Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

Aucun message portant le libellé Hôpital. Afficher tous les messages
Aucun message portant le libellé Hôpital. Afficher tous les messages

mercredi 18 février 2015

Les voleurs sont nombreux a l'Hôpital Lakeshore ?

L'Hôpital général du Lakeshore est un hôpital situé à Pointe-Claire, sur l'Île de Montréal.
L'hôpital compte 1 200 employés et 257 lits1. Il dessert une population estimée à 377 000 personnes dans l'Ouest-de-l'Île.

Lakeshore General Hospital(seulement 901 personnes aiment ça,......on le savait ça )
Administrative Centre
160 Stillview Avenue
Pointe-Claire, Québec
H9R 2Y2
514-630-2225  

C'est l'endroit a Montréal ou te fait voler tes dentier pendant que tu baille ;-)
Quand tu vois que les patients se font voler tout leurs linges,même leurs manteaux d'hiver , il y a un problême,....................surtout si le préposé accompagnateur se fait voler ses souliers dans son sac a poigné !

Il a fallu un certain temps ,pour filmer tout ceci et le montrer aux personnes intéressées ,LOL !
C'est sûr que personnes n'est responsable des vols a l'Hôpital ,mais les voleurs sont surtout le personnel de l'Hôpital.
Le premier suspect rencontré est le personnel de la maintenance qui se promène avec son chariot et moppe.Il n'a qu'a mettre les choses a voler dans un deuxième sac noir ,et en mettant les ordures qu'il ramasse dans celui du dessus,rien ne paraît.C'est le reflet de la pauvreté de son pays natal surement,surtout si le gars n'a que 30 heures semaine et se retrouve bompé par d'autres employés en manque d'heure.

Le deuxième employé suspect est au poste des l'infirmières,eux aussi ne collabore pas beaucoup,si tu leur dit je peut-tu aller avec toi voir les cases des employés pour voir si le manteau de ma cliente est la !Elles vous répondent NON,..............c'est réserver aux employés de Lakeshore et ils ont déja fouillées a votre place , évidemment ! Mais se faire voler ses effets personnels ,alors que l'on n'est pas malade et que l'on ne quitte que pour aller faire pipi,en avisant le poste des infirmières,........c'est fort !

Le troisième et dernier suspect,la clientèle pseudo-psychiatrique de l'hôpital ? Il y a beaucoup de pauvre et de psychiatrique dans ce secteur,ça va de paire avec la pauvreté , il faut vivre avec !
Alors au lieux de donner 11$ a enfant soleil,un pauvre a prix des running tout troués,mais moi il sont neuf de chez walmart ! mes idoles sont les USA ,pas les canadiens pea soup !



Source.: une fois Ct1SchizoPointcon,

dimanche 12 octobre 2014

Clowns thérapeutiques: dr Clown,Jovia,..............le Dr Patch Adam ?



Le rire fait du bien. Comme dans le film du Dr Patch adam!
C’est pour cette raison que de plus en plus d’hôpitaux et d’établissements font appel au service des clowns thérapeutiques. Élyse Désilets, une Montréalaise de 35 ans, pratique le métier depuis six ans au sein de l’organisme Jovia, anciennement connu sous le nom de Dr Clown.
Chaque semaine, avec ses costumes et son nez de clown, elle visite des dizaines d’enfants malades et un grand nombre de personnes âgées dans les hôpitaux de la région de Montréal. Mais son travail va au-delà du spectacle et de l’écoute. Les clowns thérapeutiques chez Jovia travaillent en étroite collaboration avec l’équipe soignante des établissements de santé visités. Chaque jour, la jeune femme assiste à la prise de pression, aux prises de signes vitaux ou aux changements de pansement. Elle peut même être présente lors des traitements de chimiothérapie.
Vous pratiquez le métier de clown thérapeutique, une profession peu connue du public. En quoi consiste-t-elle exactement ?
Je fais appel aux connaissances artistiques comme l’improvisation, l’art clownesque, l’art du conte, la mise en scène, pour les mettre au service des jeunes et des personnes âgées que je rencontre en établissement. Pour les enfants, je fais des visites à Sainte-Justine, deux fois par semaine, et ils apprennent à me connaître. Ce n’est que lorsque le lien est créé que le pendant clownesque peut naître.


Jovia a pour mission de contribuer à l’amélioration de la qualité de vie des patients hospitalisés, par ses deux programmes de clowns thérapeutiques alliant la complicité, le jeu et l’imaginaire. Son but est d’intégrer des clowns thérapeutiques aux plans de soins des établissements de santé du Canada. Jovia chapeaute deux programmes distincts, soit Dr Clown, principalement destiné aux enfants hospitalisés dans les hôpitaux pédiatriques et La belle visite, destiné aux aînés en perte d’autonomie, en centre d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD).


Jovia a pour mission de contribuer à l’amélioration de la qualité de vie des personnes hospitalisées par ses programmes de clowns thérapeutiques alliant la complicité, le jeu et l’imaginaire. Rassemblant des professionnels des milieux de la santé, des affaires et des arts, Jovia désire intégrer des clowns thérapeutiques aux plans de soins des établissements de santé du Canada.
Les clowns thérapeutiques œuvrent auprès de deux types de clientèles:
  • des enfants hospitalisés en pédiatrie, autant en clinique de jour que dans les différents départements de l’hôpital (chirurgie, oncologie, multispécialités, etc.), ainsi que dans des centres spécialisés (réadaptation, soins palliatifs), via son programme Dr Clown;
  • des aînés en perte d'autonomie, en centre d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD), via son programme La Belle Visite.
Plus d’une trentaine d’établissements de la santé sollicitent les services personnalisés de Jovia, qui a également reçu l’appui officiel de l’Ordre des médecins du Québec.


L’organisme Dr Clown est né de la rencontre improbable, en 1999, de quatre visionnaires : Germaine Gibara, une femme d’affaires enthousiaste (malheureusement décédée en 2010), et trois passionnés du clown toujours actifs au sein de l’organisme : Melissa Holland, Olivier-Hugues Terreault et Florence Vinit.
Le premier programme Dr Clown fut réalisé à l'automne 2000 à la Résidence Paul-Lizotte de Montréal, un centre d'hébergement œuvrant auprès des aînés. Devant le succès de la formule, Dr Clown est devenu officiellement un organisme à but non lucratif, le 20 juin 2002. Cinq ans plus tard, Dr Clown ouvre un bureau à Québec en intégrant à ses activités la compagnie Clown à Cœur fondée par Anik Farley et Nathalie Côté.
Depuis, Dr Clown – qui devient Jovia en 2012 – ne cesse de grandir et d’offrir ses services aux clientèles les plus vulnérables. Les services de Jovia sont gratuits pour les bénéficiaires et leurs familles et facilitent le travail du personnel soignant dans leur milieu.
Jovia regroupe maintenant une équipe d’une trentaine d’artistes professionnels provenant des différents groupes culturels et linguistiques du paysage québécois. Avant de pouvoir travailler en milieu hospitalier, ils doivent suivre une formation spécialisée axée sur leur future mission : compréhension de l’environnement hospitalier, adaptation du jeu clownesque qui tient compte de l’état physique et psychologique des personnes visitées, respect de l’hygiène et de la confidentialité.
Jovia est soutenu dans son action par des partenaires corporatifs, des fondations hospitalières, des fondations privées ainsi que par des dons du grand public.
De plus, afin d’optimiser ses méthodes et pour partager son expertise, Jovia fait partie d’un réseau mondial d’organismes de clowns thérapeutiques, comprenant notamment l’Association le Rire Médecin (France), le Gesundheit! Institute (États-Unis), l’Association Docteur Clown (France), le Big Apple Circus Clown Care Unit (États-Unis), Hearts&Minds - Clowndoctors (Écosse), l’Aide psychologique sans frontières (Québec) et Therapeutic Clowns Canada (Canada).


Source.:

dimanche 14 octobre 2012

Les hémorroïdes: rien de pire que se gratter

Les hémorroïdes  au sens premier, sont les veines présentes au niveau des muqueuses de l'anus et de la partie basse du rectum. Dans l'usage courant, les hémorroïdes désignent principalement la dilatation variqueuse et l'inflammation de ces veines, alors appelées veines hémorroïdaires.Les hémorroïdes sont une dilatation des veines de la zone anale (anus et rectum) et du tissu les entourant, un phénomène semblable aux varices qui peuvent apparaître sur les jambes.

Causes

  • Les antécédents familiaux ne sont pas toujours une cause suffisante pour expliquer l'apparition d'hémorroïdes, cependant ils pourraient permettre de détecter un terrain favorable aux crises.
  • Une alimentation fréquemment riche en piment, par exemple.
  • La manipulation fréquente de charges lourdes qui induisent une pression excessive dans la cavité abdominale (les métiers physiques sont concernés, comme les déménageurs par exemple).
  • Le travail dans des conditions assises est un facteur important, qu'il s'agisse d'un travail dans un véhicule (chauffeur de camion, taxi, bus…) ou derrière un bureau sur de longues durées, ne favorisant pas la circulation dans les jambes.
  • Une constipation chronique est facteur important. Les mauvaises habitudes alimentaires et le stress en sont les principales causes et ces points doivent être corrigés si l'on souhaite éviter la ré-apparition des symptômes.
  • Certaines molécules peuvent être en cause, tels des laxatifs s’ils sont utilisés sur une longue période, ou certains opiacés (médicaments ou non).
  • L'accouchement et la grossesse.
  • Les activités s'accompagnant d'un blocage respiratoire, responsable d'une hyperpression abdominale maintenue. L'une des erreurs communes étant celle de « forcer » en retenant son souffle lors d'une constipation.

Traitement curatif

En général, les hémorroïdes se soignent efficacement à l’aide de traitements symptomatiques simples qui atténuent la douleur et réduisent l’inflammation. Enfin, une attention particulière doit être accordée à l’hygiène de la région anale, sans toutefois tomber dans l’excès, le savon pouvant aussi être une cause d’irritation. Toutes ces mesures permettent de résoudre la crise puis d'en prévenir d'autres dans plus de la moitié des cas.


Donc, rien de pire que se les gratter avec vos mains non hygiéniques,mettez du savon mes amis,et un peu de crème a main peu suffire.Vos hémorroïdes piquantes disparaîtront et votre séjour a l'hôpital sera éviter.Vous ne ferez plus parti des 30% qui en souffre.

REF.:

vendredi 6 juillet 2012

Trois établissements offrent un service d’urgence aux patients en santé mentale, à Montréal

29 heures sur une civière
Photo courtoisie hôpital Louis-H. Lafontaine
santé | psychiatrie

29 heures sur une civière

L’attente des patients en santé mentale à l’urgence a augmenté de 12 %

Cette année, les patients des urgences psychiatriques de Montréal ont en moyenne attendu trois heures de plus que l’an passé. À l’urgence de l’hôpital Louis-H. Lafontaine (notre photo), plusieurs mesures ont été prises pour améliorer la première ligne.
Les patients en santé mentale ont en moyenne attendu 29 heures sur une civière à l’urgence au cours de la dernière année, soit trois heures de plus que l’année précédente.
« L’achalandage est plus fort depuis quelques années, constate Josée-Michelle Simard, coordonnatrice des communications de l’hôpital du Sacré-Coeur de Montréal. Ils sont parfois très malades et il y a peu de place. Donc la durée de séjour peut être longue. »
Cette attente moyenne de 29 heures constitue une augmentation de près de 12 % par rapport à l’année 2010-2011, selon les récentes données de l’Agence de la santé de Montréal.
La hausse est encore plus importante lorsqu’on remonte à 2007-2008, alors que les patients attendaient en moyenne 23 heures.
Seulement trois urgences
À titre comparatif, l’attente moyenne sur civière dans toutes les autres salles d’urgence de Montréal a été de 20,5 heures cette année.
Trois établissements offrent un service d’urgence aux patients en santé mentale, à Montréal. Il s’agit de l’hôpital Louis-H. Lafontaine, l’Institut Douglas et le pavillon Albert-Prévost (affilié à l’hôpital du Sacré-Cœur). Au total, 41 civières desservent cette clientèle.
Un meilleur bilan
D’ailleurs, l’hôpital Louis-H. Lafontaine dit avoir amélioré son bilan à l’urgence au cours de la dernière année.
« Nous avons traité entre 300 et 400 personnes de moins, indique Denise Fortin, directrice générale intérimaire de l’hôpital. Ça va bien, mais les unités sont engorgées. On manque de ressources spécialisées. »
À cet endroit, les patients attendent en moyenne 25 heures sur civière, à l’urgence. Par ailleurs, le nombre de patients en santé mentale a aussi bondi depuis l’an dernier.
En 2011-2012, 25 857 personnes ont eu recours à ces services d’urgence, soit une hausse de 12 % par rapport à l’an dernier (23 080).
Manque de budgets
« On parle beaucoup de la maladie mentale, mais les budgets ne sont pas adaptés à la hauteur du problème, déplore Denise Fortin. L’urgence est correcte quand tu songes à mourir, mais pas pour un problème d’anxiété la nuit. D’où l’importance d’une première ligne forte, soit dans les CLSC et avec les médecins de famille. »
Autre chiffre inquiétant : 17 % des patients en santé mentale ont passé plus de 48 heures sur leur civière à l’urgence. Seules les personnes âgées de plus de 75 ans ont été traitées moins rapidement (17,2 %).
Dans les autres urgences, le pourcentage de patient sur civière durant plus de deux jours est de 9,9 %.


REF.: