Vous partagez les avis de disparition d'enfants sur Facebook? Attention, dit la GRC
Ces publications peuvent provenir de personnes mal intentionnées.
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facebook, Hackers, GRC, partage, disparition
En parcourant votre fil
d'actualités Facebook, vous apercevez une publication sur un enfant
porté disparu. Naturellement, votre premier réflexe est de partager la
publication. Ça peut contribuer à ramener un enfant sain et sauf à la
maison, alors pourquoi pas?
Pas si vite, répond la Gendarmerie royale du Canada (GRC).
Dans une publication Facebook, le détachement de Kindersley, en Saskatchewan, rappelle les dangers de partager ce type de publications sans d'abord faire quelques vérifications.
Souvent, explique la GRC, ces publications proviennent de personnes mal intentionnées. Parfois, l'enfant dont la photo est largement partagée ne manque même pas à l'appel.
Dans une publication Facebook, le détachement de Kindersley, en Saskatchewan, rappelle les dangers de partager ce type de publications sans d'abord faire quelques vérifications.
Souvent, explique la GRC, ces publications proviennent de personnes mal intentionnées. Parfois, l'enfant dont la photo est largement partagée ne manque même pas à l'appel.
Même si l'on souhaite bien faire en partageant la publication, on ne connaît pas toujours tous les faits.
«Par exemple, un parent qui se voit refuser l'accès à ses enfants par un ordre de la cour pourrait mettre leurs photos sur Facebook et affirmer qu'ils ont disparu», écrit le corps de police.
Parfois - dans les cas de violence domestique, par exemple -, l'autre parent et l'enfant peuvent se cacher pour leur propre protection.
En partageant une telle photo, vous pourriez mettre des vies en danger, avertit la GRC.
Cliquer sur «Partager» pourrait faire plus de tort que de bien. (Photo: Getty Images)«Par exemple, un parent qui se voit refuser l'accès à ses enfants par un ordre de la cour pourrait mettre leurs photos sur Facebook et affirmer qu'ils ont disparu», écrit le corps de police.
Parfois - dans les cas de violence domestique, par exemple -, l'autre parent et l'enfant peuvent se cacher pour leur propre protection.
En partageant une telle photo, vous pourriez mettre des vies en danger, avertit la GRC.
La GRC recommande de toujours vérifier la source d'une photo avant de la partager.
«Si la publication ne provient pas d'une source policière officielle et ne contient pas de lien vers un article publié par un média sérieux confirmant la disparition, elle n'est probablement pas légitime.»
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