On pourra bientôt créer son nom d’utilisateur sur WhatsApp
L’outil n’est pas encore disponible pour le moment, et pourrait n’arriver que sur Android au début
On vous explique comment faire, en avance
Les noms d’utilisateurs arrivent
sur WhatsApp. Ce n’est pas encore officiel, mais l’app de messagerie
pourrait très bientôt dévoiler la fonctionnalité, à en croire des fuites
tout juste publiées sur le net – captures d’écran à l’appui. On peut y
découvrir un nouveau champ à remplir par les internautes, non loin de
celui dédié à leur statut et identifié par le préfixe @ – tel celui de Twitter.
Pour le moment, nul ne sait encore comment fonctionnera
cette nouveauté. Et pour cause : celle-ci n’a pas encore été déployée,
pas même chez les utilisateurs de la version beta de WhatsApp. On peut
toutefois aisément supposer que la plateforme offrira bientôt la
possibilité d’ajouter un contact via son nom d’utilisateur, ce qui
pourrait s’avérer bien plus pratique qu’en tapant son numéro de
téléphone à dix chiffres. Telegram, un des principaux concurrents du
service de Mark Zuckerberg, le propose déjà, notamment sous forme de NFT.
Pour quand sur nos mobiles ?
Les noms
d’utilisateurs semblent être inclus dans la mouture numérotée 2.23.11.15
de WhatsApp. Mais celle-ci est donc encore indisponible pour l’instant ;
il est probable que seuls les développeurs qui se cachent derrière le
code de l’app y ont accès pour l’instant.
On sait cependant que
les mises à jour de WhatsApp sont très régulières, avec des déploiements
presque chaque semaine sur le Google Play Store. Les noms
d’utilisateurs ont d’ailleurs été repérés uniquement sur la version
Android de la messagerie, et on ne sait pas quand ceux-ci pourront
arriver sur les iPhone ou sur macOS. Le délai entre les deux systèmes
d’exploitation pourrait toutefois s’avérer pénalisant pour iOS, car il
n’est pas rare que plusieurs mois s’écoulent entre la publication d’un
changement chez Mountain View et celle de son équivalent pour les
mobiles pommés.
Modifier son nom d’utilisateur WhatsApp
Pour modifier son nom d’utilisateur sur WhatsApp, la marche à suivre devrait être la suivante :
Sur Android
ouvrir WhatsApp
toucher les trois points ︙ en haut à droite de l’écran
Google Play Games : les jeux Android débarquent sur PC en France
Google
Play Games, ce logiciel permettant de faire tourner des titres Android
sur PC, est enfin disponible dans l'Hexagone, et avec de nouveaux jeux
chaque mois. Un concurrent de taille pour le système Android de Windows
11 !
Ça y est, Google Play Games, ce launcher –
ou lanceur, en français – qui permet aux joueurs de profiter des
meilleurs titres mobiles sur leur ordinateur personnel – est disponible
en France ! Car malgré son échec cuisant avec Stadia,
son service de cloud gaming, le géant du numérique persiste à essayer
de s'imposer comme un acteur majeur du secteur du jeu vidéo. Pour cela,
l'entreprise mise sur une idée à laquelle il croit fermement puisque,
selon un sondage qu'il a mené en partenariat avec IPSOS, de nombreuses
personnes seraient fortement intéressées par l'arrivée des jeux mobiles
sur ordinateur. En effet, elles seraient 71 % aux États-Unis, 60 % au
Japon et plus de 85 % au Brésil et en Indonésie à être prêtes à acheter
un jeu mobile pour y jouer sur leur PC.
Annoncé en décembre 2021, le service a été lancé en janvier 2022
dans une version bêta sur un marché réduit comprenant l'Australie, la
Corée du Sud, Taïwan, la Thaïlande et Hong-Kong. Depuis le 2 novembre,
Google Play Games – rebaptisé Google Play Jeux dans les pays
francophones… – est disponible aux États-Unis, mais aussi au Canada, au
Mexique, au Brésil, en Indonésie, aux Philippines, en Malaisie et à
Singapour. La firme de Mountain View continue son déploiement et a
rendu, le 24 mai, son nouveau service accessible en bêta en
Nouvelle-Zélande et dans 40 pays européens, dont la France, l'Espagne,
les Pays-Bas, l'Irlande et le Royaume-Uni. Pour en profiter, il suffit
de se rendre sur le site et de cliquer sur le bouton vert "Télécharger la version bêta". "Nous
sommes ravis d'étendre notre plateforme à davantage de marchés pour que
les joueurs puissent profiter de leurs jeux préférés sur Google Play", déclarait Arjun Dayal, directeur de Google Play Games, dans un billet de blog en novembre 2022. "Alors
que nous nous dirigeons vers une version complète, nous continuerons à
ajouter de nouvelles fonctions et à évaluer les commentaires des
développeurs et des joueurs".
Google Play Games : pas besoin d'un PC surpuissant
En pratique, Google Play Games est un logiciel pour Windows permettant de jouer à certains jeux mobiles Android – mais pas tous – et donc de bénéficier d'un plus grand confort et d'un meilleur gameplay. Contrairement à Stadia ou au Cloud Gaming
de Microsoft, les jeux ne fonctionnent pas grâce à des serveurs
distants : ils sont installés directement sur le PC et utilisent les
ressources de ce dernier. Google a misé sur la carte de l'accessibilité
et propose donc un logiciel et des jeux qui n'ont pas besoin d'une
machine de guerre pour fonctionner. Il faut au minimum un PC avec un
processeur (CPU)
à quatre cœurs physiques (Intel ou AMD, peu importe), 8 Go de mémoire
vive (Ram), 10 Go de stockage libre (SSD), un circuit graphique
(GPU) Intel UHD Graphics 630, le tout sous Windows 10 ou Windows 11.
Bien évidemment, une machine plus puissante sera encore plus à l'aise,
mais un ordinateur de cinq ans peut suffire pour en profiter.
Reste à voir le rendu de l'image, car les jeux n'ont pas tous été
conçus pour les écrans de grande taille. Google Play Games prend en
charge la souris, le clavier, mais aussi les manettes afin de rendre le
gameplay plus confortable. Notons que l'interface ne ressemble pas à
celle du Google Play Store, mais se rapproche plus de Steam, GOG Galaxy
et Epic Games Store. Une volonté clairement affichée de se rapprocher de
ces plateformes de jeux PC.
Google Play Games : un catalogue de jeux encore timide
Petit bémol cependant : tous les titres Android ne sont pas
compatibles. Pour l'instant, il y a un peu plus de 100 jeux validés par
le service, dont Just Dance Now, WWE SuperCard et Cookie Run: Kingdom. Google continue d'ajouter de nouveaux jeux chaque mois, dont Garena Free Fire, Ludo King et MapleStory.
Pour éviter que les joueurs potentiels ne se tournent tout simplement
vers un émulateur Android, le géant d'Internet mise sur la
synchronisation des données via le compte Google de l'utilisateur, qui
permet de reprendre une partie lancée depuis un appareil mobile sur un
PC, et vice-versa. De plus, il avait annoncé sur YouTube
un partenariat avec Intel afin de faciliter la tâche des développeurs
qui voudraient faire partie du programme, ce qui lui permettrait
d'enrichir plus rapidement son catalogue. Ces derniers vont avoir le
droit à un nouvel émulateur afin d'effectuer plus facilement les
opérations de débogage et d'optimisations. Ceux-ci auront également la
possibilité de traduire leurs jeux en plus de huit langues en quelques
seulement minutes via Machine Translation.
Autre avantage : les joueurs peuvent gagner des Google Play Points de
la même manière que sur mobile afin de les dépenser pour obtenir des
éléments intégrés aux applications ou aux jeux, gagner des bons de
réduction pour acheter des éléments intégrés ou encore obtenir du crédit
Google Play. En mars, l'entreprise avait également mis à disposition
des développeurs un émulateur afin qu'ils puissent déboguer facilement
leurs jeux.
Pour le moment, Google Play Games s'annonce comme une bonus
sympathique et gratuit, mais qui risque bien d'être insuffisant pour
permettre à Google de s'imposer dans le monde du jeu vidéo. Sans compter
qu'il vient – légèrement – concurrence le système Android de Windows
11, qui permet lui de faire tourner presque toutes les applications
Android sur un PC (voir notre article), mais qui se montre en pratique nettement plus gourmand, exigeant ainsi un PC bien plus musclé.
Vous
n’avez que 15 minutes, mais vous voulez quand même courir ? Ces 3
entraînements courts vous aideront à tirer le meilleur parti de votre
temps !
Qu’est-ce qu’un entraînement de 15 minutes peut vous
apporter? D’abord c’est un stimulus supplémentaire qui vous pousse à
vous entraîner même les jours où vous n’avez vraiment pas le temps. 15
minutes, c’est peu mais suffisant pour augmenter votre fréquence cardiaque et ce de manière super efficace ! “Je n’ai pas le temps” n’est plus une excuse !
Enfilez
vos baskets et en route ! Ces séances d’entraînement comprennent un
échauffement et une phase de récupération, donc aucune préparation n’est
nécessaire !
1. Course par intervalles de 15 minutes
Comment s’entraîner ?
Échauffement
Intervalles
Récupération
5 min. de course facile, sans forcer
6 x 30 sec. intenses (à 90%) avec 30 sec. de pause
4 min. de course facile, sans forcer
La
partie centrale de l’entraînement consiste en 6 intervalles de 30
secondes de course. Chacun est suivie de 30 secondes de pause. Les 30
secondes de course doivent être effectuées à très haute intensité, c’est
à dire à un rythme qui rend la respiration très difficile. La seule
façon d’aller plus vite serait de faire un sprint ! Découvrez les avantages de l’entraînement par intervalles et comment le configurer dans l’application adidas Running.
2. 15 minutes de HIIT / Fartlek
Comment s’entraîner ?
Échauffement
HIIT / Fartlek
Récupération
3 min. de course facile, sans forcer
9 min. en jouant sur les variations de rythme et d’intensité, en fonction de vos sensations
3 min. de course facile, sans forcer
Le
fartlek – “jeu de vitesse” en suédois – est une méthode d’entraînement
durant laquelle le coureur s’amuse à varier ses allures de course et la
durée des efforts au gré de ses envies et de ses sensations. Il n’y a
pas de limite. Assurez-vous simplement de bien varier les intensités :
de la marche en passant par le sprint. Croyez-le ou non, mais faire du jogging ou du running à un rythme de course confortable peut vraiment améliorer vos performances de course !Exemple
: piquez un sprint jusqu’au coin de la rue, puis marchez à un rythme
détendu jusqu’à la voiture rouge, ensuite montez les escaliers
rapidement… et ainsi de suite.
3. 15 minutes d’entraînement au sprint
Comment s’entraîner ?
Échauffement
Sprint
Récupération
3 min. de course facile, sans forcer
1 min. 30 sec. à 70% env. de votre fréquence cardiaque maximale : respiration rapide mais encore facile et détendue
1 min. 30 sec. à 80% env. : la respiration devient de plus en plus intense
1 min. 30 sec. à 90% env. : la respiration est intense
Récupérez avec un jogging de 5 minutes puis recommencer.
3 min. de course facile, sans forcer
Vous disposez de plus de 15 minutes pour vous entraîner ? Essayez le plan d’entraînement pour débutants de 28 jours (sans matériel) ! Ne négligez pas non plus vos fessiers et essayez ces 15 meilleurs exercices pour les fessiers
et continuez à courir ! Vous ne pouvez pas courir dehors et ne voulez
pas aller au centre de fitness ? Sculptez vous de beaux abdominaux avec ces 10 meilleurs mouvements pour les renforcer !Il s’agit d’un type d’entraînement durant lequel votre allure va augmenter progressivement. Courez
un peu plus vite à chaque intervalle, mais de façon telle que vous
puissiez encore augmenter votre rythme à l’intervalle suivant. Alors choisissez bien pour ne pas avoir à vous arrêter et reprendre votre souffle.
Comme
indiqué plus haut, ces courtes séances d’entraînement vous aideront à
rester en forme, mais elles ne peuvent remplacer un plan d’entraînement
équilibré. Assurez-vous d’inclure également des runs à faible intensité et consultez cet article pour éviter les erreurs courantes de running. La façon la plus simple de planifer vos runs est de devenir un membre Premium et de télécharger un plan d’entraînement dans l’appli adidas Running !
Neuralink, la société d’implants cérébraux d’Elon Musk, viendrait
d’obtenir l’approbation réglementaire aux États-Unis pour mener son
premier essai clinique sur des humains. Cette annonce marque une étape
majeure pour l’entreprise qui développe un dispositif implanté
chirurgicalement dans le cerveau et capable de décoder l’activité
cérébrale pour la relier à des ordinateurs. Jusqu’à présent, Neuralink
n’avait réalisé des recherches que sur des animaux.
L’approbation de la FDA, la Food and Drug Administration, ouvre de
nouvelles perspectives pour l’entreprise, qui envisage d’aider les
personnes paralysées ou souffrant de conditions débilitantes. Neuralink
se distingue également par ses ambitions d’améliorer les performances
humaines grâce à sa technologie. La société a conçu une puce
électronique implantable dans le cerveau, qui pourra être régulièrement
mise à jour pour suivre les avancées technologiques.
Neuralink, fondée en 2016, est une entreprise privée basée en
Californie. Avec le soutien d’Elon Musk, elle a réussi à attirer des
investissements importants de l’ordre d’un demi-milliard canadien et à
réunir une équipe de plus de 400 employés. La technologie de Neuralink
s’inscrit dans le domaine de l’interface cerveau-ordinateur, où des
chercheurs travaillent depuis des décennies pour développer des implants
électroniques capables de restaurer les fonctions des personnes
paralysées ou atteintes de maladies dégénératives.
Plusieurs autres entreprises ont déjà réalisé des essais cliniques
avec des implants cerveau-ordinateur, permettant à des personnes
paralysées d’accomplir des actions incroyables telles que serrer la main
du président Barack Obama grâce à une main robotique ou écrire en
pensant aux mouvements des doigts. Neuralink se distingue cependant en
ayant pour ambition de dépasser les capacités humaines et d’améliorer
les performances grâce à sa technologie.
Cependant, il est important de souligner que la réalisation d’essais
cliniques chez l’homme ne garantit pas le succès réglementaire ou
commercial. Neuralink devra répondre aux exigences strictes de la FDA en
matière de sécurité et de fiabilité de son dispositif. De plus, les
questions éthiques et de sécurité entourant l’utilisation d’une
technologie qui confère un avantage cognitif soulèvent des
préoccupations supplémentaires. Aucune date précise n’a été annoncée
pour le début des essais cliniques chez l’homme.
Alors que Neuralink ouvre la voie à de nouvelles avancées dans le
domaine des implants cérébraux, l’avenir dira si cette technologie
révolutionnaire pourra réellement améliorer la vie de nombreuses
personnes et dépasser les limites actuelles des capacités humaines.