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samedi 3 décembre 2011

Le gouvernement veut'il vraiment aider les entreprises pour protéger leurs réseaux et propriété intellectuelle ?

Peut-être,mais aussi contrôler le réseau de communication américain contre le terrorisme et aussi a repérer les criminels qui utiliseront les cellulaires!

États-Unis - Projet de loi pour protéger les sociétés des cyberattaques
 
© Shutterstock

Projet de loi pour protéger les sociétés des cyberattaques

WASHINGTON - Un projet de loi prévoyant un partage d'informations plus important entre le gouvernement américain et le secteur privé en matière de cybersécurité a été déposé mercredi à la Chambre des représentants, ont indiqué les élus à l'origine du texte.
«Une cyberguerre économique est actuellement en cours contre les entreprises américaines», a assuré le républicain Mike Rogers. «Ce projet de loi sur la cybersécurité va loin pour aider les entreprises américaines à mieux protéger leurs réseaux et propriété intellectuelle», a-t-il ajouté dans un communiqué.
Le projet de loi autorise le gouvernement à partager des informations confidentielles sur des menaces éventuelles de cyberattaques avec certaines entreprises américaines et les encourage en retour à partager de manière tout à fait volontaire leurs propres informations avec le gouvernement.
Ce texte «constitue le premier garde-fou afin de s'assurer que les Chinois, les Russes, les Iraniens, mais aussi d'autres pays, des pirates informatiques solitaires ou des voleurs soient pris avant d'avoir pu pénétrer dans nos systèmes», a souligné l'élu républicain en dévoilant le projet de loi au siège de la National Cable and Telecommunications Association (NCTA) à Washington.
«Ce texte est un bon point de départ pour aider le secteur privé à protéger sa propriété intellectuelle et ses réseaux informatiques stratégiques, y compris ceux qui font fonctionner nos réseaux électriques et de gestion de l'eau et notre système bancaire», a souligné le démocrate Dutch Ruppersberger.



Nouvelles valeurs internet: crainte d'une bulle spéculative


Entrée en Bourse - Nouvelles valeurs internet: crainte d'une bulle spéculative
 
© Reuters


NEW YORK - La glissade de plusieurs valeurs internet récemment entrées à la Bourse de New York fait ressurgir la peur d'une bulle spéculative qui commencerait déjà à éclater, alors que se profile l'introduction sur le marché du géant Facebook.

C'est comme Yahoo qui chancèle encore !
Wikipedia qui demande des dons !
Foursquare qui n'est pas stable !
MySpace qui est en perte de vitesse !
HP se demandait s'il devait se débarrasser de la division PC !
IBM qui vend des droits d'auteurs !
On dévore,par l'entremise d'un consortium, tout ce qui est droits d'auteurs avec le cadavre de Nortel !
Microsoft qui se jette sur Skype,qui n'allait pas si bien que ça !
Samsung et Apple qui se font la guerre ,sur font de droit d'auteur face a l'ouverture et a l'expansion du marché de la Chinois!
Mais ,s'il y a bulle technologique ,ce sera Microsoft,Apple,Google qui en ressortirons gagnant !



Le site «social» de bons de réduction Groupon, le réseau social professionnel LinkedIn ou encore le site internet de critiques et recommandations Angie's List: ces sociétés, toutes entrées en Bourse en 2011, cotent désormais tout près voire en dessous (dans le cas de Groupon) de leur cours d'introduction en Bourse.
Pour l'analyste Lou Kerner, spécialiste du secteur internet et des entreprises non cotées chez Liquidnet, «Groupon illustre vraiment la difficulté de fixer le prix d'une entreprise fondée sur un modèle d'affaires balbutiant».
«C'est une gifle pour les banques (qui ont piloté l'opération), et pour la compagnie, qui a tenu à aller à l'autel de la Bourse alors qu'aucune raison ne l'y obligeait», ajoute M. Kerner, un phénomène qui selon lui rappelle la première vague internet de 1994-99.
«Les valorisations (de la première vague internet) ont longtemps grimpé, jusqu'à atteindre les proportions d'une bulle», rappelle M. Kerner, et aujourd'hui les investisseurs sont nerveux, se demandant à quelle stade de cette vague on se trouve actuellement.
«Nous allons avoir une nouvelle bulle, la question c'est de savoir si nous sommes dans la bulle, ou si nous en sommes aux débuts» du développement du nouveau secteur des médias sociaux, ajoute-t-il. «Les investisseurs essaient de comprendre si on en est à 2000 (la date de l'éclatement de la première bulle internet, NDLR), ou à 1998».
Mais pour lui, il n'y a pas de quoi s'affoler pour Facebook, bien «plus mûr» que Groupon. Facebook est «dans une classe à part», comme Google et Amazon l'étaient déjà pour leur entrée en Bourse, estime M. Kerner, qui juge plausible la valorisation à 100 milliards de dollars avancée par les médias.
D'autres spécialistes des entrées en Bourse notent aussi que des facteurs techniques expliquent la reculade de valeurs toutes jeunes.
«Par définition les entrées en Bourse sont plus risquées que des valeurs qui ont un plus long historique d'échanges, donc quand le marché est instable comme c'est le cas récemment, les investisseurs vendent souvent leurs positions les plus risquées en premier», note Lise Buyer, fondatrice de la société VClass Group, qui conseille les sociétés se préparant à entrer en Bourse.
Un mouvement qui pourrait être accentué par le toilettage des portefeuilles à l'approche de la fin de l'exercice, selon elle.
Elle note aussi le rôle de la spéculation: «il est très possible qu'il y ait eu beaucoup de spéculateurs ayant investi dans l'action (Groupon), ce qui est souvent le cas avec les entrées en Bourse de marques grand public».
«Pour Groupon et Angie's List, je crois que de nombreux investisseurs considéraient que c'était une opération rapide pour une "intro" sexy, et pas des investissements de long terme», analyse aussi Nick Einhorn chez Renaissance Capital, cabinet spécialisé dans les entrées en Bourse.
Et puis il note l'effet boule de neige: «si une nouvelle valeur, comme Groupon, tombe sous son cours d'entrée en Bourse, les investisseurs considèrent que c'est un signal négatif et cherchent à s'en débarrasser».
Le cas de LinkedIn serait un peu différent, et s'expliquerait par la mise sur le marché de titres supplémentaires à la mi-novembre: «je crois que le titre souffre de l'aversion au risque comme les deux autres, mais il y a aussi un élément d'offre et de demande», estime M. Einhorn.


REF.:

Métro de Mtl: Station "Coquerelle-Concordia"







Vous avez remarquer que les tuiles(tuiles il n'y en n'a pas dans aucunes autres station ,et ça jamais tenue cette affaire la)a la jonction mur/sol, sont vraiment inefficace!De plus,certaines structures murales sont en stainless ,situer au même endroit (humide)et  aussi 4 pieds plus haut sur le mur,.........comme pour faire un agencement murale art déco ! Il n'y manque que BamBam et Dino pour recréer la Famille Flinstone ,......Yabada badooooooo!  





Wagon de Métro a la future Station: Coquerelle-concordia !  

 
Contactez M.Gilles "cailloux" Gélinas,Contrôleur a la STM du Service a la clientèle, au numéro de téléphone 514-280-8211(option 4 ,commentaires et plaîntes),sinon,........a la réceptionniste Woodlyn "Délima" DesAnges (numéro d'employé: 39295)Il y a seulement Woodlyn qui vous donnera sont numéro d'employé,car a la STM ,perosnne osera vous le donner sur demande ; et la ,on ne parle pas de demander une réponse par écrit,......surtout si M. Cailloux vous demande un arangement a l'amiable pour éviter une plaînte a la STM.Tout est secret et bien garder pour entretenir la médiocrité de la machine a 9,000 pattes !




Définition de Art Déco(pour les incrédules a la STM): De 1920 à 1939, et comme une continuation à l'Art nouveau d'avant la Première Guerre mondiale, l'Art déco fut un mouvement artistique extrêmement influent surtout dans l'architecture et le design, mais concerna en fait plus ou moins toutes les formes d'arts plastiques.


MONTRÉAL - Des passagers ont découvert avec consternation et dégoût que des coquerelles et autres petites bestioles indésirables grouillaient au bas des murs de la station de métro Guy-Concordia, à Montréal.
Lors de notre passage, une coquerelle se trouvait au bas des escaliers menant au quai direction Honoré-Beaugrand. Elle était cachée au fond d’un creux, au bas d’un mur. Une autre était dissimulée un peu plus haut, elle aussi dans un trou à la base du mur.Il y en aurait d'autres selon le site Facebook de canoe: a Cote Ste-Catherine,Cote Vertu,Beaubien,Plamondon,Cote des neiges,St-Michel,et Préfontaine, et cela a différente période de l'année et selon le niveau de pauvreté et des différents chantiers de construction.
«Bien sûr que ça nous dérange», a lancé une usagère du métro, Yasmina K. Elle n’avait pas remarqué les bestioles auparavant. «On paie pour un service. Pas juste pour le transport, mais pour la salubrité des lieux», a souligné la jeune femme, excédée.
Une autre usagère, Rebecca Harknett, est d’avis que cette situation n’est pas normale du tout. «La Société de transport de Montréal devrait faire quelque chose», a-t-elle dit.
D’autres personnes croisées dans la station croyaient plutôt qu’il était normal de retrouver ces petits insectes dans les stations. «On est sous terre. C’est évident qu’il va y avoir de la vermine», a soutenu Martin Patriquin.
Une extermination nécessaire
«Des blattes (coquerelles) dans les stations de métro, ce n’est pas un phénomène courant à Montréal», a dit Éric Sirois, un exterminateur de chez ABC gestion parasitaire.
«Les blattes sont apportées par les gens dans les stations, elles n’y vont pas d’elles-mêmes», croit-il.
Il pointe du doigt la foire alimentaire reliée à la station. À son avis, c’est de là que les coquerelles proviennent. «Ça prend une action d’extermination assez large dans l’ensemble des endroits infestés si on veut régler le problème.»
Il a été impossible de joindre un porte-parole de la Société de transport de Montréal dimanche après-midi.

REF.: