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jeudi 6 janvier 2022

Windows 11 : l'invite de commandes va tirer sa révérence en 2022

 

 

Windows 11 : l'invite de commandes va tirer sa révérence en 2022

Fanny Dufour
16 décembre 2021 à 13h27

À partir de 2022, Microsoft remplacera peu à peu l'invite de commandes actuelle par le Windows Terminal comme console par défaut sur Windows 11 .

Il est déjà possible de choisir le Windows Terminal comme terminal par défaut dans ses paramètres sur Windows 11.

Un changement qui prendra place en 2022

Depuis longtemps, Windows utilise comme terminal par défaut le Windows Console Host, qui se fait vieillissant. Sentant qu'il était temps que l'expérience soit améliorée, l'entreprise a annoncé en 2019 et rendu disponible pour tous en 2020 le Windows Terminal, une version repensée et plus moderne de l'antédiluvienne console. S'il est déjà possible de le télécharger et de l'utiliser sur Windows 10 et 11, l'ancienne invite de commandes reste pour le moment l'application utilisée par défaut.

Ce ne sera bientôt plus le cas, en tout cas sur Windows 11, puisque l'entreprise a annoncé vouloir faire du Windows Terminal le terminal par défaut à partir de 2022. Les participants au programme Windows Insider seront les premiers à en profiter et le déploiement se fera progressivement, jusqu'à ce que tous les utilisateurs de Windows 11 bénéficient du changement.

Un terminal amélioré

Pour rappel, le Windows Terminal vient avec de nombreuses améliorations par rapport au terminal actuel, comme un moteur de rendu de texte accéléré par GPU, un affichage multi-onglets, des volets et une prise en charge des caractères Unicode et UTF-8. Il possède également de nombreuses options de personnalisation, aussi bien pour les raccourcis que pour le thème. Il peut exécuter toute application dotée d'une interface en ligne de commande et donne la possibilité de créer des profils pour chacune d'entre elles.

Pour les plus impatients des utilisateurs de Windows 11, il est déjà possible d'aller dans les paramètres pour désigner le Windows Terminal comme programme par défaut pour ouvrir toutes les applications en lignes de commandes.

Source : Tom's Hardware

 

REF.:   https://www.clubic.com/pro/entreprises/microsoft/actualite-399192-windows-11-l-invite-de-commandes-va-tirer-sa-reverence-en-2022.html?_ope=eyJndWlkIjoiNzM2OGQyYTA1M2UxYjUzYTEzZDE0MDAzYWQ0Yzg1YWMifQ%3D%3D

Des appareils ne gérant que le HDMI 2.0 rebadgé en HDMI 2.1, c'est autorisé : attention à ne pas vous faire piéger

 

 

Des appareils ne gérant que le HDMI 2.0 rebadgé en HDMI 2.1, c'est autorisé : attention à ne pas vous faire piéger

18 décembre 2021 à 10h30

 

Sans que l'on ne comprenne pourquoi, l'administration des licences HDMI accepte que les constructeurs mentent sur la norme HDMI 2.1 .

Affichés HDMI 2.1, les moniteurs peuvent tout à fait ne proposer qu'une compatibilité HDMI 2.0 et donc… tromper les acheteurs.

N'est pas 2.1 qui veut

Annoncée en novembre 2017, la norme HDMI 2.1 n'est finalement arrivée aux yeux du très grand public qu'avec la sortie des consoles de salon nouvelle génération, les PlayStation 5 et Xbox Series X . Capables de bien des choses comparées à leurs grandes soeurs, ces deux machines sont arrivées en demandant une compatibilité HDMI 2.1 pour certaines fonctionnalités.

C'est par exemple le cas des jeux pouvant fonctionner en 4K à 120 images par seconde. Un tel flux n'est pas gérable par l'ancienne norme HDMI 2.0, qui ne pourra supporter que du 1080p à 120 images par seconde, ou de la 4K à 60 images par seconde. Quelque chose de tout à fait acceptable, mais de différent. De même, le VRR (taux de rafraîchissement variable) ne peut pas être supporté par un téléviseur ne disposant que de ports HDMI 2.0.

Une réglementation difficile à comprendre

C'est donc là tout le problème : si un téléviseur HDMI 2.0 est vendu en tant que HDMI 2.1, l'acheteuse ou l'acheteur ne pourra pas profiter de certaines fonctionnalités sans nul doute désirées lors de l'achat. Par rapport à cela, l'administration des licences HDMI explique de façon assez floue que les fonctionnalités propres au 2.1 sont « totalement facultatives » et qu'il appartient aux constructeurs de préciser la liste de celles prises en charge par l'écran. Il incombera ensuite aux consommateurs de consulter ladite liste afin de vérifier si elle correspond dans son intégralité à ce qu'on attend de la norme 2.1.

Il peut être compréhensible pour l'administration de vouloir homogénéiser les normes HDMI pour ne pas se retrouver avec des hésitations quant à, par exemple, le simple achat d'un câble. En outre, un câble HDMI 2.1 peut se connecter à un téléviseur 2.0 et inversement, il ne sera simplement pas possible de profiter de toutes les fonctionnalités selon la compatibilité.

Mais l'autorisation donnée pour l'affichage d'une norme HDMI 2.1 fantôme risque de porter à confusion bien des personnes, qui penseront pouvoir profiter au maximum de leur nouveau téléviseur et de leur nouvelle console, sans que ce ne soit finalement le cas.

Source : Wcctech

 

REF.:   https://www.clubic.com/television-tv/televiseur/actualite-399498-des-appareils-ne-gerant-que-le-hdmi-2-0-rebadge-en-hdmi-2-1-c-est-autorise-attention-a-ne-pas-vous-faire-pieger.html

Comment bien débuter avec le Terminal de macOS ?

 

 

Comment bien débuter avec le Terminal de macOS ?

Laurent Mancini
17 décembre 2021 à 16h03

Le système d’exploitation macOS dispose d’une application native nommée Terminal. Celle-ci permet de piloter l’ordinateur, au travers d’une interface textuelle, grâce à des lignes de commandes. Elle est héritée de l’environnement Unix originel, sur lequel sont basés de nombreux OS.

Quiconque s’intéresse un tant soit peu à l’informatique a déjà entendu le terme de « Terminal  ». On le retrouve d’ailleurs, sous la même dénomination, dans les OS Windows ou Linux . Le Terminal confère un gain de temps important. Il est ainsi possible de l’utiliser quotidiennement, avec des commandes basiques. Les utilisateurs avancés peuvent également faire appel à lui pour des tâches plus évoluées. Une fois découvert et pris en main, il devient rapidement indispensable. Le terminal offre un niveau de contrôle absolu sur votre machine. Il est donc essentiel de bien débuter avec cette application.

Comment ouvrir Terminal avec un Mac ?

Terminal est un utilitaire, il est accessible de plusieurs manières. Vous pouvez ainsi passer par le Finder (command+F), l’onglet Applications (shift+command+A), Utilitaires (shift+command+U) ou via le moteur de recherche Spotlight (command+espace). Si vous préférez passer par l’interface graphique, il suffit alors d’utiliser Launchpad (F4). Cet outil permet d’afficher, d’ouvrir et d’organiser les différentes applications installées sur l’ordinateur.

 

Une fois l’application Terminal lancée, il est possible de la conserver sur votre bureau, en faisant un clic droit, puis « Options » et enfin « Garder dans le dock ».

Ne soyez pas surpris par l’aspect rébarbatif de l’interface textuelle

Point de fioritures ici… Le Terminal de commande s’adresse aux pros et vise l’efficacité. Il n’est pas vraiment question d’ergonomie. Cette application ne cherche pas à favoriser « l’expérience utilisateur  ». 

Lors de l’ouverture de l’application, une fenêtre quasiment vide apparaît. Selon l’OS utilisé, un message peut vous mettre en alerte :

The default interactive shell is now zsh.

To update your account to use zsh, please run `chsh -s /bin/zsh`.

En effet, depuis macOS Catlina , zsh est le shell par défaut, au lieu de bash sur les OS antérieurs.

Mais qu’est-ce qu’un shell ?

Ce n’est rien d’autre que le terme anglais pour désigner l’interface système. Le shell représente la partie primaire de votre système d’exploitation. C’est de cette couche logicielle essentielle que découle le reste. Ainsi, on parle de commandes en ligne ou CLI (Commande Line Interface) pour le terminal et de commandes graphiques ou GUI (Graphical User Interface). 

Les utilisateurs novices, se contenteront de connaître ces différents termes. Pour une première prise en main du Terminal, il n’est pas forcément utile d’approfondir cet aspect technique. Les commandes basiques que nous évoquerons par la suite peuvent être utilisées sans crainte, quel que soit votre OS. Celles et ceux qui souhaitent en savoir plus sur le sujet, pourront se référer à cet article du support Apple .

L’usage du Terminal est-il risqué ?

Oui ! Il est impératif d’en avoir conscience. Comme nous l’avons indiqué plus haut, les lignes de commande agissent directement sur la couche primaire du système d’exploitation. Si elles permettent de gagner un temps considérable sur certaines tâches, elles peuvent aussi causer d’importants dégâts. Il est ainsi possible de générer des requêtes en boucle, appelées « bombes à fourche » qui satureront rapidement l’ordinateur. 

Des fichiers systèmes essentiels peuvent également être déplacés ou effacés par mégarde. Il s’agit donc d’être particulièrement attentif lors de manipulations sur le Terminal. Des utilisateurs confirmés peuvent aussi être piégés par malveillance. En effet, les commandes avancées étant parfois très longues, il est tentant de les copier/coller directement dans la console administrateur, sans toujours prendre soin de les relire attentivement.

Heureusement, les commandes administrateurs ne sont pas aisément accessibles. Celles-ci doivent être saisies en mode admin (aussi appelé utilisateur root ou super-utilisateur). Les fans des M. Robot ou Person of Interest seront sans doute familiarisés avec ces termes techniques.

Prise en main du Terminal sur macOS

Le Terminal utilise le thème par défaut de l’ordinateur. Si vous êtes gêné(e) par le fond blanc de la fenêtre du Terminal, il est possible d’en changer. Pour cela, il suffit d’utiliser le menu Shell de l’application, puis de choisir d’ouvrir un nouvel onglet. Vous pourrez alors choisir le thème qui vous conviendra le mieux. D’autres options ou fonctions avancées sont également disponibles et accessibles dans les préférences (command+,). La fenêtre peut être déplacée, agrandie ou réduite, à l’instar des autres applications.

 

Lorsque la fenêtre de travail s’ouvre, un curseur clignotant indique l’attente de commande. Une ligne de commande Terminal se comporte de différentes parties. Elle est exclusivement rédigée en anglais. Les commandes sont instantanément exécutées, dès que vous appuyez sur la touche Entrée. Il convient donc de les relire attentivement avant tout geste inconsidéré.

Les commandes basiques

De nombreuses commandes doivent être complétées par une indication précise. Celle-ci représente le fichier ou le dossier ciblé. Les commandes sont systématiquement séparées par un espace ou un tiret.

Par exemple, pour visualiser le contenu d’un dossier, on écrira :

ls [nom du dossier]

Si on souhaite déplacer un fichier vers un dossier, il faudra procéder de la même façon :

mv [nom du fichier origine] /home/Utilisateur/Bureau/[nom du dossier cible]

Une petite astuce mérite d’être signalée ici : pour éviter de taper l’intégralité du chemin souhaité, il est possible de glisser le fichier directement vers la fenêtre du Terminal. On peut aussi copier (command+C) le dossier ou le fichier voulu, puis le coller (command+V). En lançant le Terminal, on démarre la session en étant sur le répertoire de travail /[utilisateurs]/[nom de l’utilisateur].

Les chemins d'accès

Les chemins d’accès sont de forme absolue ou relative.

  • Un chemin absolu débute à la racine de notre disque dur. Il ne dépend pas du répertoire courant.
  • À l’inverse, un chemin relatif est défini par l’endroit à partir duquel nous naviguons. Il est symbolisé par « ./. »

Une application peut être ouverte à l’aide de la commande :

Open -a [nom de l’application]

La navigation entre les lignes se fait à l’aide des touches fléchées. Comme indiqué précédemment, un appui sur la touche Entrée déclenche l’ordre.

Naviguer dans les dossiers

Pour se déplacer au sein des différents dossiers et répertoires il faut utiliser la fonction cd. Ainsi, cd.. vous fait remonter d’un niveau, tandis que cd / vous fait remonter à la racine de l’arborescence. Attention, car les différentes lignes de commande agissent sur le répertoire courant… Vous êtes perdu(e) ? Pas de panique : la commande pwd vous indique où vous vous situez dans l’arborescence.

Ceci peut paraître un peu compliqué, mais une fois le principe saisi, vous gagnerez un temps considérable. En cas d’erreur les messages à caractère informatif « command not found », « no such file or directory exist » apparaîtront. Ils sont sans conséquence sur l’intégrité de votre système. Il vous suffira de ré-écrire votre ligne de commande, en veillant au respect des espaces, de la casse des caractères et des tirets. Il faudra aussi vérifier la conformité des ordres lancés et des chemins renseignés.

Certaines commandes déclencheront l’apparition d’un processus. Plusieurs lignes apparaîtront alors, avec parfois un pourcentage indiquant l’avancée de l’ordre donné. D’autres, au contraire, ne paraîtront avoir aucun impact. Une nouvelle ligne surgira, avec un curseur clignotant, indiquant l’attente d’une action de votre part. Pourtant, la commande aura bien été exécutée.

Les différents ordres disponibles correspondent en majorité à des abréviations anglaises. Vous trouvez ainsi par exemple les commandes mkdir pour Make Directory ou cd pour Change Directory.

Si vous souhaitez aller plus loin

Le Terminal donne directement accès aux entrailles de votre ordinateur. Il s’agit donc d’utiliser cet outil puissant avec précaution. Une fois aguerri(e) avec les commandes basiques, vous pourrez envisager d’exploiter tout son potentiel.

Vous pourrez intervenir sur votre réseau domestique ou écrire vos propres scripts pour automatiser certaines tâches. Il est aussi possible d’utiliser plus finement le Terminal.

Si vous utilisez la commande ls pour visualiser le contenu d’un dossier par exemple, il est possible de lui adjoindre des attributs complémentaires.

L’option -i permettra de visualiser les détails des fichiers, leurs tailles, protections éventuelles et de nombreuses autres informations.

L’option -a rendra visible les fichiers cachés.

Vous pourrez aussi créer de nouveaux répertoires en utilisant la commande

mkdir [nom du répertoire].


Plus de 1400 commandes sont aujourd’hui répertoriées. Il est d’ailleurs possible de les afficher sur un Terminal actif, en appuyant deux fois sur la touche escape (esc).

Les usages du Terminal n’ont quasiment aucune limite. On peut télécharger des fichiers depuis une url, modifier les paramètres et préférences systèmes ou supprimer des dossiers. 

C’est un outil puissant, qui se maîtrise petit à petit…

 

REF.:   https://www.clubic.com/pro/entreprises/apple/dossier-397719-comment-bien-debuter-avec-le-terminal-de-macos.html

Avec la 5G, le niveau d’exposition aux ondes est légèrement plus élevé qu’avec la 4G

 

 

Avec la 5G, le niveau d’exposition aux ondes est légèrement plus élevé qu’avec la 4G

L'ANFR a mené une étude pour tenter de comprendre si la 5G émettait plus d'ondes que la 4G. Les résultats viennent de sortir et montrent que l'exposition est équivalente à la 4G pour les bandes de basses fréquences. En ce qui concerne la bande 3,5 GHz, les résultats montrent que l’exposition augmente très légèrement.

À la demande de Cédric O, secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, l'Agence nationale des fréquences (l'ANFR) a mené une étude pour mesurer le niveau d'exposition aux ondes électromagnétiques avec la 5G. Les premiers résultats montrent que le niveau d'exposition augmente légèrement (16%) par rapport à la 4G, uniquement avec la bande de fréquences 3,5 GHz.

Une légère augmentation de l'exposition aux ondes

Les résultats de l'étude montrent une augmentation moyenne de 16% de l’exposition. À terme, l'ANFR estime que l'augmentation de l'exposition aux ondes électromagnétiques pourrait atteindre 20% dans les zones où la bande 3,5 GHz sera déployée. Cette campagne a été menée sur plus de 3000 mesures d’exposition du public aux ondes, entre 2020 et 2021.


Des mesures ont été prises à proximité de sites identifiés pour accueillir des antennes 5G, avant leur mise en service. Tandis que d'autres ont été prises au même endroit, après la mise en service de la 5G. Un moyen efficace de comparer le niveau d'exposition aux ondes électromagnétiques. Les experts de l'ANFR précisent que l'ensemble des bandes de fréquences utilisées actuellement en 5G ont été étudiées.

Alors que la consolidation du réseau 5G se poursuit en France, le secrétaire d’État chargé de la Transition numérique espère rassurer les français avec cette étude sur le niveau d'exposition aux ondes. Les bandes de fréquences 700 MHz, 2100 MHz et 3,5 GHz ont été testées. Les deux premières, considérées comme des bandes de basses fréquences, sont déjà utilisées par la la 3G et la 4G depuis plusieurs années. En revanche, la nouvelle bande de fréquences 3,5 GHz est au centre de l'attention. Elle n'est en service que depuis novembre 2020.

La bande 3,5 GHz est responsable de cette augmentation

À propos des bandes basses fréquences (700 MHz et 2100 MHz), l'étude montre que l'exposition du public aux ondes électromagnétiques reste parfaitement stable, malgré leur adaptation à la 5G. L'arrivée de cette nouvelle technologie n'a pas conduit à un changement majeur dans le niveau d'exposition.

En revanche, avec la bande de fréquences 3,5 GHz déployée exclusivement pour la 5G, l'ANFR affirme que l’exposition augmente très légèrement. L'Agence nationale des fréquences estime que la « contribution supplémentaire de cette nouvelle bande peut être évaluée à 0,11 V/m ». C'est très faible par rapport à la limite réglementaire, fixée à 61 V/m pour cette bande.

Toujours selon l'ANFR, cette bande de fréquences a une particularité qui pourrait expliquer cette légère différence d'exposition aux ondes. Elle est « équipée de nouvelles antennes à faisceaux orientables ». Ces faisceaux permettent de diriger les ondes vers les utilisateurs équipés de terminaux compatibles avec la 5G. Comme dans l'état actuel des choses, peu d'utilisateurs sont équipés, l'ANFR continuera de prendre des mesures pour s'assurer que l'exposition aux ondes n'augmente pas avec le développement du trafic.

 

REF.:   https://siecledigital.fr/2021/12/16/5g-ondes-4g-exposition/?utm_source=Newsletter+Siecle+Digital&utm_campaign=cb1df7633b-newsletter_quotidienne&utm_medium=email&utm_term=0_3b73bad11a-cb1df7633b-259741874

6 erreurs à éviter en matière de publicités Facebook

 

 

6 erreurs à éviter en matière de publicités Facebook

Pour booster vos conversions sans faire exploser votre budget, découvrez 6 erreurs à éviter lors de vos campagnes publicitaires sur Facebook.

Avec ses milliards d’utilisateurs, Facebook est devenu une plateforme publicitaire incontournable. Grâce à Facebook Ads, le puissant outil de ciblage et d’analyse du réseau social, une entreprise peut désormais créer une publicité en quelques clics et à moindre coût. Que ce soit pour promouvoir plus amplement sa marque auprès de sa cible, gagner en visibilité ou booster ses conversions, les publicités sur Facebook sont des alliées de taille.

Les intégrer à sa stratégie de social média marketing ne suffit pas pour autant. Pour exploiter un maximum leur potentiel, il convient de maîtriser parfaitement leur utilisation. Découvrez ainsi six erreurs à éviter lors de la création de vos campagnes publicitaires sur Facebook.


Publicités sur Facebook : 6 erreurs à ne pas commettre

Que vous lanciez votre activité ou qu’elle soit déjà bien établie, les social media ads de Facebook sont un moyen efficace de booster votre business. Pour ne pas se lancer les yeux fermés et réaliser quelques maladresses, il faut manier les rouages de cet outil désormais indispensable.

Ne pas définir des objectifs précis

Au moment de vous lancer dans les Facebook Ads, le premier facteur à déterminer est l’objectif de votre campagne. Il correspond à l’action que vous souhaitez voir les utilisateurs entreprendre lorsqu’ils voient votre publicité en ligne. La plateforme en propose une dizaine, divisées en trois catégories :

  • les objectifs de notoriété, qui visent à susciter de l’intérêt pour vos produits ou vos services ;
  • les objectifs de considération, incitant les internautes à s’intéresser à votre marque et à rechercher des informations dessus ;
  • les objectifs de conversion, encourageant les prospects à passer à l’achat.

Les résultats et la rentabilité de votre campagne dépendent de la précision à laquelle vous aurez choisi vos objectifs. Ces derniers évoluant au fil du développement de votre entreprise, il faudra continuellement les réadapter et les redéfinir.

Cibler une audience trop large ou trop restreint

Les Facebook Ads se distinguent par la puissance de leur ciblage. L’outil prend en compte plusieurs éléments, dont le positionnement géographique, la catégorie socioprofessionnelle, l’âge, le sexe, la langue parlée, les centres d’intérêt… Et de nombreux autres paramètres. Bien que ces derniers soient essentiels pour cibler correctement, il convient de les utiliser judicieusement. Visez une audience trop large ou restreinte vous fera passer à côté de celle-ci.

Une campagne faite pour toucher trop de monde n’intéressera que peu de personnes, car elle ne sera pas assez personnalisée. À l’inverse, viser un groupe limité risque de couper votre publicité à de nombreux prospects qui pourraient, pourtant, s’intéresser à votre marque.

Un mauvais ciblage signifie également des taux de conversion bas et un mauvais retour sur investissement de votre dépense publicitaire (ROAS), car le coût des Facebook Ads est aussi établi en fonction de la pertinence de vos campagnes.

Mal configurer son pixel Facebook

Trop souvent ignoré par les professionnels, le pixel Facebook est néanmoins l’élément clé de l’optimisation des publicités. Concrètement, c’est un bout de code JavaScript qui est placé sur chaque page de votre site web. Il permet non seulement de mesurer l’efficacité de vos publicités mises en place sur Facebook, mais également de savoir ce que font vos visiteurs sur votre site une fois qu’ils ont cliqué sur votre annonce. Il offre la possibilité de les traquer une fois qu’ils l'ont quitté votre site pour, dans le futur, faire du retargeting.

Une fois installé, le pixel Facebook se déclenche à chaque fois qu’une action est effectuée sur votre site internet, comme un achat. Le pixel reçoit alors ces actions, aussi appelés « événements », consultables dans le Gestionnaire d’évènements de la page de votre pixel Facebook. Pour en tirer profit, il convient de bien configurer ces événements avec l’outil dédié sur la plateforme. Dans le cas contraire, votre ciblage sera impacté et pourra difficilement être amélioré.

Ne pas respecter les règles imposées pour les Facebook Ads

Pour voir votre campagne validée et diffusée sur Facebook, vous devez respecter les règles imposées pour la régie publicitaire de la plateforme. Elles sont nombreuses et portent sur les contenus interdits, les contenus restreints, les publicités vidéo, mais pas seulement. Afin d’être approuvée, votre annonce doit aussi respecter le cadre réglementaire lié au texte, aux images, au positionnement, aux images choisies et au contenu de la page de destination associée à l’annonce. Si votre publicité ne respecte pas ces éléments, elle sera désapprouvée. Il faudra alors effectuer des améliorations et des corrections puis la soumettre à nouveau.

Oublier d'optimiser ses pages de destination

Lors de l’élaboration de vos Facebook Ads, un détail ne doit pas être négligé : l’optimisation de vos pages de destination. Dans le cas contraire, le visiteur intéressé se contentera de cliquer sur la publicité qui apparaît dans son feed et n’ira pas au bout de l’objectif souhaité.

En ce sens, il est primordial d’optimiser le parcours du prospect en proposant une page de destination qui concorde avec la publicité qui l’a attiré et qui correspond exactement à l’annonce mise en avant. Si la page vers laquelle vous le redirigez est inadaptée, l’internaute risque d’être frustré et votre réputation pourrait être entachée. Cet élément faisant partie du cadre imposé pour les Facebook Ads, il est essentiel de respecter cette règle si vous ne voulez pas voir votre publicité rejetée.

Ne pas analyser ses résultats

Enfin, comme pour toutes campagnes publicitaires, vous devez constamment analyser leur impact et leurs retombées. L’outil de Facebook met à votre disposition plusieurs métriques qui vous permettront d’optimiser vos annonces en temps réel. Il donne accès à de nombreux rapports concernant la configuration de votre publicité, sa diffusion, son engagement, ses performances ou encore son taux de conversion. Autant d’éléments qui vous seront utiles pour mettre en place correctement vos prochaines campagnes.

Facebook Ads est un outil redoutable qui sera utile autant pour accroître votre visibilité, que pour attirer de nouveaux prospects et les convertir. En connaissant les erreurs les plus fréquemment commises, vous éviterez de tomber dans certains pièges et vous pourrez utiliser efficacement les leviers de la plateforme, qui seront utiles à votre stratégie social media marketing.

Si vous souhaitez en savoir plus sur nos pôles de compétence au sein de l’agence de Siècle Digital, n’hésitez pas à nous contacter à travers le formulaire de notre site shinemedia.fr

 

REF.:   https://siecledigital.fr/2021/12/16/6-erreurs-a-eviter-publicites-facebook/?utm_source=Newsletter+Siecle+Digital&utm_campaign=cb1df7633b-newsletter_quotidienne&utm_medium=email&utm_term=0_3b73bad11a-cb1df7633b-259741874

Apple supprime son outil controversé pour repérer les contenus pédopornographiques

 

 

Apple supprime son outil controversé pour repérer les contenus pédopornographiques

Pointé du doigt par les ONG et les militants pour la vie privée, Apple semble avoir retiré de son site web toutes les mentions sur les deux fonctionnalités pour protéger les enfants des contenus pornographiques et pour repérer les contenus pédopornographiques. Les défenseurs de la vie privée craignaient une extension de l’utilisation de ces fonctionnalités.
 

Dans le courant de l'été, Apple a dévoilé deux nouvelles fonctionnalités pour protéger les enfants des contenus pornographiques et pour repérer les contenus pédopornographiques. Rapidement, plusieurs ONG se sont inquiétées des dérives potentielles de ces outils. Depuis quelques jours, MacRumors a constaté qu'Apple avait discrètement supprimé toutes les informations faisant référence à ce projet.

Un outil pour détecter les contenus pédopornographiques sur les appareils Apple ?

C'était un projet très controversé. Les militants pour la vie privée ont rapidement fait connaître leurs inquiétudes à ce sujet. Ces derniers craignaient logiquement une extension des usages de ces nouveaux outils. Si Apple peut détecter les contenus pédopornographiques, Apple peut tout détecter dans nos messages... Les ONG s'inquiétaient notamment de l'extension de l’utilisation de ces fonctionnalités, pour repérer des dissidents politiques ou pour réprimer l’expression sexuelle.



Le principe de cette fonctionnalité était de faire un scan des photos des utilisateurs Apple, afin de repérer d'éventuels contenus pédopornographiques. Cette problématique revient à se poser cette fameuse question : « la fin justifie-t-elle les moyens ? ». En effet, si la mission est évidemment louable, les moyens mis à disposition sont particulièrement controversés. De quoi pousser la marque à la pomme à retirer toutes les mentions sur ce projet de son site web.

La firme de Cupertino fait marche arrière

Avec des fonctionnalités basées sur le machine learning, ces deux outils auraient pu être en mesure de réaliser n'importe quelle analyse depuis les terminaux Apple. Cet été, l’Electronic Frontier Foundation déclarait que : « tout ce qu'il faudrait pour élargir la fine porte dérobée qu'Apple est en train de construire, c'est une expansion des paramètres de machine learning pour rechercher d'autres types de contenu, ou une modification des paramètres de configuration pour analyser, non seulement les comptes des enfants, mais aussi ceux de n'importe qui ».

À la suite de ces nombreuses critiques, Apple a tenté de justifier le retard sur le déploiement des deux fonctionnalités pour protéger les enfants des contenus pornographiques et pour repérer les contenus pédopornographiques, par « l'apport de nouvelles améliorations ». Finalement, la firme de Cupertino semble avoir fait marche arrière. Apple reviendra certainement avec une proposition similaire dans les prochains mois, mais cette fois-ci il faudra des garanties plus solides pour rassurer les militants pour la vie privée et les ONG.

 

REF.:   https://siecledigital.fr/2021/12/16/apple-supprime-son-outil-controverse-pour-reperer-les-contenus-pedopornographiques/?utm_source=Newsletter+Siecle+Digital&utm_campaign=cb1df7633b-newsletter_quotidienne&utm_medium=email&utm_term=0_3b73bad11a-cb1df7633b-259741874

mardi 4 janvier 2022

iOS 15.2 : Comment vérifier quelles applications vous surveillent ?

 

 

iOS 15.2 : Comment vérifier quelles applications vous surveillent ?

Pratique : Vous vous êtes déjà demandé à quelle fréquence certaines applications vérifient votre localisation ou accèdent à votre micro ? Avec la nouvelle version d'iOS, il est désormais possible de le savoir.

Apple a publié cette semaine iOS 15.2 et iPadOS 15.2. Ces mises apportent notamment la possibilité de désigner un "contact légataire" qui héritera de votre compte iCloud après votre décès, ainsi qu'une nouvelle offre, Apple Music Voice, conçue pour être utilisée avec Siri.

Parmi les nouveautés, il y a aussi la nouvelle fonction "Rapport de confidentialité des apps". Une fois activée, elle vous permet de voir quelle application accès à vos données privées, et à quelle fréquence. Nous vous en parlions déjà au lancement d'iOS 15, en septembre dernier.

Voici donc le mode d'emploi pour activer la nouvelle fonctionnalité de confidentialité de votre iPhone ou votre iPad, et comment exploiter les informations qu'elle fournit.

Activer le rapport sur la confidentialité des apps

Avant tout, il faut mettre à jour votre appareil vers iOS 15.2 ou iPadOS 15.2. Pour rappel, il est toujours bon de sauvegarder vos données avant de mettre à jour votre appareil. Pour installer la nouvelle version, allez dans Réglages > Général > Mise à jour logicielle et cliquez sur Télécharger et installer.

Une fois votre appareil mis à jour, retournez dans l'application Réglages, puis allez dans Confidentialité > Rapport de confidentialité des apps. Si vous avez déjà activé cette option, vous n'avez rien à faire. Sinon, vous pourrez lire une brève présentation de la fonctionnalité.

Si la fonction n'est pas encore activée, cliquez sur Activer le rapport de confidentialité des apps. Il vous faudra ensuite patienter. En effet, les applications devront accéder à vos données avant que ce rapport puisse vous fournir des informations.

Afficher et comprendre le rapport de confidentialité des apps

Pour accéder au rapport, retournez dans Réglages > Confidentialité > Rapport de confidentialité des apps.

Si vous avez activé cette fonctionnalité et utilisé votre appareil pendant un certain temps, alors vous verrez que des applications ont certainement accédé à vos données, et le rapport s'est rempli d'informations.

L'écran consacré au rapport de confidentialité des apps se divise en quatre catégories : "Accès aux données et aux capteurs", "Activité réseau des apps", "Activité réseau des sites web", et "Domaines les plus contactés".

Accès aux données et aux capteurs



Sélectionnez une application ou appuyez sur Tout afficher sous la section Accès aux données et aux capteurs. Chaque application qui a accédé à vos données privées au cours de la semaine dernière s'affiche ici. Cliquez sur le nom d'une application pour afficher plus d'informations sur le(s) type(s) de données qu'elle utilise, puis tapez sur la catégorie pour afficher une chronologie complète de la fréquence d'utilisation.

Par exemple, l'application Localiser (Find My), sur mon iPhone, a accédé à ma localisation et à mes contacts au cours de la semaine dernière. Un usage attendu. Ce qui m'a surpris, c'est que l'application n'a vérifié ma localisation que quelques fois au cours de la semaine, elle ne la surveille pas en permanence. Je suppose que l'application a accédé à ma position uniquement lorsqu'une personne de mon réseau (Famille ou Amis) a ouvert l'application sur son téléphone. Ainsi, les serveurs d'Apple ont été contactés afin d'afficher ma position sur leur application.

En haut de l'écran, vous pouvez modifier l'organisation de la liste. Par défaut, vous voyez les applications qui ont utilisé vos données le plus récemment. Mais il est possible de classer la liste par ordre alphabétique.

A ma grande surprise, l'application Mail accède fréquemment aux informations de mes contacts. Je suppose que cela se produit chaque fois que j'ouvre l'application et/ou qu'un e-mail arrive, afin que l'application puisse afficher le nom du contact et les informations appropriés. Mais, quand même, c'est révélateur.

Activité réseau des apps



Dans la section Activité réseau des apps, vous trouverez une liste d'applications et les domaines et l'activité réseau similaires de chaque application au cours de la semaine dernière. L'application Facebook a eu la plus grande activité réseau sur mon téléphone au cours de la semaine dernière. Son premier domaine contacté est inappcheck.itunes.apple.com. Une rapide recherche sur Google me donne l'impression que ce domaine pourrait être utilisé par Apple pour vérifier les achats in-app, ou être comme une forme de vérification pour les développeurs d'applications.

Difficile à dire, et j'aimerais qu'Apple fournisse des informations sur les domaines couramment utilisés, en particulier ceux qu'elle possède. Je sais que ce domaine est couramment utilisé, car si vous tapez dessus, une liste d'autres applications qui ont également contacté ce domaine s'affiche. La liste sur mon iPhone contient la plupart des applications que j'utilise régulièrement.

Activité réseau des sites web

Chaque fois que vous visitez un site web, celui-ci contacte d'autres domaines pour diffuser des publicités ou télécharger des images et des vidéos dont il a besoin pour afficher une page web. Apple suit désormais les domaines qu'un site web contacte chaque fois que vous le visitez et en fournit une liste.

Le domaine numéro un que les sites web ont contacté au cours de mon utilisation normale est mask.iCloud.com, qui est encore une fois un domaine qui semble lié à Apple. Une autre recherche sur Google me fait penser que cela a quelque chose à voir avec la fonction Relais privé (VPN) d'Apple, actuellement disponible en version bêta. Cependant, j'ai désactivé cette fonction sur tous mes appareils et seuls The New York Times, Reddit et Safari sont répertoriés comme ayant contacté le même domaine. Je pense que chaque application ou site web utiliserait cette URL si elle était active.

Domaines les plus contactés

Enfin, la section Domaines les plus contactés est une liste des domaines auxquels votre téléphone ou votre tablette a accédé au cours de la semaine dernière. Appuyez sur un domaine pour voir une liste d'applications et la dernière fois qu'elles ont contacté cette URL.

Une fois encore, certaines des URL répertoriées sur mon iPhone semblent être liées à Apple, tandis que d'autres semblent être liées à la diffusion de publicités de Google ou, à tout le moins, à la collecte de données sur les utilisateurs.

Il serait bénéfique pour l'utilisateur final qu'Apple ajoute un contexte supplémentaire sur les domaines connus.

La section du rapport sur la confidentialité des applications que j'utiliserai le plus sera de loin celle sur les données et les capteurs. Il sera facile de voir si Facebook écoute vraiment les conversations pour mieux diffuser des publicités (comme le prétendent les rumeurs, mais sans pouvoir le prouver, depuis des années).

Source : ZDNet.com

Comment une attaque XSS est-elle exécutée ?

 

 Comment une attaque XSS est-elle exécutée ?

 Voici un scénario, disons que vous êtes un utilisateur sur un site Web de médias sociaux populaire. Sur ce site Web, sous « mon compte ».. il y a un formulaire Web qui peut changer votre adresse e-mail et votre mot de passe. 

Si vous êtes toujours connecté à ce site Web (comme la plupart des gens le sont sur SM), et que ce site Web n'a aucune protection CSRF, vous êtes vulnérable.

 En tant qu'attaquant, je pourrais dupliquer ce formulaire (je suis également un utilisateur du site, j'y ai donc accès). Je copie ce formulaire sur mon propre site Web et remplis automatiquement un e-mail et un mot de passe à envoyer.

 Je vous envoie ensuite un lien vers lequel, lorsque vous cliquez pour accéder à mon «faux» site Web, ce site Web enverra automatiquement le formulaire que j'ai copié et vous renverra « retour » au site Web de réseau social d'origine

Votre e-mail et le mot de passe est maintenant remplacé par ce que je l'ai défini.

 Il y a beaucoup plus derrière cela, mais c'est la façon simple de l'expliquer. 

 Une autre façon est, pour moi, de vous demander de saisir du JavaScript dans votre console, qui fera également ce que je viens de décrire ci-dessus (remplissage automatique des formulaires).

 

Alors l'extention de fureteur NoScript est pratique contre cela. D'autres rajouteront Browser guard malwarebyte,cookies auto-delete,et même adBlocker ultimate pour armer votre navigateur ferait l'affaire.

 

REF.: Quora.com

Quelles astuces et hacks informatiques sont utiles à connaître ? CMD,VPN,Root

Quelles astuces et hacks informatiques sont utiles à connaître ? CMD,VPN,Root


OkorohWorld Piratage éthique
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posté par
George Okoroh
 
4 décembre

Samreen Bégum
A étudié en Ingénierie (Diplômé 2019)
Réponse originale : Quelles astuces et astuces informatiques sont utiles à connaître ?

Voici mes astuces préférées

    La touche de commande


Voici l'affaire - l'utilisation de la ligne de commande vous fera gagner beaucoup de temps. Je n'y croyais pas jusqu'à ce que je commence à l'utiliser pour la plupart des opérations.

En un mot : vous pouvez exécuter des commandes assez difficiles qui nécessitent généralement de naviguer entre plusieurs écrans et de faire un tas de clics avec une seule ligne de code de commande.

Voici comment cela fonctionne pour les débutants :

    Ouvrez une application de terminal (Cygwin pour Windows ou Terminal sur Mac). Maintenant, vous pouvez voir tous vos dossiers sur votre disque dur et naviguer entre eux.
    Commencez par apprendre quelques raccourcis de base

 http://lifehacker.com/a-command-line-primer-for-beginners-5633909

pour alimenter différentes actions, par ex. trouver des fichiers cachés, afficher tous les types de fichiers, exécuter des scripts simples, etc. Tous ces éléments sont très pratiques pour naviguer dans des piles de données.
Avancer vers des commandes plus compliquées http://lifehacker.com/become-a-command-line-ninja-with-these-time-saving-shor-5743814

    et apprenez à créer les vôtres.
    Profitez du temps libre supplémentaire dont vous disposez maintenant.

2. Apprenez à maîtriser la clé VPN

Pour les utilisateurs généraux, c'est un excellent moyen de protéger votre vie privée ; masquez votre emplacement et votre adresse IP, accédez à du contenu géo-restreint et plus encore.

Alors pourquoi avez-vous besoin d'utiliser un VPN ?

S'il vous arrive de voyager beaucoup (et à long terme), vous serez de temps en temps confronté au dilemme de faire un gros achat via un réseau non sécurisé (le Wi-Fi public dans les cafés, les hôtels et les aéroports entre tous dans cette catégorie) ou non. Avec l'augmentation de la cybercriminalité et des violations de données, l'ajout d'une couche de sécurité supplémentaire lors de la saisie des données de votre carte de crédit et de l'autorisation d'un achat semble être une sage décision.

Si vous aimez télécharger des contenus sur Internet légalement ou non, un VPN masque votre emplacement et ajoute la sécurité nécessaire, en particulier. lorsque vous utilisez des téléchargeurs comme BitTorrent. Payer des amendes ou aller en justice vous coûterait beaucoup plus cher.

3. Comment obtenir un accès administrateur à n'importe quel ordinateur Windows

Étape 1 : forcez votre ordinateur en mode « Lancer la réparation du démarrage ». Cela pourrait être fait en appuyant sur le bouton d'alimentation lorsqu'il n'était pas complètement chargé.

Étape 2 : Maintenant, lorsque vous voyez la fenêtre suggérant de restaurer votre ordinateur avec la restauration du système, cliquez sur annuler. Vous devriez obtenir cette fenêtre suivante :

Cliquez maintenant sur « Afficher les détails du problème ». Cliquez sur le lien tout en bas, qui vous redirigera vers le Bloc-notes.

Étape 3 : Allez dans Fichier/Ouvrir et double-cliquez sur votre « Disque local ».

Étape 4 : Celui-ci est vraiment important ! Accédez à Windows/System32. Sous "Fichiers de type", sélectionnez "Tous les fichiers". Ensuite, recherchez "cmd" et créez une copie de ce fichier dans le même dossier (Ctrl-C, Ctrl-V). Nommez-le différemment, par ex. cmd-copie1.

Étape 5 : Dans le même dossier, recherchez le fichier « sethc » et renommez-le en « sethc 1 ».

Étape 6 : Maintenant, renommez votre « cmd-copy1 » en « sethc ». Fermez le bloc-notes et appuyez sur « Terminer » pour redémarrer votre ordinateur.

Étape 7 : Une fois que vous êtes à nouveau sur l'écran de connexion, appuyez 5 fois sur « Shift » pour ouvrir l'invite de commande.

Étape 8 : Vous devez maintenant connaître le nom du compte administrateur. Au cas où vous le sauriez, génial ! Sinon… eh bien, il y a aussi une astuce pour ça. Tapez "net localgroup Administrators" dans la commande et recherchez les administrateurs qui n'ont pas votre domaine work/school/etc devant, suivi de "/".

Étape 9 : Maintenant, modifions le mot de passe de ce compte. Saisissez « » net user <ACCOUNT NAME HERE> * » et saisissez deux fois le nouveau mot de passe. NB : Vous ne verrez pas ce que vous tapez, mais les frappes sont enregistrées

Voila ! Vous pouvez maintenant vous connecter à votre compte avec un nouveau mot de passe !

Source : Trois grands hacks informatiques qui vous simplifient la vie https://www.quora.com/

 https://hackerspace.kinja.com/three-great-computer-hacks-that-make-your-life-easier-1750903215

AV1, H.264, HEVC, H.265,H266, ProRes, VP9 : tout savoir sur les codecs vidéo

 

 

AV1, H.264, HEVC, H.265,H266, ProRes, VP9 : tout savoir sur les codecs vidéo

Gabriel Manceau
Spécialiste Smartphone
17 décembre 2021 à 10h22

 

Les codecs vidéo jouent un rôle très important dans notre quotidien. Vous en doutez ? Voilà un exemple qui devrait vous parler : vous vous installez dans votre canapé pour regarder Netflix ou Disney+ . Avant de diffuser la moindre image, les services de streaming vidéo utilisent un codec pour réduire la taille d'un fichier vidéo avant de le diffuser sur Internet via un processus que l'on appelle l'encodage vidéo. C'est grâce à ce procédé que Netflix parvient à diffuser plus de 450 000 heures de contenu chaque minute !

L'importance des codecs vidéo au quotidien

Les codecs vidéo ne servent pas qu'à regarder des contenus pour nous divertir. C'est également grâce à eux que vous pouvez avoir une réunion sur Zoom ou Microsoft Teams depuis votre smartphone, même avec une bande passante limitée. Lorsque vous partagez un fichier multimédia sur WhatsApp , Facebook ou Twitter , celui-ci doit être réencodé dans une taille plus petite.

Mais en quoi consiste exactement l'encodage vidéo ? De quoi s'agit-il et comment fonctionne-t-il ? Quels sont les meilleurs codecs ? Vos appareils les supportent-ils ? Pour y voir plus clair (et briller en société), suivez le guide !

Qu'est-ce que l'encodage vidéo ?

Quand nous parlons d'encodage vidéo, nous faisons référence au processus de conversion d'une vidéo brute dans un format numérique compatible avec de nombreux appareils. À quel point sont-elles compressées ? Il s'agit ici de vidéos de plusieurs gigaoctets qui ne pèsent après conversion plus que quelques centaines de mégaoctets. Ce passage essentiel, notamment pour la diffusion en direct, leur permet d'être livrées beaucoup plus rapidement.

L'encodage vidéo peut être fait aussi bien dans un navigateur web que dans une application mobile, un logiciel ou un appareil dédié.

Ces encodeurs utilisent donc des codecs audio et vidéo qui appliquent des algorithmes afin de réduire la taille d'une vidéo avant qu'elle soit livrée. Pour résumer : l'encodage est donc un processus, tandis que les codecs sont le moyen de le faire.

Un codec vidéo, c'est quoi ?

Vous l'avez compris, les distributeurs de contenu utilisent une technologie de compression vidéo appelée codecs pour pouvoir stocker et diffuser plus facilement ces fichiers volumineux. Si l'on reprend notre exemple du streaming vidéo, les codecs utilisent une compression avec pertes.

Les codecs sont conçus pour conserver ou améliorer la qualité de l'image tout en réduisant la taille des fichiers.

En effet, les données « inutiles » sont supprimées pour que la vidéo soit transmise plus rapidement. Ensuite, cette même vidéo est décompressée pour la visualisation.

Comment fonctionne un codec vidéo ?

Vous vous en doutez, les codecs utilisent des algorithmes de compression complexes. Ces algorithmes évoluent pour optimiser et améliorer la compression. Par exemple, pourquoi ne pas stocker uniquement les informations relatives aux changements entre une image et la suivante, plutôt que de stocker les images entières ? De cette manière, une scène statique pourra être compressée plus efficacement en ne prenant en compte que les objets en mouvement, sans toucher à l'arrière-plan.

Les algorithmes de compensation peuvent également améliorer la compression en prédisant l'endroit où va se trouver un pixel dans les images suivantes. Des informations sont bien sûr perdues lors de la compression, mais l'objectif reste d'avoir une image d'une qualité acceptable (c'est aussi une question de perception) pour une fraction de sa taille originale.

Les conteneurs vidéo : mp4, mov, wmv, etc.

Une fois compressés, les composants d'un flux sont placés dans un format de fichier qui contient le codec vidéo, le codec audio, les sous-titres et l'ensemble des métadonnées. Ces formats de fichiers sont appelés conteneurs. Les plus connus ? .mp4, .wmv, .ts et .mov.


La plupart du temps, ces conteneurs acceptent plusieurs types de codecs. En revanche, toutes les plateformes de lecture n'acceptent pas tous les conteneurs et codecs. C'est la raison pour laquelle l'encodage est fait dans plusieurs formats de fichiers, afin d'être diffusé sur le plus d'appareils possible.

L'exemple le plus commun est sûrement celui d'un fichier .mov qui peut contenir exactement les mêmes codecs et données qu'un .wmv. La différence ? Le .mov ne pourra être lu que sur le logiciel QuickTime d'Apple . Le .wmv pourra quant à lui être visionné sur le lecteur Windows Media de Microsoft.

Les principaux codecs vidéo pour le streaming

Cela ne vous a pas échappé, nous regardons des vidéos sur Internet grâce à différents appareils qui nécessitent l'encodage des vidéos dans différents codecs. Il existe bien sûr des codecs de nouvelle génération qui améliorent l'efficacité et la qualité de l'encodage. Mais les codecs « hérités » continuent d'être utilisés pour permettre la lecture de vidéos sur des machines plus anciennes.


Encore une fois, le meilleur exemple est sans doute celui de Netflix. Le service de streaming en ligne utilise encore toute une boîte à outils de codecs, des plus modernes aux plus anciens. L'objectif est bien sûr de pouvoir continuer de diffuser ses contenus sur un maximum d'appareils. Faisons maintenant un tour d'horizon des meilleurs codecs vidéo disponibles sur le marché.

H.264/AVC

Pour mettre les choses au clair tout de suite, les termes « H.264 » et AVC désignent le même codec. Pourquoi ? Car le codec a été normalisé à la fois par l'Union Internationale des Télécommunications (ITU en anglais), mais également par le Groupe d'Experts en Images Animées (MPEG en anglais). Il a donc deux petits noms, comme le H.265/HEVC et le H.266/VVC, sur lesquels nous revenons plus bas.

Revenons au H.264 (AVC). Ce codec est l'un des plus anciens. Il est également le plus répandu sur le marché grâce à sa compatibilité avec presque tous les appareils disponibles : smartphones, Smart TV, navigateur, etc. Il est également utilisé pour le streaming et sur les disques Blu-Ray. On le retrouve souvent dans les conteneurs vidéos .mp4 et .mov, pour ne citer qu'eux.

Le H.264 n'est malheureusement pas adapté aux contenus vidéo 4K ou HDR.

Il demeure néanmoins incontournable, notamment grâce à sa puissance de traitement et à sa vitesse d'encodage qui lui permettent d'être utilisé dans les applications à faible latence, le tout avec un coût très faible par rapport aux autres codecs.

H.265/HEVC

Le H.265, également appelé HEVC, a été créé pour succéder au H.264. Cette évolution logique vient améliorer l'efficacité de la compression et prend en charge la résolution 4K et 8K. Les fichiers générés par le H.265 sont également plus petits, ce qui permet diminuer la bande passante, étape nécessaire pour la visualisation des flux. Bref, il s'agit d'une solution particulièrement adaptée pour le streaming en haute définition.

Pourtant, on estime à seulement 10 % les fichiers encodés en H.265. Cela s'explique par les incertitudes qui existent sur le montant des redevances que devront payer les distributeurs de contenus utilisant ce codec. Un scepticisme auquel il faut ajouter un manque de compatibilité pour la lecture via les navigateurs web.

L'une des conséquences a été la création du codec AV1 par l'Alliance Open Media. En effet, les leaders de l'industrie n'avaient aucun intérêt à ajouter la prise en charge d'un codec onéreux à Firefox , Chrome ou Edge . Aujourd'hui, seulement 18 % de navigateurs web acceptent les vidéos encodées en H.265. Le principal avantage de ce codec face à la concurrence est la prise en charge presque universelle de la 4K HDR sur les téléviseurs connectés.

AV1

Comme nous l'avons évoqué précédemment, le codec AV1 a été créé car certains acteurs du marché étaient frustrés de devoir payer des redevances pour le H.265. Ainsi, Google, Microsoft, Amazon, Netflix, Mozilla et Cisco ont formé l'Alliance for Open Media. Apple a ensuite rejoint le groupe en janvier 2018. L'objectif ? Avoir une alternative libre de droit : le AV1. Selon ses créateurs, ce codec est 30 % plus efficace que le H.265. Ces affirmations restent cependant à prouver par des études indépendantes.

Tout n'est pas rose pour autant dans le petit monde de l'AV1. En effet, le codec a encore des problèmes d'implémentations. Les produits Apple eux-mêmes ne prennent pas encore en charge ce codec. Il faut un certain temps avant que ses capacités de décodage soient intégrées à grande échelle. Cela s'explique notamment par le temps d'encodage plus long que demande l'AV1, ce qui a un coût.

Ainsi, le coût d'encodage accru ne sera pas facilement récupérable sous forme d'économie de bande passante, y compris pour des vidéos de plusieurs millions de vues sur YouTube, par exemple. Le codec AV1 a beau être open source et performant, son coût d'encodage élevé vient freiner son adoption massive.

VP9

Puisque que l'on parle d'alternative open source, parlons du VP9. Ce codec, créé par Google en 2013, est également libre de droits. Au même titre que l'AV1, il vient se positionner comme une alternative au H.265/HEVC. Il fonctionne à peu près de la même manière que lui, ce qui le rend particulièrement efficace pour l'encodage de vidéos en 4K, notamment sur YouTube.

Il est également pris en charge par tous les téléphones Android , les appareils iOS récents, mais aussi Chrome, Safari et Mozilla. Netflix l'utilise également pour certains contenus. Cette adoption de masse positionne le VP9 juste derrière le H.264/AVC en matière de compatibilité avec les navigateurs. Pour l'instant, le VP9 reste donc une meilleure alternative que l'AV1, grâce à sa compatibilité avec un plus grand nombre d'appareils.

H.266/VVC

C'est le dernier-né des codecs vidéo de notre comparatif. Finalisé en 2020, le H.266 a été créé pour succéder logiquement aux H.264 et H.265. Cependant, il pose les mêmes problèmes de redevance. Le H.264 est très clair sur le montant de la redevance, ce qui a permis d'en faire le codec vidéo le plus utilisé au monde. En revanche, ses successeurs restent toujours aussi opaques sur le sujet.

Techniquement, les développeurs du H.266/VVC ont fait de gros progrès pour économiser de la bande passante. Mais c'est loin d'être le seul critère à prendre en compte pour savoir si le codec sera massivement adopté ou non. Très récente, la technologie H.266 ne sera prise en compte par les éditeurs qu'à partir de 2022. « Wait and see », donc.

Compatiblité des codecsNavigateurMobileTéléviseurs connectés
H.264TousTousTous
VP9TousAndroid, iOSLa plupart
HEVCTrès peuAndroid, iOSTous
AV1Chrome, Firefox, Edge, OpéraAndroidTrès peu

Apple ProRes

Le codec vidéo ProRes d'Apple est un peu spécial, dans la mesure où il a été conçu presque exclusivement pour l'édition vidéo professionnelle. Ainsi, ProRes propose un niveau de compression inférieur, mais conserve également plus d'informations brutes. L'objectif d'Apple ? Faciliter le travail lors de la post-production, sur l'étalonnage des couleurs par exemple.

Selon Apple, une vidéo d'une heure en 4K 30 i/s encodée en ProRes pèse environ 280 Go. Vous comprenez maintenant pourquoi ce format n'est presque jamais utilisé pour diffuser du contenu. Ce n'est pas pour rien qu'Apple ne vous laisse enregistrer du 4K ProRes qu'à partir d'une certaine capacité de stockage sur ses iPhone 13 . En effet, les processeurs M1 Pro et M1 Max d'Apple sont capables d'accélérer le traitement des fichiers ProRes.

Codecs vidéo : comment en profiter ?


La présence d'un matériel dédié dans certains appareils peut grandement améliorer l'encodage et le décodage d'une vidéo. Ainsi, nos smartphones, TV connectées, consoles de jeux ou ordinateurs prennent tous en charge un certain nombre de codecs au niveau matériel. Un point crucial pour pouvoir consommer des vidéos rapidement sans décharger rapidement votre batterie.

Si vous n'arrivez pas à lire certains types de vidéos sur vos appareils, vérifiez le format de la vidéo et les codecs nécessaires en utilisant par exemple l'application MediaInfo. Sur votre téléphone Android, vous pouvez utiliser l'application AIDA64 pour Android ou iOS afin de vérifier la prise en charge des codecs audio et vidéo sur votre appareil.

Certaines applications tierces comme VLC proposent de lire des vidéos via un décodage logiciel, sans utiliser l'accélération matérielle de votre appareil. Cela peut être une bonne alternative, mais peut également entraîner une chauffe de votre téléphone ou de votre tablette ainsi qu'une consommation importante de la batterie.

 

REF.:   https://www.clubic.com/television-tv/video-streaming/dossier-397395-av1-vp9-h-264-hevc-h-256-prores-tout-savoir-sur-les-codecs-video.html