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mardi 24 février 2015

La différence entre les amateurs de poitrine et de postérieur

La différence entre les amateurs de poitrine et de postérieur


Les hommes ont généralement une préférence pour le derrière ou la poitrine d’une femme et celle-ci en dirait long sur leur personnalité. 
Le blogue Gene Expression, spécialisé en génétique, s’est attardé à la signification des préférences physiques des hommes, en s’appuyant sur le livre Correlates of Heterosexual Somatic Preference, publié en 1968.
Les résultats, partagés sur le site de divertissement Elite Daily ce week-end, sont plus pertinents que jamais 47 ans plus tard!
1. Les hommes qui aiment les femmes rondes ont soif d’accomplissements. Ceux qui préfèrent les silhouettes de taille normale ont tendance à être désorganisés. Une attirance pour les femmes menues est associée à la persévérance au travail.
2. Les hommes qui aiment les poitrines généreuses ont tendance à fréquenter plusieurs femmes et à avoir des intérêts typiquement masculins. La préférence serait intimement liée au besoin d’exhibitionnisme. Ces hommes sont indépendants, moins persévérants au travail et souvent dépendants au tabac.
3. Les hommes qui ont un faible pour les petites poitrines sont généreux et affectueux dans leurs relations interpersonnelles. Ils manquent toutefois de motivation et sont indéterminés quant à leur plan de carrière.
4. Les hommes qui ont un penchant pour les gros derrières ont généralement besoin d’ordre dans leur vie (propreté et organisation). Ils ont le sens des affaires et leurs pensées sont peu complexes. Côté vie privée, ils ont tendance à être plus dépendants et à culpabiliser facilement.
5. À l’opposé, les hommes qui aiment les petits postérieurs sont compétitifs au travail et ne veulent pas être au centre de l’attention. Ils sont souvent moins éduqués et ne sont pas des adeptes de magazines sportifs.
Les grosses poitrines ont toujours été à l’honneur dans le magazine Playboy et demeurent la recherche de prédilection sur les sites pour adultes.
Les temps ont pourtant changé au cours de la dernière décennie, car le postérieur rebondi fait maintenant tourner les têtes.
Le New York Times a récemment annonçé que le derrière sera bientôt la zone érogène de choix en Amérique, devant les seins, les abdominaux et les jambes.
Aucune étude récente n’a été menée à ce sujet.


Source.:

jeudi 23 octobre 2014

21 ième siècle: Le siècle des troubles de santé mentale

L’Organisation mondiale de la santé prédit qu’en 2020, les troubles de santé mentale seront la deuxième cause de maladie et d’incapacité, après les maladies cardiovasculaires.


L’Organisation mondiale de la santé prédit qu’en 2020, les troubles de santé mentale seront la deuxième cause de maladie et d’incapacité, après les maladies cardiovasculaires.

Anxiété, stress, dépression et épuisement professionnel sont devenus des maux fréquents au 21e siècle. Si bien que l’Organisation mondiale de la santé prédit qu’en 2020, les troubles de santé mentale seront la deuxième cause de maladie et d’incapacité, après les maladies cardiovasculaires.
À l’instar des problèmes de santé physique, les maladies mentales ne font pas de discrimination et peuvent frapper tout le monde. La dépression est une véritable maladie qui affecte l’humeur, les pensées et les comportements.
La dépression et l’anxiété font partie des motifs les plus fréquents de consultations médicales. Selon l’OMS, les problèmes de santé mentale seraient en cause dans 35 % à 45 % des journées d’absentéisme dans les pays développés.
« Le mode de vie d’aujourd’hui est plus stressant. Il y a plusieurs facteurs qui, lorsqu’ils s’accumulent, peuvent causer la dépression. Il y en a sans doute plus qu’avant, ou c’est parce qu’on les décèle plus souvent. Ça peut aussi être dû à un manque de spiritualité et à la recherche d’un sens à la vie. À une certaine époque, il n’y avait pas ces questions-là. Les gens étaient guidés par la religion », explique Lorraine Nadeau, psychologue
« Ce n’est pas facile de définir d’où vient la dépression, d’autant plus qu’elle se manifeste sous diverses formes, poursuit Mme Nadeau. Mais il y a des facteurs de risque personnels. »
Les antécédents familiaux peuvent conduire à une certaine fragilité de la part du patient, explique la psychologue. « La dépression affecte le fonctionnement du cerveau. On n’arrive pas à penser, à trouver du plaisir dans une activité. On ne s’intéresse à rien. Tout est lourd et noir. Le risque ultime chez les personnes souffrant de dépression, ce sont les pensées suicidaires. »


Les préjugés restent importants, selon la professionnelle, concernant les personnes souffrant de troubles de santé mentale.
« On pense que c’est quelqu’un qui s’écoute trop ou qui n’est pas capable de se donner un coup de pied au derrière. Les gens ne comprennent pas parce que ça ne se voit pas. Quelqu’un qui a le bras coupé, ça se voit, mais pas quelqu’un qui souffre de dépression. On croit que la personne y est pour quelque chose dans sa maladie, alors qu’elle a besoin d’un coup de pouce comme la médication », mentionne Mme Nadeau.
C’est pourquoi il ne faut pas tarder à consulter. Le médecin est d’ailleurs souvent la première référence médicale. « Les gens consultent pour des symptômes physiques, comme des maux d’estomac ou de la difficulté à dormir. Au départ, les gens ne veulent pas entendre parler qu’ils sont déprimés, mais c’est un continuum de symptômes. C’est un milieu complexe dans lequel il est important de saisir les nuances », confie la psychologue.
Il n’existe aucune façon de se prémunir totalement contre la dépression, mais faire de l’activité physique et éviter l’alcool sont une façon de diminuer les risques. « Les saines habitudes de vie permettent de diminuer la tension. Physiquement, un corps en santé peut se protéger davantage contre la dépression et l’épuisement, mais il faut voir à ne pas en faire trop non plus », soutient Mme Nadeau.
De plus en plus d'antidépresseurs prescrits, l'épuisement professionnel au banc des accusés
Les travailleurs d’aujourd’hui sont non seulement davantage sujets à souffrir d’épuisement professionnel, mais ils pourraient se voir prescrire des antidépresseurs, qu’ils le veuillent ou non, pour recevoir leurs prestations d’assurance.
Contrairement à la dépression, qui affecte les capacités du cerveau dans toutes les sphères de la vie, l’épuisement professionnel (ou « burn-out ») a directement un lien avec le travail, explique Lorraine Nadeau, psychologue. Des études sont actuellement en cours au Centre d’études sur le stress humain pour tenter de déceler des marqueurs biologiques caractéristiques à l’épuisement professionnel.
« Comme humain, nous avons certaines capacités à gérer le stress. Mais je crois qu’il y a plus de gens épuisés qu’il y a 20 ans. Il y a une grande compétitivité dans les entreprises et même au sein de différents services. On parle constamment de performance et d’efficacité», ajoute Mme Nadeau.
L’an dernier, au Québec, un nombre record de 14,2 millions d’ordonnances d’antidépresseurs ont été délivrées en pharmacie.
« Dans les cas d’épuisement professionnel, il n’est pas rare que les assureurs exigent la prise d’une médication », affirme Renée Ouimet, directrice générale de l’Association canadienne pour la santé mentale, division du Québec.
Milieux toxiques
Autant le travail peut être stimulant et susciter un sentiment d’appartenance, autant certains milieux de travail génèrent un stress permanent, signale Mme Ouimet.
« Dans certains milieux, on voit des taux d’absentéisme tellement importants qu’il est évident que l’organisation est en cause », a-t-elle ajouté.
« L’épuisement professionnel peut être lié au mode de gestion, aux exigences de performance, au manque de reconnaissance », précise Mme Ouimet.
Le manque de reconnaissance au travail multiplie par quatre le risque de vivre une détresse psychologique élevée.
La précarité de certains emplois ou le faible soutien de la part de l’entourage, notamment chez les jeunes travailleurs en début de carrière, peuvent favoriser l’épuisement professionnel.
Tout va vite
« La perte de sens et l’opposition des valeurs sont très difficiles à vivre. Par ailleurs, on vit dans une société où tout va rapidement et où il faut être productif tout le temps », fait valoir Mme Ouimet.
« Avec le développement technologique, on est appelé à faire vite, parce que la technologie permet d’aller vite », complète Mme Nadeau, qui ajoute que les gens qui accordent une trop grande importance au travail et négligent les autres aspects de leur vie pourraient être à risque.
C’est l’addition de ces différents éléments, selon la psychologue, qui feront en sorte que le travailleur souffrira d’épuisement professionnel.
« On entend parfois que ce sont des faibles qui en souffrent. Mais quand tous ces facteurs sont additionnés, on se rend compte que ce n’est pas parce qu’ils sont faibles qu’ils souffrent d’épuisement professionnel », conclut Mme Nadeau.


La santé mentale, c'est la capacité de l'individu, du groupe et de l'environnement d'interagir les uns avec les autres d'une manière qui suscite un bien-être subjectif, le développement optimal et l'utilisation des capacités mentales (cognitives, affectives et relationnelles), l'atteinte des buts individuels et collectifs justes et la réalisation et la préservation de conditions d'égalité fondamentale.
Dans cette définition, la santé mentale passe dans la sphère de la relation entre l'individu, le groupe et l'environnement. La santé mentale n'est plus perçue comme un caractère individuel, de la même manière que la bonne condition physique ; elle est plutôt perçue comme une ressource consistant en énergie, forces et compétences de l'individu interagissant effectivement avec celles du groupe et avec les possibilités et les influences présentes dans l'environnement.

Cette conceptualisation amène à certaines conclusions concernant les facteurs qui peuvent soit renforcer soit affaiblir la santé mentale. Les éléments qui rendent difficile pour l'individu, le groupe et l'environnement d'interagir efficacement et à juste titre (par exemple, la pauvreté, les préjugés, la discrimination, le préjudice, la marginalité ou une gestion médiocre des ressources ou le manque d'accès aux ressources) sont une menace et un obstacle à la santé mentale.

 Les chiffres de Statistique Canada permettent mieux de mesurer le problème. Ils indiquent que quatre travailleurs sur dix ont connu un épisode de détresse psychologique au travail entre 1994 et 2001. La même proportion de Canadiens et de Québécois se disent d'ailleurs assez ou extrêmement stressés dans la vie.

Autre méthode de calcul: 7,5 millions d'ordonnances d'antidépresseurs ont été délivrées au Québec en 2005, soit deux millions de plus qu'en 2001. Ce sont tous là des indicateurs qu'il y a des choses qui ne tournent pas rond dans nos milieux de travail, pensent MM. Lamontagne et Brun.




Crise en cellule

Les prisons ne sont pas des hôpitaux. Pourtant, de nombreuses personnes atteintes de maladies mentales se retrouvent derrière les barreaux avec des besoins criants en soins de santé.

Enquête vous révèle cette semaine les nombreuses lacunes qui persistent dans les services offerts aux personnes malades, incarcérées dans le réseau correctionnel québécois.

Les tristes histoires de Juan, Richard et Christopher nous rappellent la nécessité de mieux outiller les centres de détention dans ce domaine, un constat maintes fois souligné par le bureau du Protecteur du citoyen du Québec.
Malgré les nombreux rappels à l'ordre, les changements tardent à venir. 

Maladie mentale: du réconfort sur les médias sociaux

De plus en plus de personnes souffrant de maladies mentales partagent leurs expériences et demandent conseil sur les médias sociaux, selon une nouvelle étude. «Ce qui nous a le plus surpris, c'est de découvrir que les patients souffrant de maladies mentales profondes s'ouvraient sur les médias sociaux au sujet de leur condition, notamment YouTube», a dit le chercheur John Naslund du Dartmouth College, au New Hampshire, sur le site internet de l'institution.
«Nous avons constaté que ces patients ne semblaient pas préoccupés de parler de leurs expériences personnelles, car ils voulaient ardemment aider les autres qui souffrent des mêmes maux», a ajouté John Naslund.
Les chercheurs ont analysé 3044 commentaires de personnes affirmant souffrir de schizophrénie et de bipolarité. Ils ont observé que ces personnes étaient plus enclines à développer des amitiés sur les médias sociaux et à utiliser le web pour obtenir de l'information médicale que celles qui ne souffrent pas de ces maladies.
«Ce phénomène pourrait s'expliquer par le fait que les médiaux sociaux sont perçus comme non menaçants et favorisant les rencontres entre individus semblables dans la sécurité de leur propre maison», peut-on lire dans l'étude publiée dans le Journal scientifique PLOS ONE.

*Quoi, il y aurait-tu juste au Parlement qu'il y en aurait pas ?

Les cartésiens vont tous mourrir d'anxiété aigus !


jeudi 18 juillet 2013

Trouble de la personnalité,collègues toxiques = économie basé sur les services


Pour parler c'est toujours mieux d'être en dehors dla Matrice économique$!



Jean Chrétien ,les cheveux long ?

Allo,testing, testing ,............c'est Mr. Harpeur !


Circuler,circuler,il n'y a rien a voir,mais tout a cellulariser(comprendre jusqu'au brin d'ADN ,transmissible par mutation orale a l'Homme au Sapin) !





Travailler ou cotoyer un psychopathe ?................Hitler,Nixon,Bush,PET Trudeau,Duplessis,Jean Drapeau, etc............

Les psychopathes, les machiavels et les personnalités narcissiques peuplent le monde du travail, selon le psychologue britannique Oliver James. Depuis 30 ans, les individus possédant ces trois traits à la fois seraient même de plus en plus nombreux. Prêts à tout pour arriver à leurs fins, ils ont plus de facilité à grimper dans la hiérarchie et à devenir patrons. Inquiétant…
En présence de comportements calculateurs ou sans scrupules au travail, Oliver James conseille de combattre le feu par le feu. Dans son livre Office Politics, How to Thrive in a World of Lying, Backstabbing and Dirty Tricks (Vermilion) publié en Grande-Bretagne en février dernier, il explique comment s’inspirer des collègues toxiques pour réussir et, surtout, pour ne pas se faire bouffer tout rond.
JOBBM   Comment reconnaître un collègue psychopathe, machiavel ou narcissique? 
Oliver James Les personnes à tendance psychopathique sont froides et incapables d’éprouver de l’empathie. Souvent, elles n’ont pas de relations stables.
Les machiavels, eux, sont des manipulateurs. Ils sont plus difficiles à reconnaître, parce qu’ils ont du charme et savent ce qu’on veut entendre. Ils savent aussi ce qu’on ne veut pas entendre et sauront l’utiliser pour nous déstabiliser au besoin.
Les personnes narcissiques sont les plus faciles à repérer. Tout ce qui les intéresse, c’est elles-mêmes. Elles cherchent constamment à impressionner.
Souvent, ces traits se superposent et alors on a affaire à un «triadique». Mais tout n’est pas nécessairement noir ou blanc : certaines personnes sont très psychopathes, d’autres moins, d’autres pas du tout.
 Pourquoi le nombre de personnes possédant ces traits est-il en croissance? 
OJ Au cours des dernières décennies, dans les pays développés, nous sommes passés d’une économie basée sur le secteur manufacturier à une économie de services. Dans une usine, si un travailleur produit 1 000 poupées par jour, il est facile de calculer son rendement, de le payer ou de lui donner une promotion en conséquence.
Mais dans le monde des services, il n’y a pas d’outil de mesure objectif de notre travail. Il devient donc facile de s’attribuer le crédit pour les réussites des autres, tout comme il est facile d’imputer nos fautes à nos collègues. Tout ce qui compte, c’est la façon dont notre contribution est perçue. Cela constitue un terreau fertile pour ces personnalités, car elles sont les pros du jeu politique au boulot.
En règle générale, il faut cesser de penser que se prêter au jeu politique au bureau est une mauvaise chose. 
 Vous qualifiez le phénomène d’«épeurant», mais l’est-il vraiment? On ne trouve pas un seul triadique dans notre équipe. 
OJ Il n’y en a pas nécessairement dans chaque milieu de travail. Mais si vous étudiez attentivement les personnes au sommet de l’entreprise pour laquelle vous œuvrez, vous verrez probablement qu’elles possèdent davantage ces traits que vous. Seulement 1 % de la population a des traits psychopathiques, mais chez les cadres supérieurs, ce taux grimpe à 4 %. Si vous n’en trouvez toujours pas, c’est peut-être que le Québec est comme le Danemark, par exemple, où être perçu comme vilain ne vous mènera nulle part. Dans un tel contexte, les «triadiques» doivent se contrôler davantage et bien cacher leur jeu. À New York, par contre, c’est vu comme un atout.
 Ces personnes sont-elles malades? 
OJ En termes cliniques, on pourrait affirmer qu’elles ont un trouble de la personnalité. 


  Mais ceux qui réussissent vraiment au travail sont les psychopathes, les machiavels, les personnes narcissiques et les «triadiques» dits fonctionnels. Déceler leur pathologie, cerner pourquoi ils sont malheureux et comprendre qu’ils ont souffert dans leur enfance ne nous avance toutefois à rien quand ils sont nos collègues et patrons.
Travailler avec un psychopathe

 Comment agir avec eux? 
OJ Mieux vaut s’éloigner autant que possible des psychopathes et des machiavels. On peut par contre facilement travailler avec un collègue ou un patron narcissique. On peut même les flatter pour les avoir de notre côté…
En règle générale, il faut cesser de penser que se prêter au jeu politique au bureau est une mauvaise chose. Au lieu de se complaire dans le rôle de la victime, on gagne à apprendre de ces personnes qui font de notre vie un enfer. Elles ont des compétences que nous ne possédons pas. La preuve, un psychopathe moins talentueux que vous pourra avoir plus de succès grâce à ses habiletés politiques.
 Vous voulez dire qu’il faut se mettre à écraser ou manipuler les autres nous aussi? Beau programme! 
OJ Ce qui est certain, c’est que pour réussir sur le plan professionnel, il faut être charmant, intrépide, impitoyable, concentré, avoir une grande force mentale et la capacité d’agir sans hésiter. Les collègues «triadiques» ont ces caractéristiques, à différents degrés. C’est tout un art et il faut le maîtriser à notre façon.
Il faut surtout réaliser qu’au travail, tout est politique. Une communication sur cinq contient un mensonge et chacun campe déjà un personnage. On nie cela parce qu’on pense être une bonne personne, par rapport aux mauvaises personnes, qui mentent. Mais l’admettre permet de voir venir les coups des collègues toxiques(travailleurs toxiques) et d’y répondre, mais aussi d’atteindre nos buts.
Par exemple, si vous souhaitez obtenir un dossier très intéressant, vous devrez persuader votre patron que vous êtes la bonne personne pour vous en occuper. Vous devrez probablement le convaincre de vous choisir plutôt que votre voisin de bureau, qui est pourtant votre ami! C’est comme ça que ça marche. Il faut en être conscient.
C’est aussi une question de santé : les personnes qui excellent en politique au bureau risquent moins de souffrir d’un épuisement professionnel. Quand une entreprise en mauvaise posture procède à des suppressions de postes, les meilleurs politiciens s’en tirent mieux et sont moins stressés.
 Vous affirmez que les coups bas (menaces, sabotage, diffamation, tromperie) peuvent être éthiques. Comment est-ce possible? 
OJ Si vous apprenez une chose gênante sur la vie personnelle d’un collègue qui vous mène la vie dure, vous pouvez le faire chanter plutôt que d’aller le dénoncer au patron, afin que cesse son comportement. Vous pouvez employer la même stratégie si quelqu’un répand des rumeurs à votre sujet ou si quelque chose d’illégal se trame dans votre entreprise.
 N’est-ce pas enfantin comme raisonnement? 
OJ Parfois, pour se protéger, on n’a pas le choix. Il faut être plus brillant que l’autre, si on en est capable. Mais il faut faire attention, car ces sales coups peuvent nous rebondir dessus…
Dans quels métiers y a-t-il le plus de psychopathes?Dans quels métiers en trouve-t-on le moins?
1. Président-directeur général1. Préposé aux soins
2. Avocat (Nouonnnn ?)2. Infirmière
3. Travailleur de la télévision/radio3. Thérapeute
4. Vendeur (égale menteur ?)4. Artisan
5. Chirurgien5. Esthéticienne
6. Journaliste6. Travailleur communautaire
7. Policier(ah,.....oui ?)7. Enseignant
8. Membre du clergé8. Artiste
9. Chef cuisinier9. Médecin
10. Fonctionnaire10. Comptable
REF.: par Mélissa Guillemette, Source : Dutton, Kevin. The Wisdom of Psychopaths, Doubleday Canada,  2012
En faite,le préposé aux malades,l'infirmière etc de la liste des moins psychopathes,ne seraient que le 11 ième,12ième de la liste des psychopathes(de gauche),car ceux-ci travaille en petits clans(la clique des bronzés)en tout point semblable a la mafia italienne ,Omerta obligé !