Le Japon étudie une solution pour obliger Apple à autoriser le sideloading
Le sideloading permet de télécharger des applications sans passer par l’App Store
Il est probable que cette opération soit aussi autorisée en France, très bientôt
Au
Japon, une nouvelle règlementation pourrait obliger Apple et Google à
laisser les utilisateurs de leurs OS mobiles télécharger nativement des
apps issues de sources autres que le Play Store et l’App Store. Cette
opération, appelée sideloading
outre-Atlantique, est parfois critiquée car exposant potentiellement
davantage aux virus que n’auraient pas détectés les garde-fous des
boutiques en question. Mais on peut aussi y voir un avantage
concurrentiel indéniable pour les petits éditeurs, avec alors davantage
de chance de voir leurs plateformes mises en avant auprès du grand
public.
Et pour cause : sur iOS et Android, on remarque souvent qu’Apple et Google
ne se gênent pas pour, au contraire, favoriser l’installation de leurs
propres services : musique, streaming, etc. D’ailleurs, là aussi, le
Japon compte sévir et pourrait bien sanctionner de telles préférences.
Bientôt en France également ?
Cette
mésaventure de la Pomme au pays du soleil levant n’est, de plus, pas
isolée. De nombreuses autres régions ont ainsi tenté de calmer également
le jeu parfois qualifié de monopolistique de la société, que ce soit
aux États-Unis, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas ou encore en France. Au
sein de nos frontières, la riposte est d’ailleurs aussi en préparation.
C’est surtout par le biais des institutions européennes que s’exercent aujourd’hui les principales pressions envers Apple. Thierry Breton, en charge du dossier, souhaite
qui plus est réguler aussi le cas de l’intelligence artificielle, alors
que Siri pourrait bientôt se voir dopé de ses capacités dans le cadre
d’une future mise à jour majeure.
Des avancées déjà présentes sur iOS
Depuis quelques mois
maintenant, Apple a par ailleurs déjà commencé de se mettre à la page
des requêtes des officiels. Certains développeurs peuvent ainsi proposer
des liens de paiements externes, passant outre les 30% de commission d’iOS.
Pour finir, notons aussi que c’est rien de moins que Craig Federighi, CTO de la firme à la pomme, qui a assuré souhaiter se conformer aux exigences de nos dirigeants si celles-ci sont bel et bien adoptées.
Des millions de smartphones, PlayStation,TV intelligentes,ordinateurs Mac, pourraient être privés d'Internet le 30 septembre 2021
Nerces
Spécialiste Hardware et Gaming
25 septembre 2021 à 14h05
Une perte de fonctionnalité qui pourrait aussi toucher PlayStation 3 et 4, télévisions connectées et d'autres périphériques encore.
Privés de connexion Internet, de
nombreux appareils du quotidien se retrouvent dénués de tout intérêt.
C'est notamment le cas de nos smartphones
qui sont parfois connectés en permanence. Or l'expiration d'un
certificat de grande importance pourrait poser un problème majeur à de
nombreux usagers. Explications.
Un certificat qui pose problème
Lorsque vous vous connectez à
Internet, vous avez besoin de sécuriser les connexions, les accès et les
données partagées. Cela passe par des systèmes de certification qui, la
plupart du temps, sont complètement transparents pour des usagers qui
ignorent jusqu'à leur existence.
C'est
notamment le cas pour le certificat numérique baptisé IdenTrust DST
Root CA X3. Celui-ci permet de confirmer la bonne application d'un autre
certificat très largement répandu, ISRG Root X1. Comme l'explique Scott
Helme sur son blog, celui est utilisé par Let's Encrypt.
Née
en 2015, Let's Encrypt est une autorité de certification dont le
protocole est employé sur d'innombrables connexions liées à Internet et
que nous utilisons tous les jours, là encore, sans nous en rendre
compte.
Quels smartphones sont concernés ?
Enfin, sans nous en rendre compte…
jusqu'au 30 septembre prochain. En effet, à cette date, Scott Helme met
en garde contre un risque majeur. Un changement dans le processus de
certification interviendra à cette date et pour de nombreux appareils
cela passera par une simple mise à jour.
Or, il faut encore que ladite mise à jour soit faite, et qu'elle soit disponible. Des smartphones Android
sortis avant 2017, risquent notamment de rencontrer des problèmes d'accessibilité à une éventuelle solution.
Scott
Helme précise que la mise à jour en question nécessitera au moins une
version Android 2.3.6 Gingerbread, relativement ancienne. Problème, de
nombreux utilisateurs et utilisatrices ne faisant aucune mise à jour,
ils se verront de fait privés d'accès à Internet au 30 septembre. À
compter de 2024, c'est Android 7.1.1 Nougat qui sera nécessaire pour
conserver la connexion.
Quelles solutions envisager ?
Sans préciser exactement comment il
arrive à ce résultat, Scott Helme souligne qu'un tiers des téléphones
sous Android actuellement en circulation pourraient être affectés par ce
problème. Ce ne sont toutefois pas les seuls appareils concernés.
Scott Helme évoque aussi le cas des ordinateurs Mac sous macOS 10.12.0 ou antérieur et des iPhone
sous iOS 9 ou antérieur. Selon lui, des appareils auxquels on pense
moins comme les PlayStation 4 si le micrologiciel de la console est
antérieur à la version 5.00, et des téléviseurs connectés, pourront
aussi être affectés.
Sur son blog (dont le lien est
disponible en source de cet article), Scott Helme détaille la liste des
plateformes concernées par la question. Il admet ne pas être certain de
l'ampleur du problème, mais précise que des usagers seront forcément
touchés. En ce qui concerne la navigation Web, il suffirait d'utiliser
certains navigateurs
comme Firefox
qui utilisent leurs propres certificats de sécurité, pour pallier ce problème de connexion.
Restent
les difficultés d'accès du système en général au Net, notamment pour
les applications smartphones ou différents usages liés à Internet.
Affaire à suivre, comme on dit dans ce genre de cas.
Espionner avec vos AirPods Pro et mise a jour du micrologiciel, {4:08}
La version du micrologiciel passera de la version 3az83 a 3e751 mettons ou 3A283 !
Nouveau: l'audio spatial et le changement automatique de périphérique
Le nouveau micrologiciel AirPods Pro 3A283 ajoute la prise en charge de l'audio spatial et de la commutation automatique
Si vous utilisez la version bêta d'iOS 14, vos AirPods Pro se sont améliorés.
Jason Cross
Par Jason Cross
Rédacteur Macworld 14 sept. 2020 7 h 59 PDT
airpods pro ouvert
Jason Cross / IDG
Table des matières
Comment mettre à jour le micrologiciel de votre AirPods
Périodiquement, Apple mettra à jour le micrologiciel des AirPods et AirPods Pro pour corriger les bogues ou modifier les performances.
En règle générale, une mise à jour n'est pas vraiment quelque chose que la plupart des utilisateurs remarqueront jamais.
Cette fois, c'est différent.
Apple apporte de nouvelles fonctionnalités aux AirPods et AirPods Pro dans iOS 14, tvOS 14 et macOS Big Sur, et apparemment, ils nécessitent une mise à jour du micrologiciel. Si vous possédez des AirPods Pro, vous remarquerez peut-être bientôt qu'ils ont mis à jour la version 3A283 du micrologiciel. Quand ils le feront, cela activera deux nouvelles fonctionnalités pour ceux qui utilisent iOS 14 ou tvOS 14 beta: l'audio spatial et le changement automatique de périphérique. En savoir plus sur la façon dont Apple améliore les AirPod cet automne.Pour vérifier la version du micrologiciel de vos AirPods, connectez-les à votre iPhone et ouvrez l'application Paramètres.
Appuyez sur Général, À propos et faites défiler vers le bas jusqu'à ce que vous voyiez le nom de vos AirPods. Appuyez dessus et vous verrez des informations telles que le numéro de modèle, le numéro de série et la version du micrologiciel.
airpods pro spatial
IDG
Appuyez longuement sur la barre de volume dans le Centre de contrôle pour voir les fonctionnalités de vos AirPods Pro.
Pour activer Spatial Audio, ouvrez le Centre de contrôle (balayez vers le bas depuis le coin supérieur droit) avec vos AirPods Pro connectés et appuyez longuement sur la barre de volume. Vous verrez des boutons pour l'annulation du bruit et l'audio spatial. Vous pouvez également ouvrir Paramètres> Bluetooth et appuyer sur le bouton d'information (i) à côté de vos AirPods Pro lorsqu'ils sont connectés. Vous y verrez une bascule pour Spatial Audio, ainsi que d'autres paramètres.
Comment mettre à jour le micrologiciel de votre AirPods
Malheureusement, il n’existe aucun moyen fiable de forcer vos AirPod à mettre à jour leur micrologiciel. Cela se produit automatiquement et vous devez simplement attendre. Vous pourrez peut-être augmenter vos chances de mise à jour des AirPod en suivant ces étapes:
Assurez-vous que vos AirPods sont dans leur boîtier de chargement.
Assurez-vous que vos AirPods sont connectés à votre iPhone, iPad ou Mac et que ledit appareil dispose d'une connexion Internet.
Fermez le couvercle de votre boîtier de charge AirPods et branchez-les ou placez-les sur un chargeur sans fil (si vous avez un boîtier de charge sans fil).
Un message vous indique que Windows 7 arrive en fin de support. En effet à partir du 14 janvier 2020, Windows 7 expire.
Cet
article répond à toutes les questions : Doit-on changer de PC ? Peut-on
rester sur Windows 7 ? Jusqu’à quand pouvez-vous encore utiliser
Windows 7. Bref que faire après l’arrêt et fin des mises à jour de Windows 7.
Après
avoir lu cet article, vous devriez être en mesure de mieux comprendre
les conséquence et les options qui s’offrent à vous après la fin de support de Windows 7.
Vous demandez jusqu’à quand vous pouvez utiliser Windows 7 ? Théoriquement, il n’y a pas de fin d’utilisation.
En effet, Microsoft a programmé la fin de support de Windows 7 à partir du 14 Janvier 2020. A partir de cette date Windows 7 expire. Vous aurez alors le message « Votre PC Windows 7 ne bénéficie plus du support » sur fond bleu s’affiche alors.
L’article suivant donne le calendrier détaillé de la fin de support de Windows 7.
Après la fin de support de Windows 7
A partir de cette date, l’éditeur ne proposera plus de mise à jour pour cette version de Windows. Ainsi à partir de cette date, plus aucune mise à jour mensuelle ne sera publié. Cela implique :
Plus aucune mise à jour de sécurité sera publié
De même plus aucune mise à jour correctrice de bugs autres.
A retenir, la fin de support est synonyme de fin de mise à jour
mensuelles donc de sécurité. Enfin petit à petit les éditeurs de
logiciels vont abandonner Windows 7.
Vous pourrez bien entendu continuer à utiliser votre ordinateur normalement. Simplement que cela pose des problèmes sur le long terme comme :
Des problèmes de sécurité puisque Windows 7 ne bénéficiera plus de correctifs critiques
Les éditeurs de logiciels suivent aussi le calendrier et les futures logiciels ne supporteront plus cette version Windows. Certains peuvent encore publier des applications 2 ans après.
C’est
donc surtout sur le très long terme que cela pose problème puisque vous
aurez des difficultés pour trouver des logiciels pour Windows 7. Par exemple, un an ou deux ans, il devient difficile de trouver des antivirus compatibles Windows 7.
L’article suivant détaille les implications de la fin de support de Windows 7.
Que faire après la fin de support de Windows 7 ?
Trois choix s’offrent à vous avant ou après la date de fin de support de Windows 7.
Rester sur Windows 7 et attendre que votre ordinateur tire sa révérence avant d’en changer.
Tenter la mise à niveau vers Windows 10.
Enfin passer votre ordinateur en Linux.
Rester sur Windows 7
C’est probablement ce que la plupart des utilisateurs vont faire. Attendre que leur ordinateur tombe en panne avant d’en changer. Rester sur Windows 7, un an ou deux après la fin de support de Windows 7 n’est pas non plus dramatique. L’important est de bien avoir un antivirus fonctionnel. Mais aussi s’informer des risques. Par exemple la publication d’une faille à distance.
Certains logiciels resteront compatibles pendant 2 ans environ. Au delà, cela va être compliqué surtout si vous devez réinstaller Windows 7.
Une
fois que votre ordinateur tombe en panne, vous pouvez alors en acquérir
un autre qui sera probablement vendu avec Windows 10. L’avantage ici est que vous n’avez à vous préoccuper de rien.
La mise à jour gratuite vers Windows 10 fonctionne toujours, vous pouvez donc continuer d’en profiter.
Mais sachez aussi que l’on trouve des licences pour Windows 10 à 10 euros.
La
seconde difficulté est le support du matériel puisque certains
constructeurs ne proposent pas des pilotes à jour pour Windows 10. Ainsi certains composants peuvent ne pas être supportés correctement. Là
aussi, lors de la mise à jour, le matériel est testé et on vous indique
si des problèmes sont connus mais parfois cela n’est pas suffisant.
Enfin, les très vieux ordinateurs qui ont moins de 4 Go de RAM risque d’être très lent sur Windows 10. Au minimum, nous vous recommandons d’avoir 4 Go de RAM. L’article suivant donne tous les détails : Combien faut-il de RAM pour Windows 10
Enfin la procédure mise à jour vers Windows 10 est décrite sur la page suivante.
Passer à Linux
Enfin la dernière solution consiste à remplacer Windows par Linux. Ce dernier est gratuit, aucun problème de licence. L’autre avantage de cette solution est qu’elle supporte n’importe quel ordinateur : du moins puissant au plus puissant. Ainsi pour les ordinateurs qui n’ont que 2 Go de RAM, c’est probablement la meilleur solution. Pour ces derniers d’ailleurs un article existe sur le site.
Le seul bémol est que la mise en place n’est pas forcément simple et peut s’avérer complexe pour les débutants.
Enfin il existe les tutoriels du site pour installer Linux :
Voici les questions fréquentes sur la fin de support de Windows 7.
Puis-je continuer à utiliser Windows 7 ?
Oui vous pouvez continuer à utiliser Windows 7. Seulement vous n’aurez plus de mise à jour mensuelle et de sécurité.
Est-ce que je dois changer d’ordinateur ?
Si votre PC est trop vieux, vous pouvez envisager de changer de PC. L’avantage est que vous aurez Windows 10 inclus dedans. Pour des questions d’économies et si le PC n’est trop lent, vous pouvez continuer de l’utiliser.
Qu’est-ce qui se passe si je reste sur Windows 7 ?
Vous n’aurez plus de mises à jour de sécurité. Cela peut sur le long terme poser des problèmes contre les malwares. Mais surtout, petit à petit, les éditeurs de logiciels vont délaisser Windows 7. Vous ne pourrez pas installer les dernières versions de ces logiciels.
Que faire après la fin du support de Windows 7 le 14 janvier 2020 ?
Le plus simple est de passer à Windows 10 gratuitement. Rien ne vous empêche de le faire après cette date.
Alors, attention ! Gros disclaimer : Je ne suis pas fan du fait de désactiver les mises à jour de Windows.
Je ne vous recommande pas de faire ça et si je parle de cet utilitaire
aujourd’hui c’est parce que ça peut servir dans certains cas. En tout
cas, si vous bloquez les mises à jour sur votre OS, vérifiez bien que
cela reste temporaire et pensez bien à les réactiver ensuite. Windows Update Blocker est donc un utilitaire pour
Windows qui permet de désactiver et réactiver les mises à jour de
Windows, ce qui dans certains cas est bien pratique.
En effet, Windows 10 ne permet pas cela nativement, ce qui est quand
même dommage quand on veut maitriser totalement sa machine, choisir le
moment où on veut mettre à jour et ne pas se retrouver avec un patch qui
viendrait mettre en l’air une config un peu particulière.
Évidemment, on peut le faire manuellement en désactivant le service
associé, mais c’est plus sympa en 1 clic avec Windows Update Blocker.
Mieux Windows Update Blocker permet aussi de rajouter dans une liste
n’importe quel autre service Windows que vous aimeriez bloquer.
Découverte récemment, la vulnérabilité BlueKeep est particulièrement dangereuse. Elle offre de nombreuses opportunités aux pirates et facilite la propagation des exploits
sur le web. Face à cette menace, Microsoff a conçu un patch de
sécurité pour les anciennes versions de son système d’exploitation. De
son côté, la NSA est sortie de sa réserve habituelle. Elle recommande
aux utilisateurs de mettre à jour leur machine.
BlueKeep menace plusieurs millions d’ordinateurs
La vulnérabilité ne touche pas Windows 8, 8.1 et 10. En revanche,
plusieurs millions de personnes utilisent encore une ancienne version du
système d’exploitation. Selon Netmarketshare, Windows 7 serait installé sur 38,52%
des ordinateurs à travers le monde. Quant à Windows XP, il compte
encore 3,35% d’utilisateurs. Officiellement, Microsoft ne supporte plus
cet OS. Néanmoins, l’entreprise de Redmond a fait une entorse à ses
principes en mettant en ligne un patch de sécurité spécifique pour ces
moutures :
D’après la NSA, BlueKeep favorise « l’utilisation de code logiciel ».
Les pirates peuvent réaliser une attaque par déni de services
distribués (DDoS). En plus de la mise en jour, l’agence recommande
quelques mesures : bloquer le port TCP 3389, lancer le Network Level Authentication et désactiver le contrôle à distance, sauf s’il est indispensable.
Windows est connu pour sa simplicité d’utilisation. Toutefois quand
ce dernier se met à bugger, l’utilisateur reste souvent désemparé face à
des messages d’erreur incompréhensible. Windows Update est le service de mise à jour de Windows.
Ce dernier est assez connu pour poser de gros problèmes : code erreur,
recherche dans le vide, provoque des lenteurs de connexion ou de
Windows.
Avec l’arrivée de Windows 10, on aurait pu espérer que les problèmes Windows Update disparaissent mais la sortie de la mise à jour 1803 prouve plutôt le contraire. L’installation des mises à jour sur Windows 10 et notamment les mises à jour de version pourraient être même pire que dans les versions précédentes.
Les versions précédentes de Windows et notamment Windows 7 étaient assez connu avec ces problèmes Windows Update. Windows Update pouvait chercher dans le vide, des mises à jour interminables et même parfois des codes erreurs : Erreurs Windows Update : Mise à jour impossible Windows 10, surtout avec la dernière version 1803 n’est pas en reste du côté des problèmes Windows Update.
Cette mise à jour 1803 a planté beaucoup d’ordinateurs en démarrant sur Windows Rollback, écran noir au démarrage ou autres. Une partie de ces problèmes et bugs sont évoqués sur la page : Les bugs et problème mise à jour Windows 10 1803 (Spring Creator Update).
D’après une étude britannique, 50% des utilisateurs déclarent avoir
rencontré un bug ou un dysfonctionnement après la mise à jour 1803. Seulement des problèmes de fonctionnement plus larges de Windows Update sont aussi à noter.
Sur les forums ou réseaux sociaux, on constate beaucoup beaucoup beaucoup de plaintes des utilisateurs de Windows 10.
Mise à jour trop automatisée
Dans un souci de garder un parc le plus à jour possible, Microsoft automatise au maximum l’installation des mises à jour. L’utilisateur n’a pas la main pour désactiver Windows Update ou bloquer une mise à jour . Cela est possible mais pas prévu par défaut :
Or les ordinateurs sont des outils de travail, la mise à jour peut se déclencher au mauvais moment.
On
a aussi pu voir lors de présentations, des popups de proposition
d’installation Windows Update ou de mise à jour de Windows 10 s’ouvrir.
Comble de l’automatisation, un utilisateur qui rétrograde de version de Windows 10 suite à des problèmes de la mise à jour verra celle-ci se réinstaller. En clair donc, les utilisateurs vivent ces mises à jour comme étant imposées.
Mise à jour trop longue à s’installer
Le second reproche est que l’installation des mises à jour est trop longue.
Certes les utilisateurs ne souvent pas patients, mais parfois,
l’installation peut prendre 1h30 et dans certains cas, beaucoup beaucoup
plus de temps. Or si la mise jour se déclenche au mauvais moment et si l’utilisateur a besoin de travailler, cela a le don de l’énerver.
Le problème de fond, même si une partie peut s’installer pendant que
Windows est ouvert, est qu’une grosse phase d’installation se fait avec
un Windows non accessible. L’utilisateur ne peut pas travailler sur son ordinateur.
Entre
les utilisateur qui ne peuvent pas travailler, d’autres qui doivent
rester après leurs heures. On a ceux qui ne dorment pas.
Le Chaos de la mise à jour 1803
En plus des plantages lors de l’installation, d’autres problèmes se greffent.
Quand votre ordinateur est un outil de travail, arriver le matin et
constater l’ordinateur planté suite à l’installation d’une mise à jour
pendant la nuit. Cela ne fait pas débuter la journée sous de bon
hospice. De plus, beaucoup d’autres problèmes de configuration et de fonctionnement sont à noter.
Les
utilisateurs de disques SSD Intel et Toshiba ont pu rencontrer des
problèmes. Ces problèmes ont été réglés par une mise à jour ultérieure.
Cela a tendance à agacer au plus au point les utilisateurs.
Et du coup les utilisateurs avancés rétrogradent..
Conclusion
La guerre des navigateurs internet et des antivirus gratuits
montrent que les utilisateurs n’attendant qu’une chose d’un appareil ou
d’un logiciel : qu’il soit le plus simple, rapide possible mais surtout
qu’ils soient discrets (pas de notifications, demandes, pubs, etc). A ce jeu là, les mises à jour de Windows 10 sont loin de compte.
La perte de confiance des utilisateurs est en marche et elle est assez
difficile à inverser. Symantec avec Norton en sait quelque chose.
Théoriquement, une seconde mise à jour de Windows 10 devrait avoir lieu
en fin d’année. Il est fort à parier que son installation va donner des
sueurs froides aux utilisateurs traumatisés par cette mise à jour 1803.
Microsoft devrait vraiment travailler sur Windows Update et les mises à jour de Windows 10 pour régler tous ces problèmes.
Certains fabricants de smartphones Android n'hésitent pas à mentir sur leurs mises à jour de l'OS.
(CCM) — Certaines marques prétendent avoir procédé aux mises à jour de sécurité recommandées par Android.
Sans l'avoir vraiment fait... Résultat, leurs utilisateurs se
retrouvent en risque. C'est le constat réalisé par les experts allemands
de Security Research Labs.
Leur rapport baptisé « Patch Gap » (lien en anglais) est accablant, y compris pour certaines des marques les plus réputées
de l'écosystème Android. Concrètement, certaines mises à jours de
sécurité se sont pas déployées sur les smartphones, ou mal déployées.
C'est pourtant par ce biais que les failles de sécurité découvertes sur
Android sont colmatées... Parmi les grands noms pris la main dans le
sac, on retrouve TCL, ZTE, HTC, Motorola et même Samsung pour certains modèles. Exemple : le Galaxy J3 de 2016 sur lequel les chercheurs en sécurité mobile ont relevé un « gap » de 12 correctifs manquants, alors que la marque annonce être à jour des patches Android.
Parmi les marques les plus honnêtes, l'enquête de Security Research Labs met en avant Sony, Nokia, LG mais aussi Huawei et Wiko.
Comme quoi, ce n'est pas forcément une question de marque premium ou
low-cost... Ces fabricants jouent la carte de la transparence, en
annonçant clairement les correctifs installés et ceux qui ne le
sont pas. Au-delà de l'image de marque, c'est la sécurité des
utilisateurs qui est en jeu. Il n'y a rien de pire que de croire que son
smartphone est à jour des correctifs Android alors qu'en réalité, des malwares peuvent exploiter des failles restées ouvertes.
Ce rapport aura au moins le mérite de lever le voile sur certaines
pratiques douteuses des marques, et de les inciter à être plus
rigoureuses à l'avenir.
Tutoriel Snappy Driver Installer : Mettre à jour ses pilotes
Il existe de multiples logiciels de mise à jour de pilotes dont nous avons déjà présenté quelques un sur le site.
Snappy Driver Installer est un énième logiciel de mise à jour de pilotes qui est assez simple d’utilisation.
Ce dernier existe en version gratuite et portable étant donné que le logiciel est open source.
Vous pouvez alors lancer ce dernier, si vous rencontrez des problèmes
pour mettre à jour vos pilotes ou le garder installé pour maintenir vos
pilotes à jour.
Avant
de se lancer dans ce tutoriel, quelques rappels car malheureusement, la
mise à jour des pilotes commencent à prendre la même direction que les nettoyages de Windows sous la pression des éditeurs. Il ne sert à rien, de tenter de maintenir à jour ses pilotes coûte que
coûte, si vous ne rencontrez aucun problème de fonctionnement.
Mettre à jour ses pilotes sur Windows est une opération qui peut causer des problèmes (plantages, BSOD, etc).
Il
faut donc tenter l’opération que si vous rencontrez des problèmes,
avant cela, je vous conseille de créer un point de restauration système
afin de pouvoir revenir en arrière.
Les liens qui peuvent aider en cela :
Voici le lien de téléchargement du site Snappy Driver Installer : https://sdi-tool.org/ Il existe une version full (complète) qui s’installe et reste permanent et une version Lite qui est une version portable.
Au première lancement, le pare-feu de Windows se déclenche, vous pouvez autoriser la connexion.
Cela permet de se connecter à la base de données des pilotes de Snappy Driver Installer.
Ensuite une popup s’ouvre et vous demande quel type de pack de driver, il faut télécharger.
Le pack complet de pilotes pour télécharger et mettre à jour tous les pilotes (environ 15 Go, donc très long).
Les pilotes réseaux seulement en cas de problème de Wifi etc.
L’index des pilotes, plus léger, il s’agit de comparer les pilotes installés à ceux disponibles pour trouver des versions plus récentes.
Laissez le téléchargement s’effectuer afin de pouvoir lister les pilotes disponible.
Le bandeau violet indique l’état d’avancement du téléchargement.
En cliquant sur le bandeau, la liste des packs de mise à jour s’affiche et vous pouvez cocher des packs à télécharger.
Au niveau de la présentation de Snappy Driver Installer
Mettre à jour un pilote
La mise à jour des pilotes est très simple, en liste se trouve les pilotes disponible.
Dans les menus de gauche, vous pouvez filtrer la liste, si vous
souhaitez chercher un pilote en particulier ou listé que les pilotes
récents par exemple.
Il ne reste plus qu’à cocher les pilotes, ce qui incrémente le compteur en haut à droite du bouton vert installer.
Une fois que vous êtes prêt au téléchargement et installation des pilotes, cliquez sur ce bouton installer.
Pensez à activer la création d’un point de restauration.
Le téléchargement du ou des drivers s’effectue…
Une fois terminé, l’installation se déclenche.
Enfin quand tout est installé, un message vous indique que les pilotes sont à jour.
il peut parfois être nécessaire de redémarrer Windows.
Si aucun pilote n’est disponible, Snappy Driver Installer, vous en informe.
Récupérer l’identifiant d’un pilote
Les périphériques sont identifiés par un identifiant unique (HardwareID),
ce qui permet de trouver des pilotes depuis des bases de données ou
identifier un pilote lorsque le périphérique n’est pas installé.
Plus d’informations : Rechercher un pilote d’un périphérique inconnu par son identifiant
Sur Snappy Driver Installer, un clic droit permet d’obtenir des informations sur le pilote et récupérer cet HardwareID.
Autres liens pour mettre à jour ses pilotes
Tous les liens du site autour de la mise à jour des pilotes et drivers sur Windows.
Reset Windows Update Agent est un script batch de Microsoft qui permet de lancer divers opérations de maintenance, notamment par exemple quand les mises à jour Windows (Windows Update)
ne fonctionnent pas ou plus.(ce problême concerne surtout win 7).
Le script fonctionne sur toutes les
versions de Windows bien que certaines fonctionnalités ne soient pas
toutes disponibles sur Windows. Par exemple des options ne
fonctionneront pas sur Windows XP ou Vista étant donné qu'elles
n'existaient pas.
Petit bémol, Reset Windows Update Agent n'est disponible qu'en langue anglaise.
Quelques outils utiles pour Windows Update présents dans la liste des programmes utiles du forum Malekal. Vous trouverez des utilitaires pour Windows Update