Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

Aucun message portant le libellé Apple Pay. Afficher tous les messages
Aucun message portant le libellé Apple Pay. Afficher tous les messages

jeudi 10 août 2017

Android Pay, maintenant disponible au Canada, Il était temps



C’était écrit dans le ciel, et ça se confirme enfin aujourd’hui : Google a annoncé que son service de paiement mobile était dorénavant offert dans certains commerces au Canada.
Tel que le rapportait le blogue MobileSyrup la semaine dernière, c’est bien aujourd’hui qu’Android Pay débute son déploiement au Canada.
Fort heureusement, contrairement à l’introduction au pays d’Apple Pay, qui était d’abord réservé aux détenteurs de cartes American Express, Android Pay pourra être utilisé avec une foule d’institutions financières canadiennes.

«Au cours des prochains jours, Android Pay sera déployé avec le soutien des cartes de crédit VISA et MasterCard admissibles des clients de BMO Banque de Montréal, de la Banque CIBC, de la Banque Nationale, de la Banque Scotia, de Desjardins, des Services financiers le Choix du Président, de ATB Financial, et des Services financiers Canadian Tire», mentionne Google Canada aujourd’hui sur son blogue, en précisant au passage que les cartes prépayées de la Banque Scotia et de Desjardins étaient aussi comprises dans le lot. «Le soutien des cartes de débit Interac débutera lundi, et le soutien des cartes American Express et Tangerine arrivera plus tard cet été.»
En ce qui concerne les commerces qui accepteront Android Pay, tout porte à croire que «les centaines de milliers de magasins à travers le pays» seront les mêmes que ceux qui acceptent déjà les paiements Apple Pay. Google Canada cite notamment Tim Hortons, Loblaws, Petro-Canada, McDonald’s, Indigo / Chapters, Pizza Pizza, Sears, en plus des boutiques de TELUS, Rogers et Freedom Mobile.
Rappelons qu’Android Pay peut être utilisé par n’importe quel appareil Android équipé de la NFC et propulsé par Android KitKat 4.4 ou les versions subséquentes.

REF.:

jeudi 12 mai 2016

Apple Pay maintenant offert pour les clients de CIBC et RBC au Canada



Lentement mais sûrement, Apple ajoute de nouvelles institutions financières canadiennes à son service de paiement mobile.
Alors qu’Apple Pay était exclusivement réservé aux détenteurs d’une carte American Express depuis son lancement au pays en novembre dernier, la liste de ses partenaires s’est allongée ce matin – selon quatre communiqués. Le service est ainsi désormais compatible avec les cartes MasterCard et VISA émises par CIBC ou RBC (Banque Royale), incluant aussi celles d’ATB Financial et de la chaîne Canadian Tire.
Les clients de Desjardins et de la Banque Nationale devront prendre leur mal en patience.
En plus de ces nouvelles options de cartes de crédit, Apple Play accepte depuis aujourd’hui l’inscription de cartes de débit des clients de CIBC et RBC. Selon le communiqué publié par Interac, les clients de BMO (Banque de Montréal), de la Banque Scotia et de la Banque TD peuvent s’attendre à ce qu’Apple Pay soit bientôt compatible avec les cartes émises par leur institution financière.
Bien que cette affirmation ne concerne que les cartes de débit (Interac oblige), la logique nous pousse à croire que les cartes MasterCard et VISA de ces banques pourront également y être intégrées.
Il ne restera plus qu’à attendre pour les clients de Desjardins et de la Banque Nationale, soient les deux principales institutions opérant sur le marché québécois.


Source.:

 

 

 

jeudi 5 mars 2015

Apple Pay à l'origine d'une fraude massive aux Etats-Unis


Des cybercriminels ont réalisé de faux achats à hauteur de plusieurs millions de dollars en utilisant des données bancaires volées. La faille se situe au niveau des banques, dont les vérifications d’identité sont trop sommaires.



Les paiements par Apple Pay, sont-ils vraiment « plus sécurisés », comme l’affirme le fournisseur californien sur son site web ? Les cybercriminels américains, en tous les cas, ont déjà trouvé une faille dans le nouveau système : les banques. Quand un utilisateur enregistre une carte bancaire dans Apple Pay, la banque n’est censée activer le moyen de paiement qu’après être certain que l’utilisateur Apple correspond bien au client bancaire.
Or, cette vérification n’est visiblement pas efficace, car des fraudeurs ont réussi à effectuer des achats à hauteur de plusieurs millions de dollars en utilisant des informations bancaires volées, d’après The Guardian. Le comble, c’est qu’une bonne partie de ces achats ont été effectués dans... des Apple Store. Ce n’est pas très étonnant, car les fraudeurs ont ciblé des commerces qui acceptent Apple Pay et qui vendent des biens de luxe, et les Apple Store répondent aux deux critères.
Comment est-ce possible ? Lorsqu’on enregistre une carte bancaire dans Apple Pay, la firme de Cupertino procède à une première vérification : Le compte Apple est-il récent ou a été modifié récemment ? L’utilisateur est-il resté inactif pendant longtemps ? La carte bancaire n’a-t-elle été associée au compte que depuis peu de temps ? etc. Si Apple ne détecte aucune anomalie, la banque active automatiquement la carte dans Apple Pay (procédure « Green Path »). Dans le cas inverse, elle est censée procéder à des vérifications supplémentaires (procédure « Yellow Path »).  Et c’est là que le bât blesse.

Plusieurs millions d’activations

Souvent, les banques se contentent de relever, au travers d’un call center, le numéro sécurité sociale, alors que c’est également une donnée qui est fréquemment échangée dans les forums cybercriminels. Par ailleurs, les fraudeurs n’hésitent pas non plus à contacter directement le call center d’une banque pour la prévenir d’un « déplacement » à venir. Ce qui leur permet d’activer la carte dans un endroit qui ne correspond pas au lieu de résidence renseigné. Enfin, certaines banques semblent être prises de court par les nombreuses demandes d’activation (plus d’un million chez JP Morgan Chase et 1,1 million chez Bank of America). Bref, toute cette étape de vérification « Yellow Path » n’est visiblement pas à la hauteur de l’enjeu, et les fraudeurs l’ont bien compris.
Apple, pour sa part, estime être hors de cause, dans la mesure où ces fraudes ne s’appuient pas sur une faille dans Apple Pay. Mais l’argument est quand même un peu facile. Le blogueur Cherian Abraham estime qu’Apple et ses partenaires bancaires sont allés trop vite en besogne et n’ont pas suffisamment mesuré le risque lié à ces vérifications.
Lire aussi :
MWC 2015 : Samsung Pay, l’offre de paiement universelle qui veut ruiner Apple Pay, le 02/03/2015
Sources :
 
 

samedi 27 septembre 2014

Apple Pay sera un service de paiement mobile en Oct 2014 aux USA

Apple Pay est un service de paiement mobile proposé par Apple.
Annoncé le 9 septembre 2014 dans une conférence de presse, Apple a prévu de lancer ce service en octobre 2014 aux États-Unis, et dans un second temps dans d'autres pays1.
Ce service permet aux utilisateurs de payer avec leur carte bancaire via leur iPhone 6/iPhone 6 Plus ou leur Apple Watch dans des magasins physiques en utilisant la puce NFC, ou en ligne2.

Dans le courant de l'été 2014, Apple a signé des accords de partenariat avec les leaders des cartes bancaires (Visa, Mastercard et American Express3. Par ailleurs, Apple a signé des partenariats avec de grandes enseignes américaines (Subway, Mc Donald's, Target, Macy's, Walgreens, Sephora, Disney, Nike…) qui vont accepter les paiements par Apple Pay, totalisant 220 000 points de vente
Les informations de paiement sont enregistrées de manière chiffrée dans le téléphone dans une puce sécurisée nommée « Secure Element ». Un identifiant temporaire et unique est généré pour chaque transaction, ce qui permet de ne divulguer ni le vrai numéro de la carte bancaire, ni le nom du détenteur au vendeur et de ne pas bloquer sa carte bancaire en cas de perte ou de vol du téléphone7.
L'authentification de l'utilisateur sur les transactions effectuées avec Apple Pay avec un iPhone 6/iPhone 6 Plus sont vérifiées grâce au capteur biométrique Touch ID. Pour ce qui est de l'Apple Watch, l'iPhone 6/iPhone 6 Plus couplé avec la montre connectée doit se trouver à proximité et l'utilisateur doit appuyer deux fois sur le bouton de sa montre pour valider l'achat8.




 
Quand Apple Pay, Paypal pleure


Promesse d'Apple : nous allons enfin découvrir une solution toute simple et géniale pour payer avec notre mobile et sur le web. eBay et son Paypal ont dû s'étrangler en apprenant la nouvelle... car c'est pile leur job et même leur obsession depuis des années !


eBay n’a pas vécu la keynote Apple comme nous. Pendant que la planète high-tech et ses fans ouvraient grand les yeux et les oreilles le 9 septembre dernier, le big boss mondial du paiement en ligne (dont plus de 40% des revenus viennent de Paypal) fondait en larmes. Enfin, je dis ça, mais je n’y étais pas pour le voir, puisque j’étais là, sur 01net, avec vous. D’ailleurs j’en profite pour vous remercier d’avoir été si nombreux à passer la soirée avec nos journalistes web et TV– c’était « amazing » aurait dit Tim Cook ! Mais je m'égare...
Donc, moi, si j’avais été au board d’eBay, j’aurais eu envie de couper la connexion, plutôt que de voir naître Apple Pay. Attendez, je n’insinue pas qu’eBay ait tenté de planter notre live mondialement suivi… mais, j’imagine que pour ses dirigeants la séquence devait être insupportable.
Non seulement Apple promit, ce soir-là, de révolutionner le paiement mobile et en ligne, mais en plus tout le monde y a cru ! Bim ! En quelques minutes, le cours d’eBay perdit 3% à la Bourse de New York. La courbe chuta brutalement. Et s’enfonça d’autant le lendemain. Pas le temps d’appeler l’ambulance que déjà CNNMoney se demandait si Apple n'allait pas tuer Paypal. Aïe.

Les atouts maîtres d'Apple Pay

RIP Paypal ? C'est aller un peu vite. Dans un premier temps, je dirais que ça peut faire mal. Ce qui m'inspira le titre de cette chronique : « Quand Apple pay, Paypal pleure », mais passons sur ce jeu de mots facile.
Sérieusement, je dois avouer que je n’espère pas la fin de Paypal. Pas plus que celle d’Amazon, dont j’utilise aussi le porte-monnaie électronique. Tant mieux, si un autre service arrive, et si cela devient plus facile et plus sécurisé (encore qu’on demande à voir). Mais je préférerais qu’Apple Pay ne raye pas les opposants de la carte. Un peu d’ouverture, de compatibilité et de concurrence font toujours du bien.
Entre Paypal et Apple Play, qui rira le dernier ? Disons qu'on pressent la puissance d’Apple Pay rien qu’à l’annonce de ses partenaires. Il s’est mis dans la poche des grandes banques américaines et les trois plus importants réseaux de cartes de crédit au monde : Visa, MasterCard, American Express. Et, côté commerce, c’est du solide aussi : Mac Doc, Nike, Starbuck… Surtout, Apple a un atout maître qui échappe à eBay : il embarquera son système de paiement dans ses propres appareils et aura donc la main sur une bonne partie du business.

C'est notre porte-monnaie qui va pleurer

Reste à savoir si c'est un vrai marché ? Certains semblent sceptiques quant à nos changements d'habitude : pourquoi se mettrait-on à payer depuis notre mobile ou notre montre ? Personnellement, je suis convaincue qu'on le fera. D’abord, parce que ce sont des appareils que l’on porte toujours sur soi, ensuite parce qu'on a déjà pris l’habitude de tout confier à nos smartphones. Peut-être, cela prendra-t-il un peu de temps de s’habituer à dégager son poignet plutôt que dégainer sa CB, mais nos gestes changent vite. Il n'y a qu'à voir ce qu'on fait aujourd'hui avec nos doigts sur les écrans !
Au-delà de ce nouveau geste, il faudra bien entendu rassurer sur la sécurité du paiement mobile ou montre. Je reconnais que ce n'est pas gagné - on a mis du temps à lâcher notre numéro de carte bancaire sur un site internet. Mais je parie qu’on sera plus enclin à planter notre empreinte pour valider un achat. Parce que c’est rapide et que tout le monde va proposer le « fingerprint ». Alors, je ne sais pas si eBay va souffrir, mais notre porte-monnaie, lui, va pleurer c'est certain.

CurrentC sera le concurrent a Apple Pay :


Voilà qui tombe mal pour le service de paiement sans contact concurrent d'Apple Pay. CurrentC, le projet du consortium de distributeurs américains MCX, n'a pas encore eu droit à son lancement commercial et pourtant, il a déjà été piraté.

Dans un e-mail repéré par le site Business Insider, CurrentC prévient les personnes s'étant inscrites pour tester la version bêta de l'application que « des tiers non-autorisés ont obtenu les adresses e-mail de certains d'entre vous ». MCX assure qu'aucune autre information n'a été consultée.




L'organe de communication du service de paiement a confirmé ces informations en ajoutant que l'application CurrentC elle-même n'aurait pas été compromise. Par ailleurs, un grand nombre de ces adresses e-mail serait factice. Elles auraient été créées« uniquement dans le but de tester le service ». Le consortium, dirigé par le distributeur Wal-Mart et constitué, entre autres, d'Exxon, Shell et Target, poursuit son enquête et fournira de nouvelles informations « si nécessaire ».

CurrentC se positionne comme une alternative pour les distributeurs qui ne veulent pas d'Apple Pay. Le service proposera, aux Etats-Unis, une méthode de paiement sans contact par QR code plutôt que par NFC. Compatible avec tous les terminaux, les commerçants prélèveront la somme directement sur le compte de l'utilisateur en scannant le code envoyé sur son appareil.

Cela permettra aux partenaires de CurrentC d'éviter les frais de 2 à 3% du montant de chaque transaction imposés par les émetteurs de cartes bancaires. Les distributeurs qui utiliseront Apple Pay resteront, quant à eux, soumis à ces prélèvements. C'est la raison pour laquelle le consortium s'oppose au service et concurrence la firme de Cupertino avec son propre système de paiement sans contact.

La bataille a commencé entre Apple et MCX, qui veulent tous deux imposer leurs standards. La semaine dernière, les chaînes de pharmacies américaines Rite Aid et CVS ont indiqué qu'elles n'utiliseront pas Apple Pay mais CurrentC. MCX imposerait aux distributeurs partenaires du service de refuser les systèmes de paiement sans contact de la concurrence, sous peine de recevoir des amendes écrit le New York Times.

Source.: