Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

Aucun message portant le libellé radars photo. Afficher tous les messages
Aucun message portant le libellé radars photo. Afficher tous les messages

mardi 20 février 2024

Voies réservées au covoiturage: La Solution par les radars thermiques ? Bientôt !

Voies réservées au covoiturage: La Solution par les radars thermiques ? Bientôt !


 Les premiers radars thermiques de covoiturage opérationnels dès le début janvier : tout ce qu'il faut savoir

Par: Fred Delavie

23 décembre 2023 à 15h03


Des amendes pour les resquilleurs (Fraudeurs) ?

Lyon s'apprête à devenir la première ville française à expérimenter les radars thermiques de covoiturage dès janvier 2024. Ces dispositifs visent à renforcer le respect des voies réservées au covoiturage et à encourager une mobilité plus durable. Un beau projet… sur le papier.


Dans un effort pour promouvoir le covoiturage et réduire les embouteillages, la ville de Lyon a annoncé l'installation de radars thermiques sur les boulevards urbains M6-M7. Ces radars, une première en France, seront opérationnels dès le début de l'année 2024 et visent à détecter le nombre d'usagers dans les véhicules empruntant les voies dédiées au covoiturage.



En surveillant le respect des voies de covoiturage, ces dispositifs pourraient jouer un rôle dans la réduction des embouteillages et la promotion d'une mobilité plus responsable. Toutefois, leur succès dépendra des infrastructures alternatives mises en place et l'acceptation des usagers à ces nouvelles règles, toujours plus restrictives.


135 € d'amendes pour les contrevenants

Ces radars thermiques, installés en amont et en aval du tunnel de Fourvière, permettront de vérifier la présence d'au moins deux personnes dans les voitures circulant sur la voie réservée. Ces deux radars seront installés sur les anciennes A6-A7 déclassées en boulevard périurbain M6-M7. Dans le sens Sud en amont du tunnel de Fourvière sur la M6, près de l'échangeur du Pérollier. En direction du Nord, il sera positionné autour de la pointe de la Confluence à priori.

En cas de non-respect, des amendes électroniques de 135 € seront envoyées aux contrevenants. La gestion de ces radars sera assurée par la police municipale de Lyon, qui traitera les images captées et dressera les procès-verbaux. Toute la problématique était de savoir qui pourrait s'occuper de traiter les clichés, la Métropole n'ayant pas les moyens policiers pour le faire, alors qu'elle a la possibilité légale de recruter des agents depuis 2014. La ville de Lyon, qui manifestement considère que sa police municipale n'est pas assez occupée, va donc dédier cette activité une demi-journée par semaine à un de ses agents afin que celui-ci dresse le PV de constat et l'adresse à l'ANTAI.


Si cette initiative fait suite à un taux de fraude élevé estimé à 50 % en l'absence de contrôles selon la municipalité, le syndicat FO pointe déjà du doigt un cruel sous-effectif de ces agents pour les missions quotidiennes de sécurisation.


Un radar pour la voie réservée au covoiturage © Pryntec

Un radar pour la voie réservée au covoiturage © Pryntec

Les initiatives pour développer le covoiturage


L'expérimentation de ces radars s'inscrit dans une démarche plus large visant à optimiser l'utilisation des infrastructures routières et à lutter contre l'autosolisme. En encourageant le covoiturage, la ville de Lyon espère réduire la congestion routière et les émissions polluantes. Cette initiative pourrait également servir de modèle pour d'autres villes françaises.


Au-delà de Lyon, le covoiturage en France tente de se développer. Des projets comme Trapèze, lancé par Vinci Autoroutes, visent à développer des services de covoiturage interconnectés, offrant des alternatives de mobilité plus diversifiées. De même, la prime au covoiturage, introduite en 2023, subit des modifications en 2024 pour se concentrer sur les trajets courts et encourager une mobilité plus durable.


Mais des questions demeurent quant à leur efficacité réelle dans la promotion du covoiturage au quotidien. De nombreuses applications existent comme BlaBlaCar ou encore Covoit'ici, mais la gestion des déplacements professionnels et personnels, ainsi que la logistique des activités familiales, constituent clairement des obstacles à l'adoption généralisée du covoiturage pour les trajets courts, et qui ne semblent pas prise en compte par les collectivités qui souhaitent punir plutôt que prévenir.


Il faut être minimum 2 personnes à bord pour emprunter la voie de covoiturage© BlablaCar

Il faut être minimum 2 personnes à bord pour emprunter la voie de covoiturage© BlablaCar

En outre, même s'il reste à voir si ces initiatives inciteront réellement les automobilistes à changer leurs habitudes de déplacement, quand on regarde la carte des aires de covoiturages sur les grandes villes on reste un peu dubitatif : que ce soit en région parisienne ou dans l'agglomération de Lyon, il n'y a aucune aire en proche banlieue.


Pour finir, notons que les voies réservées au covoiturage sont accessibles dès lors qu'un véhicule transporte au moins deux personnes, y compris un bébé. Ces voies sont également ouvertes aux véhicules d'urgence, aux transports en commun, aux taxis en service, ainsi qu'aux véhicules classés Crit'Air 0.


Source : Le Figaro

vendredi 1 juin 2018

Une carte et une application pour identifier les «trappes à tickets»


Le fondateur de SOS Ticket espère inciter les conducteurs à plus de vigilance dans les zones à risque.

Les données tirées de plus de 52 000 contraventions contestées à travers la province ont permis d’identifier des zones où les automobilistes courent plus le risque d’être pris en défaut, communément surnommées les « trappes à tickets ».
En une décennie à la tête de SOS Ticket, l’ex-policier Alfredo Munoz a aidé des dizaines de milliers de conducteurs à contester leurs contraventions. Il a alors amassé une mine d’informations qu’il a mises à profit pour développer l’application Woww, qui alerte les automobilistes dès qu’ils approchent d’une zone souvent surveillée par des patrouilleurs.
L’équipe du Journal a utilisé la même masse de données pour confectionner une carte interactive, qui montre les secteurs où on note une concentration de contraventions distribuées.
Cette carte vous permet de visualiser les tronçons qui font souvent l’objet d’une surveillance policière accrue.
Chaque point blanc représente un endroit où une contravention a été émise entre 2007 et 2016. Les zones où la densité de contraventions est particulièrement élevée apparaissent en rouge. Elles suggèrent la présence d’une possible «trappe à tickets» ou de secteurs où les automobilistes doivent faire preuve de plus de vigilance et de prudence au volant.
Source Alfredo Munoz
Attention accrue
Le fondateur de SOS Ticket rappelle que les policiers surveillent souvent les endroits où il y a plus de risques d’accident.
« L’application permettra d’avoir un degré d’attention accrue à l’approche de ces secteurs », estime-t-il, soulignant que l’inattention est désormais une des principales causes de collisions sur les routes.
« En avisant les conducteurs qu’ils pénètrent dans une zone à risque, j’espère augmenter leur attention au volant. L’alerte sonore va leur indiquer que ce n’est pas le moment de changer le poste de la radio ou de prendre une gorgée de leur café », illustre M. Munoz.
Comme les radars photo
Même s’il a toujours dénoncé « les trappes à tickets », Afredo Munoz assure que son application n’a pas pour but de les contourner, mais bien de sensibiliser les automobilistes à la sécurité routière.
Le fondateur de SOS Ticket, Alfredo Munoz, a créé l’application Woww, qui avise les automobilistes lorsqu’ils approchent d’un secteur où ont été distribuées de nombreuses contraventions.
Photo Ben Pelosse
Le fondateur de SOS Ticket, Alfredo Munoz, a créé l’application Woww, qui avise les automobilistes lorsqu’ils approchent d’un secteur où ont été distribuées de nombreuses contraventions.
Un peu dans le même esprit, souligne-t-il, que les panneaux qui préviennent les conducteurs de la présence d’un radar photo. Selon lui, ce n’est pas à coups de contraventions que les conducteurs vont être sensibilisés à la sécurité.
« L’éducation, ça prend du temps, mais c’est la meilleure façon de changer les choses », dit-il.
À long terme, M. Munoz espère obtenir la collaboration de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) et du ministère des Transports (MTQ) pour parfaire l’application.
L’application vire au rouge et émet un signal sonore lorsque le conducteur a intérêt à redoubler de prudence.
Photo Ben Pelosse
L’application vire au rouge et émet un signal sonore lorsque le conducteur a intérêt à redoubler de prudence.
Il avance qu’il pourrait ainsi cerner plus de zones à risque, mais aussi informer en temps réel des dangers sur la route, comme la présence de glace noire, d’un accident ou d’un objet qui obstrue une voie.
Offerte gratuitement
L’application Woww est présentement offerte gratuitement pour téléchargement.
« L’objectif n’est pas de faire de l’argent, mais bien de sauver des vies », dit le père de famille de 52 ans, qui s’est départi de SOS Ticket afin de retourner aux études à plein temps pour devenir avocat.

Les experts ont des réserves sur les applications

 
Les experts en sécurité routière ne sont pas unanimes sur l’utilité des applications mobiles qui permettent aux conducteurs d’éviter des constats d’infraction.
« Si les gens peuvent contourner la loi grâce à une application, je ne suis pas d’accord. Si c’est avantageux pour une personne, individuellement, ce ne l’est pas collectivement », estime la chercheuse Marie-Soleil Cloutier, de l’Institut national de recherche scientifique.
Loi contournée
Selon elle, ces applications mobiles remplacent de façon détournée les détecteurs de radars policiers, interdits depuis longtemps au Québec.
Malgré tout, elle reconnaît qu’une application qui dévoile l’emplacement de policiers sur les routes peut avoir un certain effet de prévention. Au même titre que les pancartes qui avertissent les automobilistes de la présence de radars photo.
« Le réel avantage, c’est de réduire la vitesse. Mais si les gens ne ralentissent que là et accélèrent après, on n’est pas plus avancé », illustre-t-elle.
Même son de cloche du côté de CAA-Québec.
« Est-ce que notre comportement sur la route va être guidé par une application ? C’est notre conscience et notre jugement, qu’on devrait exercer en tout temps », dit le porte-parole Pierre-Olivier Fortin.
« Si les limites de vitesse existent, c’est pour qu’elles soient respectées. Point à la ligne. Si chacun respectait le code de sécurité routière, on n’aurait pas besoin de ces applications mobiles », lance pour sa part Erick Abraham, ingénieur mécanique et associé de recherche à l’école Polytechnique de Montréal.
Gare aux distractions
Mais pour le Conseil canadien de la sécurité, ces applications peuvent pourtant être utiles et aider à améliorer le bilan routier.
« On prône la prévention. À notre avis, ça rend les conducteurs plus prévoyants, et sachant qu’ils pénètrent dans une zone à risque de contraventions, ils vont ralentir », indique le porte-parole de l’organisme, Lewis Smith.
À condition que l’application ne soit pas trop « intrusive et distrayante », nuance-t-il.
 

REF.:

 

vendredi 9 septembre 2016

Un radar de poche pour contrôler les automobilistes(cellulaire et vitesse)



Excès de vitesse: La police teste un radar de poche pour contrôler les automobilistes. 

 

Les policiers devraient bientôt pouvoir contrôler la vitesse des véhicules avec un radar de poche. Actuellement testé par les forces de l’ordre dans le Loir-et-Cher, cet appareil est commercialisé par l’entreprise Mercuria. Dans son numéro paru jeudi, Auto Plus a dévoilé les caractéristiques de ce radar portatif.

 

Un radar de 400 grammes

TruSpeed est un « laser portable dernier cri récemment homologué », un « bijou de technologie », selon le magazine. La revue spécialisée a testé le radar. Son verdict : « l’arme est d’une efficacité redoutable ». Il s’agit d’un radar « compact, léger (410g) », et donc bien plus discret que les fameuses jumelles laser utilisées par les forces de l’ordre. Il dispose « d’une portée de 640 mètres et est capable de prendre les voitures roulant jusqu’à 300 km/h avec une précision de plus ou moins 1 km/h ».
Grâce à un zoom x7, ce radar permet également de détecter les distractions au volant comme l’usage du téléphone, précise BFMTV.

 

Source.:

mercredi 30 septembre 2015

La liste de TOUS les emplacements des nouveaux radars photo




Le nombre d’endroits surveillés par des radars photo passera de 23 à 152 sur les routes du Québec, dans trois semaines. Et dans le Grand Montréal, ce sont surtout les automobilistes en banlieue qui vont écoper.
Le ministère des Transports (MTQ) a dévoilé hier la liste de 129 endroits où seront progressivement installés ces nouveaux appareils de surveillance pour les feux rouges et la vitesse. Du nombre, 51 sont situés dans la région de Montréal.
Tous ne feront pas l’objet de surveillance simultanément. Plusieurs des 36 appareils récemment acquis seront déplacés d’un endroit à l’autre.
Par exemple, il y aura huit nouveaux sites susceptibles d’être surveillés par des radars mobiles sur la Rive-Sud, gérés par la police municipale de Longueuil (voir carte), et une vingtaine d’autres ailleurs en Montérégie.
Dans Lanaudière, on parle de 11 nouveaux sites, tandis que cinq zones de radars ont été ajoutées à Laval et cinq autres dans les Laurentides. Par comparaison, il n’y a qu’un nouveau site sur l’île de Montréal.
« Machine à imprimer de l’argent »
Ces dispositifs rapportent gros dans les coffres de Québec. Les revenus du Fonds de la sécurité routière, dans lequel sont versés les montants des amendes, ont plus que doublé entre 2011 et 2014. Ils s’établissent maintenant à plus de 18 M$ par année, un chiffre qui est appelé à exploser avec les nouveaux radars.
Le policier à la retraite François Doré se questionne sur les véritables intentions du MTQ.
«Est-ce qu’on a vraiment identifié 129 nouveaux endroits à risque élevé de collision? Je me demande si c’est vraiment pour la sécurité ou si c’est une machine à imprimer de l’argent», avance-t-il.
Selon Me Éric Lamontagne, de la firme d’avocats spécialisés Contravention Experts, l’effet de cette nouvelle technologie sur les conducteurs délinquants est plutôt limité.
«C’est de la présence policière que ça prend. Pas des radars photo», soutient-il. Selon son expérience, le gouvernement n’a aucun problème à engranger les millions parce que les tickets remis à l’aide de radars photo sont rarement contestés.
Sécurité routière
Le gouvernement Couillard assure que ces radars ne seront pas des «trappes à tickets», mais plutôt des outils pour améliorer la sécurité routière.
«Depuis 2009, les radars photo et les appareils de surveillance aux feux rouges ont prouvé leur efficacité pour contribuer à l’amélioration du bilan routier», a déclaré le ministre des Transports, Robert Poëti.
Le MTQ assure que chaque emplacement de surveillance sera présignalé sur la route, pour ne prendre personne par surprise. Une campagne publicitaire sera également lancée.
Voici la carte et la liste des emplacement de ces nouveaux appareils, pour Montréal et les environs.(L'application pour cellulaire Wazer vous le dit aussi,ainsi que la signalisation routière ,si bien sûre vous regardez en avant !)

Lanaudière

-L'Épiphanie, Route 341, limite de Saint-Roch-de-l'Achigan jusqu'à la rue Payette
-Joliette, Route 158, entre le chemin Saint-Jean et l'autoroute 31
-Repentigny, Autoroute 40 en direction est, entre les km 96 et 99,5
-Sainte-Geneviève-de-Berthier, Route 158, entre le rang des Cascades et la limite municipale de Berthierville
-Sainte-Julienne, Route 337, entre l'intersection de la place Leblanc et de la route 125, jusqu'à la montée Hamilton
-Sainte-Marcelline-de-Kildare, Route 343, entre la rue Larochelle et la limite municipale de la paroisse de Saint-Ambroise-de-Kildare
-Saint-Esprit, Route 125, entre le rang des Continuations et la rue Turcotte
-Saint-Esprit, Route 158, à l'intersection de la route 125
-Saint-Félix-de-Valois, Route 131, entre les chemins de Joliette et Barrette
-Saint-Gabriel-de-Brandon, Route 348, entre le 3e Rang et la rue Saint-Cléophas
-Saint-Jacques, Route 158, entre l'intersection de la route 341 et Crabtree
-Saint-Jean-de-Matha, Route 131, entre la rue Quintal et le rang du Sacré-Coeur
-Saint-Lin–Laurentides, Route 335, entre la côte de Grâce et l'intersection des routes 158 et 339 (12e avenue)

Laurentides

-Blainville, Autoroute 15 en direction sud, entre les km 23 et 25
-Lachute, Route 158, entre la route 329 et le chemin Bourbonnière
-Mirabel, Autoroute 50, entre la limite municipale de Lachute et la route 148
-Prévost, Route 117, entre le chemin de Sainte-Anne-des-Lacs et le boulevard du Clos-Prévostois
-Sainte-Agathe-des-Monts, Route 329 Nord, entre les chemins Leroux et de Sainte-Lucie


Laval

-Boulevard des Laurentides, à l'intersection du boulevard Dagenais Ouest, en direction sud-est
-Boulevard Curé Labelle, à l'intersection du boulevard Dagenais Ouest, en direction nord
-Boulevard de la Concorde Ouest, à l'intersection de la 12e Avenue, en direction nord-est
-Boulevard Saint-Martin Est, à l'intersection du boulevard des Laurentides
-Autoroute 15 en direction nord, entre les km 15 et 17


Montérégie

-Acton Vale
-Boucherville
-Les Côteaux
-Marieville
-Noyan
-Pincourt
-Saint-Blaise-sur-Richelieu
-Saint-Césaire
-Saint-Chrysostome
-Saint-Constant
-Saint-Constant, Autoroute 30
-Saint-Cyprien-de-Napierville
-Saint-Dominique
-Saint-Lazare
-Sainte-Anne-de-Sabrevois
-Sainte-Brigide-d'Iberville
-Sainte-Marie-Madeleine
-Sainte-Martine
-Saint-Hyacinthe
-Saint-Marc-sur-Richelieu
-Saint-Rémi
-Saint-Stanislas-de-Kostka
-Salaberry-de-Valleyfield VR Route 201
-Sorel-Tracy
-Très-Saint-Sacrement
-Vaudreuil-Dorion

Longueuil

-Boulevard Taschereau, à l'intersection des avenues Panama et Auteuil
-Boulevard Cousineau, à l'intersection du boulevard Gaétan-Boucher
-Boulevard Gaétan Boucher, entre le boulevard Cousineau et Grande Allée; ainsi que boulevard Cousineau, entre le boulevard Gaétan-Boucher et la rue Pacific
-Boulevard Sir-Wilfrid-Laurier, entre la bretelle d'accès à l'autoroute 30 Est et 200 m à l'ouest de la limite municipale de Saint-Basile-le-Grand
-Boulevard Fernand-Lafontaine, entre les boulevards Jean-Paul-Vincent et Rolland-Therrien
-Boulevard Rolland-Therrien, entre les boulevards Curé-Poirier Est et Vauquelin
-Boulevard Taschereau, entre le boulevard Rivard et la rue Mario
-Boulevard Taschereau, entre la rue Lawrence et l'avenue Auguste


Montréal

-Autoroute 15 sud, environ 300 m avant la sortie Atwater
-Chemin McDougall, entre Le Boulevard et l'avenue Cedar
-Boulevard Décarie Nord, à l'intersection de la rue Paré
-Route 138 en direction est, entre le pont Mercier et l'autoroute 20
-Rue Notre-Dame Est, entre l'avenue de Lorimier et l'avenue Gonthier
-Rue Sainte-Catherine Est, intersection de la rue D'Iberville


Gatineau

-Boulevard Maisonneuve, à l'intersection du boulevard Sacré-Cœur
-Chemin d'Aylmer, entre le boulevard Wilfrid-Lavigne et la rue Victor-Beaudry
-Chemin de Montréal Est (route 148), entre le chemin Wilfrid-Lépine et la limite municipale du canton de Lochaber-Partie-Ouest
-Avenue de Buckingham, entre les rues Churchill et McCallum
-Rue Georges, entre le chemin Filion et la bretelle d'accès au sud de l'autoroute 50
-Boulevard de l'Aéroport et route 148, du chemin Industriel jusqu'au boulevard Maloney Est, puis vers l'est jusqu'à la rue Mongeon (intersection la plus à l'ouest)
-Boulevard Maloney Est (route 148), entre le boulevard Lorrain (route 366) et l'avenue du Cheval-Blanc
-Boulevard Lorrain (route 366), entre le chemin Saint-Thomas et la rue Saint-Germain
-Boulevard Maloney Est (route 148), entre le boulevard Labrosse et le chemin du Lac
-Boulevard Labrosse, entre les boulevards La Vérendrye Est et Saint-René Est
-Chemin d'Aylmer, entre les chemins Vanier et Allen
-Boulevard La Vérendrye Ouest, entre les rues du Barry et de Cannes
-Boulevard La Vérendrye Ouest, entre le boulevard de l'Hôpital et la rue Paquette; ainsi que la montée Paiement, entre les boulevards La Vérendrye Ouest et du Carrefour
-Boulevards Fournier et Gréber, du demi-tour du boulevard Fournier jusqu'à la rue du Barry; ainsi que le boulevard Maloney Ouest, de la rue de la Savanne jusqu'à la rue Saint-Louis
-Rue Saint-Louis (route 307), entre le chemin des Érables et la rue de Monte-Carlo
-Chemin Pink et boulevard Saint-Raymond, entre les boulevards des Grives et Louise-Campagna
-BoulevardSaint-Joseph, entre les rues Juneau et Jean-Proulx
-Boulevarddes Allumettières, de l'autoroute 50 au boulevard Maisonneuve; boulevard Maisonneuve, entre le boulevard Sacré-Cœur et la rue Laurier
-BoulevardSaint-Raymond, entre les boulevards de la Cité-des-Jeunes et Saint-Joseph
-Boulevarddes Allumettières, entre le boulevard Wilfrid-Lavigne et la rue Vanier
-Boulevard de la Carrière, entre l'intersection des rues Adrien-Robert et Jean-Proulx, jusqu'au boulevard Montclair
*Pour consulter la liste des différents emplacements sur le site du MTQ.


Attention: le 19-02-2016


Une nouvelle caméra de surveillance et deux radars photo supplémentaires seront installés prochainement à Montréal, dans des endroits où un nombre important d’accidents a été relevé.
Il s’agit en fait de la réalisation de la deuxième phase d’un programme d’implantation d’appareils de surveillance routière élaboré dans le cadre d’une entente entre la municipalité et le ministère des Transports du Québec. Son objectif est «d’améliorer la sécurité des usagers de la route» et «le bilan routier», a indiqué la Ville jeudi par communiqué.
Un de ces nouveaux radars sera installé sur une fourgonnette et l’autre sur une remorque, leur permettant de se déplacer aux endroits déterminés.
Cinq zones situées dans près des écoles Centre Mackay, Saint-Laurent, Lucien-Pagé, Marc-Laflamme et Christ-Roi ont été ciblées.
La vitesse des automobilistes sera aussi captée sur six boulevards, soit René-Lévesque, Henri-Bourrassa, Pie-IX, Saint-Michel, Christophe-Colomb et Sherbrooke.
Enfin, la caméra de surveillance sera installée à l’intersection du boulevard Henri-Bourassa et de l’avenue Papineau.
Effet dissuasif
La première étape avait été réalisée en 2009, alors que cinq appareils étaient entrés en fonction.
Le responsable du transport au comité exécutif de la municipalité, Aref Salem, estime que le bilan de la phase initial est encourageant. Il soutient que le «pourcentage du nombre d'accidents a diminué de 20 % à 30 % aux endroits visés».
Les endroits qui sont surveillés depuis 2009 sont les intersections du boulevard Décarie et de la rue Paré, de la rue Iberville et de la rue Sainte-Catherine, du boulevard Henri-Bourassa et de la rue Berri en plus de la rue Notre-Dame Est et du chemin McDougall.

Source.:

mardi 12 mars 2013

NOUVEAUX PIÈGES À TICKETS: Radars nouveau genre






Radars nouveau genre

PHOTO COURTOISIE
Image promotionnelle d’un fournisseur suisse de radars photo semi-stationnaires comme veut se procurer le MTQ.



Non seulement les radars photo se multiplieront sous peu sur les routes, mais le MTQ en profitera pour mettre à l’essai neuf nouveaux appareils mobiles sur roues et sans opérateur.
Le ministère des Transports du Québec (MTQ) s’apprête à lancer un appel d’offres pour acquérir 37 radars photo et systèmes de contrôle aux feux de circulation.
Parmi ceux-ci se trouvent neuf radars photo «semi-stationnaires» que le MTQ souhaite louer pour deux ans avec possibilité de les acheter par la suite s’ils s’avèrent efficaces.
Il s’agit d’appareils «ne nécessitant pas la présence d’un opérateur, ayant une protection entre autres contre le vol, le vandalisme, les intempéries et avec une autonomie électrique de plusieurs jours», peut-on lire dans les documents de préparation de l’appel d’offres dont le Journal a obtenu copie.
Ainsi, ces appareils pourront être déplacés facilement par les équipes du MTQ, puis laissés sur le bas-côté des routes du Québec pour quelque temps.
Il y a fort à parier que ces nouveaux radars photo semi-stationnaires seront installés à dans un périmètre déterminé à l’avance pour la surveillance radar, comme le sont présentement les anciens types de radars photo mobiles.
Les 28 autres appareils que le MTQ souhaite ajouter à ses équipements sont des radars photo fixes, des radars photo mobiles installés dans une minifourgonnette et des appareils destinés aux feux rouges.
Ils s’ajouteront aux 15 radars photo déjà mis en place dans le cadre d’un projet pilote jugé concluant par le gouvernement du Québec.
Le MTQ prévoit installer ces nouveaux appareils à Montréal, Laval, dans la région de la Capitale-Nationale, de l’Outaouais, de Chaudière-Appalaches, de Lanaudière, des Laurentides et de la Montérégie. L’endroit exact où sera disposé chacun de ces nouveaux appareils n’a toutefois pas été déterminé.
Meilleur bilan routier ?
L’objectif est d’améliorer le bilan routier, indique le document, ce dont doute toutefois Me Éric Lamontagne de SOS Ticket.
«Les gens qui se font attraper sont ceux qui sont distraits parce que les radars photo sont affichés et on sait où ils sont, fait-il valoir. La contravention en soi n'a pas autant d'impact s'il n'y a pas de points d'inaptitude. Ça ne se rachète pas.(...)L'objectif d'améliorer le bilan routier avec les radars photo est questionnable.»
-Avec la collaboration de Jean-Louis Fortin et de Kassandra Martel


dimanche 9 septembre 2012

radars photo dans les zones de chantiers du Québec

Zones de chantiers du Québec - Présence accrue de radars photo


Zones de chantiers du Québec

Présence accrue de radars photo

Pour le long congé de la fête du Travail, le ministère des Transports (MTQ) a déployé, depuis vendredi, des radars photo dans certains de ses chantiers routiers.
Annoncée à la fin juin, l'adoption de la loi 57 a pour but de diminuer les excès de vitesse à l'approche de zones de travaux et ainsi protéger les travailleurs et les signaleurs sur les chantiers.
Une nouvelle signalisation sera mise en place afin d'avertir les automobilistes de la présence d'un radar photo dans un secteur précis. Un panneau orange utilisant le pictogramme du radar photo déjà connu des usagers de la route les informera donc qu'ils doivent réduire leur vitesse dans ce secteur.
Bien qu'aucun point d'inaptitude n'est enlevé au dossier du conducteur pour une infraction détectée par un radar photo, le non-respect de la limite de vitesse sur les zones de chantiers du Québec peut entraîner une amende salée, soit le double du montant de la contravention habituelle.
La présence accrue de policiers dans ces zones spécifiques, en plus d'une campagne publicitaire « Opération orange », a également été employée par le MTQ afin de réduire les risques de danger sur les chantiers routiers.
« Il y a quelques décennies, les usagers de la route ont adopté la ceinture de sécurité au Québec, a évoqué le ministre des Transports, Pierre Moreau, par communiqué. Maintenant, l'heure est venue de s'habituer à la présence des radars photo qui ont eux aussi prouvé leur efficacité en matière de sécurité routière et surtout, leur capacité à sauver des vies. »


Zones ciblées par les opérations de radars photo


Chaudière-Appalaches :
- Autoroute 20 est : Saint-Apollinaire, secteur de la route du Cap
- Autoroute 20 : Saint-Vallier, secteur du kilomètre 355, sur les ponts enjambant la rivière Blanche
Capitale-Nationale :
- Route 175 : Stoneham-et-Tewkesbury, secteur de l'échangeur de la route 371, entre les kilomètres 60 et 77
- Autoroute 40 : Québec et Boischatel, secteur entre la rue Côte de l'Église, et l'intersection de la route 368
Montérégie :
- Autoroute 20 : Saint-Simon, entre la sortie 145 et le rang Augustin
- Autoroute 10 : Carignan, secteur entre l'autoroute 30 et l'autoroute 35, entre les kilomètres 15 et 20
- Autoroute 40 : Vaudreuil-Dorion sur le pont de l'Île-Thomas, au bout du pont de l'Île-aux-Tourtes
- Autoroute 10 : Richelieu, secteur entre le pont de la rivière Richelieu et l'autoroute 35, du kilomètre 22 au kilomètre 29


REF,: