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mercredi 7 novembre 2012

Tim Hortons(CIBC et Rogers) se lance dans le paiement mobile

Téléphone intelligent - Tim Hortons se lance dans le paiement mobile
 
Photo Ron Thompson / Agence QMI

OAKVILLE - Les clients de Tim Hortons pourront dorénavant payer leurs achats en utilisant leur téléphone intelligent.
Aussi sur Canoe.ca:
Tim Hortons offre l'internet sans fil gratuit à ses clients
Dossier spécial
Êtes-vous prêts pour les modes de paiement de demain?
La technologie NFC s'imposera-t-elle au Québec?
Le paiement par mobile est-il sécuritaire?
Les Canadiens qui ont un compte de carte de crédit CIBC et un téléphone intelligent de la compagnie Rogers pourront utiliser le paiement mobile au comptoir de la chaîne de restauration.
«Tim Hortons a investi dans l'achat de nouveaux terminaux de paiement pour presque tous ses restaurants au Canada afin de permettre des paiements mobiles et sans contact», a affirmé David Clanachan, chef des services de l'exploitation pour Tim Hortons.
Les clients n'auront qu'à placer leur téléphone intelligent au-dessus du clavier pour effectuer des achats. Ils devront cependant installer au préalable l'application de paiement mobile. «CIBC et Rogers sont les premiers au Canada à offrir ce service», a indiqué une porte-parole.
La chaîne alimentaire a annoncé qu'environ 2300 restaurants Tim Hortons au Canada sont équipés de la nouvelle technologie. Plus de 3000 établissements supplémentaires devraient rejoindre les rangs d'ici décembre.


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mardi 23 octobre 2012

Paiement mobile NFC : pas avant 3 a 5 ans ?

A cause de la pénétration des terminaux de paiement, et la demande des consommateurs,c'est pour ça qu'Apple ne l'avait pas mit dans ses appareils mobiles.


Le paiement mobile par la technologie sans-fil NFC n'est pas prêt d'arriver dans la poche de Monsieur Tout-le-monde. Un responsable de la question chez Google préfère prévenir : le marché ne décollera pas avant trois à cinq ans.
Le vice-président en charge du paiement mobile chez Google, Osama Bedier, ne semble pas du genre à vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Il vient de tracer une ligne assez prudente pour le paiement via NFC (near field contact, la technologie sans-fil retenue pour ce type de paiements). Pour lui, la demande ne sera pas au rendez-vous avant trois à cinq ans.
Google Wallet 
PCMag rapporte ses propos, tenus lors de la conférence Global mobile Internet en fin de semaine dernière. "Nous ne pensions pas que le NFC allait décoller en seulement un an. C'est un jeu qui va se faire en trois à cinq ans."
Et si Google est particulièrement intéressé par la question, c'est qu'avec son Google Wallet, il espère bien se positionner comme un leader du paiement mobile. Déjà utilisé pour payer les achats sur les différents stores du géant, ainsi que pour le paiement in-app sur mobile, sa technologie est utilisable pour payer sans-fil avec son téléphone.
Terminaux de paiement en déploiement 
Le compte est directement relié à une carte bancaire, avec un débit à l'acte ou par rechargement de crédit. Plusieurs smartphones sont compatibles avec la technologie NFC depuis plus d'un an.
Les deux problèmes que Google - et ses partenaires ou rivaux - doit résoudre, c'est la pénétration des terminaux de paiement, et la demande des consommateurs. En France, c'est à l'état d'expérimentation dans plusieurs enseignes de distribution ou de restauration.
Quant à la demande, c'est encore très loin d'être fait, même si le géant annonce une progression lente mais constante du nombre de paiements effectués.


mardi 15 mai 2012

NFC + CIBC + Rogers + Apple = iPhone 5 ?

Banque CIBC - Des cartes de crédit sur les téléphones Rogers
Bientôt, vous pourrez utiliser votre téléphone pour faire vos achats chez tous les commerçants à travers le Canada. 
AFP / Mychele-Daniau
Banque CIBC

Des cartes de crédit sur les téléphones Rogers

TORONTO – La Banque CIBC et Rogers Communications ont annoncé mardi un partenariat qui favorisera l'utilisation de la carte de crédit CIBC à partir d'un téléphone intelligent et de l'application «Near Field Communications» (NFC).

Consultez notre dossier:
Êtes-vous prêts pour les modes de paiement de demain?
Les consommateurs pourront utiliser leur téléphone pour faire leurs achats chez tous les commerçants à travers le Canada où les paiements par carte de crédit sont acceptés.
C'est la première fois qu'une banque et un réseau sans fil joignent leurs forces pour offrir des facilités de paiement par téléphone intelligent, tout en assurant la sécurité des transactions, a-t-on souligné dans un communiqué.
«En faisant équipe avec Rogers, les clients de la Banque CIBC bénéficieront de la commodité de payer à la caisse avec leur appareil mobile en tirant parti également des avantages de leur carte de crédit CIBC, y compris les points de fidélisation», a expliqué David Williamson, premier vice-président à la direction, Services bancaires - détail et entreprises CIBC.


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lundi 26 mars 2012

NFC: Le paiement par mobile est-il sécuritaire?

Technologie NFC - Le paiement par mobile est-il sécuritaire?
 
© Shutterstock

Considéré sous l'angle pratique, le fait de pouvoir regrouper différentes cartes servant à effectuer des paiements sur une seule puce dans un téléphone est intéressant. Mais que se passe-t-il en cas de vol du téléphone, et comment être sûr que nos données ne se feront pas voler à distance?

CONSULTEZ NOTRE DOSSIER:
Êtes-vous prêts pour les modes de paiement de demain?
L'élément de sécurité permettant de garantir la confidentialité des paiements repose sur le constat que la puce n'émet pas de signaux.
De plus, «les informations ne passent pas dans le réseau, mais dans la transaction avec la banque. Les seuls qui vont posséder des informations personnelles et qui sauront ce que vous achetez sont les commerçants», explique Bruno Crispin, chef partenariats et solution d'affaires évoluées chez Rogers.
D'autres failles peuvent exister, mais dans les services qui ne sont pas proposés par les banques. Par exemple, celles qui ont affecté Google Wallet, le service de paiement de Google. En cas de vol, on pouvait effectuer des achats en remettant le téléphone à zéro («reset»). Il a été également possible d'obtenir le code de confirmation sur un téléphone débridé.
En cas de vol?
Si celui qui se retrouve en possession de votre téléphone, à la suite d'une perte ou d'un vol, connait vos codes d'accès, il pourra effectuer des paiements avant que le téléphone ne soit bloqué.
Est-elle sûre?
Avant la NFC, les cartes bancaires ont été sécuritaires jusqu'à ce qu'elles puissent être clonées.
La sécurité est-elle optimisée avec la NFC? Les clients seront-ils remboursés en cas fraude? Un responsable de la sécurité d'une institution financière qui a voulu garder l'anonymat explique: «Si les banques lancent cette technologie, c'est que les risques ont été évalués en amont. Quand une carte bancaire est clonée, les banques remboursent, car elles restent gagnantes», à la condition que le montant des pertes demeure inférieur à celui des gains apportés par les cartes de crédit.
«Il vaut mieux rembourser le montant de la fraude au client et conserver un business rentable, plutôt que de ne rien lui garantir et faire couler ce mode de paiement. Il existe un risque de piratage, et c'est normal vu qu'aucune technologie n'est 100% sécuritaire. Nous avons mis tellement de protection qu'il est extrêmement difficile, voire impossible, en ce moment de pirater le moyen de paiement du client».
Et si le chiffrage de données, c'est à dire la protection cryptée qui empêche de lire les informations transmises lors d'une transaction, pouvait être décodé dans le futur par des ordinateurs plus puissants? «Si de tels ordinateurs apparaissent, nous envisagerons alors un cryptage en 4096 bits avec une clé (mot de passe) qui changerait chaque minute.»
«Ceci signifie que pour casser ce type de cryptage sophistiqué, il faudrait découvrir la suite exacte composée de 4096 chiffres - composés 0 et 1 -, ce qui est actuellement impossible. Même si c'est faisable un jour, un pirate qui réussi ne pourra toujours pas faire de transaction, puisque la clé de cryptage changera la minute suivante», poursuit le responsable de la sécurité d'une institution financière.
Nous avons aussi contacté un pirate appartenant à la catégorie des «white hat», dont l'objectif est de trouver des failles de sécurité dans le but de les corriger. Il a indiqué que «pirater la NFC pour accéder aux informations stockées sur la puce (carte SIM) sur laquelle la technologie est intégrée est faisable, mais ça exige un niveau de compétence extrêmement élevé. Or, le piratage ne se fait pas en attaquant la puce directement, mais plutôt en exploitant les failles du téléphone, ce qui exige de connaitre plusieurs informations comme le modèle précis du téléphone ciblé».
Quant à savoir si la NFC représente une menace pour les consommateurs, il rejoint les propos de notre expert en sécurité en précisant que «Monsieur tout le monde a peu de chance de se faire pirater son téléphone, car ça exige beaucoup trop de moyens. Par contre, ceux qui peuvent craindre le NFC sont les personnes importantes comme les politiques, les grands dirigeants d'entreprises, ou même des personnalités qui pourront être des cibles de choix».


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vendredi 23 mars 2012

La «dématérialisation des moyens de paiement»

Dossier - Êtes-vous prêts pour les modes de paiements de demain?
Les modes de paiement évoluent rapidement. 
© Shutterstock

Êtes-vous prêts pour les modes de paiements de demain?

Une petite révolution technologique se prépare du côté des modes de paiement permettant de s'acquitter de ses achats quotidiens.
Bientôt, il sera aussi dépassé d'aller retirer de l'argent au guichet automatique avant d'aller faire ses emplettes ou de les payer avec sa carte débit que d'avoir à se lever pour changer la chaîne du téléviseur.




AUTRES NOUVELLES
Bien que l'expression «dématérialisation des moyens de paiement» semble faire allusion à des procédures compliquées, il n'en est rien. L'expression dissimule des gestes simples, comme payer son épicerie grâce à une application sur son téléphone ou en envoyant un texto et même transférer des fonds à un ami par l'intermédiaire de son compte Facebook.
Plusieurs éléments contribuent à dessiner le paysage monétaire du futur, tout en expliquant l'évolution «nécessaire» des modes de paiement vers un peu plus d'instantanéité. Sans surprise, la généralisation des téléphones intelligents, le vol (d'identité, d'argent liquide, de cartes, etc.) et le piratage (clonage de carte) sont les plus importants dans ce paysage.
Dans ce contexte, les modes de paiement traditionnels - incluant les cartes bancaires telles qu'elles existent à l'heure actuelle et l'argent papier - ne correspondent plus vraiment à la réalité de leurs utilisateurs.
Deux types de paiements électroniques se distinguent actuellement. D'abord, le paiement en ligne comme ce que permet le service Paypal. Ce dernier, largement adopté par les internautes, représentait en 2011 près de 4 milliards $ en termes de paiements sur mobiles et eBay, son propriétaire depuis 2002, envisage même de doubler ce volume en 2012.
Ensuite, le paiement de proximité, comme la technologie NFC embarquée sur les plus récents modèles de téléphones intelligents, se taille une place de plus en plus importante dans ce marché des transactions dématérialisées.
Les deux modes de paiement dématérialisés ont un point commun: l'utilisation de supports (ordinateur, téléphone, tablette, etc.) qui n'étaient pas initialement destinés à effectuer des paiements.
«La monnaie électronique est partout, dans tous les échanges et elle reste à ce jour le moyen de paiement le plus adapté aux contraintes d'internet et à la rapidité de son développement», indique l'avocate française Christelle Mazza sur son site web.
Même si la technologie bouleverse nos vieilles habitudes, cela n'implique pas pour autant que les modes de paiement actuels sont voués à disparaître. Le meilleur exemple est la société suisse NagraID Security, qui adapte les cartes de crédit au virage technologique comme vous pourrez le constater en visionnant la vidéo.
Pour réduire les risques de piratage, l'entreprise les rend capables de générer et d'afficher des séries de chiffres de sécurité (ou «one time password») sur un petit écran LCD intégré à même la carte dite «complexe».






 

Depuis déjà quelques mois, Starbucks propose à ses clients de payer à l'aide de leur téléphone intelligent. En téléchargeant l'application Starbucks Canada, les utilisateurs peuvent régler rapidement leurs achats de façon sécuritaire. Il suffit d'acheter une carte en ligne, d'entrer le code de celle-ci dans l'application pour qu'ensuite un code à barres soit généré. Les clients n'ont qu'à présenter leur téléphone devant le lecteur du magasin, pour lui soumettre le code à barres, afin que leur compte soit débité.
La compagnie LevelUp aux États-Unis propose un service similaire, mais son utilisation ne se limite pas à une seule chaîne de magasins. Offert pour le moment dans quelques villes américaines, LevelUp permet aux utilisateurs de payer grâce à un code QR - une nouvelle génération de code plus complexe et contenant des données numériques et alphanumériques - lequel est relié à leur compte bancaire ou leur carte de crédit traditionnelle.
Une fois chez le commerçant participant, il leur suffit de scanner le code QR affiché sur leur téléphone cellulaire et d'entrer le NIP pour finaliser le paiement. Pour chaque transaction complétée, un courriel est envoyé automatiquement au client, facilitant le suivi des achats effectués, ou permettant de les contester en cas de fraude. De plus, LevelUp incite les utilisateurs à utiliser fréquemment le service, car il permet d'accumuler des crédits applicables lors de futurs achats.
Au-delà d'échanges commerciaux, mentionnons le service Zoompass qui permet d'envoyer, de recevoir et de demander de l'argent instantanément au Canada et à l'étranger à partir de votre téléphone



Autres nouvelles
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lundi 5 mars 2012

Carte de crédit sur mobile ?

À qui profitera ce marché? - Payer avec son mobile sera bientôt une réalité
 
© AFP / Mychele Daniau
À qui profitera ce marché?

Payer avec son mobile sera bientôt une réalité 

Viva Visa et Mastercard !

BARCELONE - Payer avec son mobile, quelle que soit la technique, va très rapidement devenir une réalité pour les consommateurs, mais la question est de savoir qui va bénéficier de ce nouveau marché: les banques, les opérateurs mobiles ou de nouveaux entrants venus de l'internet.

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Le paiement mobile recouvre des réalités disparates. Le consommateur peut payer grâce à un portefeuille électronique hébergé sur le web, ou utiliser son téléphone pour payer dans les boutiques physiques grâce à la technologie NFC en passant son téléphone devant un lecteur, sans contact, ce qui permet de régler son achat de manière sécurisée.
Cette dernière solution nécessite côté acheteurs d'avoir un téléphone spécialement équipé, voire de changer sa carte SIM, tandis que le vendeur doit lui s'équiper d'un nouveau terminal de paiement, est plébiscitée par les opérateurs et les banques, mais semble surtout destinée aux pays développés.
Cependant, «malgré des expérimentations grandeur nature (comme citizy à Nice) et quelques effets d'annonce retentissants, force est de constater que nous sommes loin d'une utilisation massive par les consommateurs, ni d'un déploiement industriel chez des marchands», souligne Patrick Flamant, manager chez Ogone, un opérateur de paiement internet.
Le Congrès mondial du mobile à Barcelone a été l'occasion cette semaine pour les fabricants de téléphones d'annoncer la sortie de nombreux terminaux compatibles NFC et pour les fabricants de cartes à puces Gemalto, INSIDE Secure ou STMicroelectronic de faire la démonstration de leurs solutions dans ce domaine.
Pour de nombreux analystes cependant, la fonction paiement des téléphones NFC pourrait être éclipsée par d'autres plus utiles au consommateur: carte de transport en commun, badge d'identification ou carte de fidélité.
«Pour moi le NFC ne décollera jamais parce que je crois beaucoup plus aux solutions de paiement via les réseaux sociaux: Facebook credit ou Paypal», estime Gilles Blanc, directeur des études chez Benchmark group.
En effet, pour Paypal, le spécialiste du paiement sur internet avec 106 millions d'utilisateurs actifs d'un compte en ligne, le paiement mobile est déjà une réalité avec quatre milliards de transactions sur mobiles réalisées en 2011 et sept milliards attendues en 2012.
«Il est important de suivre nos utilisateurs partout où ils font des achats», explique le vice-président de Paypal mobile, David Marcus. «Nous investissons maintenant les boutiques physiques», poursuit-il, car «nous offrons des solutions pour n'importe quelle méthode de paiement».
Les géants américains des cartes de crédit Visa et Mastercard ont choisi avec pragmatisme d'investir les deux champs: le NFC et ses téléphones sophistiqués et les solutions de paiement mobile avec des téléphones plus simples, mieux adaptés aux pays en voie de développement.
«Le mobile est un outil qui nous permet de faire des choses différentes sur des marchés différents», explique Hannes van Rensburg, patron de la filiale paiement mobile de Visa pour les pays émergents.
Orange Money, filiale de l'opérateur français Orange, a ainsi passé un accord avec Visa pour proposer des comptes prépayés dans sept pays d'Afrique et du Moyen-Orient à ses clients mobiles, qui n'ont pour la plupart jamais eu de compte bancaire, de faire des achats en boutique avec leur téléphone.
Mastercard suit lui aussi une politique de partenariats avec des institutions bancaires ou des opérateurs pour proposer du paiement mobile. Partenaire de l'opérateur Turkcell en Turquie, il va ainsi lancer sur ce marché une solution de porte-monnaie électronique soutenue par 13 banques locales.
«L'important ce n'est pas la technologie qu'on utilise, mais la proposition de service que l'on fait au consommateur», explique le manager de Santander Card, Javier Herràiz, un partenaire de Mastercard.


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vendredi 7 octobre 2011

Le téléphone portable en guise de clé de voiture


Toulouse | France - Le téléphone portable en guise de clé de voiture
 
©Google.com

Un téléphone portable servant de clé de voiture et capable de vous guider jusqu'au véhicule dans un parking, technologie développée en première mondiale par l'équipementier allemand Continental, est expérimenté par la communauté urbaine de Toulouse.
«Vous téléchargez l'application sur votre mobile, vous réservez la voiture avec le téléphone intelligent ou votre ordinateur, vous présentez le téléphone devant le capteur situé sur la vitre, la porte se déverrouille et le logiciel vous permet de démarrer», a expliqué mercredi Luc Jansseume, responsable de l'innovation chez Continental Automotive France.
Les employés du Grand Toulouse expérimentent le système depuis mercredi sur une dizaine de voitures de la collectivité avec pour but de mieux utiliser la flotte.
Continental cible aussi les flottes des grandes entreprises, des grands loueurs de voiture et des entreprises qui mettent des voitures en libre-service comme Autolib' à Paris, la version automobile du Velib'.
Si l'automobiliste a du mal à retrouver son véhicule garé dans un parking ou dans une ville qu'il connaît mal, le système le guidera et lui fournira un descriptif de la voiture et sa plaque d'immatriculation, souligne M. Jansseume, qui a coordonné un consortium regroupant des PME, Bouygues et Renault.
Dans une application commerciale, le paiement peut se faire également à l'aide du téléphone intelligent.
Les entreprises ont investi 12 millions d'euros (17 millions $) dans l'élaboration de cette initiative baptisée Autopartage@Toulouse et ont reçu une aide de 4,5 millions de la part de l'État, qui avait lancé un appel à projet en 2010.
La technologie allie deux procédés: Radio Frequency IDentification (RFID, radio-identification) et Near Field Communication (NFC, communication en champ proche).
Le président de Continental Automotive France, Antoine Jouin, souligne que ce nouvel outil permettra à un loueur de voiture de disséminer sa flotte dans une ville, ou pour à une grande entreprise d'optimiser l'usage de ses véhicules et de réduire sa flotte.
Selon Continental, la nouvelle «technologie sans contact» pourrait se retrouver sur le marché en 2012/1013 et apparaître également sur les véhicules particuliers.


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jeudi 9 juin 2011

eWallet , Google Wallet ou MoneyCell ?


MoneyCell - Payer instantanément avec votre cellulaire
 
© Shutterstock


MONTRÉAL — Une compagnie montréalaise veut permettre aux consommateurs de payer leurs achats de moins de 15 $ plus rapidement que jamais. Il leur suffira pour cela de sortir leur téléphone, « bip », et de partir avec leurs produits!
Une puce électronique sera collée sur le téléphone intelligent. Il n’y aura plus qu’à passer l’appareil au-dessus du terminal de MoneyCell pour compléter la transaction.
Cette « technologie nous permet de raccourcir les files d’attente et de «virtualiser» les transactions, a expliqué Lauren Saroukhan, directrice au marketing de DH International, la compagnie québécoise derrière le MoneyCell. Nous ciblons le micropaiement, la transaction moyenne durant [l’expérience] pilote était de 5,98 $. »
Depuis six mois, DH International teste son MoneyCell avec les étudiants de l'École de technologie supérieure (ÉTS), et avec huit commerces aux alentours de l’école. La commercialisation est prévue à l’automne.
« C’est un portefeuille électronique — “eWallet” en anglais — qui permet aux utilisateurs de faire du paiement instantané, mais aussi des transferts d’argent de personne à personne instantanément et sans frais, d’obtenir des ristournes et des suggestions d’e-coupons de rabais », a ajouté Mme Saroukhan.
Selon elle, les frais d’utilisation lors de la commercialisation seront très compétitifs, tout comme les frais de carte de débit.
Google Wallet
La compagnie québécoise se retrouve, bien malgré elle, en compétition directe avec le géant Google. Google Wallet a été lancé en projet pilote à Portland et en Oregon, aux États-Unis, le 1er juin dernier.
Mais MoneyCell est différent d’après DH International. « Premièrement, notre projet pilote est complété; [alors que] Google Wallet est encore en pilote, s’est justifié Lauren Saroukhan. Aussi, nous ne sommes pas reliés à un téléphone en particulier, ni à une carte de crédit en particulier. »
Le Google Wallet ne fonctionne en effet qu’avec un seul téléphone intelligent, alors que le MoneyCell peut être collé sur n’importe quoi.
Un autre géant, Ericsson, vient également d’entrer dans la course des eWallets. L’Ericsson Money a été lancé mercredi dans sept pays européens.