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mercredi 12 décembre 2012

Qui contrôle l'internet ? .......$$$


La carte des pays "ennemis d'Internet" ou "sous surveillance", d'après l'organisation Reporters sans frontières.


En raison de  sa nature décentralisée, Internet n'est pas "contrôlé" par un unique organisme, Etat, ou entreprise. Contrairement à une idée répandue, le réseau n'est pas non plus une "jungle" totalement libre : à tous les échelons, de nombreux organismes exercent ou peuvent exercer un contrôle ou une censure sur les informations qui y circulent.
AU NIVEAU MONDIAL

Les stuctures les plus fondamentales d'Internet sont sous le contrôle de l'Icann,l'Internet corporation for assigned names and numbers. Cet organisme a un statut particulier, puisqu'il s'agit d'une société à but non lucratif, soumise au droit californien. Composé de nombreuses commissions, qui gèrent des problématiques structurelles, l'Icann encadre notamment les noms de domaine ou le fonctionnement des adresses IP (Internet Protocol, les "adresses" de machines et de sites sur le réseau).

La gouvernance de cet organisme stratégique fait l'objet de nombreux débats : plusieurs pays lui reprochent notamment la sur-représentation des Américains dans les différentes commissions. L'Europe et la Chine, notamment, demandent depuis plusieurs années une plus grande ouverture dans la gestion de la fonction Iana, la "racine" d'Internet, qui gère par exemple les noms de domaine en .com. Lepouvoir de l'Icann est fondamental, puisque l'organisation peut suspendre des noms de domaines entiers, comme elle l'avait fait pour le .iq irakien ou pour le domaine afghan.
Pour le bon fonctionnement du réseau, un organisme distinct de l'Icann est également chargé de fixer les normes techniques des technologies les plus courantes sur Internet, comme le langage HTML : le World Wide Web Consortium(W3C). Sa gestion est assurée conjointement par des experts américains, européens et japonais.
AU NIVEAU NATIONAL
S'il est décentralisé, le réseau reste cependant tributaire de la présence de câbles pour son bon fonctionnement : en l'absence de "tuyaux" suffisamment grands, le trafic peut être très fortement ralenti. Or, de nombreux pays sont dépendants, pour leur accès au réseau, d'un ou deux câbles sous-marins ou souterrains. EnAfrique, des pays entiers voient leur accès tributaire des décisions des pays voisins ou des choix des entreprises privées.
Surtout, les pays disposent techniquement de la capacité de bloquer ou decensurer tout ou partie d'Internet. Durant les manifestations qui ont précédé la chute de Hosni Moubarak, l'Egypte a pu couper quasi-instantanément l'accès au réseau en faisant pression sur les fournisseurs d'accès à Internet (FAI). En bloquant deux protocoles d'échange d'information vitaux, le pays a été coupé du reste de la Toile en quelques heures.
Sans aller jusqu'à ces extrémités, de nombreux pays exercent aussi un contrôle très fort sur le réseau. Des contenus contraires aux lois nationales sont ainsi bloqués dans la plupart des pays autoritaires, mais aussi dans des démocraties : en France, la loi sur les jeux d'argent en ligne permet d'ordonner le filtrage des sites qui n'ont pas reçu un agrément. En Australie, un vaste projet de filtre a été repoussé à plusieurs reprises devant les difficultés techniques et politiques. Ces systèmes de filtrage ne sont en effet pas infaillibles, mais les solutions de contournement peuvent être relativement complexes à utiliser.
L'organisation de défense de la liberté d'expression Reporters sans frontières publie chaque année un classement des pays qui censurent Internet. Dix pays sont classés par RSF comme "ennemis d'Internet" en raison de la censure draconienne qu'ils exercent sur le réseau. Parmi eux, la Chine, la Birmanie et l'Iran, où les activités des internautes sont également espionnées. La Russie, le Venezuéla ou la France sont, eux, classés comme "pays sous surveillance" en raison de lois en vigueur qui permettent de filtrer des sites Web.
POUR CHAQUE ORDINATEUR
Au sein d'un même pays, plusieurs acteurs peuvent exercer un contrôle sur la manière dont les utilisateurs accèdent à Internet. Les fournisseurs d'accès disposent théoriquement d'importants pouvoirs : ils peuvent par exemple bloquerou ralentir certains types de trafic, par exemple le téléchargement en P2P. Depuis la création du Web, une règle non-écrite, dite de "neutralité du Net", prévoit que les opérateurs ne font pas de discrimination des contenus circulant sur le réseau : quel que soit l'utilisateur ou le type de données, toutes les informations doivent théoriquement circuler à la même vitesse.
Mais les FAI, qui se plaignent d'engorgements suite au développement exponentiel du Web, souhaitent pouvoir, dans certains cas, s'affranchir de cette règle. Pour des raisons de gestion du réseau, estiment-ils, il serait par exemple souhaitable de pouvoir donner la priorité à certains "paquets" d'informations au détriment d'autres, comme les vidéos en ligne par exemple. Dans certains pays, et notamment aux Etats-Unis et au Canada, les FAI brident également la vitesse de connexion et la quantité de données téléchargeables par les internautes.
En bout de chaîne, l'internaute est également soumis au contrôle de son réseau local, s'il n'est pas directement connecté à Internet. En pratique, ce sont souvent les entreprises qui détiennent le plus de pouvoir sur la connexion d'un internaute. Il est en effet plus simple de filtrer un réseau de petite taille que de le faire à l'échelle d'un pays.



Une technologie qui intéresse Etats et entreprises

Surveillance « profonde » sur Internet(DPI)

Quand une dictature s’effondre, on peine à comprendre comment elle pouvait se maintenir. En Libye, en Egypte ou en Tunisie, la réponse se trouve pour partie dans la surveillance systématique des communications. A l’aide de matériel fourni par des sociétés américaines et européennes trouvant là des clients décomplexés, ainsi qu’un terrain où tester leurs techniques à grande échelle.

Visitant, après la chute de Tripoli, un centre destiné à l’écoute de la population, la journaliste du Wall Street Journal Margaret Coker a pu constater que tout y était surveillé : le réseau Internet, les téléphones mobiles et les connexions (Internet et téléphone) par satellite. Dans certains dossiers figuraient, entre autres choses, des courriels ou des extraits de conversations en ligne d’opposants au régime de Mouammar Kadhafi. Sur les murs du centre, des affichettes de l’entreprise qui avait mis en place cette installation : Amesys, une filiale de la société française Bull (1). Le Canard enchaîné révélera par la suite que la direction du renseignement militaire (DRM) avait été sollicitée pour aider à la formation des « surveillants » libyens (2).
En Syrie, c’est du matériel américain qui permet au régime de M. Bachar Al-Assad de censurer Internet et de récupérer comme bon lui semble les identifiants et mots de passe des citoyens, afin d’accéder à leurs messageries électroniques ou à leurs comptes sur les réseaux sociaux Facebook et Twitter. Un outil particulièrement efficace pour reconstituer les interactions d’un opposant avec des appuis intérieurs ou extérieurs. Les technologies employées portent le doux nom de Deep Packet Inspection (DPI, en français « inspection en profondeur des paquets »). Lorsqu’on envoie un courriel, des dizaines de machines se relaient pour l’acheminer. Se contentant de consulter l’adresse de destination, elles n’en regardent pas le contenu et le transmettent directement au voisin. De proche en proche, le courrier parvient à bon port. Comme l’explique Jonathan Zittrain, spécialiste du droit d’Internet, « c’est un peu comme dans une soirée avec des gens polis. Si vous êtes trop loin du bar et qu’il y a trop de monde pour s’en approcher, vous demandez à votre voisin de vous faire parvenir une bière. Il demande alors à son voisin qui est, lui, un peu plus proche du bar, etc. En fin de compte, votre demande parvient jusqu’au bar et la bière revient par le même chemin. Comme tout le monde est poli, personne n’a bu dans votre verre pendant l’opération (3) ».
Avec le DPI, c’est une autre vision de l’Internet qui se met en place. Moins polie. Que diriez-vous si votre voisin analysait votre commande et commençait par vous faire la morale ? Ou s’il décidait de changer le contenu de votre verre, pour y verser de l’eau, ou un euphorisant plus fort ? C’est ce que permettent les techniques de DPI : lire le contenu des conversations, les modifier, les envoyer à quelqu’un d’autre…
Sur ce marché, Amesys n’est pas isolée. Qosmos, autre société française, vient de se faire épingler par Bloomberg. L’agence de presse américaine a en effet révélé qu’elle avait fourni des sondes DPI à un consortium chargé d’équiper la Syrie sur le même modèle que la Libye de Kadhafi (4). En Chine, les technologies de DPI sont au cœur du grand pare-feu qui permet au gouvernement de censurer les conversations et d’espionner les citoyens.

Savoir qui télécharge quoi

De fait, comme le montre la récente divulgation par le site WikiLeaks de nombreux documents internes de ces sociétés, la surveillance des réseaux de communication est « une nouvelle industrie secrète recouvrant vingt-cinq pays. (…) Dans les histoires d’espionnage traditionnelles, les agences de sécurité comme le MI5 britannique mettent sur écoute le téléphone d’une ou deux personnalités intéressantes. Au cours des dix dernières années, les systèmes de surveillance massive et indiscriminée sont devenus la norme (5) ». Un peu plus tôt, le Wall Street Journal avait publié plus de deux cents documents marketing émanant de trente-six sociétés proposant aux autorités antiterroristes américaines divers outils de surveillance et de piratage (6).
Aux Etats-Unis, le DPI a connu son heure de gloire en mai 2006 : M. Mark Klein, ancien technicien de AT&T (gros fournisseur d’accès Internet américain), sort alors du silence. Il dénonce l’installation chez son ancien employeur, et donc au cœur du réseau Internet américain, de produits de la société Narus. Maître d’œuvre, la fameuse National Security Agency (NSA), qui a conçu dans les années 1980-1990 le projet Echelon (7). La devise de Narus : « See clearly. Act swiftly » (« Voir clair. Agir vite »). Créé en 1997, cet éditeur de technologie DPI, avec ses cent cinquante employés, a levé 30 millions de dollars en 2006, et a été racheté par Boeing en 2010. Ses produits auraient été installés en Egypte à l’époque de M. Hosni Moubarak (8).
Parmi les flux d’informations qui transitent par Internet, les opérateurs de télécommunications voient passer des sites, des courriers électroniques, des discussions en temps réel, des échanges vocaux, de la vidéo, des discussions asynchrones, des données brutes, etc. La plupart de ces flux sont échangés en clair, sans chiffrement cryptographique. Il est donc aisé, pour le pirate du dimanche comme pour les services de sécurité étatiques, de les placer sur écoute.
Mais certains acteurs privés trouvent aussi un intérêt dans ces technologies. Les opérateurs de télécommunications comme Free, SFR ou Orange commencent à se plaindre de voir passer sur leur réseau des masses de données en provenance d’acteurs qui ne payent pas pour ce transport. Par exemple, les fournisseurs d’accès à Internet (FAI) trouvent désagréable de payer pour les vidéos en provenance de YouTube, qu’ils sont obligés de servir à leurs abonnés. D’où l’idée de facturer un supplément à l’émetteur des données ou à l’utilisateur final, ou encore de ralentir sélectivement certains flux, pour en privilégier d’autres. Mais, pour cela, il est indispensable de mesurer avec précision ce qui passe dans les tuyaux.
De même, les opérateurs de téléphonie mobile ont décidé, pour essayer de limiter leurs coûts d’infrastructure, de ne fournir à leurs usagers qu’un accès bridé à Internet. Ils interdisent donc aux utilisateurs de téléphones « intelligents » de procéder à des échanges de fichiers en pair-à-pair ou d’utiliser des outils de communication vocale ou vidéo tels que Skype.
Là encore, c’est le DPI qui leur permet de pratiquer la surveillance et la gestion des flux, d’allouer une « bande passante » supérieure à certains services (par exemple, ceux qu’ils éditent…). En contradiction avec la notion de « neutralité du réseau », qui affirme que le rôle du fournisseur d’accès est de faire transiter sans discrimination toutes les données demandées.
Appliqué à la navigation sur le Web, le DPI permet de garder une trace de tout ce que vous y faites. Les professionnels du marketing se frottent les mains et rêvent d’exploiter ces données. Orange a d’ailleurs tout récemment lancé une offre « Orange préférence », reposant sur du DPI, qui se propose, avec l’accord de l’abonné, d’analyser les sites Web qu’il visite pour lui proposer ensuite des offres commerciales ultraciblées. De quoi permettre aux FAI de devenir aussi rentables que Facebook et Google. A condition que ces programmes de fidélisation-surveillance attirent des abonnés ; mais il suffira de clamer que les données sont anonymisées pour en faire un produit parfaitement commercialisable.
Le lecteur curieux pourra consulter la page « Data Privacy » du site de GFK, un groupe international de recherche en marketing actionnaire de Qosmos : s’il évoque, banalement, les cookies des navigateurs Internet, il omet d’expliquer qu’il utilise aussi, pour « tracer » les visiteurs des sites Internet, une technologie DPI, prétendument « anonymisée » par une recette connue de lui seul. GFK est présent dans plus de cent cinquante pays, et pas uniquement de grandes démocraties…
Le DPI attire aussi les sociétés d’ayants droit et les détenteurs de copyright qui souhaitent lutter contre les échanges de fichiers « illégaux » sur les réseaux en pair-à-pair ou les sites de téléchargement direct, du type Megaupload. Savoir précisément quel internaute tente de télécharger tel ou tel film ou fichier musical, et réussir à lui en bloquer l’accès, ne peut se faire qu’avec une infrastructure de surveillance « profonde » et répartie sur l’ensemble des points d’échange de données que sont les FAI.
Un autre marché naturel du DPI est la surveillance légale. La police a parfois besoin d’écouter ce que fait un particulier, dans le cadre d’une instruction judiciaire, sous le contrôle d’un juge et, en France, de la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité. Cependant, il s’agit d’un marché de niche, ne concernant qu’une très faible partie de la population. A moins de tabler sur une nouvelle augmentation fulgurante des budgets consacrés à l’antiterrorisme, il paraît sage pour les entreprises du secteur de rechercher d’autres débouchés commerciaux.
C’est là qu’interviennent les gouvernements d’Etats policiers, qui souhaitent écouter toute la population. Grâce à ces pays, les logiciels de surveillance sont testés en grandeur nature. La Tunisie de M. Zine El-Abidine Ben Ali bénéficiait ainsi de rabais pour des systèmes où subsistaient encore des bugs. Quant à Amesys, la Libye a sans conteste été une expérimentation grandeur nature de ce que peut faire (ou pas) son logiciel Eagle (9). Alcatel opère de même en Birmanie (10). De fil en aiguille, l’exploitation des données récoltées par le DPI facilite les arrestations. La torture fait le reste, les bourreaux reprenant les bonnes vieilles techniques qu’ils connaissent et qui donnent des résultats.
Probablement intrigué par la présence massive d’entreprises européennes sur ce type de marchés, le Parlement européen a passé une résolution destinée à proscrire la vente à l’étranger de systèmes de surveillance des appels téléphoniques et des textos, ou fournissant une surveillance ciblée d’Internet, s’ils sont utilisés pour contrevenir aux principes démocratiques, bafouer les droits humains ou la liberté d’expression (11). Le 1er décembre 2011, le Conseil de l’Union européenne, durcissant les mesures restrictives à l’égard du régime syrien, a ainsi interdit « les exportations d’équipements et de logiciels destinés à la surveillance d’Internet et des communications téléphoniques ».
Mais la fourniture de produits d’écoute globale reste mal encadrée sur le plan juridique. Il est aisé pour les producteurs de passer entre les mailles du filet. D’autant que les législations sont diverses. Les autorisations données par le gouvernement ne sont pas publiées. Et les logiciels de ce genre ne sont pas considérés stricto sensu comme des armes.
Journaliste, Reflets.info

lundi 3 décembre 2012

Skype se ferme de Yahoo et de la VoIP

Fin de l'interopérabilité - Yahoo et Windows Live Messenger ne seront plus amis
 
Photo AFP / Justin Sullivan

À compter du 14 décembre 2012, les utilisateurs de Yahoo! Messenger ne pourront plus dialoguer avec les comptes Windows Live Messenger. D'autres fonctionnalités du logiciel doivent être progressivement abandonnées.
La fin de l'interopérabilité entre les deux logiciels de messagerie instantanée est la conséquence de l'abandon de Windows Live Messenger et de la migration de l'ensemble de ses profils vers Skype, annoncé au mois de novembre.
D'autres fonctionnalités seront également bientôt abandonnées, comme les salons de discussion et le module de messagerie exportable Pingbox, avant la fin de l'année, ou encore la voix sur IP, en janvier 2013.
Il ne sera donc plus possible de téléphoner vers des lignes (fixes ou mobiles) depuis le logiciel,les Lobbys de la téléphonie sonr contant.
Dès lors, difficile d'imaginer que Yahoo! puisse continuer à développer son logiciel de messagerie instantanée sans ces nombreuses fonctionnalités. Actuellement en pleine restructuration depuis sa reprise en main par Marissa Mayer (ex Google), Yahoo! pourrait proposer, à terme, sa propre alternative à Skype.



REF.:

dimanche 5 juin 2011

13 meilleures alternatives pour Skype

Skype est une application logicielle qui permet aux utilisateurs de passer des appels vocaux et vidéo et les chats sur Internet.Récemment, Microsoft a acquis Skype pour 8,5 milliards de dollars. Mais nous avons remarqué une erreur de serveur récemment, qui nous fait penser à une solution alternative pour Skype. Voici une liste de 13 services de remplacement qui offre VoIP et des chats vidéo, certains sont gratuits, certains ont une version d'essai et certains sont des services payants. Vérifier et choisir le meilleur pour vos besoins.
Google Voice
Google video chat permet de chatter via le Web et sur votre bureau. Vous pouvez l'utiliser pour chat dans Gmail, iGoogle, et orkut. Il est compatible avec Mac et PC. Cochez cette rubrique d'aide de Google pour l'utiliser.


ooVoo
ooVoo offre chat de mobile à mobile, mobile à l'ordinateur, et de Mac à PC. Vous pouvez appeler jusqu'à 6 personnes à la fois. Ils sont également dit "8 sur 10 préfèrent les utilisateurs de Skype oooVoo". Tout ce que vous avez besoin est un accès Internet haut débit et un ordinateur avec une webcam et microphone.Invite amis par courriel ou par message vidéo de droit ooVoo. Si vos amis sont déjà sur ooVoo, vous les trouverez facilement. Vous pouvez également le chat vidéo avec des amis qui n'ont pas installé ooVoo - ils vont se joindre à votre appel vidéo sur un navigateur Web.


Vbuzzer
Vbuzzer PC offre également à la téléphonie, mobile au service téléphonique, service de fax et SMS, le service VPN, etc Vous pouvez télécharger Vbuzzer outil pour le bureau, il offre également application pour Android et l'iPhone (disponible à partir de app store).


Viber
Viber est une application iPhone (versions Android et Blackberry à venir) qui vous permet de téléphoner gratuitement à d'autres utilisateurs de l'iPhone qui ont installé Viber. Lorsque vous utilisez Viber, vos appels téléphoniques à tout autre utilisateur Viber sont libres, et la qualité sonore est bien meilleure que d'un appel ordinaire. Vous pouvez appeler n'importe quel utilisateur Viber, partout dans le monde, gratuitement. Vous pouvez effectuer des appels internationaux gratuits à d'autres utilisateurs Viber utilisant la 3G ou Wi-Fi.

Grasshoper


Grasshopper est un système de téléphone virtuel conçu pour les entrepreneurs. Aucun outil n'est nécessaire, vous pouvez simplement l'utiliser par ligne.




VoxOx
Vous pouvez utiliser VoxOx pour vos appels téléphoniques, pour discuter, pour Facebook, à Twitter, pour envoyer des SMS, de partage de fichiers. Vous pouvez l'utiliser pour des appels gratuits, appels vidéo, messagerie vocale gratuite, la gestion multi-téléphone, l'écoute d'appels, blocage personnalisé et des tonnes des trucs plus d'un autre monde.


TinyChat
TinyChat fournit un moyen simple, libre d'utiliser, vidéo chat rooms qui vient de travail. Profitez de bavarder avec vos amis ou faire de nouveaux, il suffit de créer une salle de chat ou de rejoindre. Vous pouvez partager un maximum de douze émissions simultanément.Avec texte, vidéo, audio et chat, vous et vos amis peuvent se connecter et parler de n'importe où dans le monde.


FaceTime
FaceTime pour Mac, il est possible de parler, avec n'importe qui sur un iPhone iPad 2, 4, iPod touch, Mac ou de votre Mac. Ainsi, vous pouvez rattraper, sortir, plaisanter, et rester en contact avec un simple clic. De la petite caméra sur votre Mac est une grande expérience d'appel vidéo. Le cadre de fenêtre et les contrôles disparaître afin que vous puissiez profiter de votre conversation sans distractions. Avec image dans l'image de vue, vous pouvez voir comment vous regardez à la personne que vous appelez.

 Sight Seed

   
SightSpeed ​​est un fournisseur primé de vidéo sur Internet chat et de la voix pour appeler les amis et la famille, et des solutions de vidéoconférence pour les entreprises. Vous pouvez communiquer avec tout le monde dans votre réseau, face à face, n'importe où.SightSpeed ​​offre la plus haute qualité, full-motion 30 images par seconde avec un son clair et pas ennuyeux top delay.On de cela, vous pouvez facilement envoyer des emails vidéo qui est beaucoup plus personnel que le courrier électronique traditionnel - et le texte chat sans cesse avec le intégrée de messagerie instantanée (IM) de service. SightSpeed ​​propose également à faible taux d'appel de téléphone à travers le monde. Il fonctionne très bien sur PC et Mac.


VoIP Buster

  
VoipBuster est un programme gratuit qui utilise les dernières technologies pour offrir des communications gratuites et de haute qualité aux gens partout dans le monde. Lorsque vous utilisez le logiciel gratuit VoipBuster, vous pouvez appeler des téléphones fixes vers différentes destinations populaires ou appelez gratuitement à un taux incroyablement bas vers n'importe quel autre téléphone sur la planète. Vous pouvez également appeler tous vos amis en ligne (appels de PC à PC) gratuitement. Vous pouvez télécharger VoipBuster, et le téléchargement devrait prendre quelques instants en fonction de votre vitesse de connexion.


iChat
Inclus avec Mac OS X, iChat est un riche application de messagerie instantanée qui fonctionne avec votre compte MobileMe ou AIM et il est facile de rester en contact avec amis et famille à l'aide du texte et vidéo, qu'ils soient sur un Mac ou un PC.


Jajah
Utilisation de Jajah vous pouvez appeler n'importe où dans le monde. Vous pouvez utiliser votre téléphone actuel et économisez jusqu'à 98% sur votre facture.


Qu'est-ce que vous pensez de cette solutions alternatives pour Skype? Avez-vous une expérience dans l'un d'entre eux? Quelle est votre opinion? Pensez-vous est-ce une alternative satisfaisante à Skype?



REF.: