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vendredi 29 avril 2022

App gratuite, frais cachés? Détectez-les sur l'App Store et Play Store

 

 

App gratuite, frais cachés? Détectez-les sur l'App Store et Play Store

 

Il existe des milliers d’applications gratuites pour iPhone, iPad, ou appareils Android. Cependant, certaines applications gratuites cachent des frais et tendent des pièges pour nous faire payer. Voici quelques trucs pour ne pas se faire avoir et comment être remboursé.

Apple favorise de plus en plus les développeurs d’applications à offrir des abonnements à même leur application. C’est une technique très lucrative pour la marque à la pomme, puisqu’elle prélève une taxe de 30% sur la première année d’abonnement puis 15% ensuite sur les abonnements suivants.

Cette initiative vient quelque peu hanter Apple, puisque des applications frauduleuses se glissent sur l’App Store. Ces applications sont offertes gratuitement, mais elles cachent en réalité des abonnements faramineux auxquels on s’inscrit sans même le savoir parfois.


Des applications aux abonnements frauduleux se promènent sur l'App Store et Play Store.

Les indices pour identifier une fausse application gratuite

Apple a décidé de s’attaquer à ce problème des abonnements cachés alors que des médias recensaient de plus en plus de ce type d’applications trompeuses.

J’avais moi-même fait mention de l’une d’entre elles (WebTranslator) qui chargeait 118,99$ par semaine! L’application a depuis été retirée de l’App Store tout comme Weather Alarms, Scanner App et QR Code Reader.

Ces applications utilisaient des subterfuges à l’aide de pop-up pour que l’on s’inscrive sans le savoir, ou bien commençaient à charger après ce qu’ils considéraient un essai gratuit de leur service.

La prudence est donc de mise lorsqu’on envisage de télécharger une application gratuite d’un développeur méconnue. Bien qu’Apple s’attaque au problème, il se peut que d’autres glissent dans les mailles du filet.

Pour déceler ce type d’arnaques autant sur l’App Store que le Play Store d’Android, il est important d’aller lire les commentaires ou avis faits sur l’application en question. Bien que ces applications rédigent souvent de faux commentaires, ils restent que les vrais sont aussi affichés. Alors si l’on voit des gens crier à l’arnaque, c’est qu’il vaut mieux ne pas y toucher.

L’autre indice à regarder c’est d’aller voir la description complète de l’application et voir s’il y a une rubrique Achats intégrés. Dans le cas de l’application WebTranslator par exemple, les frais de 118,99$ étaient bel et bien affichés, ce qui leur permettait en quelque sorte de se défendre en disant que l’information était disponible. On s’entend que ça demeure malhonnête…



Quoi faire si l’on s’est abonné à une application par erreur

L’erreur est humaine et il se peut que l’on tombe dans le piège de ces applications frauduleuses. Si cela nous arrive, il vaut mieux rapidement mettre fin à l’abonnement et signaler le problème à Apple ou Google.

Pour les détenteurs d’un appareil Android, la procédure est très simple. Pour se désabonner d’un abonnement d’une application sur Android, il faut:

  • Ouvrir l’application Play Store.
  • Cliquer sur l’image ronde de son profil dans le coin supérieur droit.
  • Sélectionner Paiements et abonnements, puis Abonnements.
  • Sélectionner l’application dont vous voulez vous débarrasser et cliquer sur Se désabonner.


 

Sur un iPhone ou un iPad d’Apple, l’opération est un peu plus compliquée. Pour se désabonner d’un abonnement d’une application sur iOS, il faut:

  • Ouvrir l’application App Store.
  • Cliquer sur l’image ronde de son profil dans le coin supérieur droit.
  • Sélectionner Abonnements.
  • Sélectionner l’application dont vous voulez vous débarrasser et cliquer sur Annuler l’abonnement.


 

Si l’on a été facturé, il faut alors signaler à Apple ou Google.

Pour Google, on peut signaler des frais non autorisés à travers l’onglet Aide et commentaires du Play Store, alors que pour Apple il faut aller dans son Historique d’achat et cliquer sur Signaler un problème lié à un contenu acheté.

 

REF.:   https://francoischarron.com/securite/fraude-et-arnaques-web/app-gratuite-frais-caches-detectez-les-sur-lapp-store-et-play-store/TFgt8wdFlJ/

dimanche 2 octobre 2016

Bienvenue à la G Suite $ ,Adieu Google Apps,



Google rebaptise ses outils destinés aux professionnels et leur ajoute des fonctions pour les aider à lutter contre la suite de Microsoft.

samedi 10 octobre 2015

Android: Comment supprimer le message « espace de stockage insuffisant »




Il arrive parfois, lorsque vous cherchez à télécharger une application dans le Play Store, que votre téléphone refuse purement et simplement en vous affichant un très désagréable message d’erreur vous indiquant que l’espace de stockage disponible de l’appareil est «insuffisant ». Bizarre pourtant puisque la veille, vous parveniez encore à télécharger des applications.
supprimer espace stockage insuffisant
Généralement, le cas de figure est le suivant. L’application que vous souhaitez télécharger affiche seulement quelques MB, vous savez déjà que l’espace de stockage de votre téléphone est loin d’être plein et en plus vous avez l’habitude de déplacer régulièrement vos applications vers votre carte SD. Alors pourquoi ce fichu message d’erreur vient vous gâcher votre journée alors qu’il vous reste théoriquement suffisamment d’espace pour télécharger les applications que vous souhaitez ?
espace stockage insuffisant
Malheureusement, ce problème survient assez souvent lorsque le cache des applications n’est pas correctement vidé. Certaines des données ne peuvent pas être déplacées vers la carte SD et prennent ainsi une place considérable sur la mémoire interne, vous empêchant de télécharger de nouvelles applications. Voici comment résoudre ce problème.
1. Pour commencer, déplacez tout ce que vous pouvez déplacer vers votre carte SD, en vous aidant de notre précédent tutoriel. Il va falloir faire de la place pour télécharger App Cache Cleaner, une petite application d’à peine 2 MB qui va vous aider à résoudre le problème. Petit conseil, commencez par les photos et les vidéos, c’est ce qui prend le plus de place.
2. Rendez-vous dans le Play Store en cliquant sur l’image ci-dessous pour télécharger App Cache Cleaner.
3. Lancez l’application et acceptez les conditions générales d’utilisation. App Cache Cleaner va alors scanner le cache des différentes applications installées sur l’appareil. Dès que le scan est fini, cliquez sur « Nettoyer tout ».
cache applications
4. Retournez ensuite dans le Play Store pour télécharger l’application que vous souhaitiez installer au départ et gardez bien cette outil de côté pour la prochaine fois.

Source.:

mardi 27 janvier 2015

Une application pour suivre vos célébrités préférées à l'antenne

L'application onAir, créée par la start-up lyonnaise MCIS


Vous rêviez de voir en direct la dernière interview de Romain Duris? Seulement, vous l'avez manqué et vous vous mordez les doigts d'avoir loupé une telle occasion, pestant de ne pas l'avoir su avant.
Pour remédier à ce genre de désagrément, MCIS, jeune start-up lyonnaise a mis au point une application: onAir Alert.  Une application mobile accessible gratuitement sur les plateformes de téléphonie mobile Android et iOS.

«Devenir un réseau social»

Le concept est simple: il s'agit d'alerter les utilisateurs du passage à l'antenne des personnalités ou célébrités qu'ils aimeraient voir. «Les médias, qui ont vu un intérêt pour eux, ont vraiment joué le jeu en nous fournissant de nombreuses informations», commente Vassili Daronnat, le président de la start-up.
Ainsi, les utilisateurs peuvent écouter l'émission en direct, en différé mais aussi poster eux-mêmes des alertes pour informer les membres de la communauté.
«Notre ambition est de devenir un réseau social», explique Vassili Daronnat. L'idée lui est venue en octobre 2013 alors qu'il travaillait pour Cegid, l'entreprise fondée par Jean-Michel Aulas. «J'avais manqué un jour l'interview de mon directeur, raconte-t-il. J'ai cherché une application qui pouvait m'avertir des rendez-vous médiatiques de certains chefs d'entreprise et je n'ai rien trouvé.»

6.000 personnalités référencées

Le quadragénaire s'est alors lancé dans l'aventure, avec l'aide d'une poignée d'amis, bûchant des soirs et des week-ends entiers en dehors de ses heures de travail. Cinq mois auront été nécessaires pour mettre au point l'application, lancée en février 2014.
En janvier, plus de 6.000 personnalités étaient référencées sur l'application dont Gad Elmaleh qui arrive en tête des téléchargements, et 20.000 utilisateurs recensés. «Le but est d'atteindre le nombre de 500.000 à la fin de l'année, et 5 millions en 2016, annonce Vassili Daronnat. Cet objectif n'est pas démesuré car nous avons une carte à jouer: mettre le live en avant.»
«Nous pensons que nous avons un destin à la Twitter et que nous pouvons devenir le réseau social de demain», conclut le quadragénaire qui rêve de débarquer sur le marché américain en 2016.

Source.:

mercredi 24 octobre 2012

Google App: Cinq paramètres de sécurité, vous devriez avoir déjà changé

Améliorer la sécurité de votre compte Google Apps installé avec quelques changements de réglage vitaux.
Matthew Prince, le PDG et co-fondateur de CloudFlare, rapporté que les pirates accédé un client compte la semaine dernière à la suite d'un compte de messagerie Google CloudFlare compromis applications. Ceci est remarquable, car le prince est techniquement savvy.
Prince-configuré Google Apps pour exiger authentification à deux facteurs. Il serait entrer dans son nom d'utilisateur et mot de passe, puis être invité à entrer un numéro à six chiffres. Il recevrait ce nombre à six chiffres sur son téléphone (à partir d'une application, ou via un SMS ou un appel vocal), puis le saisir pour accéder au compte.
Prince a également mis son compte Gmail personnel - comme un compte secondaire - de recevoir CloudFire Google Apps instructions de réinitialisation de mot de passe. Malheureusement, le prince avait pas configuré son compte Gmail personnel d'exiger authentification à deux facteurs. Cela peut avoir été un facteur contribuant à l'attaque.

Automatiquement vous abonner à notre Google Enterprise dans le bulletin!

Prendre des mesures pour vous protéger

Sécurisation des systèmes est une tâche sans fin. Mais cela ne signifie pas qu'il est sans espoir.
Voici plusieurs paramètres de sécurité d'examiner de votre compte Google Apps. Vous aurez besoin d'avoir un accès administratif à votre panneau de configuration Google Apps pour revoir et modifier ces paramètres.

1. Activez SSL

Voir: Paramètres du domaine | Général | Activer SSL

Figure A


Ceci est particulièrement utile pour les utilisateurs qui accèdent aux applications Google sur des réseaux non sécurisés, tels que ceux qui sont souvent trouvés dans les hôtels et les cafés. L'activation de SSL crypte le trafic de session entre le navigateur et Google Apps.

2. Augmenter la longueur minimale mot de passe requis

Voir: Outils avancés | section Authentification

Figure B


Le Royaume- Etats- Ordinateur D'urgence Empressement Équipe (US - CERT) suggère "une longueur minimale du mot de 15 caractères pour les comptes d'administrateur» et une «longueur minimale du mot de 8 caractères pour les utilisateurs standard."
Dès 2006, " La minute 60 Réseau Sécurité Guide », publié par la U. S. National Sécurité Agence (PDF) a recommandé une longueur minimale du mot de 12 caractères pour les utilisateurs du domaine Windows, et 14 caractères pour les comptes d'administrateur.
Comme d'habitude "ne pas utiliser un mot du dictionnaire, des variantes de votre nom, votre adresse, le nom de l'animal ou le mot de passe mot« orientation s'applique. Je vous recommande également de ne pas utiliser "00000000" comme mot de passe. L' U. S. stratégique Air Commandement d'occasion que comme la mot de passe bloquer sur Minuteman missiles (PDF) jusqu'en 1977. L'armée, cependant, il y avait beaucoup de sécurité physique pour empêcher l'accès physique non désirée.

3. Activer et configurer le 2-étape d'authentification pour les comptes utilisateur

Voir: Outils avancés | section Authentification
Pour utiliser le 2-étape d'authentification, les gens ont besoin de relier un téléphone à leur compte Google. Google fournit des instructions d'installation détaillées pour les utilisateurs , ainsi que pour les administrateurs .
Renvoyer le lien ci-dessus et d'instruire les gens à créer 2-étape d'authentification n'est pas suffisant. Beaucoup de gens ne pourront tout simplement pas passer par le processus d'installation. Personnel de votre organisation de support technique devrait marcher les gens à travers le processus, puis vérifiez que le 2-étape d'authentification est configuré pour chaque utilisateur.
Personnel de soutien technique devrait également aider les utilisateurs à configurer une application - spécifique mots de passe . Spécifiques à l'application des mots de passe seront nécessaires pour les utilisateurs de smartphones qui tentent d'utiliser ActiveSync après 2-étape d'authentification a été activée.
Remarque: Le téléphone utilisé pour l'authentification à 2 facteurs devrait être celui qui est en propriété, ou pour lequel l'employé reçoit un remboursement pour l'utilisation des travaux connexes.

4. Désigner deux comptes administrateurs ou définir l'adresse e-mail secondaire à celui d'un compte également garanti par authentification à deux facteurs

Voir: Paramètres du domaine | Général

Figure C


S'il ya deux ou plusieurs comptes d'administrateur, l'adresse e-mail secondaire peut ne pas être nécessaire. Au lieu de cela, un autre administrateur peut réinitialiser les mots de passe et rétablir l'accès. Cela peut être efficace, même pour les petites organisations. (En général, je recommande que les organisations à but non lucratif de fournir un accès administratif à la fois un membre du personnel de confiance, et un membre du conseil.)
S'il n'y a qu'un seul compte d'administrateur, alors je vous recommande de créer un compte séparé Gmail (par exemple, companyadmin@gmail.com) avec un mot de passe fort et 2-facteur d'authentification est activée. Ce compte sera utilisé uniquement à des fins de réinitialisation de mot de passe. Veillez à ne pas utiliser ce compte comme une norme «fourre-tout» compte pour d'autres tâches.

5. Gardez votre Google Apps client et votre NIP soutien et numéros de téléphone sécurisé déconnecté

Voir: Soutien

Figure D


Support téléphonique direct est disponible pour les administrateurs de Google Apps, en cas de besoin. Si vous rencontrez une situation qui ne peut être résolu avec un reset de Google ou de méthodes de restauration ci-dessus, contactez l'assistance Google par téléphone. Je vous recommandons d'imprimer la page «Support» à partir de votre panneau de configuration Google Apps. Conservez cette page en toute sécurité, car il contient à la fois client et votre NIP de soutien qui seront nécessaires lorsque vous contactez le support.

Résultat financier

Comme Google a démontré lors de l'incident CloudFire, leur équipe est impatiente d'enquêter et de remédier aux atteintes à la sécurité quand ils se produisent. Et ils vont se produire - quel que soit le système utilisé.
Le seul ordinateur sûre est celle qui n'est jamais connecté à un réseau et de ne jamais sous tension. Cependant, un tel ordinateur est également inutile. Au lieu de débrancher complètement, prendre des mesures prudentes pour sécuriser vos systèmes. Mais reconnaissons aussi que lorsque nous augmentons la sécurité, on diminue la facilité d'accès.


REF.: 

lundi 22 octobre 2012

L'outil natif promis par Google pour débusquer les applications malicieuses n'aura pas d'intérêt ?


Android : des chercheurs allemands trouvent une nouvelle fois des failles béantes

Sécurité - La sécurité du système d'exploitation mobile Android continue de faire parler. Cette fois, des chercheurs allemands ont pu exploiter des négligences dans le code d'applications populaires.
Android serait victime de nouvelles failles, si l'on en croit des chercheurs allemands. La source est fiable, puisqu'il s'agit de chercheurs des universités de Hanovre et de Marbourg, en Allemagne.
Selon eux, 1024 applications, sur 13500 étudiées, ne géreraient pas correctement l'implémentation des fonctionnalités de sécurité type SSL et TLS. Elles seraient ainsi vulnérables aux attaques HDM (homme du milieu).
Données confidentielles en fuite
En clair, les données qui transitent entre l'application et le serveur du service peuvent être interceptées au moment de la transmission. Les chercheurs expliquent qu'en se connectant via un réseau local, ils ont pu exploiter les failles de 41 de ces applications sur Ice Cream Sandwich.
Ils ont ainsi pu récupérer des données confidentielles, voire particulièrement sensibles. Noms, emails, messages instantanés, données de comptes sur les réseaux sociaux, mais aussi numéros de comptes bancaires, de carte bleue ou de comptes Paypal.
Les applications, dont les noms n'ont pas été dévoilés par les chercheurs, sont parmi les plus populaires : elles ont été téléchargées entre 39,5 et 185 millions de fois sur le marché applicatif de Google.
Outil d'analyse du code à venir 
Concrètement, les chercheurs ont développé un outil d'exploitation des failles SSL qui a été testé sur 100 applications. Il est parvenu à en compromettre 41, ainsi qu'à se débarrasser à distance de la protection d'un antivirus.
"En manipulant les signatures de virus téléchargées lors de la mise-à-jour automatique d'un antivirus, nous avons pu neutraliser la protection ou même supprimer des applications au choix, y compris l'antivirus lui-même."
Les chercheurs signalent qu'ils distribueront bientôt un outil pour analyser le code des applications et mettre au jour les failles éventuelles. C'est un nouveau coup dur pour l'image d'Android, épinglé la semaine dernière par le FBI sur sa sécurité.(Comme Loozfon et de FinFisher capables de voler des données ou de permettre une prise de contrôle à distance du terminal;ou d'éviter les points d'accès non sécurisés,ou l'accès au boutiques tierces )
Dans un cas comme aujourd'hui, même l'outil natif promis par Google pour débusquer les applications malicieuses n'aura pas d'intérêt. Seule une politique plus stricte pour les applications du Google Play Store permettrait d'améliorer la situation.
Rappelons que contrairement à Apple, Google ne valide pas les applications avant leur mise en ligne dans sa boutique d'applications.


jeudi 27 septembre 2012

Google Docs sera seulement compatible avec Office 2007, 2010 et 2013 ?


Office 2003 formats plus pris en charge par Google Apps

A emporter: Sondage: Est-ce que Office 2003 formats ne sont plus pris en charge par Google Apps une grosse affaire?
Sur Octobre 1, 2012, Google Apps n'auront plus la possibilité d'exporter des fichiers au format Google Docs dans Office 1997-2003 formats . Le communiqué ne le précise pas, mais il semble que les utilisateurs seront toujours en mesure d'exporter des fichiers au format Google Docs pour les formats Microsoft Office associés à Office 2007, 2010 et 2013.

Connecter automatiquement à Google TechRepublic dans le bulletin Enterprise!

Est-ce une évolution significative?

Je ne suis pas sûr de savoir comment cela sera important pour les entreprises. Je suis sûr qu'il ya encore un nombre important d'entreprises qui utilisent Office 2003, mais je ne suis pas sûr combien de consacrer beaucoup de temps à déplacer les documents de Google Apps pour Office et puis revenir.
Je peux voir ce qui est un inconvénient mineur nécessitant des changements dans les procédures pour certains, mais je ne vois pas comment cela pourrait être un problème majeur pour la plupart des entreprises.

mardi 8 mai 2012

Google Apps Vs Office 365

Ian Hardenburgh compare les caractéristiques de base de Microsoft Office 365 et Google Apps pour trouver celui qui vient en tête et inclut un graphique téléchargeable pour moins-un coup d'œil de comparaison.


Compte tenu de l'ampleur du développement Apps Google et Microsoft Office de 365 ont disparu sous peu, ou tout simplement le volume de caractéristiques de chaque service propose désormais, en décidant des "nuages ​​de bureau» pourrait être le mieux adapté pour votre petite entreprise ou une entreprise est devenue une très intimidante tâche, regorgeant de risque. Il ya un certain nombre de facteurs à considérer afin d'éviter effectivement nuire à la productivité d'une organisation ou la noyade dans les coûts irrécupérables et les dépenses imprévues. En outre, il existe d'autres arbitrages à choisir un service sur l'autre, qui vont bien au-delà du jeu de base des outils de productivité de chaque offre - SLA, support d'application, et peut-être, en particulier, culture de l'utilisateur et l'adoption.
Pour aider à diminuer l'appréhension à choisir Google Apps par rapport à Office 365, ou vice versa, je vais être la création d'une série de messages qui vont sur pratiquement tous les coins et recoins de chaque service. En outre, je vais dresser les caractéristiques analogues uns contre les autres afin de décrire la façon dont on pourrait mieux convenir pour les entreprises de petite, moyenne et / ou de grande taille, ou tout simplement expliquer comment on pourrait tout simplement mieux que l'autre. Je vais le faire par le biais d'un tableau de comparaison téléchargeable (format Excel), dont je vais vous décrire brièvement ci-dessous. Vous pouvez également trouver un modèle ci-joint de la carte que vous pouvez utiliser / fill-in sur votre propre, la réalisation de votre propre recherche.
Tout d'abord, nous allons étudier les applications bureautiques les plus élémentaires, la productivité et des applications de gestion de documents.

Des applications de productivité

Les applications qui à la fois Google Apps et Office 365 sont les plus connus pour leurs applications sont la suite de productivité qui comprennent un traitement de texte, de présentation et un tableur. Ces applications sont connus comme Google Docs sous Google Apps, et Office Web Apps dans Office 365. Les deux suites comprennent également des outils supplémentaires pour accompagner ces applications de base qui peut également être dit avoir été conçu pour promouvoir l'idée de la productivité au bureau accrue. Pour Google Apps, ce qui inclut sa forme et les applications de dessin, tandis que l'Office 365 offre une version en ligne de son logiciel OneNote bureau.
Veiller à ce que, probablement, la plupart des travailleurs de l'entreprise passent la majorité de leur journée de créer ou de collaborer sur traitement de texte, présentation, tableur ou des documents, c'est là que Google et Microsoft ont placé la plupart de leur accent en ce qui concerne le développement. Pour la plupart, Google a mis l'accent sur les dépouillant de ce que Microsoft a mis à profit avec son logiciel de bureau Office depuis des années, en faisant une interface simple et intuitive que les utilisateurs de logiciels de productivité, comme Office, permet de naviguer facilement, sans beaucoup de courbe d'apprentissage . Microsoft a adopté une approche similaire, mais prend toute la courbe d'apprentissage complètement hors de l'équation en réduisant simplement certaines parties ou fonctionnalités avancées, de son Office 2010 logiciel de bureau. Bureau de Microsoft et les versions cloud de son logiciel de bureau sont presque une image de cracher les uns des autres, quelque chose d'analogue à la façon dont on peut acheter une voiture. Choisir Office Web Apps est un peu comme en optant pour un modèle moins cher de la même voiture, mais moins les sièges en cuir, moteur plus rapide, toit ouvrant, et la fantaisie d'autres add-ons.
Les deux suites de productivité faire le travail, ce qui signifie que 99 pour cent de l'ouvrage principal que la majorité des utilisateurs de l'entreprise ne peut être accompli avec soit ensemble d'applications. Toutefois, pour que les 1% restants de travail qui doit être fait, Google Apps est laissé derrière, tout simplement parce que Office Web Apps offre aux utilisateurs la possibilité d'intégrer l'équivalent de la Parole de bureau, PowerPoint, Excel, OneNote et même, juste au cas où tâches les plus avancées, comme la création de programmes VBA, est nécessaire.

La gestion des documents

Il ya plus à la simple création de documents avec des applications de productivité (par exemple, traitements de texte ou un tableur) que des applications elles-mêmes. Il ya un certain nombre d'obligations qu'on a à entreprendre afin de bien gérer les documents, et les données ou informations en leur sein, de manière efficace. Notamment, en ce qui concerne ce qui est disponible sur Google Apps / Google Docs et Office Web Apps 365/Office, il ya le partage et la collaboration de documents avec des pairs, la possibilité de modifier des documents hors-ligne juste au cas où une connexion Internet est perdue ou n'est pas disponible, la synchronisation entre les des nuages ​​et de bureau dérivé documents, navigation documentaire et de recherche, documents d'importation et d'exportation, et des révisions de documents ou la gestion des versions.
La plupart des utilisateurs d'entreprise de travailler en équipe, et pas seulement besoin de partager leurs documents avec ses coéquipiers, mais aussi de collaborer avec eux sur ces documents en temps réel. Les deux Google Apps et Office 365 ont la possibilité de partager, collaborer, ou co-auteur des documents en temps réel, ou en cas de Office 365, pseudo temps réel. La vraie différence entre les deux peut-être une question de préférence - où Google Docs documents ont une approche plus simple de partage et de collaboration, Office 365 met en place un certain nombre de mécanismes visant à prévenir deux auteurs d'éditer les mêmes données à l'époque. Les deux peuvent être noté comme étant adapté à même le plus grand bien des entreprises, en particulier lorsque l'on considère que ce genre de technologie est relativement nouvelle, et vraiment pas disponibles ailleurs, au moins sur une grande échelle.
Édition en ligne, le document synchronisation, et l'importation / exportation de documents sont trois caractéristiques sont étroitement liées, car les deux sont empêtrés avec l'idée que l'utilisateur exigeant ce type de service, que ce soit via Google Docs ou Office Web Apps, n'est probablement pas l'intention de s'immerger complètement dans le nuage. Les deux applications Google et Office 365 ont amplement les moyens de fournir l'ensemble de ces caractéristiques, mais ils ont tous leurs raisons de s'inquiéter quand il s'agit de la grande entreprise.
La navigation et la recherche de documents peut être un ensemble de fonctionnalités qui auparavant étaient prises pour acquis, étant donné que nous avons tous une fois utilisé une sorte de logiciel de fichiers OS basé sur la gestion comme l'Explorateur Windows, jusqu'à tout récemment, lorsque les navigateurs Internet est devenu nécessaire pour accéder aux documents en ligne. Bien que des progrès ont été accomplis dans ce territoire le plus, se trouve que les deux services font défaut un certain «je-ne-sais-quoi" - la fluidité.
La révision du document pourrait être connu comme l'acte de deux stockage des copies anciennes d'un même document à la capacité de stocker une révision sur le coup de tête, tandis que des versions prend cette routine un peu plus loin en donnant à l'auteur la possibilité de comprendre les différences entre chaque version, comme avec CVS (Concurrent Versioning System). Bien que les deux Google Docs et Office Web Apps documente chacune des méthodes suffisantes en place pour garder une trace d'une longue histoire de révisions, une caractéristique des versions est totalement absent. Ce n'est peut-être nécessaire pour les utilisateurs avancés, tels que les développeurs, mais c'est quelque chose qui peut certainement approfondir l'argument pour déplacer entièrement vers le cloud. En outre, on pourrait dire que tous les utilisateurs ont besoin pour commencer à utiliser CVS.

En utilisant les tableaux

Le format Excel téléchargeable tableau est organisé comme suit:
La colonne fonctionnalité ne fait qu'énumérer le service à la demande ou l'offre en question. Cela ne veut pas être confondu avec des applications réelles, tels qu'ils sont énumérés dans les colonnes connus comme Google App / Service et le Bureau 365.
  • Google App / Service Colonne: Listes n'importe quelle application ou service général associé à la fonction cotée Google App.
  • Office 365 App / Service Colonne: Listes n'importe quelle application ou service général associé à la fonctionnalité Office cotée 365.
  • Taille des entreprises (Small, Medium et Large) Colonnes: GA (Google Apps) ou 365 (Bureau) indique ce qui est approprié dans chaque environnement. Peut-être un ou deux, et parfois «Ni».
  • Colonne Comparaison: Cette colonne énumère tous les points positifs et négatifs associés au choix d'une caractéristique de service cloud / demande sur l'autre. Cela pourrait être en ce qui concerne la façon dont il est approprié pour une entreprise particulière de taille. Mais peut-être, plus important encore, les plats à emporter pourrait illustrer comment le Google Apps ou Office 365, soit à la hauteur de ce qu'elle vise à accomplir ou même comment une meilleure performance des services de la concurrence.
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    Google Apps Professionnel coûte 40 € / utilisateur / an. Google Apps Education est gratuit.
     
    Office 365 propose une tarification complexe et confuse allant de 120 € à 300 € / an / utilisateur. La plupart des fonctionnalités innovantes sont optionnelles et il faut souvent prévoir à l’avance les options que l’on va prendre pour un utilisateur car il est impossible de passer d’un type de compte à un autre.
Voici les 4 critères de comparaison: ICI

jeudi 30 juin 2011

Cloud: Google Apps et Office 365 rien de gratuit


Microsoft saute dans les nuages avec Office 365

Logiciels - Microsoft saute dans les nuages avec Office 365
Steve Ballmer 
©AFP/Archives

Microsoft a dévoilé mardi la nouvelle version de sa suite Office, le produit phare du géant américain des logiciels qui fait là un pas sans précédent dans l'exploitation et le partage de données sur internet et pour les supports mobiles.
Lancée il y a une vingtaine d'années, la suite Office, qui comprend la messagerie Outlook, le tableur Excel ou encore l'outil collaboratif SharePoint, va muer avec cette version appelée «Office 365» afin d'être compatible avec davantage d'appareils.
Microsoft espère ainsi contrer l'offensive de Google, qui a conquis une part certes modeste mais qui va croissant d'entreprises en leur proposant une plateforme d'outils moins chère, uniquement disponible sur internet, ce qui leur épargne l'installation coûteuse d'une suite complète.
Google estime à 40 millions le nombre d'utilisateurs de Google Apps et a arraché en juin le marché de messagerie électronique des 25.000 employés de l'hôtelier InterContinental Hotels Group. Microsoft ne donne pas de chiffres mais le nombre d'adeptes d'Office est estimé à 750 millions.
«Cela met Microsoft dans une meilleure position qu'avant. Ils disposent maintenant d'un produit complet qu'ils peuvent vendre plus facilement», estime Michael Silver, analyste chez Gartner, cabinet spécialiste des nouvelles technologies.
Jusqu'à lors, Microsoft proposait des versions web de certains programmes d'Office, à commencer par Outlook, pour sa clientèle d'entreprises. Il avait lancé l'année dernière des versions gratuites pour les particuliers.
Moins de marge, plus de clients
Cette entrée dans le domaine de l'informatique en nuage, qui consiste à stocker à distance des données pour le compte de l'utilisateur, constitue un défi de taille pour Microsoft.
Son modèle économique a largement reposé jusqu'à maintenant sur une suite logicielle onéreuse et installée chez le client, et dont les ventes ont encore totalisé plus de trois milliards de dollars au dernier trimestre.
Microsoft entend désormais tabler sur des marges plus faibles - compte tenu des coûts de stockage des données et d'entretien des serveurs - mais s'octroyer une part plus grande des dépenses des entreprises en matière de technologies, notamment chez les PME, séduites par l'offre de Google.
Cet «Office 365» peut permettre aux clients de réaliser d'importantes économies, a expliqué Steve Ballmer, directeur général de Microsoft, lors d'une conférence de presse de présentation de la nouvelle suite, à New York.
Un des clients tests a ainsi dit «s'attendre à réduire ses coûts de déplacement et ses émissions carbone de 30%, une fois qu'auront été mis au rebut les 60 serveurs dont ils pensent pouvoir se séparer», a souligné Ballmer.
Microsoft prévoit de facturer le service de courrier électronique deux dollars par mois et par utilisateur. Le paquet de services plus élaborés sera vendu 27 dollars. A titre de comparaison, Google facture 50 dollars sa suite logicielle en ligne Google Apps qui inclut entre autres courriels, calendrier et traitement de texte.
Microsoft propose de stocker lui-même les données, mais à l'inverse de Google, qui impose sa solution en ligne, il laisse aussi la possibilité aux entreprises de choisir un serveur dédié ou de gérer le stockage sur leur propre matériel.

REF.: