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jeudi 1 juillet 2021

Apple Watch Series 7: Avec les Processeurs double-face S7(double sided)une petite révolution est en route !

 Apple Watch Series 7: Avec les Processeurs double-face S7(double sided)une petite révolution est en route !

 

Watch : une petite révolution serait en route pour le processeur S7:

Avec même une meilleure autonomie au programme ?


Publié le

 

Par;Valentin

Alors que le magazine assure déjà que TSMC est à pleine puissance sur les futures puces A15 Bionic des iPhone 12S, DigiTimes vient d’annoncer que leur équivalent pour montre connectée aurait pour sa part droit à une impression double face. Commençons par une rapide explication de ce procédé, jusque là jamais utilisé sur les Apple Watch commercialisées auparavant.

Pour le comprendre, il faut d’abord savoir que les processeurs classiques, prenant la forme d’un plan en deux dimensions, sont en fait imprimés d’un seul côté. Mais avec la technologie dite double-sided en anglais, il est possible d’y installer des transistors des deux côtés. Par conséquent, le fabricant a besoin de deux fois moins de surface et peut donc faire appel à une carte plus compacte.

Plus de place pour les autres composants ?

De même, si le CPU est plus petit qu’avant, ceci peut alors signifier que le constructeur a la possibilité de repenser l’agencement des différentes pièces de sa montre. Et qui mieux que la batterie, source de nombreuses critiques, pour en profiter ? On sait déjà qu’elle a toutes les chances d’être revue à la hausse du côté des iPhone 12S, alors pourquoi pas avec l’Apple Watch Series 7.

La mouture précédente, pour sa part, s’en tient à 303,8 mAh. Mais ce n’est pas suffisant pour beaucoup, car ce nombre ne permettrait de tenir que jusqu’à dix-huit heures. Et encore : il s’agit évidemment des chiffres officiels, qui contrastent avec les conditions réelles d’utilisation où des programmes gourmands et le réglage de la luminosité peuvent largement changer la donne. Sans compter l’écran always-on, bien sûr.

Meilleur suivi du sommeil

Avec l’annonce de watchOS 7, à savoir le système d’exploitation de l’Apple Watch Series 6, son développeur a présenté une fonctionnalité très attendue : le suivi du sommeil. Sauf que comme la tocante ne peut pas tenir vingt-quatre heures allumée d’affilée, la plupart des utilisateurs profitent justement de la nuit pour la recharger. Et sont donc dans l’incapacité de compter sur le suivi du sommeil pour améliorer leur bien-être.

Mais avec une batterie plus imposante et grâce au processeur double face, le problème est peut-être en passe d’être résolu. Rendez-vous lors du potentiel keynote de fin septembre 2021 pour en avoir le cœur net.

 

REF.:

Attention les N3 arrive: Apple lorgne la technologie de puce « la plus avancée au monde »

 

 

Attention les N3 arrive: Apple lorgne la technologie de puce « la plus avancée au monde »

Les puces 3 nm sont dans les starting-blocks pour l’année prochaine.


Publié le

 

Par;Hadrien Augusto


La pénurie des microprocesseurs touche l’ensemble des marchés des nouvelles technologies jusqu’aux constructeurs automobiles. Aux États-Unis, le fédéral cherche à motiver les fournisseurs pour produire directement au sein du pays. Fort de son partenariat et son influence auprès de TSMC, Apple évite les problèmes et prépare déjà la suite : une puce gravée en 3 nm, plus puissante et économe.

Dans un récent rapport de Digitimes, nous apprenons aujourd’hui que cette prochaine génération de microprocesseurs arrivera en production de masse au second semestre 2022. Apple a d’ores et déjà réservé l’exclusivité de la production de ces puces gravées en 3 nm, encore plus fines que les actuels composants gravés en 5 nm (et déjà exceptionnellement efficients).

Les futures puces 3 nm Apple

Il est indiqué que ces prochaines puces fourniront pas moins de 15 % de puissance supplémentaire en plus d’économiser jusqu’à 30 % d’énergie comparée aux microprocesseurs actuels. Actuellement, TSMC appelle ses futurs composants en 3 nm la technologie « N3 ».

« TSMC a affirmé que sa technologie N3 sera la technologie la plus avancée au monde lorsqu’elle commencera la production en volume au second semestre 2022. S’appuyant sur l’architecture éprouvée des transistors FinFET pour les meilleures performances, efficacité énergétique et rentabilité, N3 offrira jusqu’à 15 % de gain de vitesse et une consommation jusqu’à 30 % plus faible que le N5 ».

Faut-il en tirer la conclusion que la génération de septembre 2022 des iPhone en sera équipée ? Bien évidemment, non. Apple vient tout juste de lancer les puces 5 nm, notamment sur les Macs avec la nouvelle puce M1 (première du nom après l’éloignement de la marque avec Intel).

Les intégrations logiciel et les nouvelles technologies 5 nm avancée du prochain iPhone 13 réservent encore bien des améliorations avant de choisir de lancer une technologie en 3 nm. De la même manière, TSMC devrait fournir des processeurs en 4 nm l’année prochaine particulièrement pour la future génération de puces M, pour les Macs.


REF.:Hadrien Augusto

dimanche 15 mars 2020

Pourquoi le passage des futurs Mac sur ARM pourrait changer la donne



Pourquoi le passage des futurs Mac sur ARM pourrait changer la donne

Technologie : Certaines rumeurs indiquent qu'Apple pourrait bientôt commercialiser un Mac basé sur un chipset ARM. Voilà pourquoi cela pourrait intéresser les aficionados de la marque à la pomme.

Un faisceau de rumeurs diffusées par la presse fait actuellement état d'un projet d'Apple qui pourrait commencer à utiliser des processeurs ARM dans ses Mac à partir du premier semestre 2021. La transition des processeurs n'est pas nouvelle pour Apple. En 1994, le géant américain a fait passer le Mac de sa plateforme originale Motorola série 68000 à des puces PowerPC de l'alliance AIM (Apple-IBM-Motorola). Puis, en 2006, le Mac a de nouveau changé de plateforme, passant de PowerPC à Intel, une situation qui prévaut encore aujourd'hui.
Des rumeurs font état depuis un certain temps d'une adoption des chipsets ARM par les futurs Mac d'Apple. Celles-ci ont encore pris davantage de corps avec l'embauche l'an dernier du concepteur de puces de pointe de ARM, Mike Filippo, qui a également travaillé pour Intel et AMD.
Apple conçoit et fabrique actuellement (via TSMC) ses propres puces basées sur l'ARM pour les iPhone et les iPad, les dernières étant le A13 Bionic 7 nm (iPhone 11, 11 Pro, 11 Pro Max) et le A12X Bionic (iPad Pro 11 pouces, iPad Pro 12,9 pouces de troisième génération). La prochaine génération de puces 5 nm de TSMC devrait être produite en série en 2020. Les puces Apple T-series à base d'ARM sont déjà utilisées dans les Mac.

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Un ensemble applicatif plus large

Du côté des logiciels, Apple s'efforce de faciliter le portage des applications iPad sur MacOS grâce à son projet Catalyst, annoncé l'année dernière lors du WWDC. Actuellement, ce projet propose un nouveau SDK Xcode qui permet de sélectionner une case à cocher "Mac" pour convertir une application iPad existante en une application MacOS native avec des fonctions de bureau et de fenêtrage et des commandes tactiles adaptées à la saisie au clavier et à la souris.
L'objectif final est de prendre en charge les transitions de MacOS à iOS également, en créant des applications "universelles" qui peuvent fonctionner sur les deux systèmes d'exploitation avec un minimum de tracas pour les développeurs et les utilisateurs.
Des fuites font aujourd'hui état d'un « nouvel iPhone 2H20 5G, un nouvel iPad 2H20 équipé de mini LED, et un nouveau Mac 1H21 équipé du processeur de conception propre ». Ce nouveau Mac basé sur la technologie ARM sera probablement un appareil relativement bas de gamme – peut-être un MacBook Air mis à jour – tandis que les Mac haut de gamme de niveau professionnel resteront basés sur Intel pendant un certain temps. Personne ne s'attend à ce qu'un processeur Arm conçu par Apple puisse offrir des performances équivalentes à celles du Xeon W à 28 cœurs du nouveau Mac Pro.
Microsoft, bien sûr, a déjà fait le choix du x86 d'ARM – d'abord avec Windows RT, et maintenant avec Windows 10 ARM. Windows RT a échoué parce qu'il ne pouvait exécuter qu'une sélection limitée d'applications Windows Store natives – ce que Windows 10 basé sur ARM a partiellement corrigé en prenant également en charge les applications de bureau x86 32 bits (mais pas 64 bits) sous émulation.

Source : ZDNet.com

jeudi 30 août 2018

Virus : Attaque contre TSMC ,circulez, y’a rien à voir ?



Attaque contre TSMC : Circulez, y’a rien à voir ?


 

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Sécurité : Le fondeur TSMC a annoncé un retour à la normale de sa chaîne de production, affectée par une attaque informatique. Producteur de processeurs pour de nombreux acteurs et constructeurs, dont Apple, TSMC est aujourd’hui une cible de choix pour les cybercriminels
Mise à jour le 06/08 à 16h30 : Lors d'une conference de presse, les dirigeants de TSMC ont donné un peu plus de détails sur l'attaque. Comme le rapporte Zdnet.com, le virus en question était une variante de WannaCry, qui se serait activée suite à l'installation d'un logiciel n'ayant pas été vérifié. De nombreux postes opérationnels utilisés par la chaine de fabrication de TSMC utilisent encore Windows 7 comme système d'exploitation et ne disposent pas du correctif permettant de bloquer la propagation du virus.
TSMC, tiré d’affaire ? C’est ce que laisse entendre le dernier communiqué publié par le fondeur, qui annonce avoir repris le contrôle de sa chaîne de production affectée par « un virus » comme l’avait annoncé la société dans un communiqué publié hier. L’information avait été initialement publiée par l'agence Bloomberg, qui dans un article publié vendredi faisait savoir qu’un virus avait infecté plusieurs systèmes informatiques de TSMC et avait bloqué la chaîne de production de la société taïwanaise. Selon la directrice du groupe, c'est la première fois qu'une attaque informatique vient directement affecter les capacités de production de la société.

Dans un communiqué publié hier, TSMC confirme l’information de Bloomberg et explique que « 80% des outils de l’entreprise ont pu être rétablis » à la mi-journée, et que la société espère un retour à la normale complet dans la journée de lundi.
TSMC ne donne pas beaucoup de détails sur la nature exacte de l’attaque ayant affecté ses systèmes. La société se contente de designer « un virus » comme l’origine de l’attaque. TSMC blâme « une mauvaise manipulation ayant eu lieu pendant l’installation d’un nouvel outil logiciel, qui a permis à un outil de se répandre dans le système informatique une fois l’outil connecté au système. »
Pas de précision sur le type de virus en question ni sur les dégâts que celui-ci tentait de causer (vol, espionnage ou destruction de données) : TSMC préfère communiquer sur le fait que le problème est réglé et que le cours normal des opérations est en train de reprendre.
TSMC a pourtant des raisons de s’inquiéter. Les derniers mois ont montré une recrudescence des attaques informatiques visant la chaîne d’approvisionnement des constructeurs plutôt que les utilisateurs ou les terminaux.
On peut ainsi rappeler le cas de CCleaner, dont l’utilitaire de désinfection avait été victime d’une mise à jour malveillante modifiée par des cybercriminels afin de diffuser des malwares sur des systèmes informatiques appartenant à plusieurs acteurs du secteur informatique.
TSMC fournit également de nombreux acteurs en puces électroniques : Apple est souvent cité parmi ses clients, mais c’est aussi le cas d’ATI ou Nvidia qui se fournissent chez TSMC pour construire leurs produits. Le système informatique et la chaîne de production de TSMC sont donc une cible de choix pour les cybercriminels qui chercheraient à toucher ces différentes sociétés en visant le point commun entre ces entités.

A lire aussi :

iPhone : les puces de nouvelle génération 7 nm entrent en production

 

REF.: