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samedi 13 juillet 2013

Ugly Meter

Incroyable, mais vrai ! - Ugly Meter
 

Miroir, miroir, dis-moi qui est le plus laid?
C'est ce que vous découvrirez avec Ugly Meter, l'application qui prend une photo de votre visage, la numérise avant de vous situer sur le baromètre de mocheté.
Comparez-vous et partagez votre score de laideur et vos photos avec vos amis via Facebook et Twitter.
Amusant? Déprimant? Laissez Ugly Meter mesurer votre coefficient de laideur et vous dire si vous êtes une belle ou une bête...


Gratuit


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iFrenchKiss

Incroyable, mais vrai ! - iFrenchKiss
 
Photo courtoisie

Embrassez-vous bien?
Vous en aurez le cœur net avec iFrenchKiss, l'application qui attribue une note à votre technique.
Pour ce faire, faites abstraction de toutes les bactéries qui se trouvent sur votre appareil et embrassez-le à pleine bouche!
Grâce à son moteur d'analyse unique, iFrenchKissdéterminera, de manière non aléatoire selon les développeurs, si vous êtes passé maître dans l'art du baiser ou si vous êtes plutôt du type à concurrencer un saint-bernard.

Selon vos résultats, partagez-les à vos connaissances, ou exercez-vous plutôt à utiliser votre langue à bon escient!

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Pour téléphones: Un écran ACL Full HD de 2,2mm d'épaisseur

Pour téléphones - Un écran ACL Full HD de 2,2mm d'épaisseur
LG présente le plus fin écran LCD Full HD du monde. 
Photo LG

LG vient de dévoiler un modèle d'écran Full HD de 5,2 pouces d'une épaisseur record de 2,2mm (2,3mm avec sa bordure), à destination de ses futurs téléphones haut de gamme.
Selon le constructeur sud-coréen, l'intérêt d'un écran aussi fin réside à la fois dans sa prise en main du fait de son faible encombrement et de son poids, mais aussi dans sa qualité d'affichage.
«L'arrivée de cet écran LCL Full HD, le plus fin du monde, représente un progrès important pour le segment des téléphones haut de gamme», a déclaré le Dr Byeong-Koo Kim, vice-président de LG à la tête du département des écrans.
De fait, ce nouveau record laisse augurer de prochains téléphones encore plus fins, comme ce sera peut-être le cas avec l'Optimus G2, attendu en août.

Le record en la matière est aujourd'hui la propriété de Huawei avec l'Ascend P6 et ses 6,18mm d'épaisseur.

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jeudi 11 juillet 2013

P2P DNL illégaux ? Les sanctions seront supprimées !

La Hadopi a envoyé près de 2 millions d’avertissements

Chiffres : Depuis le début de la riposte graduée, 7,8% des abonnés à Internet ont, théoriquement, reçu un premier avertissement de la Hadopi, dont 15.700 au cours du seul mois de juin.
Opposante farouche à la riposte graduée, la gauche est désormais au pouvoir depuis plus d’un an. Une période au cours de laquelle la Hadopi a continué d’œuvrer, à régime normal, comme en témoignent ses chiffres mensuels d’activité.
Ainsi, en juin, la Haute autorité a envoyé 73.000 messages de premier avertissement. Cela porte le total, depuis le début de la riposte graduée, à 1.912.847 courriels dits de « recommandation ». D’ici un à trois mois, le cap des 2 millions d’avertissements devrait donc être franchi.
1,9 million de premières recommandations 
La France comptant 24,4 millions d’abonnés à Internet selon l’observatoire de l’Arcep (1er trimestre 2013), ce sont 7,8% des abonnés français qui ont, en théorie, reçu un premier avertissement de la Hadopi.
Quant aux destinataires des 2e recommandations, envoyées sous la forme d’une lettre recommandée, ils ont été 15.700 de plus en juin, soit au total 186.153 (0,76% des abonnés) depuis octobre 2010, lancement officiel de la riposte graduée.
Mais combien sont-ils ceux qui ont atteint le seuil de tolérance de trois avertissements (4 en vérité) et dont le dossier est susceptible d’avoir été transmis à la justice ? La Hadopi indique avoir délibéré à 663 occasions, dont 64 fois pour le seul mois de juin. A noter qu'une suspension d'accès, la première, a été prononcée en juin. Cette sanction sera supprimée.


mercredi 10 juillet 2013

Course technologique pour traquer les voleurs

Nouveaux moyens - Course technologique pour traquer les voleurs

Photo kmiragaya / Fotolia

PARIS - Bijoux géolocalisés, détecteurs de voleurs de cuivre, drones en ville... les entreprises en démarrage et les groupes industriels sont lancés dans une «course technologique» contre des délinquants qui ont toujours une longueur d'avance, s'accordent à dire des experts.
La dernière trouvaille d'Évolution, l'entreprise de six salariés en Haute-Savoie (Alpes françaises), est une montre-espion à la James Bond: malgré son aspect luxueux, volontairement ostentatoire, la montre qui abrite une puce GPS miniature finira comme mouchard sur le présentoir d'une bijouterie.
«Lors d'un braquage, dans l'urgence, les voleurs emportent souvent le présentoir et les policiers pourront alors les repérer avec une précision d'un ou deux mètres», explique Fabrice Foschia, le patron de la société, qui espère développer un jour des bijoux équipés de GPS.
Mais la joaillerie n'est pas le seul débouché du mouchard: des GPS miniatures peuvent aussi être installés en toute discrétion sur des oeuvres d'art ou sur les voitures de suspects.
«La tendance est à la traçabilité de la délinquance et à une plus grande automatisation de la surveillance», affirme Jean-Luc Logel, président d'Eden, le tout premier groupement européen d'entreprises innovantes de la sécurité et la défense, qui réunit 100 membres et emploie 7500 personnes.
La lutte contre la délinquance du quotidien, celle des rapines ou des intrusions, passe par des systèmes de détection humaine par imagerie thermique ou infra-rouge dans des espaces à ciel ouvert comme ceux qui stockent des matériaux en cuivre (sites SNCF - Société nationale des chemins de fer français - entrepôt de matériaux) mais aussi les sites sensibles tels que les centrales nucléaires.
«Nos contrats de surveillance périmétrique ont augmenté de 10% depuis les actions de militants écologistes qui se sont introduits dans des centrales nucléaires», ces derniers mois, affirme Yves Monneret, président du conseil de surveillance de Sorhea, 50 salariés à Vaulx-en-Velin, près de Lyon (centre-est).
Au côté de ces PME qui élaborent des solutions pour des besoins ciblés, des géants industriels déploient des programmes pour sécuriser des grands événements tels que les Jeux olympiques ou des espaces publics.

Les trafiquants de drogue, pros de l'écoute


À Mexico, le groupe de défense Thalès a intégré en 2010 un système de surveillance tentaculaire avec 10 000 caméras associées à des drones de surveillance, des détecteurs de coups de feu ou de mouvement de foule, mais aussi des boutons de «panique» permettant aux citoyens d'alerter les forces de sécurité.
Ce programme aurait permis, selon Thalès, de faire baisser la grande criminalité de 22% en trois ans dans cette agglomération célèbre pour sa violence.
Lundi et mardi, à Lyon, le 1er forum mondial des nouvelles technologies contre le crime, qui a pour ambition de devenir un «Davos de la sécurité», a mis en évidence «une course permanente à latechnologie», selon les mots employés par l'ancien juge antiterroriste français, Jean-Louis Bruguière.
«L'avantage est souvent aux malfaiteurs qui s'approprient facilement une technologie», avant que les États ne s'en emparent, a-t-il expliqué au cours d'une table ronde d'experts de la police et de la justice.
Une idée partagée par le criminologue Alain Bauer qui a rappelé que «les narcotrafiquants colombiens avaient eu dans le passé un système d'écoutes plus élaboré que celui des autorités».
«Si les braquages de banques sont en baisse grâce au renforcement de la sécurité, aujourd'hui des braqueurs numériques vident des comptes» en se faufilant dans des failles de sécurité pour récupérer des données bancaires, a expliqué au cours du forum Myriam Quemener, procureur-adjoint au Tribunal de grande instance de Créteil, près de Paris, et spécialiste de la cybercriminalité.
Quant aux braqueurs à l'ancienne, ils se sont eux aussi mis à la page en utilisant des systèmes de brouillage de caméras.

«La technologie, c'est en quelque sorte les deux faces d'une pièce : une opportunité qui peut être utilisée par les criminels mais aussi un moyen de les combattre», a dit en préambule de ce forum Ronald K. Noble, secrétaire général d'Interpol, en appelant les pouvoirs publics et les entreprises à unir leurs forces pour anticiper les besoins en sécurité.


REF.:

lundi 8 juillet 2013

Radars photo au Québec suite......

Radars «inutiles»

Plusieurs experts jugent que le bilan routier ne s’en portera pas mieux


Les radars photo qui seront installés prochainement à Laval et à Longueuil n’amélioreront pas la sécurité routière, selon certains experts.
«Ça ne donne rien de placer ces machines-là n’importe où, sous n’importe quel prétexte, mentionne Cédric Essimy, porte-parole de CAA-Québec. Il faut que ce soit stratégique et rien ne vaut la surveillance policière.»
Même son de cloche du côté de SOS Tickets, qui ne croit pas à l’efficacité d’un tel système.
«Une amende, ça ne dompte pas ceux qui ont l’habitude de commettre des infractions, affirme Éric Lamontagne, avocat de l’organisation. Il faut qu’il y ait [distribution] de points d’inaptitude pour que l’impact soit vraiment là.»
Les contraventions des radars photo seraient d’ailleurs rarement contestées par les clients de SOS Tickets.
«Quand le client perd sa cause, le montant dû double en raison des frais d’audition à la cour, ajoute M. Lamontagne. C’est pourquoi les clients ne disent rien et paient gentiment l’amende. Et ça fait l’affaire du gouvernement: au fond, il se remplit les poches!»
Efficacité prouvée
De son côté, Nancy Colagiacomo, porte-parole de la police de Longueuil, est d’avis que l’efficacité des radars photo a déjà été prouvée auparavant et que l’installation de nouveaux appareils ne pourra qu’améliorer le bilan routier.
«Depuis l’installation des premiers radars en 2009, un peu partout au Québec, nous avons remarqué qu’ils faisaient une réelle différence, affirme-t-elle. Bien sûr, ce n’est pas l’arme ultime, mais le nombre d’infractions a considérablement diminué.»
Selon des statistiques de la Ville de Montréal, les accidents corporels ont en effet chuté de plus de 60% dans les secteurs ciblés par les radars photo depuis leur installation, il y a quatre ans.
Frédéric Jean, du Service de police de Laval, affirme quant à lui «que les radars pourront être utiles au niveau des intersections difficiles d’accès pour les policiers en raison du trafic dense ou de la configuration des lieux».
Prévus d’ici 2014
À Laval et Longueuil, ce sont huit nouveaux radars fixes ou mobiles et appareils de surveillance aux feux rouges qui viendront s’ajouter aux 15 déjà en place un peu partout au Québec. Ils seront fonctionnels d’ici au printemps 2014.
Dix-huit autres seront éparpillés un peu partout sur le réseau du ministère des Transports du Québec (MTQ). Les endroits précis seront dévoilés à l’automne. On sait cependant que les régions de la Capitale-Nationale, de Chaudière-Appalaches, de la Montérégie, de Montréal, de Laval, des Laurentides et de Lanaudière ne seront pas épargnées.
Toutes les amendes recueillies grâce à ce concept seront versées au Fonds de la sécurité routière, qui financera entre autres l’équipement nécessaire et le travail policier, comme l’a confirmé Sarah Bensadoun, porte-parole du MTQ.
«L’opération se fait donc à coût nul pour les villes», conclut-elle.
Les Radars photo mobiles:
Ces appareils conçus pour capter la vitesse sont placés à l’intérieur de minifourgonnettes. Ce sont les fournisseurs des radars qui installent minutieusement ces détecteurs. Puis, une fois installés, les policiers stationnent ces véhicules à la droite des routes aux abords des chantiers.
Sur l’autoroute 10, en Juillet 2013,à la hauteur de Carignan, des panneaux indiquent pourtant l’approche d’une zone surveillée. Or, aucune minifourgonnette ne s’y trouve.???.................