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jeudi 24 janvier 2019

Google dévoile peu à peu son nouvel OS Fuchsia



Que cache réellement Google dans son très étrange projet Fuchsia ? Et si ce nouvel OS mobile remplaçait Android ?

(CCM) — Depuis fin 2018, les révélations s'enchaînent au sujet de Fuchsia, l'ambitieux projet d'OS mobile de Google. On vient d'apprendre que le futur système d'exploitation sera capable de faire tourner les applications Android. Rien de tel pour alimenter la rumeur qu'à terme, Fuchsia sera le remplaçant d'Android.

D'après les informations recueillies par le site américain 9to5Google (lien en anglais), Fuchsia sera bien capable de faire tourner Android Runtime, pour rendre le nouvel OS mobile compatible avec la plupart des applications Android. Un fichier readme vient d'être déposé pour détailler la façon dont cette interopérabilité fonctionnera. C'est une nouvelle étape franchie par Google vers un lancement de Fuchsia, après le dépôt d'un SDK Fuchsia et l'apparition dans le code d'Android d'un étrange « Fuchsia device » il y a quelques semaines.

L'objectif du nouvel OS est de pouvoir tourner indifféremment sur tous les types d'appareils mobiles, qu'il s'agisse d'un objet connecté, d'un laptop ou d'un smartphone. Pour le mettre au point les développeurs de Google ont créé leur propre noyau - Zircon. Alors qu'Android avait été construit sur une base Linux, le géant californien veut désormais contrôler l'intégralité de Fuchsia. Cela lui permet de gagner en flexibilité de développement. Mais surtout, cela permet à Google de maîtriser en toute indépendance 100 % du code de ce futur système d'exploitation mobile.

Aucune date n'a été annoncée pour le lancement de Fuchsia. Mais l'officialisation de la compatibilité avec les applications Android est un signe que la mise sur le marché approche.

REF.:

DarkWeb: 85 000$ par mois pour des pirates informatiques



Ils sont recherchés sur le «dark web» 

La pénurie de main-d’œuvre frappe aussi les pirates informatiques du groupe The Dark Overlord (TDO), qui sont prêts à payer 85 000 $ par mois pour un informaticien.
« Ce sont des offres d’emploi réelles. Ces groupes ont besoin d’expertise. Il y a même des sites où tu peux louer un pirate à l’heure ou au mois pour un mandat... ou bien payer entre 40 $ et 50 $ pour un virus », observe le PDG de StreamScan, Karim Ganame.
C’est CyberScoop, un média en cybersécurité, situé en plein cœur de la capitale américaine, qui a récemment mis la main sur l’offre d’emploi du groupe The Dark Overlord (TDO), à la recherche d’informaticiens à l’aise avec Windows et Linux.


Premier échelon
Publié sur le « web invisible », appelé le dark web en anglais, le poste s’affichait sur le KickAss Forum, toujours selon CyberScoop. « TU (sic) être riche. Viens travailler avec nous ! » ont écrit les membres de TDO pour séduire les meilleures candidatures.
Avec un salaire de 85 000 $ par mois à l’embauche, équivalent à un peu plus d’un million $ par année, et de 119 000 $ par mois, ou 1,4 million $, après deux ans, l’organisation aurait déjà pourvu trois des quatre postes affichés, relatent des médias spécialisés.
Modus operandi
Contrairement aux fuites de documents de Wikileaks ou des Panama Papers, The Dark Overlord (TDO) ne semble cependant pas avoir de mission sociale, disent les experts.
Leur modus operandi est simple : ils menacent de publier des documents sensibles si on ne paye pas une rançon en bitcoins. Banques, assureurs et écoles peuvent être ciblés.
Même Netflix a goûté à leur médecine quand ils ont publié leur saison complète d’Orange is the New Black l’an dernier. Irrités par les frasques du groupe, Twitter et Reddit ont fermé leur compte il y a quelques jours.