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vendredi 24 décembre 2010

Aidants naturels: 2 millions $ pour aider les proches aidants

Aidants naturels - 2 millions $ pour aider les proches aidants
«C'est une réalité incontournable. De plus en plus de personnes aident un proche aîné en perte d'autonomie.»
© Luc Cinq-Mars/24 heures Montréal/Agence QMI

MONTRÉAL - Quarante-trois projets communautaires visant à donner du répit aux proches aidants se partageront une enveloppe de 2 millions$ a annoncé le gouvernement du Québec, dimanche.

On estime que 300 000 Québécois remplissent le rôle d’aidant auprès d’aînés qu’ils hébergent à leur domicile.

La conciliation de la vie personnelle et professionnelle de ces personnes est parfois difficile avec leur rôle de proche aidant en raison de la lourdeur de la tâche, selon Québec, qui parle d’un répit nécessaire et non d’un luxe.

Ces projets, qui seront déployés aux quatre coins de la province dans le cadre des programmes Du cœur à l'action pour les aînés du Québec et Soutien aux initiatives pour le respect des aînés, visent principalement à mieux organiser et à développer une offre de service en matière d'écoute, de répit et d'accompagnement.

«C'est une réalité incontournable. De plus en plus de personnes aident un proche aîné en perte d'autonomie, a dit la ministre Blais par voie de communiqué. Ce sont des gens dévoués qui font preuve d'un véritable don de soi. Avec cette annonce, nous désirons que les organismes qui les accompagnent sur le terrain soient mieux outillés et en mesure de leur donner le coup de pouce qui souvent change tout. C'est de cette manière que nous réussirons à aplanir les obstacles qui se dressent devant ces personnes dont l'apport inestimable deviendra encore plus important dans les années à venir.»


REF.:

Capter l'énergie solaire dans l'espace et l'acheminer sur Terre

Environnement - Capter l'énergie solaire dans l'espace et l'acheminer sur Terre
L'énergie du Soleil captée par des satellites dans l'espace pourrait, nuit et jour, fournir de l'électricité à des installations au sol.
© AFP

L'énergie du Soleil captée par des satellites dans l'espace pourrait, nuit et jour, fournir de l'électricité à des installations au sol, selon des projets comme celui de la firme Astrium, qui pourraient commencer à voir le jour à partir de 2020.

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Il ne s'agirait pas, au moins dans un premier temps, d'alimenter des villes qui disposent déjà d'infrastructures, mais des régions isolées, d'accès difficiles où on a besoin d'électricité, explique Robert Lainé, directeur technique d'Astrium, filiale espace du groupe européen EADS.

Cela pourrait permettre de fournir ponctuellement de l'électricité à une zone de catastrophe, un hôpital de campagne, une installation de pompage, de purification ou de désalinisation d'eau, a-t-il précisé lors d'une récente conférence à Paris.

Alimenter des grandes villes, «ça ne se produira pas avant qu'il n'y ait plus de pétrole», a-t-il déclaré à l'AFP.

Rayon laser infrarouge

«On pense que le plus simple, c'est de commencer avec un satellite existant, puis de l'adapter», note M. Lainé. La première démonstration pourrait s'appuyer sur les capacités du futur satellite de télécommunication Alphasat, avec l'objectif d'acheminer au sol, grâce à un laser infrarouge, quelques kilowatts d'énergie produite dans l'espace.

«Si on trouvait un financement demain, six ou sept ans c'est tout à fait raisonnable» pour aboutir à une démonstration, précise cet expert, alors qu'au delà de partenariats européens, Astrium envisage de s'associer avec Russes et Japonais pour mettre en place cette nouvelle filière technologique.

Lors de l'étape suivante, au cours de la décennie 2020-2030, plusieurs satellites, capables de fournir jusqu'à 100 kW chacun, pourraient faire converger leurs faisceau. Alors qu'aux États-Unis des projets de grande ampleur sont envisagés, Astrium, qui recherche des partenaires, table plutôt sur un développement progressif, avec une première démonstration d'ici 2020, voire dès 2016.

«En cas de situation d'urgence, de besoin d'électricité, on bascule le faisceau facilement, on peut le faire en une minute», assure M. Lainé.

Grâce à un miroir de 3,5 mètres de diamètre, comme celui du télescope scientifique Herschel, le satellite pointera vers la Terre un rayon laser infrarouge de 20 mètres de large en ciblant des panneaux solaires de 30 m sur 30 placés au sol, selon le projet d'Astrium. La puissance reçue sur chaque panneau pourrait atteindre 300 kW, de quoi alimenter des dizaines de foyers.

Convertir 60% de l'énergie reçue en électricité

Des cellules photoélectriques adaptées par Astrium pour l'infrarouge permettraient de convertir jusqu'à 60% de l'énergie reçue en électricité, au lieu de 15% avec les panneaux solaires actuels captant la lumière blanche du soleil.

La longueur d'onde supérieure à 1,4 micron choisie pour le laser devrait permettre d'acheminer sans risque 1 kW par mètre carré sur le récepteur. Une personne regardant brièvement dans le faisceau «va avoir chaud à la figure, aux yeux, mais il n'y a pas de pénétration dans la peau» ni de risque de brûler la rétine, assure M. Lainé.

À ces fréquences-là, les valeurs limites d'exposition sont élevées parce que «le rayonnement infrarouge est très peu pénétrant», précise un expert de l'Institut national de recherche et de sécurité (INRS).

Et avec 1 kW par mètre carré, le laser ne se transformera pas en arme de guerre. Pointé sur une forêt, «le laser n'y mettrait jamais le feu», souligne M. Lainé, car le flux d'énergie serait voisin de ce qu'on reçoit du soleil au zénith.

Transmettre l'énergie via un faisceau micro-onde, comme l'envisagent d'autres projets pourraient susciter davantage de réticences, comme dans le cas des antennes de téléphonie mobile, et nécessiterait des récepteurs jusqu'à mille fois plus grands.


REF.:

Économie ? remplacer le papier par un iPad ? Projet pilote ou Projet Nowelle ?



Où vont vos impôts ?

Une économie réelle?



Où vont vos impôts ? - Une économie réelle?

Archives

Le iPad peut-il réellement faire économiser de l'argent au gouvernement ?

Peu importe la façon de le calculer, le coût de l'utilisation d'une tablette informatique dépasse son simple coût d'achat. Il est donc loin d'être assuré que les économies en papier couvriront les coûts d'acquisition et d'utilisation du iPad en une seule année, comme le prétend le Secrétariat du Conseil du Trésor.

Un iPad coûte entre 500 $ et 830 $ avant taxes. Le modèle acheté pour le projet pilote a coûté 682 $, en plus d'un étui de 45 $. Avec les taxes, chaque appareil a coûté au gouvernement la somme de 821,23 $. À cela, il faut ajouter le coût d'achat des logiciels et de tous les accessoires, en plus des frais de connexion à Internet.

Sans oublier le temps que des techniciens en informatique devront passer à former les utilisateurs et à intervenir lors de problèmes techniques.

Et les ordinateurs portables ?

Selon Pierre-Alain Bujold, ce ne sont pas tous les cadres de la fonction publique fédérale qui ont un ordinateur portable. «Les iPads ont été choisis parce qu'ils sont légers, faciles à utiliser, petits, ont une longue autonomie de batterie, s'allument rapidement et permettent la prise de note à la main», a-t-il précisé.

* Les résultats du projet pilote, qui devaient être dévoilés ce mois-ci, seront finalement connus «d'ici quelques mois».

C'est peut-être le projet pilote du CLSC Jeanne-Mance ? un produit similaire,qui saient ? Tout les Médecins ont des tablettes tactiles maintenant ,y reste tout les Québecois a suivre et a s'endetter pour éliminer le papier sauver des arbres pour répendre des métaux lourds technologique dans notre environnement !$!



Une vingtaine de hauts fonctionnaires du Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT) - dont plusieurs sous-ministres adjoints et directeurs nationaux - utilisent donc un iPad depuis le début de l'automne. Coût du projet : près de 23 500 $.

Pour justifier leur idée, les responsables du projet pilote soutiennent que le iPad pourrait faire économiser plus de 700 $ par année par fonctionnaire, simplement en coûts de papier et d'impression.

«Avant de lancer le projet pilote, selon une hypothèse prudente, l'utilisation du iPad permettrait de réduire les coûts d'environ 700 $ par personne par an. Les coûts devraient donc en principe être recouvrés d'ici un an», soutient le porte-parole du SCT, Pierre-Alain Bujold.

Selon les estimations du SCT, chaque haut fonctionnaire reçoit quotidiennement de son adjointe exécutive un cartable de breffage d'une trentaine de pages sur les dossiers de la jour-née. L'impression de ce document serait complètement remplacée par des documents envoyés directement sur la tablette informatique.

«L'objectif du projet pilote consiste à déterminer si l'appareil iPad pourrait remplacer l'impression de grandes quantités de documents pour les réunions», explique M. Bujold, en ajoutant que le projet cherche aussi à identifier d'éventuels avantages apportés par le iPad au niveau de l'efficacité et de l'organisation du travail.

Des iPads pour tout le monde ?

Même si le Conseil du Trésor est responsable de toute la fonction publique fédérale, le projetpilote à l'étude ne touche, pour le moment, que des dirigeants du SCT.

Comme il s'agit d'une première, il est toutefois possible que d'autres ministères s'inspirent des recommandations de cette étude. «Les résultats du projet pilote seront communiqués aux autres ministères intéressés», confirme le porte-parole du SCT.

Il y a 6 743 cadres de haute direction au gouvernement fédéral. Leur fournir un iPad à chacun coûterait environ 7 millions $.

Combien coûte le iPad ?

-Coût de l'appareil: 821 $ (selon la configuration 3G choisie par le SCT).

Frais de connexion Internet (3G): 180 $ par année (selon les documents, ces frais peuvent s’élever jusqu’à 540 $ annuellement, selon les forfaits).

-Accessoires

Clavier (70 $) ou station d’accueil avec clavier (80 $)

Logiciels : 127 $*

Stylet : 12,71 $

Fils et divers outils : 75 $

* Total des logiciels achetés pour le projet-pilote TOTAL : 1 286 $ la première année et de 180 $ à 540 $ chaque année suivante.

-Coûts non considérés :

Remplacement de l’appareil en cas de bris

Remplacement de l’appareil après la fin de sa vie utile. (On estime généralement qu’un ordinateur portable, par exemple, doit être remplacé aux cinq ans).


Coûts estimés de la paperasse

Par directeur :

- 1 cartable de briefing par jour

- 30 pages par jour

- 220 jours de travail par année

- 6 600 pages par année

- 0,10 $ par page en couleur

- 0,01 $ pour la détruire

TOTAL ANNUEL : 726 $


* Depuis son lancement en janvier dernier, le iPad commence à faire son chemin dans les gouvernements. Aux États-Unis, plusieurs villes fournissent des iPads à leurs conseillers municipaux au lieu de leur imprimer les documents. À Redwood City, en Californie, un conseiller a toutefois refusé qu'on lui paye un iPad et a décidé de continuer à utiliser son ordinateur portable, jugeant que c'était là une dépense frivole et non justifiée, au moment où sa ville procède à des compressions budgétaires.



REF.: canoe,

jeudi 23 décembre 2010

Prix P-4 ancienne version :

Pour un second ordinateur de bureau,un bon vieux P-4 de marque HP , avec processeur de 3,0 Ghz,avec petit disque dur de 40Ghz et peu de mémoire (512 Meg de Ram),un seul prix $ 79,99 (certains vendent a 119$), chez ÉlectroTel !
Et un moniteur , 15 pouces,avec speakers incorporés,1080 X 768 , seulement $ 29,99 !!!

Boxing Day: Xbox 360 ,prix du 26 Decembre 2010 :

Même prix que "la Source" , Walmart la vend a $129.00,a partir du 26 Décembre 2010.
c'est la xbox 360 de 4 G0,wifi intégré,commande noire sans fil,abonnement 1 mois xbox live golg,la console est compatible kinect .

Beaucoup de magasin vendent a prix réduit,la nouvelle PS3, de 160Go, pour $288,avec 2 jeux gratuits et l'abonnement gratuit a playstation network.

Forté Capital Advisors et Manhattan Partners achète Xe

États-Unis - La société de sécurité Xe (ex-Blackwater) change de mains
La firme Xe a été impliquées dans plusieurs scandales en Irak à l'époque où elle s'appelait Blackwater. Ci-haut, la voiture de deux femmes tuées par des gardes de sécurité privés en 2007.
© AFP Photo / Ali Yussef

Un fonds d'investisseurs a annoncé vendredi l'acquisition de la société américaine controversée de sécurité Xe -plus connue sous son ancien nom de Blackwater-, qui fut un important partenaire des militaires américains en Irak et en Afghanistan, pour un prix non précisé.

Le propriétaire fondateur de Xe, Erik Prince, ancien membre des troupes d'élite de la Marine américaine Seal, «va céder l'intégralité de ses parts dans la transaction et ne participera pas à la gestion de la société», est-il précisé dans un communiqué de USTC, un consortium mené par deux sociétés de capital investissement, Forté Capital Advisors et Manhattan Partners.

Le patron de Forté est Jason DeYonker, qui entre 1998 et 2002 était chargé de gérer la fortune personnelle de M. Prince. Impliqué dès la fondation de ce qui était alors Blackwater en 2007, «il avait conseillé la société dans le développement de son plan d'affaire et l'expansion de son centre d'entraînement de Moyock, ainsi qu'en soutenant les négociations avec les organismes fédéraux américains pour les premiers contrats d'entraînement».

Moyock, en Caroline du Nord (sud-est des États-Unis), est présenté par Xe comme «le plus grand centre d'entraînement tactique privé du pays».

Blackwater avait été rebaptisée Xe après avoir été impliquée dans plusieurs scandales en Irak, en particulier la mort de 14 à 17 civils à Bagdad en septembre 2007.

Deux de ses anciens agents sont actuellement poursuivis pour le meurtre de deux Afghans à Kaboul en mai 2009.

Xe affirme sur son site internet que ses employés, surtout d'anciens militaires ou policiers, «placent les besoins des autres devant les leurs et aident à garder l'Amérique et le monde en sécurité en tant que fournisseurs de solutions de stabilité à des clients privés et gouvernementaux». Elle explique que la société «est souvent appelée à assumer des tâches que d'autres ne peuvent tout simplement pas faire».

La société sera interdite Afghanistan à compter de la fin de l'année, et l'est également en Irak depuis 2009.

Le New York Times avait indiqué en août que M. Prince, rendu amer par les controverses entourant sa société, avait quitté les Etats-Unis pour s'installer à Abou Dhabi, où il espérait développer une activité de sécurité centrée sur le Moyen-Orient et l'Afrique.

Dans un entretien à Vanity Fair il y a un an, M. Prince avait expliqué qu'il s'était senti trahi par les autorités américaines, en particulier par des démocrates proches de l'administration du président Barack Obama qui l'avaient présenté comme un sous-traitant la CIA chargé de commettre des assassinats visant des ennemis des États-Unis, ce qu'il démentait.

«J'ai mis mon entreprise et moi-même à la disposition de la CIA pour des missions très risquées. Mais quand c'est devenu opportun politiquement, quelqu'un m'a jeté en pâture», avait-il dit, envisageant alors de devenir enseignant.

En mars Xe avait cédé pour 200 millions de dollars une activité de services aériens.

En août la société avait conclu un accord avec le département d'État prévoyant le versement d'une pénalité de 42 millions de dollars pour avoir violé les règles d'exportation en vendant notamment des armes à l'Afghanistan.

Blackwater avait gagné pour plus d'un milliard de dollars de contrats avec le gouvernement américain entre 2000 et 2007, en majorité sans appel d'offres, selon une enquête parlementaire de cette année-là.


REF.:

Comment acheter un Processeur ?

Le Socket:
Une fois que vous savez si vous achetez un processeur AMD ou Intel CPU, et combiend'argent vous aurez à dépenser, vous devez penser à la prise de la carte mère danslaquelle le processeur va s'insérer. Ça évolue avec le temps et que les nouveaux développements techniques et procédés nécessitent un nouveau matériel, et les différences entre eux peut être source de confusion: par exemple, un détaillant en ligne NewEgg.com en énumère huit à l'heure actuelle, et offre peu d'indices qui sont les plus récentes.
AMD, il est facile: sa prise la plus courante est l'AM3, donc si c'est ce que votre carte mère a, elle peut utiliser tous les sockets AM3 ou AM2 ou AM2 + CPU. Il est plus difficile avec Intel: les processeurs les plus courant utilise le socket LGA1156, tandis que les modèles les plus performants utilisent le LGA1366, et les processeurs ne sont pas interchangeables entre eux (ou l'un des types de socket précédente). Comme mentionné, les processeurs à bas prix pour un type de socket sont généralement et va être plus lent que d'autres , donc si vous pensez que vous pouvez mettre à niveau bientôt, jeter un oeil à ce qui est disponible pour prendre la bonne décision.(Note: AMD et Intel sont toutes deux prévues pour introduire les types de socket nouveaux, avec leurs mises à jour de processeur en 2011,le Fusion et le SandyBridge:. l'AM3 + et le LGA1155, respectivement ,avec nouveaux socket AMD il sera rétro-compatible avec les processeurs plus anciens , et Intel ne le sera pas.)


Nombre de coeur (Core):
Jusqu'à il ya quelques années, c'était inouï de l'attribut sur les processeurs, maintenant, c'est celui que vous aurez envie de se concentrer le plus. Presque tous les processeurs de nos jours disposent de deux à six cœurs de traitement, qui peuvent traités les données en même temps.Pas tous les programmes logiciel prennent en charge cette fonctionnalité, et pas tous ceux qui le prennent en charge ne le font également. Mais les applications comme les éditeurs de photo et vidéo sauront vraiment bénéficier d'un CPU avec plusieurs noyaux. Bien sûr, les noyaux de plus un processeur qu'il y a dans le AMD et les familles Intel, vont coûter (des centaines $ pour AMD , les plus coûteux sont les CPU à six cœurs ,plus de cpu plus chère ça coûtera), mais si votre CPU fait de gros calcul ,c'est un bon investissement pour vous. Bien qu'il existe certains processeurs sur le marché, en particulier les plus âgés-qui ont seulement un cœur de traitement, nous vous recommandons d'éviter ces Processeurs désuets. Même les processeurs dual-core sont si omniprésents et bon marché maintenant et que vous décidez de faire un choix plus judicieux,mieux vaut deux cœurs que d'aller avec juste une puce simple coeur.
Note: par rapport au nombre de cœurs d'un processeur,ce'est le nombre de threads qu'il peut traiter. Un thread est une suite d'instructions sur les cœurs de traitement, et des logiciels qui peuvent en gérer plusieurs, dans un court délais ,sera généralement plus rapide que des programmes semblables qui ne sont pas multithread. (Si vous voyez le mot «multithread» dans une revue du logiciel, cela signifie que l'application peut gérer plus d'un fil.) Les CPU d'AMD peuvent tourner un thread par core, les processeurs Intel, cependant, utilisent une technologie appelée Hyper-Threading qui imite plusieurs threads au sein des noyaux (essentiellement l'envoi d'informations dans la base et hors de lui en même temps), vous en donnera deux fois plus pour votre argent. Par exemple, si un processeur à quatre cœurs AMD peut être limitée à quatre threads dans une application, certains modèles Intel quad-core peuvent être en mesure de jongler avec huit,dans la même application pour booster les performances (si ce n'est pas nécessairement autant que le double de la vitesse).


Fréquence(vitesse d'horloge):
À l'époque où tous les processeurs étaient sinple-core, la vitesse d'horloge (ou la fréquence de fonctionnement) est roi, et le plus sûr moyen de déterminer à quelle vitesse le cpu tourne.Bien que de multiples cœurs de traitement sont le déterminant et le plus utile maintenant , la vitesse d'horloge est toujours crucial. Ces jours-ci, elle est mesurée en gigahertz (GHz), ou le nombre de milliards de fois par minute d'horloge du processeur "impulsions" dans le microprocesseur. Un processeur à 3 GHz, avec des impulsions de trois milliards de fois par seconde, et il est généralement prudent de supposer qu'il sera plus rapide qu'un processeur avec un nombre similaire de coeurs, c'est une puissance de seulement 2 GHz (ou deux milliards d'impulsions par seconde). Sur les processeurs multicœurs, le nombre d'impulsions s'empilent, de sorte que vous pouvez attendre d'un processeur à quatre cœurs à 3 GHz pour écraser un CPU dual-core cadencé à 3,3GHz. C'est vrai-la ,le CPU avec la plus grande vitesse d'horloge peut en fait être plus lent dans la pratique, c'est pourquoi c'est le nombre de cœurs qui importe vraiment.


La technologie de fabrication:
La finesse de la gravure à partir de laquelle le processeur a été construit. Au fil du temps, ceux-ci tendent à devenir plus petit et plus économe en énergie, et donc plus puissante. Les processeurs haut de gamme sur le marché utilisent maintenant la technologie 32nm, et vous verrez toujours beaucoup encore à 45nm.


Le 64-bit:
Pratiquement tous les CPU sur le marché aujourd'hui est un modèle 64-bit, ce qui signifie qu'il peut traiter 64 bits (ou huit octets) de l'information à un moment donné,par opposition à la 32 bits qui ont fait jusqu'à quelques années auparavant. Cela peut signifier des améliorations de performances significatives dans les logiciels 64-bits (ce qui fait encore montée en puissance la popularité et la disponibilité).Parce que beaucoup d'applications d'aujourd'hui, à partir de Windows comme Photoshop,supporte le 64-bit comme technologie, et que vous êtes mieux d'éviter les processeurs 32-bit .


Le Cache:
De tous les numéros que vous pouvez rencontrer pour un processeur,c'est le cache(mémoire cache)qui peut être le plus troublant, en grande partie parce qu'il y en a trois types différents, et leurs noms sont très similaires: L1, L2 et L3. Le "L" signifie "niveau", et la réflexion sur les caches en ces termes les rend plus faciles à comprendre.
L1 est cache primaire de la CPU, la section la plus rapide de sa mémoire et le plus étroitement responsable de la performance d'un processeur, car c'est là que les instructions sont stockées pendant qu'ils sont en attente de traitement.
L2 est semblable sauf,au lieu d'alimenter en instructions le microprocesseur lui-même, il nourrit la mémoire cache L1 (et utilise une mémoire plus lente).
Le cache L3 alimente la L2, et est plus lente encore. Mais en général, plus grande est la mémoire en chacun de ceux-ci, plus efficace sera le CPU .

Le TDP:
Thermal Design Power. Mesure à géométrie variable (elle dépend du fabricant) de la chaleur dissipée par un processeur.Le processeur le plus rapide qui utilise le socket LGA1156 a un TDP de 95 watts, et le plus lent utilise73 watts, mais si vous décidez de faire des folies et passer à un Core i7-980X sur la fente LGA1366, son TDP est de 130 watts. De nombreux composants de l'ordinateur va utiliser plus que cela, alors ce n'est probablement pas quelque chose que vous aurez besoin de s'inquiéter, mais il vaut la peine de s'y attarder.



Le FBI soupçonné d’avoir intégré des backdoors dans OpenBSD

Sécurité - Un expert employé à la fin des années 90 par le FBI a informé le fondateur de la communauté OpenBSD avoir développé au sein d’une cellule spéciale des portes dérobées. Celles-ci permettraient de dérober des clés de chiffrement et d’intercepter du trafic chiffré. Un audit du code est en cours.

Wikileaks n'a pas le monopole des révélations. Celle qui agite la communauté OpenBSD émane directement de son fondateur Theo de Raadt. C'est un message électronique de Gregory Perry, ancien directeur technique de NetSec (devenu Verizon Business Security) qui a mis le feu aux poudres.

Gregory Perry a profité de l'expiration d'une clause de confidentialité signée avec le FBI pour révéler l'affaire. L'expert a ainsi informé Theo de Raadt avoir assisté techniquement le FBI à la fin des années 90 dans le but d'insérer du code dans OpenBSD.

Les parefeu et VPN reprenant le code d'OpenBSD potentiellement concernés

Objectif du projet : permettre à l'agence fédérale américaine d'effectuer des interceptions. Les développements de la cellule formée par le FBI portaient en effet sur « des backdoors dans des systèmes de cartes à puce et dans des frameworks cryptographiques » d'OpenBSD analyse LeMagIT.

Pour Gregory Perry, l'existence de ces backdoors justifient notamment l'attachement manifesté par le FBI à promouvoir OpenBSD dans les solutions parefeu et VPN. Depuis les 10 dernières années, le code du système d'exploitation a cependant beaucoup évolué.

Des accusations qui restent à démontrer

Mais Gregory Perry encourage le fondateur de la communauté OpenBSD et ses membres à auditer le code lié à la cryptographie, et en particulier les contributions de Scott Lowe.

Ce dernier, expert de la virtualisation chez EMC, est en effet directement pointé du doigt par Perry qui l'accuse de travailler pour le compte du FBI en promouvant l'utilisation de machines virtuelles OpenBSD dans vSphere de VMware.

Scott Lowe a rapidement réagi sur son blog pour démentir ces informations. Malgré le scepticisme de certains experts à l'égard des différentes accusations formulées par Perry, celles-ci sont malgré tout prises avec sérieux.

Le code source soupçonné d'abriter des portes dérobées ayant été largement réutilisé dans d'autres produits, notamment des distributions, l'affaire dépasse la seule communauté OpenBSD. L'audit du code, et en particulier du stack IPSec, est quoi qu'il en soit lancé.

Voici la réponse,(du 29 Dec 2010):

OpenBSD : pas de porte dérobée identifiée dans le code source

Au terme d’un premier audit, la communauté OpenBSD n’a détecté aucune porte dérobée dans son code source. Au début du mois, Gregory Perry soupçonnait des développeurs d’avoir codé des backdoors pour le compte du FBI.

En décembre, le fondateur d'OpenBSD et OpenSSH a reçu un mail lui indiquant que des portes dérobées pouvaient avoir été insérées à la fin des années 90 dans le code de l'OS, et ce pour le compte du FBI. Le message émanait de Gregory Perry, ancien directeur technique de NetSec.

Selon ce dernier, des développeurs avaient été rémunérés par l'agence gouvernementale américaine pour coder des backdoors dans le framework cryptographique d'OpenBSD et dans certains éléments de la pile réseau.

Malgré le scepticisme de certains experts et les dénégations des développeurs mis en cause, Theo de Raadt avait décidé de lancer un audit du code de l'OS Open Source. Premier bilan : si deux bugs ont été identifiés au niveau de la cryptographie, ceux-ci seraient accidentels et non le fruit d'une malveillance.

Pour autant Theo de Raadt n'exclut pas que la société NetSec ait pu concevoir des portes dérobées pour le compte du gouvernement américain. Il estime en revanche peu probable que celles-ci aient été insérées dans le code d'OpenBSD (mais plus probablement dans les propres produits de NetSec, devenue Verizon Business Security).


REF.: zdnet.fr,