Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

samedi 27 décembre 2014

Il conteste son amende pour avoir fait voler un drone en ville




Très populaires sous le sapin cette année, les drones peuvent devenir de véritables cadeaux empoisonnés. Un Montréalais l’a appris à ses dépens en écopant d’une amendede 1000 $, pour avoir fait voler son engin en ville.
«C’est sûr que je ne paierai pas ça. C’est ridicule! Je n’ai même pas eu d’avertissement», rage Julien Gramigna.

julien gramigna, drone, amende
Ce photographe, cofondateur de l’entreprise VuDuCiel, a écopé d’une amende de 1000 $ de la part de Transports Canada, la veille de Noël, pour avoir utilisé un drone afin de filmer une maison pour un agent immobilier, l’été dernier.
Popularité
La mésaventure de M. Gramigna a fait tomber des nues le porte-parole des magasins Futureshop, Thierry Lopez, chez qui les drones se vendent comme des petits pains ces jours-ci.
«Vous êtes la première qui me parle d’amende. Si ça devient un problème, c’est sûr qu’on va se pencher là-dessus pour informer nos clients», indique-t-il.(Mais la Loi est moins sévère pour un drone qui pèse 2 kg ou moins,... vous n’avez pas besoin de demander de permission pour l’utiliser à des fins récréatives ou commerciales)
Plus abordables que jamais, compacts, équipés de caméras performantes et se contrôlant du bout des doigts à l’aide d’un téléphone intelligent, les drones sont la tendance cadeau de l’année au rayon technologie, explique M. Lopez.
À lui seul, le géant de la vente en ligne Amazon a écoulé pas moins d’un millier de drones par mois, en moyenne, cette année.
Règlement
Toutefois, les nouveaux propriétaires de drone risquent une amende salée s’ils essaient leur gadget dans le jardin. Transports Canada interdit en effet aux drones de voler à moins de 9 km d’une zone bâtie.
«On essaie de nous imposer une règlementation qui n’a plus aucun sens», estime M. Gramigna. Le règlement date en effet de 1996, soit bien avant l’apparition des drones de loisirs.
On impose ainsi aux jouets volants les mêmes règles qu’aux drones militaires, notamment l’obligation d’avoir un plan de vol et d’avoir suivi une formation de pilote.
Sécurité
Pour le ministère des Transports, il s’agit avant tout de sécurité. «Je dois voir à ce que l'espace aérien reste sécuritaire pour les aéronefs de toute dimension», déclarait la ministre Lisa Raitt en novembre.
Mais M. Gramigna voit mal comment son appareil en plastique de moins de 2 kg pourrait représenter un quelconque risque pour l’espace aérien. «Même si j’étais déterminé, je ne pourrais pas blesser quelqu’un avec ça», lance-t-il.
Il lui sera cependant difficile de contester la décision de Transports Canada, car l’amende qu’il a reçue le 23 décembre devait être payée avant le 15. Elle a pourtant été postée deux jours après l’échéance, le 18 décembre. «On dirait que c’est fait exprès pour que je ne puisse même pas me défendre», dénonce le photographe.

Les drones sont interdits
►À moins de 9 km d’un feu de forêt, d’un aéroport, d’un héliport, d’un aérodrome ou d’une zone bâtie.
►Au-dessus de bases militaires, de prisons ou dans un espace aérien contrôlé ou réglementé.
►Au-dessus de foules ou à plus de 90 m d’altitude.
Dois-je demander un permis à Transports Canada ?
►Oui
Si votre drone pèse 35 kg ou plus
►Non
Si votre drone pèse moins de 35 kg et est utilisé à des fins récréatives.
►Non, mais...
Pour un drone qui pèse moins de 25 kg, il est possible d’obtenir une exemption qui permet de l’utiliser sans permission à des fins récréatives ou commerciales.
►Non, mais...
Si votre drone pèse de 2,1 à 25 kg, vous n’avez pas besoin de demander de permission pour l’utiliser à des fins récréatives ou commerciales. Cependant, vous devez en informer Transports Canada, à chaque envolée, en remplissant un formulaire. Attention, 24 conditions s’appliquent.
►Non, mais...
Si votre drone pèse 2 kg ou moins, vous n’avez pas besoin de demander de permission pour l’utiliser à des fins récréatives ou commerciales, mais 18 conditions s’appliquent.
Source.: Transports Canada (tc.gc.ca/securitedabord)

vendredi 26 décembre 2014

Poème: aucun autre nom



Un nom
porte les peines au-dessus d'eux tous
sa renommée
Survit à la terre Il a formé
sa louange
Résonne au-delà des étoiles
Et fait écho dans nos cœurs
L'un des plus grands de tous

son visage
Brille plus que le soleil
sa grâce
Aussi illimitée que Son amour
il règne
Avec la guérison sous ses ailes
Le roi au-dessus de tous les rois
L'un des plus grands de tous

Lever les yeux, voit le Roi est venu
Lumière du monde tend la main pour nous
Il n'y a pas d'autre nom
Il n'y a pas d'autre nom
Jésus-Christ notre Dieu

Assis en haut, l'invaincu le seul
Les Montagnes se prosternent pour que nous nous élevons jusqu'à Lui
Il n'y a pas d'autre nom
Il n'y a pas d'autre nom
Jésus-Christ notre Dieu

Trouver l'espoir
Quand tout le monde semble perdu
voir
Le triomphe de la croix
sa puissance
A la mort piétiné et grave
Notre vie a trouvé en son nom
Le plus grand nom de tous

Lever les yeux, voir le Roi qui est venu
Lumière du monde tend la main pour nous
Il n'y a pas d'autre nom
Il n'y a pas d'autre nom
Jésus-Christ notre Dieu

Assis en haut, l'invaincu le seul
Les Montagnes se prosternent pour que nous nous élevons jusqu'à Lui
Il n'y a pas d'autre nom
Il n'y a pas d'autre nom
Jésus-Christ notre Dieu
Jésus

La terre sera secouée
Et tremblera devant lui
Nos Chaînes se briseront
Comme le ciel et la terre chantent
Saint est le nom
Saint est le nom de
Jésus, Jésus, Jésus


Lever les yeux, voir le Roi qui est venu
Lumière du monde tend la main pour nous
Il n'y a pas d'autre nom
Il n'y a pas d'autre nom
Jésus-Christ notre Dieu

Assis en haut, l'invaincu le seul
les Montagnes se prosternent pour que nous nous élevons jusqu'à Lui
Il n'y a pas d'autre nom
Il n'y a pas d'autre nom
Il n'y a pas d'autre nom
Il n'y a pas d'autre nom
Jésus



Source.: Hillsong Worship

mercredi 24 décembre 2014

Windows 10 supportera les disquettes !



Si utiliser des disquettes pour installer Windows fera sourire la plupart d’entre-vous, dans un passé pas si lointain, il s’agissait de la norme, quand le lecteur de CD-ROM était loin d’être présent sur tous les ordinateurs ! Windows 10 va plus loin et souhaite mettre un terme à l’utilisation des disquettes au sein du système. Une grave erreur bien vite signalée par de nombreux irréductibles. Mais quels sont donc leurs motivations ?
Microsoft peut être fier de son dernier système d’exploitation en date. Windows 10 enthousiasme la plupart des personnes qui ont déjà mis la main sur une Technical Preview qui permet de tester les grandes lignes de l’OS. Mais un petit élément froisse une poignée d’utilisateurs insatisfaits de certains choix opérés par la firme de Redmond.
Windows 10 supportera les disquettes !
L’abandon du pilote pour utiliser des disquettes est au coeur du problème ! Et non, nous ne sommes pas le 1er avril. Microsoft a ainsi décidé de ne plus supporter cette possibilité largement déserté par bon nombre d’utilisateurs « modernes », mais ce n’est pas du goût de tout le monde si on en juge la cinquantaine de posts sur un forum officiel de Microsoft.
Ces usagers défendent ainsi bec et ongle leur droit de disposer d’une version compatible avec tous leurs périphériques, lecteur de disquette compris. Et il faut croire que le mouvement est suffisamment important pour que les développeurs en charge de Windows 10 décident de réintégrer ladite fonction dans un prochain build de Windows 10.
Encore une victoire du front de libération du lecteur de disquette ? En réalité, non. Certaines sociétés et quelques professionnels exploiteraient ainsi encore la vénérable disquette pour échanger certaines données (fichiers .doc principalement) plutôt que la clé USB pourtant largement démocratisée au fil des années. Sachant que Windows 10 se destine autant au grand public qu’au monde professionnel, Microsoft cède.
Et c’est ainsi que le lecteur de disquette devient à nouveau utilisable sous Windows 10. Avis aux amateurs !


Applis vidéo : voir sa famille à Noël !



Applis vidéo : voir sa famille à Noël !
Vous passez les fêtes de Noël loin de votre famille... et vous aimeriez que vos proches le soient un peu plus ? La solution, c'est sans doute l'appel vidéo !

Depuis un ordinateur ou un smartphone, certaines applications et logiciels permettent de communiquer en visioconférence. Dans cette découverte du jour spécial fêtes de fin d'année, on fait le tour des solutions gratuites et faciles à installer. Zoom sur Skype, mais aussi sur Google Hangouts, FaceTime et Viber.

Une visioconférence oui, mais en famille

L'une des solutions les plus utilisées, c'est probablement le logiciel Skype, qui peut être installé à la fois sur un ordinateur, sur une tablette ou sur un smartphone. Il faut pour cela de se créer un compte, après avoir installé le logiciel ou l'application, et d'ajouter les contacts que l'on souhaite. Un simple appel vidéo suffit ensuite : préférer la connexion en Wi-Fi avec un bon débit, pour avoir une bonne qualité d'image et profiter d'un appel gratuit !

Vous disposez déjà d'une adresse gmail et êtes plutôt familier avec l'environnement de Google ? Passez aux Hangouts ! Souvent utilisée par les professionnels pour leurs visioconférences, la solution offre une excellente alternative à Skype pour les particuliers. D'autant plus qu'elle est aussi accessible sur un ordinateur de bureau ou portable qu'un smartphone ou une tablette. Google Hangouts permet aussi d'inviter plusieurs interlocuteurs à la même conversation : tous les participants s'affichent sous forme de vignette vidéo.

Des applis pour tous les téléphones

Pour les possesseurs d'iPhone ou d'Ipad, l'utilisation de FaceTime remplira le même office, à condition que la personne à joindre ait également accès à l'application. Les appels vidéo peuvent être passés sur le réseau mobile, mais pour éviter de consommer trop de données, il vaut mieux opter pour la connexion en Wi-Fi aussi.

Viber propose également une bonne solution sur les ordinateurs ou sur support mobile : l'application peut d'ailleurs être installée aussi sur Windows Phone, Nokia et Blackberry. Avec un bon point pour la facilité d'accès : une fois installé, Viber s'intègre automatiquement à la liste des contacts. Il ne reste plus ensuite qu'à préparer son plus beau sourire, vérifier la qualité de l'image et les appeler...

Source.: Skype, FaceTime sur iOS, Viber ou Google Hangouts.

mardi 23 décembre 2014

Récupérer des fichiers supprimés sous Mac






Vous venez de supprimer accidentellement un fichier ou un document important de votre Mac? Pas de panique, il y a plusieurs méthodes pour retrouver votre précieux fichier !
Elles vous sont toutes expliquées ci-dessous.

Vérifiez votre corbeille

Cela va peut-être vous paraître évident, mais en premier lieu (sait on jamais), pensez à vérifier votre corbeille. Si vous ne l'avez pas encore vidée, vous pourrez peut-être y récupérer vos fichiers supprimés par erreur. Ouvrez d'abord votre corbeille (elle est accessible depuis votre bureau), si vous y trouvez le fichier que vous recherchez, vous pourrez le restaurer soit en le faisant glisser sur votre bureau, soit en faisant un clic droit, puis en cliquant sur "restaurer" (il se peut que cette option ne s'affiche pas, dans ce cas faites simplement glisser le fichier sur votre bureau).

Vérifiez Time Machine

Time Machine est un outil qui permet la sauvegarde et la restauration de vos fichiers dans le passé. Vous pourrez retrouver la configuration et les fichiers de votre ordinateur dans le passé, donc cela va vous permettre de retrouver vos fichiers supprimés !
  • Commencez par ouvrir le dossier dans lequel était votre fichier à l'origine (avant que vous ne le supprimiez). Si vos sauvegardes Time Machines sont sur un disque dur externe, branchez le, puis cliquez sur Time Machine pour l'ouvrir.
  • Fouillez dans vos dossiers de sauvegarde, utiliser l'historique à droite de l'écran, ou utiliser la barre de recherche pour trouver votre fameux fichier supprimé.
  • Une fois retrouvé, double cliquez sur l'aperçu du fichier pour l'ouvrir (vous trouverez certainement plusieurs aperçus du même fichier crées à des dates différentes), vous pourrez ensuite choisir la version la plus récente de votre fichier, ou simplement celle qui vous intéresse.
  • Sélectionnez votre fichier une fois que vous avez trouvé le bon, et cliquez sur "Modèle:MacButton". Il sera restauré à son emplacement d'origine sur votre Mac. Notez que si le dossier d'origine a lui aussi été supprimé, vous devrez peut être le recréer également.


Utiliser un programme pour récupérer vos données

Il vous sera possible de récupérer certains fichiers à l'aide de programmes. Avant toute chose, arrêtez d'utiliser votre disque dur, pour éviter que votre fichier effacé (si il en subsiste encore une trace) ne soit écrasé.Pour ce faire, n'ouvrez aucun programme, ne sauvegardez plus rien, ne créez plus rien et n'effacez plus de fichiers ! Si le fichier que vous avez effacé se situe sur votre disque de démarrage, éteignez votre ordinateur.
Téléchargez un programme de récupération des données. Assurez-vous de télécharger ce programme sur un autre ordinateur ou disque dur afin de ne pas accidentellement écraser le fichier que vous cherchiez à récupérer. Vous pouvez par exemple utiliser ces programmes disponibles gratuitement :

Installez le programme une fois téléchargé sur une clé USB ou un disque dur portable, vous pourrez ainsi connecter votre clé ou votre disque dur à votre Mac et lancer le programme depuis celui-ci sans toucher quoi que ce soit à l'intérieur même du Mac.
Selon le programme installé, scannez votre disque dur, ou si il y a, utilisez l'image disque fournie par le programme pour démarrer un scan.
Une fois le scan terminé, cherchez votre fichier à récupérer (le nom a peut être été effacé alors vous aurez surement un gros tri à effectuer).
Une fois votre ou vos fichier(s) trouvé(s), sauvegardez le/les de préférence sur un disque externe ou une clé, dans leur ordre d'importance (du plus important au moins important) : on ne sait jamais.

Comment jouissent les femmes



D’abord, on sourit. En amont de la confidentielle « Journée mondiale de l’orgasme » du 21 décembre – dont le mot d’ordre reste obscur –, l’IFOP publie mercredi 17 décembre une enquête intitulée « Les Françaises et l’orgasme ». Fini de rire dès l’introduction : le sujet est très sérieux. « Les freins et les sources du plaisir féminin sont peu abordés dans les grandes enquêtes sur la sexualité alors même qu’ils constituent une des questions fondamentales de la sexologie contemporaine », explique à juste titre le respectable institut de sondage.

De grandes questions se posent en effet : l’orgasme féminin est-il vaginal ou clitoridien, le point G existe-t-il et, si oui, où ? L’enquête, financée par le site de « webcams gratuites sexe live » CAM4.fr, et réalisée auprès de 1 006 Françaises représentatives de la population féminine de plus de 18 ans par questionnaires auto administrés sur ordinateur du 25 au 27 novembre, fournit un certain nombre de réponses.

Deux tiers des femmes disent avoir déjà simulé

Enseignement majeur de l’étude : les femmes jouissent moins que les hommes. Une femme sur trois (33 %) dit n’avoir pas eu d’orgasme au cours de son dernier rapport sexuel, soit une proportion cinq fois plus grande que leur partenaire (6 %). Au total, seules 60 % des femmes en couple ont « souvent » un orgasme avec leur partenaire actuel, 27 % « parfois » ou « assez rarement » (8 %) et 5 % jamais. Certaines catégories de femmes disent avoir plus de difficultés à jouir que d’autres : les jeunes de moins de 25 ans, les cadres et professions intellectuelles supérieures, les personnes en surpoids ou obèses.
Au total, seules 6 % des femmes disent avoir un orgasme tous les jours ou presque, 37 % au moins une fois par semaine, 31 % au moins une fois par mois, 7 % moins d’une fois par mois – ces chiffres sont corrélés avec la fréquence de l’activité sexuelle. Résultat : près des deux tiers des femmes interrogées disent avoir déjà simulé l’orgasme au cours de leur vie. La satisfaction sexuelle rejaillit pourtant sur toute la vie de couple : le degré de satisfaction des femmes quant à leur vie sentimentale est étroitement lié à la fréquence de leurs orgasmes, selon l’enquête.
Après le constat, les causes : la sexualité reste trop « phallocentrée ». « Les techniques de coït les plus pratiquées ne sont pas toujours celles les plus à même de procurer du plaisir à la gent féminine », explicite l’IFOP. Ainsi, la pénétration vaginale, qui est de loin l’acte sexuel le plus pratiqué (83 % des femmes la pratiquent souvent), ne permet d’atteindre l’orgasme facilement que pour 28 % des femmes, contre 38 % dans le cadre d’une pénétration vaginale accompagnée d’une stimulation clitoridienne et 30 % grâce à un cunnilingus.

La stimulation clitoridienne la plus efficace

L’IFOP entend donc livrer ainsi les clés du plaisir féminin : c’est la double stimulation (vaginale et clitoridienne) qui permet au plus grand nombre de Françaises de jouir « très facilement » – mais sa prévalence est deux fois moins importante que la pénétration vaginale seule. L’institut appelle à « relativiser l’opposition classique et désormais désuète entre orgasme vaginal et clitoridien », tout en précisant que les pratiques les plus efficaces pour atteindre l’orgasme impliquent toutes une stimulation du clitoris.
Enfin, l’institut passe en revue les positions les plus adéquates. En numéro 1, le « missionnaire » reste une valeur sûre. Mais les positions où la femme est active, longtemps réprouvées par la morale, sont efficaces, en particulier « l’Andromaque » (où la femme est au-dessus de l’homme) et le « gaufrier » (la femme est allongée sur l’homme). La « levrette », en revanche, bien que très pratiquée, n’arrive qu’au quatrième rang en termes d’efficacité derrière les précédentes. « Cet écart entre sa prévalence et son efficacité tend à renforcer l’idée selon laquelle elle répondrait plus à des fantasmes masculins que féminins », relève l’IFOP. Lacune de cette enquête : elle n’aborde pas le rôle, pourtant réputé essentiel, des préliminaires.

Source.:  sur http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/12/17/comment-jouissent-les-femmes-selon-l-ifop_4542157_3224.html#EmyVWoFsKZPiQplj.99