Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

Aucun message portant le libellé Steve Jobs. Afficher tous les messages
Aucun message portant le libellé Steve Jobs. Afficher tous les messages

jeudi 7 mai 2015

Bill Gates doit tout au père de Steven Spielberg, et nous aussi...


Cascade de dominos. Un homme a conçu un ordinateur qui a abouti à la la création du Basic, langage de programmation qui permis à toute une génération, de Bill Gates à Steve Jobs, d’initier la révolution de l’informatique personnelle.



80,3 milliards de dollars. C’est la fortune de Bill Gates estimée par Forbes en ce 4 mai 2015. Un chiffre qui fait du co-fondateur de Microsoft l’homme le plus riche au monde. Comme la société se plaisait à le rappeler à l’occasion de ses 40 ans, tout a commencé par la création d’une adaptation de Basic (l’Altair BASIC), menée par Bill Gates et Paul Allen. Ce dernier publiait d’ailleurs une photo sur Twitter début avril en témoignage de ces débuts incertains.
Microsoft sans le Basic ne serait sans doute jamais devenu ce qu’il est désormais, un géant du logiciel. Et le Basic ne fêterait pas ces jours-ci ses 51 ans sans le GE-225, un ordinateur mainframe conçu en 1959 au sein du département d'informatique industriel de la société GE (General Electric). Car, c’est sur cet ordinateur pas encore très personnel que des étudiants et chercheurs de l’université de Dartmouth ont conçu ce langage de programmation…
C’est ce langage facile à appréhender – vous en avez peut-être acquis les bases au collège – qui a ouvert les portes de la révolution des ordinateurs personnels, en permettant à de jeunes geeks comme Bill Gates, Paul Allen, Steve Wozniak ou Steve Jobs de se lancer à l’assaut du monde informatique.
Or, la première étincelle, le GE-225, ces géants de la Silicon Valley et l’humanité toute entière le doivent à un certain Arnold Spielberg, explique un post sur le blog de l'entreprise GE Reports. Arnold Spielberg, qui a désormais 98 ans, est le père du célèbre réalisateur Steven Spielberg. C’est lui qui a conçu cet ordinateur 20-bit, qui occupait une pièce entière, embarquait 10 000 transistors et 20 000 diodes. Les données étaient conservées sur des bandes magnétiques enroulées sur des bobines, des cartes perforées ou des bandes de papier.
Vendu 250 000 dollars à l’époque, le GE-225 a été un succès commercial – malgré la désapprobation du directeur général de la société qui le produisait.
En 2006, l’IEEE Computer Society reconnaissait en Arnold Spielberg un pionnier de l’informatique. Bien avant Bill Gates et Steve Jobs, il a en effet contribué à la révolution que nous connaissons depuis plus de 40 ans…

Source.:

vendredi 4 mai 2012

Livre: «Au coeur d'Apple», d'Adam Lashinsky

Entrevue avec l'auteur - «Au coeur d'Apple»: la face cachée de la pomme
Adam Lashinsky, l'auteur du livre «Au coeur d'Apple» qui sera sur les tablettes dès mercredi le 2 mai. 
© Courtoisie

Que l'on soit pro ou anti-Apple, tout le monde s'accorde pour dire que l'entreprise est unique et fascinante.
Adam Lashinsky, rédacteur en chef du magazine Fortune, spécialiste de la techno et de la finance, a voulu lever le voile et a investigué pendant plus d'un an dans les coulisses d'Apple.
Son travail fouillé est consigné dans un livre fascinant intitulé «Au coeur d'Apple». Rencontre avec l'auteur.
Comment est venue l'idée d'écrire ce livre?
Tout a commencé en 2008, quand j'ai rédigé le portrait de Tim Cook. Je me suis rendu compte que je lui posais des questions différentes de celles des autres journalistes, notamment en ce qui concernait la façon dont Apple fonctionnait. Mais c'est seulement en 2010 que mon éditeur a suggéré l'idée de faire un livre entier sur le sujet.
Qu'est-ce que vous vouliez savoir exactement?
Apple est une entreprise qui est entourée d'une image un peu magique, en raison de ses produits, la façon dont elle communique. Et comme c'est le cas en magie, il y a des secrets que j'ai essayé de comprendre et de révéler. Finalement, je n'ai fait qu'essayer de comprendre comment fonctionnait l'entreprise.
Les gens d'Apple savaient-ils que vous prépariez ce livre?
Oui, depuis le début je leur ai fait part de mes intentions, j'ai toujours été transparent et je leur ai laissé toutes les occasions de coopérer.
L'ont-ils fait?
Non, aucunement. On m'a fait savoir qu'Apple ne m'accorderait aucune entrevue, ni avec les dirigeants, ni avec aucun employé.
Dans ce cas, comment écrit-on sur les coulisses d'une entreprise qui nous en refuse l'accès?
Il y a d'autres façons de procéder, mais cela reste un travail de journalisme d'investigation classique, la différence, c'est que pour obtenir une information, il faut poser beaucoup plus de questions à beaucoup plus de monde pour ensuite regrouper les morceaux. Écrire sur Apple peut s'approcher dans la méthode de travail d'une enquête sur l'armée ou sur les services secrets.
Quelles ont été vos sources d'information?
N'ayant pas l'autorisation d'avoir une interaction directe avec Apple, j'ai donc interviewé d'anciens salariés d'Apple issus de tous les niveaux de l'entreprise et qui étaient employés après 2007, car je voulais un portrait d'Apple dans sa version moderne; j'ai également parlé avec des gens qui faisaient des affaires avec eux. Vous savez, il y a toujours quelqu'un qui est prêt à parler, le plus difficile c'est de trouver cette personne.
Est-il raisonnable de faire confiance à d'anciens employés? S'ils ne travaillent plus pour Apple, c'est peut-être que les choses se sont mal passées, qu'ils nourrissent de la rancœur?
La plupart des anciens employés que je cite dans le livre le sont sous leur vrai nom. Dans la grande majorité des cas, ils sont très fiers d'avoir travaillé pour cette entreprise et n'ont pas d'amertume vis-à-vis d'Apple. Ils ont au contraire un sentiment d'accomplissement dans leur carrière. Et ils ont quitté leur emploi pour différentes raisons, pas uniquement de façon négative.
Vous avez eu des pressions de la part d'Apple?
Non, absolument aucune pression.
Êtes-vous néanmoins sur leur liste noire désormais?
Non plus. La preuve est que j'ai été récemment invité à la présentation de la nouvelle version de l'iPad. Je qualifierai ma relation avec Apple de cordiale.
Qu'est-ce qui vous a le plus surpris au cours de votre enquête?
C'est sans aucun doute le fait que le culte du secret est omniprésent. Non seulement vis-à-vis du grand public, nous en savons tous quelque chose, je crois, mais aussi au sein même de l'entreprise. Les employés ne savent pas ce sur quoi leurs collègues travaillent.
Autre chose qui m'a surpris: les employés ne considèrent pas ce qu'ils font comme du travail, mais comme une passion. Ils sont ultramotivés, c'est presque religieux.
Est-ce que cet état d'esprit va changer à la suite de la mort de Steve Jobs?
C'est la question la plus importante à se poser, je crois. Steve Jobs a ancré très solidement dans Apple une forme de management très moderne, un esprit d'entreprise très fort. L'entreprise va continuer à être excellente selon moi, mais sera-t-elle aussi excellente? C'est ça la question.
Si vous aviez Steve Jobs en face de vous, quelle question lui poseriez-vous?
Je lui demanderais justement si lui pense qu'Apple pourra être aussi géniale sans lui. Je crois, mais ce n'est que pure spéculation de ma part, qu'il serait partagé. D'un côté, il souhaiterait évidemment qu'Apple continue à avoir autant de succès, mais de l'autre, son égo le pousserait à penser que sans lui, les choses ne se passeront pas si bien.

Le livre «Au coeur d'Apple», d'Adam Lashinsky, publié aux Éditions de l'Homme, sera sur les tablettes dès le 2 mai prochain.


























REF.:

mardi 18 octobre 2011

Après le iPhone 4S ? ,................Steve y a participé !


L' iPhone 4S n'est pas le dernier grand projet que Steve Jobs a travaillé sur, selon un analyste. Ce serait le prochain iPhone - appelons-le l' iPhone 5 .
L'iPhone de prochaine génération "est le dernier projet que Steve Jobs a été intimement impliqué dans la conception à la conception finale. Pour cette raison ... ce produit sera d'établir la ligne des hautes eaux pour les volumes de l'iPhone», Ashok Kumar, analyste chez Rodman & Renshaw, a écrit dans une note de recherche, cette semaine. Il s'attend à l'iPhone 5 d'être un "classique culte" en raison de l'implication d'emploi ».
Dans la note, Kumar a déclaré que le téléphone aura un profil plus mince et de plus grande taille de l'écran, mais avec les mêmes dimensions que l'iPhone 4S (le relativement petit de 3,5 pouces écran est pas un de la 4S 'meilleures caractéristiques) . L'iPhone est également attendu d'avoir le LTE, ou Long Term Evolution - ce qui est parfois appelée 4G.
Une autre source, à qui j'ai parlé avec cette semaine et qui prétend avoir connaissance de ce remaniement, a déclaré l'iPhone 5 est une refonte "complète. C'est un projet très important que Steve a consacré tout son temps à. Il n'était pas impliqué dans la 4S, parce que son temps était limité. "
Cela fait sens pour moi. Esthétiquement, l'iPhone 4S est identique à l' iPhone 4 . Donc pas de grand changement ici. Et si la 4S a été remanié à l'intérieur, à certains égards, il porte sur la technologie déjà en l'iPad 2 : la même processeur dual-core, la capacité de la mémoire même, l'accéléromètre mêmes, gyroscope mêmes, entre autres similitudes.
Donc, ce n'est probablement pas déraisonnable de s'attendre à l'iPhone 5 d'être une "refonte complète", comme dit la source - ce qui signifie à la fois extérieurement et intérieurement, mais probablement moins en interne par rapport à l'utilisateur face à des changements prononcés comme la taille de l'écran. (Impossible de dire quel type de plans d'Apple a sur le front de logiciel:? IOS 6 Siri 2)
L'iPhone 5 devrait débuts au moment de la conférence des développeurs d'Apple à l'été de 2012, selon la note de recherche Kumar.