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samedi 11 décembre 2010

Le Noel manqué d'un itinérant de l'an 1999

Vers 2h30 du matin le 5 septembre 1999, Jean Pierre Lizotte, un itinérant est expulsé d'un bar sur la rue St-Laurent pour avoir, selon la police, commis des actes indécents. Il est expulsé une seconde fois d'un bar adjacent par le portier pour des raisons non spécifiées. C'est alors que Maxime Leroux, attiré par le brouhaha voit ce qui ce passe et témoigne de la brutalité sauvage avec laquelle les policiers se sont défoulés sur le sans-abri:

«J'ai vu le portier frapper solidement l'homme à deux reprises. Je peux vous assurer que ce n'était ni de la légitime défense ni un acte de bravoure pour sauver la veuve et l'orphelin. L'itinérant ne menaçait personne.»

«Évidemment, les policiers sont allés voir directement le sans-abri. Pendant ce temps-là, des amis du portier le félicitaient. Alors que les agents enfilaient leurs gants de cuir, l'homme a eu le malheur de s'éloigner de cinq ou six pieds. Rattrapé, il s'est débattu, tentant de frapper les policiers. C'est à ce moment que les agents ont commencé à "varger solide" à grands coups de poing. Le portier a alors saisi les mains de l'itinérant dans son dos, le temps que les policiers frappent cinq ou six coups. L'homme s'est effondré sur le sol et les policiers ont continué à frapper. Des passants se sont approchés pour intervenir au moment où les agents s'éloignaient. L'homme gisait sans bouger dans une mare de sang.»

Selon M. Leroux, les policiers ont agi de façon «vraiment exagérée». «Même que les passants ont tenté d'arrêter les policiers qui battaient l'itinérant.»

Lizotte a été mené à l'hôpital Hôtel Dieu par les policiers puis transféré à Notre Dame pour y subir une intervention chirurgicale. Il est demeuré hospitalisé et est mort le 16 octobre. Il avait deux vertèbres fracturées, était paralysé de la nuque au orteils, et avait subi un affaissement des poumons.

Entre-temps, une enquête interne du SPCUM a été déclenchée du 9 au 28 septembre puis, le jour du décès, la Sûreté du Québec (SQ) a pris la relève de l'enquête criminelle. Ce n'est que 53 jours plus tard lorsque que ces événements ont été rendus publics.

REF.: Blogue: Le monde a l'envers,

Mourir dans la dignité ,dans sa maison avec les siens

Confusion sur l'euthanasie et la sédation palliative


Il demeure une zone grise, et le corps médical s'expose à des poursuites pour un acte criminel, explique Gaétan Barette.

Le Dr Vinay, de son côté, estime que les médecins sont mal informés et c'est ce qui explique cette confusion. Il fait état également d'une fausse perception qui consiste à désigner les sédatifs comme une molécule qui abrège la vie. Ceci n'est pas vrai, martèle ce spécialiste des soins palliatifs.

Au Québec, 11 % des médecins spécialistes pensent que l'euthanasie se pratique souvent, 41 % disent parfois et 29 %, rarement.

L'euthanasie par médication mortelle, comme les barbituriques, est illégale selon le Code criminel canadien.


Le Canada devrait-il rendre légal le suicide assisté?

81% des médecins disent que l'euthanasie se pratique dans les hôpitaux,mais sans mots dire .


définition du suicide assisté:

c'est le patient lui-même qui prend la substance et la décision de son acte.


définition de l'euthanasie:

c'est devancé la mort a sa demande,c'est un IVV= interuption volontaire de la vie.

ou bien ,c'est une injection d'une substance léthale qui va entraîner la mort dans moins de 5 minutes.

24% de cas d'euthanasie en Europe,souffre de maladie neuropsychique(maladie avancé incurable,ou la personne ne peut vraiment pas pensé, Alzheimer,.....)et qui pourraient vivre plus longtemps.

Il y aurait 20% de cas d'euthanasie clandestine en Europe.


Donc on ne soulage pas le patient,et certain cas de dépression importante,on devance la mort de 10 ans !

3 pays Européen,offre l'euthanasie ou le suicide assisté. 2 états américain(bientôt 3, le Montana)offre le suicide assisté.


LA SÉDATION:

En phase terminale,le médecin offre la sédation( sédatif= Qui est propre à apaiser la douleur ) ou une sédation terminale;c'est d'endormir le patient jusqu'au décès.Selon sa propre décision.

A l'Hôpital Notre-Dame,1% recoive la sédation partielle ,ou bien on offre un soulagement au malade ,donc de la morphine(qui enlève la douleur).


Conclusion: Le problême de la douleur ,engendré par la peur de la mort est le seul responsable d'un faux débat sur l'euthanasie.Mise a part une économie de l'état ,faut faire taire ,ceux qui ont peur de leurs ombres.C'est comme le gars qui dit "vie ta vie a 100 mille a l'heure "Man" ; il faut savoir que vous venez pas de la Terre et du réel,vous venez de la vie ,du prana,du Ki,de l'essence, de YHWH,de la lumière, de ce qui est dans le présent ou de l'absence du temps !

REF.:

Fraudeurs à l'Agence du revenu du Canada

L'Agence du revenu du Canada confirme mener une enquête administrative sur neuf employés de son bureau de Montréal.

Cette enquête s'inscrirait dans la foulée d'allégations de fraude fiscale contre Francesco Bruno et BT Céramique, et de la culpabilité de deux entreprises qui appartenaient à Tony Accurso, Simard-Beaudry et Louisbourg Construction, pour fraude fiscale.

Au printemps 2009, l'Agence du revenu du Canada a mené une série de perquisitions dans des entreprises qui appartiennent à Tony Accurso et chez BT Céramique, pour une affaire de fausses factures. L'origine de l'enquête concernant BT Céramique provenait d'informations obtenues dans le cadre de l'opération antimafia Colisée.

En lien avec cette dernière affaire, deux employés de Revenu Canada ont été congédiés et deux autres ont été suspendus.

Simard-Beaudry et Louisbourg Construction ont plaidé coupables mardi dernier à des accusations de fraude fiscale. Francesco Bruno, de la compagnie BT Céramique, a été accusé au criminel, en mars dernier, pour production de fausses factures.

Selon les sources de Radio-Canada, une douzaine de personnes, des employés ou d'ex-employés, feraient l'objet d'une enquête de la part de l'Agence du revenu du Canada et de la Gendarmerie royale du Canada (GRC). Ces personnes auraient aidé des individus ou des compagnies à frauder le fisc canadien. L'enquête de la GRC a pour nom de code « Coche ».

À la Chambre des communes, l'opposition a demandé des précisions, mais le gouvernement est resté vague dans ses réponses. « Combien de fonctionnaires sont visés par une enqupete et combien d'entreprises de construction comme celles de Tony Accurso ont profité de ce système où on achetait la complaisance des vérificateurs du fisc? » a demandé la députée bloquiste de Terrebonne-Blainville, Diane Bourgeois.

« Toute allégation d'actes répréhensibles est prise très au sérieux et une enquête approfondie est menée », a répondu le secrétaire parlementaire du ministre du Revenu, Jacques Gourde.

L'Agence du revenu du Canada précise que les enquêtes qu'elle mène ne touche pas que des fonctionnaires impliqués dans les dossiers des compagnies de Tony Accurso et de Francesco Bruno. Dans d'autres dossiers aussi, de présumés fraudeurs auraient eu des complices au bureau de l'Agence, à Montréal.

D'après un reportage d'Alain Gravel

La corruption à l'intérieur même de l'Agence du revenu du Canada est peut-être beaucoup plus sérieuse qu'on ne le pensait.

Revenu Canada confirme enquêter sur 11 employés à ses bureaux de Montréal. Ils auraient aidé des entrepreneurs à commettre une fraude fiscale,et toucherait d'autres dossiers.






REF.: http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2010/12/10/001-revenu-canada-enquete.shtml

vendredi 10 décembre 2010

Fraude: L'affaire Mount Real,retour en arrière;Les têtes dirigeantes tarde a être jugées,et cela depuis 2005

L'AFFAIRE MOUNT REAL
130 M$ perdus par 1600 investisseurs
Un total de 1301 chefs d'accusation
déposés contre 29 personnes, dont
682 contre les 5 ex-dirigeants
8 Montant total des amendes réclamé: 555,7 M$
Les 5 ex-dirigeants de la société
sont passibles d'emprisonnement pour 324 des 682 chefs déposés contre eux
L'AMF a affecté six enquêteurs
au dossier.Donc,les 125 victimes du fraudeur Earl Jones devraient recevoir d'ici quelques jours(Decembre 2013) leurs chèques de dédommagement issus du règlement de 17 millions $ conclu avec la Banque Royale, selon ce qu'a rapporté le journal The Gazette, dimanche soir.La Banque Royale a accepté de verser 17 millions $ aux victimes, tout en se disant «convaincue de ne pas avoir fait preuve de négligence».
En soustrayant les frais juridiques, le montant versé aux victimes s'élève à 12,2 millions $.


LES CINQ EX-DIRiGEANTS:
Lino P. Matteo, le patron : 308 chefs
d'accusation, dont 74 passibles de
prison, et demande pour des amendes
de204M$
Paul D'Andréa, n° 2 à compter
de 2004:135 chefs et 137,5 M$
d'amende. Il évitera la prison grâce
à sa collaboration avec l'AMF.
Laurence Henry, président de Real Vest
Investments : 103 chefs et 89,5 M$
d'amendes
Joseph Pettinicchio, président de Mount
Real Corporation de 2001 à 2005:70 .
chefs et 63,5 M$ d'amende
Andris Spura, administrateur: 66 chefs
. et 57 M$ d'amendes
LiS AUTRES
Depuis janvier 2007, l'AMF a déposé 619
autres accusations contre
24 personnes dans ce dossier. Cinq d'entre elles ont déjà été reconnues coupables de 143 chefs d'accusation, et la Cour du Québec les a condamnées à 802 000 $ d'amendes.





Près de 1600 investisseurs ont perdu 130 M$ dans le scandale financier qui s'est échelonné de 1987 à 2005, rappelle l'AMF dans un communiqué émis hier.
«L'enquête révèle que les dirigeants de Mount Real auraient mis en place une super­cherie élaborée portant notamment sur la mise en place de transactions fictives ayant eu comme conséquence d'améliorer de façon significative l'image de la situation financiè­re de l'entreprise et ainsi tromper le public», écrit l'organisme réglementaire.


Les cinq personnes visées par les accusa­tions sont le grand manitou de l'arnaque alléguée, Lino P. Matteo (308 chefs), le n° 2 de la société à compter de 2004, Paul D'Andréa (135 chefs), Laurence Henry (103 chefs), Joseph Pettinicchio (70 chefs) et Andris Spura (66 chefs).


Vous connaissez iForum ?
C'est eux qui publicisaient avec cette outil pour harnaquer les investisseurs !

L'AMF leur reproche d'avoir aidé Mount Real à offrir des placements illégaux au Québec et d'avoir fourni de l'information fausse et trompeuse aux investisseurs et aux autorités réglementaires.
Jean Saint-Gelais, président-directeur général de l'AMF, a dit en entrevue que le niveau de sophistication de l'affaire Norbourg est « de la petite bière » par rapport à celui du scandale Mount Real.
« Le stratagème était très complexe, prémédité et planifié», a-t-il déclaré.
Une myriade de sociétés
M. Saint-Gelais a donné pour exemple les 120 sociétés créées autour de Mount Real et qui avaient pour but de faire perdre la trace de l'argent, a-t-il dit.
De fait, l'AMF n'a pas réussi à savoir où se sont retrouvés en bout de ligne les 130 M$ des investisseurs, malgré le travail des 6 enquê­teurs affectés au dossier, lesquels ont épluché 375 boîtes d'archives et 1,5 million de documents.
Jean Saint-Gelais concède que les chances sont minces d'obtenir chacun des 551 mil­lions de dollars réclamés aux 5 ex-dirigeants de Mount Real mais il estime que les amendes prévues par la loi ont aussi valeur de symbole.
«Les crimes économiques sont graves et dommageables pour les investisseurs et la société en général. Ils doivent être sanction­nés comme tel, avec toute la sévérité nécessaire», a-t-il soumis.
Mount Real est en faillite et sous la tutelle d'un administrateur provisoire désigné par le gouvernement du Québec depuis novembre 2005.
La Cour du Québec n'a pas encore déter­miné quand les procès du quintet auront lieu ???

Regarder le site de l'AMF http://www.lautorite.qc.ca/fr/mountreal-corpo.html et les 5 têtes dirigeantes du groupe sont pas réellement traduit en justice ! Les dirigeants contre qui l’Autorité des marchés financiers a porté des accusations sont : Lino P. Matteo, Paul D’Andrea, Joseph Pettinicchio, Laurence Henry et Andris Spura.

et les individus contre qui l’Autorité des marchés financiers a porté des accusations sont :

Christophe BalayerLaraine LyttleGuy PrescottPaul Quenneville
Enrico BruniWilliam MarstonRené ProteauPaul Messier Jr.
Anthony CappellanoYves MechakaFayza RifaiArmando Ferruci
Éric CoutureRoberto MilziSylvie St-DenisCarole Dorion
Luigi MuroYves TardifMarc-André FromentNick Mylonakis
Jaime Lao Wan LianFrancesco IaconoAntonella NiroVictor Lacroix

À ce jour, six représentants ont vu leurs dossiers être entendus devant la Cour du Québec.
Donc,dans la liste ci-dessus,Lino P. Matteo, Paul D’Andrea, Joseph Pettinicchio, Laurence Henry et Andris Spura,n'ont pas été jugés encore,seulement accusés.Et que Paul D'Andrea a seulement servit de taupe pour ne pas faire de prison ! C'est dure de couper des têtes quand le réseau est bien construit,dommage !

Et en dâte du 22-12-2010; Jaime Lao Wan Lian qui a été condamné à l’amende la plus lourde avec 425 000$ s’était reconnu coupable de 83 chefs d'accusation de pratique illégale de courtier ou de conseiller en valeurs, d'aide au placement illégal et pour avoir fourni des informations fausses ou trompeuses.

Un autre accusé, Francesco Iaconno devra payer des amendes totalisant 203 000$. Il a aussi plaidé coupable devant le juge Claude Parent à 40 chefs des mêmes accusations relativement au placement de produits Mount Real.
Devant le même juge, Iaconno a également plaidé coupable à six autres chefs d'accusation de pratique illégale et d'aide au placement illégal relatifs au dossier Norshield.
Pour ces accusations, M. Iaconno s'est vu imposer des amendes supplémentaires qui totalisent 31 500$.
Un troisième accusé, Fayza Rifai, a été trouvé coupable de cinq chefs d'accusation de pratique illégale de courtier en valeurs et d'aide au placement illégal. Il a écopé d'amendes totalisant 13 000$.
Enfin, Nick Mylonakis a plaidé coupable à 22 chefs d'accusation de pratique illégale de courtier en valeurs, d'aide au placement illégal et pour avoir fourni des informations fausses ou trompeuses. La sentence de Mylonakis sera rendue le 2 février prochain.
Le 24 janvier 2007, l'AMF avait porté 619 chefs d'accusation contre 24 individus ayant agi à titre de représentants dans le dossier de Mount Real Corporation et ses filiales.
À ce jour, 18 individus ont été reconnus coupables dans le cadre de ces poursuites, pour un total de 478 chefs et plus de 2,2 M$ d'amendes.
A ce jr. du 26 Fev. 2011,aucun jugement contre les cerveaux de Mount Real ,soit:

Le 2 Mars 2011:
Mandat d'arrêt contre Lino P. Matteo,le grand manitou de l'arnaque de Mount Real,
enfin ,il était temps !
Il est impliqué dans la fraude de Cinar,pour 120 Millions $.


Le 11 Avril 2012:
  Il avait aussi reconnu sa culpabilité à 12 autres chefs d'accusation pour avoir illégalement exercé l'activité de courtier en valeurs sans être inscrit à ce titre.
De plus, l'intimé a plaidé coupable à six chefs d'accusation pour avoir aidé la compagnie Balanced Return Fund à procéder à des placements illégaux et pour avoir illégalement exercé l'activité de courtier en valeurs. Ces dernières infractions sont liées au dossier Norshield.
Les amendes ont été imposées par la juge Hélène Morin de la Cour du Québec, le 2 avril dernier.
La juge Morin a aussi condamné Roberto Milzi à une amende de 1 000$ pour exercice illégal de courtier en valeurs, dans le dossier Mount Real.
Dans le dossier de Mount Real et ses filiales, l'Autorité des marchés financiers a porté 619 chefs d'accusation contre 24 individus. Jusqu'à ce jour, 22 individus ont été condamnés, pour un total de 544 chefs d'accusation et des amendes de plus de 2,6M$.
 

jeudi 9 décembre 2010

Deux entreprises de Tony Accurso accusées de fraude fiscale


Construction - Deux entreprises de Tony Accurso accusées de fraude fiscale
Tony Accurso
© Archives

Deux grandes entreprises de construction du Québec appartenant à l’homme d’affaires millionnaire de Laval, Tony Accurso, ont été accusées de fraude fiscale lundi après une enquête par l’Agence du revenu du Canada qui a duré un an.

Les entreprises sœurs Simard-Beaudry Construction Inc. et Construction Louisbourg Ltée, ont été chacune accusée d’avoir délibérément évité de payer une somme totale de 4,1 millions $ en taxes, indiquent les dossiers déposés en cour.

L'enquête fédérale de fraude fiscale a conclu que Louisbourg a évité de payer 3,3 millions $ en impôt sur le revenu en déduisant des dépenses douteuses pour un montant de 15,3 millions $ pour les années d’imposition 2003 à 2008.

L’entreprise Simard-Beaudry a été accusée d’éviter de payer la somme de 783,269 $ en impôt sur le revenu en déduisant 3,6 millions $ en dépenses douteuses pour les années d’imposition 2005 à 2008.

Ni M. Accurso, ni aucun autre dirigeant d’entreprise n’ont été inculpés hier et la porte-parole de l’Agence du revenu du Canada, Kareen Dionne, n'a pu expliquer pourquoi. Dans d'autres cas similaires, les dirigeants d'entreprise responsables d’autoriser l’usage de fausses factures ont personnellement fait face à des accusations.

L’Agence QMI laissé plusieurs messages au bureau d’affaires des deux entreprises à Laval, mais il n’y a eu aucun retour d’appel.

Les entreprises doivent comparaître en cour à Laval mardi matin, a indiqué Mme Dionne.

Si elles sont reconnues coupables, les entreprises s'exposent à des amendes de pas moins de 50% et de pas plus de 200% du montant d’impôt qu'elles ont tenté d’éviter de payer.

Cela signifie des amendes allant de 1,65 million $ à 6,6 millions $ pour Louisbourg, tandis que les amendes pour l’entreprise Simard-Beaudry pourraient se situer entre 39,000 $ et $ 1,56 million $ au maximum.

Les accusations de fraude fiscale déposées lundi font suite à des perquisitions dans les bureaux des entreprises Louisbourg et Simard-Beaudry réalisées en 2009, qui étaient soupçonnées d’utiliser des factures bidon pour gonfler leurs dépenses d'affaires et réduire ainsi leurs factures d'impôt fédéral.

Les enquêteurs de l'Agence du revenu du Canada alléguaient dans les mandats de perquisition qu’ils voulaient regarder de plus près des factures fictives utilisées par les deux entreprises pour un montant de 4 millions $, mais les allégations de lundi montrent que la valeur des fausses factures dans cette fraude fiscale s’élevait plutôt à 18,9 millions $.

Il s’agissait d’un dossier délicat pour l’Agence du revenu du Canada, qui a suspendu ou congédié quatre de ses employés qui ont été associés à cette conspiration.

L'affaire a été délicate pour l'Agence, qui a suspendu ou congédié quatre de ses employés qui ont été liés à la conspiration, dont deux qui auraient aidé à cacher 1,7 million $ dans des comptes à l’étranger qui sont des paradis fiscaux.

Un autre homme d’affaires est accusé dans cette affaire. Il s’agit de Francesco Bruno, qui est accusé d’avoir aidé Simard-Beaudry. L’entreprise de M. Bruno loue des espaces à bureaux dans un édifice appartenant au mafieu emprisonné Vito Rizzuto.

L’agence fédérale est aux trousses d’entreprises comme Simard-Beaudry et Louisbourg pour maintenir la confiance du public dans le système fiscal.

L'Agence du revenu du Canada a mis en place un groupe de travail au Québec pour aider à détecter et à poursuivre les fraudeurs de l'impôt dans l'industrie de la construction, a indiqué sa porte-parole, Kareen Dionne.


Et comme par hasard,il vend son bâteau(super yacht ,de 120 pieds),???!!! avant de se le faire saisir ;-) ,il est en vente pour environ 7,9 Millions $ .Quand on parle de tous ces gens importants qui ont séjourné sur le yacht de l’entrepreneur Tony Accurso (Arseneault de la FTQ, Zampino, ex-numéro 2 de la Ville de Montréal), peut-être qu’il y a des termes qui sont banalisés.



Déclaration de naissance: Une formule trois en un

Déclaration de naissance - Une formule trois en un
« On a voulu simplifier la vie des familles. Elles n’ont plus à aller faire des demandes partout », a déclaré Yolande James
©Agence QMI

MONTRÉAL - Lors d’une naissance, plus besoin d’enregistrer le nouveau-né auprès de la province, de demander un numéro d’assurance sociale (NAS) à Service Canada, puis des prestations pour enfants à l’Agence du revenu du Canada (ARC). Les nouveaux parents peuvent désormais faire d’une pierre, trois coups.

En collaboration avec Québec, le gouvernement fédéral a décidé de réduire les formalités administratives pour les nouveaux parents en réunissant les trois services.

Il leur suffit de remplir une déclaration de naissance et d’autoriser, sur celle-ci, le Directeur de l’état civil à transmettre les renseignements nécessaires à Service Canada et à l’ARC. Les demandes de NAS et de prestations pour enfants sont alors amorcées automatiquement.

« On a voulu simplifier la vie des familles. Elles n’ont plus à aller faire des demandes partout », a déclaré Yolande James, lors de la conférence de presse organisée dimanche, à la halte-garderie Parenthèse Montréal. La ministre de la Famille s’est félicitée « d’un service simple, sûr et efficace, qui rejoint déjà 97 % des nouveaux parents ».

Elle a également insisté sur la plus grande rapidité d’obtention des services offerts.

Au Québec, en vertu du Code civil, toute naissance doit être déclarée auprès du Directeur de l’état civil dans les 30 jours suivant l’accouchement.

REF.:

L'Ordre des infirmières du Québec censure (ordonnance de non-publication )


Ordre des infirmières - Parents en deuil bâillonnés par le Conseil de discipline

Ordre des infirmières

Parents en deuil bâillonnés par le Conseil de discipline,maudit Câ)(*&?*%$, de tabourette !



MONTRÉAL — Radio-Canada demande à la Cour supérieure d’annuler une ordonnance de non-publication de l'identité d'une jeune femme, décédée en 2008 à la suite d’une intervention médicale, afin que les parents puissent parler publiquement du décès de leur fille.

Ce décès avait été fortement médiatisé à cause des circonstances entourant l'acte médical.

Le couple, qui collabore avec Radio-Canada dans le cadre d’un reportage à être présenté concernant le décès de leur fille, consent à ce que soient levées les interdictions décrétées par le conseil de discipline de l'Ordre des infirmières du Québec visant l'identité de leur fille.

Radio-Canada soumet au tribunal que les parents «souhaitent que les faits pertinents soient rendus publics dans l'espoir que d’autres parents n'aient pas à vivre la même douleur qu'eux; douleur qui a été amplifiée par le fait d'avoir été maintenus dans l'ignorance de ce qui s'est passé dans les heures qui ont précédé le décès et de ce qui a véritablement causé le décès», peut-on lire dans la Requête de Radio-Canada.

Ainsi, ces ordonnances, argumente Radio-Canada, sont une atteinte à la liberté d'expression, surtout que les parents n'auraient pas été consultés par le Conseil de discipline de l’Ordre des infirmières qui a émis ces ordonnances.

On ne connaît pas encore à ce stade-ci la date à laquelle sera rendue la décision de la Cour.


REF.:

Les escros de Madoff : Les banques HSBC, JPMorgan Chase, UBS,UBP... !

Affaire Madoff - Accord avec un philanthrope américain, 625 M US$ restitués
Bernard Madoff
© AFP / STEPHEN CHERNIN

NEW YORK - Les États-Unis sont parvenus à un accord avec la famille du philanthrope américain Carl Shapiro, qui va restituer 625 millions de dollars de bénéfices provenant d'investissements dans le fonds de Bernard Madoff, afin de dédommager les victimes de l'escroc.

«Carl Shapiro et plusieurs personnes et entités lui étant liées ont accepté de renoncer à 625 millions de dollars aux Etats-Unis, dont la totalité sera mise à la disposition des victimes du fonds de Bernard Madoff», écrit mardi dans un communiqué le bureau du procureur fédéral de Manhattan, à New York.
«La distribution des fonds aux victimes sera gérée par Irving Picard», le liquidateur du fonds Madoff, ajoute le communiqué, qui précise que l'accord a été approuvé par un juge fédéral mardi.
«La famille Shapiro est heureuse d'avoir conclu cet accord avec le département américain de la Justice et avec le liquidateur», a de son côté commenté un conseiller juridique de la famille Shapiro dans un communiqué.
«Cet accord (...) est un bon exemple des progrès que nous faisons pour rassembler le plus de fonds possible au bénéfice des clients du fonds de Bernard Madoff» ayant perdu leur investissement lors de la plus grosse escroquerie boursière de l'histoire, a pour sa part commenté Irving Picard dans un communiqué séparé.
Carl Shapiro, âgé de 97 ans et domicilié à Boston, a été l'un des premiers clients de Bernard Madoff et a investi dans le fonds de l'ex-gestionnaire de fortune dès 1961, est-il précisé.
«La famille Shapiro ne conteste pas que son compte ait été le bénéficiaire de sommes provenant du fonds de Bernard Madoff qui étaient le résultat ou faisaient partie d'activités illégales perpétrées par Bernard Madoff et d'autres», détaille un compte-rendu judiciaire mis en ligne mardi.
Le liquidateur de l'affaire Madoff a jusqu'à la fin de la semaine pour porter plainte contre des complices présumés et réclamer des fonds au bénéfice des victimes.
Ces derniers jours, il a donc accéléré ses démarches et a réclamé au moins 9 milliards de dollars à la banque britannique HSBC et diverses entités associées, 6,4 milliards de dollars à la banque américaine JPMorgan Chase, et 2 milliards de dollars à la banque suisse UBS, les accusant de complicité avec l'escroc.
M. Picard a également annoncé un accord avec la banque suisse Union Bancaire Privée (UBP) qui va restituer un montant pouvant aller jusqu'à 500 millions de dollars.
Bernard Madoff, 72 ans, a été condamné en 2009 à 150 ans de prison pour cette escroquerie, estimée entre 23 et plus de 65 milliards de dollars, selon que l'on compte avec ou sans les intérêts.

Mise a part les Banques,Madoff (Juif d'origine) avec ses magouilles avait un rendement de 1%/mois de plus que les autres,et en tout temps ? wow ce qui est impossible a long terme !!!
Sa chaîne de Ponzi en ayant trop d'ampleur pour continuer,il savait que tout allait éclater un jour,et il a continué.
Il faisait accroire a ses clients ,de faire parti d'un club exclusif d'investisseur.
IL a harnaqué la communauté juive(ironique)de Palm Beach ou tous les riches sont installés.
Ensuite ,il a harnaqué les pauvres de Californie ,qui investissaient dans des fonds nourissiers ,qui alimentait les placements de Madoff.Il a fait perdre toute les économie de l'organisation caritative "Elie Wiesel" ,soit plus de 15$ Millions.
Presque tout les investisseurs de Wall Street le savaient et n'investissaient pas dans les fonds de Madoff.
Au 17 ième étage du chic Lipstick building de Madoff,il y avait plein de vieux computer et d imprimantes qui produisaient des reçus de transaction pour ses clients.IL n' a jamais changé ses imprimantes ou pc par une firme informatique craignant que l'on découvre son jeux.
Il gérait des placements que pour 11 à 25 clients selon la SEC12, pour un montant de 17 milliards USD13. Ces clients étaient des banques, des fonds et de grosses fortunes personnelles13 auxquelles il en était arrivé à offrir un taux de profit de 17 % par an14
Intrigué par les taux de profit proposés par Madoff, Harry Markopolos, un de ses concurrents, avait alerté dès 1999 par écrit la SEC, et concluait en 2005 : « Le plus grand hedge fund du monde est une escroquerie ».
Le fonds ayant accumulé d’énormes pertes, Madoff aurait alors monté un système de cavalerie ou vente pyramidale11 où il payait les intérêts des premiers investisseurs avec le capital apporté par les derniers entrés. Suite à la chute des marchés financiers fin 2008, certains clients ont souhaité retirer leurs fonds, faisant alors s’écrouler le système13. « Début décembre 2008, il devait faire face à des retraits de 7 milliards de dollars, alors qu'il disposait de moins de 1 milliard en banque »10. La SEC craignait que l’ensemble des actifs financiers du fonds ne soient en réalité fictifs12 et que la fraude n’avoisine les 50 milliards USD, ce qui en ferait la plus grande fraude réalisée par un seul homme.

Il était seulement 40% du temps a son bureau et le reste du temps en vacance dépensant son argent en France,a Palm Beach.....
Le 20 février 2009, le liquidateur de la société de Madoff a annoncé avoir retrouvé 650 millions USD27.
D'après le New York Times, 15,5 milliards de dollars auraient été remboursés par les banques à leurs 720 000 investisseurs hors des États-Unis, correspondant à l'ensemble des fonds investis hors intérêts28

Les complices et les bénéficiaires

Irving Picard, l'administrateur judiciaire chargé de liquider la société de Bernard Madoff estime à environ 2000 le nombre de personnes ou entreprises qui ont gagné de l'argent grâce à Madoff et a accusé environ 1000 d'avoir profité indûment de ce système, parmi eux la famille Levy qui a négocié un arrangement de 220 millions de dollars29,30,31 et la banque UBP avec qui l'arrangement porte sur environ 500 millions de dollars.
Irving Picard a déclaré que « Madoff n'a pas agi seul pour commettre la plus grande fraude financière de l'histoire », il a annoncé qu'il réclamait 6,4 milliards de dollars à la banque américaineJPMorgan Chase, principale banque du fonds de Bernard Madoff, deux milliards de dollars à la banque suisse UBS32 et neuf milliards de dollars à la banque britannique HSBC33. Il a également porté plainte contre Citigroup concernée à hauteur de 425 millions de dollars, BNP Paribas pour environ 400 millions de dollars, Legacy Capital, Capital Research, ABN AMRO, BBVA, Nomura et Merrill Lynch34,35.

Le dossier Kohn

Irving Picard soupçonne la banquière autrichienne Sonja Kohn d'être la complice principale de Madoff, « En Sonja Kohn, Madoff a trouvé une âme soeur criminelle, dont l'avidité et l'inventivité malhonnête égalaient la sienne », a t-il déclaré36.
Elle est accusée d'avoir "pendant plus de vingt ans, orchestré une vaste machination illégale". "M. Madoff payait Mme Kohn" qui rabattait l'argent de ses clients vers le fonds de M. Madoff, qui la payait secrètement en retour"37.
Dans la plainte centrée sur Sonja Kohn, Picard lui réclame 9,1 milliards de dollars de dommages et intérêts ainsi que 10.5 milliards à la banque qu'elle a fondée, à la banque italienne Unicredit, à sa filiale Bank Austria et à 53 autres personnes et entités.
« Compte tenu de l'étendue du montage Ponzi de Madoff, de la nature trompeuse des accusés et de la structure délibérément byzantine de Medici Enterprise, nous pensons que seront révélées encore plus d'informations relatives à l'ampleur réelle de cette entreprise criminelle », ajoute-t-il.
* on apprenait le 10 Dec 2010; que ,

Picard réclame 19,6 milliards de dollars de dommages et intérêts à Sonja Kohn ainsi qu'à la banque italienne Unicredit, à sa filiale Bank Austria et à 53 autres personnes physiques et morales.
Le Wall Street Journal avait révélé en février que les fils et le frère de Bernard Madoff sont visés dans des affaires de fraude fiscale bien qu'aucune inculpation n'ait été prononcée.
ET,le 11 Dec. ,le décès de Mark Madoff, âgé de 46 ans, intervient le jour du deuxième anniversaire de l'arrestation de son père, impliqué pendant une vingtaine d'années dans une escroquerie de grande ampleur dont le préjudice mondial a été évalué jusqu'à 65 milliards de dollars.

Le 17 Decembre 2010,un investisseur, Jeffry Picower, a succombé en octobre 2009 à une crise cardiaque en Floride alors que le liquidateur du fonds Madoff, Irving Picard lui réclamait 7,2 milliards de dollars.

Ses héritiers sont tombés d'accord pour verser la somme, la plus forte somme jamais bloquée (pour être ainsi restituée) dans l'histoire des États-Unis, a indiqué le procureur fédéral de New York Preet Bharara lors d'une conférence de de presse.
«L'intégralité des 7,2 milliards de dollars sera reversée aux victimes. Nous espérons donner l'argent l'année prochaine», a-t-il ajouté.
REF.: canoe, http://www.ft.com/cms/s/0/2428b572-016c-11e0-9b29-00144feab49a,dwp_uuid=b7a8d610-caaf-11dd-87d7-000077b07658.html#axzz17X3bkIuT

Madoff a eu des complicités jusque dans les banques dont la HSBC. Redifussion sur les ondes de RDI ("une heure sur terre ")dimanchè 12 décembre à 20 heures.

C'est de valeur que Radio-Canada a mit un voile sur son émission "une heure sur terre",et faire accroire au peuple,que Madoff est le gros méchand !


On apprenait ,le 19-11-2013 que , les États-Unis ont annoncé mardi un accord à l'amiable record de 13 milliards de dollars, qui était très attendu, avec la banque JPMorgan Chase pour mettre fin aux poursuites liées aux prêts hypothécaires à risque.
Cet accord «met fin aux plaintes fédérales et d'États américains sur le regroupement, la vente et la titrisation de produits adossés à des prêts hypothécaires (RMBS) par JPMorgan Chase (et ses filiales) Bear Stearns et Washington Mutual» avant la crise financière, a déclaré le ministre de la Justice de l'État de New York, Eric Schneiderman, dans un communiqué.