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dimanche 3 mai 2015

Les Google Glass reviennent 'bientôt'' et avec Ray-Ban

Technologie : Déjà partenaire de Google pour les lunettes connectées première génération, Luxottica, le fabricant italien de lunettes évoque un prochain retour des Google Glass.

Officiellement, les Google Glass ne sont pas enterrées et la firme américaine espère bien en faire un produit viable à l’avenir. Le développement a pour ce faire été confié à Tony Fadell, l’un des ingénieurs qui a conçu l’iPod et cofondé Nest.
Des Google Glass v2, c’est donc apparemment du sérieux ? Oui, et ce n’est pas Massimo Vian, le PDG du fabricant de lunettes Luxottica, qui dira le contraire. Cité par le Wall Street Journal, ce dirigeant du secteur déclare en effet que les lunettes connectées du géant américain seront « bientôt » de retour.

Bientôt, mais pas de date précise

Massimo Vian se garde bien cependant de se montrer plus précis. Mais pourquoi accorder de la valeur à ces déclarations ? Car le patron de la marque italienne, qui détient les marques Ray-Ban et Oakley, ajoute que Luxottica est associé à Google pour produire ces Google Glass V2.
Ce partenariat n’est cependant pas nouveau et remonte en fait à 2014, c’est-à-dire au projet initial de lunettes de Google. Luxottica devait alors assurer le design des Google Glass, ainsi que leur distribution aux Etats-Unis.
Contacté, Google répond simplement que ses équipes travaillent sur le futur de ce produit et se refuse à commenter rumeur et spéculation.
En mars dernier, Eric Shmidt, président exécutif du géant expliquait au Wall Street Journal combien ce projet, remanié, est important pour le groupe. "C’est une plate-forme importante et même fondamentale pour Google. Nous avons terminé la première phase d’apprentissage mais, contrairement à ce que la presse en a déduit, le programme reste bien actif."

Et de poursuivre : "Notre objectif est que les lunettes connectées soient prêtes pour une commercialisation à grande échelle". Il s'agirait donc de proposer un modèle plus qualitatif et plus autonome à un prix plus bas. Voire même de permettre de transformer une paire de lunette classique en Google Glass via un dispositif dédié.
Dans le même temps, le géant américain est conscient des erreurs qu'il a multiplié avec la première phase du projet. Astro Teller qui participait à la conférence SXSW 2015 où les Glass avaient justement été dévoilées deux ans plus tôt, explique : "Nous avons autorisé, et parfois même encouragé, trop d’attention à l’égard de ce programme". "Nous avons également fait des choses pour encourager les gens à penser qu’il s’agissait d’un produit finalisé", ajoute-t-il.

Source.:

mercredi 3 septembre 2014

Cerveau de Google : la révolution de la recherche est en route


Avec ses expérimentations de réseaux neuronaux informatiques, Google bouleverse le potentiel de la recherche contextuelle et ouvre la porte à de nouveaux usages appliqués à des projets en cours, Google Cars et Glass en tête.




Google Now ou Field Trip sont les premiers pas, plus ou moins maladroits, de Google dans le monde de la connexion permanente, où l’information n’est plus recherchée mais fournie avant même qu’elle soit demandée par l’utilisateur. Ainsi Field Trip, quand il se sera enrichi, proposera avec précision les informations sur tout votre environnement en fonction de votre géolocalisation et de l’heure, par exemple.

Auto-apprentissage

En juin dernier, Google annonçait avoir créé son premier cerveau. En fait, un logiciel d’auto apprentissage, bénéficiant de la puissance d’un ensemble de 16 000 processeurs, ce que Google appelle une structure d’apprentissage à grande échelle sans supervision. Un cerveau qui à l’issu de tests poussés avait été capable d’apprendre seul à reconnaître un chat. En soi une performance digne de HAL et de Skynet.
Dans un article de la revue technologique du MIT, on apprend que Google ne s’est pas arrêté en si bon chemin et que son cerveau continue à apprendre, selon ses propres préférences : « les réseaux neuronaux choisissent par eux mêmes à quel ensemble de données ils vont prêter attention, et quels schémas importent, sans qu’une intervention humaine décide, par exemple, de la couleur ou d’une forme particulièrement intéressante pour le logiciel qui essaie d’identifier des objets ».

Reconnaissance vocale

Ainsi, selon la revue du MIT, Google utilise ses réseaux neuronaux pour  améliorer ses technologies de reconnaissance vocale. Un effort qui n’a pas été vain, puisque Vincent Vanhoucke, responsable de la reconnaissance vocale chez Google, reconnaissait que « nous avons améliorer (ses performances) de 20 à 25% en termes de (détection de) mots erronés. (…) Ce qui veut dire que plus de personnes bénéficieront d’une expérience parfaite, sans erreur ». Une progression limitée pour l’instant à l’anglais américain, mais qui pourrait être appliquée à toutes les langues, une fois la technologie utilisée avec ces autres dialectes et idiomes.
Pour donner un exemple des capacités de reconnaissance vocale, si le système pense avoir entendu quelqu’un dire : « je vais manger des lychees », mais n’est pas sûr d’avoir bien saisi « lychee », il vérifiera dans son ensemble de connaissances que le lychee est un fruit, qu’on l’utilise aussi dans le même contexte que « pomme » ou « orange » et qu’il est donc fort probable qu’on puisse « manger des lychees ».

Applications infinies

Par ailleurs, Jeff Dean, un des responsables de ce projet, détaille l’application de ce système à la reconnaissance simultanée de texte et d’une image. Ainsi, si on montre une image de lapin, le logiciel affichera le mot « lapin ». Là où la surprise se teinte de science fiction, c’est que la prochaine étape pourrait être d’utiliser le même modèle pour apprendre le son des mots. Ainsi, le « cerveau » de Google serait capable de reconnaître un mot prononcé et l’image qui le représente, y compris dans une vidéo ou dans la réalité. Une utilisation qui pourrait avoir des utilisations aussi bien dans le cadre de téléviseurs connectés que dans le cadre des Google Cars, ces voitures sans conducteur, qui doivent être capables de réagir à leur environnement sans intervention d’un humain, ou encore en utilisant un smartphone.

Un cerveau qui se ne lasse jamais

Les réseaux neuronaux informatiques de Google fonctionnent de manière très proche des cortex visuels des mammifères, qui découvrent par eux mêmes de nouveaux objets, par exemple. Pour l’instant, ce « cerveau » n’est pas capable d’égaler le nôtre, pour autant, indique Jeff Dean, pour certaines tâches, il est plus performant. C’est notamment le cas quand on lui demande, dans Street View, de repérer le numéro d’une maison. « C’est probablement que ce n’est pas très stimulant et qu’un ordinateur ne se lasse jamais. », conclut-il.
Tous ces usages dessinent le contour d’un monde où les recherches n’existeront plus ou seront fondamentalement différentes. Les périphériques connectés en permanence pourront voir ce que vous verrez (Google Glass), entendre ce que vous entendrez (smartphone) ou même lire ce que vous lirez. A partir de toutes ces données, ils seront à même de vous offrir en temps réel toutes les informations complémentaires que vous souhaiterez et répondre à toutes vos questions « contextuelles ». A l’exception d’une, peut-être. Qu’en sera-t-il de votre vie privée et de l’utilisation des données collectées ?
 
 
Source.:

lundi 30 décembre 2013

iPhone: L'application MyGlass pour vos Google Glass

L'iPhone commande Google Glass avec l'appli MyGlass

L'iPhone

Les heureux possesseurs de Google Glass peuvent désormais commander leurs lunettes avec un iPhone, grâce à une nouvelle application native et gratuite mise à disposition par Google sur l'App Store.
MyGlass permet de configurer et de gérer ses lunettes, qu'il s'agisse de se diriger dans l'espace, de lancer des vidéoconférences, etc.
L'application peut également reproduire sur l'écran de l'iPhone le rendu de celui des lunettes. Les deux périphériques communiquent par Wi-Fi.
L'application existe déjà pour les terminaux Android, où elle autorise encore plus de choses, comme envoyer des textos. Il est également possible de commander Google Glass depuis son ordinateur.
L'application MyGlass est uniquement disponible sur l'App Store américain pour le moment.


mardi 24 septembre 2013

TEST: Google Glass

01net a testé pour vous les Google Glass

Google s’est décidé à sortir quelques modèles des Etats-Unis et a conviés pour tester enfin ses Glass. Nous avons pu découvrir cet accessoire qui crée le buzz. Premières impressions.

« Ok, Glass !» Cette formule risque de devenir culte lorsque les lunettes de Google seront mises sur le marché. En effet, il faut répéter cet ordre pour les démarrer. Une fois ces mots prononcés, vous pouvez enfin pénétrer dans l’univers que propose Google.
Cette découverte, nous l’avons faite ce lundi 23 septembre dans les locaux parisiens de la compagnie américaine. Cet accessoire devient commun aux États-Unis où les développeurs les portent en permanence dans les rues de San Francisco ou de New-York depuis plusieurs mois. Mais ailleurs, peu les ont vus puisque la compagnie a interdit aux premiers utilisateurs de les sortir hors du territoire américain.
Pour mettre le public européen sur un pied d’égalité avec les Américains, Google nous a proposé de vivre cette expérience.

Une surface tactile sur la branche

D’abord, elles sont légères et bien équilibrées. On ne les sent plus au bout de quelques minutes. Quant à leur manipulation, elle se maîtrise en un rien de temps. Une tape sur la branche pour les allumer et pouvoir prononcer le fameux « OK, Glass ! ».
Il suffit ensuite d’apprendre quelques gestes pour naviguer. La branche de droite est équipée d’une surface tactile qui réagit en tapotant dessus, mais aussi en faisant glisser son doigt d’avant en arrière ou de haut en bas. Rien de bien sorcier.
Une fois le sésame prononcé, un écran s’allume pour proposer quelques actions comme effectuer une recherche ou chercher une information, prendre une photo ou une vidéo, partager un contenu sur les réseaux sociaux ou chercher un itinéraire. Sans oublier l’envoi et la lecture de courriels et de SMS.
Tout se déroule vocalement casse un peu la crainte de filme ou photographier en secret. Pour prendre une photo, il faut le demander distinctement. Les modèles que nous avons essayés ne comprennent que l’anglais qu’il faut prononcer avec un accent américain. Les versions francophones arriveront plus tard.
Même pas besoin de chausser ses lunettes pour lire le texte qui s’affiche. La définition est également très claire pour regarder une vidéo en ligne. Pour les corrections plus fortes, un système est prévu pour adapter la vision.

D'abord sur Android, puis bientôt sur iOS

Le son est impressionnant. Le système de transmission par conduction osseuse est d’une efficacité redoutable. Qu’il s’agisse de discussion ou de musique, la qualité est suffisante, mais ne concurrence évidemment par un casque audio de bonne qualité.
Enfin, lorsqu’on les éteint, on ne les sent plus. Elles restent pourtant parfaitement fixées sur le nez. Même si l’on saute, si l’on court ou si l’on tourne brusquement la tête, elles restent bien en place. Les opticiens devraient s’en inspirer…
Cette prise en main a également cassé l’idée reçue qu’il faut les porter en permanence. En fait, les Google Glass sont des accessoires à utiliser, il faut le préciser, quand on en a besoin. C’est donc à chacun d’en définir l’usage selon ses habitudes, ses besoins ou ses envies. Elles permettent d’abord de ne plus utiliser son smartphone sans le manipuler. Car, sans lui, les Glass ne fonctionnent pas. Cet usage fait poser la question du prix. Le ticket d’entrée annoncé à 1500 dollars n’est-il pas un peu excessif ? Ce sera à chacun de voir en fonction de ses besoins, de ses envies et de ses moyens financiers.
Les tests ont été effectués sur un Nexus sous Android avec l’application adéquate qui est en cours de développement sur iOS pour permettre aux utilisateurs d’iPhone de dire, comme les « andronautes » : « OK, Glass ! ».


REF.:

mercredi 27 mars 2013

Les lunettes 2D de Sony

«Lunettes intelligentes» - Les géants se font la guerre pour vos yeux
 
Photo Lev Dolgatsjov / Fotolia

«Lunettes intelligentes»

Les géants se font la guerre pour vos yeux


2013 sera-t-elle l'année des accessoires techno portés comme des vêtements? C'est du moins ce que laisse croire la multiplication des joueurs et les récents dépôts de brevets de Sony qui, après Google et Microsoft, pénètre le marché des lunettes intelligentes.

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Des montres intelligentes capables de contrôler plusieurs gadgets (de Google, Apple, LG, et Samsung), des lunettes nous faisant accéder à la réalité augmentée... Décidément, les entreprises souhaitent transformer notre environnement par le biais de leurs accessoires techno, qui sont aussi devenus des objets de style.
Sony se prépare à affronter Google et Microsoft sur le terrain des lunettes de réalité augmentée, comme en font foi plusieurs demandes de brevet déposées depuis 2008. N'existant pour l'heure qu'à l'état de concept, les lunettes de Sony semblent se rapprocher à grands pas d'une commercialisation comme en témoigne la multiplication des brevets.
Un brevet de Sony datant du 21 mars 2013 évoque l'installation d'un système d'affichage sur chacun des deux verres de ses lunettes, contrairement à Google qui n'exploite qu'un seul verre. D'après le brevet, l'usager pourra ajuster le positionnement de ces deux écrans au gré de son confort visuel. Les lunettes de Sony embarqueraient aussi des piles et des caméras.
Toutefois, Sony ne proposerait qu'une interface en 2D et non pas un affichage d'images 3D en réalité augmentée, comme la vidéo de présentation de Google le suggère pour les Google Glass.
À l'avis de certains spécialistes, interrogés par Business Insider, les dispositifs tels que les montres intelligentes et ce type de lunettes techno ne représentent ni plus ni moins que la prochaine grande étape technologique.
Ils remplaceront probablement à terme les appareils mobiles si populaires de nos jours, que sont les téléphones et les tablettes. Plutôt que de transporter un appareil et le consulter pour obtenir les informations souhaitées, les usagers prendront l'habitude de le «porter» dans la vie de tous les jours.
Par conséquent, cela signifie que nous nous habituerons probablement à voir des gens dans la rue, parlant à voix haute et seul. Selon toute vraisemblance, cette habitude est là pour rester...


lundi 4 mars 2013


Les Google Glass seraient commercialisées en 2014 ?








Lunettes futuristes - Les Google Glass seraient commercialisées cette année
 
Photo Google

Sergey Brin, co-fondateur de Google, a déclaré mercredi en Californie (ouest des États-Unis) que les lunettes futuristes du groupe, avec caméra et internet intégrés, seraient commercialisées auprès du grand public cette année.

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En images:
La réalité (augmentée) rejoint la fiction

Google avait d'abord envisagé une commercialisation en 2014, mais M. Brin a affirmé lors de la Conférence TED, à Long Beach (sud de Los Angeles), que les lunettes Google (Google Glass) seraient disponibles cette année, après la fin d'un test grandeur nature réalisé auprès de volontaires.
Les Google Glass sont équipées d'une caméra intégrée, d'un micro et peuvent se connecter par la voix à l'internet par Wi-Fi ou par Bluetooth. Des mini-écrans sur les verres permettent d'afficher des textos ou des courriels.
Sur la scène de la conférence, qui se donne pour objectif de «propager les idées qui le méritent», M. Brin a vanté les bienfaits de ses lunettes, sensées libérer les clients de leurs téléphones portables «castrateurs» et des comportements asociaux qu'ils engendrent.
Il a illustré son propos sur scène en ignorant volontairement son public, le nez rivé sur son téléphone intelligent pour lire ses courriels.
Les lunettes Google libèrent les yeux et les mains dans les situations où l'on veut être connecté à l'internet en dehors de son domicile, a-t-il précisé.
«C'est pourquoi nous avons mis l'écran au-dessus de la ligne de vision», a-t-il expliqué. «Si vous portiez une casquette, l'écran serait sur la visière et pas là où vous regardez. Quant au son, il passe à travers les os de votre crâne. Au début ça fait bizarre mais on s'habitue vite».
Il a observé que les smartphones servent parfois de prétexte pour se distraire ou avoir l'air occupé. Les Google Glass «m'ont vraiment ouvert les yeux sur la grande partie de ma vie que je passe isolé dans les emails, les réseaux sociaux etc.», a-t-il dit.
Les volontaires «courageux et créatifs» voulant chausser en premiers les fameuses lunettes pendant la période de test - moyennant 1500$ - avaient jusqu'à mercredi pour poser leur candidature.
M. Brin a précisé que les Google Glass seraient commercialisées auprès du grand public pour un prix inférieur à 1500$.



samedi 30 juin 2012

Google Glass Explorer en 2013-14

Futuriste - Les lunettes de Google intègrent caméra et web
 
Photo AFP

SAN FRANCISCO - Le géant de l'internet Google a présenté mercredi à San Francisco la première génération d'une paire de lunettes futuristes avec caméra et internet intégrés, dont la commercialisation auprès du grand public est prévue dans un peu plus de deux ans.

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Le co-fondateur de Google, Sergey Brin, a détaillé le plan de lancement de ces lunettes devant des développeurs - les créateurs d'applications pour appareils informatiques - réunis en conférence annuelle à San Francisco.
Des parachutistes ont fait la démonstration du nouveau produit en filmant et diffusant en direct, avec leurs lunettes, leur vol puis leur atterrissage sur le toit du Centre de Convention de San Francisco.
«Je suis tellement heureux que cela ait marché. Je ne m'y attendais pas», a déclaré M. Brin avant de présenter sur scène un exemplaire «Explorer» des Google Glass, que les développeurs peuvent acheter pour 1500 $US.
Ce modèle de première génération sera disponible début 2013, avant la commercialisation, un an plus tard, d'une version pour le grand public.
«Google Glass Explorer est encore une ébauche», a précisé M. Brin. Elle est destinée aux passionnés qui veulent participer aux balbutiements d'une nouvelle technologie, a-t-il dit.
«C'est une nouvelle technologie et nous voulons vraiment que vous y preniez part», a-t-il lancé aux développeurs.
Les Google Glass sont équipées d'une caméra intégrée, d'un micro et peuvent se connecter à l'internet par wifi ou par Bluetooth. Des mini-écrans sur les verres permettent d'afficher des textos ou des courriels.
«C'est ce genre d'idée folle qui finit par devenir réelle», a affirmé M. Brin. «Le fait de pouvoir vous jeter dans le vide tout en faisant partager votre expérience (avec des lunettes posées sur le nez) rend l'usage d'un téléphone intelligent ou d'un ordinateur portable vraiment bizarre», a-t-il ajouté.
Le co-fondateur de Google a précisé qu'il portait un prototype des Google Glass la plupart du temps, alors que l'équipe qu'il dirige au sein du groupe, le X Lab, peaufine cette nouvelle technologie.


REF.: