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mardi 12 juillet 2011
La génération Y, la génération douillette
jeudi 17 février 2011
Internet a-t-il rendu la génération « C » (1987-2001) plus intelligente que nous?
La génération C désigne, selon le Centre francophone d'informatisation des organisations (CEFRIO)1, l'ensemble des personnes nées entre 1984 et 1996. Elle se caractérise par le fait qu'elle a grandi avec les technologies de l'information et Internet, dont elle se sert pour communiquer, collaborer et créer.
Au Québec, la génération C regroupe un million et demi de personnes.
L'informatique,comme la venue des calculatrices,ramollit le cerveau,les gens perdent la mémoire et l'attention,au profil du multitâche,ce qui ne veut pas dire rapidité d'exécution.Car il est prouvé que le multitâche du genre web 2,0, CHAT, Youtube ,Twitter,Facebook,Wikipédia,Google Street,foursquare,et tout ce qui est interactif,n'est pas contributaire d'une performance d'exécution des tâches a faire pour un travail précis dans un but précis. Ça fait juste diversifier les tâches d'exécution d'un travail ,et l'attention du cerveau en prend un coup !
Cette génération est victime de la technologie interactive et devra redéfinir ,les vrai valeurs,soient: celles entre le travail et le loisir ou entre le social et le virtuel ! Car il est permit de douter que les 3 C : communication,collaboration et céation,ne sont pas vraiment exprimés dans un sens de productivité réel.
Le problê,me du multitâche est un problême de dédoublement des services pour une même travail; il suffit de s'appercevoir que vous n'avez pas nécessairement pas besoin de sms,si vous avez Twitter ou pas besoinde twitter si vous avez le eMail, ou pas besoin de tout ça si tu as un cellulaire ;-)
Votre internet(bande passante) se dédouble(donc vous payer pour le même service ) ,si vous avez un smartphone,une TV internet interactive,une console ,et un PC ou laptop,sans compter que le wifi se retrouve dans tout votre réseau résidentiel.
Et on risque d'avoir des réactions comme celle-ci:
39% des utilisateurs d'ordinateurs hurler sur leur machine lorsque ce dernier ne fait pas ce qu'on lui demande.
Quelle est la meilleure approche pour faire entendre la voix de la raison à un ordinateur récalcitrant? Êtes-vous plutôt de ceux qui le traitent de tous les noms d'oiseaux, ou de ceux qui murmurent à son oreille?
À LIRE ÉGALEMENT: |
D'après une nouvelle étude menée par l'éditeur de logiciels antivirus Avira, 39% des utilisateurs d'ordinateurs délaissent la méthode douce pour hurler sur leur ordi lorsque ce dernier ne fait pas ce qu'on lui demande.
9% des personnes interrogées ont avoué avoir déjà frappé leur ordinateur avec un autre objet, comme leur poing ou une batte de baseball, indique Avira dans l'étude, publiée le 8 février.
3% des utilisateurs ont répondu qu'ils avait déjà lancé leur ordinateur au sol ou qu'ils l'avaient fracassé contre un meuble sous l'emprise de la colère.
Certains utilisateurs ont simplement dit qu'ils ont prié pour qu'une catastrophe quelconque s'abatte sur les locaux de l'entreprise qui a créé le système d'exploitation ou l'ordinateur défaillant.
La plupart des utilisateurs ont avoué avoir déjà évacué leur colère sur leur ordi à un moment ou un autre de leur vie, et 38% des utilisateurs ont indiqué qu'ils n'élèveraient jamais la voix sur leur ordinateur, parce qu'il est «trop sensible».
Le sondage d'Avira a été mené en décembre 2010 auprès de plus de 14 280 personnes des quatre coins du monde.
mercredi 31 mars 2010
Le règne des parents-rois
Comme s’ils n’en avaient pas déjà assez avec les multiples réformes scolaires et la lutte au décrochage, les directeurs d’école doivent de plus en plus traiter avec les parents-rois, cette nouvelle génération de pères et de mères qui tentent de faire la pluie et le beau temps dans le milieu scolaire de leur enfant.
Plaintes à répétition, crises de larmes ou de colère, menaces, les directeurs d’école peinent souvent à satisfaire aux demandes de ces parents exigeants.
«Les parents-rois existent au Québec, ça c’est clair. On est très exigeant avec l’école qui est devenue un substitut de la famille. Les parents ont tendance à oublier qu’il n’y a pas que leur enfant à l’école et que c’est une petite collectivité», témoigne Chantale Longpré, présidente de la Fédération québécoise des directions d’établissement d’enseignement (FQDE).
Selon cette dernière, qui a déjà été menacée physiquement par un parent insatisfait, l’horaire de l’école, la surveillance des élèves et la relation entre l’enseignant et l’enfant sont les sujets les plus souvent abordés par des parents insatisfaits.
«Des parents-rois qui se mêlent de tout, il y en a dans toutes les écoles. Le phénomène a toujours existé, mais c’est différent de nos jours, car le mandat de l’école a été élargi. Aujourd’hui, des enfants sont à l’école de 6 h le matin à 18 h le soir», avance-t-elle.
«Il entre à l’école en hurlant»
Une dizaine de témoignages troublants au sujet des parents-rois ont été recueillis, dont celui d’un directeur adjoint d’une école de la région métropolitaine qui a préféré taire son identité.
«Le phénomène est clairement en augmentation. L’éducation est maintenant une marchandise pour les parents qui achètent l’éducation de leur enfant et s’attendent à être traités en client», tranche-t-il.
Ce directeur adjoint a dû faire face à plusieurs parents difficiles, de la dame qui appelait à l’école trois fois par jour, à un père qui, insatisfait de la sanction imposée à son fils turbulent, est entré à l’école pour se plaindre en «hurlant et fessant sur les murs».
Un problème de communication?
Pour François Paquet, président de la Fédération des comités de parents, les parents sont tout simplement plus éduqués et renseignés qu’autrefois, d’où leur implication grandissante dans le réseau scolaire.
«Oui, ils sont plus exigeants, mais les écoles manquent aussi de transparence. La plupart des parents ne sont ni rois, ni agressifs, mais seulement renseignés. Tout repose sur la compréhension et la communication», affirme M. Paquet qui a lui-même été en conflit avec la direction d’école de son enfant «parce qu’il posait trop de questions».
Comme le résume Chantal Longré, «vaut mieux tout de même un parent plus difficile qu’un parent absent».
Parent-roi ou parent-poule?
Tout comme le phénomène des enfants-rois, celui des parents-rois est difficilement quantifiable. Il est néanmoins bien connu et commence à être sérieusement documenté, comme l’a confirmé la psychologue Catherine Cloutier.
Depuis douze ans, la psychologue Catherine Cloutier intervient auprès de familles et effectue aussi des expertises pour la DPJ. Des parents-rois, «qui refusent d’imposer des limites au comportement de leur enfant», ou des parents-poules, «qui surprotègent leur progéniture», elle en a vu souvent.
«Les deux sont de bonne foi et veulent simplement protéger leur enfant, les empêcher de vivre une situation difficile qu’ils ont parfois vécue eux-mêmes», analyse-t-elle.
Selon elle, un enseignant ou un directeur qui traite avec ce type de parent doit lui en parler, sans être trop confrontant, pour lui faire prendre conscience de son attitude.
«Ça se traite, autant du côté du parent que de l’enfant», assure-t-elle.
mercredi 21 octobre 2009
Après la Y,la génération C ?
Voilà l'un des constats que l'on peut tirer d'une enquête réalisée par le Centre francophone d'informatisation des organisations (CEFRIO), dont les résultats ont été dévoilés hier à l'occasion d'un colloque qui se déroule dans la capitale.
Il s'agit de la plus vaste enquête jamais réalisée au Québec sur l'utilisation des technologies de l'information par les 12 à 24 ans. Après la génération Y, voici la génération C, ces «natifs du numérique» qui prennent la toile d'assaut pour «communiquer, collaborer et créer».
Au quotidien, ces jeunes passent beaucoup de temps dans le cyberespace, au détriment du petit écran, du sport et de la lecture. Lors d'une journée typique de fin de semaine, 62 % des jeunes interrogés utilisent Internet contre 60 % qui regardent la télévision. Un peu plus de 40 % écoutent de la musique, 35 % font du sport et 30 % optent pour la lecture.
En moyenne, les 12 à 17 ans passent 16 heures par semaine sur la toile, comparé à 22 heures pour les 18 à 24 ans. Mais plusieurs jeunes comme Émilie, 16 ans, passent presque toutes leurs soirées devant l'écran.
«J'arrive de l'école à 16h30, j'ouvre mon ordinateur et je peux faire de l'Internet jusqu'à minuit. Je ne peux pas me passer de l'ordinateur», lance celle qui a 230 amis sur Facebook. Émilie fait partie des quelque 35 % de jeunes qui utilisent Internet en moyenne 36 heures par semaine, qu'on appelle les «grands utilisateurs».
Et que font-ils, une fois bien branchés? Les filles jasent, alors que les gars préfèrent les jeux vidéo. Les adolescentes communiquent davantage, que ce soit par le clavardage, les sites de réseautage ou les blogues, alors que les gars optent pour le divertissement et les achats, par les jeux vidéo en ligne, les sites de petites annonces ou le téléchargement audio ou vidéo.
Chez les ados, les réseaux sociaux (Facebook, MySpace, etc.) ont remplacé le flânage dans les centres commerciaux, rappelle Danah Boyd, chercheure à Microsoft Research New England et spécialiste de la culture des jeunes. «Être sur Internet est une façon d'exister socialement. C'est une façon comme une autre de créer des liens», dit-elle.
De manière générale, 85 % des jeunes interrogés cherchent de l'information dans la toile ou communiquent par courriel, 74 % clavardent, 71 % écoutent de la musique en ligne et 62 % visitent des sites de réseautage comme Facebook ou MySpace. Plus un jeune passe du temps en ligne, plus il a de chances de devenir un "participant actif" qui rédige des blogues, met en ligne du contenu audio ou vidéo et prend part à des forums.
Réjean Roy, conseiller principal au CEFRIO, fait d'ailleurs une distinction importante entre les petits et les grands utilisateurs d'Internet.
«On ne peut pas enfermer tous les jeunes dans le même moule quand on parle d'Internet. Il y a plusieurs types de jeunes. Mais il est clair que l'utilisation qu'ils font d'Internet influence leur attitude par rapport aux études, au travail, à la consommation et à la citoyenneté. C'est ce qu'on a voulu comprendre», explique-t-il.
Cette enquête a été réalisée par Léger Marketing auprès de 2020 jeunes interrogés par téléphone ou par Internet, en novembre 2008 et février 2009. La marge d'erreur est de 2,2 %, 19 fois sur 20.
REF.:
jeudi 10 juillet 2008
Les Baby Boomers n'ont rien inventé,ni les prochaines générations
On parle beaucoup des années 60,des génération Boomers,,les 40 ans de Mai 1968,du meurtre de Martin Luther King,de l'assassinat de Robert Kennedy , de la sortie de l'album Blanc des Beatles, etc.
Tout ça a des explications dans le livre : The sixties Unplugged , de Gerard J. DeGroot.Ça vous fera voire cette décennie d'un autre oeil.
Le Prof d'histoire moderne de l'Université de St-Andrews en Écosse,DeGroot prend plaisir a démolir les mythes entourant les années 60.
Mythe numéro 1-
La jeunesse était contre l'establishment .C'est FAUX,affirme DeGroot.
Quand on regarde les documentaires sur les années 60,on a l'impression que tous les jeunes manifestaient sur les campus ,fumaient du pot et prônaient l'amour libre .Or les révolutionnaires et les Hippies étaient minoritaires . La plupart des jeunes étaient conservateurs ,ils travaillaient,étudiaient.En 1067,un sondage de Newsweek concernant l'organisme politique le plus populaire auprès des jeunes ; la réponse .............? L'aile jeunesse du parti républicain !
Les hippies ,ont fait beaucoup de bruit ,mais contrairement a ce que disent les Boomers,ils n'étaient pas représentatifs de l'ensemble de la jeunesse américaine.C'est comme les Français dans les années 40; ce n'est pas vrai qu'ils étaient tous dans la Résistance ! C'est comme le terrorisme,il y a des suiveux partout.
Mythe numéro 2-
La Californie était le bastion de la contre-culture . Et le gouverneur élu en 1966 était nul autre que Ronald Reagan 58% des voix; en 1970 ......Reagan avec 53% des voix.Loin d'avoir tout foutu en l'air,les Californiens ont pavé la voie a l'un des gouvernements les plus a droite de l'histoire des États-Unies.
Mythe numéro 3-
Les années 60 ont effectué une brisure,Une Bêtise, lance Degroot;Les Baby Boomers aiment a dire qu'ils ont cassé l'histoire en 2 ,mais c'est complètement faux .Les années 60 n'était que la continuité de ce qui s'était passé auparavant.
Prenons le mariage . Les anciens combattants des années 1960 se pètent les bretelles en disant qu'ils ont révolutionnés la famille. Avant les gens avaient besoin de se marier pour coucher ensemble et d'avoir des enfants. Mais on a changé tout ça.....
Or,entre 1941 et 64 ,le nombre d'enfants nés hors des liens du mariage a augmenté de 150% aux USA. Bref,les Baby Boomers américains n'ont rien inventé.Ils ont juste suivi le courant ,c''est tout....
Autrement dit,la contre-culture des années 60 n'a pas détruit la société de consommation ,elle l'a renforcée ! Pas étonnant qu'on retrouve une boutique Gap au coin desw rues mythiques Haight et Ashbury , a San Francisco . La contre-culture était d'abord et avant tout une révolte capitaliste.Elle a permis au système de s'enrichir en défrichant et en exploitant un tout nouveau marché : celui de la jeunesse .
Les vieux s'achetaient une Ford pour montrer leur attachement aux valeurs traditionnelles ? Les jeunes s'achetaient une Volkswagen(l'auto Turbodiésel,économique antiAméricaine) !
C'est comme les altermondialistes qui crétiquent le capitalisme en s'achetant des T-Shirts Che Guevara.La société de consommation est morte ? Vive la société de consommation !
Relouez le film La Matrice et voyez le d'un autre oeil;la pilule bleu ,c'est l'anticorruption,la rouge ,la pseudo-Liberté.Faut pas être drogué pour comprendre ça,même si dans le film ,il n'y a que ça!
Nota: Relouer le film La Matrice et regarder le d'un autre oeil; la pilule Bleu : c'est l'anticorruption et la rouge: la pseudo-Liberté ! Faut pas être drogué pour comprendre ça,même si dans le film ,tout le monde est drogué.
Merçi ,au Franc-Parler de Richard Martineau, du J de M.
dimanche 4 mai 2008
Comment fabriquer un monstre avec un enfant Roi
Qui était la, a l'émeute du Club Hockey Canadien en 1993 ? La génération X.
Et qui était la,a la mini-émeute du Club Hockey Canadien durant les séries en 2008 ?
La génération Y,une chance qu'ont n'a pas gagné la coupe .
Vous aimeriez que votre enfant soit impoli et violent comme ses camarades de classe?
Et bien suivez les conseils de Richard Martineau du Journal de Montréal,votre petit trésor se transformera en monstre en quelques mois !
D'abord,ne lui dites jamais NON.Traitez votre enfant comme un Roi.Quand il arrive de l'école,ne lui dites pas : "On mange du spaghetti ! " Demandez-lui plutôt: "Qu'est-ce que tu veux manger,mon chéri ? " Laissez-le regarder le hockey jusqu'a minuit,extasiez-vous devant chacun de ses gribouillis et ne le grondez jamais,car vous pourriez blesser son estime de soi.Ne ratez jamais l'un de ses spectacles a l'école et captez le moindre de ses gestes sur video.Faîtes que sa vie devienne une téléréalité !
Après tout,la naissance de votre enfant est la chose la plus importante qui soit arrivée dans votre minable existence , non ?
Pour un Monstre de qualité,il faut un parent séparé ? Pas de problême ! L'important n'est pas la quatité des moments que vous passez avec votre enfant,mais leur qualité.Transformez chacun de vos weekends de garde en fête !
Prévoyez un programme d'enfer,(allez louer le costume qui va avec ça;),planifiez tout a l'avance
,agissez comme si vous étiez G.O. dans un club Med !
Invitez des amis a coucher,allez au zoo,décorez sa chambre a coucher ,organisez des soirées thématiques ! Bref,faîtes en sorte que votre enfant ne s'ennuie jamais,qu'il soit incapable de s'amuser tout seul et qu'il n'ait aucune vie intérieure.Vous verrez; il deviendra une petite peste (achetez-lui le DVD du film, en cadeau)en moins de deux!
Ont est tous égaux!
Détruisez toute forme de hiérarchie entre vous et votre enfant . Ce n'est pas parce que vous êtes son père ou sa mère que vous en savez plus sur la vie ! N'oubliez pas ; votre enfant est votre égal. Vous ne l'élevez pas,vous l'accompagnez dans son cheminement.Après tout, nous sommes en 2008.Ce n'est pas l'expérience et la connaissance qui comptent ,aujourd'hui ,mais l'innocence , l'enthousiasme,la spontanéité ! (C'est pour ça que beaucoup d'accident de la CSST sont relier directement a cette génération la, d'employé.)(Et que les shows de téléréalité ainsi que les séries Jackass ont été créer pour eux !)Votre enfant n'a pas a devenir adulte,c'est vous qui devez redevenir un enfant . Écoutez-le,observez-le ,laissez-le vous guider...
Vous verrez,Brel avait raison; un enfant ça vous décroche un rêve.(et un cadre , et une lampe...)
La vie en rose quoi !
Ne soyez pas trop dur envers votre enfant,la vie est déja assez difficile comme ça.S'il a 4 sur 10 en maths,par exemple,ne lui dîtes pas qu'il a coulé son examen . Dites que c'est mieux que 3 !
Aprenez-lui a voir le bon côté des choses . banissez les mots trop durs comme échec, erreur, ou faute. Votre enfant est une rose ,laissez-le s'épanouir a son rythme . Et si par malheur un professeur était trop sévère avec lui ,n'hésitez pas a portez plainte !
Votre jeune n'est pas un vulgaire élève,comme a l'époque des écoles de rang : c'est un client du système scolaire! Vous allez voir que votre enfant Roi,va se transformer en un Monstre.
L'enfant imite les parents:
Comme panorama qui s'offre a lui; un premier ministre qui a accepté de l'argent en dessous de la table; un autre a magouillé dans les commandites;un réseau de télévision decide qu'il ne paie plus ses dettes ; les pétrolières volent et abusent a ciel ouvert; la lieutenant-gouverneur est sur le party avec l'argent des contribuables; la contrebande a qui mieux mieux dans les réserves indiennes¨Ça ne lâche pas,ceux qui devraient donner l'exemple ,les citoyens gouvernementaux ou gros corporatifs se comportent en bums.
Et lorsque les Boomers regarde leurs passé; ils se rendent compte,que le prof de sciences morales était aux p'tits gars et le curé de ma paroisse aussi; le bonhomme du dépanneur ,par la porte arrière vendait de la bière aux mineurs ; a la taverne du coin, tous les soirs Ti-Paul arrivait avec sa cargaison de stock volé le jour même ; le journal étalait de formidables corruptions impliquant les 3 paliers de gouvernement, a l'époque de la construction du Parc Olympique ; parallèlement a ça, on découvrait toutes les liaisons de bandits a la CECO; la pègre travaillait en toute tranquillité, au vu et au su de tous dans les domaines syndicaux , de la boxe et de la drogue ,plusieurs caids étaient même des vedettes.
Alors des fois , dans des manifs trop arrosées ,beaucoup de kids ne savent plus trop ce qui est permis ou punissable.
Comme mesure dans les écoles:
La CSDM pense a une politique du civisme et du vouvoiement ,dans nos écoles!
Il y aura un forum sur le civisme en janvier 2009.
Des écoliers qui s'adressent a des adultes comme a un camarade, des jeunes qui utilisent un langage vulgaire et d'autres qui ignorent quand il faut s'excuser,autant de signes que la politesse est en perte de vitesse dans les écoles.Des mesures seront prise pour contrer le taxage,la toxicomanie et la cyberintimidation.
Le plan du MEQ,maintenant:
Pour freiner la violence a l'école,un budget de:
4,1 millions $ ; formation et accompagnement des écoles pour la mise en place de leur plan d'action(embauche d'agents de soutien qui assureront le suivi )
6,9 Millions $ ; financement de projets proposés par les écoles dans leur plan d'action.
5,3 Millions $ ; service d'accompagnement des élèves suspendus ou expulsés.
465,000 $ ; interventions nationales(portrait de la situation de la violence ,comité d'experts...)
120,000 $ ; mécanisme d'information et d'échange (bulletin semestriel,site internet,forum national ...)
TOTAL : 17 $ Millions, sur 3 ans.
Quoi,y a pas de cours pour les parents avec ça ?
Comme ,comment donner une fessée ;o) , sans que l'avocat de votre ado ne vous emmène en cours ;0( .......................;0)..................... !
Ref, : Richard Martineau et Michel Beaudry du JdM.