
où le site Slate expliquait que des dispositifs techniques avaient été
mis en place pour faciliter les interceptions de communication. L'année
suivante, le "New York Times" révélait que Skype aidait les forces de l'ordre américaines à accéder aux données de ses clients.
# La mallette qui écoute tout
Si
l'écoute classique ne suffit pas, les services peuvent faire appel à
une précieuse mallette : l'IMSI-catcher (parfois aussi désignée par sa
marque, StingRay). Cet appareil permet de capter et d'enregistrer toutes
les communications (appels, SMS) des téléphones à proximité.
Techniquement, il se fait passer pour l'antenne de l'opérateur pour
faire transiter par son disque dur toutes les conversations. Il suffit
alors de se trouver à portée d'un suspect pour l'écouter.
Une
solution largement utilisée par les agences de renseignement dans le
monde entier. Aux Etats-Unis, pas moins de 46 agences locales dans 18 Etats
y ont recours. Il faut dire que l'IMSI-catcher est plus accessible que
jamais : il faut compter 1.800 dollars pour acquérir une mallette prête à
l'emploi sur internet, selon "Wired".
Le
projet de loi du gouvernement prévoit d'autoriser leur utilisation par
les services français, après avoir reçu l'aval d'un juge.
La NSA
aurait même poussé le concept d'IMSI-catcher plus loin puisque, selon
des documents d'Edward Snowden, la police fédérale américaine (US
Marshall) utilise de petits avions de tourisme dotés de la même technologie afin de capter les communications de suspects.
# L'aide des hackers
A
l'image de James Bond, les services secrets peuvent utiliser micros et
caméras pour surveiller des suspects. Ils peuvent aussi utiliser des
balises GPS afin de les géolocaliser "en temps réel". Des dispositifs
que le projet de loi français entend légaliser. Mais il souhaite aller
plus loin et permettre l'usage de logiciels espions.
Intitulés
"keyloggers", ces logiciels-mouchards permettent de recopier en temps
réel tout ce qui se passe sur un ordinateur, un smartphone ou une
tablette. La navigation internet, les mots de passe saisis, les fichiers
stockés... tout est accessible. Le texte du gouvernement précise que
"des agents spécialement habilités" pourront "poser, mettre en œuvre ou
retirer les dispositifs de captation". Concrètement, des hackers des
services de renseignement pirateront en toute légalité les machines des
suspects pour mieux les espionner.
Issue du monde du piratage informatique, la pratique a fait des émules dans les services de renseignement. La NSA aurait ainsi développé un ver informatique,
caché dans les disques durs vendus, capable d'espionner tous les faits
et gestes, mais aussi de voler n'importe quel document de dizaine de
milliers d'ordinateurs à travers le monde.
Mais la France n'est pas en reste puisque deux rapports indiquent que les services de renseignement hexagonaux ont développé leur propre logiciel malveillant,
baptisé "Babar", qui renferme un keylogger. Objectif : écouter les
conversations en ligne sur Skype, Yahoo Messenger et MSN, mais aussi de
savoir quels sites ont été visités.
# Ecouter autour du téléphone, même éteint
Le
téléphone portable est décidément devenu le meilleur ami des agences de
renseignement. Outre les écoutes et la géolocalisation, le mobile peut
facilement se transformer en micro, même s'il est éteint.
Des
documents d'Edward Snowden ont ainsi mis en lumière que la NSA (encore
et toujours) est capable d'installer à distance un programme fantôme sur
un portable afin de le transformer en espion. Le magazine "Wired"
qui rapporte l'information n'entre pas dans les détails, mais ce ver
permet de faire croire que l'appareil s'éteint alors qu'il continue de
transmettre des informations (sur son contenu notamment). Pour s'en
prémunir, la seule solution est de retirer la batterie.
Des hackers ont fait savoir depuis longtemps
qu'il est possible de pirater un téléphone et d'en faire un véritable
mouchard : écoute des appels, copie des SMS, géolocalisation, écouter
les sons environnant (dans un rayon de 5 à 8 mètres), enregistrer la
vidéo captée par l'objectif... Et la fonction micro fonctionne même si
l'appareil est éteint (mais conserve sa batterie). Une fonction qui a
sûrement déjà séduit des agences de renseignement à travers le monde.
# La carte des interactions humaines
La NSA a aussi un appétit vorace pour les métadonnées. Tous les échanges électroniques (appels, SMS, e-mails, surf sur internet)
colportent également des détails sur ceux-ci : qui communique avec qui,
à quelle heure, pendant combien de temps, depuis où, etc. Des données
qui se rapprochent des fadettes (les factures téléphoniques détaillées)
et qui intéressent grandement la NSA.
L'agence a mis en place un
programme visant à collecter et à stocker l'ensemble des métadonnées
obtenues par les opérateurs télécoms américains. Objectif : constituer
une gigantesque base de données permettant, à tout moment, de connaître
les interactions entre personnes sur le sol américain. Une idée qui
plaît aussi aux renseignements français, déjà experts des fadettes.
Le projet de loi souhaite que les autorités puissent avoir accès aux
métadonnées d'une personne ciblée sans demander l'avis d'un juge, il
suffira d'une autorisation administrative.
Afin de mieux
appréhender ce que les métadonnées peuvent dire de nous et de nos
interactions, le Massachusetts Institute of Technology (MIT) propose l'outil Immersion qui permet de visualiser sa galaxie de relations basée sur son adresse Gmail de Google.
# La constitution d'une banque de photos
Toujours selon des documents de Snowden, la NSA collecte chaque jour une quantité astronomique de photos
("des millions d'images") afin de s'en servir dans le cadre de
reconnaissance faciale. Le tout est récupéré dans des e-mails, SMS, sur
les réseaux sociaux, via les outils de vidéo-conférences, etc.
Quotidiennement,
l'agence obtiendrait 55.000 photos permettant d'identifier des
individus, afin d'alimenter une immense banque d'images. L'objectif
étant de pouvoir identifier rapidement un suspect, en particulier quand
la banque d'images des photos de passeports ne suffit pas.
# Fouiner dans les téléchargements illégaux
Les téléchargements illégaux peuvent aussi aider les autorités, ou du moins les aiguiller. Un document d'Edward Snowden
a révélé que les services secrets canadiens ont chaque jour scruté
l'ensemble des téléchargements réalisés sur des plateformes comme
MegaUpload ou RapidShare, afin de repérer les manuels et documents
édités par des groupes terroristes, afin d'identifier leurs auteurs et
ceux qui les consultent. Ils produisaient alors une liste de suspects,
transmise à leurs alliés, dont les Etats-Unis. En somme, une aiguille dans une botte de 10 à 15 millions de téléchargements quotidiens.
Pour
Mark Zuckerberg, l’objectif est de donner à tout le monde le pouvoir de
partager tout ce qu’ils désirent avec n’importe qui.
Lors de la conférence F8 destinée aux développeurs, Mark
Zuckerberg a montré la feuille de route de Facebook pour les dix
prochaines années. Cette roadmap se divise en trois parties :
l’amélioration de Facebook dans les trois prochaines années, le
renforcement des applications (entre autres Instagram, WhatsApp et
Messenger) dans les cinq prochaines années. Mais le projet le plus
ambitieux du PDG de Facebook consiste à développer sur les dix ans à
venir la réalité virtuelle, l’intelligence artificielle et la connexion
des individus dans le monde entier.
Zuckerberg
a tout d’abord annoncé la possibilité de se connecter à des services
(de CNN à un simple fleuriste) par Messenger, simplement en leur
envoyant un message. Il a lancé officiellement l'interface de
programmation (API) chatbot de Messenger, qui porte le nom de Messenger
Platform, afin que les entreprises conçoivent leurs propres assistants virtuels.
Le PDG de Facebook est ensuite revenu sur l’arrivée des vidéos Live sur Messenger,
pour concurrencer l’application Periscope, et a annoncé la
disponibilité d’une interface de programmation (Live API) pour diffuser
des vidéos en temps réel à partir d’autres appareils qu’un smartphone
(une démonstration a été réalisée avec un drone DJI Phantom).
Le PDG de Facebook veut l'Internet pour tous
Mais
l’objectif le plus ambitieux de Zuckerberg est de connecter n’importe
quelle personne dans le monde avec des infrastructures terrestres mais
aussi l’envoi dans le ciel de drones ultra légers alimentés par des
panneaux solaires et même de satellites.
Facebook propose également des services Internet gratuits (par
exemple la recherche d’emploi ou la réponse à des questions médicales)
grâce à son offre Free Basics qui connecte 25 millions de personnes dans
37 pays (l’utilisateur d’un smartphone ne paye pas la transmission de
données Internet).
L’intelligence artificielle en aide aux non-voyants
Zuckerberg
a également insisté sur l’importance de l’intelligence artificielle
pour, par exemple, aider les utilisateurs non-voyants en leur décrivant
le contenu d’une photo ou d’un fil d’actualité.
Le PDG de Facebook a également évoqué la disponibilité en open source des modules de son projet de deep learning Torch.
La réalité virtuelle n’est pas oubliée par Facebook
Zuckerberg
a terminé sa keynote en insistant sur la réalité virtuelle comme moyen
de connecter des personnes, où qu’elles soient dans le monde. Il a
présenté deux manettes de réalité virtuelle qui permettront d’interagir
avec le monde virtuel.
Ces manettes viendront compléter l’équipement constitué d’un
casque tel que l’Oculus Rift ou le Gear VR, dont un exemplaire a été
remis à chaque spectateur de la keynote, ainsi qu’un smartphone Samsung.
Selon Zuckerberg, ces casques pourraient dans l'avenir prendre la forme
d'une simple paire de lunettes qui offriraient des fonctions de réalité
virtuelle et augmentée.
Si l’évitement et l’évasion fiscale ne peuvent exister
sans la coordination de nombreuses institutions: multinationales, riches
rentiers ou actionnaires, experts-conseils, banques et États. Ces
derniers demeurent les ultimes coupables: ce sont eux qui ont voté les
lois permettant ces arrangements institutionnels. Pire: les États se
livrent, depuis des décennies, à une féroce concurrence fiscale. Non
seulement des pays comme le Canada ont favorisé l’émergence des paradis
fiscaux, mais ils rivalisent entre eux pour offrir aux entreprises des
taux d’imposition les plus bas possible.
Ainsi, le groupe possédant
Burger King’s a acheté la canadienne Tim Horton's en 2014, mais par un
procédé d’«inversion fiscale» a fait du siège social de la seconde, en
Ontario, celui de la nouvelle entité, question de ne payer que 26,5%
d’impôts, contre environ 35% aux États-Unis. Une tactique qu’entend,
depuis très récemment, bloquer la Maison-Blanche, ayant fait avorter
récemment l’acquisition de la pharmaceutique Pfizer par Allergan.
Une inversion est le déplacement du siège social fiscal d'une entreprise grâce à l'acquisition d'une entreprise. Une telle pratique d'évasion fiscale des entreprises s'est fortement développée au début des années 2010, au point que les autorités américaines s'en alarment.
Ainsi Medtronic, Mylan, Actavis, Chiquita Brands International, Applied Materials, AbbVie et Burger King,
pour ne citer que ceux-là, ont eu recours ou ont voulu recourir à
l'inversion. En 2014, l'administration fiscale des États-Unis a changé
sa règlementation fiscale, réduisant l'intérêt de l'inversion. À la
suite de cela, des acquisitions sont annulées dont celles qui
impliquaient par exemple Chiquita Brands International ou encore Pfizer.
Par exemple, Mylan a recours à une telle pratique en 2014 lors du rachat d'une partie des activités d'Abbott, déplaçant son siège fiscal aux Pays-Bas.
Histoire
En septembre 2014, le trésor américain annonce une première série de mesure visant à réduire une vague d'inversion fiscale1.
En novembre 2015, le trésor américain
annonce de nouvelles mesures visant à limiter l'inversion fiscale,
notamment en limitant la possibilité de transférer la domiciliation
fiscale d'une entreprise dans un pays où cette dernière ne possède pas
ou peu d'actifs. Cette nouvelle série de mesure s'inscrit dans le
contexte de rachat par Pfizer d'Allergan et son projet de déplacement de son siège fiscal en Irlande2.