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mercredi 1 août 2018

Pédophilie: Les média sont corrompus par de la pub ?


Les journaliste ,mais surtout les médias nous incite a rester dans le mensonge,a cause que l'état du mensonge manipulatoire (Deep State)peuvent enlever toute leur publicité a la télévision,ce qui entretient un climat du mensonge et de la nouvelle qui est contrôlée par l'État !

L'histoire du Deep State et de Qanon nous en dit long a ce sujet,en ce qui concerne la pédophile a Hollywood et dans la Maison Blanche(L'État Profond) aux USA .

Plusieurs pédophiles d'hollywood et leurs dénonciateurs:

Brad Pitt dénonca comme plusieurs vedettes(Elijah Wood/frodon du film Le seigneur des anneaux) la pédophilie d'Hollywood !

 Gary Glitter,Don Vito,Woody Allen,Pee-wee Herman(Paul Reubens),Jared Fogle,James Franco du film Il était une fois James Dean ,Ian Watkins(qui abusa du bébé de sa blonde),Roman Polanski,.....on  a la même chose a la Maison Blanche ,la ou le Deep State perdure avec la pédophilie.
                                (Merci a StuDI0 pour les photos)

L'acteur hollywoodien Isaac Kappy a été enregistré sur Periscope accusant Steven Spielberg et Tom Hanks de crimes sexuels contre des enfants.Isaac Kappy, qui a joué dans les films à succès Terminator Salvation et Thor, a diffusé la confession vidéo en direct sur Periscope (la version Twitter de Facebook Live) dans laquelle il a nommé et humilié plusieurs stars et acteurs de l'industrie cinématographique.

Comment Harvey Weinstein, accusé par une cinquantaine de femmes de harcèlement ou agressions sexuelles, a-t-il pu perpétuer si longtemps ces actes présumés ? En forçant juridiquement les victimes au silence, comme l'ont également fait la vedette de Fox News Bill O'Reilly et Bill Cosby, entre autres.
Tout le monde savait et personne n’a rien dit. Une cinquième actrice, la Britannique Lysette Anthony, a accusé le producteur américain déchu Harvey Weinstein de l’avoir violée, des faits qui remonteraient aux années 1980, selon le Sunday Times. Avant elle, quatre femmes, parmi lesquelles les actrices Asia Argento, Lucie Evans et Rose McGowan, l’ont également accusé de viol.
Les témoignages de victimes de harcèlement et d’agressions sexuelles s’accumulent depuis les révélations du New York Times. Alors que tout Hollywood semblait au courant, on se demande pourquoi il a fallu tout ce temps pour révéler ce secret de polichinelle et faire tomber Harvey Weinstein ? Par le Me Too Mouvement.


Le scandale IceCreamGate(voyez la video),PizzaGate ou ElsaGate, essaient de sexualisé les enfants ,par des pub suggestives a double sens,et les medias sont prête a tout pour rester dans le mensonge a cause de la mafia d'Hollywood qui bloque l'information au publique en plus que les médias pour ne pas perdre leurs parts de publicité qui provient en majeure parti de l'état (60% a 70% au Canada) reste dans le mensonge pour protéger une industrie lucrative.

Pour les politiciens :
On harnaque un politicien en l' emmenant dans un party(le honeypot) avec des belles filles sexy et après la mafia d'Hollywood met du GHB(drogue du viol) dans son verre et ensuite se souvenant de rien la mafia fait du chantage en lui montrant des photos compromettantes prisent avec des enfants nues a ses coté.
C'est sûre que le politicien va coopérer avec la mafia d'Hollywood et participer au mensonge des viol et pédophilie du milieu du film d'Hollywood !

L' informateur de Muller(ancien directeur de la CIA) était un pédophile notoire ;-)



Un courriel entre Hillary et Huma Abedin(aide de camp d' Hillary Clinton),qui est la femme d'Anthony Weiner,du "comet pizza"(le restaurant ou se passait des orgies sexuelles au sous-sol), c'est de la pédophile. Parce que les mots codés : pizza,(ici dans le courriel)pizza,hotdog,....sont des termes de pédophile ! (NDLR. Ou bien Hillary Clinton est tomber dans un honeypot par le Deep State ?)
 Même chose en Angleterre ,avec Jimmy Savile(pédo et nécrophile),le westminster pedophile ring ou il y avaient des gens du MI5,MI6,le Prince Andrew,le vol du Lolita express(sex plane) avec 26 fois a son bord Bill Clinton(orgie dans l'avion)qui atterrissait a Pédo island,.....


*Message: d'Huma(la femme de weiner) a Hillary=ça rapport au Pizza Comet concernant la pédophilie.


Pour le site youtube "Info War"(dont plusieurs qualifie de conspirationniste et de Fake News),qui est sur le point d'être banni a vie de son abonnement a youtube,il a eut 2 avertissements,il lui en manque une pour être bannie.On a déja vu youtube bannir un compte youtube parce que la personne a eut une plainte d'un pays autre que le Canada concernant du contenu Canadien que la personne avait acheté sur dvd film concernant une video documentaire de Nixon et le watergate,c'est sûre que c'est la censure et la CIA qui filtre le contenu politique par son logiciel d'écoute PRISM , et fait son rapport a Google !!!

Les alternatives a Youtube (qui sont plus libre de vos expressions):

https://diretube.com/play/
https://steemit.com/
https://vk.com/ , pour votre cell .
Reddit
4Chan
8Chan

REF.:

mercredi 18 avril 2018

Service a clientèle : C'est nul, de plus en plus nul a ch.......;-)



Si jamais vous avez a contacter le service a clientèle de n'importe quel organisme,privée,publique,para-publique,municipale,gouverne mentale,.....Vidéotron et plusieurs autres ont trouvés la solution.
C'est le service : Et ça s'appel Satisfaction a Clientèle !


Service clientèle 101 ,pour les nuls:
Donc,si durant votre appel pour une facturation,le préposé (souvent a commission: un menteur voleur)qui marche au livre (un cartésien écarté),vous prend pour un numéro et va au même accès informatique de votre dossier en ligne que vous (si vous n'êtes pas déja inscrit)et que la faute revient souvent a l'ordinateur et que le gars te dit "c'est dans le système"....................,a ce moment utilisez donc le système-D !

Exemple : Erreur de facturation cell (on se rappel tous les nombreux recours et dédommagements du passé), vous appelez et durant les inter minables nomemclatures de vos numéros, de-ci ,de ça ,aller a la ligne 222,votre ancienne adresse,le nom de gars votre grand-mère, si votre chien a les oreillions et j'en passe,....................passez donc a l'étape suivante.

Si le préposé(en arabe ça veut dire illettré Ha !!!) ne comprend pas ,.........demander: (on est pas rendu encore a l'Ombudsman ,mais pas loin)donc le chef d'équipe ,ou dites-donc : Je veut parler a ton patron ,.....pas a un autre préposé,....a ton patron,  Merci !!! Pis la ,tu dit je vais fermer mon compte chez vous,car ça fait 25 ans mimnimum ,..........Hi-Ha tremblay !!! que je fais affaire avec vous .
Je prend le droit de fermer mon compte , car la compétition ,et votre "con current" a de meilleur prix que vous ! Sinon ,jouer au kangourou et changer aux an,votre abonnement pour avoir de meilleur prix lol(mais ça revient au même de négocier avant de changer votre abonnement,si tout vos services sont inclus) !!! Et rembourser le client,veut pas dire le rendre fidèle,attention a la méthode Walmartienne ! Et qu'allez-vous faire lorsque que le puissant bulldozer Amazon (vous savez la flèche souriante) va arriver,et que déja plusieurs utilse le DarkNet (c'est un paradis webcale anonyme,mettons !!!)comme un Toys "R" Us , ou tout est permis,je le sais j'y suis allé ??? Tout le monde est dans le Darknet ,même FB : www.facebookcorewwwi.onion


Et je vous jure que le préposé qui vous répond et qui est a sa deuxième journée d'entraînement ,va aller fumer sa cigarette au break ou va demander de l'aide psychologique tout en apprenant a respecter la clientèle,...........et elle est variée(car ce sont les différents qui feront la différence et non le troupeau qui bêle dans son champ de factures).

C'est a ce moment que la cie ,vous transfert au service Satisfaction a Clientèle !!!
Alors fini les forfaits pour nouveaux clients,place a ceux qui vous font vivre ,les clients fidèles,la fidélité en affaire ,...............c'est ce qui évitera la faillite de votre entreprise ou la casse des citoyens !

De plus en plus de cie utilise cette méthode!
Sinon ils perderont des clients,de l'argent,leurs réputations, et fermeront les portes , ou auront des représailles des citoyens de la rue,qui ne feront surement pas du lèche vitrine ! Le miroir de notre société sera publier dans les réseau sociaux,pour beaucoup de service ou on retrouve de l'insatisfaction,alors surveillez-vous !

Verrons-nous un jour,le Service Satisfaction au Citoyen ?
Satisfaction Québec,Satisfaction Hydro,Satisfaction Cellulaire,Satisfaction impôt,Satisfaction ........cout'donc,y sont tu satisfaits de leur travail ou de leur paye eux autres ?
On n'a pas inventé la roue ,mais ça fait longtemps qu'on roule ,on vole ,on se téléportera bientôt,alors défender vos droits ! Et exprimer ses commentaires,c'est un ,mais surtout exprimer des commentaires explicatifs ,c'est mieux !

Et tout commentaire effacé restera toujours dans : La waybackmachine d’Archives.org, 
(avec 327 billions de pages web actuellement)qui peut être pratique si vous voulez voir votre passé disparu ou prouvez votre point de vue qu,une entreprise a déleté , a cause que vous aviez peur de leurs avocats ;-) Le add-on est dans firefox ,Cool !(Je le sais ,j'ai republié ma référence wikipedia ,dans un blogue alors qu'il avait enlevé ma référence,trop drôle ,ce cher web 2.0 wikipedia)


REF.: T30

jeudi 22 juin 2017

Loi antiterroriste: Ottawa veut pouvoir lancer des cyberattaques



Le Canada saute dans l'arène de la «guerre 2.0».
Le nouveau projet de loi antiterroriste déposé mardi par le gouvernement Trudeau permettra notamment au Centre de la sécurité des télécommunications (CST) de lancer des cyberattaques contre des cibles étrangères, incluant des groupes terroristes et des pirates informatiques, et même de déployer des mesures défensives contre des cyberattaques menées par des États ou des gouvernements.  Les libéraux justifient cette mesure en affirmant que le Canada doit se protéger contre ces nouvelles menaces qui visent les démocraties.
Toute opération offensive devra être d'abord approuvée par le ministre de la Défense et le nouveau commissaire au renseignement. De plus, le CST ne pourra en aucun cas viser des Canadiens ou des personnes vivant au Canada, sauf si un ministère lui demande de recueillir ou d'analyser des renseignements en vertu d'un mandat du tribunal, prévient-on.
Le mandat de cette agence ultrasecrète, créée il y a 70 ans, comprenait déjà la protection des systèmes informatiques jugés critiques par Ottawa, et ne permettait que la cueillette de renseignement de l'étranger. Ces responsabilités «défensives» demeurent dans le projet de loi C-59, a rappelé le ministre de la Défense nationale, Harjit Sajjan, qui est responsable du CST.
Ce service d'espionnage électronique sera aussi mis à contribution pour aider les militaires à apprendre comment se battre sur le terrain informatique, un mandat ajouté récemment par les libéraux dans la nouvelle Politique de défense du Canada.
Avec ces deux mesures, le Canada fait son entrée dans un monde extrêmement complexe qui est déjà occupé depuis un certain temps par ses alliés. Il y a quelques jours, le CST prévenait que le Canada pourrait être victime de cyberattaques lors de la campagne électorale de 2019, comme on l'a vu ailleurs dans le monde récemment.
Les libéraux souhaitent également maintenir les pouvoirs qui avaient été octroyés par les conservateurs au Service canadien du renseignement de sécurité pour «perturber les menaces étrangères», en vertu du projet de loi C-51.
De nouveaux contrepouvoirs
Le ministre de la Sécurité publique, Ralph Goodale, qui a déposé le projet de loi mardi, a prévenu que son gouvernement liait ses nouveaux pouvoirs à des contrepouvoirs additionnels. Le gouvernement propose ainsi de créer un poste de commissaire au renseignement et un nouvel organisme de surveillance qui supervisera toutes les agences recueillant des renseignements au pays, l'«office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement».
Le CST sera par ailleurs autorisé à conserver les informations obtenues «de façon fortuite» - des renseignements qui n'étaient pas directement recherchés, mais qui sont ressortis dans le cadre d'une enquête légitime. Cet élément pourrait inquiéter les défenseurs des libertés civiles, à la lumière des révélations d'Edward Snowden aux États-Unis, notamment, sur le recours à l'espionnage électronique dans le monde.
La question est de savoir jusqu'à quel point les Canadiens seront prévenus de l'ampleur des mesures de cybersurveillance mises en place par le CST et l'armée, notamment les attaques contre des organisations extrémistes et d'autres États. Or, le ministre Sajjan a admis mardi que pour des motifs de sécurité nationale, ce type d'informations ne sera pas divulgué largement au grand public.
Le porte-parole néo-démocrate en matière de sécurité, Matthew Dubé, craint que les mesures de protection prévues dans le projet de loi ne soient pas suffisantes pour s'assurer que les nouveaux pouvoirs du CST s'exerceront de façon appropriée, notamment en empêchant le vol de cyberarmes.
REF.:

vendredi 4 novembre 2016

La SIQ, « c'est une gang de pas bons » - Monique Jérôme-Forget





EXCLUSIF - En toute franchise, Monique Jérôme-Forget a admis en entrevue que la Société immobilière du Québec dont elle avait la responsabilité n'était pas sa priorité au gouvernement. Elle se fiait au pdg et aux membres du conseil d'administration pour lesquels elle n'avait toutefois pas une grande estime.
Un texte de Marie-Maude DenisTwitterCourriel et Gaétan PouliotTwitterCourriel d'Enquête « Sincèrement, ça ne m'intéressait pas. Peut-être que ça aurait dû m'intéresser. Moi, Monique Jérôme Forget, la SIQ ne m'intéressait pas », nous a avoué l'ex-ministre libérale rencontrée dans sa demeure de Montréal cet été.
Bien qu'au moment de l'entrevue elle n'ait pas été au courant des détails de l'enquête de l'Unité permanente anticorruption (UPAC) sur de graves allégations de fraude, elle nous a dit avoir collaboré avec les policiers pour les aider dans leurs recherches sur la Société immobilière.
Cette société d'État était sous sa responsabilité. Mme Jérôme-Forget a été présidente du Conseil du trésor de 2003 à 2008 et ministre des Finances de 2007 à 2009 dans le gouvernement de Jean Charest.
C'est durant cette période que des collecteurs de fonds du Parti libéral du Québec (PLQ) et l'ex-pdg de la SIQ se seraient partagé d'importantes sommes d'argent en marge de transactions immobilières effectuées par le gouvernement.
Allégations de fraude impliquant des collecteurs de fonds du PLQ Pour assurer la bonne gouvernance de l'institution, Monique Jérôme-Forget se fiait aux gestionnaires et au conseil d'administration.
Pense-t-elle que des organisateurs politiques libéraux auraient pu contribuer à la nomination des membres du C. A. et peut-être même du pdg de la SIQ lorsqu'elle en était responsable?
« Sincèrement, je ne pourrais pas vous dire », dit-elle, ajoutant que personne de compétent ne souhaitait être administrateur de la SIQ, un poste bénévole.
« Peut-être que je ne devrais pas dire ça, mais aller [au] conseil d'administration de la SIQ, ce n'est pas le plus prestigieux », explique-t-elle.
Elle-même ne voudrait jamais occuper cette fonction.
C'est pas assez prestigieux. Ça n'a pas d'envergure. Aller m'intéresser aux édifices du gouvernement. Voyons. Zéro intérêt.
Monique Jérôme-Forget
Fait troublant, tous les membres du conseil d'administration de la SIQ nommés avec l'arrivée du pdg Marc-André Fortier, en 2003, avaient un lien avec le PLQ (bénévoles, donateurs) ou avec les collecteurs de fonds Charles Rondeau ou Franco Fava.
« Quelqu'un qui connaît la construction, qui connaît la location, etc. Les gens qui sont bons ne voudront pas aller à Québec à la SIQ », ajoute M. Jérôme-Forget.
Résultat, les membres du C. A. de la SIQ étaient des incompétents, à son avis.
C'est une gang de pas bons là-dedans! C'est pas prestigieux.
Monique Jérôme-Forget
Des propos que rejette du revers de la main Claire Boulanger, qui était membre du conseil d'administration à l'époque.
« Nous avons eu le plaisir de la rencontrer peut-être trois minutes à son bureau. Elle n'avait vraiment aucune affinité pour la Société immobilière. Elle ne nous connaissait pas du tout. [...] Alors, je ne sais pas où elle prend ses propos que "c'est une gang de pas bons" », dit Mme Boulanger, ajoutant avoir siégé avec des gens de bonne foi, qui travaillaient fort et prenaient au sérieux leur mandat à la SIQ.
Selon Mme Boulanger, le conseil d'administration a été induit en erreur par Marc-André Fortier lorsqu'il était pdg.
Mise à pied de Marc-André Fortier
Si Monique Jérôme-Forget a embauché le pdg Marc-André Fortier en 2003, c'est aussi elle qui l'a renvoyé.
Marc-André Fortier
Photo : Radio-Canada/Jasmin Simard
En 2008, le vérificateur général informe Mme Jérôme-Forget d'irrégularités dans les comptes de dépenses du pdg de la SIQ. On y retrouve des invitations à des parties de golf et des « dépenses absolument incroyables », se rappelle Mme Jérôme-Forget. Elle le met à pied sur-le-champ.
M. Fortier sera d'ailleurs poursuivi par son ancien employeur pour des dépenses injustifiées. Le tribunal l'a condamné à rembourser 75 000 $.
Lors de son procès, il a déclaré qu'il avait été nommé à la tête de la SIQ après avoir exercé des pressions sur des personnes « pesantes » au PLQ.
« On m'a demandé de le rencontrer. Je n'ai pas été éblouie par M. Fortier, je dois vous avouer candidement », dit Monique Jérôme-Forget, se rappelant sa rencontre avec l'homme après la prise du pouvoir des libéraux en 2003.
Malgré tout, elle confirmera sa nomination qui lui est recommandée par le Secrétariat aux emplois supérieurs, qui relevait du premier ministre de l'époque, Jean Charest.


Radio-Canada a appris que Marc-André Fortier, pdg de la SIQ de 2003 à 2008, et les collecteurs de fonds libéraux William Bartlett, Franco Fava et Charles Rondeau se seraient partagé près de 2 millions de dollars dans le cadre de prolongation de baux.
Plusieurs documents obtenus lors de notre enquête démontrent que la SIQ opte la plupart du temps pour des baux de 10 ans et moins.
Pourtant, en 2004, la société d’État a signé un bail de 17 ans pour la location de presque tous les étages du plus important édifice de la place D’Youville, à Québec. 


Deux mois plus tard, le gestionnaire de l’immeuble aurait donné l’ordre de virer 1,25 million de dollars d’une banque du Liechtenstein à un compte en Suisse.
La majorité de cette somme aurait ensuite pris le chemin de quatre comptes aux Bahamas.
Le manège se serait répété en 2006 lorsque la SIQ a signé des baux de 20 et 25 ans pour deux autres immeubles à Québec.
Cette fois, le gestionnaire aurait versé 2,1 millions de dollars à un consultant en immobilier. L'argent aurait ensuite transité de Montréal vers une banque en Belgique et dans plusieurs autres comptes en Suisse.
Au bout de la chaîne, 902 000 $ auraient été déposés dans un compte de William Bartlett, qui en plus d’être un collecteur de fonds du PLQ est un ancien vice-président de la SIQ.
Il aurait transféré la moitié de cette somme dans une banque des Bahamas. De là, trois traites bancaires auraient été émises aux noms de Marc-André Fortier (170 000 $), de Charles Rondeau (100 000 $) et de Franco Fava (100 000 $).
Les gestionnaires d’immeubles nous ont dit ne pas savoir qui a bénéficié ultimement des sommes d’argent. 





Maxim Martin de la radio Énergie a dit de lui: Que le nouveau Parrain du Québec était Jean Charest ;-)


Source.:

samedi 9 août 2014

Plusieurs cyberattaques au Conseil national de recherches du Canada (CNRC) par des Hackers Chinois


Le CNRC doit rebâtir son infrastructure informatique

Le CNRC doit rebâtir son infrastructure informatique

OTTAWA - À la suite de plusieurs cyberattaques dont il a été la cible récemment, le Conseil national de recherches du Canada (CNRC) a fait savoir, jeudi, qu'il sera dans l'obligation de mettre en place une toute nouvelle infrastructure des Technologies de l'information (TI) afin de minimiser le risque d'autres attaques.
Selon le CNRC, «la création d'une telle infrastructure sécurisée et intégrée au réseau du gouvernement pourrait prendre un an», peut-on lire dans le communiqué publié jeudi.
Ottawa a imputé la responsabilité de ces attaques à la Chine. Dans un communiqué publié mardi sur le site du Secrétariat du Conseil du Trésor, le gouvernement canadien a affirmé avoir «récemment détecté et confirmé une cyberintrusion dans l'infrastructure des technologies de l'information (TI) du CNRC par un acteur hautement perfectionné parrainé par l'État chinois».
L'ambassadeur chinois a publié de son côté une déclaration dans laquelle il niait ces allégations, les qualifiant de «non professionnelles».

Source.:

vendredi 22 février 2013

Revenu Canada et le sexe ,ça va ensemble Mr. Harper ?

Informations confidentielles - Près de 1000 cas d'inconduite à l'Agence du revenu
 
Photo Agence QMI / Archives

Informations confidentielles

Près de 1000 cas d'inconduite à l'Agence du revenu

OTTAWA - Bon an mal an, des dizaines d'employés de l'Agence du revenu du Canada se font taper sur les doigts parce qu'ils naviguent sur des sites de contenu explicite pour adultes, consultent sans autorisation le dossier d'impôt de collègues de travail ou de membres de leur famille ou transmettent des informations confidentielles.



C'est ce que révèlent des documents d'accès à l'information obtenus par TVA Nouvelles.
Sur une période de cinq ans, à compter de 2006-2007, il y a eu 927 cas d'inconduite dans les bureaux de l'Agence du revenu du Canada (anciennement Revenu) d'un bout à l'autre du pays, soit près de 200 cas par année. La plus grande partie des incidents touche la mauvaise utilisation des installations de Revenu Canada ou l'accès sans permission à des informations confidentielles des contribuables.

L'exercice budgétaire 2006-2007 a été particulièrement pénible. Sur 250 cas, il y a eu 136 incidents où des fonctionnaires ont utilisé les bureaux de Revenu Canada à d'autres fins qu'à des fins professionnelles. Il y a eu 34 cas où des employés ont épié les dossiers d'impôt de contribuables.

De plus, on a mis la main sur deux personnes qui trafiquaient de la drogue. D'autres avaient omis de déclarer des sources de revenu, étaient ivres au travail ou sollicitaient des clients pour aider leur propre compagnie. Dans son ordinateur, une personne avait 1645 images de personnes légèrement vêtues, 42 images de personnes nues et avait navigué plus de deux heures sur des sites érotiques ou de contenu pour adultes. Cinq personnes étaient congédiées et 113 écopaient de suspensions.

Les exemples de cas d'inconduite se répètent pour les années 2007- 2008 à 2010-2011, mais on dénote une baisse pour ce qui est des fonctionnaires qui ont navigué sans permission dans le dossier des contribuables. Il y en avait huit en 2010-2011.

Les Ontariens en cause

Chaque année, c'est dans les bureaux ontariens de l'Agence du revenu du Canada (excluant le siège social à Ottawa) où l'on dénombre le plus grand nombre de transgressions au code de déontologie et de conduite de l'Agence. Le Québec n'est pas un très fautif.

Des incidents semblables ont été portés à l'attention de la Commissaire à la protection de la vie privée du Canada, Jennifer Stoddart qui mène actuellement une enquête. Elle a souligné dans son rapport annuel qu'il y avait un «risque potentiel» que de telles violations à la vie privée puissent toucher «des milliers de Canadiens».

À l'Agence du revenu, on a souligné qu'on prenait «très au sérieux la protection du régime fiscal canadien» et que toute plainte fondée était sanctionnée.

«Les incidents qui concernent un seul employé ou un petit groupe d'employés ne mettent aucunement en cause l'honnêteté et le professionnalisme des milliers d'employés» de l'Agence qui travaillent de façon exemplaire chaque jour, a déclaré dans un courriel le conseiller principal pour les relations avec les médias, Philippe Brideau.


REF.:



jeudi 10 janvier 2013

États-Unis: les précurseurs de l'«open data»


Publication de données - États-Unis: les précurseurs de l'«open data»
 
Photo momius - Fotolia.com


WASHINGTON - La liste des visiteurs de la Maison Blanche, les risques de retard sur chaque vol intérieur américain, ou encore la carte des tornades: ce sont quelques-uns des 400 000 fichiers publiés sur internet par l'Etat américain, un des précurseurs de l'«open data».
L'open data - littéralement «données ouvertes» en français -, qui vise à publier sur internet le maximum de données publiques possible, a seulement quelques années d'existence.
Washington n'a lancé data.gov qu'en 2009, avec 57 fichiers, mais près de quatre ans plus tard, le site publie régulièrement de nouvelles données, dans un format qui permet aux entreprises ou aux citoyens de les exploiter facilement.
Le développement de l'open data traduit la volonté des États d'améliorer la transparence de l'action publique et d'en justifier le coût auprès des citoyens.
C'est grâce à des données - gratuites - de l'administration des transports, que des sites aériens américains indiquent pour chaque vol, avant l'achat, le pourcentage de vols à l'heure: 73% seulement pour le vol United Washington-New York du mercredi soir.
Et on trouve de tout sur data.gov: les rapports d'inspection des maisons de retraite, les évaluations de sièges auto pour enfants ou les taux d'infections nosocomiales dans les nombreux hôpitaux publics militaires.

La qualité prime

Mais ce n'est pas tant le volume que la qualité des données qui importent.
Selon le professeur James Hendler, un expert américain qui étudie l'open data dans le monde, les Américains, suivis des Britanniques, sont en pointe car ils ont institutionnalisé la publication des données par les administrations. Ils ont aussi développé des «écosystèmes» d'entreprises et d'associations qui exploitent les données dans des applications pour les internautes.
«C'est bien de publier les données, mais tout est vraiment plus utile quand on crée des communautés et si on donne l'opportunité aux gens d'intégrer les données, et si les données sont lisibles par des machines», explique-t-il.

Trous, erreurs et zones d'ombre

Mais si les Américains sont les premiers à s'être lancés, les zones d'ombre persistent après une période d'euphorie suivant l'élection de Barack Obama. Au premier jour de son premier mandat, le 21 janvier 2009, le président américain signait un mémorandum ordonnant à ses ministères une «présomption de publication» pour tous les documents, un renversement de tendance après la présidence de George W. Bush.
«Les deux premières années ont été très créatives, très avancées», explique Daniel Schuman, de la Fondation Sunlight. Mais «ils ont perdu la motivation». En cause: l'inertie ou la résistance des administrations, qui doivent adopter de nouveaux réflexes.
«Nous avons besoin de nouvelles lois, pour institutionnaliser cela et nous immuniser contre un changement d'humeur du prochain président», expliquait récemment lors d'une conférence Anne Weismann, directrice de l'ONG CREW, qui a forcé la Maison Blanche à publier la liste de ses visiteurs, afin d'identifier ceux qui ont l'oreille de la présidence.
Des milliers de fichiers ne sont pas à jour, contiennent des trous ou des erreurs, pointe de son côté Josh Tauberer, un jeune entrepreneur de l'open data, notamment sur le site des dépenses publiques (USASpending.gov).
Mais l'open data n'en est qu'à ses débuts. Avec plus de 40 pays et l'arrivée de l'Inde, l'Amérique du Sud et de dizaines de villes dans le giron de l'open data, le nombre de fichiers en ligne pourrait passer d'environ un million actuellement à plus de cinq millions d'ici 2015, selon James Hendler.



REF.: