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dimanche 6 novembre 2022

Le couteau suisse des développeurs sous Mac

 

 

Le couteau suisse des développeurs sous Mac

Il y a quelques semaines, je vous présentais une application Windows baptisée DevToys et se présentant comme un couteau suisse à destination des développeurs.

Et bien rebelote avec le même outil mais cette fois à destination des développeurs qui utilisent macOS. En effet, DevToys pour Mac est dispo et peut se télécharger ici ou s’installer avec la commande brew suivante :

brew install --cask devtoys

On y retrouve les mêmes outils à savoir de quoi rendre plus doux votre quotidien pour tout ce qui est traitement de données :

  • Convertisseurs
    • JSON <> YAML
    • Horodatage
    • Base de nombres
    • Analyseur CRON

  • Encodeurs / Décodeurs
    • HTML
    • URL
    • Base64 (texte et images)
    • Gzip
    • Décodeur JWT
  • Formateurs
    • JSON
    • SQL
    • XML
  • Générateurs
    • Hash MD5, SHA1, SHA256, SHA512
    • UUID 1 / UUID 4
    • Lorem Ipsum
    • Somme de contrôle

  • Texte
    • Inspecteur de texte et convertisseur maj / min
    • Testeur de Regex
    • Comparateur de texte
    • Validateur XML
    • Markdown
  • Images
    • Simulateur de daltonisme
    • Color picker & constrastes
    • Compresseur PNG / JPG
    • Convertisseur d’images

Si cela vous intéresse, c’est dispo sur Github.


mardi 26 juillet 2022

CloudMensis, ce virus pour Mac qui en veut à vos données personnelles

 

 

CloudMensis, ce virus pour Mac qui en veut à vos données personnelles

Les risques sont toujours présents mais restreints à quelques utilisateurs.


Publié le

 

Par



Si vous avez un compte Dropbox ou pCloud, prudence. Le laboratoire de recherche en cybersécurité d’ESET a en effet identifié un nouveau malware qui passe par des services de stockage en ligne et par une porte dérobée (backdoor) pour siphonner les données de votre Mac. Yandex Disk, une autre plateforme concurrente, est également concernée.

Pour le moment, difficile de savoir combien de machines ont été infectées de la sorte mais il semble que le programme malicieux est relativement récent. Il aurait en effet fait sa première victime le 4 février dernier, ce qui lui a tout de même potentiellement laissé le temps de corrompre des milliers d’ordinateurs. Pour le moment, Apple n’a pas réagi directement, peut-être parce que le procédé exact utilisé par les pirates pour parvenir à leurs fins reste flou.

Vos documents en danger

D’après les analystes d’ESET, le virus CloudMensis est capable d’exécuter trente-neuf commandes différentes sans l’accord du propriétaire du Mac, à distance et en toute discrétion. Parmi ses capacités, on retrouve la possibilité de télécharger des fichiers depuis votre mémoire, dont des captures d’écran et même des e-mails. Un vrai risque pour les entreprises donc, surtout si leur parc matériel n’est pas protégé par un bon antivirus.

Heureusement, les attaques sont ciblées et ne concernent donc qu’une minorité d’internautes. Les experts ayant découvert le malware ne donnent pas d’indications précises pour s’en prémunir, ce qui laisse penser qu’il faudra attendre une mise à jour de la part des développeurs pour être totalement protégé.

Du changement avec macOS Ventura

Lors de la dernière Worldwide Developer Conference organisée en Californie durant le mois de juin, Apple a présenté le mode Lockdown qui vise à lutter contre ce genre d’incidents. Disponible également sur iPhone et sur iPad, cet outil permet de limiter l’accès à des fonctionnalités souvent privilégiées par les hackers pour vous espionner. Entre autres, il est ici question de bloquer les pièces jointes dans les messages ou de désactiver les appels FaceTime avec des numéros inconnus.

Le mode Lockdown pourrait donc s’avérer très utile dans le cas de CloudMensis. Mais il faudra attendre cet automne pour pouvoir tester macOS Ventura en version finale, le système d’exploitation étant seulement accessible en bêta pour le moment.

 

REF.:   https://www.iphon.fr/post/cloudmensis-virus-mac-donnees-personnelles?mibextid=GwLpAq

jeudi 6 janvier 2022

Comment bien débuter avec le Terminal de macOS ?

 

 

Comment bien débuter avec le Terminal de macOS ?

Laurent Mancini
17 décembre 2021 à 16h03

Le système d’exploitation macOS dispose d’une application native nommée Terminal. Celle-ci permet de piloter l’ordinateur, au travers d’une interface textuelle, grâce à des lignes de commandes. Elle est héritée de l’environnement Unix originel, sur lequel sont basés de nombreux OS.

Quiconque s’intéresse un tant soit peu à l’informatique a déjà entendu le terme de « Terminal  ». On le retrouve d’ailleurs, sous la même dénomination, dans les OS Windows ou Linux . Le Terminal confère un gain de temps important. Il est ainsi possible de l’utiliser quotidiennement, avec des commandes basiques. Les utilisateurs avancés peuvent également faire appel à lui pour des tâches plus évoluées. Une fois découvert et pris en main, il devient rapidement indispensable. Le terminal offre un niveau de contrôle absolu sur votre machine. Il est donc essentiel de bien débuter avec cette application.

Comment ouvrir Terminal avec un Mac ?

Terminal est un utilitaire, il est accessible de plusieurs manières. Vous pouvez ainsi passer par le Finder (command+F), l’onglet Applications (shift+command+A), Utilitaires (shift+command+U) ou via le moteur de recherche Spotlight (command+espace). Si vous préférez passer par l’interface graphique, il suffit alors d’utiliser Launchpad (F4). Cet outil permet d’afficher, d’ouvrir et d’organiser les différentes applications installées sur l’ordinateur.

 

Une fois l’application Terminal lancée, il est possible de la conserver sur votre bureau, en faisant un clic droit, puis « Options » et enfin « Garder dans le dock ».

Ne soyez pas surpris par l’aspect rébarbatif de l’interface textuelle

Point de fioritures ici… Le Terminal de commande s’adresse aux pros et vise l’efficacité. Il n’est pas vraiment question d’ergonomie. Cette application ne cherche pas à favoriser « l’expérience utilisateur  ». 

Lors de l’ouverture de l’application, une fenêtre quasiment vide apparaît. Selon l’OS utilisé, un message peut vous mettre en alerte :

The default interactive shell is now zsh.

To update your account to use zsh, please run `chsh -s /bin/zsh`.

En effet, depuis macOS Catlina , zsh est le shell par défaut, au lieu de bash sur les OS antérieurs.

Mais qu’est-ce qu’un shell ?

Ce n’est rien d’autre que le terme anglais pour désigner l’interface système. Le shell représente la partie primaire de votre système d’exploitation. C’est de cette couche logicielle essentielle que découle le reste. Ainsi, on parle de commandes en ligne ou CLI (Commande Line Interface) pour le terminal et de commandes graphiques ou GUI (Graphical User Interface). 

Les utilisateurs novices, se contenteront de connaître ces différents termes. Pour une première prise en main du Terminal, il n’est pas forcément utile d’approfondir cet aspect technique. Les commandes basiques que nous évoquerons par la suite peuvent être utilisées sans crainte, quel que soit votre OS. Celles et ceux qui souhaitent en savoir plus sur le sujet, pourront se référer à cet article du support Apple .

L’usage du Terminal est-il risqué ?

Oui ! Il est impératif d’en avoir conscience. Comme nous l’avons indiqué plus haut, les lignes de commande agissent directement sur la couche primaire du système d’exploitation. Si elles permettent de gagner un temps considérable sur certaines tâches, elles peuvent aussi causer d’importants dégâts. Il est ainsi possible de générer des requêtes en boucle, appelées « bombes à fourche » qui satureront rapidement l’ordinateur. 

Des fichiers systèmes essentiels peuvent également être déplacés ou effacés par mégarde. Il s’agit donc d’être particulièrement attentif lors de manipulations sur le Terminal. Des utilisateurs confirmés peuvent aussi être piégés par malveillance. En effet, les commandes avancées étant parfois très longues, il est tentant de les copier/coller directement dans la console administrateur, sans toujours prendre soin de les relire attentivement.

Heureusement, les commandes administrateurs ne sont pas aisément accessibles. Celles-ci doivent être saisies en mode admin (aussi appelé utilisateur root ou super-utilisateur). Les fans des M. Robot ou Person of Interest seront sans doute familiarisés avec ces termes techniques.

Prise en main du Terminal sur macOS

Le Terminal utilise le thème par défaut de l’ordinateur. Si vous êtes gêné(e) par le fond blanc de la fenêtre du Terminal, il est possible d’en changer. Pour cela, il suffit d’utiliser le menu Shell de l’application, puis de choisir d’ouvrir un nouvel onglet. Vous pourrez alors choisir le thème qui vous conviendra le mieux. D’autres options ou fonctions avancées sont également disponibles et accessibles dans les préférences (command+,). La fenêtre peut être déplacée, agrandie ou réduite, à l’instar des autres applications.

 

Lorsque la fenêtre de travail s’ouvre, un curseur clignotant indique l’attente de commande. Une ligne de commande Terminal se comporte de différentes parties. Elle est exclusivement rédigée en anglais. Les commandes sont instantanément exécutées, dès que vous appuyez sur la touche Entrée. Il convient donc de les relire attentivement avant tout geste inconsidéré.

Les commandes basiques

De nombreuses commandes doivent être complétées par une indication précise. Celle-ci représente le fichier ou le dossier ciblé. Les commandes sont systématiquement séparées par un espace ou un tiret.

Par exemple, pour visualiser le contenu d’un dossier, on écrira :

ls [nom du dossier]

Si on souhaite déplacer un fichier vers un dossier, il faudra procéder de la même façon :

mv [nom du fichier origine] /home/Utilisateur/Bureau/[nom du dossier cible]

Une petite astuce mérite d’être signalée ici : pour éviter de taper l’intégralité du chemin souhaité, il est possible de glisser le fichier directement vers la fenêtre du Terminal. On peut aussi copier (command+C) le dossier ou le fichier voulu, puis le coller (command+V). En lançant le Terminal, on démarre la session en étant sur le répertoire de travail /[utilisateurs]/[nom de l’utilisateur].

Les chemins d'accès

Les chemins d’accès sont de forme absolue ou relative.

  • Un chemin absolu débute à la racine de notre disque dur. Il ne dépend pas du répertoire courant.
  • À l’inverse, un chemin relatif est défini par l’endroit à partir duquel nous naviguons. Il est symbolisé par « ./. »

Une application peut être ouverte à l’aide de la commande :

Open -a [nom de l’application]

La navigation entre les lignes se fait à l’aide des touches fléchées. Comme indiqué précédemment, un appui sur la touche Entrée déclenche l’ordre.

Naviguer dans les dossiers

Pour se déplacer au sein des différents dossiers et répertoires il faut utiliser la fonction cd. Ainsi, cd.. vous fait remonter d’un niveau, tandis que cd / vous fait remonter à la racine de l’arborescence. Attention, car les différentes lignes de commande agissent sur le répertoire courant… Vous êtes perdu(e) ? Pas de panique : la commande pwd vous indique où vous vous situez dans l’arborescence.

Ceci peut paraître un peu compliqué, mais une fois le principe saisi, vous gagnerez un temps considérable. En cas d’erreur les messages à caractère informatif « command not found », « no such file or directory exist » apparaîtront. Ils sont sans conséquence sur l’intégrité de votre système. Il vous suffira de ré-écrire votre ligne de commande, en veillant au respect des espaces, de la casse des caractères et des tirets. Il faudra aussi vérifier la conformité des ordres lancés et des chemins renseignés.

Certaines commandes déclencheront l’apparition d’un processus. Plusieurs lignes apparaîtront alors, avec parfois un pourcentage indiquant l’avancée de l’ordre donné. D’autres, au contraire, ne paraîtront avoir aucun impact. Une nouvelle ligne surgira, avec un curseur clignotant, indiquant l’attente d’une action de votre part. Pourtant, la commande aura bien été exécutée.

Les différents ordres disponibles correspondent en majorité à des abréviations anglaises. Vous trouvez ainsi par exemple les commandes mkdir pour Make Directory ou cd pour Change Directory.

Si vous souhaitez aller plus loin

Le Terminal donne directement accès aux entrailles de votre ordinateur. Il s’agit donc d’utiliser cet outil puissant avec précaution. Une fois aguerri(e) avec les commandes basiques, vous pourrez envisager d’exploiter tout son potentiel.

Vous pourrez intervenir sur votre réseau domestique ou écrire vos propres scripts pour automatiser certaines tâches. Il est aussi possible d’utiliser plus finement le Terminal.

Si vous utilisez la commande ls pour visualiser le contenu d’un dossier par exemple, il est possible de lui adjoindre des attributs complémentaires.

L’option -i permettra de visualiser les détails des fichiers, leurs tailles, protections éventuelles et de nombreuses autres informations.

L’option -a rendra visible les fichiers cachés.

Vous pourrez aussi créer de nouveaux répertoires en utilisant la commande

mkdir [nom du répertoire].


Plus de 1400 commandes sont aujourd’hui répertoriées. Il est d’ailleurs possible de les afficher sur un Terminal actif, en appuyant deux fois sur la touche escape (esc).

Les usages du Terminal n’ont quasiment aucune limite. On peut télécharger des fichiers depuis une url, modifier les paramètres et préférences systèmes ou supprimer des dossiers. 

C’est un outil puissant, qui se maîtrise petit à petit…

 

REF.:   https://www.clubic.com/pro/entreprises/apple/dossier-397719-comment-bien-debuter-avec-le-terminal-de-macos.html

mercredi 5 mai 2021

Est-ce que macOS est un dérivé de Linux/Unix ?

 

 


·

Linux, non. Il n’y a pas une seule ligne de code dans macOS qui provient de Linux (le noyau). Ils possèdent encore quelques utilitaires à la ligne de commande GNU, aussi utilisés par Linux, mais c’est tout.

Unix, oui. Mais ce qu'il faut comprendre c’est que macOS est un genre de Frankenstein. D’abord, le noyau de macOS (et iOS) est XNU. (Qui est intégralement disponible ici.) L’architecture Mach est utiliser entre les différents composant pour communiquer entre eux. La gestion de la mémoire, elle, est héritée de BSD (parce qu’à l’époque, FreeBSD avait le meilleur système de mémoire virtuel.) Le système pour interfacer avec le matériel, IOKit, est une création de NeXT, qui vient d’une compagnie achetée par Apple.

 Le noyau XNU fait partie du système d'exploitation Darwin pour une utilisation dans les systèmes d'exploitation macOS et iOS. XNU est un acronyme pour X is Not Unix. XNU est un noyau hybride combinant le noyau Mach développé à l'Université Carnegie Mellon avec des composants de FreeBSD et une API C ++ pour l'écriture de pilotes appelée IOKit. XNU fonctionne sur x86_64 pour les configurations à processeur unique et multiprocesseur.

 


 

REF.: Quora.com

mercredi 7 avril 2021

 

 

7 raccourcis clavier cachés à connaître sur macOS

Pour être plus productif sur macOS, voici plusieurs raccourcis pratiques, dont certains surement méconnus de beaucoup d’utilisateurs.

 

 

Le système d’exploitation pour les ordinateurs de bureau d’Apple, macOS, est utilisé aussi bien par le grand public que par les professionnels. Dans différents domaines, les Mac sont appréciés, aussi bien pour la photo, pour la vidéo, ou encore pour le son et les arts numériques plus généralement. En entreprise bien évidemment, les Mac ont leur place.

Et que l’on utilise un ordinateur Apple dans le cadre de son travail, ou simplement lors de son temps libre pour des projets personnels ou pour du divertissement, on peut avoir cette volonté d’être productif. Et qui dit productivité, dit forcément raccourcis clavier.

En voici justement 7 que vous ne connaissez peut-être pas et qui pourraient vous rendre de fiers services :

Afficher/cacher le dock

  • CMD + ALT + D

© iPhon.fr

Rien de plus pratique pour faire de la place à l’écran et mettre rapidement le dock d’apps de côté.

Couper/coller dans le Finder

  • CMD + C : copie un ou plusieurs fichier(s) ou dossier(s)
  • puis CMD + ALT + V : colle le ou les fichiers/dossiers dans un emplacement différent du Finder, impliquant la suppression du fichier/dossier source

© iPhon.fr

Il s’agit en quelque sorte de l’équivalent du “couper/coller” dans le gestionnaire de fichiers de Windows. Sur macOS, nous avons plutôt droit à un “copier/déplacer”.

Suppression immédiate de fichiers/dossiers

  • ALT + CMD + Backspace : supprime le ou les fichiers/dossiers mis en sélection dans le Finder, sans passer par la Corbeille

© iPhon.fr

Attention, avec ce raccourci, le Finder demande une confirmation de suppression. Une fois la suppression validée, le fichier/dossier supprimé ne peut être récupéré dans la corbeille bien évidemment.

Supprimer dans le texte

  • fn + Backspace : permet de supprimer le texte qui vient après le curseur de texte

© iPhon.fr

Les claviers Mac ne disposent pas de touche Suppr. Ce raccourci permet de pallier ce manque.

Coller et adapter le style de texte

  • CMD + ALT + SHIFT + V : pour coller du texte en adaptant ce dernier au style de texte de la page

© iPhon.fr

Ce raccourci permet d’éviter d’imposer le style du texte copié dans un document où le texte est déjà stylisé avec police et une taille de police propre. Essayez-le, et vous ne pourrez plus vous en passer.

Raccourci du clavier des Émojis

  • CTRL + CMD + barre espace : fait apparaître, dans n’importe quelle app où l’on peut écrire du texte, le panneau des Émojis

© iPhon.fr

Régler le volume plus précisément

  • ALT + SHIFT + Volume “+” ou “-” : pour régler le volume de son Mac avec des paliers plus petits que le permettent normalement les boutons Volume + et Volume – seuls

© iPhon.fr

Voilà pour ces 7 raccourcis macOS bien utiles, mais pas forcément connus de tous.

Lesquels aviez-vous déjà dans votre répertoire de raccourcis Mac ? Et lesquels ne connaissiez-vous pas encore ? # mac OS, clavier, trucs,

 

REF.: Pierre Otin

Maliciels : ils sont de plus en plus présents sur macOS

 

 

Maliciels : ils sont de plus en plus présents sur macOS

Mais ce n’est encore rien comparé à Windows.

Comme le rapporte Atlas VPN, la firme de recherche en sécurité AV-TEST Gmbh a mis en évidence l’existence de 674 273 menaces de maliciels en 2020 sur macOS. C’est bien plus que les 219 257 menaces détectées entre 2012 et 2019.

L’augmentation des virus et autres logiciels malveillants est donc exponentielle sur macOS. En nombre de maliciels existant sur macOS, l’augmentation aurait été de 1092 % de 2019 à 2020…

Si cela peut faire peur dans un premier temps, il faut bien comprendre que ce n’est encore rien face au système d’exploitation Windows, qui a connu lui 91,05 millions de menaces différentes de type malwares en 2020, 89,07 millions de plus qu’en 2019.

Cela équivaut à 249 452 menaces différentes créées chaque jour pour attaquer les utilisateurs Windows. En comparaison, seulement 1 847 nouveaux maliciels visant les utilisateurs macOS seraient créés toutes les 24h.

Il est vrai que, s’il y a 10 ans de cela, macOS ne connaissait que de rares menaces de virus et maliciels, aujourd’hui, même si un antivirus n’est pas forcément nécessaire (à condition d’avoir une utilisation prudente d’internet depuis son Mac), il n’est pas insensé de passer de temps en temps un coup de détecteur de malwares pour nettoyer sa machine et supprimer toute menace.

Il existe plusieurs solutions pour rechercher des maliciels sur son Mac. J’en conseille deux, l’une gratuite, basique, il s’agit de Malwarebytes, l’autre est payante, mais bien plus puissance, il s’agit de CleanMyMac.

Malwarebytes, disponible ici gratuitement, est un anti-maliciel pour Mac, capable d’analyser votre système et de mettre  en quarantaine ou supprimer de nombreux logiciels néfastes.

CleanMyMac de MacPaw est un logiciel bien plus puissant, comprenant un anti-maliciel, mais aussi d’autres outils de nettoyage. Il n’est pas gratuit, mais vaut le coup selon mon expérience personnelle sur Mac. CleanMyMac est à mon sens un indispensable pour macOS. Je possède une licence depuis 10 ans maintenant et les premières versions du logiciel. Anti-maliciel, il me sert notamment aussi pour supprimer de nombreux fichiers inutiles, mais encore pour désinstaller proprement des applications.

 

REF.: Pierre Otin

lundi 27 janvier 2020

Hammerspoon – Comment automatiser macOS avec des scripts Lua





mac OS, script


Hammerspoon – Comment automatiser macOS avec des scripts Lua

Si vous êtes sous macOS et que votre passion dans la vie c’est d’automatiser des trucs, voici un outil qui modestement risque bien de changer votre vie.
Hammerspoon est un logiciel qui se loge dans la barre de notification de macOS et qui permet d’agir sur les APIs de macOS à partir de simples scripts écrits en Lua (ça se prononce LOU-ah.
Pour ceux qui ne connaitraient pas Lua, il s’agit d’un langage de programmation scripté très simple à comprendre. Hammerspoon agit donc comme un bridge entre vos scripts Lua et votre système d’exploitation Apple.
Une fois Hammerspoon installé, vous devriez voir son icône dans la barre de notifs. Cliquez dessus, choisissez « Preferences » et donnez-lui accès aux options d’accessibilité.
Puis cliquez sur « Open Config ». Cela va ouvrir le fichier init.lua dans votre éditeur de code / texte par défaut. Et à partir de là, vous allez pouvoir coder des choses.
Pour commencer, je vous propose un Hello World. Collez le code suivant dans init.lua, sauvegardez, puis dans Hammerspoon, cliquez sur « Reload Config »
hs.hotkey.bind({"cmd", "alt", "ctrl"}, "W", function()
  hs.alert.show("Hello World!")
end)
Ensuite, en appuyant sur CMD + ALT + CTRL + W, vous verrez une alerte afficher « Hello World! ».
Voilà en gros le principe. Mais évidemment, vous pouvez aller beaucoup plus loin que cela. Il est possible par exemple de déclencher certaines actions lorsque vous lancez une application précise ou lorsque vous vous connectez à un réseau wifi particulier. Par exemple, il est possible d’envoyer un SMS / iMessage à quelqu’un lorsque vous déboulez sur un réseau wifi précis.
Bref, vous comprenez le principe.
Il n’y a pas mal d’exemples dans la documentation et le détail de l’API est ici. Cela va vous permettre d’automatiser plein de trucs, de l’envoi de message, au redimensionnement de fenêtres, de la génération de mot de passe, de la traduction (appel de l’API DeepL) et j’en passe…
Et si vous cherchez de l’inspiration ou des scripts sympas à installer, il y a plein de « spoons » proposés par la communauté, que vous pouvez télécharger ici.


REF.:

jeudi 13 juin 2019

macOS Catalina : les fonctions incompatibles avec certains Mac


macOS Catalina : les fonctions incompatibles avec certains Mac

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mac OS
 
 
Florian Innocente |
Quels seront les Mac compatibles avec certaines fonction plus exigeantes que les autres de macOS Catalina ? Apple a laissé plusieurs questions sans réponse, on n'en est qu'au début des bêtas distribués, mais des éléments se précisent.
D'une manière générale d'abord, macOS Catalina fonctionnera là où Mojave est déjà utilisable : tous les MacBook Air, MacBook Pro, Mac mini et iMac de 2012, les MacBook 2015, les iMac Pro 2017 et le Mac Pro 2013.
SideCar : utiliser son iPad comme un écran secondaire pour son Mac ne sera possible qu'avec certains Mac. Apple n'a pour l'heure donné aucune précision sur le matériel requis mais une liste d'exclusion dénichée dans la bêta de macOS définit les modèles acceptés pour le moment : iMac 27" fin 2015, MacBook Pro 2016, Mac mini 2018 et MacBook 2016.
Les plus anciens de ces Mac ont en commun un processeur Intel de 6e génération "Skylake", qui a rendu possible le décodage des vidéos au format HEVC au moyen du GPU plutôt qu'en accaparant le processeur principal. C'est justement le format HEVC que SideCar semble utiliser pour projeter l'image du Mac sur l'iPad.
Une série de commandes pour le Terminal affranchit macOS Catalina de ces restrictions et rend opérationnel SideCar sur de plus anciens Mac. Comme le résume Le Journal du Lapin, ça marche mais ça peut manquer de fluidité ou tirer fort sur le processeur.
Il faudra aussi des applications Mac compatibles SideCar, mais Apple laisse entendre que certaines fonctions seulement ont besoin d'une optimisation. Les premiers logiciels annoncés comme devant être 100% prêts sont au nombre de 15, avec des titres d'Adobe, d'Affinity, de Corel, etc.
Voice Control : le contrôle de son Mac par la voix a été amélioré. Que ce soit sur la détection d'un enchaînement entre un texte et une commande à exécuter, la navigation dans l'interface ou la qualité de la reconnaissance. Mais au début ce sera réservé à la langue anglaise.
Activation Lock : Mac perdu ou égaré mais repérable avec l'application "Localiser" ou en se connectant sur iCloud.com ? Vous pourrez verrouiller son accès à distance et empêcher la suppression de son contenu, comme on le fait déjà sur iOS. On ajoute un code PIN à six chiffres comme sésame et un message à l'attention de celui qui l'allumera.
La présence d'une puce T2 sur le Mac à verrouiller est néanmoins obligatoire pour que ce soit possible. Pour le moment ça ne fait pas grand monde : les iMac Pro et les MacBook Pro, MacBook Air et Mac mini lancés depuis 2018.
Pour d'autres fonctions il n'y a pas de précisions, ce qui peut signifier que ça marchera partout ou que l'évaluation des performances obtenues n'est pas encore terminée.

REF.: