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dimanche 15 mars 2020

Une nouvelle faille de sécurité découverte dans les réseaux 4G





Une nouvelle faille de sécurité découverte dans les réseaux 4G

 



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Technologie : Une récente étude met en lumière une nouvelle faille de sécurité sur les réseaux 4G. Celle-ci faciliterait l'usurpation d'identité des possesseurs de smartphones ou d'objets


Nouveau signal d'alarme pour les réseaux 4G/LTE. Selon une nouvelle étude publiée récemment par l'université allemande de Bochum, une faille de sécurité sur ces réseaux pourrait être exploitée pour souscrire des abonnements ou des services de site web payants aux frais de quelqu'un d'autre.
Cette faille permettrait de fait l'usurpation d'identité des utilisateurs de smartphone, en donnant aux attaquants le pouvoir de « démarrer un abonnement aux frais d'autrui ou de publier des documents secrets de l'entreprise sous l'identité de quelqu'un d'autre ».
Cette attaque, baptisée IMP4GT, toucherait « tous les appareils qui communiquent avec le LTE », ce qui inclut « pratiquement tous » les smartphones, les tablettes et certains appareils connectés. Les systèmes radio reposant sur une architecture logicielle sont un élément déterminant de cette attaque. Celle-ci serait ainsi capable de lire les canaux de communication entre un appareil mobile et une station de base et donc de tromper un smartphone en lui faisant considérer que la radio est la station de base pour mieux duper le réseau en traitant la radio comme le téléphone mobile.

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La voie ouverte à l'usurpation d'identité

Une fois que ce canal de communication est compromis, il est temps de commencer à manipuler les paquets de données envoyés entre un appareil 4G et une station de base. « Le problème est le manque de protection de l'intégrité : les paquets de données sont transmis chiffrés entre le téléphone mobile et la station de base, ce qui protège les données contre les écoutes », expliquent les chercheurs à l'origine de cette étude.
Pour eux, « il est possible de modifier les paquets de données échangés. Nous ne savons pas ce qui se trouve où dans le paquet de données, mais nous pouvons déclencher des erreurs en changeant les bits de 0 à 1 ou de 1 à 0 ». Autant d'erreurs qui peuvent alors forcer un téléphone mobile et une station de base à décrypter ou chiffrer les messages, en convertissant les informations en texte clair ou en créant une situation dans laquelle un attaquant est capable d'envoyer des commandes sans autorisation. Seul bémol : les attaquants doivent se trouver à proximité de leur victime pour être capable d'utiliser cette technique.
Reste que le jeu en vaut la chandelle : la faille permettrait en effet à ceux qui l'exploitent d'acheter des abonnements ou de réserver des services en adressant simplement la facture à leur victime. Elle pourrait même avoir des conséquences beaucoup plus dommageables pour les forces de l'ordre en ouvrant la porte à des faits d'usurpation d'identité. « Par exemple, un attaquant pourrait télécharger des documents classés d'une entreprise en faisant reposer la faute de cette intrusion sur la victime, qui serait auteure de l'infraction aux yeux de son opérateur comme des autorités », précisent les auteurs de cette étude.

Des réseaux 4G faillibles

Seule défense connue à ce jour : changer purement et simplement d'équipement radio, ce qui devrait se révéler compliqué alors que les opérateurs commencent tout juste à déployer leurs réseaux, dont une grande part repose encore sur les réseaux 4G existants.
« Les opérateurs de réseaux mobiles devraient accepter des coûts plus élevés, car la protection supplémentaire génère plus de données pendant la transmission », explique l'un des auteurs de l'étude, qui sera présentée lors du Network Distributed System Security Symposium qui se tiendra ce mardi à San Diego. De la même façon, « ;tous les téléphones mobiles devraient être remplacés et la station de base élargie », notent les auteurs de cette étude, qui doutent fortement de la probabilité d'une telle débauche de moyens dans le contexte actuel.
Rappelons que d'autres failles ont été découvertes ces dernières années sur les réseaux 4G. Il y a quelques années, une étude menée par la même université allemande avait ainsi mis en évidence les faiblesses de la sécurité de la 4G, en démontrant que celle-ci pourrait être utilisée de manière abusive pour suivre les visites de sites web et pour réaliser des attaques de type "Man-in-The-Middle" (MiTM) afin de rediriger les victimes vers des domaines malveillants. Autant de failles causées par l'incapacité de la 4G à vérifier les charges utiles chiffrées transmises par les flux de données, relevaient déjà les auteurs de l'étude.




jeudi 20 février 2020

Huawei : ses équipements 5G présentent une lourde faille de sécurité



Huawei : ses équipements 5G présentent une lourde faille de sécurité 

par Guillaume Pigeard, le

Libellés

5G, Huawei, BackDoor, hackers Chinois, failles, Kill Switch, 4G,

Après de longues années de suspicion quant à la possibilité pour Huawei et donc pour le gouvernement chinois d’accéder aux données circulant via ses équipements 5G, les États-Unis annoncent en avoir maintenant la preuve.
D’après les services de renseignement américains, le constructeur chinois Huawei aurait utilisé des portes dérobées, ces fameux backdoors, mises en place sur ses équipements réseau 4G depuis une dizaine d’années. Huawei nie en bloc.

Huawei aurait utilisé des backdoors depuis 2009

Depuis 2009, Huawei aurait utilisé les accès mis en place pour les forces de l’ordre au sein des équipements 4G vendus à travers le monde afin de collecter des données personnelles sensibles. C’est en tout cas ce qu’a déclaré Robert O’Brien, conseiller à la sécurité nationale américaine. Évidemment, le constructeur chinois rejette ces accusations sans pour l’instant communiquer davantage.
Samsung Galaxy S10 : recharger un autre téléphone, c'est rapide ?
Les liens étroits qui unissent Huawei au gouvernement communiste chinois avaient conduit l’administration américaine à mettre le constructeur sur liste noire en mai dernier, l’interdisant de faire commerce avec des entreprises américaines. Cela se traduit pour le grand public par l’absence des services Google des derniers smartphones de la marque chinoise, obligeant celui-ci à pousser ses propres solutions. D’autres constructeurs avaient suivi les recommandations américaines.
Les États-Unis avaient averti les pays européens dès la fin de l’année dernière. Pourtant le Royaume-Uni et l’Allemagne ont tout de même autorisé l’utilisation d’équipements Huawei pour la mise en place du réseau 5G. Toutefois, un certain nombre de restrictions ont été imposées, comme une limite de ces équipements à 35 % du total ou l’interdiction de leur utilisation dans certaines zones géographiques stratégiques. Malgré la pression de Pékin, la France maintient son interdiction. Son inscription sur liste noire n’a pas empêché le constructeur chinois de réaliser un chiffre d’affaires record sur l’année écoulée.

Source. : CNET

dimanche 12 août 2018

De nouvelles failles dans le protocole 4G


De nouvelles failles dans le protocole 4G

aLTEr : des chercheurs identifient de nouvelles failles dans le protocole 4G

REF.: Par ,
Le protocole LTE utilisé pour les réseaux mobiles a été une fois de plus mis à l'épreuve par des chercheurs. De nouvelles failles ont été découvertes et ne peuvent pas être corrigées.

Après la faille KRACK qui avait mis à mal le protocole WiFi WPA2 en 2017, c'est au tour du LTE de passer sous le feu des projecteurs. Utilisé partout dans le monde pour assurer le transfert des données mobiles, le LTE - aussi connu vulgairement sous le nom de 4G - est censé être plus sécurisé que les protocoles utilisés pour le WiFi.

Des chercheurs allemands et américains ont mis au point trois nouvelles attaques capables de briser les protections mises en place sur le LTE. Ces attaques visent en priorité la couche deux, celle de la liaison de données. La faille est donc au plus bas niveau du protocole, ce qui rend impossible toute correction sans changer toute la structure en place...

alter réseau mobile 4g


Deux attaques sont de type passives et consistent à "écouter" les communications de l'utilisateur afin de repérer ses habitudes. La dernière attaque, active quant à elle, est nommé aLTEr par les chercheurs. S'appuyant sur des techniques de détournement DNS ou DNS spoofing, elle permet aux malandrins de détourner le trafic de la cible vers des sites malveillants. Bien que chiffré - AES-CTR - le protocole LTE n'est pas protégé au niveau du contrôle d'intégrité des paquets encapsulés dans la couche 2.

Quelles solutions pour se protéger ?


La faille découverte par les chercheurs est profondément ancrée dans les premières couches du protocole LTE. Elle ne peut donc pas être résolue sans un changement majeur du protocole lui-même, ce qui entrainerait d'énormes investissements financiers à l'aube de l'arrivée de la 5G...

Il y a cependant matière à se rassurer en se disant que le matériel nécessaire à la réalisation d'une attaque de type aLTEr est très couteux : plus de 3600€. Ce n'est donc pas à la portée du premier pirate venu, sachant que la cible doit être proche de l'utilisateur malveillant pour que le détournement des données puisse fonctionner. Des agences gouvernementales auraient cependant les moyens de réaliser de telles assauts à plus ou moins grande échelle.



Dès lors, comment éviter le pire ? Les chercheurs recommandent avant tout une navigation sur le Web prudente et responsable. Il faut idéalement utiliser des sites uniquement protégés par le protocole HTTPS.

Et faute de patch, il faudra attendre l'arrivée de la 5G dans quelques années. Les nouveaux protocoles mis en place devraient alors éviter ce type de faille. Du moins sur le papier...

REF.:

lundi 1 décembre 2014

Que signifient les lettres G, E, 3G, H+ et 4G sur vos smartphones ?



Qui n’a jamais connu cette situation où l’on attend avec impatience un appel très important et où, pour être sûr de ne pas le rater, on scrute avec un certain stress l’indicateur du niveau de réception du réseau ?
Ces petites lettres qui s’affichent dans le coin supérieur de votre appareil et qui vous donnent une indication précieuse quant à l’usage que vous pourrez faire de votre téléphone ? Tantôt G, tantôt E, et au mieux en 3G, H+ ou 4G. Ces petites lettres déterminent la vitesse de chargement d’une page web par exemple, d’envoi d’une photo ou d’un document ou encore la qualité de nos communications.
smartphone réseau lettres
A l’usage nous recherchons bien évidemment un réseau optimal puisque nous payons nos abonnements et choisissons notre opérateur en fonction de la qualité de ce réseau. Et nous savons tous que lorsque les symboles 4G, H+ ou 3G sont affichés, nous pouvons rester sereins. Mais en réalité, que signifient ces lettres ? Procédons par ordre croissant :
  • G pour GPRS (General Packet Radio Service) : c’est sans aucun doute la plus lente des connexions. Elle est très lente. Très très lente. Tellement lente qu’il faudrait inventer un adjectif pour la qualifier. Son seul avantage c’est que tous les téléphones peuvent s’y connecter. Mais avec une vitesse aussi infime, de 56 à 144 kbps même les communications sont calamiteuses.
  • E pour Edge (Enhanced Data-rates for GSM Evolution) : c’est un peu mieux mais ce n’est pas encore ça. Pour certains la lettre E s’apparente à de la 3G, détrompez-vous. Avec une vitesse de 348 kbps les usages sont limités aux appels, et messages et mails sans photos. C’est encore très lent !
  • 3G ou UMTS (Universal Mobile Telecommunications System) : là c’est déjà mieux. Les opérateurs nous avaient vanté les mérites du réseau 3G et il est vrai que c’était beaucoup mieux que ce que nous connaissions. Enfin il était possible d’utiliser son smartphone à peu près pour tout : vidéos, mails, surf, photo. La 3G est encore un réseau très apprécié et son débit de 1,9 Mbps est suffisant pour certains utilisateurs.
  • 3G+ ou H pour HSDPA (High Speed Packet Access) : avec un débit de 14 Mbps on atteint des vitesses très intéressantes. La vitesse de chargement d’une vidéo de qualité est alors acceptable.
  • H+ ou DC (Dual-Cell High Speed Packet Access+) : on atteint ici un débit de données de 42 Mbps ce qui est relativement confortable. On peut recevoir et envoyer des données volumineuses sans trop se poser de questions. On commence à atteindre une vitesse confortable.
  • 4G ou LTE (Long Term Evolution) : là on atteint 150 Mbps de débit et il est alors aisé d’utiliser son smartphone à une telle vitesse. Le débit est même parfois meilleur que certains fournisseurs d’accès à internet, dans des conditions particulières évidemment.
  • 4G+ ou LTE-A (Long Term Evolution Advanced) : très peu déployée pour le moment, les opérateurs commencent à mettre en place ce réseau encore plus rapide. Avec des débits pouvant atteindre 1 Gbps on s’envole. Il est alors facile de par exemple regarder un film en 1080p en streaming sans problème. Il faudra par contre opter pour un forfait en conséquence et un smartphone compatible, et pour le moment le choix est encore restreint.
Lire également : Orange annonce la 4G+ et prépare la 5G pour 2019
Il est loin le temps où nous nous contentions d’appeler et d’envoyer des sms avec nos téléphones. Aujourd’hui ce sont des machines puissantes qui prennent le relai d’un ordinateur en mobilité. Et l’importance du réseau est primordiale et les opérateurs l’ont bien compris.
Maintenant vous saurez à quoi vous attendre lorsque vous regarderez le coin supérieur de votre smartphone et que vous verrez la petite lettre qui jusqu’à maintenant ne vous parlait pas plus que ça.

samedi 15 mars 2014

L' iPhone 5S arrive le 28 Mars 2013, chez Videotron

Vidéotron pourra vendre le iPhone 5S et 5C dès le 28 Mars,les amis !


Plus de 6 mois après leur lancement, les plus récents modèles de la gamme seront enfin offerts par le fournisseur de services mobiles québécois.
Ce n’était qu’une question de temps. Depuis ce matin, les clients de Vidéotron intéressés par le téléphone intelligent d’Apple peuvent remplir le formulaire d’inscription afin d’être parmi les premiers à mettre la main sur l’appareil.
Même si l’entreprise a justifié son retard en mentionnant que l’iPhone n’est compatible avec ses fréquences que depuis peu, la notion de temps semble bien différente chezVidéotron.
Soulignons que la filiale de Québecor n’a toujours pas donné de renseignements au sujet de ses tarifs et du forfait qui sera exigé pour bénéficier d’un rabais sur l’appareil.
Même si l’entreprise a justifié son retard en mentionnant que l’iPhone n’est compatible avec ses fréquences que depuis peu, la notion de temps semble bien différente chezVidéotron. En effet, une déclinaison de l’iPhone 5 compatible avec les réseaux HSPA+ fonctionnant sur la bande AWS est disponible sur le marché depuis avril 2013, par le biais du fournisseur américain T-Mobile.
À l’époque, les clients de Vidéotron entêtés à devenir propriétaire d’iPhone pouvaient se procurer une version déverrouillée de l’appareil auprès d’Apple, en adaptant la carte SIM de leur téléphone actuel au format Nano SIM.
Bien que cette option (plus coûteuse sur le coup) est d’ailleurs toujours valable aujourd’hui, l’arrivée de l’iPhone 5c et 5s chez Vidéotron signifie que les consommateurs pourront obtenir un rabais sur l’appareil dans le cadre d’une entente de deux ans.









Pour Videotron,c'est quoi les vitesses de download (au 28 Mars 2014)?


  • Zoubir Meski a dit:  j'ai quitté Fido car j'avais un mauvais signale à mon travail , j'été souvent en bas de 1mb/s ou sur le EDGE , j'ai aucun problème sur le réseau de videotron , 
    Faut juste être proche de l'antenne ? si antennes disponible ?.................donc rester en ville ;-)
    Voilà la carte http://www.ertyu.org/steven_nikkel/cancellsites.html


    www.ertyu.org
    Interactive map showing Canadian Wireless telephone providers tower locations. Includes Bell, Rogers, Telus, Mike and many others.
    J’aime · Répondre · 1 · 14 mars, à 13:07
    •  Videotron est en classe 4 actuellement;on va pouvoir downloader (théoriquement)a 150Mbps et uploader a pas plus que 50 Mbps au lieux de la classe 5 ,a: 300/75 Mbps !Selon le 3GPP et l'ETSI dans les normes release 8 (version 8)
      J’aime · il y a 17 minutes
    • Alors que Rogers/Fido a déja un download de 150 Mbps (théorique maximum),donc un classe 4 en LTE,toujours selon le service technique de Rogers.Mais faut dire que Rogers a un plus gros étendu de ses antennes(et des fréquences) sur le territoire Canadien comparé a Videotron qui a une concentration au territoire plus le long du fleuve et Montréalaise,donc c'est plus stratégique l'entente Vidéotron/Rogers ,pour que Videotron propage son signal LTE ailleurs qu'a Montréal !


  • Zoubir Meski a dit:  J'ai déjà mon iphone 5 sur le réseau de videotron depuis la sortie de la NanoSIM , même sans le LTE la vitesse est acceptable , j'ai 15mb/s en moyenne 
    En tout cas c'est une bonne nouvelle.
    J’aime · Répondre · 1 · 14 mars, à 10:21

  • Mais un vieux Sony Xperia ZL acheté en 2013 download a 8,5 Mbps(test 4Gmark),car il est en réseau 3G HSPA+ , en périphérie de Mtl .Autrement dit,ma page web complexe s'ouvre en environ 2 secondes, au lieux de 3 secondes en WiFi.
    •  Installe 4Gmark sur ton iPhone5 et tu verras ta vitesse réel de download!
      J’aime · il y a 10 minutes
    •  Pour la catégorie 4,le nouveau Samsung S5 (qui sortira le 11 Avril 2014)sera construit pour le réseau LTE/4G catégorie 4 ,donc probablement le 5S de Apple est lui aussi construit pour le LTE catégorie 4 ,et le nouveau Xperia Z2 de Sony fonctionnera sur LTE-A encore mieux.Donc plus efficace que n'importe quel autre smarthphone antérieur au iPhone 5S,construit pour la 4G de catégorie 3 qui est rendu désuette et surpassée,sinon quelques modèles du iPhone 5 sont compatible au LTE de catégorie 4 ! Le numéro du modèle compatible est le A1428.Les modèles de iPhone 5 compatibles comporte les numéros de série suivants:
      •FH19 - iPhone 5 noir, 16 Go
      •FH1C - iPhone 5 blanc, 16 Go
      •FH1D - iPhone 5 noir, 32 Go
      •FH1F - iPhone 5 blanc, 32 Go
      •FH1G - iPhone 5 noir, 64 Go
      •FH1H - iPhone 5 blanc, 64 Go
    • En France, actuellemnt, c'est entre 10 et 20 Mbps en download et 4 et 8 Mbps upload,alors le 15 Mbps que tu as,c'est potable ,mais si pour 150 Mbps théorique en classe 4 tu as 15 Mbps en pratique ,alors attend toi a plus en classe 5 (en Juin 2014 ?)qui sera de 300Mbps (théorique),c'est le double du 150 Mbps actuel !!!En France on teste actuellement le LTE advanced a 300Mbps !
      J’aime · il y a 2 minutes ·
    • L'utilisation de la bande de fréquence des 800 MHz (utile en 4G)qui était auparavant utilisée pour la télévision analogique UHF (canaux 61-69), ont abouti à l’affectation de ces bandes spectrales aux réseaux mobiles 4G LTE. Ces canaux sont disponibles en France depuis début 2012, suite à la libération de ce que l'on appelle le « dividende numérique », obtenu par le passage à la TV numérique (TNT) de tous les États membres européens.Comme au Québec Videotron avait avertit par lettre a ses clients que la TV analogique devait laisser sa place au numérique.Plusieurs ont reçu cette dernière avertissement ,par lettre vers Mai 2013 pour garantir la libération de ces fréquences.(on se rappel que tout le monde achetait des antennes numériques ou s'abonnaient au Cable Videotron)
    • Donc,pour pouvoir utiliser les bandes des 900 MHz et 1 800 MHz, il sera nécessaire d’effectuer un « réaménagement » du spectre en libérant des canaux initialement attribués au GSM (2G) et à l'UMTS (3G). Dans de nombreux pays européens, certains opérateurs ont déjà réutilisé une partie de la bande de fréquence des 1 800 MHz pour le LTE;comme plusieurs fournisseurs dont Videotron et Rogers, cette bande de fréquence est la plus utilisée dans les réseaux 4G/LTE .Cette bande de fréquence aura donc pendant quelques années une utilisation mixte 2G (GSM) et LTE.En attendant que le réseau 2G devienne désuet ou non upgradable pour la 4G+ ou la 5G !


Le débit réel de données observé par l’utilisateur d’un réseau LTE peut être très fortement réduit par rapport aux débits binaires théoriques annoncés et définis par la norme LTE. Les principaux facteurs ayant une influence sur le débit effectif sont les suivants :
  • Le nombre d’utilisateurs actifs se partageant la bande passante au sein d’une cellule (surface radiante d'une antenne) LTE ; plus il y a d’abonnés en communication, moins chacun a de débit unitaire.
  • La largeur de la bande de fréquence attribuée à l’opérateur du réseau. Le débit utile global est proportionnel à cette largeur de bande (qui peut varier de 1,4 MHz à 20 MHz en LTE et jusqu'à 100 MHz en LTE Advanced).
  • Les types d’antennes utilisés, coté terminal et coté réseau (antenne relais) : le débit binaire maximal de 300 Mbit/s suppose des antennes MIMO 4X4 (quadruples) aux 2 extrémités de la liaison radio LTE (cas de figure peu réaliste pour un téléphone mobile ou un smartphone à cause de leur petite taille).
  • La distance entre le terminal et la (ou les) antennes relais (le débit est très inférieur en périphérie de cellules radio à cause des interférences avec les cellules adjacentes) et les conditions de réception radio (interférences, bruit, échos liés aux réflexions sur les immeubles…).
  • La position fixe (statique) ou « en mouvement » du terminal de l’abonné ; le débit utile est réduit pour un terminal en mouvement.
  • La capacité en débit et le nombre maximum d'utilisateurs simultanés permis par la station de base (eNode B) et le débit des liens cuivres ou optiques reliant cette station au cœur de réseau (réseau de backhaul).
Le type et la catégorie du terminal influent aussi sur le débit maximum possible ; par exemple un terminal LTE (UE "User Equipment" en anglais) de catégorie 1, ne supporte qu’un débit binaire de 10 Mbit/s alors qu’un autre de catégorie 3 supportera 100 Mbit/s (voir tableau ci-dessous). En contrepartie, plus la catégorie du terminal est élevée, plus le terminal sera complexe (coûteux) et moins son autonomie sera grande (à niveau technologique égal).


REF.: oui,

samedi 22 février 2014

Le LTE-A (4G+) a 300 Mbits/s, le double du LTE

Après, le LTE-B permettra d'atteindre un débit théorique de 50 Gb/s".

4G : Orange va expérimenter le LTE-A ,  à Bordeaux

Réseaux : Cette évolution de la 4G basée sur l'agrégation des fréquences permettra d'atteindre un débit maximum théorique de 300 Mb/s (contre 150 pour le LTE).

Alors qu'en pratique la 4G a été testé(4Gmark) a 36,9 Mbps en Dl a aussi bas que 7,9 Mbps pour le moins performant des opérateur Français, pour le mois de Janvier 2014  ! Wow, ont est loin des 150 Mbps théorique du 4G !
Si les médias se sont récemment et largement penchés sur les premiers travaux autour de la 5G, il faut savoir que la 4G en a encore sous le pied. La première évolution de ce protocole se nomme LTE-A (pour Advanced), déjà déployée en Russie et qui va commencée à être expérimentée en France.
L'Arcep, le régulateur des télécoms, vient en effet d'autoriser Orange à lancer un test grandeur nature à Bordeaux, dans un environnement urbain très dense. Il s'agit de "de tester le bon fonctionnement d’un réseau utilisant cette technologie, y compris en situation de mobilité, et d’identifier les bénéfices possibles sur les futurs services offerts aux clients". C'est le premier test du genre lancé en France.
Le LTE-A s'appuie sur l'agrégation des fréquences. En l'espèce, l’agrégation d’un canal de 2x20 MHz dans la bande 2,6 GHz et d’un canal identique dans la bande 3,5 GHz.
De quoi permettre d'offrir des débits maxima théoriques de 300 Mbits/s, soit le double des débits maxima théoriques actuellement atteignables sur les réseaux 4G actuels. Un terminal compatible sera néanmoins nécessaire.
Terminal compatible
"Cette expérimentation est la première de ce type autorisée en France. L’Autorité accueillera favorablement toute demande d’expérimentation destinée à favoriser et accélérer le développement du très haut débit mobile", ajoute l'Arcep.
Il y a un an, Philippe Perrin, le président de Huawei France, géant des équipements télécoms, nous expliquait que les opérateurs français devaient se pencher très vite sur l'évolution de la 4G.
"L'équation est simple. Nous estimons que le trafic data mobile va être multiplié par 500 d'ici 2020. Il faut accompagner cette explosion avec de nouveaux équipements et de nouveaux services. Il y a beaucoup d'expérimentations. En France, nous discutons avec les opérateurs mais pour le moment, ils restent concentrés sur la première phase de leur déploiement. Mais avec l'explosion du trafic, cette évolution semble inéluctable".
Le groupe chinois pense déjà au coup d'après : "le LTE-B qui est une réalité technologique chez Huawei, nous avons déjà déposé 150 brevets. Ce LTE-B permet d'atteindre un débit théorique de 50 Gb/s".


Le 5G en 2020 "raisonnable" avec l'Europe "en pointe" ?

Technologie : En parallèle des investissements des équipementiers télécoms, l'Europe entend reprendre la main à travers de multiples initiatives publiques-privées. Mais tous les freins ne sont pas levés. Explications avec Ulrich Dropman de NSN et Viktor Arvidessor d'Ericsson.



Si la 4G est devenue une réalité dans de nombreux pays, dont la France, les opérateurs et les équipementiers ont évidemment déjà les yeux tournés vers l'avenir. Le LTE en a encore sous le pied (avec notamment le LTE-Advanced) mais il s'agit dès à présent de se pencher sur son successeur, la 5G qui proposera des débits supérieurs à 10 gigabit par seconde.
La problématique reste la même pour les opérateurs : accompagner l'explosion de la consommation data et des nouveaux usages. Selon Ericsson, le trafic data mobile sera multiplié par 10 entre 2013 et 2019 (par 9 en Europe de l'Ouest) pour atteindre le chiffre record de 10 exaoctets. 
Mais le débit en tant que tel ne sera pas l'argument numéro un... "Notre vision, c'est vraiment la diversité des besoins, notamment avec le Machine to Machine (M2M) de nouvelle génération, la sécurité, le cloud, la e-santé, la e-éducation, l'internet des objets, le secteur automobile, le broadcast...", nous explique Viktor Arvidsson, directeur de la stratégie pour Ericsson France. On peut également évoquer la latence proche de zéro.
 
Adresser plus de besoins
Et déjà se profile une bataille géopolitique entre l'Asie et l'Europe.  Ainsi les autorités sud-coréennes ont annoncé leur intention d'investir 1,1 milliard d'euros dans ce protocole. Le chinois Huawei a de son côté déclaré qu'il allait investir 600 millions de dollars d'ici 2018 dans cette technologie.
Sur le Vieux Continent, la Commission veut reprendre la main en fixant un objectif (un lancement commercial en 2020) et des moyens avec la mise en place d'un partenariat public privé dédié à la R&D sur la 5G baptisé 5G PPP. Objectif : éviter les ratés du lancement éparpillé et décalé de la 4G sur le Vieux continent.
Il sera doté d'un budget de 700 millions d'euros d'ici 2020, abondé par 700 millions supplémentaires de la part des acteurs privés et présidé par l'équipementier finlandais NSN (ex-Nokia Siemens Networks). Objectif : accélérer la R&D et surtout la standardisation.
L'Europe se donne-t-elle les moyens de ses ambitions ? "5G PPP est le meilleur moyen pour accélérer les synergies et s'assurer que les projets développés par les industriels soient cohérents. L'objectif est d'éviter de se marcher sur les pieds tout en évitant les espaces vides et que l'Europe soit une locomotive", explique à ZDNet.fr, Ulrich Dropmann, Head of Industry Environment chez Nokia Solutions and Networks.
Et d'ajouter : "cette initiative (qui en est à ses tout débuts) permet d'établir une perspective à long terme, et d'offrir plus de poids et plus de financement aux projets. C'est un vrai levier pour replacer l'Europe à la pointe de la technologie mobile, c'est un cadre fort".
"C'est une très bonne nouvelle, l'Europe se fixe un agenda, un budget et la collaboration public/privée est indispensable : le schéma est le bon", ajoute Viktor Arvidsson.
Mille-feuille européen
Pour autant, comme à chaque fois en Europe, on observe une sorte de millefeuille des initiatives publiques ou semi-publiques, entraînant au mieux une confusion, au pire, une source de retard et d'inertie.
Parmi ces projets, on trouve METIS, 5GNOW, iJOIN, TROPIC, Réseautage dématérialisé mobile, COMBO, MOTO et PHYLAS, entre autres. Le premier reçoit à lui seul 16 millions d'euros, mais tous seront financés pour développer des services 4G+ et 5G.
METIS est particulièrement mis en avant. Il est soutenu par divers opérateurs (France Télécom-Orange, Deutsche Telekom, NTT Docomo, ou Telecom Italia par exemple), des universités et instituts de recherche académique et des industriels, dont Huawei, Alcatel-Lucent ou Ericsson. La présence de groupes non européens est une première.
Pour Ulrich Dropmann, le risque est néanmoins faible : "Les passerelles entre ces initiatives existent déjà puisqu'il faut bien différencier le travail de R&D autour de la radio et de la gestion, du cloud ou de l'énergie. Le 5G PPP a une vocation plus globale".
"On ne peut pas se contenter d'une seule voix pour les fréquences, les standards. La multitude des initiatives n'est a priori pas mauvaise, elle constitue même unmomentum global qui est toujours plus profitable qu'un cadre unique et rigide lourd et chronophage", ajoute l'expert d'Ericsson (photo). "Reste qu'il faudra être cohérent collectivement".
Si les intentions sont bien présentes, où en est-on concrètement ? Le spécialiste de NSN est peu disert : "On est actifs sur plusieurs axes et on commence déjà à travailler avec des opérateurs, notamment en Chine où nous avons pour la première fois des projets communs avec les opérateurs locaux. Nous avons également noué un partenariat avec l'université de New York pour étudier la propagation de cette 5G".
Chez Ericsson, "on commence d'abord par améliorer la 4G à travers l'agrégation de fréquences (LTE-A) qui nous permet de poser les briques de la 5G. Il faut souligner que cette 5G sera selon nous, pour une grande partie, une évolution de la 4G. Il n'y aura pas de rupture technologique".
Fréquences : le nerf de la guerre 
Les deux équipementiers se gardent évidemment de donner des détails quant à leurs investissements dédiés (à la différence du chinois Huawei). Ericsson indique juste que près de la moitié de son effort de R&D (3,6 milliards d'euros en 2013) est affectée aux évolutions radio.
La question est également de savoir si la perspective 2020 est tenable. "C'est un horizon qui nous paraît parfaitement raisonnable", souligne Ulrich Dropmann. "On se base en fait sur les cycles précédents, comme la 4G, même si il y aura des disparités en fonction de la maturité des marchés. Mais l'important est d'avoir un agenda clair qui corresponde à la réalité, notamment de standardisation".
Une analyse partagée par Viktor Arvidsson : "Chaque cycle de développement dure environ dix ans. L'objectif fixé n'est donc pas irréaliste. Mais cela reste une vision empirique et il est encore trop tôt pour dresser un calendrier précis, les incertitudes sont encore trop nombreuses".
Reste la question toujours sensible des fréquences utilisées. Jusqu'à présent, l'hétérogénéité a caractérisé le haut débit mobile avec des spectres très différents utilisés des deux côtés de l'Atlantique. "C'est de moins en moins un problème", assure Ulrich Dropmann.
"Les fabricants de smartphones proposent désormais des terminaux multi-fréquences et c'est une question qui se règle pays par pays. Il faudra aller au-delà des 5 Ghz pour une propagation adaptée et une disponibilité globale. On peut l'associer à des fréquences locales spécifiques mais l'utilisation de plusieurs fréquences ne nous gêne pas trop, c'est dans la nature des choses. De toutes façons, il est encore trop tôt pour en parler".
"C'est le nerf de la guerre", nuance toutefois Viktor Arvidsson. "Ericsson se bat justement pour l'harmonisation globale des fréquences permettant de générer d'importantes économies d'échelle et synergies. Nous étudions donc les bandes qui pourraient être utilisées au niveau mondial, notamment à travers l'initiative MELTIS. Il semble que la bande des 700 Mhz pourrait faire office de fréquence globale, elle a vraiment vocation à servir la 5G".
Pour NSN, les 700 Mhz doivent au contraire être cantonnés à la 4G... Faudra-t-il alors trouver de nouveaux spectres de fréquences et/ou déloger ceux qui les utilisent ?