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mardi 14 mars 2017

SPVM: Ça jamais bien été ,a la Division des Affaires Internes



SPVM 168 Pommes pourrites: Sur la controversée Division des affaires internes









Beaucoup d’enquêtes, peu de résultats

(NDLR: Le problême est en haut ,très haut dans la pyramide!)

Quatre policiers sur cinq visés par une enquête criminelle des affaires internes du SPVM ne sont jamais accusés. Et plus de la moitié de ceux qui doivent comparaître devant un juge seront finalement acquittés.
Ces données pour le moins surprenantes sur la performance de la controversée Division des affaires internes, et dont Le Journal a pris connaissance, sont compilées dans le rapport annuel de 2016 du SPVM.
On y apprend notamment qu’entre les années 2012 à 2015, inclusivement, les affaires internes ont ouvert des dossiers d’enquêtes pour des allégations criminelles impliquant 168 policiers du SPVM.
Seulement 32 d’entre eux — soit 19% — avaient dû faire face à des accusations au palais de justice.
Au moment où le rapport a été produit, soit au printemps 2016, onze de ces 32 policiers avaient été déclarés coupables, tandis que 12autres ont reçu des verdicts d’acquittement.
LA BONNE FOI
C’est donc dire que les affaires internes ne «jouent» même pas pour une moyenne de ,500 devant les tribunaux.
Parallèlement à ces dossiers criminels, les affaires internes ont aussi ouvert des enquêtes disciplinaires concernant 299 de leurs quelque 4600 policiers durant cette période. Les sanctions imposées au terme de ce processus de discipline totalisaient 183 journées de suspension.
Dans son rapport annuel de 2009, le SPVM expliquait par écrit qu’il gérait la discipline «dans l’esprit d’un bon père de famille». Et que sa «philosophie d’intervention» en la matière «met l’accent sur la bonne foi» des policiers.
«Le leadership provincial du SPVM en matière de traitement des affaires internes permet de maintenir une équité dans le traitement de la Loi sur la police et, surtout, de mettre en place des mécanismes pour éviter à ses ressources humaines de se placer dans des situations risquées», peut-on lire dans ce rapport.
Il y a fort à parier que le SPVM ne se doutait pas que huit ans plus tard, tout le Québec, le gouvernement et cinq autres corps de police s’intéresseraient autant aux pratiques de ses «ressources humaines» à l’intérieur même de sa Division des affaires internes.
NDLR: On dirait qu'un Juge  fait une différence entre un dossier Politique et Policier,surtout s'il y a des grosses Têtes , des Politiciens et des Cadres d' impliqués ou la Mafia ?

A l'émissiopn JE:
Au SPVM, fuites,faux rapports,campagne de salissage,le SPVM est ébranlé plus que jamais.
On discrédite des policiers avec de faux rapports.La Mafia s'est infiltré dans les affaires minicipales(on se croirait en italie ou au Brésil),a ce moment est dans une crise sans précédent. c'était le début de la commission Charbonneau ,le SPVM

On a su que le policier Ian Davidson (La Taupe ?)avait tenté de vendre toute la liste des informateurs de police, a la Mafia.Règne alors au SPVM un climat de terreur et de règlements de comptes. Une guerre de clan fait rage !

En Janvier 2012,une voiture va chercher un policier du SPVM,Pietro Poletti,il est au coeur de cette affrontement. On l'amène au 20 ième étage de l'Hôtel Intercontinentale du vieux-Mtl ,chambre 2020
loué par Nicodemo Milano le 19-01-2012.
A l'intérieure,les hommes les plus influent de la province:
Marc Parent directeur du SPVM,Jacques Duchesnau Chef de l'unité Anticollusion qui tire beaucoup de ficelle,Nicodémo Milano enquêteur spéçialisé dans les affaires Mafieuses et Pietro Poletti. Il y a deux clans dans cette rencontre:
Ceux qui veulent blanchir Poletti d'allégations criminels dans ce qui serait contenu dans un faux rapport ,rédigé par un clan adverse.Un faux rapport c'est grave et c'est pas la seule fois ou ça se serait produit. Et ceux qui ont dénoncé ce faux rapport,ce sont les agents sonneurs d'alarme: Giovanni Di Feo et Jimmy Cacchione.Ils ont été patrouilleurs,agents doubles,responsables d'enquêtes sur les Hell Angels et la Mafia, les deux ont plus de 57 ans aux total en expérience.Selon eux ça commencé en 1990,ils étaient catalogués comme des gars de la Mafia par les policiers et même par les câdres du SPVM.
Ça vraiment commancé en 2012,lorsqu'ils ont dit que un certain policier était corrompu et que la GRC les auraient mit sur écoute pendant ce temps la.La GRC avait intercepté des communications avec le policier Correti et le scandale de BCIA qui aurait des pratiques douteuses(racculé des compteurs automobile,engager des policiers retraités avec méthodes douteuses ,...).
Correti avait été accusé de fraude avec BCIA,mais les procédures contre lui ont été abandonnées.
L'ex-policier Claude Aubin aurait écrit le 16-10-2014,au Journal de Mtl que Di Feo aurait souvent accompagné le fils de Correti a la sortie de l'école,alors que dans les faits Correti n'a pas d'enfant !(NDLR On devine dans quel Clan est Au-bain). Pourquoi ça ? ........................Parce que Cacchione et Di Feo l'avait (Claude Aubin)fait accusé d'avoir vendu des renseignements au crime organisé ,il y a 15 ans, il a plaidé coupable (Claude Aubin)!Ensuite Di Feo et Cacchione divulguent que : Des policiers recevaient de l'argent du crime organisé,anomalies dans le traitement des sources etc...
Un matin de Juin,ils sont convoqués au SPVM et sont congédiés ,aucune accusations criminels,12 accusations disciplinaires,aucune destitution(ce que voulait le SPVM),ça se termine avec 50,000$ de frais d'avocats et un règlement a l'amiable,dont les termes sont confidentiels,un règlement qui annule toutes les procédures disciplinaires.Dans les déclarations assermentatées: les noms de Michael Ward,Pierre Brochet,Dominic Werotte,Michel Guillemette , apparaisse.
 L'ingérence de la direction du SPVM dans les enquêtes: Ils y a de la fabrication d'allégations,par lesquels on commance des enquêtes dans le but de museler des gens qui ont des choses a dire. Et que les directeurs adjoints du SPVM , connaissent cette façon de faire !!!

L'ancien enquêteur Roger Larivière ,le 09-10-2014 est attablé au Restaurant Eldorado de l'avenue Mont-Royal avec le commantateur Stéphane Berthomet(les Média). Ce que Larivière lui a dit ,c'était la même chose que la lettre sans réponse qu'il avait envoyé au Chef Marc Parent ,que les policiers des enquêtes internes du SPVM ne fesaient pas leur job . Le SPVM avait essayé de prouver que Larivière était un gars instable psychologiquement ,sans preuve. On enquête sur Larivière ,car il aurait eu accès a des documents d'enquêtes confidentielles et peut être transmis ces documents.

Un Policier haut dans la hyérarchie au SPVM(non identifié)aurait dit:
Le sort réservé,lorsqu'ont fait des allégations criminelles ou disciplinaires est variables,selon qu'ont soit ami du parti, c.a.d. dans les bonnes grâces du Chef ou l'inverse ! C'est dégeullase de la façon dont les enquêtes sont bâclées ,afin de satisfaire le désir de vengance des hauts dirigeants. Les enquêtes internes fonctionnent encore comme ça ,comme dans les années 50 , en trouvant un suspect qu'ont veut se venger puis ont tente d'arranger ou de trouver des preuves pour l'accuser.

Le 10-11-2015,un policier porte plainte contre un haut gradé du SPVM ,pour une affaire d'entrave a la justice sur fond d'ingéreance politique. Le 19Nov ont déclanche une enquête sur le policier qui a porté plainte ,on retrouve que son collègue ,F. Djelidi planterait de l'héroine dans les poches de revendeur de drogue afin de les faire chanter pour recevoir de l'information;Alors que l'information avait déja été fourni en Septembre 2015(2 mois avant) par une source codé du SPVM (cette source avait des épisodes un peu  parano selon le SPVM),étrage !

Le SPVM a essuyer plusieurs revers avec les policiers: J. Cacchione,Di Feo,Tony Bianco,Mario Lambert,Roger Larivière, André Thibodeau, toutes des enquêtes dont les suspects ont été blanchis.
Selon Philippe Bensimon,Docteur en criminologie : tout est politique , rendu a un certain niveau.

Deux noms reviennent souvent: Costa Labos et Normand Borduas, enquêté par la SQ, ils seraient en lien avec la Mafia(NDLR: ou manipulé par la Mafia) , et c'est par eux qu'arriva le scandale d'espionnage des journalistes Patrick Lagacé et cie, ont voulait savoir qui était les sources des fuites journalistiques(NDLR: Giovanni Di Feo et Jimmy Cacchione).

La question: Est-ce que le SPVM fabriquerait de la preuve  ? ...................... On connait déja la réponse dans le public !)

dimanche 25 octobre 2015

La S.Q.et les autochtones: 10 ans avant d'admettre des abus envers des femmes autochtones

Abus sur des femmes autochtones

En larmes, la ministre Thériault confie l'enquête au SPVM


La vice-première ministre et ministre de la Sécurité publique, Lise Thériault, s'est dite extrêmement préoccupée par les allégations d'abus sur des femmes autochtones qui pèsent sur des policiers de Val-d'Or et a fait savoir qu'elle ne tolérerait aucun écart de conduite.
Mme Thériault a d'ailleurs demandé à la sous-ministre associée à la Direction générale des affaires policières, Marie Gagnon, de se rendre sur place dès vendredi pour qu'elle puisse dresser un bilan clair de la situation.
Le directeur général de la Sûreté du Québec a aussi demandé vendredi à la ministre Thériault que les enquêtes en cours soient transférées au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).
«Je vous informe que j'ai acquiescé à cette demande et que j'ai chargé le SPVM de prendre la relève pour la suite de ces dossiers», a confirmé la ministre.
(TVA Nouvelles)
Le SPVM reprendra donc les enquêtes concernant ces allégations et aura la responsabilité de soumettre les dossiers au Directeur des poursuites criminelles et pénales.
Il assurera également le traitement de toute autre allégation qui pourrait être formulée à l'égard des policiers de la MRC de la Vallée-de-l'Or.
«Si ces allégations criminelles sont fondées, les contrevenants seront traduits en justice», a déclaré la ministre ajoutant en larmes être «aussi choquée que la population», lors d'un point de presse.
Neuf policiers et policières, dont un aujourd'hui décédé, sont concernés par les 14 allégations, dont certaines remontent à plus de 10 ans. Deux des allégations concernent l'inconduite sexuelle.
«Le type de comportements qui sont allégués est inacceptable, a souligné de son côté le capitaine Guy Lapointe de la Sûreté du Québec. Les huit policiers actifs visés par les allégations seront relevés administrativement dès aujourd'hui et assignés à domicile.»
Jusqu'à vendredi matin, cinq d'entre eux étaient toujours assignés à la patrouille au poste de la MRC de La Vallée-de-l-Or, alors que les deux autres occupaient des fonctions semblables ailleurs au Québec.
Par ailleurs, la capitaine Ginette Séguin, qui travaillait jusqu'à maintenant dans la grande région de Montréal, occupera le poste de directeur par intérim.
En conférence de presse, le capitaine Lapointe a toutefois tenu à préciser que l'ancien directeur n'est pas visé par les allégations.

Enquête indépendante demandée

Pour sa part, l'Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador (APNQL) a exhorté le gouvernement à mettre en place une enquête indépendante.
L'APNQL a fait savoir par voie de communiqué vendredi que selon elle, «une simple enquête interne n'apportera pas des réponses suffisantes aux allégations qui pèsent sur le corps policier provincial».
«Il est profondément troublant de constater qu'il faille une accumulation de drames humains et collectifs pour faire réagir (...) Une commission d'enquête indépendante chargée d'examiner comment s'applique la justice pour les Premières Nations est la seule option», a soutenu le chef de l'APNQL, Ghislain Picard.
De son côté, le Conseil de la Première Nation Abitibiwinni, communauté directement concernée, a demandé aux gouvernements du Canada et du Québec «de prendre des moyens exceptionnels, notamment la mise sur pied d'enquêtes publiques conjointes, pour mettre fin à des situations inacceptables à l'égard des Premières Nations, particulièrement des femmes et des enfants».

Confiance ébranlée

Le Gouvernement de la Nation crie a déclaré par voie de communiqué que la confiance envers le système de sécurité publique et judiciaire a été «fortement ébranlée».
«...il serait plus approprié d'avoir une enquête de la Gendarmerie royale du Canada (GRC), surtout en raison du fait que la situation à Val-d'Or est une préoccupation nationale», estime le Gouvernement de la Nation crie.
«En tant que premier ministre, il est impératif que M. Trudeau réagisse rapidement pour mettre fin à ce scandale national», peut-on lire dans le communiqué.
Rappelons que le 12 mai 2015, la Sûreté du Québec a été informée d'allégations criminelles visant certains policiers du poste de la MRC de la Vallée-de-l'Or.
Les faits avaient été révélés à des journalistes de l'émission Enquête qui réalisaient un reportage dans la région. Le reportage a été diffusé cette semaine sur les ondes Radio-Canada. Des abus de pouvoir et des actes de violence auraient été commis envers des femmes autochtones par des policiers de la Sûreté du Québec.

Source.:

vendredi 26 septembre 2014

Commission Charbonneau: A la S.Q. ont ignore c'est quoi la récusation

Définition : Refuser de soumettre sa cause à la connaissance et à la décision d’un juge, parce qu’on a, ou qu’on croit avoir, des motifs de craindre qu’il ne soit partial

Les liaisons dangereuses(émission enquête)

Enquête examine les liens amicaux entre Tony Accurso et un policier responsable de l'enquête Bitume. À l'époque, cette enquête sur la collusion dans l'octroi des contrats de construction à Laval a été abandonnée. Qui, à la SQ, a été mis au courant de ces liens? Le policier s'est-il récusé? L'enquête Bitume a-t-elle été entravée? Il a fallu plus de 10 ans pour voir des résultats concrets.Donc, les contribuables ont payer plus de 10 millions $ et la S.Q. a perdu 10 ans ,avant qu'ont accuse la Maire de Laval a la Commission Charbonneau. Ce n'est qu'en 2013 qu'une autre enquête mène à des arrestations et à des accusations, entre autres, contre le maire Vaillancourt et Tony Accurso.




En décembre 2002, la Sûreté du Québec lance l'enquête Bitume sur la collusion à Laval. L'entrepreneur Tony Accurso fait partie des suspects.
Au milieu de l'enquête, en août 2003, l'inspecteur Richard Bégin devient directeur des enquêtes criminelles à la SQ.


Le policier entretient des liens amicaux avec Tony Accurso. L'entrepreneur était même invité à son mariage, qui a eu lieu quelques semaines avant sa nomination comme directeur.
« C'est quelqu'un qui était proche de mon épouse, et qui tout à coup, j'ai rencontré à une ou deux occasions et qui me fait de la belle façon. » — Richard Bégin, joint par téléphone
Il affirme s'être retiré du dossier Bitume. « J'ai fait ce que tout policier intègre fait surtout dans des dossiers semblables. Je suis allé voir le directeur général de la SQ [qui était à l'époque Normand Proulx] et je me suis récusé. »
Nous avons demandé à Normand Proulx si Richard Bégin s'était bel et bien récusé de l'enquête en raison de ses liens avec Tony Accurso. « Écoutez, je n'ai pas eu de rencontre à cet effet. Je n'ai aucun souvenir que M. Bégin se soit récusé de cette enquête », a-t-il déclaré.
Nous avons joint à nouveau Richard Bégin, qui nous a donné cette fois une autre version des faits.

  • Vous m'avez dit la dernière fois que vous aviez rencontré M. Proulx pour vous récuser. M. Proulx nous dit non.
  • J'ai avisé mon supérieur.
  • C'est M. Chabot votre supérieur à l'époque?
  • Et voilà.
Steven Chabot, ex-directeur général adjoint aux enquêtes à la SQ, n'a pas été en mesure de nous dire si Richard Bégin s'est récusé de Bitume spécifiquement. Mais il soutient avoir une note qui mentionne que Richard Bégin s'est retiré d'une enquête en août 2003.
De l'avis de Normand Proulx, Richard Bégin aurait dû quitter son poste de directeur des enquêtes criminelles.
« Il doit se récuser et demander à être muté à d'autres fonctions. S'il en avait parlé à son DGA, j'en aurais été informé un, et deux, on aurait tout simplement muté M. Bégin à sa demande à un poste qui correspond à son niveau hiérarchique », dit-il.
Rien ne nous prouve que les liens entre le policier Richard Bégin et Tony Accurso ont provoqué l'abandon de l'enquête Bitume. La SQ ne précise pas pourquoi l'enquête s'est arrêtée en 2004.
Il aura fallu attendre près de 10 ans pour que des accusations soient finalement portées contre l'entrepreneur Accurso, le maire Vaillancourt et 35 autres personnes pour collusion et corruption. Ils ont plaidé non coupables et attendent leur procès. 

 - l'opération Bitume débute en 2002 après que la Sûreté du Québec eut reçu des documents par l'intermédiaire d'Info-crime, notamment des enregistrements. Les informations livrées semblent à première vue si prometteuses et sérieuses qu'une équipe de six enquêteurs de la section des crimes économiques est formée. Un genre d'escouade Marteau venait de naître avant l'heure.
L'enquête s'amorce et s'accélère avec le «recrutement» d'une source proche d'un important entrepreneur. Comme Lino Zambito aujourd'hui devant la commission Charbonneau, l'homme se montre très loquace sur le processus des soumissions truquées, les commissions versées, etc. Plusieurs rencontres ont lieu avec les enquêteurs. Gage de sérieux, il connaît à l'avance le résultat de certains appels d'offres. Sauf que les choses se gâtent lorsque la Sûreté du Québec veut lui attribuer un code de source. A-t-il eu peur? Toujours est-il que cet homme qui en savait beaucoup sur le système arrête sa collaboration. On dit même qu'il quitte le pays.
En parallèle, les enquêteurs poursuivent leur travail, mais leur tâche n'est pas facile. À l'époque, la lutte contre la collusion et la corruption ne fait pas les nouvelles et n'est pas la priorité. «Il y avait aussi beaucoup d'obstruction lorsque les enquêteurs allaient chercher de l'information, en particulier à l'hôtel de ville», se souvient une source très au fait du dossier.


Plusieurs personnes d'intérêt et bien placées font l'objet de filature. Mais du sable s'est inséré dans l'engrenage. Le départ de la source, le manque de collaboration ici et là, et même «l'omerta», pour reprendre le mot employé par l'un de nos interlocuteurs, font en sorte que les enquêteurs ont eu du mal à monter leur dossier et à obtenir les preuves nécessaires à l'obtention des mandats d'écoute électronique dont ils ont besoin. «Voir deux personnes discuter ensemble lors d'une filature, ça ne suffit pas. Il faut entendre ce qu'elles racontent», résume l'une de nos sources.
Devant cette impasse, l'enquête Bitume a été mise en veilleuse au bout d'un an de travail, au grand regret des policiers.
L'amertume semble toujours palpable aujourd'hui à ce sujet, car cette enquête semblait prometteuse et aurait permis de démonter des stratagèmes dont il est question aujourd'hui à l'Unité permanente anticorruption (UPAC) et devant la commissaire France Charbonneau.
Seule consolation, les informations collectées n'ont pas été perdues. Elles ont été placées dans une base de données. Elles pourraient encore être utilisées ou l'ont déjà été.
Le pot aux roses a été partiellement rendu public en 2009, lorsque l'ex-ingénieur du ministère des Transports François Beaudry a révélé à Radio-Canada que plusieurs contrats de voirie totalisant près de 5 millions de dollars avaient été attribués en 2003 dans des conditions douteuses.
Selon ses affirmations, les résultats étaient arrangés avant l'ouverture officielle des enveloppes de soumission. Il avait lui-même obtenu d'avance les noms de 10 entreprises qui devaient présenter les soumissions les plus basses dans 10 appels d'offres publics.
Ses «prédictions» se sont révélées exactes dans 8 cas sur 10. Dans les deux cas restants, il y avait eu échange de contrats, a appris plus tard François Beaudry. Un rapport résumant ces faits a été transmis par la suite à la Sûreté du Québec, ce qui, ajouté à la collaboration de François Beaudry, a donné un bon coup de pouce au projet Bitume déjà en marche.

Source.:

mardi 12 avril 2011

Justice: Dany Villanueva en appel de son expulsion

Justice - Dany Villanueva en appel de son expulsion
Dany Villanueva 
© Agence QMI / Archives
MONTRÉAL – Dany Villanueva s’est présenté mardi devant la Section d'appel de l'immigration (SAI) pour savoir s'il pourra demeurer au Canada.
La Commission de l'immigration et du statut de réfugié (CISR) avait ordonné son renvoi vers sont pays natal, le Honduras, le 21 avril 2010, pour « grande criminalité ». La cause avait rapidement été portée en appel.
Au cours des deux jours d'audience, sept témoins seront appelés à commenter le comportement de Dany Villanueva, le frère de Fredy Villanueva, qui avait été abattu par un policier en août 2008 à Montréal-Nord.
À l'issue de ces procédures, la commissaire à l'immigration pourra prendre trois décisions: annuler la procédure de renvoi, rejeter l'appel et aller de l'avant avec son renvoi au Honduras, ou accorder à Villanueva un sursis de cinq ans, période durant laquelle il devra avoir un comportement irréprochable.
Questionné quant aux états d'âme de son client quelques minutes avant le début de l'audience, l'avocat de Villanueva, Stéphane Handfield, a indiqué qu'il «se sent simplement comme quelqu'un qui se présente devant la Section d'appel».
Une vingtaine de manifestants se sont réunis mardi matin devant le Complexe Guy-Favreau, où est située la CISR, pour protester contre la mesure de renvoi.
En matinée, Me Handfield a remis en question la qualité de témoin-expert de Jean-Claude Gauthier, sergent-détective au Service de police de la Ville de Montréal.
Selon l’avocat, «l’objectivité et la transparence (de M. Gauthier) font défaut puisque selon la Fraternité des policiers de Montréal, dont le sergent-détective fait partie, Dany Villanueva est le seul responsable de la mort de Fredy Villanueva», lors d’une intervention policière, le 9 août 2008.
La décision finale pourrait arriver dans plusieurs semaines, voire quelques mois.
Résident permanent du Canada, Dany Villanueva doit également comparaître le 12 décembre prochain pour faire face à des accusations de conduite avec facultés affaiblies, possession simple de stupéfiants et bris d'engagement.
REF.:anarhilisme.blogspot ,

samedi 11 décembre 2010

Le Noel manqué d'un itinérant de l'an 1999

Vers 2h30 du matin le 5 septembre 1999, Jean Pierre Lizotte, un itinérant est expulsé d'un bar sur la rue St-Laurent pour avoir, selon la police, commis des actes indécents. Il est expulsé une seconde fois d'un bar adjacent par le portier pour des raisons non spécifiées. C'est alors que Maxime Leroux, attiré par le brouhaha voit ce qui ce passe et témoigne de la brutalité sauvage avec laquelle les policiers se sont défoulés sur le sans-abri:

«J'ai vu le portier frapper solidement l'homme à deux reprises. Je peux vous assurer que ce n'était ni de la légitime défense ni un acte de bravoure pour sauver la veuve et l'orphelin. L'itinérant ne menaçait personne.»

«Évidemment, les policiers sont allés voir directement le sans-abri. Pendant ce temps-là, des amis du portier le félicitaient. Alors que les agents enfilaient leurs gants de cuir, l'homme a eu le malheur de s'éloigner de cinq ou six pieds. Rattrapé, il s'est débattu, tentant de frapper les policiers. C'est à ce moment que les agents ont commencé à "varger solide" à grands coups de poing. Le portier a alors saisi les mains de l'itinérant dans son dos, le temps que les policiers frappent cinq ou six coups. L'homme s'est effondré sur le sol et les policiers ont continué à frapper. Des passants se sont approchés pour intervenir au moment où les agents s'éloignaient. L'homme gisait sans bouger dans une mare de sang.»

Selon M. Leroux, les policiers ont agi de façon «vraiment exagérée». «Même que les passants ont tenté d'arrêter les policiers qui battaient l'itinérant.»

Lizotte a été mené à l'hôpital Hôtel Dieu par les policiers puis transféré à Notre Dame pour y subir une intervention chirurgicale. Il est demeuré hospitalisé et est mort le 16 octobre. Il avait deux vertèbres fracturées, était paralysé de la nuque au orteils, et avait subi un affaissement des poumons.

Entre-temps, une enquête interne du SPCUM a été déclenchée du 9 au 28 septembre puis, le jour du décès, la Sûreté du Québec (SQ) a pris la relève de l'enquête criminelle. Ce n'est que 53 jours plus tard lorsque que ces événements ont été rendus publics.

REF.: Blogue: Le monde a l'envers,

lundi 6 décembre 2010

Une autre vidéo incriminante pour la police

Ottawa - Une autre vidéo incriminante pour la police


OTTAWA – Une vidéo enregistrée dans une cellule d’un poste de police d’Ottawa et dévoilée aux médias mercredi montre un itinérant en train de se faire maltraiter par la policière impliquée dans l’affaire Stacy Bonds.

Tout comme Mme Bonds, Terry Arthur Delay, 42 ans, a été arrêté pour intoxication sur la voie publique et a par la suite été accusé d’agression sur un policier. Dans les deux cas, les accusations ont été suspendues, après que deux juges aient regardé les vidéos prises dans les cellules du poste de la rue Elgin.

Terry Arthur Delay a été arrêté le 16 juillet 2009 et la vidéo montre qu’il a été traîné dans une cellule par les pieds. Une fois à l’intérieur, on voit la policière Mélanie Morris lui donner des coups de pieds d'une façon dont «on ne frapperait pas un chien», a conclu la juge Dianne Nicholas. Cette dernière a également trouvé troublant qu’un autre policier, aperçu également sur la vidéo, affirme avec assurance que Terry Arthur Delay était belligérant alors qu’il n’y a aucune évidence de comportement agressif de sa part.

De son coté, Stacey Bonds a été arrêtée le 6 septembre 2008 et emprisonnée au même poste de police. Sur la vidéo, on peut voir la constable Morris et un autre policier lui donner des coups de genou et la déshabiller violemment. La prisonnière a été laissée à moitié nue, vêtue de pantalons souillés pendant trois heures dans une cellule.

REF.:

samedi 23 octobre 2010

Cyberflânage ? ....... Neuf Policiers de Québec s'envoient des courriels porno

QUÉBEC - Les élus de la Ville de Québec aimeraient bien freiner les dépenses qui risquent encore d’augmenter dans le dossier du cyberflânage avec la contestation du syndicat sur la suspension imposée à neuf policiers.

L’équipe Labeaume et les deux conseillers de l’opposition sont d’accord sur un point: la facture de 1,3 million $ est déjà très salée pour les contribuables et une solution s’impose.

Neuf policiers ont été sanctionnés pour s’être échangé des courriels durant leurs heures de travail en 2007, dont certains à teneur pornographique.

Le président de la Fraternité des policiers et des policières de la Ville de Québec (FPPVQ), Jean Beaudoin, a mentionné que ces suspensions, qui varient de trois à 30 jours, seront contestées devant un arbitre de griefs.

Celui-ci affirme que la Fraternité serait en mesure de démontrer que ces échanges étaient tolérés par «la majorité » des officiers et que certains participaient même «activement» à ces transferts.

Conflit interminable

«Il avouait ses torts en point de presse. On s’aligne pour faire un an devant un arbitre qui va coûter cher. On essaie de faire diversion. On veut faire dévier le dossier», a dit Richard Côté, en l’absence du maire au conseil municipal.

Selon lui, si d’autres personnes sont visées, M. Beaudoin doit déposer les preuves à ce sujet. Pour lancer une enquête, il doit y avoir un délateur.

«Répondre par la bouche des avocats, ça ne finit jamais. Tout le monde paie. Réglons ça entre quatre murs et passons à autre chose», a ajouté Yvon Bussières.

«Combien ça va coûter d’aller en arbitrage dans l’année qui vient? Il n’y a pas beaucoup d’entreprises privées qui pourraient payer», a précisé Anne Guérette.

«C’est hors de notre contrôle», a répondu Richard Côté.REF.:

jeudi 24 juin 2010

Bavure policière

Des proches de l'homme qui s'est barricadé , hier matin, à Terrebonne critiquent le travail des policiers. Selon eux, tout n'aurait pas été fait pour sauver la vie du désespéré qui s'est finalement suicidé après plusieurs heures de siège.

En entrevue avec Le vrai négociateur, une femme souhaitant conserver l’anonymat a expliqué que la personne au centre de cette triste histoire l’avait contactée dans la nuit, disant qu’elle était prise de panique, désespérée, qu’elle avait peur et qu’elle avait besoin d’aide.

Selon la dame, c’est parce que des policiers ont mené une opération d’envergure autour de la résidence où le drame s’est joué que le jeune homme de 25 ans a pris panique.

La dame a indiqué à Claude Poirier que toute cette histoire aurait pu connaître un autre dénouement.

(C'est sure quand un désespéré entend ou voit des girophares et des gars en uniformes bleus,y risque de capotter,surtout si la téléphone est coupé et que c'était votre beau-père a l'autre bout de la ligne)

Au cours du siège, le jeune homme qui oeuvrait dans le secteur de la construction aurait demandé à recevoir la visite de son beau-père.

«La police n’a jamais voulu qu’il s’approche de la maison», déplore-t-elle, ajoutant que la communication avait été rompue entre lui et ses parents.

Elle ne comprend pas pourquoi on lui a refusé la visite d’un proche en qui il avait confiance.

«Il n’était pas violent. Jamais il n’aura fait de mal à qui que ce soit.»


REF.:

mardi 15 juin 2010

Tâches administratives pour un sergent du SPVM


Le juge donne des bonbons,même quand c'est pas l'Halloween !
Reconnu coupable de voies de fait - Un sergent du SPVM destitué


MONTRÉAL - Près de cinq ans après avoir commis des voies de fait sur un suspect arrêté pour conduite avec facultés affaiblies, le sergent Serge Germain du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a finalement été destitué de son poste, une mesure exceptionnelle.

Dans une décision rendue le 4 juin, le Comité de déontologie policière rappelle que le sergent Germain a dérogé au code de déontologie des policiers du Québec en frappant au visage un détenu, Michael Helps, en juin 2005 et que, conséquence de ces actes, le policier serait destitué.

Libération houleuse

Les faits à l’origine de ce dossier remontent au 26 juin 2005, alors que des agents du SPVM interceptent la victime dans cette affaire, Michael Helps, 25 ans, pour ivresse au volant.

Le détenu, agressif et intoxiqué, est arrêté et emmené au poste opérationnel-sud pour y subir un test d'ivressomètre à la suite duquel il sera incarcéré.

Selon les faits rapportés, Michael Helps serait demeuré agité durant toute la nuit, mais les policiers ont tout de même pris la décision de le relâcher.

Dans les instants suivant la sortie de sa cellule, le détenu s'en est pris aux trois policiers qui procédaient à sa remise en liberté. C’est à ce moment que le sergent Germain est intervenu en assénant deux coups de poing au visage de la victime.

Lors du procès, qui s’est conclu le 7 mai 2009, M. Germain a admis avoir frappé le détenu, mais il soutenait, à ce sujet, avoir agi en légitime défense. Cet argument a été rejeté par le juge qui a conclu à la culpabilité du policier.

À cette occasion, le procureur de la couronne, Vincent Martineau avait plaidé «qu’un policier doit être traité comme tout citoyen. Donc s'il pose des gestes qui sont répréhensibles, il sera traduit en justice et sera sanctionné pour les gestes qu'il a posés».

Sanction grave?

Il est rare qu’un policier soit destitué de son poste. Dans les quelques cas ou les policiers sont démis de leurs fonctions, c’est en raison de faits graves.

Dans le cas présent, le procureur de la Couronne a rappelé qu’en plus d’avoir enfreint le code de déontologie policière, le sergent Germain avait aussi enfreint l’article 266b du Code criminel qui consiste à employer la force sur une autre personne sans son consentement.

Il peut s’agir d’un simple toucher de la main, de cracher sur la personne ou encore de la frapper: le degré de force utilisé importe peu. Les voies de fait peuvent aussi consister en la menace d’utiliser la force, ou encore en importunant une personne à l’aide d’une arme.

«L’acte reproché au policier est considéré comme criminel», mentionne Me Mario Bilodeau, avocat au Comité de déontologie. La décision de la Ville de Montréal de destituer le policier s’explique plus aisément puisque c’est la Loi sur la police qui a été enfreinte.

En ce qui a trait à une suite dans ce dossier, comme les deux parties dans ce dossier s’étaient montrées d’accord avec la sanction, Me Bilodeau, affirme que la décision ne sera pas appelée.

Jusqu’au moment de la décision rendue par le Comité de déontologie policière, le sergent Germain avait été confiné à des tâches administratives.



REF.:

mardi 3 novembre 2009

La policière Stéphanie Pilotte témoigne à l'enquête Villanueva




Stéphanie Pilotte
Jean-Loup Lapointe
Ce que ça devrait avoir l'aire ,après le procès,dans 10 ans!!!




Bernard Barbeau
La Presse Canadienne
Montréal
La policière Stéphanie Pilotte, impliquée dans l'incident qui a mené à la mort de Fredy Villanueva, bénéficiait de beaucoup de soutien moral, vendredi après-midi, au palais de justice de Montréal, alors qu'elle amorçait son témoignage.
Plusieurs de ses collègues étaient présents, incluant l'agent Jean-Loup Lapointe, celui-là même qui a abattu le jeune Latino. La présence du policier dans la salle a grandement troublé la famille Villanueva.
Pour la première fois, donc, un acteur direct de la tragédie prenait la parole. Le coroner André Perreault a toutefois dû ajourner son enquête, en fin de journée, alors que Mme Pilotte arrivait au point où tout allait se jouer.
Et elle ne poursuivra son témoignage que le 9 décembre. Les audiences reprendront le 8 décembre, mais la jeune femme ne pourra être présente à cette date.
Le procureur du coroner, François Daviault, a surtout mis la table, vendredi.
Stéphanie Pilotte lui a indiqué qu'elle avait reçu son diplôme de l'Ecole nationale de police en décembre 2006 pour entrer en fonction au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) en février 2007. Elle a immédiatement été affectée à un poste de Montréal-Nord, que les policiers surnomment «Le Bronx» parce qu'il s'agit d'un quartier «chaud».
Elle n'avait ainsi qu'une année et demie d'expérience au moment du drame.
De petite taille, Mme Pilotte a elle-même souligné que ses collègues l'ont parfois taquinée.
«Ils riaient de moi quand ils me voyaient au volant d'une Crown Victoria», a-t-elle lancé en référence aux voitures les plus imposantes que les policiers utilisent, faisant sourire une partie de la salle.
Elle a par ailleurs indiqué qu'elle n'a jamais fait feu lors d'une intervention. Elle n'a même eu à dégainer son arme et à la pointer vers quelqu'un qu'une seule fois.
Comme elle faisait du temps supplémentaire, le soir du 9 août 2008, elle ne travaillait pas avec son équipière habituelle. C'était la première fois qu'elle était jumelée à Jean-Loup Lapointe.
Stéphanie Pilotte a raconté que c'est par coïncidence qu'ils sont tombés, lors d'une patrouille, sur un groupe d'individus dont quatre ou cinq formant un cercle étaient penchés vers le sol.
«Ils jouent aux dés», lui aurait dit M. Lapointe. Ils contrevenaient ainsi à un règlement municipal sur les paris et les jeux de hasard, règlement que la jeune femme connaissait mais pour lequel elle n'était jamais intervenue.
Alors qu'elle venait d'accepter de répondre à un appel pour une tout autre affaire (une histoire de bruit), elle a constaté que l'agent Lapointe venait de sortir de leur voiture. Elle l'a suivi et les deux se sont dirigés vers un jeune homme qui avait quitté le groupe. Ils apprendraient plus tard qu'il s'agissait de Dany Villanueva, le frère de Fredy.
La suite en décembre.
Comme Mme Pilotte l'avait relaté un peu plus tôt, le hasard a aussi voulu que les deux agents rencontrent quelques minutes avant la tragédie Jeffrey Sagor Metellus, au sujet de qui Jean-Loup Lapointe avait fait une recherche avec l'ordinateur de leur voiture environ deux heures plus tôt. M. Metellus allait sous peu recevoir dans le dos un projectile du même Jean-Loup Lapointe.
«Ç'a été très bref, a-t-elle dit au sujet de cette rencontre. Au maximum une minute.» Les deux jeunes hommes, qui se connaissaient, se sont simplement salués, selon elle.
Beaucoup de tension dans la salle
Non seulement l'agent Lapointe a offert une présence très remarquée, lors de ce témoignage très attendu, il était accompagné de ce qui semblait être au moins cinq gardes du corps. Et plusieurs autres policiers étaient aussi sur place.
«Je ne pense pas que nos clients assis dans la salle vont faire des choses méchantes», a assuré après l'ajournement l'avocat de M. Metellus et principal porte-parole du camp Villanueva, Alain Arsenault.
«Je trouve qu'il y a beaucoup de gens avec des oreillettes et des trucs semblables, a-t-il ajouté. Je trouve ça lourd comme atmosphère.»
La mère des frères Villanueva, Lilian Madrid Antunes, et l'agent Lapointe ont échangé de nombreux regards tout au long de l'après-midi, des regards qui semblaient souvent très durs, aucun des deux n'acceptant de baisser les yeux.
«C'était la première fois pour la mère qu'elle était confrontée à l'individu qui a fait feu sur son fils, qui a causé sa mort, a confié en fin de journée l'avocat des Villanueva, Peter Georges-Louis. C'était très difficile pour les parents.»
«Il a tout à fait le droit d'y être, a-t-il reconnu. Mais mettez-vous à la place d'un père ou d'une mère qui ont perdu un de leurs enfants.»
Une scène souillée
Vendredi matin, c'est l'état des lieux dans les heures suivant l'intervention qui avait retenu l'attention.
Le drame s'est déroulé dans un endroit public où il y avait beaucoup de va-et-vient. La scène a donc été «contaminée et souillée», comme l'a dit le coroner Perreault.
Ainsi, deux des quatre douilles trouvées par terre avaient été partiellement aplaties.
Des pièces de monnaie jonchaient aussi le sol, tout comme des lunettes fumées endommagées, ce qui survient souvent lorsqu'il y a eu bousculade, a affirmé l'enquêteur en scène d'incident de la Sûreté du Québec (SQ) Sylvain Landry.


REF.:


Fredy Villanueva se trouvait à une quinzaine de pouces de l'arme(*) du policier Jean-Loup Lapointe quand celui-ci a fait feu sur lui, peu après 19h00, le soir du 9 août 2008, dans un parc de Montréal-Nord.
C'est ce qu'indique un rapport d'analyse présenté mardi au palais de justice de Montréal, devant le coroner ad hoc André Perreault. Le sergent-détective Bruno Duchesne, enquêteur principal de la Sûreté du Québec (SQ) dans ce dossier, poursuivait alors son témoignage.
Les différents documents et déclarations évoqués en cour semblent indiquer que les agents Jean-Loup Lapointe et Stéphanie Pilotte avaient interpellé Dany Villanueva - le frère de Fredy -, qui contrevenait apparemment à des conditions que la Cour lui avait imposées, et qu'ils essayaient de l'immobiliser quand le policier Lapointe et lui se sont retrouvés par terre.
C'est à ce moment que Fredy Villanueva aurait tenté de prêter main-forte à son frère.
Il est vraisemblablement le seul à l'avoir fait. Il aurait eu la main gauche presque au sol et la main droite en l'air quand il a été atteint de trois projectiles. Son corps portait des marques de brûlures d'arme à feu, selon le sergent-détective Duchesne.
L'hypothèse de départ de la SQ, transmise par le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), voulait qu'au moins un des jeunes en cause ait étranglé l'agent Lapointe. Or, ce dernier a subi un examen médical dans les heures suivant l'incident et on ne lui a constaté aucune blessure au cou.
Par ailleurs, on connaissait déjà le passé chargé de Dany Villanueva, mais on n'a appris que mardi que l'Agence des services frontaliers du Canada s'intéressait à son cas.
Celle-ci a contacté la SQ le 15 août 2008 afin d'obtenir la confirmation que le jeune homme dont il était question dans les médias était bien le même que celui au sujet de qui elle conservait un dossier. Originaire du Honduras, Dany Villanueva était résident permanent et non citoyen canadien.
Il est toujours devant les tribunaux pour une affaire de vol qualifié survenue en juin 2008, et avait déjà été condamné à 11 mois de détention pour une précédente affaire semblable. La Couronne songe aussi à porter des accusations contre lui pour une troisième affaire de moindre importance.
Un traitement de faveur pour les policiers?
Les avocats du camp policier ont d'autre part voulu rétablir mardi la crédibilité de l'enquête de la SQ, mise à mal lundi par Me Alain Arsenault, l'avocat de Jeffrey Sagor Metellus, l'un des deux jeunes blessés dans l'incident. Ils ont également voulu démontrer que les agents de la paix ne bénéficient d'aucun traitement de faveur devant l'appareil judiciaire.
En contre-interrogeant Bruno Duchesne, l'avocat de la Fraternité des policiers de Montréal, Michael Stober, lui a fait confirmer que tout témoin ou suspect, civil ou policier, a le droit de refuser de répondre aux questions.
M. Duchesne a aussi souligné que «dans la majorité des cas», on rencontre les suspects à la fin d'une enquête, et qu'il n'avait pas de raison, dans la présente affaire, de s'éloigner de cette habitude.
De plus, Me Stober a fait dire à Bruno Duchesne que rien ne le forçait à séparer les agents Jean-Loup Lapointe et Stéphanie Pilotte, comme son équipe l'avait fait pour les autres témoins, puisqu'il ne souhaitait pas les interroger dans les heures suivant la mort de Fredy Villanueva. Il n'aurait vraisemblablement pas pu les isoler l'un de l'autre pendant des jours, voire des semaines.
Le procureur de la Ville de Montréal et du SPVM, Pierre Yves Boisvert, a ensuite souligné qu'un rapport doit impérativement être soumis à la Couronne dans toute enquête qui vise un policier, ce que M. Duchesne a confirmé. C'est le cas même si l'enquêteur estime qu'aucune accusation ne devrait être portée.
Or, il semble que ce ne soit pas vrai dans le cas d'une enquête visant un civil. La police peut elle-même fermer le dossier.
Me Boisvert a ainsi voulu démontrer que non seulement les policiers ne jouissent pas d'un traitement de faveur, ils ont encore plus l'obligation de montrer patte blanche.
Répondant plus tard à Alexandre Popovic, de la Coalition contre la répression et les abus policiers (CRAP), Bruno Duchesne a assuré qu'il n'a «aucun préjugé favorable» envers les policiers. Il a cependant réitéré être d'avis qu'on peut, de par leur fonction, «présumer qu'ils sont honnêtes».


LES BLESSURES DES 2 POLICIERS:
Par les 3 photos ci-dessus,ni Jean-Loup ou Stéphanie,n'ont été gravement agressés ou blessés,ce ne sont que des blessures superficielles,aux bras et aux jambes.Fait interressant,selon les rapports personnels des 2 policiers; Jean-Loup ,qui aurait reçu un solide coup de poing a la machoire n'a pu rien montré de grave lors de son examen médicale;donc cela prouve que dans les faits les rapports des policiers n'étaient vraiment pas juste et honnête.Et que la seule arme trouvé sur les latinos présent n'était qu'un vulguère canif de gamin et des Dés.

(*) L'armurier du SPVM, Alexandre Limoges, entendu aujourd'hui est donc venu expliquer les mécanismes de sécurité des étuis d'armes à feu que possèdent les policiers.
Selon lui, le type d'étui que portait le policier Lapointe le 9 août 2008 possédait trois dispositifs de sécurité fonctionnels, c'est pourquoi, bien qu'il était possible pour un civil de sortir l'arme de son étui, le tout lui semblait peu probable. Il a donc estimé que le policier n'avait pas à craindre d'être désarmé.
Questionné sur les habiletés nécessaires pour réussir cette manœuvre, l'avocat de la famille Villanueva, Me Peter Georges-Louis, a également souligné que pour quelqu'un qui serait «strictement néophyte dans les armes à feu ou les étuis», ce serait «très difficile».

Deux ans plus tard

L'enquête publique sur la mort de Fredy Villanueva avait été suspendue en 2010, le temps que la Cour supérieure entende les requêtes de la Ville de Montréal et de la Fraternité des policiers et des policières de Montréal qui s'opposaient à l'examen de ces mécanismes de sécurité, faisant valoir qu'il s'agissait d'informations privilégiées qui ne devaient pas être divulguées.
«Souvenons-nous en 2008, après le décès, il y a eu beaucoup de brasse-camarade. La Ville a eu peur de ça, a commenté aujourd'hui l'avocat d'un des jeunes blessés, Me Alain Arsenault. C'est l'analyse que je fais de la position de la Ville et de la Fraternité: ils n'en veulent pas du rapport.»
Même si les demandes déposées à la Cour supérieure ont été rejetées en avril 2011, une partie du témoignage de l'armurier M. Limoges a tout de même été frappée d'une ordonnance de non-publication.

REF.:

mardi 2 décembre 2008

On ne condamne pas les Forces de L'Ordre,car sinon...........

Dans le cas Villanueva,la police est innocenté.
Les policiers,Jean Loup Lapointe,et Stéphanie Pilotte sont blanchis !
On ne peut a tour de bras condamner des policiers,usant de force excessive.Sinon, ça serait l'anarchie,la rébellion,comme dans les pauves pays Latinos et d'Afrique.


La fraternité des policiers (ières)de Montreal,FPPM,s'est quant même réjouie de la décision raisonnable du directeur des poursuites criminelles et pénales.

Les policiers garderont ainsi un haut niveau de confiance envers le système de justice,a dit le président de la fppm , yves francoeur.

REF.: http://www.canoe.com/archives/infos/societe/2008/08/20080812-053901.html

jeudi 27 novembre 2008

Histoire d'horreur avec Freddy Villanueva

(ci-dessous,Jean-Loup et Stéphanie + ) )
Avant +)








Ici Jean-Loup et Stef ,après le procès +)

















.






L'affaire Montreal-Nord,ou L'affaire Fredy Villanueva, concerne la mort de Fredy Villanueva survenue dans la ville de Montréal, au Québec (Canada), dans l'arrondissement Montréal-Nord. Une intervention policière a entraîné la mort du jeune homme par arme à feu, ainsi que des vives réactions de la part des habitants du district Ovide-Clermont. Suite à ces événements, une manifestation pacifique improvisée a dégénéré en émeute.
Une enquête a été lancée par la Sûreté du Québec pour faire la lumière sur les causes de la mort du jeune homme, en vertu d'une politique ministérielle.



Tout a commencé lorsque deux policiers ont interpellé Dany Villanueva, un jeune homme ayant un casier criminel qui jouait aux dés à l'argent dans un parc avec quelques amis.[1] Le groupe de jeunes aurait protesté en disant qu'il ne faisait rien de mal, ce qui aurait, aux dires de certains témoins, mis en colère les policiers. Peu après, un des deux policiers aurait voulu procéder à l'arrestation du jeune homme, lequel aurait résisté. Voulant porter assistance à son grand frère, Fredy aurait voulu s'interposer en agrippant un policier à la gorge. Affirmant craindre pour leur sécurité[2], l'un des deux policiers a alors dégainé(Jean-Loup Lapointe) et a tiré quatre coups de feu, tuant Fredy (atteint de 3 projectiles dont 2 ayant endommagé les organes internes) et blessant deux autres de ses amis (Denis Méas atteint d'un projectile au bras et Jeffrey Sagor Metellus atteint d'un projectile dans le dos). Selon le frère de la victime aucun des jeunes gens n'étaient armés.


Qui est a blâmer , son frère Dany ou le policier qui a tiré dessus ?
Seulement 4 dés contre un GUN ?
Si Loto-Québec rend ce jeux légal, qu'est-ce qui va arriver ?
Le 9 Août 2008,le sort de Fredy était joué.Quand au Policier qui la tiré,il l'a eut ,avec 2 balles au thorax,les 2 autres iront sur 2 autres agresseurs,...............................Un Nom a retenir : Fredy ? ...............Non !
Le nom de Jean-Loup Lapointe, Jean-Loup Lapointe,Jean-Loup Lapointe,Jean-Loup Lapointe, Jean-Loup Lapointe,Jean-Loup Lapointe,Jean-Loup Lapointe,Jean-Loup Lapointe,Jean-Loup Lapointe,avec 5 ans d'expérience,seulement !..................c'est pas assez pour un secteur comme le parc Henri-Bourrassa,...................est-ce que la policière Stéphanie Pilote ,celle qui était avec Lapointe ,était vraiment en détresse (ou est ton cours de lutte gréco-romaine ?),mais son cri de désespoire a mit Jean-Loup Lapointe en beau fusil , et a tiré un coup de gun Taser ..................? .....poivre de cayenne,..........Non,..........de Gun tout cours ,et ce sans le secours de d'autres agents ,pour cette intervention dangereuse dans un secteur aussi pire qu'une réserve indienne !
Pauvre Stéphanie Pilote,avec seulemnent 1 an et demi d'expérience,moi j'lâcherais ta job , a ta place! Les services a 2 polices ,si sa dure trop longtemps , les gars et les filles ,viennent qu'a créer des liens,surtout si la veille , y se sont parler intimement ! PopStory.............y faut tu passer un test pour savoir ,si le gars aime trop les animaux a tel point qu'il est aussi pire avec les filles police ?


A oui,.................. ,Jean-Louis Lapointe(jean-loup pour les intimes),se demande si y va avoir un nounourse tout Blanc ,comme neize a Nowell ? +)



Va s'y Général:
http://www.youtube.com/watch?v=AZ436XmAUwM&eurl=http://raymondviger.wordpress.com/2008/09/07/dossier-montral-nord-vido-clip-pour-freddy-villanueva-david-maniack-michael-st-ge&feature=player_embedded








+++++Le 2 Decembre:+++++





Et ,oui,5 jours plus tôt,que prévus,le directeur des poursuites pénales et criminelles ,publit sa décision;(a cause des infos partielles du web !) comme quoi ,que jean-Loup, a eut son ourson blanc !








Une enquête publique viendra bientôt ;mais la version de Jean Louis(Jean Loup,pour les intimes),démontre que Fredy la poigné a gorge et l'autre a sa ceinture .............pas en bas.......................HUuuum !


Jean Loup a faillit mourrir de peur,et il a tiré, tout simplement , sur un rouge +)


Mais ,on parle peu de Stéphanie , 2ième police impliquée ??????


Parce que tout se passe la +)





Stephanie,.........jetée par terre et contre l'autopatrouille,rouée de coup de pieds,car elle tenait un des agresseurs par ses pieds.Une chose est sûre ,c'est quant elle cria a Jean-Loup,qu'elle se faisait frapper,cela aurait déja déclanché le signale pour jean-loup de tiré dans le tas.Cette policière d'un an et demi d'expérience n'aurait jamais dû être la !











Pour Jean-Loup,sa décision de na pas utiliser d'armes répressives comme le poivre de cayenne a été le point de non retour qui se termina avec 3 avertissements ,envers la gagne d'agresseur qu'il devra utiliser son arme.





Et, après le drame,Jean-Loup Lapointe,le gun en main pointé vers le sol , devant les 3 ados ,blessés gravement..............pensa ................pensa..............pensa............pensa.........(ont ne tire pas sur une autopatrouille).........que le coup a été remis ? que les 2 clans sont égaux, que la "game" , est fini ...............NON,..............que la seule chance de dialogue entre Québécois et Ados a été manquée et que la personne qui représentait ce côté d'un dialogue doux ,était la policière Stéphanie Pilotte. +(





Ce n'est pas les Ados du cartier de Montreal-Nord, qui vont oublier cette mésaventure,ni celui des Villanueva ! Qui va réparé les pots cassés ? Personnes,la justice n'est pas ici,.......elle ne sera jamais de ce monde! Faut vivre avec,et un jour le karma s'appliquera+)














+++++Le 4 Decembre 2008:+++++





Les membres de la coalition contre la répression et les abus policiers(CRAP),ont fait savoir leur indignation hier face a ce constat qu'ils jugent aberrant,que le rapport ne reconnaît pas d'infraction criminelle a l'endroit du policier Lapointe,qui a tué Fredy Villanueva,le 9 Août.


Ils réclament notamment une enquête publique et la fin du profilage raciale,qu'ils considèrent présent au sein du corps policier montrealais.





Ils organisent une 2 ième manif ,le samedi 13 Decembre,a 14:00 hrs au parc henri-bourassa de concert avec une quinzaine d'organismes communautaires.


(Il y a eu 600 personnes environ , en Octobre,pour la 1 ière manifestation)



Le 8 Fev 2011:



Le représentant de la CRAP en a également profité pour faire connaître son désaccord face à l’une des recommandations du SPVM et de la Ville de Montréal, qui proposent de lancer une campagne de sensibilisation auprès des citoyens afin de leur faire connaître les dangers de s’interposer dans une intervention policière.
«Quel message veut-on envoyer? Qu’il faut avoir peur des policiers? On fait l’apologie de la peur, monsieur le coroner», a-t-il déploré.
Bien au contraire, M. Popovic croit qu’on devrait plutôt sensibiliser les gens au fait qu’ils ont le droit de filmer ou de photographier une intervention policières qu’ils estiment abusive ou inappropriée.
«Peut-être qu’ainsi, on n’aurait pas eu besoin de 104 jours d’audience», a-t-il indiqué. Les plaidoiries se poursuivent demain, au Palais de justice de Montréal.
François Van Houtte, ancien policier de la GRC ayant témoigné lors de l’enquête sur la mort de Fredy Villanueva, a reçu une lettre de menaces parce qu’il avait critiqué le travail des agents impliqués dans l’incident.
Selon le quotidien «La Presse», M. Van Houtte a reçu la lettre à son domicile de Gatineau durant la période des fêtes. Une carte musicale qui le traitait de vendu, de menteur et qui lui signifiait qu’il allait payer pour avoir trahi ses confrères. Les fils du dispositif musical étaient mis en évidence pour donner l’impression qu’il s’agissait d’un mécanisme de détonation, selon l’ex-policier.
Sur l’enveloppe, il était écrit que l’expéditeur était la Fraternité des policiers de Montréal, qui s’est toutefois empressée de nier son implication dans cette affaire.
François Van Houtte ne croit pas non plus que cette lettre vienne de la Fraternité, mais estime qu’elle pourrait toutefois avoir été envoyée par un ou des policiers parce qu’il est certain que cela fait suite à son témoignage lors de l’enquête Villanueva.
Embauché comme expert par la famille de la victime, il avait déclaré que l’agent Jean-Loup Lapointe, qui a tué le jeune Fredy Villanueva, avait choisi la témérité plutôt que la prudence au cours de l’incident, survenu en août 2008 à Montréal-Nord.
Il pourrait être appelé à retourner témoigner dans cette affaire.



24 Fev 2011:

La mère de Fredy Villanueva se vide le coeur;assis dans la salle, encadrés par leurs gardes du corps, Jean-Loup Lapointe et sa collègue Stéphanie Pilotte n’ont eu aucune réaction en écoutant le plaidoyer de Mme Villanueva. «Ils sont très impatients de reprendre leur travail régulier et de tirer un trait sur ce qui s’est passé», a souligné M. Francoeur.

Cependant, tout indique qu’on devra patienter encore des mois, voire plusieurs années, avant de connaître les conclusions du coroner Perreault. Celui-ci a affirmé en début de séance qu’il ne produirait pas de rapport intérimaire en attendant la décision de la Cour supérieure relativement au mécanisme de sécurité des étuis d’arme à feu des policiers.

Et pourtant, Jean-Loup Lapointe n’a jamais été accusé et patrouille encore aujourd’hui dans les rues de Montréal avec son gun.»
Lors d’une enquête publique, menée par le coroner André Perreault et dont les conclusions n’ont toujours pas été déposées, une quarantaine de témoins ont été interrogés et contre interrogés par les 13 avocats chargés du dossier.


*Dossier clos: Policiers Blanchis !

REF.: canoe ,canoe ,

jeudi 17 juillet 2008

La police de Laval,encore blâmée,pour ses méthodes non règlementaires

Oui,la mort du policier de sexe féminin Valérie Gignac aurait pu être évitée.
La CSST estime dangereuses les méthodes de travail ,des policiers Lavalois.Les patrouilleurs du québec ne savent pas défoncer des portes de manière sécuritaire,selon la CSST.Car depuis le 14 decembre 2005 ou François Pépin l'a abattue,certain poste de police offre une formation spéçialisés sur l'art de défoncer une porte fermée.

Pépin ,le trouble fête,tira a travers la porte pour tuer la policière derrière la porte.Mais,une analyse inexacte de la situation par la policière,et l'application d'une technique d'intervention inappropriée,lui fû fatal,selon Robert Poéti ,spéçialiste de la sécurité publique.C'est la deuxième fois que la police de Laval,en quelques semaine est amené a réaliser que ses méthodes de travail ,de ses policiers sont dangereuse.Car un tir avec une carabine Browning de calibre .338 ça perce un gilet pare-balle facilement ! Donc par le fait même ,les policiers eux-même.Le chef de police de Laval,devrait démissionner de son poste.

Après l'Escouade Acajoux,ce sera l'Escouade Ronald MacDonald,gagne de Clown !

lundi 23 juin 2008

Bavure des Policiers de Laval,L'affaire "Parasiris"





















Bavure policière ou invasion de domicile ,comme les p'tits criminels sont habitués de nous faire.
Le 2 Mars 2007,la police de LAVAL,...de ou ? de LaVal !......Laval ,,,ah ! LAVAL,O.K.
(On voit très bien sur les photos,les policiers de Laval dans la cause ainsi que l'avant dernière photo au centre L'avocat de Parasiris ,Maître Larochelle,et la dernière photo le couple Parasiris, a la sortie de la cour,tandis que la troisième avant dernière photo ,montre sur le schéma, l'enfant des Parasiris dans la chambre arrière, en rouge)

Parasiris avait ouvert le feu vers 5 heures, le 2 mars 2007, sur le policier Tessier qui venait de faire irruption dans sa résidence avec des collègues. Les policiers avaient défoncé à coups de bélier la porte de la maison.

Pour défoncer la porte d'un Grecque en pleine nuit,dans le but d'y trouver de la drogue ou..........,mais non,ça fait longtemps qu'en 2007 tout de même que rien n'est caché dans les maisons suspectes,.........quand même ! Sauf,des armes,il avait 4 armes et pas tous enregistrées ! De la drogue,...........un peu de coco,et 17 cellulaires/téléavertisseurs.

Bon, Parasiris(de Brossard) ,tue le policier Daniel Tessier,ce policier de LaVal est le premier entré ,et a être exposé au tireur . Mais cette tuerie de seulement 30 secondes,digne du farwest,a fait tirer 17 balles par les policiers de Laval.Parasiris ne voit rien qui identifie le policier,et quand celui-ci tombe sous les coups de feu ,il a vu le mot POLICE derrière son dos !Alors ,il s'est défendu ,pour défendre sa peau,son enfant n'a pas été atteint ,mais sa femme au bras!Le juge aurait dit au juge,que Parasiris n'avait pas l
'intention de tué,car il avait fait dans ses pantalon(donc avec les culottes souillées,il n'avait pas l'intenté de tous les tués).

Pour l'opération policière avec mandat de perquisition chez Parasiris,ça c'est trop précipité , sans l' aide du Groupe Tactique ,pas de chance; de plus que l'ont savaient que Parasiris avait des armes illégales.Cinq autres perquisitions s'effectuaient en même temps;et chez Parasiris c'était a faible risque, semble t'il ! Le pire dans tout ça c'est que le femme de Parasiris blessée gravement aux bras par une balle,les Policiers l'ont menottée quand même sans donner de soins,..............Wow ! je ferais pas sa a un chien,mais si Daniel Tessier râlerait et aurait juste été légèrement blessé ,on l'aurait aider , LOL !


Résultat: il est Acquitté,légitime défense.
et lorsque le dossier a été réouvert,prouvant la possession d'armes et stupéfiants,il purgera 20 mois,pour sa faute ! Et ensuite,Parasiris a déposé, en novembre 2008, une poursuite de 1 million $ contre la police de Laval et une autre de 500 000 $ à l’endroit du Procureur général du Québec.Il invoque dans sa poursuite en dommages et intérêts pour lui et sa famille que le mandat de perquisition était «injustifié et illégal». Il prétend aussi que l’opération a été «littéralement monstrueuse, sauvage et manifestement abusive étant contraire à la Charte canadienne des droits et libertés».

Les agents ont effectué une frappe policière chez Basil Parasiris, car il était soupçonné de tremper dans le lucratif monde de la drogue. Parasiris a admis dans une de ses déclarations à la police qu’il croulait sous les dettes et que pour s’en sortir il avait commencé à faire le trafic de stupéfiants.


En Juillet 2010,la police de Laval intente une poursuite civile de 2 millions $ contre Basil Parasiris, celui qui a abattu le policier lavallois Daniel Tessier il y a près de trois ans et demi au cours d’une opération qui a mal tourné à Brossard, sur la Rive-Sud.



Commentaires:
Jean Belval,ex-policier, il y a eut des cas semblable , et les techniques policières n'ont pas évoluées d'un quart de poile.

André Potvin , de la fraternité des policiers de Laval,disait; Nos membres(ceux qui reste)sont éprouvés et on va continuer a les soutenir . Mais on aurait préféré un autre verdic.

Méopenché a dit: Pauvre ca.............., nous autres itou ! To Trd...........donne ta dimsson ! Stie !


Téopenché a dit: Que j'en vouyeille pas 1 crétiqué,vous avez même tiré sur votre propre policier.

Le père de Daniel Tessier;veut la cause en appel.


REF.: Canoe,Google,Canal-D,