Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

jeudi 4 février 2021

Pourquoi est-il obligatoire d'avoir un mot de passe sur Linux et pas sur Android ?

 

 

· 

 

 

Sur Linux, tu as un accès root ce qui te donne tous les droits sur l'appareil, mais sur Android, tu as un accès utilisateur qui te refuse l'accès à la partie sensible du système.
C'est pour cela que sur Linux le mot de passe est une nécessité absolue.

Tu as cependant la possibilité de "rooté" ton mobile avec des méthode non-officielles, car c'est une pratique interdit/déconseillé par le fabricant.

 

REF.: Quora.com

Comparatif WiFi 6 vs. WiFi 5 : devez-vous acheter un routeur WiFi ax en 2021 ?

 

Comparatif WiFi 6 vs. WiFi 5 : devez-vous acheter un routeur WiFi ax en 2021 ?

par Yannick Guerrini,

 Libellés: WiFi 7,802.11be,802.11ax,WiFi 6,Wifi 6E,

Alors que le WiFi 5 est démocratisé depuis quelques années déjà, les appareils compatibles WiFi 6 sont de plus en plus présents sur le marché. La question se pose désormais : y a-t-il un intérêt à sauter dès aujourd’hui le pas du WiFi 6 en achetant un routeur compatible ?

Que de chemin parcouru depuis le WiFi « 1 », la version originale de la norme de communication sans-fil apparue en 1997 (avec un débit maximal de… 2 Mbps !) et popularisée dès 1999 avec la norme 802.11b. En un peu plus de 20 ans, le WiFi s’est solidement installé au cœur de nos installations réseau, proposant une alternative de plus en plus fiable, rapide et pratique aux connexions filaires classiques. Au fil du temps et des versions, les performances ont logiquement progressé : les 11 Mbps maximum théoriques du WiFi 802.11b paraissent tellement insignifiants de nos jours, comparés aux quelques Gbps autorisés par les dernières versions de la norme WiFi.

Aujourd’hui, le WiFi 6 (ou 802.11ax) tend à se démocratiser, remplaçant peu à peu le WiFi 5 (précédemment 802.11ac) au cœur des appareils compatibles. Version après version, le WiFi a évolué en matière de performances, de stabilité et de fonctionnalités. Et le passage du WiFi 5 (WiFi ac) au WiFi 6 (WiFi ax) ne déroge, une fois de plus, pas à la règle.

Wi-Fi : comment améliorer la qualité de sa connexion

Les nouveautés et avantages du WiFi 6

Le premier avantage du WiFi 6 par rapport au WiFi 5 reste l’augmentation du débit maximal théorique, grâce à l’utilisation de différentes bandes de fréquences et technologies (nombre de flux simultanés, largeur des canaux, type de modulation utilisée…). Ainsi, le WiFi 5 offre une bande passante maximale de 3,4 Gbps si l’on respecte à la lettre les spécifications de la norme en matière de nombre de flux, largeur des canaux et modulation utilisée, alors que le WiFi 6 permet d’augmenter cette bande passante à plus de 10 Gbps.

Norme WiFiWiFi 6
(802.11ax)
WiFi 5
(802.11ac)
Fréquence2,4 GHz & 5 GHz5 GHz
Largeur de bande20 MHz
40 MHz
80 MHz
160 MHz
20 MHz
40 MHz
80 MHz

160 MHz (80+80) optionnel
Débit théorique maximum
(bande de 160 MHz)
9608 Mbps6933 Mbps
Nombre maximum de flux MIMO88
MU-MIMOEn envoi et en réceptionEn réception uniquement
Codage / ModulationOFDM, OFDMAOFDM
Portée théorique
(intérieur / extérieur)
12-35 m
300 m
12-35 m
300 m

Bien entendu, les valeurs de débit et de portée du WiFi 6 sont théoriques : en pratique, et tout comme les précédentes versions de la norme WiFi, elles seront forcément plus faibles en particulier à cause des obstacles, murs et distance entre les appareils. Chaque périphérique peut par ailleurs prendre en charge un certain nombre de flux simultanés, laissant par conséquent apparaitre des différences sensibles de performances entre deux produits.

Le WiFi 6 offre également une portée supérieure, en partie parce qu’il fonctionne partiellement sur la bande des 2,4 GHz. Cette bande de fréquences offre une meilleure portée que celle des 5 GHz et traverse mieux les obstacles comme les murs. Côté débits en revanche, c’est la bande des 5 GHz, utilisée en WiFi 5 comme en WiFi 6, qui est avantagée.


Le WiFi 6 impose aussi la possibilité d’utiliser le protocole de sécurité WPA3, même s’il reste possible d’utiliser le WPA2. En environnement dense, la latence est plus faible et les débits sont plus élevés qu’avec le WiFi 5, et un plus grand nombre de stations clientes peuvent se connecter. Enfin, la gestion de l’énergie a été améliorée, autorisant une diminution de la consommation et donc une augmentation de l’autonomie. Autant dire que le WiFi 6 va rapidement devenir incontournable.

WiFi 6 : quel routeur compatible choisir ?

De nombreux modèles de routeurs compatibles WiFi 6 ont fait leur apparition ces derniers mois sur le marché. Difficile de s’y retrouver ; nous avons donc sélectionné quelques modèles intéressants, avec un bon rapport performances/fonctionnalités/prix. Notez que tous les modèles sont également compatibles avec les anciennes versions de la norme WiFi. Vous n’aurez ainsi aucun problème pour y connecter un périphérique compatible WiFi 5 uniquement, voire WiFi 4 (802.11n) ou antérieur.

 
8,5/10

Netgear Nighthawk RAX80 (AX8)

279.99 € > Amazon
On aime
  • Les performances en WiFi
  • La compatibilité WiFi 6
  • L'interface d'administration simple et complète
  • Les caractéristiques et fonctionnalités
  • L'agrégation de deux ports Ethernet Gigabit
On n’aime pas
  • Le connecteur d'alimentation un peu fragile
  • La grille en mesh (à cause de la poussière)
Verdict :

Avec son Nighthawk RAX80 (AX8), Netgear nous propose un routeur WiFi abouti et performant grâce à sa compatibilité avec la norme WiFi 6. Doté d’une interface de configuration particulièrement riche, on appréciera les petites attentions telles que la possibilité d’agréger deux liens Ethernet Gigabit. Il s’agit en résumé d’un excellent produit, que seuls quelques défauts sans véritable gravité éloignent de la perfection.

plus

Le Nighthawk RAX80 de Netgear est clairement notre routeur « coup de coeur ». Performant, avec une interface d’administration à la fois simple et complète, il offre de nombreuses fonctionnalités à un tarif raisonnable pour ce type de produit.

 
8/10

Netgear Nighthawk RAX120 (AX12)

389.99 € > Amazon
On aime
  • Les performances en WiFi
  • La compatibilité WiFi 6
  • L'interface d'administration simple et complète
  • Les caractéristiques et fonctionnalités
  • Le port Multi-Gig
On n’aime pas
  • La grille en mesh (à cause de la poussière)
  • Le prix peut-être un peu trop élevé
  • La plasturgie des antennes un peu fragile
Verdict :

Extrêmement performant et complet au niveau des fonctionnalités, le RAX120 est compatible WiFi 6 comme son petit frère, mais il est affiché à un tarif sensiblement plus élevé. L’écart de prix est justifié par une plateforme plus puissante, la présence d’un port Ethernet Multi-Gigs et bien entendu un plus grand nombre d’antennes permettant la prise en charge simultanée d’un nombre plus importants d’appareils WiFi. On le réservera donc à certains cas précis d’utilisation.

plus

Le Netgear Nighthawk RAX120 est le grand frère du RAX80 : doté d’un port Multi-Gig et basé sur une plateforme plus puissantes que le RAX80, il pourra prendre en charge un nombre plus important de périphériques de manière simultanée. Son prix bien plus élevé le réserve toutefois à des besoins bien particuliers.

6,5/10

TP-Link Archer AX11000

370.25 € > Amazon
On aime
  • Le deuxième réseau WiFi en 5 GHz dédié au "gaming"
  • Les huit ports Ethernet Gigabit
  • Le deuxième port USB Type-C en plus du port Type-A
  • L'application mobile
  • L'aggrégation de lien sur deux ports Ethernet Gigabit
On n’aime pas
  • Pas de diodes de statut
  • La grille en mesh (à cause de la poussière)
  • le port Ethernet 2.5Gbps limité au WAN
  • L'obligation de "forcer" le 160 MHz (le mode auto est limité au 80 MHz)
  • Le deuxième réseau WiFi 5GHz "gaming" limité au 80 MHz, malgré ce qu'indique l'interface

L’Archer AX11000 de TP-Link est un modèle intéressant, avec quelques fonctionnalités qui valent le coup d’oeil, tels que le second réseau WiFi en 5 GHz dédié au gaming ou l’agrégation de lien sur deux ports Ethernet Gigabit. Il n’est toutefois pas exempt de défauts, mais on peut espérer que de futures mises à jour du firmware corrigeront cela. Reste son prix, un peu trop élevé à notre gout pour offrir une alternative réellement viable au Nighthawk RAX80.

Routeurs WiFi 6 : quelles performances ?

Les performances en WiFi restent fortement dépendantes de la station cliente utilisée, de la distance et de l’encombrement des fréquences, entre autres choses. Pour mesurer le gain apporté par le WiFi 6 par rapport aux normes précédentes, il nous a donc fallu mettre au point un protocole de test le plus représentatif et reproductible possible, tout en sachant bien entendu que chaque cas et chaque installation résidentielle est quasiment unique.

Nous avons donc utilisé deux clients WiFi, un notebook Acer Predator Helios 300 embarquant un contrôleur Killer AX1650x, et un smartphone One Plus 8. Les deux sont bien entendu compatibles WiFi 6 et sont dans une configuration 2×2 MIMO. Seul l’AX1650x supporte revanche une largeur de canal de 160 MHz. Côté distances, nous avons effectué des tests à 1,5 mètre (soit à côté du routeur), 5 mètres (dans la même pièce) et 10 mètres, un mur séparant dans cette dernière configuration le routeur de la station cliente. Nous avons par ailleurs mesuré les débits montants et descendants.

 Les améliorations et nouveautés apportées par le WiFi 6 sont clairement visibles lorsqu'on s'intéresse aux performances réelles. Même si des différences existent entre les différents produits testés, globalement le WiFi 6 est plus rapide que le WiFi 5, quelle que soit la distance ou le type de client. Détail intéressant, si les débits chutent sensiblement avec l'utilisation de la bande des 5 GHz, la bande passante reste supérieure dans tous les cas à celle obtenue en 2,4 GHz. Bien entendu, chaque cas pratique étant différent ou presque, il faudra peut être jongler entre les deux bandes de fréquence pour obtenir des performances optimum. C'est là un des points forts du WiFi 6 sur le WiFi 5, ce dernier étant limité à la bande des 5 GHz.

Le futur : WiFi 6E dès maintenant, WiFi 7 d'ici 2024

Le WiFi est une norme en constante évolution, et les prochaines révisions sont d'ores et déjà à nos portes. Ainsi, le WiFi 6E (qui fait également partie de la norme 802.11ax) commence déjà à être intégré à certains appareils grand public, et le WiFi 7 (802.11be, ou WiFi be) pointe déjà le bout de son nez, avec une version draft attendue pour mars 2021 et une version finale prévue pour 2024.

Concrètement, le WiFi 6E est une extension de la norme WiFi 6 qui utilise des fréquences au delà de 6 GHz, là ou le WiFi 6 se limite aux bandes 2,4 GHz et 5 GHz. Mis à part ce point, on retrouve toutes les avancées, améliorations et nouveautés apportées par le WiFi 6 "classique". C'est pourquoi le WiFi 6E a été intégré à la norme "WiFi 802.11ax" et n'a pas été ratifiée à part. La bande de fréquences des 6 GHz devrait être libérée en France à partir du mois de mars 2021, il sera alors possible d'utiliser le WiFi 6E dans l'hexagone.

A plus long terme, le WiFi 7 (ou 802.11be pour les puristes) devrait faire son apparition. Cette nouvelle extension de la norme WiFi apportera une hausse des débits, grâce à l'utilisation des fréquences de bande en 2,4 GHz, 5 GHz et 6 GHz, à des largeurs de bande atteignant 320 MHz et à différentes améliorations et nouveautés. Le premier brouillon de la norme WiFi 7 devrait être publié en mars prochain, mais la version finale de la norme ne devrait pas voir le jour avant 2024.

 

REF.:

lundi 1 février 2021

Microsoft a-t-il utilisé UNIX pour faire Windows ?

 Microsoft a-t-il utilisé UNIX pour faire Windows ?

 

·

Non.

Dans les années 70–80, Microsoft était un gros vendeur de solution UNIX et en parallèle développait les ventes de MS-DOS (après 1981).

La première version de Windows était une simple surcouche graphique sur MS-DOS.

En 1990, Bill Gates voulait avoir son propre OS digne de rivaliser avec les plus grands, alors qu'il travaillait en collaboration avec IBM sur OS/2.

Il a donc créé une équipe chargée de développer un nouvel OS, tout neuf, from scratch, baptisé Windows New Technology (Windows NT).

A ce moment là, Microsoft était encore une petite startup, mais disposait d'une belle action en bourse et de revenus suffisants pour que Bill Gates puisse embaucher les meilleurs développeurs dans le monde des systèmes d'exploitation., en leur donnant de généreux packages de stocks options.

Il a beaucoup débauché chez Digital Equipment (DEC), une référence dans le domaine des mainframes.

Après 1992 et la réussite spectaculaire de Windows 3.1, Microsoft a même débauché chez IBM et on entendait parler de fuite des cerveaux, tous les meilleurs attirés par la perspective de travailler sur ce nouvel OS.

Le même phénomène s'est produit au début des années 2000 avec Google, puis un peu plus tard avec Facebook.

La startup du moment fait chauffer les esprits.

Il faut dire que ce genre d'opportunité ne se présente qu'une fois dans une vie, quand cela arrive (pouvoir participer à la conception même de l'OS).

La première version de Windows NT est sortie en 1993 sous le nom de Windows NT 3.1, sous une forme encore expérimentale.

Cette première mouture suivait une conception "idéale" en couches virtualisées, mais pour les PC de 1993, l'abstraction était trop coûteuse et l'OS a été critiqué, pour des problèmes de performance.

En 1995, Microsoft a sorti Windows NT 3.5, dont le modèle des drivers avait été refait pour permettre un accès direct (non virtualisé) au matériel, notamment pour la carte graphique.

Les performances étaient au rendez-vous et l'OS, encore tout jeune commençait à faire parler de lui.

Pendant ce temps là, MS continuait à faire vivre la branche Windows 3.1, avec la sortie de Windows 95 en version 16/32 bits.

En 1996, Windows NT 4 avait incorporé beaucoup de fonctions nécessaires à une utilisation en entreprise et son noyau virtualisé a permis à MS de sortir une version supportant les processeurs alpha, des processeurs Risc en 64 bits.

Cela fut une avancée majeure marquant le début de la montée en charge de Windows NT.

MS avait alors pour objectif de fusionner les branches Windows 16/DOS avec le nouveau NT 32/64.

Cela s'est fait de façon progressive, notamment en apportant le bureau de Windows 16 à Windows NT, puis en amenant les applications Windows 16 à fonctionner sous Windows NT, grâce à l'ajout d'un sous-système virtualisant l'exécution du code 16 bits.

Ce processus a convergé en 2001 avec la sortie de Windows XP, l'OS qui a eu tellement de succès qu'il est resté très fortement utilisé pendant une quinzaine d'années, presqu'une éternité.

Mais, non, pas d'UNIX dans Windows.

D'ailleurs, Windows Is Not Dos and Linux Is Not Unix …

 

REF.: Quora.com