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jeudi 2 mars 2023

Des outils pour une utilisation équilibrée des écrans chez les jeunes

 

 

Des
outils
pour
une
utilisation équilibrée des écrans chez les jeunes


Ressource

Les écrans sont omniprésents et les jeunes sont à risque d’en faire un usage excessif. Avis aux enseignants et intervenants qui les côtoient, ainsi qu’à leurs parents : vous pouvez compter sur des ressources variées pour les sensibiliser à une utilisation équilibrée du numérique.

Tout semble nous pousser à utiliser les écrans. Les jeunes n’ont d’ailleurs jamais été aussi connectés qu’aujourd’hui. En Amérique du Nord, par exemple, les 13 à 18 ans passent en moyenne plus de 7 heures par jour en ligne à des fins de loisir.

Il faut avouer que les écrans procurent de nombreux bienfaits. Il existe en effet de nombreuses applications, sites Web ou jeux vidéo qui proposent des moyens pour adopter de saines habitudes de vie, en incitant par exemple les jeunes à bouger, à bien manger, à dormir suffisamment, à développer son identité, ou encore à déployer une certaine créativité. Mais il est bien établi aussi que lorsque les écrans sont mal ou trop utilisés, ils peuvent entraîner des impacts physiques et psychologiques négatifs : sédentarité, manque de sommeil, problèmes de posture, troubles de la vue, baisse de l’estime de soi ou encore isolement.

Plus influençables et impulsifs, les enfants et les adolescents sont particulièrement à risque d’en faire un usage excessif. Leur cerveau étant encore en développement, ils éprouvent davantage de difficulté à garder le contrôle.


Les Directives canadiennes en matière de mouvement sur 24 heures pour les enfants et les jeunes précisent que les jeunes de 5 à 17 ans devraient limiter leur temps de loisir devant un écran à un maximum de deux heures par jour. « Le temps-écran est une donnée importante, mais elle manque de nuances, note cependant Emmanuelle Parent, directrice générale et cofondatrice du Centre pour l'intelligence émotionnelle en ligne (CIEL). Le contenu que l’on consulte, le contexte dans lequel on utilise les écrans, mais aussi notre état psychologique sont des éléments cruciaux à prendre aussi en compte pour évaluer l’usage que l’on fait des technologies ». Elle ajoute d’ailleurs que les jeunes sont souvent capables de se jauger eux-mêmes : ils savent par exemple que quatre heures passées devant un écran peuvent, dans un certain contexte, ne pas être si nuisibles, alors que dans un autre une seule heure peut être dommageable.

Plutôt que de culpabiliser les jeunes sur leur utilisation des écrans, mieux vaut faire en sorte qu’ils en reprennent le contrôle. Et pour cela, il faut les informer et les sensibiliser correctement, que ce soit à la maison ou à l’école. « Les meilleures pratiques en prévention, c’est d’avoir une harmonisation, une cohésion dans les informations données, ajoute Julie Mayer, coordinatrice du volet familles de PAUSE, une campagne sociétale réalisée par Capsana avec le soutien du gouvernement du Québec et qui fait la promotion d’une utilisation équilibrée d’Internet et des écrans. Pour qu’un jeune adhère à un message, il faut qu’il l’entende de la part de ses parents, de ses professeurs, des intervenants, etc. Il faut que le message soit le même et qu’il soit porté par tous. »


Du contenu pour sensibiliser les jeunes aux enjeux du numérique

PAUSE créée du contenu pour conseiller et outiller les parents, les enseignants et les intervenants afin que les jeunes qu’ils côtoient améliorent leurs habitudes numériques. « On est là pour informer sur le bon équilibre d’utilisation, décrypter ce que disent les données scientifiques, précise Julie Mayer. En fait, on sert de courroie de transmission, on fait en sorte que celles et ceux qui sont en contact avec les jeunes leur passent les bons messages ».

Voici quelques exemples d’activités offertes par PAUSE :

- « Es-tu accro à la techno » est un quizz ludique de 10 questions qui s’adresse aux jeunes afin de les aider à prendre conscience de la relation qu’ils entretiennent avec leurs écrans : « À quel point ça te brûle les doigts de consulter ton cell quand t’as une notification ? » ou encore « Ça t’arrive souvent d’être en retard parce que tu voulais finir ta game ? ». Les jeunes obtiennent un score selon leurs réponses et peuvent savoir s’ils sont plutôt « consciemment connectés » ou au contraire « hyperplugués ». En bonus, l’enseignant·e ou l’intervenant·e peut leur proposer de choisir un défi pour les aider à développer un usage des écrans qui fait du bien.

- Le kit d’activités PAUSE a été créé en collaboration avec la fondation Tremplin Santé, pour les camps d’été. Il s’agit de 10 activités amusantes clés en main à réaliser avec les jeunes, pour les sensibiliser aux bienfaits d’une utilisation équilibrée des écrans.

- Le site Internet de PAUSE propose aussi un répertoire d'outils et de ressources. On y trouve un outil de détection, une liste d’organismes publics et privés en prévention et en intervention, mais aussi des applications pour mieux gérer l’utilisation d’Internet et des écrans.


Des ateliers et des conférences dans les écoles

Il existe aussi des équipes qui interviennent sur le terrain, directement dans les classes et auprès des professeurs et des intervenants. Depuis octobre 2020, le CIEL tente ainsi de rendre la relation avec les réseaux sociaux plus positive par l’entremise de conférences, de vulgarisations scientifiques et d’ateliers.

Par exemple, un atelier d’autodéfense numérique est présenté dans les classes de secondaire 3 à 5 partout au Québec. Le but est d’amener les adolescents à échanger et à réfléchir à la place qu’occupe le numérique dans leur vie : est-ce que les écrans affectent leur attention, leurs notes, leurs relations humaines, leur sommeil ? « On les questionne sur des sujets précis en leur demandant s’il s’agit, selon eux, de mythes ou de réalités. On aborde les choses de façon nuancée et participative, selon ce qu’en disent les dernières avancées scientifiques », explique Emmanuelle Parent. Les professeurs découvrent, parfois avec étonnement, à quel point les jeunes sont allumés sur les enjeux du numérique.

L’équipe de CIEL propose aussi des conférences, pour le personnel enseignant et les intervenants, qui sont offertes lors de rencontres pédagogiques. Il s’agit de présenter des stratégies pour savoir comment être à l’écoute des jeunes et être capable de repérer un comportement inadéquat. « On veut aussi leur vulgariser les grandes lignes des dernières études scientifiques sur les bienfaits ou les méfaits du numérique, qu’ils n’ont pas le temps de chercher eux-mêmes, détaille Emmanuelle Parent. On fait par exemple le point avec eux sur le téléphone en classe, en se demandant dans quelles situations c’est une distraction et dans quelles autres il peut être utilisé comme un outil d’enseignement ».


Autant de moyens de faire en sorte, directement ou indirectement, que les jeunes développent un esprit critique sur leur utilisation du numérique et qu’ils en fassent un usage conscient.

*** À noter que le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) lance, en ce mois de février, sa toute première campagne ministérielle sur les écrans et la santé des jeunes. Elle vise à susciter chez les jeunes une prise de conscience quant à leur utilisation des écrans et leurs impacts possibles sur leur santé et leur bien-être. Des messages ont aussi été élaborés pour sensibiliser les parents et les outiller pour encadrer l’utilisation des écrans à la maison. Cette camapne s’inscrit dans le cadre du déploiement de la Stratégie québécoise sur l’utilisation des écrans et la santé des jeunes 2022-2025. Dans la foulée, le MSSS a aussi procédé à la mise à jour de sa page consacrée à l’utilisation équilibrée des écrans chez les jeunes.

 REF.:  https://centdegres.ca/ressources/des-outils-pour-une-utilisation-equilibree-des-ecrans-chez-les-jeunes

dimanche 15 septembre 2019

Cybersécurité: une école sur cinq piratée par ses propres élèves



Cybersécurité: une école sur cinq piratée par ses propres élèves




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Sécurité : Quatre écoles sur cinq admettent avoir connu un incident de sécurité, mais seule la moitié des sondés se déclarent prêts à répondre à une véritable attaque informatique. 

Quatre écoles sur cinq ont été victimes d'un incident de cybersécurité, telles qu'un phishing ou un logiciel malveillant, et une sur cinq a signalé un accès non autorisé à ses ordinateurs, réseaux ou serveurs par ses propres élèves.
Les conclusions proviennent d'un audit de sécurité effectué dans plus de 430 écoles du Royaume-Uni par le National Cyber ​​Security Centre (le département cybersécurité de l'agence de surveillance GCHQ) et le London Grid for Learning (LGfL).
L’audit a révélé que presque toutes les écoles (97%) estimaient que la perte d’accès à des services informatiques connectés à un réseau causerait des perturbations considérables. La grande majorité des écoles (83%) ont été affectées par au moins un type d'incident de sécurité.
Ainsi, 69% des écoles déclarent avoir été la cible d’attaques par hameçonnage et 35% ont eu des périodes sans accès à des informations importantes, tandis que 30% ont déclaré avoir été victimes d’un programme malveillant, notamment de virus ou de ransomware. Et 20% ont déclaré avoir été victimes d'attaques d'usurpation d'identité, dans lesquelles les mails de l’école étaient imités par d'autres.

Nos chères têtes blondes

Un peu plus d'une école sur cinq - 21% - a déclaré avoir constaté l’utilisation des ordinateurs, des réseaux ou des serveurs (y compris une utilisation accidentelle) par des élèves sans autorisation, tandis que 11% estimaient avoir déjà vu l’utilisation des ordinateurs, des réseaux ou des serveurs sans autorisation par des membres de l’équipe. Seulement 4% ont déclaré qu'il y avait eu une utilisation d’origine externe non autorisée et encore moins - 3% - ont admis des fuites d'informations confidentielles à partir de systèmes en ligne.
"Depuis l'entrée en vigueur du GDPR en mai 2018, de nouvelles exigences ont été imposées aux écoles en matière d'accès et de protection des données. Néanmoins, 21% déclarent avoir fait face à des utilisations non autorisées des systèmes par les élèves.", indique le rapport.
Les pirates informatiques considèrent souvent les écoles comme une cible intéressante, car elles disposent de fonds et de compétences limitées en matière de cybersécurité pour se protéger, tout en détenant de grandes quantités de données sensibles.
Pour un point de vue plus positif, plus de 95% des écoles disposent de pare-feu, d’antivirus, de sauvegardes de données et de mises à jour logicielles à jour. 85% avaient un plan de cybersécurité, mais 41% seulement avaient un plan de continuité des opérations et l’audit a révélé que les pratiques de cybersécurité strictes, telles que la gestion des appareils mobiles et l’authentification à deux facteurs, étaient relativement peu utilisées.
"Les budgets sont serrés, le programme est serré et l'école vise à assurer la sécurité des enfants et à fournir la meilleure éducation possible. Vous n'entendrez donc pas souvent les écoles parler de leur préparation en matière de cybersécurité. Si les hôpitaux ont particulièrement été affectés par les perturbations causées par le virus WannaCry, les écoles sont aussi susceptibles que toute organisation de faire face à des attaques DDoS et de phishing ", a déclaré Mark Bentley, responsable de la sécurité et de la cybersécurité chez LGfL.
Source. : Cybersecurity: One in five schools says students have broken into computer systems

vendredi 9 janvier 2015

Les 40 sites internet éducatifs gratuits


erbooks

Selon www.webometrics.info, il ya plus de 17 000 universités dans le monde, mais obtenir un diplôme en beaucoup d'entre eux est très coûteux. De nombreux étudiants du monde entier (et leurs familles) entrer dans les grandes dettes ou avoir à travailler plus de soixante heures par semaine afin de donner une éducation. Deux tiers des personnes âgées de collèges américains ayant obtenu leur diplôme en 2011 avaient la dette de prêts aux étudiants, avec une moyenne de plus de 27 000 USD par personne. La lecture de ces statistiques que je ne peux pas arrêter de penser à ces paroles d'il ya plus de 30 ans:

     Avec l'éducation de masse, il se est avéré que la plupart des gens pouvaient apprendre à lire et à écrire. De la même façon, une fois que nous avons prises pour ordinateur dans chaque foyer, chacun d'eux accroché à d'énormes bibliothèques, où vous pouvez poser toutes les questions et réponses fournies être, vous pouvez rechercher quelque chose que vous êtes intéressé à connaître, mais il pourrait idiot semble à quelqu'un d'autre. - Isaac Asiov

Isaac Asimov est mort en 1992, mais se il pouvait voir les possibilités que l'Internet nous donne au XXI siècle, il serait probablement sourire d'une oreille à. Obtenir un diplôme dans une université peut être coûteux, mais il ya de bien meilleurs choix.

Il existe de nombreux sites sur Internet qui offrent maintenant gratuitement du matériel d'apprentissage de charge. Maintenant, même très pauvres gens peuvent se permettre d'être mieux éduqués que beaucoup de diplômés de Harvard, tout ce qu'ils ont besoin est l'accès à un ordinateur (ne même pas à être l'un personnel, il pourrait être celui que les offres des bibliothèques locales pour l'usage du public)

Assez avec les mots, ici, ce est une grande liste de 40 liens utiles qui peuvent vous aider à apprendre beaucoup gratuitement:



1. ALISON - plus de 60 millions leçons et registres 1,2 millions de visiteurs uniques par mois
2. Coursera - Site éducatif qui fonctionne avec les universités pour obtenir leurs cours sur Internet, gratuitement pour vous d'utiliser. Apprenez de plus de 542 cours.
3. L'Université de Reddit - L'université libre de Reddit.
4. Udacity - Faites progresser votre carrière grâce à l'éducation et des cours en ligne basés sur des projets, principalement axées autour de l'ordinateur, de la science des données et des mathématiques.
5. MIT Libres Savoirs - Accès gratuit à un bon nombre de cours du MIT qui sont à égalité avec ce que vous attendez du MIT.
6. Ouvrez Culture - Recueil des ressources pédagogiques gratuites, y compris des cours, des manuels et des vidéos / films.

7. No Excuse List - liste énorme de sites Web pour apprendre.
8. Ouvrir YALE Cours - Ouvert Cours Yale offre un accès libre et ouvert à une sélection de cours d'initiation dispensés par des professeurs et chercheurs distingués à l'Université Yale Toutes les conférences ont été enregistrés dans la classe de Yale College et sont disponibles en vidéo, audio, et les formats de transcription de texte . Inscription ne est requise
9. Khan Academy - regarder des milliers de micro-conférences sur des sujets allant de l'histoire et de la médecine à la chimie et de l'informatique.
10. Zooniverse - Prenez part à une grande variété d'études intéressantes de la nature, la science et la culture.
11. TUFTS Libres Savoirs - Tufts OpenCourseWare fait partie d'un nouveau mouvement éducatif initié par MIT qui fournit un accès gratuit au contenu des cours pour tout le monde en ligne. Les offres de cours de Tufts démontrent la force de l'Université dans les sciences de la vie, en plus de son approche multidisciplinaire, perspective internationale et l'éthique sous-jacente de service à ses communautés locales, nationales et internationales.
12. How Stuff Works? - Plus de leçons scientifiques et des explications que vous pourriez trier grâce à une année entière.
13. Harvard Medical School didacticiels libres La mission de l'Initiative de didacticiels libres Harvard Medical School est d'échanger des connaissances de la communauté des chercheurs de Harvard à d'autres institutions académiques, les étudiants potentiels, et le grand public.
14. VideoLectures.NET - le titre dit tout - conférences vidéo étonnantes sur de nombreux sujets.
15. TED - conférences de motivation et d'éducation des professionnels remarquables à travers le monde.
16. Shodor - A la recherche et de l'éducation à but non lucratif dédiée à l'avancement de la science et de l'enseignement des mathématiques, Abreuvoir spécifiquement l'utilisation des technologies de modélisation et de simulation. Inclus dans ce site sont des ressources pédagogiques, des logiciels, des leçons interactives, des explorations et des informations sur des ateliers pour les élèves, les enseignants et les apprenants de tous âges sur les mathématiques et les sciences. Assurez-vous de vérifier Shodor Interactive - une grande collection d'activités mathématiques, géométrie, fractales, probabilité, algèbre et statistiques interactifs.
17. Udemy cours gratuits - des centaines d'experts enseignent sur Udemy chaque mois, y compris New York Times best-seller auteurs, PDG, les professionnels de l'Ivy League et instructeurs de célébrités. Les cours comprennent vidéo, des conférences et des outils en direct pour aider les enseignants interagissent avec les élèves et suivre leurs progrès. Il ya beaucoup de cours gratuits qui peuvent vous apprendre affaires en ligne, le droit, la programmation, conception, mathématiques, science, la photographie, yoga et bien d'autres.
18. Maths & Science - Cours, tests et matériels d'apprentissage des mathématiques et des sciences pour les étudiants 1-12 année.
19. edX.org - gratuit cours conçus spécifiquement pour l'étude interactive via le web, fournies par MIT, Harvard, Barkley, Georgetown, l'Université de Boston, Université de Washington, Institut Karolinska, l'Université de Kyoto et beaucoup plus.
20. iTunes U - application gratuite d'Apple qui donne aux étudiants un accès mobile à de nombreux cours. Il offre de nombreux cours gratuits de vidéo, des livres, des présentations et des conférences audio.
21. Liberté classe - Propriété de l'auteur à succès Tom Woods. Offre quelques cours gratuits de l'histoire et de l'économie, mais au prix d'un billet de cinéma par mois, vous pouvez avoir accès à beaucoup d'informations utiles. Pas complètement libre, mais vraiment la peine ...
22. Drawspace - Des centaines de leçons de dessin gratuits.
23. Codeacademy - Un moyen facile d'apprendre à coder. Il est interactif, amusant et vous pouvez faire avec vos amis.
24. Duke U - Duke propose une variété de cours gratuits sur iTunesU.
25. Scitable - Une bibliothèque de science libre et un outil d'apprentissage personnel qui se concentre actuellement sur génétique, l'étude de l'évolution, la variation et la riche complexité des organismes vivants.
26. Ma propre entreprise - Offres cours gratuit en ligne en administration des affaires qui serait bénéfique aux nouveaux gestionnaires et de ceux qui sont intéressés à démarrer une entreprise.
27. cours gratuits de l'Université Kutztown - L'Université Kutztown du petit centre de développement des entreprises en Pennsylvanie, propose plus de 80 affaires en ligne gratuitement apprentissage. Les cours de Kutztown sont individualisés et d'auto-rythme. Beaucoup de cours disposent graphiques haut de gamme, des études de cas interactives et les flux audio.
28. Ouvrir savoir - vous donne libre accès au matériel de formation de l'Open University.
29. Computer Books - ordinateur gratuit, des mathématiques, des livres techniques et notes de cours.
30. Academic Earth - conférences vidéo gratuits de scholars.31 haut du monde. Navigateur américaine en langue des signes - Teach Yourself langue des signes en ligne
32. BBC Langues - vous enseigner une nouvelle langue parlée en ligne.
33. unplugthetv - sélectionne aléatoirement une vidéo éducative pour vous de regarder.
34. Lifehacker - Apprenez à pirater la vie! Trucs et astuces pour améliorer tous les domaines de votre vie.
35. Justinguitar - Des centaines de cours de guitare gratuits ainsi que d'une théorie musicale de base.
36. Duolingo - Apprendre une nouvelle langue gratuitement tout en aidant à traduire le web.
37. Layers Magazine - Photoshop, Illustrator, Dreamweaver, Flash, Premiere Pro, In Design et didacticiels After Effects.
38. Creative Flow - liste de plus de 950 tutoriels Photoshop pour garder votre niveau de compétences à jour.
39. Open2study - Open2Study offre gratuitement, éducation de haute qualité en ligne. Vous pouvez étudier les sujets ayant une valeur réelle, et en seulement quatre semaines, vous pouvez apprendre quelque chose de nouveau, d'explorer la prochaine étape dans votre carrière, vous défi ou simplement satisfaire votre curiosité. Ces sujets sont fournis par de grandes institutions australiennes, et sont enseignés par des universitaires et des professionnels du secteur qui aiment enseigner. Tout ce que vous avez besoin est une connexion Internet et le désir d'étudier.
40. OEDB - Choisissez parmi plus de 10 000 cours en ligne gratuits


Source.:

dimanche 6 juillet 2014

Ce sont les parents qui ont créés l'Enfant Roi

L’enfant “roi” ?



Il met les autres en boîte, comme Pierre Richard dans le film «Le Jouet», pour satisfaire ses envies les plus égoïstes. Personnage redouté et redoutable, enfant-roi, qui es-tu ?



Même pas peur !

Il semble sûr de lui et sait se faire entendre et surtout obtenir tout ce qu’il veut. Fille ou garçon, cet enfant a la toute-puissance sur son entourage. Personne ne l’impressionne. Il règne sur sa famille, ses amis et même sur ses professeurs, qu’il arrive à pousser à bout. Ce qui lui importe, c’est son plaisir immédiat. Il sait très bien comment l’obtenir et surtout comment faire en sorte qu’on ne le lui refuse pas ! Intolérant à la frustration, la satisfaction de ses envies est son seul but, le poussant à un égocentrisme extrême. La discipline et l’autorité lui sont méconnues. Incapable de composer avec les frustrations et de reporter la satisfaction de ses envies, il a souvent des comportements agressifs. Son mode principal d’action est l’impulsivité. Mais méfions-nous des apparences, malgré un caractère très fort et une attitude «je suis le meilleur», cet enfant est en souffrance. La tendance actuelle de mettre chaque enfant en difficulté dans une case : «hyperactif», «haut potentiel», permet certes d’essayer de trouver des solutions adéquates mais aussi de défaire les parents d’une partie du poids de leur responsabilité. «Mon enfant est insupportable, c’est un enfant-roi !» En y regardant de plus près, ce n’est pas lui le problème. N’est-il pas le fruit de son éducation [hormis les véritables pathologies dont certains sont atteints] ? Sandro Costa Sanseverino de l’espace «Parents Conscients©» insiste sur la notion suivante : «un enfant-roi, comme tout roi de nos jours, n’est au pouvoir que parce qu’on le lui donne». [voir témoignage].



On ne naît pas enfant-roi

Un enfant-roi n’est, à la base, pas différent d’un autre, rien ne le prédispose à la naissance à le devenir. Dans toutes les familles, dès sa venue au monde, le bébé est l’objet de toutes les attentions. Ne connaissant que des besoins primaires de nourriture, sommeil et amour, il se manifeste quand il a besoin de l’un ou de l’autre. Même si certaines fois les parents n’arrivent pas tout de suite à déceler la demande de leur enfant, ils y répondent au plus vite, permettant ainsi à l’enfant de vivre dans le plaisir.
A partir de 2 ans, «les terribles deux ans», vient le «non». L’enfant sort de son monde de «besoins » et commence aussi à avoir des «envies». Il comprend que sa façon d’agir va entraîner l’une ou l’autre réaction de la part de son entourage. Le rôle des parents connaît alors une nouvelle phase, celle des limites. Apparaissent les règles qui doivent être respectées. A ce stade du développement de l’enfant, il est primordial de mettre fin à sa toute-puissance. Si ses besoins fondamentaux doivent continuer à être respectés, ses envies vont inéluctablement ne pas être satisfaites à chaque fois. Fait son entrée sur la grande scène de la vie : la frustration, cette grande dame qui l’accompagnera très longtemps. A cet âge charnière, les parents doivent commencer à dire «non», mais voilà que l’enfant aussi s’y met ! La situation devient tout d’un coup plus complexe ! Si les parents continuent à répondre aux envies de leurs petits trésors sans leur apprendre à en reporter la satisfaction ou à gérer la frustration d’un désir non satisfait, l’enfant restera dans la toute puissance qu’il connaissait avant, toute puissance antérieurement nécessaire à sa survie et à son développement.

C’est la faute à Dolto ?

Fin des années ‘60, la société s’est trouvée à un grand tournant de son évolution. Mai ‘68 et son slogan «il est interdit d’interdire» eurent des répercussions dans de nombreux domaines. Toute une génération rejette la répression et l’autoritarisme. Avec l’égalité des sexes, les femmes revendiquent le droit de travailler et c’est le modèle familial dans son entièreté qui s’en trouve chamboulé. Plus rien ne sera comme avant.
Dans le monde de l’enfance, la célèbre psychanalyste Françoise Dolto donne une nouvelle place à l’enfant au sein de la famille. Elle parle de compréhension, d’être à part entière que l’on ne doit pas considérer comme un individu inférieur. L’enfant-roi serait le résultat d’une mauvaise interprétation du message de Dolto et du slogan de mai ‘68. Le «tout comprendre » est devenu «tout permettre». Dolto dit que «l’enfant est un être humain à part entière qui a le droit à autant de respect qu’un adulte, mais il n’a pas la place de l’adulte, c’est un être en construction qui a besoin de limites pour se construire». Elle insiste sur un cadre solide nécessaire au bon développement de l’enfant et surtout aux limites qu’il faut lui imposer et qui doivent être intégrées à l’âge de 8 ans. Pour ce faire, la discipline est indispensable.
Si Dolto a mis les parents et futurs parents en garde contre une éducation stricte et répressive elle n’a jamais cautionné un laxisme éducatif. Malheureusement, pour de nombreuses personnes, «interdire» devient synonyme de «brimer». D’un totalitarisme autoritaire, le monde de l’éducation infantile évolue vers un «tout est permis». Apparaissent alors les «parents copains» qui, de peur de ne plus être aimés de leurs progénitures, acceptent tout. L’épanouissement à n’importe quel prix de l’enfant devient le but premier. Et depuis, ça ne tourne plus très rond dans certaines familles. Le modèle parental étant à nouveau en pleine mutation avec les familles monoparentales ou recomposées, les enfants et les limites demeurent un réel problème de société.



L’univers des limites

Les limites, voilà un mot tout court qui pourtant a un rôle prépondérant dans l’évolution de chaque adulte en devenir. Avoir un enfant est aujourd’hui plus que jamais un véritable choix que l’on tente de plus en plus de maîtriser. Beaucoup d’enfants sont devenus un faire-valoir narcissique pour les parents, une prolongation d’eux-mêmes, de leurs espoirs cachés ou ratés.
Dans la problématique de l’enfant-roi, c’est vers les parents que le regard devrait se tourner.
Beaucoup d’entre eux ne ressentent malheureusement pas la légitimité de leur rôle, ils n’en sont pas convaincus. Pour eux, la limite n’a pas de sens. Voulant à tout prix le bienêtre de leur tête blonde, ils en oublient que l’autorité est la condition sine qua none de l’épanouissement. Elle est pourtant essentielle et permet de définir un cadre. N’oublions pas que c’est en s’opposant que l’enfant forme sa volonté. Après il est toujours temps de se pencher sur les émotions, le bien-être… Les limites ne permettent pas seulement à l’enfant de savoir «ce qui est permis», comment se comporter avec les autres mais aussi comment se comporter avec lui-même. Evoluer dans un cadre solide permet de développer un «policier intérieur», cette petite voix permettant de se tenir hors de certains dangers. Sans cadre, le processus de prise de décision n’est pas abouti. C’est de cela que les enfants-rois souffrent. Ceux dont les parents ont été trop laxistes et n’ont pas su garder leur place légitime, n’ont pas développé de système d’auto-protection, n’ayant aucune notion des conséquences de leurs comportements impulsifs. Cette absence de cadre éducatif entrave le développement de la morale. L’enfant ne distingue pas ce qui est bon pour lui. De la sorte, il n’a pas accès à la culpabilité et aux remords. Cela explique pourquoi certains enfants, adolescents ou même adultes vont chercher le danger là où il se trouve. Leur équilibre personnel est en déséquilibre. La question des limites est le défi majeur des familles et surtout des familles recomposées qui doivent trouver des règles communes pour des enfants n’ayant pas bénéficié du même cadre.



Même les médias s’en mêlent

Le monde de l’audio-visuel et plus particulièrement de la télé-réalité, a su prendre la balle au bond. Voilà que sont apparues des émissions comme «Super Nanny» et «Le Grand Frère». D’un côté, une dame aux allures très strictes vient «mettre de l’ordre» dans le laxisme parental. De l’autre, un adulte à l’attitude très décontractée apporte son aide à des ados en mal de repères. Ces [pseudo] spécialistes répondent aux cris de détresse de parents dépassés par le comportement de leur enfant. Les problèmes de personnes «lambda» deviennent spectacle. Pour Sophie Jehel, sociologue des médias, dans «Le Grand Frère», la violence des ados est montrée comme quelque chose qui ne s‘explique pas. La télévision présente ces enfants comme des monstres alors qu’ils sont normaux [tvmag.lefigaro.fr].



Et quand l’enfant-roi deviendra grand ?

Le chemin de vie d’un enfant-roi est parsemé de moments difficiles, de recherche de cadre. Cela engendre bien souvent des problèmes de comportement et de conformisme social. Evoluant dans son monde à lui, il n’a pas de perception du monde extérieur. Sa réalité est la seule qui soit juste. Finalement, ces individus ne sont qu’à la recherche d’une limite qui, malheureusement dans la plupart des cas, ils finiront par trouver chez le juge et pour certains en prison. Enchaînement d’expériences néfastes, ils vont là où leur sécurité est en danger. Mais tout n’est pas perdu ! De nombreuses personnes, que ce soient des associations, des professionnels de la psychologie ou des praticiens de méthodes alternatives peuvent, fournir aux parents des outils pour permettre à leur enfant de sortir de la case «enfant-roi». La première prise de conscience doit venir des parents qui réalisent l’importance de leur rôle et acceptent qu’ils puissent faire autrement pour offrir un meilleur milieu de vie à leur progéniture. Cette première étape est aussi la plus difficile. De nombreux parents ne voient pas la différence entre exiger et demander. Le changement devient possible uniquement si l’adulte se pose des questions sur sa façon d’agir. Il devra se questionner sur son rapport à l’autorité, sur son modèle parental et l’éducation reçue. Le travail demande du temps et de l’énergie, mais est réalisable. Malgré tout, il faut néanmoins accepter la dure réalité qui veut que, pour certains, il sera difficile d’inverser la tendance. Auprès d’un ado de 15 ou 16 ans n’ayant jamais connu de limites, il n’y a parfois rien à faire, à part essayer de l’accompagner au mieux. Heureusement, les jeunes professeurs sont de mieux en mieux formés et préparés à faire face aux situations difficiles. Sur ce long et sinueux chemin de l’éducation infantile, montrons à nos enfants que le ciel est la seule limite à leurs rêves tout en leur faisant le cadeau de limites leur permettant d’atteindre les étoiles.


REF.:

dimanche 30 septembre 2012

Les « oubliés » de notre soctiété


Les « oubliés » de notre soctiété

La population n’est pas assez conscientisée à la détresse des enfants, croit le Dr Julien






REF.:


mardi 22 novembre 2011

Encyclopédie de la web culture Voyage au pays des lolcats et des mèmes


 Encyclopédie de la web culture - Voyage au pays des lolcats et des mèmes
 
© Courtoisie

Lolcats, 4chan, mème ou rickroll: derrière ces mots inconnus du grand public se cachent pourtant des phénomènes culturels de masse propres à internet que les journalistes Titiou Lecoq et Diane Lisarelli décryptent avec humour dans l'Encyclopédie de la web culture.
Paru chez Robert Laffont, l'ouvrage n'a rien à voir avec un «Internet pour les nuls» qui traiterait de gestion de boîte courriel ou de langage html. «On est incapables de coder», assurent-elles en souriant.
«Geeks» revendiquées, elles décrivent tout une «sous culture méprisée, peu traitée dans les médias, pas toujours accessible» mais qui reflète une grande part du web et de ses valeurs comme la gratuité, le partage et le second degré.
Pour l'AFP, elles reviennent sur quelques uns des phénomènes qu'elles analysent sur 320 pages:
- le mème: «C'est un "running gag" persistant», souligne Titiou Lecoq, qui collabore à slate.fr. «C'est une photo, une citation ou un lien, que les internautes détournent et se réapproprient». Le mème, qui se réplique et se démultiplie à l'envie, joue sur l'humour totalement absurde et décalé. Ainsi une image de Keanu Reeves mangeant un sandwich sur un banc est-elle devenue le mème «Sad Keanu»: à coup de grossiers montages Photoshop, l'image de l'acteur est détournée ad infinitum. En France, l'acteur Louis Garrel et Benjamin Biolay comptent parmi les «victimes» préférées de la créativité des internautes.
- rickroll: c'est une autre forme de mème qui a gagné ses lettres de noblesse en étant utilisé par la Maison Blanche sur son compte twitter. Le concept: un lien est posté, censé renvoyer vers un contenu intéressant. Mais si on clique, on tombe systématiquement sur le clip d'un vieux tube des années 80: Never Gonna Give You Up de Rick Astley. Pour Diane Lisarelli, qui travaille aux Inrockuptibles, le chanteur est ainsi devenu «figure emblématique du chaos absurde et organisé du web».
- 4chan: s'il comporte de multiples fils de discussion, ce forum est devenu «mythique» à cause de sa section /b/ (ou random, «hasard» en anglais), la plus active en terme de «grand n'importe quoi» soulignent les deux auteurs. On y trouve de tout: sans aucune limite, et surtout pas le bon goût, les milliers d'utilisateurs qui y postent «sont capables du meilleur comme du pire». À savoir lancer une campagne de harcèlement contre une adolescente dont une vidéo mise en ligne n'a pas plu ou «aider la police à retrouver des pédophiles» précise Titiou Lecoq. 4chan est une sorte de négatif de Facebook dit-elle également: «pas de mise en scène, anonymat absolu, pas d'archives et pas de règles (d'utilisation)».
- le chat ou le «roi de la jungle internet»: pour Titiou Lecoq, c'est l'animal «asocial, de l'intellectuel, qui n'a pas besoin des autres pour vivre», ce qui le rapproche ainsi des premiers utilisateurs d'internet, longtemps considérés comme des individus ayant «des problèmes de socialisation». «Il y a dix ans, internet était une activité solitaire, un marqueur social négatif», abonde Diane Lisarelli. Depuis, Facebook et les réseaux sociaux sont passés par là mais les chats, avec des milliers de vidéos, remplissent les pages web. «Le côté majestueux du chat donne un côté très drôle s'il se casse la figure. L'effet n'est pas le même avec un hamster», sourit Titiou Lecoq. Autre gros succès félin, les Lolcats, soit une image de chat «accompagnée d'une légende incrustée en anglais écorché, de manière à faire dire n'importe quoi au chat sur la photo». Tous les adeptes du genre se retrouvent sur le site icanhascheezburger.com.

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samedi 30 avril 2011

TED: En Juin 2011 la ministre veut revoir la méthode de travail des enseignants et réduire les ressources

Troubles envahissants du développement - Un nombre toujours plus grand d’élèves
 
© Archives/ Journal de Québec
Troubles envahissants du développement

Un nombre toujours plus grand d’élèves


Le nombre d’élèves atteints de troubles envahissants du développement (TED) dans le système scolaire a presque quadruplé depuis 2002 au Québec. L’effectif scolaire des élèves TED produit par le ministère de l’Éducation pour chaque année démontre que ce nombre d’élèves présents dans les classes de niveau préscolaire 4 ans jusqu’au secondaire a explosé, passant de 2438 élèves en 2002-2003 à 9049 élèves en 2010-2011.
Les données indiquent d’ailleurs que la Montérégie est la région qui a connu la plus grande augmentation d’élèves TED depuis 2002, avec un taux de 560 %. Cette région en compte 2514 cette année, un nombre équivalent à celui de Montréal.
La métropole est passée de 904 élèves TED en 2002-2003 à 2510 pour l’année scolaire en cours, ce qui représente une hausse de 280 %.
Spécialistes compétents?
Selon Electra Dalamagas, responsable des interventions familiales pour l’organisme Autisme Montréal, l’offre actuelle de spécialistes dans le système scolaire ne répond pas aux besoins spécifiques de ces jeunes.
«Les psychologues en milieu scolaire ne sont pas spécialisés pour ça. On peut avoir un jeune très verbal, par exemple, mais qui ne parvient pas à communiquer ses besoins. C’est vraiment une clientèle hétérogène et il faut des intervenants spécialisés», a-t-elle avancé.
Jo-Ann Lauzon, directrice de l’Association québécoise de l’autisme, déplore notamment l’inaction du ministère de l’Éducation pour améliorer l’offre de services pour les élèves en difficulté.
«Dans le système scolaire, pour l’instant, ça ne bouge pas. Nous n’avons pas le soutien que nous devrions être en mesure de donner aux parents de ces enfants», a-t-elle constaté.
Sylvain Mallette, vice-président de la Fédération autonome de l’enseignement (FAE), a affirmé que non seulement «les services ne sont pas à la hauteur des besoins exprimés», mais aussi que plusieurs parents doivent «passer par le privé parce que les écoles ne sont pas capables de répondre à la demande dans les délais raisonnables».
Contacté à ce sujet, Dave Leclerc, l’attaché de presse de la ministre de l’Éducation, a précisé que «selon la ministre, ajouter des ressources n’est pas la solution. Il faudrait plutôt revoir la méthode de travail».
Des négociations entre le ministère et les syndicats concernant les services offerts aux enfants handicapés ou en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage devraient aboutir d’ici le 1er juin.

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