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vendredi 10 août 2012

Un algorithme permet de remonter à la source de tout type d'information sur le web


Réseau - Un algorithme permet de remonter à la source de tout type d'information sur le web
 
Photo Paulus Nugroho R - Fotolia.com

GENEVE (Suisse) - Un chercheur portugais de l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) a mis au point un système mathématique permettant d'identifier l'origine d'une information circulant sur un réseau, d'une épidémie, voire d'un attentat, a annoncé vendredi l'EPFL.
Le chercheur Petro Pinto, qui travaille pour le Laboratoire de communications audiovisuelles de l'EPFL, a mis au point un système «qui pourrait s'avérer un précieux allié» pour ceux qui doivent mener des enquêtes criminelles ou qui recherchent l'origine d'une information sur la toile.
«Grâce à notre méthode, nous parvenons à remonter à la source de tous types d'informations circulant dans un réseau et ce en n'écoutant qu'un nombre restreint de membres», a expliqué Pedro Pinto.
À titre d'exemple, il indique être en mesure de retrouver l'auteur d'une rumeur circulant entre 500 membres d'un même réseau, en observant les messages de 15 à 20 contacts seulement.
«Notre algorithme est capable de refaire à l'envers le chemin parcouru par l'information, et de remonter à la source», a-t-il dit.
Le chercheur a aussi testé son système pour retrouver l'origine d'une maladie infectieuse en Afrique du Sud. «En modélisant les réseaux de circulation d'eau, rivières ou transports humains, nous avons pu retrouver l'endroit où se sont déclarés les premiers cas», a-t-il expliqué.
Le chercheur a aussi testé son système sur les communications téléphoniques liées aux préparatifs des attentats du 11 septembre 2001. «En reconstruisant le réseau de ces terroristes uniquement sur la base des informations parues dans la presse, notre système nous a livré trois suspects potentiels, dont l'un était l'initiateur avéré de ces attaques, selon l'enquête officielle».
Les détails de cet algorithme sont publiés ce vendredi dans la revue Physical Review Letters.
Pedro Pinto a travaillé sous l'autorité de deux professeurs suisses de l'EPFL, MM. Patrick Thyran et Martin Vetterli.


REF.:

dimanche 12 juin 2011

Nouveau virus de la grippe: Le H1N1 + H3N2 ?


Nouveau virus de la grippe détecté chez un bébé


Un nouveau virus de la grippe pourrait avoir fait son apparition en Ontario après que des médecins eurent diagnostiqué une combinaison du virus H1N1 et d’une grippe saisonnière chez un bébé.
Le garçon de 16 mois avait été admis dans un hôpital de Toronto en janvier dernier pour des malaises à la poitrine et à l’estomac. L’analyse en laboratoire de sa salive avait permis de détecter une combinaison de deux virus, le H1N1 et le H3N2, qui a donné naissance à un nouveau virus de la grippe jamais vu auparavant, selon Jonathan Gubbay, un médecin microbiologiste de l’Agence ontarienne de protection et de promotion de la santé.
Aucune propagation de ce nouveau virus de la grippe n’a été rapportée depuis, et si jamais c’était le cas, le vaccin actuel suffirait à protéger.
«Il n’y a pas lieu de s’alarmer, mais ceci nous démontre l’importance de demeurer aux aguets afin de détecter rapidement ces phénomènes», a dit le Dr Gubbay.


mardi 15 juin 2010

Le bilan du H1N1 est de 18 156 morts,c'est moins qu'une grippe saisonnière !


Alerte pandémique - Le bilan du H1N1 est de 18 156 morts
Le virus, qui a fait frémir la planète pendant plusieurs mois.
© AFP

GENÈVE - La grippe H1N1, déclarée première pandémie du 21ème siècle il y a un an jour pour jour, a provoqué la mort avérée de 18 156 personnes, soit considérablement moins qu'une grippe saisonnière, a annoncé vendredi l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Le virus, qui a fait frémir la planète pendant plusieurs mois après l'alerte pandémique lancée par l'OMS le 11 juin 2009, est désormais «globalement peu actif» dans le monde, a indiqué un porte-parole de l'agence onusienne à l'AFP, Gregory Hartl.

Selon une note de l'organisation, le virus évolue de manière «sporadique» dans les zones tempérées de l'hémisphère sud qui entre dans l'hiver austral alors qu'une «transmission active mais déclinante» est relevée dans les régions tropicales.

La «vigilance» reste toutefois de mise, en particulier pour les personnes à risque comme les femmes enceintes et les jeunes, a mis en garde M. Hartl car, a-t-il dit, «le H1N1 devrait très certainement rester le virus dominant l'hiver prochain».

Le porte-parole a d'ailleurs souligné que les données rapportées par l'OMS étaient «sans aucun doute sous-estimées».

«Il est difficile de donner des chiffres exacts, nous les aurons d'ici deux ans», quand le virus aura disparu, a-t-il ajouté estimant que les vraies données étaient «probablement plusieurs fois» supérieures à celles annoncées.

Il n'en reste pas moins que les grippes saisonnières font habituellement au niveau mondial 250 000 à 500 000 décès, selon l'OMS, soit largement plus que ces projections.


Les anticorps mutant de la grippe Espagnol de 1918 se sont reliés de façon plus solide que d'autres anticorps aux cellules des malades.Ce qui les rends plus efficaces!

Un fait intéressant ,quand les scientifiques ont testé les anticorps provenant des survivants(de ceux qui ont eut la grippe Espagnol de 1918) sur des souris infectées,ils l'ont fait dans un laboratoire de biosécurité des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) d'Atlanta ,en Géorgie.Test sur 32 personnes de 92 a 102 ans,toutes exposées au virus de la grippe espagnol de 1918.

L'idée a surgi a la suite de la diffusion d'un épisode de la série télévisée Medical Investigation ,explique le Dr Altschuler.Une ville était infectée par le virus de 1918 et des médecins traitaient les habitants avec du sang donné a contrecoeur par un vieux maître d'hôtel survivant de l'épidémie . C'est ce qui a conduit ce scientifique a rechercher des anticorps chez les gens âgés de plus de 90 ans.


Ce qu'ont n'en dit:un an après(26-10-2010)

Un an après le début de la vaccination massive, Marc Zaffran persiste et signe. Le médecin d'origine française estime que la vaccination massive était inutile et basée sur des craintes non fondées.

À LIRE ÉGALEMENT:

  • Il y a un an, c'était le chaos

  • Vous n'êtes pas protégés cette année

  • «J'ai toujours été très ferme là-dessus ; on n'avait pas besoin de vacciner tout le monde, même si c'était légitime de vacciner les gens plus fragiles», dit le chercheur invité du Centre de recherche en éthique de l'Université de Montréal.

    Il donne en exemple la Pologne, où l'on n'a donné aucun vaccin et où l'on n'a pas vu une hécatombe. Même chose en France, où la vaccination a été très peu populaire, notamment à cause de l'opposition très visible de certains médecins. «C'était prévisible. Dans les mois précédant la vaccination, il y avait eu la saison de grippe dans l'hémisphère sud. Il n'y a pas eu de catastrophe dans des pays comme la Nouvelle-Zélande, l'Australie et, même, le Brésil.

    Il reproche aux autorités de santé publique de la province d'avoir voulu culpabiliser ceux qui ne se faisaient pas vacciner. «Ce n'est pas normal de faire peur aux gens, de les faire culpabiliser s'ils ne se font pas fait vacciner, de leur dire qu'ils seront dangereux pour les autres personnes», déplore-t-il.

    Marc Zaffran va plus loin en disant qu'une épidémie comme la grippe espagnole est impossible dans les pays occidentaux modernes. «La fragilité des gens a diminué depuis 100 ans. Je pense personnellement que l'idée d'un virus mortel qui tuerait 40 millions de personnes est un fantasme qui ne repose sur aucune évidence scientifique», soutient celui qui n'a pas reçu de vaccin contre la grippe depuis au moins quinze ans.

    REF.: canoe, du 19 Août 2008,26 Dec 2010; Dr Eric Altschuler,de l'Université de médecine du New Jersey,

    vendredi 26 mars 2010

    H1N1: semblable à la grippe espagnole de 1918



    H1N1: semblable à la grippe espagnole de 1918

    Presse Canadienne (PC)
    25 mars 2010

    De telles découvertes aideront les scientifiques à mettre à jour plus efficacement les vaccins contre la grippe.
    © Archives



    De nouvelles recherches sur le virus pandémique H1N1 montrent qu'il ressemble davantage à celui de la grippe espagnole de 1918 qu'à ses cousins modernes.

    Cette découverte permet de comprendre en partie pourquoi les individus plus âgés semblaient avoir une certaine immunité par rapport au H1N1 pandémique et pourquoi des années d'exposition aux virus saisonniers n'ont pas pu protéger les plus jeunes de la nouvelle souche.

    Les deux nouvelles études ont comparé les structures de la principale protéine des virus et découvert que, vers 1940, les H1N1 avaient développé des revêtements sucrés à la surface de cette protéine qui n'étaient pas présents dans le virus de 1918 ni le virus pandémique.

    Cette différence s'explique par le fait que le H1N1 pandémique a évolué chez les porcs, empruntant ainsi un autre chemin que les virus humains.

    Les travaux réalisés par des chercheurs américains soulignent également que les anticorps contre la grippe espagnole de 1918 et le H1N1 pandémique protègent contre les deux virus mais ne peuvent rien contre les H1N1 saisonniers modernes.

    Ces résultats pourraient aider les scientifiques à anticiper l'évolution des virus et à mettre à jour plus efficacement les vaccins contre la grippe.


    REF.:

    lundi 16 novembre 2009

    Le mystère de l'influenza ou de la grippe saisonnière

    Fiche technique:











    Oui,mais les Virus sa vient d'ou ?


    Des laboratoires fédéraux, dont celui qui manipule des échantillons de la grippe A (H1N1), ont du mal à retracer les virus et les bactéries qu’ils manipulent.

    Une vérification récente de l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) conclut que des contrôles déficients dans des établissements fédéraux pourraient mener à la disparition d’agents pathogènes dangereux ou à un usage non autorisé.

    «Les systèmes de suivi et les procédures actuellement en usage rendent difficilement compte des agents pathogènes manipulés en laboratoire », affirment les auteurs du document.

    Les découvertes de l’agence fédérale, un peu plus tôt cette année, concernent une période durant laquelle des scientifiques du Laboratoire national de microbiologie, à Winnipeg, étudiaient des centaines d’échantillons de ce qui s’est révélé être le virus de la grippe A (H1N1).

    La vérification souligne que le problème est en partie attribuable au fait que chaque laboratoire a sa propre manière de conserver ses échantillons.


    REF.: Le Journal De Montreal Online


    mercredi 11 novembre 2009

    H1N1: Bêta testeur de vaccin, a notre insus

    Tout comme Microsoft nous a habitué a Tester leur Produit Windows(a fallu attendre XP pour que ça marche vraiment ,pendant que les vieux win 3.11 et le DOS 6.22 allaient très bien),pour l'améliorer(produit non fini et non fonctionnel),l'industrie Pharmaceutique ,suit la même voie.

    C'est un peu ce qui dit ,Guylaine Lanctôt,l'auteur de "La Mafia Médicale" édité en 1994 et réédité en 2002.



    Nos soldats en Afghanistan vaccine leurs détenus Afghans, a tour de bras :O)
    Et que la Cie GlaxoSmithKline,
    vient de signer un accord avec l'OMS pour faire don de 50 millions de doses de vaccin H1N1 aux pays en développement. Ce don, salué par Margaret Chan, intervient en même temps que l’homologation aux Etats-Unis, par la Food and Drug Administration (FDA) du nouveau vaccin anti H1N1 sans adjuvant de GSK et qu’une nouvelle commande du Département de la santé américain de 7,6 millions de doses.
    Ça c'est du Bêta Testage !!!$$$!!! a grand échelle !

    «Nous saluons ce don très généreux de GlaxoSmithKline qui permettra de protéger la santé des populations les plus démunies dans le monde. C’est un geste réel de solidarité mondiale envers ceux qui, autrement, ne pourraient pas avoir accès à ces vaccins », a déclaré le Dr. Margaret Chan.

    Oui,mais pourquoi on n'est pas capable de faire pareille avec le vaccin du Sida,et autres maladies mortelles ??? ,,,,,,,,.......................Pensez-s'y :O)



    REF.:

    lundi 2 novembre 2009

    Est-ce que la vaccination a de l'importance ?

    Conduire trop vite le long de Red Lion Road, à côté du Nord-Aéroport de Philadelphie, et vous allez manquer le bâtiment de faible élévation de ciment où la société de biotechnologie MedImmune a été pomper tranquillement vaccin contre la grippe porcine à environ un million de doses par semaine. Pendant tout l'été et l'automne, les travailleurs qui portent un équipement de protection qui les couvrait de la tête aux pieds brassée en place des lots de virus vivants génétiquement modifiés contre la grippe. Robots alors injecté de petites doses de virus de fluide en charge dans des flacons en verre, qui ont été montées dans spritzers nasales, étiquetés et préparés pour l'expédition à la direction des Centers for Disease Control and Prevention, à Atlanta, qui aide à coordonner la pandémie de la nation la préparation du plan. Dans le programme le plus ambitieux de vaccination, le pays a monté depuis la campagne anti-polio dans les années 1950, le gouvernement fédéral a commandé MedImmune et quatre autres entreprises de produire suffisamment de vaccins pour couvrir toute la population américaine.


    La vaccination est essentielle au plan du gouvernement pour la prévention des décès de la grippe porcine. Le CDC a recommandé que les quelque 159 millions d'adultes et les enfants reçoivent soit un vaccin contre la grippe porcine ou une dose de vaccin nasal MedImmune cette année. Les plans sont offerts dans les bureaux de médecins, les hôpitaux, les aéroports, les pharmacies, les écoles, les lieux de vote, les centres commerciaux et magasins à grande surface comme Wal-Mart. En août, l'état de New York exige que tous les travailleurs de la santé pour obtenir la fois saisonnières et des coups de la grippe porcine. Afin de mieux protéger la population, le gouvernement fédéral a dépensé plus de $ 3 milliards de dollars le stockage de doses de médicaments antiviraux comme le Tamiflu, qui sont utilisés tant pour prévenir la grippe porcine et pour traiter ceux qui tombent malades.

    Mais si tout ce que nous pensons a propos du combat de la grippe serait faux?
    Que faire si les vaccins contre la grippe ne protègent pas les gens de mourir, en particulier les personnes âgées, qui représentent 90 pour cent des décès de la grippe saisonnière? Et si les médicaments antiviraux coûteux que le gouvernement a accumulé au cours des dernières années ont également peu, le cas échéant, le pouvoir de réduire le nombre de personnes qui meurent ou sont hospitalisés? Le gouvernement des États-Unis avec l'appui des dirigeants de la santé publique et la communauté médicale, a mis sa foi dans la puissance des vaccins et des médicaments antiviraux pour limiter la propagation et la létalité de la grippe porcine. D'autres plans pour contenir la pandémie semblent anémiques en comparaison. Pourtant, certains chercheurs grippe haut sont profondément sceptiques des deux vaccins contre la grippe et d'antiviraux. Comme les ingénieurs qui ont mis en garde pendant plusieurs années sur les digues de la Nouvelle-Orléans, ces experts avertissent que nos défenses peuvent être viciées, et très probablement inefficaces contre la grippe vraiment mortel. Et que si nous sommes prêts à poser des questions fondamentales sur la science derrière les vaccins antigrippaux et d'antiviraux, nous pourrions nous trouver, dans une épidémie de mal, aussi impuissants que les citoyens de la Nouvelle-Orléans pendant l'ouragan Katrina.


    La grippe terme, qui remonte au Moyen Age, est tiré du mot italien de l'occulte ou l'influence astrale. Alors, comme maintenant, la grippe semble apparaître de nulle part, chaque hiver, invalidante ou de tuer un grand nombre de personnes, pour disparaître au printemps. Aujourd'hui, la grippe saisonnière est estimée à tuer environ 36.000 personnes dans les États-Unis chaque année et un demi-million dans le monde entier.

    Pourtant, la grippe, à bien des égards importants, il reste encore mystérieuse. Déterminer combien de décès qu'elle provoque réellement, ou même qui l'a, n'est pas chose simple. Nous pensons avoir la grippe, n'importe quand on tombe malade d'une maladie qui amène sur les maux de tête, malaise, fièvre, toux, éternuements, et ce sentiment Achy comme si nous avons dormi sur un lit de rochers, mais les chercheurs ont constaté que dans la plupart des demi, et peut-être aussi peu que 7 ou 8 pour cent, de ces cas sont en fait causés par un virus grippal dans une année donnée. Plus de 200 virus connus et d'autres agents pathogènes peuvent causer la suite de symptômes appelé "syndrome grippal"; virus respiratoire syncytial, bocavirus, coronavirus, rhinovirus et ne sont que quelques-uns des bugs qui peuvent faire qu'une personne se sent pourri. Et en fonction de la saison, à hauteur des deux tiers des cas de syndrome pseudo-grippal, aucune cause, à tous puisse être trouvée.


    Personne ne sait précisément pourquoi nous sommes beaucoup plus susceptibles d'attraper la grippe en hiver qu'en d'autres périodes de l'année. Peut-être que c'est parce que les virus de la grippe prospérer dans des températures fraîches et sont tués par l'exposition au soleil. Ou c'est peut-être parce qu'en hiver, les gens passent plus de temps à l'intérieur, où un éternuement ou la toux peuvent plus facilement transmettre le virus à d'autres. Ce qui est certain est que les virus de la grippe mute avec une rapidité étonnante, de sorte que chaque saison de la grippe voit légèrement différentes versions génétique du virus qui a infecté des gens l'année d'avant !

    Chaque année, l'Organisation mondiale de la Santé et les Centers for Disease Control and Prevention recueillir des données à partir de 94 nations sur le virus de la grippe qui ont circulé l'année précédente, puis faire une supposition éclairée dont les virus sont susceptibles de circuler à l'automne à venir. Sur la base de ces informations, la US Food and Drug Administration des questions de l'ordre de fabricants en Février pour un vaccin incluant les trois souches les plus probables.



    De temps en temps, cependant, un bug très différents se soulève et peuvent infecter les gens beaucoup plus que les variantes de la grippe saisonnière normale peut faire. Ce sont ces nouveaux virus qui sont responsables des pandémies, définie par l'Organisation mondiale de la santé comme des événements qui se produisent lorsque "un nouveau virus grippal contre lequel apparaît la population humaine n'a pas d'immunité» et qui peut être emporté partout dans le monde en un temps très court. Le pire pandémie de grippe dans l'histoire enregistrée était de la «grippe espagnole» de 1918-19, à la fin de la 1ière Guerre Mondiale.La population du tiers monde,est infectée, avec au moins 40 millions et peut-être jusqu'à 100 millions de plus de personnes mortes,que ceux qui ont été tués dans les World Wars I et II .(Certains spécialistes estiment que l'une des raisons du monde Wari terminé, c'est que tant de soldats étaient malades ou de mourir de la grippe.) Depuis lors, deux autres pandémies de grippe se sont produites, en 1957 et 1968, dont aucun n'était particulièrement meurtrière.


    En août, le Conseil présidentiel des conseillers sur la science et la technologie prévu que cet automne et l'hiver, la grippe porcine, H1N1, peut infecter n'importe où entre un tiers et la moitié de la population américaine et peut en tuer autant que 90.000 Américains, deux et une fois et demi le nombre de personnes tuées dans une saison de grippe classique. Mais précisément pour savoir si la H1N1 sera mortelle, ou même infectieuses, la pandémie de H1N1 de cette année ne sera révélé qu'a la fin de la saison des grippes. La plupart des rapports en provenance de l'hémisphère Sud à la fin août (à la fin de l'hiver là-bas) a suggéré que la grippe porcine est extrêmement contagieuse, mais pas particulièrement meurtrière. Par exemple, les autorités australiennes ont estimé qu'ils finiraient en vertu de l'hiver avec les décès de la grippe porcine de 1000 de moins que l'habitude de 1500 à 3000 de la grippe saisonnière. Parmi ceux qui sont morts aux États-Unis, environ 70 pour cent souffraient déjà de maladies congénitales comme la paralysie cérébrale ou des maladies sous-jacentes telles que le cancer, l'asthme ou le sida, qui rendent les gens plus vulnérables.


    Les Fonctionnaires de la santé considèrent que leur vaccin contre la défense la plus redoutable contre la pandémie, en effet, contre toute la grippe et sur la surface, leur foi, semble justifiée. Les vaccins développés au cours du 20ème siècle réduit les taux de décès de près d'une douzaine de maladies infectieuses telles que la variole et la poliomyélite et la vaccination est devenue l'une des armes les plus puissantes médecine. Virus de la grippe a été identifiée dans les années 1930, et par le milieu des années 1940, les chercheurs ont produit un vaccin qui a été accordée aux soldats dans la World WarII. Le gouvernement américain se penche sérieusement sur la promotion du vaccin anti-grippe après la pandémie de 1957 a introduit la grippe influenza maison continue potentiel de causer une maladie répandue et la mort. Aujourd'hui, le vaccin contre la grippe est un aliment de base de la politique de santé publique; dans une année normale, quelque 100 millions d'Américains vont se faire vacciner.


    Mais alors que les vaccins pour, disons, la coqueluche et la poliomyélite de façon claire et considérablement réduit les taux de mortalité de ces maladies, l'impact du vaccin antigrippal a été plus difficile à déterminer. Grippe va et vient avec les saisons, et souvent elle ne tue pas les gens directement, mais contribue plutôt à la mort en rendant le corps plus vulnérable aux infections secondaires, comme une pneumonie ou une bronchite. Pour cette raison, les chercheurs étudient l'impact de la vaccination contre la grippe en général regarder les décès toutes causes confondues, durant la saison de la grippe, et de comparer les populations vaccinées et non vaccinées.

    Ces comparaisons ont montré une différence spectaculaire de la mortalité entre ces deux groupes: l'étude après étude a constaté que les personnes qui obtiennent un vaccin contre la grippe à l'automne sont environ deux fois moins de chances de mourir cet hiver-là de toute cause que les personnes qui n'en ont pas. Procurez-vous vacciner contre la grippe chaque année, la littérature suggère, et vous allez réduire considérablement vos chances de mourir durant la saison de grippe.


    Pourtant, de l'avis de plusieurs vaccins sceptiques, cet argument est suspectes a leur face. La grippe ne provoque qu'une petite minorité de tous les décès aux Etats-Unis, même chez les personnes âgées, et même après l'ajout dans le décès de la grippe qui pourrait avoir contribué indirectement. Lorsque les chercheurs de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses inclus tous les décès dus aux maladies que la grippe aggrave, comme les maladies pulmonaires ou d'insuffisance cardiaque chronique, ils ont constaté que la grippe compte pour, au plus, 10 pour cent des décès d'hiver chez les personnes âgées. Alors, comment le vaccin contre la grippe pourrait éventuellement réduire le total des décès de moitié? Tom Jefferson, un médecin basé à Rome et le chef du Champ vaccins à la Cochrane Collaboration, un réseau international de chercheurs très respectés qui apprécie les preuves médicales, explique: "Pour un vaccin pour réduire la mortalité de 50 pour cent et jusqu'à 90 pour cent en certaines études moyens dont elle dispose pour prévenir les décès et pas seulement de la grippe, mais aussi contre les chutes, les incendies, les maladies cardiaques, les infarctus et les accidents de voiture. Ce n'est pas un vaccin, c'est un miracle. "



    L'estimation de la réduction de 50 pour cent de la mortalité est fondée sur «les études de cohorte, qui comparent les taux de mortalité dans de grands groupes, ou des cohortes, de personnes qui choisissent d'être vaccinés, contre des taux de décès dans les groupes qui n'en ont pas. Mais les gens qui choisissent de se faire vacciner peuvent différer à plusieurs égards importants de gens qui vont non vaccinés, et ces différences peuvent influencer la probabilité de décès pendant la saison grippale. L'éducation, le mode de vie, de revenu et de nombreux autres «confondants» facteurs peuvent entrer en jeu, et en conséquence, les études de cohorte sont notoirement sujettes à des biais. Lorsque les chercheurs crunch les chiffres, ils essaient généralement de tenir compte des variables qui pourraient influencer les résultats, mais, comme le remarque Jefferson, "vous pouvez régler pour la connaissance sur les facteurs de confusion, pas pour celles dont vous n'avez pas", et les chercheurs peuvent ' t toujours anticiper quels facteurs sont susceptibles d'être important de savoir si un patient meurt de la grippe. Il ya toujours le risque qu'ils pourraient manquer certains facteurs de confusion critique qui rend leurs résultats tout à fait tort.


    Quand Lisa Jackson, un médecin et chercheur principal au Centre de recherche en santé du Groupe, à Seattle, a commencé à se demander à voix haute à des collègues si peut-être quelque chose n'allait pas avec l'estimation de la réduction de 50 pour cent de mortalité des personnes qui reçoivent le vaccin contre la grippe, la réponse elle se sonnait plus comme la doctrine que la science. «Les gens m'ont dit, 'Rien de bon,ne peut venir de ça», dit-elle. »« Potentiellement beaucoup de chose puisse leur arriver »pour moi professionnellement en faisant une critique qui pourrait dissuader les gens de vous faire vacciner, car bien sûr,« Nous savons que les œuvres vaccin ". Il s'agissait de la sagesse qui prévaut».



    Néanmoins, en 2004, Jackson et trois collègues ont entrepris de déterminer si la différence de mortalité entre les vaccinés et non vaccinés peuvent être causés par un phénomène appelé «l'effet de l'utilisateur en bonne santé." Ils ont émis l'hypothèse qu'en moyenne, les gens qui sont tout simplement se faire vacciner meilleure santé que ceux qui n'en ont pas, et donc moins susceptibles de mourir sur le court terme. Les gens qui n'aiment pas se faire vacciner car alités ou trop malades pour aller prendre un coup de feu. Ils peuvent également être plus susceptibles de succomber à la grippe ou toute autre maladie, parce qu'ils sont généralement plus âgés et plus malades. Pour tester leur mémoire, Jackson et ses collègues ont passé au peigne fin de huit années de données médicales sur plus de 72.000 personnes de 65 ans et plus. Ils ont regardé qui a obtenu le vaccin antigrippal et qui n'a pas fait. Puis ils ont examiné les membres du groupe étaient plus susceptibles de mourir d'une cause où il n'était pas la saison grippale.


    Les Conclusions de Jackson a montré que, en dehors de la saison de la grippe, le risque initial de décès parmi les personnes qui ne se sont pas vaccinés a été d'environ 60 pour cent plus élevé que chez ceux qui n'ont, en appuyant l'hypothèse qu'en moyenne, les personnes en bonne santé a choisi de recevoir le vaccin, tandis que les «personnes âgées fragiles» n'a pas pu ou n'a pas. En fait, l'effet bénéfique utilisateur a expliqué tout l'avantage que d'autres chercheurs attribuaient vaccin de la grippe, ce qui suggère que le vaccin lui-même ne puisse réduire la mortalité à tous. Jackson's papers "sont belles", dit Lone Simonsen, qui est un professeur de la santé mondiale à la George Washington University, à Washington, DC, et un expert reconnu internationalement dans la grippe et l'épidémiologie des vaccins. "Ce sont des études classiques en épidémiologie, ils sont si bien fait."

    Les résultats ont également été aussi inattendu que de nombreux experts ont simplement refusé de les croire. Documents de Jackson ont été rejetées pour publication dans le top-ranked revues médicales. Un expert de la grippe qui a examiné ses études pour le Journal de l'Association médicale américaine a écrit, "à accepter ces résultats serait de dire que la terre est plate» Quand les papiers ont finalement été publiées en 2006, dans l'International Journal of Epidemiology moins important , ils ont été largement ignorées par les médecins et les responsables de la santé publique. "La réponse que j'ai reçu», dit Jackson, «n'était pas la bonne réponse».










    REF.:

    LE JEUNE ONTARIEN N'EST PAS MORT DE LA GRIPPE

    «LE JEUNE ONTARIEN N'EST PAS MORT DE LA GRIPPE»


    Samedi, le 31 octobre 2009 - 10h03 am. - Radio-Canada annonce sur 95,1 FM, que le jeune ontarien soi-disant mort de la grippe, est finalement mort d'une « MÉNINGITE !».

    Après avoir ameuté tout le Québec et publié durant plus de «DEUX JOURS» et «À LA UNE» que le jeune ontarien était mort à cause de la méchante gri-grippe porcine...

    Radio-Caca-Nada publie aujourd'hui un léger correctif ...

    ...en bas.. .en bas... en bas... de la page....

    ...en p'tits, p'tits caractères ... sur fond gris...

    Ceci...


    Révélation étonnante

    ...Le directeur de la santé publique du Québec, le Dr Alain Poirier affirme que le jeune Ontarien de 13 ans, que l'on croyait mort du H1N1, cette semaine, aurait plutôt succombé à une méningite. M. Poirier a fait cette déclaration, vendredi, lors de l'émission 24 heures en 60 minutes, animée par Anne-Marie Dussault...

    Et ça c'est sans compter les 186 morts en Australie (sur 35 millions d'habitants alors qu'on en avait prédit 7000 !!

    - 500,000 personnes meurent chaque année de la grippe ordinaire...

    Si c'est ce type d'information qui vous rend malade..

    Promptrétablissement...


    Référence :

    Révélation étonnante / Radio-Canada :

    http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2009/10/30/001-grippe_vendredi.shtml



    REF.:

    mardi 27 octobre 2009

    H1N1 : Est-ce que vous vous lavez les mains,comme ceci ?


    REF.:CSSS

    Avez-vous la grippe H1N1 ? Et les symptômes ?



    Aide a la décision:



    .






    REF.: CSSS

    Les Québécois ne savent pas comment tousser !




    .

    Grippe H1N1 : les personnes a risque et les autres

    Dès lundi(26 Octobre), les personnes les plus à risque sont invitées à se faire vacciner en priorité: les travailleurs de la santé, les malades chroniques, les femmes enceintes, les jeunes enfants âgés entre six mois et cinq ans et les communautés isolées du Grand-Nord .

    Ensuite,il faudra faire vacciner les personnes ayant un système immunitaire affaibli,comme les cancéreux (le vaccin peut être moins efficace pour ceux-ci),ainsi que leur entourage;et bien sûr tous les asthmatiques et ceux qui ont des maladies pulmonaires.

    Besoin d'aide pour votre décision ? (Clique ICI)
    Statistiques:
    15% des personnes hospitalisées peuvent en mourir.
    Les décès sont souvant des jeunes entre 20 et 30 ans, qui étaient des asthmatiques,non vaccinés.



    La plus importante campagne de vaccination jamais orchestrée au Québec débute lundi.
    Le gouvernement a bien tenté de réagir promptement à la menace de pandémie de grippe A (H1N1), mais le virus aura été plus rapide que lui, car il est déjà en nos murs et a commencé à faire des ravages avant que ne débute la vaccination.
    Les autorités gouvernementales ont confirmé mercredi que la deuxième vague de grippe A (H1N1) avait commencé.
    Au cours des derniers jours, le nombre de cas de grippe a soudainement augmenté et on déplore déjà une première victime, une dame âgée de 87 ans dont l'identité n'a pas été révélée.
    A Québec, on a donc mis les bouchées doubles pour peaufiner l'imposante logistique nécessitée par une vaccination massive de la population dans toutes les régions du Québec au cours des prochaines semaines.
    Le feu vert au processus de vaccination a été donné mercredi, à Ottawa, par la ministre de la Santé, Leona Aglukkaq, qui a annoncé que le vaccin était homologué.
    Les essais cliniques canadiens ne sont pas encore terminés, mais les autorités fédérales de la santé se fient aux données tirées des essais européens.
    Aussitôt, le ministre de la Santé du Québec, Yves Bolduc, et le directeur de la Santé publique, Alain Poirier, ont indiqué en conférence de presse la marche à suivre.
    Québec a déjà reçu un premier lot de 432 000 doses. Un deuxième lot est attendu la semaine prochaine.
    Au total, 11 millions de doses ont été commandées.
    Dès lundi, les personnes les plus à risque sont invitées à se faire vacciner en priorité: les travailleurs de la santé, les malades chroniques, les femmes enceintes, les jeunes enfants âgés entre six mois et cinq ans et les communautés isolées du Grand-Nord.
    «Le virus circule», a résumé le Dr Poirier, en multipliant les appels à la population pour qu'elle aille se faire vacciner.
    «S'il n'y a pas de réponse (de la population), on va redonner la même information, cent fois sur le métier», a-t-il ajouté, en espérant éviter la propagation du virus.
    Une fois administré, le vaccin peut prendre jusqu'à deux semaines avant d'être efficace.
    Les tests indiquent qu'il offre une protection à 95 pour cent.
    Québec souhaiterait que 80 pour cent de la population choisisse de se faire vacciner, dans le but d'éviter le pire des scénarios, soit que quelque 2,5 millions de personnes attrapent le virus.
    A compter de samedi, le ministre Bolduc invite la population à consulter le site: www.pandemiequebec.gouv.qc.ca , dans la section «Dans ma région», ou composer le numéro sans frais 1-877-644-4545, pour connaître les détails reliés à la vaccination, en termes de lieu et d'heures.
    Les centres prévus fonctionneront sept jours sur sept.
    Une campagne d'information à la télévision, dans les journaux, à la radio et sur Internet fournira aussi des informations.
    «Le meilleur moyen de prévention, c'est la vaccination», a martelé le ministre Bolduc.
    Les enfants de six mois à neuf ans devraient recevoir deux demi-doses du vaccin avec adjuvant, à 21 jours d'intervalle. Tous ceux âgés de 10 ans et plus devraient recevoir une dose du vaccin avec adjuvant.
    Les femmes enceintes devraient recevoir une dose sans adjuvant, mais s'il n'est pas disponible alors que les taux de grippe sont élevés ou augmentent dans une communauté donnée, il est recommandé qu'elles se fassent offrir une dose avec adjuvant.
    Les femmes enceintes qui attrapent la grippe ont cinq fois plus de chance de subir des complications.
    Le vaccin avait encore besoin des autorisations réglementaires avant que le gouvernement fédéral ne donne aux provinces et territoires la permission d'entreprendre la campagne de vaccination.


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    *Au pays, la grippe saisonnière entre 4000 et 8000 cause décès par année dont la Majorité est minister de personnes âgées. En date du 8 octobre, l'Agence de la santé publique du Canada une recensé 79 décès associés à la grippe A (H1N1) depuis le mois d'avril dernier dont 24 en Ontario et 27 au Québec qui demeure la province la plus touchée en Terme de décès.


    REF.:



    ALLEZ DONC, VOUS FAIRE VACCINER ! ! !
    (Psychose ou pas ,dans mon secteur les injections pour les adultes et enfants de 5 ans et plus en bonne santé,c'est le 7 Décembre 2009,alors ,je ne comprend pas que le monde se précipite tant !)